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Gardasil épisode 1 : Déjà le début de la fin ?

Démarré par Ouebmestre, 13 Mars, 2023, 14:36:50

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Ouebmestre

Gardasil épisode 1 : Déjà le début de la fin ?



par La rédaction de l'AIMSIB

L'AIMSIB est très fière de pouvoir vous présenter aujourd'hui un article exceptionnel. Il vous sera décliné régulièrement sous la forme de sept épisodes distincts, tellement l'ensemble est dense et particulièrement étayé. Il est l'œuvre de l'un de nos nouveaux rédacteurs, « Marceau », que les internautes connaissent déjà parfaitement1 et dont les responsabilités professionnelles actuelles interdisent absolument qu'on lui retire son anonymat. Cette frénésie politique actuelle pour chercher à vacciner tous les enfants des deux sexes à 370€ par tête ne frôlerait seulement que l'escroquerie du siècle si le plus grave n'était pas ailleurs, l'effroyable toxicité parfaitement négligée de ce produit. Bonne lecture...

Introduction

Si vous doutiez encore de la corruption des politiques par les lobbys pharmas, cette nouvelle tentative pour rendre obligatoire le vaccin Gardasil contre les papillomavirus (HPV), soi-disant pour protéger nos enfants contre le cancer du col de l'utérus, doit tous nous alerter.
Il y a tellement à dire sur ce produit dont le développement a bénéficié d'une autorisation de développement accélérée = Merck n'a pas eu besoin de tout étudier lors de l'essai mais devait faire les études après la mise sur le marché tout comme pour les injections COVID-19 !

Je vous propose de commencer par les dernières nouvelles : après des années d'utilisation aux US, après des décès et des handicapés à vie, un juge a ordonné le 5 août 2022 l'ouverture du premier grand procès contre Merck qui débutera en février 2023. Les plaignants accusent Merck d'avoir caché les effets secondaires graves de ses vaccins en exagérant les bénéfices, induisant les parents en erreur et extorquant ainsi leur consentement non éclairé2,3.



Le juge a examiné 48 dossiers de victimes présentant beaucoup de similitudes au niveau des effets secondaires subis par les jeunes femmes et jeunes hommes, puis a demandé que toutes les plaintes (plus d'une centaine) soient présentées en même temps sous une « class action ».

Après avoir épuisé tous les recours pour empêcher ce procès, le dernier argument de Merck pour empêcher le juge d'ordonner l'ouverture d'un procès fut que « cela augmenterait l'hésitation vaccinale et contribuerait à la désinformation contre les vaccins ». N'est-ce pas fabuleux ?

CitationIls mettent des poisons sur le marché, corrompent les politiques pour faire voter des obligations, refusent d'admettre les effets secondaires graves et, quand il y a trop de victimes, ils demandent aux juges de ne pas faire de procès pour ne pas contribuer à la « désinformation ».
Parmi les effets secondaires les plus souvent recensés, dont la mort, on trouve beaucoup de réactions auto-immunes comme listé ci-dessous (en jaune sont surlignées celles qu'on trouve déjà avec les injections COVID-19)4.

Chez hommes et femmes :



L'avant-dernier effet listé concerne les problèmes de reproduction et l'insuffisance ovarienne précoce, prématurée = stérilisation. (Au passage, Bill Gates est l'un des plus fervents soutiens de la distribution de ce vaccin surtout en Afrique et Inde...)
Effets secondaires surtout chez les femmes indiquant des réactions auto-immunes :



Effets secondaires surtout chez les hommes indiquant des réactions auto-immunes :



Mais que trouve-t-on dans la notice des effets secondaires répertoriés par Merck ?
RIEN de plus que des petits désagréments, comme pour les injections COVID-19 !



De quelle manière le laboratoire Merck, à l'instar de TOUS les autres fabricants de vaccins pour prévenir les cancers du col de l'utérus à HPV comme GSK, a-t-il truqué ses essais cliniques pour couvrir les effets secondaires graves ?

Facile, ils n'ont PAS utilisé de vrai PLACEBO (solution saline INERTE) mais ils ont injecté aux groupes placebos un adjuvant neurotoxique à base d'aluminium dont la sécurité n'a jamais été étudiée sur l'homme.



L'adjuvant utilisé est le 𝗔𝗔𝗛𝗦 (Amorphous Aluminium Hydroxyphosphase Sulfate) connu pour être à 100% absorbé dans les organes et tissus comme :
le cerveau (maladies neurologiques),
les articulations (arthrite rhumatoïde),
et la rate (joue un rôle déterminant dans l'immunité et le processus de renouvellement cellulaire du sang)

Un placebo DOIT ÊTRE INERTE !

Vous comprenez aisément que si le groupe placebo est injecté avec ce qui cause des effets secondaires graves, le crime est effacé !
CitationL'EMA a autorisé le vaccin sans exiger que les effets de cet adjuvant, jamais utilisé chez l'homme, ne soient étudiés !5



CitationComment un président de la République peut-il faire aussi ouvertement la promotion d'un vaccin connu pour avoir déjà été le plus dangereux avant l'arrivée des injections COVID-19 ?
Combien est-il offshorisé pour vouloir imposer à tous nos ados un tel produit qui n'a jamais démontré une quelconque efficacité contrairement à ce qu'ils martèlent ? (précisions dans les prochains épisodes...)

Et surtout comment pense-t-il pouvoir rendre obligatoire un produit pour nous protéger d'une maladie contre notre gré ? Une pensée envers tous les personnels suspendus pour avoir refusé la vaccination Covid-19.

On ne parle plus d'une maladie respiratoire transmissible contre laquelle il faudrait protéger des bébés pas encore en âge d'être vaccinés. Chacun décide pour le risque qu'il veut prendre et ce n'est certainement pas à Macron ou à Merck de décider pour nous.
D'ailleurs le Président de la République Emmanuel Macron pourrait-il préciser ses récents propos6 :
« quand tout cela sera installé » CELA quoi ?
• Nudging des médias et slogans de McKinsey ?
« quand on aura les bonnes recommandations » de QUI ?
• Les virements offshores de Merck, le WEF, Bill Gates, l'OMS ?



Et quelle hypocrisie de tout ce petit monde : le cancer du col de l'utérus représente 600 000 cas par an dans le monde et dont la grande majorité se résorbe sans traitement.

CitationQuand bien même il s'agirait de 600 000 morts, nous sommes 8 MILLIARDS soit une prévalence de 0.0075% et ils voudraient vacciner tous les ados pour ça ?
En France, il y a 1000 morts par an par suite d'un cancer du col de l'utérus mais rien ne prouve que ce cancer soit lié aux virus HPV et ils veulent injecter des millions d'enfants chaque année ?

En France, on déplore 60 000 MORTS annuels (pas des cas) liés au tabac, pourtant personne ne parle d'interdire la cigarette, pourquoi ?
Parce que les big pharmas vendent pour une fortune leurs traitements pour les cancers des poumons, de la gorge et autres cancers liés au tabac. Et les jeunes commencent à fumer de plus en plus tôt !

Au lieu d'interdire la cigarette, Macron préfère rendre gratuits les préservatifs en pharmacie pour les mineurs, s'imaginant peut-être que tous nos ados ont les mêmes mœurs que lui, à moins que ce ne soit les premiers pas vers la légalisation d'autres choses moins avouables et dont rêvent ces globalistes !



À bientôt pour la suite

source : AIMSIB



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Gardasil épisode 2 : « De Vioxx à Gardasil, comment faire confiance à Merck ? »


par La rédaction de l'AIMSIB | 12 Fév 2023




Cette semaine Marceau nous ramène à l'année 2007 qui n'a laissé en France aucun souvenir de crise sanitaire majeure, et pourtant ! Pour avoir sciemment écoulé pendant des années son Vioxx malgré des rapports internes catastrophiques concernant la mort régulière de ses consommateurs par quadruplement des crises cardiaques, Merck consent à s'acquitter de sept milliards de dollars d'amende. Pour revenir avec une furieuse envie de devenir le laboratoire le plus honnête de la planète ? C'est bien mal les connaître ! Voici Gardasil, « Help Pay for Vioxx » et le deuxième épisode de votre nouvelle série préférée. Bonne lecture... 

La firme pharmaceutique Merck a une longue histoire de mise sur le marché de produits controversés, notamment Fosamax (un prétendu médicament contre la densité osseuse qui a causé des fractures osseuses) et NuvaRing (un dispositif de contrôle des naissances associé à des caillots sanguins potentiellement mortels et à la mort).

CitationMais le plus grand scandale à ce jour, pour Merck et toute l'industrie pharma confondue, a été le scandale du Vioxx : un anti-inflammatoire de type coxib que la société a dû retirer du marché mondial en 2004 en raison des multiplications de morts par suite de crises cardiaques, AVC et autres problèmes cardiovasculaires.

Merck avait introduit le Vioxx sur le marché américain en 1999 en tant qu'alternative efficace et « plus sûre » aux anti-inflammatoires non stéroïdiens pour le traitement de la douleur associée à l'arthrose.

Selon le New England Journal of Medicine (NEJM), le retrait du Vioxx du marché a été « le plus grand retrait de médicaments sur ordonnance de l'histoire, et pourtant si les nombreux signes avant-coureurs avaient été pris en compte, une telle débâcle aurait pu être évitée. » [1].

Selon un article publié dans le BMJ, des documents internes et des communications obtenus de Merck lors du litige sur le Vioxx ont révélé que leurs scientifiques avaient reconnu très tôt l'existence des risques du Vioxx. Plus précisément, le journal médical a rapporté que :
  • « Depuis le début du développement du Vioxx, certains scientifiques de Merck craignaient que le médicament n'affecte négativement le système cardiovasculaire... Dans des courriels internes rendus publics par le biais des procès, on peut voir que les responsables de Merck ont cherché à truquer l'interprétation des données en faisant modifier les manuscrits des auteurs universitaires avant publication dans les revues scientifiques pour camoufler les effets du Vioxx sur le système cardiovasculaire » [2].

Selon d'autres documents découverts dans les litiges sur le Vioxx, Merck a orchestré la publication de nombreux articles écrits par des sociétés de communication médicales et des employés de l'entreprise. Merck a aussi recruté des leaders d'opinion universitaires clés pour être les principaux auteurs de revues médicales à comité de lecture. Et, pour lutter contre l'opposition, Merck a ciblé de manière sélective les médecins qui posaient des questions sur le Vioxx, allant jusqu'à faire pression sur certains d'entre eux par l'intermédiaire des chefs de département.

  • « Malheureusement, il est clair pour moi que l'intérêt commercial de Merck pour les ventes du Vioxx a dépassé ses inquiétudes concernant la toxicité cardiovasculaire potentielle du médicament« , a écrit le Dr. Eric J. Topol dans le NEJM.

(Non, vous ne rêvez pas, c'est bien le même Eric Topol qui a dû être généreusement arrosé depuis ses déclarations !)

La conduite de Merck concernant le Vioxx était si préoccupante que les rédacteurs du NEJM, dans une « expression de préoccupation » au sujet d'une étude publiée dans la revue, ont écrit que [3] :

On déplore aujourd'hui plusieurs centaines de milliers de morts du Vioxx avec les dernières estimations allant jusqu'à 500 000. Aux USA, le taux de mortalité était le plus élevé en 1999, année de la mise sur le marché du Vioxx et une chute de mortalité a été observée en 2004, année de son retrait du marché [4] [5].

Mais devinez quoi : la France ne décompte AUCUN mort lié au Vioxx. Quelle est la probabilité ? NULLE.
La France est toujours singulière, comme pour le nuage de Tchernobyl, comme pour les injections COVID19, donc je vous laisse réfléchir quant au Gardasil et à la valeur de ce que les « autorités sanitaires » disent ! [6] [7] [8] [9]
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Des dizaines de milliers de patients ont intenté des poursuites contre Merck, alléguant qu'ils avaient subi des crises cardiaques, des d'accidents vasculaires cérébraux et d'autres blessures cardiovasculaires à la suite de l'ingestion du médicament.

Le litige a révélé que Merck savait très tôt que le Vioxx était lié à des événements indésirables cardiovasculaires mortels, mais a intentionnellement choisi de dissimuler les risques au public et à la communauté médicale. Des poursuites ont accusé Merck d'avoir orchestré un stratagème pour minimiser la gravité des risques, déformé les résultats de ses essais cliniques, omis d'entreprendre les essais cliniques qui révéleraient les risques et mis à l'index les professionnels de la santé qui ont osé critiquer publiquement la sécurité du Vioxx. Rien que cela.

Merck SAVAIT [10] [11] [12] :


CitationMerck a finalement dû payer près de 5 milliards de dollars pour régler les dizaines de milliers d'actions en justice contre le Vioxx et 1 milliard de dollars supplémentaires pour régler un recours collectif en valeurs mobilières. La société a également été contrainte de payer 950 millions de dollars d'amendes civiles et pénales au ministère de la Justice et à d'autres entités gouvernementales à la suite de diverses activités criminelles auxquelles Merck s'était livré en ce qui concerne le Vioxx.
Soit un total de quasi 7 milliards de dollars ! [13] [14] [15]

Merck retire son produit en septembre 2004 et décide d'accélérer la mise sur le marché du Gardasil, alors toujours en essai clinique, pour combler les pertes du Vioxx !

Merck obtient alors rapidement de la FDA (inutile de vous les présenter) une procédure accélérée de mise sur le marché du Gardasil en 2006...

Comment ? Corruption, comme toujours !

Merck a alors trompé le public au sujet du vaccin Gardasil contre le HPV

À cette époque, Merck était encore sous le choc des pertes de milliards de dollars subies après avoir été contraint de retirer le Vioxx du marché. La société saignait et a précipité le vaccin Gardasil contre le HPV sur le marché.

Au sein de Merck, Gardasil a été décrit comme le « Saint Graal » qui aiderait l'entreprise à remplacer les revenus perdus du Vioxx.
Les dirigeants de Merck disaient souvent que « HPV » signifiait « Help Pay for Vioxx » = pour compenser les pertes du Vioxx. Ce n'est pas une blague ! Et comme si un tel cynisme n'était pas suffisant, un document interne de Merck, obtenu par l'avocat RFK Jr. dont le cabinet représente des victimes du Gardasil aux USA dans l'un des procès qui vont s'ouvrir en 2023, dit ceci :

Citation« Les analystes de Wall Street disaient que Merck était fini à cause du scandale du Vioxx, leur plus grosse source de revenus. Merck répondit : non, car nous avons quelque chose de meilleur. Nous avons un produit qui va être rendu obligatoire de manière que toutes les personnes dans le monde devront le prendre, chaque adolescent ; et cette fois nous ne serons responsables de rien car nous ne pouvons pas être pris » !



Les poursuites judiciaires contre le Gardasil allèguent que Merck a déformé les données internes et n'a jamais réellement étudié si son vaccin prévenait réellement le cancer du col de l'utérus. Au contraire, le laboratoire n'a étudié que son impact sur les précurseurs possibles du cancer du col de l'utérus.

De plus, en 2013, plusieurs éminents professionnels de la santé ont publié une étude dans le British Medical Journal soulignant les failles liées aux études internes menées par Merck. Il s'avère que leurs affirmations selon lesquelles le Gardasil pourrait prévenir le cancer du col de l'utérus étaient grandement exagérées.

Les différents cabinets d'avocats qui poursuivent Merck au nom de patients blessés par le Gardasil affirment que Merck s'est livré à des méfaits d'entreprise similaires au Vioxx avec son vaccin contre le HPV.

Selon le marketing de Merck, le Gardasil offre une immunité à vie contre le cancer du col de l'utérus et d'autres cancers associés au HPV. Cependant, les plaignants dans le litige Gardasil rétorquent que l'affirmation marketing de Merck d'après laquelle le Gardasil prévient le cancer (sans parler de l'immunité à vie), n'est pas prouvée. Les allégations indiquent que le Gardasil pourrait en fait être plus susceptible de provoquer le cancer chez les personnes précédemment exposées au HPV que de le prévenir.

CitationLes plaignants avancent que Merck sait et dissimule activement le fait que le Gardasil peut provoquer une constellation de réactions indésirables et d'effets secondaires graves, y compris des maladies auto-immunes, et la mort chez certains receveurs.

Selon les plaintes, le Gardasil contient de nombreux ingrédients dangereux, dont au moins un que Merck n'a pas divulgué aux autorités de réglementation et au public. Des études ont montré que l'un des ingrédients du Gardasil, le sulfate d'hydroxyphosphate d'aluminium amorphe (AAHS), se lie aux protéines non vaccinales, déclenchant des maladies auto-immunes et d'autres affections graves.

Les plaignants affirment aussi que Merck, dans la conception et la conduite de ses essais cliniques pour le Gardasil, a dissimulé délibérément les preuves de maladies graves, telles que les maladies auto-immunes, afin d'améliorer artificiellement le profil d'innocuité du vaccin, tout comme la société l'avait fait des années auparavant avec le Vioxx [16] [17].

CitationEn décembre 2019, le nombre d'effets secondaires déclarés à la suite de la vaccination Gardasil était supérieur à n'importe quel autre vaccin dans le système de notification des événements indésirables liés aux vaccins (VAERS) de la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis.

Plus de 64 000 rapports d'événements indésirables liés au vaccin contre le HPV à ce moment-là. Il n'est donc pas surprenant que le Vaccine Injury Compensation Program (VICP = système de compensation du gouvernement USA aux victimes des vaccins) ait versé des millions de dollars en dommages-intérêts pour les blessures et les décès imputés au Gardasil.

  • « En raison de cette fraude de Merck, le Gardasil fait des ravages sur une grande partie d'une génération entière d'enfants et de jeunes adultes à l'échelle mondiale », révèlent les poursuites contre le Gardasil [18].

Faut-il faire confiance à Merck pour le Gardasil après avoir provoqué l'un des pires scandales de médicaments de l'histoire avec le Vioxx, sans parler du Fosamax et du NuvaRing ?

N'oublions pas le scandale du Levothyrox, c'était aussi... Merck ! Donc, la réponse est NON !
CitationSurtout lorsqu'eux-mêmes l'utilisent pour combler le manque à gagner après le retrait de leur poison Vioxx en se vantant de vouloir le rendre obligatoire pour échapper aux possibles poursuites !

NON, nos enfants ne se feront jamais injecter pour que vous puissiez vous en mettre plein les poches ( « vous » désignant les labos et les politiques abreuvés de pots de vin) !

Marceau
 Février 2022
https://www.aimsib.org/2023/02/12/gardasil-episode-2-de-vioxx-a-gardasil-comment-faire-confiance-a-merck/
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Gardasil épisode 3 : Dévastateur et pourtant 17 ans sans procès, pourquoi ?

par La rédaction de l'AIMSIB | 19 Fév 2023 | 8 commentaires

Gardasil épisode 3 : Dévastateur et pourtant 17 ans sans procès, pourquoi ?

Cette semaine Marceau nous entraîne en 1986 aux USA, probablement au moment où la pire conséquence générée par la guerre froide a vu le jour. Puisque la protection des populations et des armées US nécessitait qu'on puisse déployer rapidement des anti-poisons en cas d'attaque Russe, la loi fédérale dut prévoir cette éventualité. Mais quel rapport avec la vaccination des bébés européens, me direz-vous ? Corollaire évident : ne serions-nous pas que des « Américains ratés » ? Bonne lecture.

Des bébés-parapluies

Arrêtons-nous un instant sur les États-Unis qui sont utilisés comme exemple pour imposer à nos enfants toutes les potions magiques qui sont injectées aux enfants américains. Nos politiques, médecins VRP et médias financés par le gouvernement nous disent souvent : regardez, les États-Unis ont rendu ce vaccin obligatoire depuis X années et tout se passe bien. Et ceci pour tous les vaccins qu'ils veulent rendre obligatoires en France.

CitationEn revanche ce qu'ils ne disent pas – mais je suis convaincu que beaucoup NE SAVENT PAS – c'est qu'aux USA, il ne peut pas y avoir de procès contre les vaccins recommandés par le CDC, même s'ils ne sont pas obligatoires !

Expliquons-nous : dans les années 80 après de nombreux procès perdus par les fabricants de vaccins à la suite de plaintes de parents d'enfants morts ou gravement blessées par des vaccins, les boites pharmas ont menacé les politiciens américains d'arrêter de fabriquer des vaccins s'ils ne passaient pas une loi les protégeant contre toute poursuite en cas d'effet secondaire grave ou mort.
C'est donc le 14 Novembre 1986 que le président Ronald Reagan signe le « National Childhood Vaccine Injury Act (NCVIA) » créant un fonds de compensation fédéral pour indemniser les victimes des vaccins, tout en donnant l'immunité TOTALE aux fabricants pour tous les vaccins mis dans le calendrier de vaccination des enfants recommandé par le CDC dès le début de la vie.



Vous comprenez donc pourquoi la FDA et le CDC, qui entretiennent des relations très étroites avec des labos comme Pfizer ou Moderna, ont validé toutes les injections COVID-19 jusqu'aux bébés.

Dès lors, une fois l'état d'urgence levé, plus personne ne pourra plus se retourner contre les fabricants car les injections sont incluses dans le calendrier vaccinal des bébés recommandé par le CDC, même si elles ne sont pas obligatoires.

CitationSi les bébés et jeunes enfants n'avaient pas été inclus, dès la levée de l'état d'urgence sanitaire aux USA, tous les adultes auraient pu se retourner au pénal contre Pfizer and Co.

MAIS, il y a une limite à cette immunité donnée aux fabricants de vaccins : si les victimes peuvent prouver que le fabricant a caché des données importantes, menti sur l'innocuité de ses injections en connaissance de cause, falsifié les données ou les essais cliniques, alors cette protection par le « Vaccine Act » tombe.

Des trous dans le parapluie

Il y a eu beaucoup de plaintes déposées depuis 2006 contre Merck, mais jusque-là les victimes ont toutes été déboutées car les juges ont estimé qu'il n'y avait pas de preuves suffisantes pour prouver que Merck aurait menti et triché sur les essais cliniques. Les victimes étaient donc invitées à demander compensation auprès du gouvernement fédéral pour leur blessures et maladies causées par le vaccin.

Après des années et des milliers de plaintes rejetées par la justice considérant qu'elles relevaient du « National Childhood Vaccine Injury Act », il semble enfin que les preuves accumulées ne puissent plus être ignorées par les juges pour traduire Merck en justice.

CitationCe procès qui va avoir lieu aux USA début 2023 contre Merck concernant le désastre du Gardasil avec les effets secondaires graves est donc véritablement exceptionnel, car en dépit du « Vaccine Act », le juge a estimé qu'il ne pouvait pas fermer les yeux et que Merck ne pouvait plus se prévaloir de cette protection. [1]
En ce qui concerne les injections COVID-19, nous avons déjà accumulé toutes les preuves et il sera aisé pour les victimes de démontrer la fraude bien plus rapidement qu'avec le Gardasil.

Donc, à l'avenir quand on vous donnera les USA comme exemple en vous disant ce vaccin a été rendu obligatoire depuis tant d'années sans problème (sous-entendu le vaccin est toujours administré et qu'il n'y a pas de plainte) rappelez-vous de ce « Vaccine Act » qui protège complètement les fabricants et laisse les victimes démunies.

De la même manière, quand n'importe quel vaccin est validé par le CDC américain pour les enfants et que vous ne comprenez pas pourquoi, rappelez-vous que l'immunité pénale ne fonctionne que si le vaccin est sur le calendrier des bébés, même s'il n'est donné qu'à l'adolescence, car il s'inscrit déjà dans le calendrier des 0-18 ans.

Ce qu'a imposé Pfizer à la France, par le biais du contrat européen négocié via SMS par Sainte Ursula von der Leyen, mais aussi à presque tous les gouvernements du monde dans le but de pouvoir soumettre les populations à ces injections mortelles dites COVID-19, n'est rien d'autre qu'une réplique de ce « Vaccine Act » en vigueur aux USA.

CitationLes labos pharmas ont donc réussi à décliner dans le reste du monde ce qui n'existait qu'aux USA : leur immunité TOTALE en cas d'effets secondaires liés à la vaccination dans le cas des injections COVID19 !

Depuis le « Vaccine Act » et sous la pression du département américain des armées, les vaccins jouissent également d'une nouvelle règlementation particulière exonérant les fabricants de la nécessité d'utiliser un vrai placebo dans les essais cliniques et d'effectuer de nombreux tests pour prouver leur innocuité comme la bio-distribution, la génotoxicité, la carcinogénicité, etc... qui étaient pourtant nécessaires et indispensables pour obtenir l'homologation.

Pourquoi les militaires ?

Il ne pouvait y avoir une règlementation aussi lourde car en cas d'attaques ou de menaces bactériologiques visant les militaires, l'armée américaine devait pouvoir rapidement formuler et injecter les soldats sans avoir à passer tous les tests de sécurité afin de théoriquement pouvoir les protéger.

Le problème est que cette règlementation s'applique désormais aussi à tous les vaccins destinés à la population civile ! Ce court-circuit ayant bien entendu été opportunément maintenu pour le plus grand bien de Big Pharma et Fauci & Co, mais au détriment des citoyens.
NOTRE PROBLÈME est que L'EMA en Europe ne fait que suivre les recommandations de la FDA américaine, donc en réalité l'Europe est sous la même règlementation imposée par l'armée américaine.

CitationLe fait que les vaccins rendus obligatoires par les états mafieux gangrénés par les lobbys pharmas, comme la France, transfère l'indemnisation des victimes du fabriquant vers l'état (ONIAM en France) revient effectivement à appliquer le même « Vaccine Act », sans qu'aucune loi française ne le permette ! [2]

Et enfin, comme l'a indiqué la députée européenne Virginie Joron [3], c'est Emmanuel Macron qui a poussé la Commission Européenne à négocier les contrats directement avec les fabricants de vaccins Covid-19 car il savait que le code pénal français ne lui permettrait pas de signer une telle clause d'immunité !

Pas merci à lui...

Le décor est planté, nous allons ensuite pouvoir plonger dans le vif du sujet...
Marceau 
 Février 2023
Notes et références
[1] https://www.law.cornell.edu/uscode/text/42/300aa-22
[2] https://www.youtube.com/watch?v=hE6A7dfku38
[3] https://twitter.com/v_joron/status/1603691701851357184?s=20

Auteur de l'article : La rédaction de l'AIMSIB

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Gardasil épisode 4 : Mais au fait, le Gardasil c'est fait avec quoi ?

 par La rédaction de l'AIMSIB | 26 Fév 2023 | 19 commentaires
Gardasil épisode 4 : Mais au fait, le Gardasil c'est fait avec quoi ?
Progressivement Marceau avance dans sa démonstration implacable. Il se lance ici dans une énumération extrêmement instructive de la composition du produit. S'il faut rappeler que l'identification de certains adjuvants des vaccins à ARNm ne sont toujours pas divulgués, vous apprendrez qu'il en est de même pour un constituant essentiel du Gardasil. Mais pire, quelle différence de probabilité hallucinante avez-vous de mourir, entre un cancer du col de l'utérus et une vaccination par Gardasil ? Bonne lecture.
 
Le Gardasil est un vaccin approuvé pour une utilisation chez les adolescents, hommes et femmes âgés de 11-14 ans, pour prétendument prévenir les infections sexuellement transmissibles par plusieurs types de papillomavirus humains (PVH en français ou HPV en anglais).
Certains types de PVH sont associés au cancer du col de l'utérus et le Gardasil a été fortement promu comme une protection nécessaire contre le cancer du col de l'utérus. Le vaccin a ensuite reçu l'approbation de la FDA, puis des autres autorités sanitaires pour la prétendue protection contre d'autres cancers et maladies chez les hommes et les femmes de la même tranche d'âge, tout cela sans aucun essai clinique pour corroborer ces allégations, comme nous le démontrerons plus loin.

Il existe plus de 200 types de PVH, chacun avec un numéro.

Le Gardasil a été conçu pour protéger contre certains types de PVH.

• Les PVH dits « à haut risque » sont associés à la croissance de cellules potentiellement précancéreuses sur le col de l'utérus.
• Les types dits « à faible risque » présentent peu ou pas de risque de cancer du col de l'utérus, mais ils peuvent être associés à des verrues cutanées et génitales.

Le Gardasil 9 a été conçu pour prévenir l'infection par sept types de PVH à haut risque (16, 18, 31, 33, 45, 52, 58) et deux types à faible risque (6 et 11). Ce vaccin a été approuvé par la FDA en 2014 aux USA et par l'Agence Européenne du médicament (EMA) le 10 juin 2015, soit il y a à peine 7 ans !

CitationPlus de 90 % des nouvelles infections au PVH, y compris celles causées par des types de PVH à haut risque, disparaissent naturellement en 1 à 2 ans. L'élimination de l'infection se produit généralement dans les 6 mois. Même lorsque le PVH ne disparaît pas et provoque des changements anormaux dans les cellules cervicales, ces « lésions », comme on les appelle, évoluent rarement vers un cancer !

Est-ce que le Gardasil est efficace ?

Les preuves que le Gardasil prévienne effectivement le cancer sont remarquablement faibles.

L'âge cible pour l'inoculation se situe entre 11 et 12 ans, mais l'âge médian de décès par cancer du col de l'utérus est de 64 ans en France et le taux de mortalité par cancer du col de l'utérus était de 2,8 pour 100 000 en 2020 sur la population féminine.

Ramené à la population française totale on parle de 1 000 morts par an, soit 0,0015% !

Il faut 15 à 30 ans pour qu'une infection par le PVH aboutisse à un cancer.

Avec un taux de mortalité aussi bas et les décennies nécessaires pour que le cancer se développe, il faudrait une population incroyablement nombreuse de patientes pour atteindre un résultat statistiquement significatif dans une étude pour montrer si le Gardasil prévient le cancer. Donc à ce stade, nous pouvons déjà dire que les essais cliniques de Merck n'ont pas pu démontrer ce qu'ils affirment, comme nous verrons plus loin. [1]

Le Gardasil peut-il causer le cancer ?

La notice du Gardasil indique : « Gardasil 9 n'a pas été évalué pour son potentiel de cancérogénicité ou de génotoxicité ». [2]

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Des chercheurs ont suggéré que l'élimination ou la suppression de certains virus PVH à haut risque pourrait en fait ouvrir une niche écologique pour des souches PVH encore plus dangereuses jusque-là maintenues sous contrôle et donc non oncogènes.

CitationEn d'autres termes, cela pourrait ouvrir des voies vers des cancers qui n'existaient pas avant la vaccination.

Décès par cancer du col de l'utérus versus décès par essai clinique Gardasil

Nous avons montré plus haut que l'incidence pour le cancer du col de l'utérus en France en 2020 était de 2,8 pour 100 000. En 2018, il était de 6 pour 100 000.

CitationLa baisse constante depuis plus de 20 ans est liée au dépistage et aux traitements précoces, pas à la vaccination qui ne remplacera jamais le dépistage. [3] Le taux de mortalité dans l'essai clinique du Gardasil toutes causes était de 85 pour 100 000 !

Le Gardasil : ingrédients et adjuvants

En immunologie, un adjuvant est un agent ajouté à un vaccin pour améliorer la réponse immunitaire à l'antigène du vaccin. Un adjuvant est inclus dans le vaccin et injecté avec l'antigène pour produire des anticorps contre l'antigène. Le CDC américain affirme que les adjuvants « aident les vaccins à mieux fonctionner » en produisant une réponse immunitaire qui protège une personne contre la maladie contre laquelle elle est vaccinée.

CitationMais il a été démontré que les adjuvants, y compris l'aluminium et d'autres ingrédients du Gardasil, provoquent de graves effets secondaires.

Les ingrédients dans le Gardasil :

1) L'aluminium :

Le sulfate d'hydroxyphosphate d'aluminium amorphe (AAHS) est ajouté au Gardasil pour produire une réponse immunitaire plus forte et plus longue que les autres dérivés de l'aluminium utilisés dans les vaccins classiques comme celui contre la diphtérie/tétanos/coqueluche (DTC) et l'hépatite B.

CitationLe AAHS, comme les autres sels d'aluminium, est neurotoxique s'il s'accumule dans le cerveau et il n'y a pas de données de test de sécurité humaine sur l'AAHS.

Aussi fou que cela puisse paraître, AAHS n'a jamais été testé par le gouvernement ou Merck. Des études animales indépendantes ont cependant montré que des animaux tels que des souris et des moutons, lorsqu'ils sont exposés à des adjuvants à base d'aluminium à des concentrations comparables à celles utilisées dans les vaccins humains, « développent d'étranges schémas comportementaux et des maladies ressemblant à des maladies auto-immunes » note CHD (Children Health Defense). [4]


 
Les autorités sanitaires ont validé le vaccin sans imposer d'études pour prouver l'innocuité de cet adjuvant, mais comme nous le verrons dans la partie sur les essais cliniques, elles savaient qu'il est dangereux et ont fermé les yeux !

Selon une étude publiée dans Nature en 2020, « le cerveau est un tissu cible pour l'accumulation d'aluminium ». L'étude confirme des recherches antérieures selon lesquelles des niveaux plus élevés d'aluminium existent dans le tissu cérébral des personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer, d'autisme et de sclérose en plaques. [5]

L'aluminium augmente la perméabilité de la barrière hémato-encéphalique. Cette barrière est la façon dont le corps empêche les toxines de pénétrer dans les tissus cérébraux. Un autre ingrédient du Gardasil, le polysorbate 80, possède également cette capacité.
Un rapport de 2021 sur la toxicité de l'aluminium dans Medscape indique que l'aluminium provoque un stress oxydatif dans le tissu cérébral et a une demi-vie dans le cerveau de 7 ans, ce qui « peut entraîner des dommages cumulatifs ».
La recherche a montré que l'aluminium a une capacité unique à provoquer de puissantes réponses immunitaires. De fortes doses d'aluminium peuvent provoquer une sur-stimulation du système immunitaire menant à des maladies auto-immunes = le système immunitaire attaque les propres organes du corps.
CitationMerck affirme que l'AAHS utilisé dans le Gardasil est protégé par le secret industriel et, à ce jour, a refusé de fournir des échantillons à des chercheurs indépendants pour des tests. Nous ne connaissons donc pas la composition complète de l'AAHS utilisé par Merck. [6]

2) Polysorbate 80 :

Le polysorbate 80 est un tensioactif, une substance qui réduit la tension superficielle des liquides. Il est utilisé dans les vaccins comme émulsifiant pour maintenir les ingrédients uniformément mélangés dans le liquide. Le polysorbate 80 affaiblit la barrière hémato-encéphalique et se lie assez étroitement à l'aluminium. Il a été associé à un choc anaphylactique et à des réactions d'hypersensibilité. Cet adjuvant a également été associé à des effets sur la reproduction et le cœur chez les animaux.

CitationL'American College of Pediatricians a averti que le Gardasil est lié à une affection connue sous le nom d'insuffisance ovarienne prématurée et que le polysorbate 80 ou l'aluminium contenu dans le Gardasil pourraient être à l'origine de cette affection.

3) Borate de sodium (borax) :

Le borate de sodium a été interdit dans les aliments aux États-Unis et présente un danger pour le système reproducteur masculin et le fœtus en développement. Il peut provoquer des réactions toxiques aiguës lorsqu'il est ingéré ou inhalé, ce qui soulève la question de savoir quelles réactions pourraient en résulter lorsqu'il est injecté. L'intensité d'une réaction toxique peut être influencée par la voie d'exposition.

4) L-histidine :

La L-histidine (également appelée histidine) est un composé chimique que le corps utilise pour fabriquer un autre produit chimique, l'histamine.

Lorsque vous ressentez une réaction allergique – démangeaisons, larmes, gonflement, urticaire – les histamines sont à l'œuvre dans le corps. Les histamines font partie du système immunitaire de l'organisme pour se débarrasser des substances allergènes (ex : le pollen, l'herbe, la nourriture) qui vous dérangent (c'est pourquoi vous prenez des antihistaminiques).

Les histamines sont impliquées dans un grand nombre de fonctions corporelles incluant le système nerveux central, le système cardiovasculaire et les voies respiratoires. Elles provoquent une inflammation et, comme l'aluminium et le polysorbate 80, elles augmentent également la perméabilité des vaisseaux sanguins.

Il a aussi été constaté que les histamines augmentaient la coagulation sanguine de 5 fois lorsqu'elles étaient combinées à des surfactants – et la mort par caillots sanguins est la forme de décès la plus courante après l'injection du Gardasil.

5) Levure génétiquement modifiée :

Le type de levure utilisé dans le Gardasil, Saccharomyces cerevisiae, peut provoquer une maladie auto-immune dans le corps.
Dans un article publié dans Clinical Reviews in Allergy & Immunology en 2013, les auteurs ont déclaré qu'« un nombre croissant d'études ont détecté un taux élevé d'ASCA [anticorps anti-S. cerevisiae] chez des patients atteints de maladies auto-immunes ». [7]  [8]

6) Fragments d'ADN du PVH non divulgués :

Des fragments d'ADN de PVH réels ont été trouvés dans des échantillons de Gardasil par le Dr Sin Hang Lee, un pathologiste spécialisé dans le séquençage d'ADN et l'analyse de séquences d'ADN.

CitationDr Lee a déclaré : « L'ADN de PVH contenus dans le Gardasil n'est pas de l'ADN naturel ».

Il s'agit d'ADN HPV recombinant (ADNr) – génétiquement modifié – à insérer dans des cellules de levure pour la production de protéines VLP (virus-like-particle).

L'ADNr est connu pour se comporter différemment de l'ADN naturel. Il peut pénétrer dans une cellule humaine, notamment dans une lésion inflammatoire causée par les effets de l'adjuvant aluminique, via des mécanismes mal compris... Une fois qu'un segment d'ADN recombinant est inséré dans une cellule humaine, les conséquences sont difficiles à prévoir. [9] [10] [11]



CitationCes fragments d'ADN de HPV ne sont pas divulgués dans la notice. [12] [13]

Nous avons essayé de vous expliquer ce qu'est le Gardasil, à quoi il est sensé servir et ce qu'on connaît de sa composition.

Il contient beaucoup de substances dangereuses et des particules d'ADN recombinantes qui s'assemblent toutes seules dans le corps pour former des particules synthétiques qui imitent les souches de virus naturels.

Le Gardasil ne contient en aucun cas des parties de virus réels qui auraient été isolées, dénaturées et formulées comme antigènes dans les vaccins. Ces vaccins anti-PVH ne contiennent pas de matériel génétique provenant de virus naturels sensés provoquer des cancers !

Pourquoi ne pas avoir utilisé de vraies particules virales comme antigènes ?

Marceau 
 Février 2023

https://www.aimsib.org/2023/02/26/gardasil-episode-4-mais-au-fait-le-gardasil-cest-fait-avec-quoi/
Donne un cheval à celui qui dit la vérité : il en aura besoin pour s'enfuir.

Ouebmestre

#4
Épisode 5 : Gardasil – Des essais cliniques truqués

par La rédaction de l'AIMSIB | 5 Mar 2023 | 22 commentaires

Épisode 5 : Gardasil – Des essais cliniques truqués

Cette semaine Marceau épluche pour nous la liste proprement hallucinante des effets indésirables du vaccin Gardasil, tant en fréquence, en gravité qu'en variétés diagnostiques. Il valait mieux tenter de tricher sur leur sur-représentation, l'AIMSIB le sait depuis 2019 alors qu'elle pensait facilement pouvoir faire condamner un « négationniste » de la question (*), à présent même les Présidents de la République vendent des vaccins alors... Mal supporté le Gardasil, des propos d'anti-vax ? Bonne lecture.
 
Dans les essais cliniques « vaccins », les sujets de test prenant le vaccin sont comparés à des sujets d'un autre groupe prenant un placebo. Selon les réglementations fédérales américaines et les experts de l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS), en particulier pour un nouveau vaccin, le contrôle par rapport auquel la sécurité du vaccin est mesurée devrait être un placebo inactif (inerte). Il ne doit produire aucune réaction. Souvent, le placebo est une injection d'une solution saline (sérum physiologique).

CitationDans les essais cliniques du vaccin Gardasil, Merck a « dopé » le placebo avec son adjuvant le sulfate d'hydroxyphosphate d'aluminium amorphe (AAHS), neurotoxique.

Le résultat a été qu'un nombre approximativement égal de sujets dans le groupe vacciné et dans le groupe placebo ont subi des effets indésirables. Cela a permis aux effets indésirables dans les deux groupes d'apparaître similaires et de donner l'impression que le vaccin Gardasil PVH était « aussi sûr qu'un placebo », ou aussi sûr que le sérum physiologique dans la tête du quidam moyen.

CitationEn fait, une quantité importante de sujets dans les deux groupes de traitement souffraient de nombreuses conditions médicales graves, y compris des symptômes de maladies auto-immunes... pour ce qui a été publié !

La communauté médicale a pourtant soulevé des objections sur les graves défauts dans la façon dont Merck a conçu, analysé et rapporté ses études sur le Gardasil.

https://www.bmj.com/content/346/bmj.f2865/rr-7
 
En particulier en 2013, de nombreux professionnels de la santé ont publié un article dans le British Medical Journal (Call to action : RIAT restore of previous unpublished method in Gardasil vaccin trial) soulignant les failles et le caractère incomplet des publications traitant des essais cliniques Gardasil de Merck.

Les auteurs ont lancé un « appel à l'action » pour que des chercheurs indépendants réanalysent ou « rétablissent la notification de plusieurs essais dans le cadre du programme de développement clinique de Merck pour le vaccin quadrivalent contre le papillomavirus humain (PVH) (Gardasil) ».

CitationComme vous pouvez le voir, les vaccins dits COVID-19 ne sont pas les premiers développés de manière frauduleuse, le BMJ dénonçait déjà ces pratiques mafieuses et les FDA/EMA financées par les labos approuvaient déjà des injections toxiques. [1] [2]

Comme Pfizer pour ses injections ARNm, Merck n'a pas signalé un grand nombre d'effets indésirables graves comme effets secondaires du Gardasil prétendant qu'ils n'étaient pas liés à l'injection.

Au contraire, Merck a classé ces maladies graves comme de « nouvelles conditions médicales » sans rapport avec le vaccin Gardasil.
Près de 50 % des participants à l'étude ont signalé une « nouvelle condition médicale ». Ceux-ci comprenaient des taux élevés de maladies neurologiques, musculosquelettiques et auto-immunes comme nous le verrons plus loin dans les documents de l'EMA.

Le 27 juillet 2018, le BMJ Evidence-Based Medicine a publié une critique d'un examen antérieur des essais cliniques du vaccin contre le PVH. Les auteurs ont fait plusieurs observations indiquant un biais dans la manière dont les essais ont été menés.

CitationIls ont rapporté qu'un tiers (31%) des études cliniques Gardasil (quadrivalent) et Gardasil 9 n'étaient pas publiées ! Cela soulève la question du biais de publication, la pratique courante consistant à ne publier que les résultats positifs et à ne pas mentionner les résultats négatifs.

Aucun des essais cliniques sur le vaccin contre le PVH inclus dans la revue n'a utilisé un véritable placebo inactif. Les soi-disant placebos contenaient TOUS des adjuvants avec de l'aluminium et d'autres ingrédients, biaisant ou annulant tout effort pour déterminer le risque accru réel d'événements indésirables causés par le vaccin, par rapport à un véritable placebo inactif.
Les auteurs mentionnent également une étude de l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) de 2017 qui a révélé de graves dommages liés au syndrome de tachycardie orthostatique posturale (POTS) et au syndrome douloureux régional complexe (SDRC) après la vaccination contre le PVH. Ils notent qu'en mai 2018, une base de données de l'OMS contenait 526 cas de POTS et 168 cas de SDRC liés à la vaccination contre le PVH. [3]

L'OMS dont l'intérêt premier n'est certainement pas notre santé pousse néanmoins toujours pour la vaccination des ados du monde surtout quand des cas d'infertilité directement liés au Gardasil commencent à être rendus publics.

Signal de sécurité détecté pour une insuffisance ovarienne prématurée à la suite de la vaccination avec le Gardasil [4] :

Selon une étude publiée en juillet 2020, l'exploration de données du VAERS a également révélé un nombre disproportionné de signalements d'insuffisance ovarienne prématurée (POI) et de problèmes analogues, notamment l'aménorrhée (absence de menstruations), des règles irrégulières, une augmentation de l'hormone folliculo-stimulante (FSH) et ménopause prématurée. [5]



Une POI se produit lorsque les ovaires d'une femme cessent de fonctionner normalement avant l'âge de 40 ans, ce qui réduit ses chances de tomber enceinte. Cela augmente également son risque d'anxiété et de dépression, de certaines maladies oculaires, de maladies cardiaques, d'hypothyroïdie (faible fonction thyroïdienne) et d'ostéoporose (faible densité osseuse). [6]

CitationTout comme pour la Spike des injections COVID-19, les protéines synthétiques contenues dans le Gardasil partagent des similitudes avec des protéines qui sont importantes pour maintenir le bon fonctionnement des ovaires.

Après vaccination, le corps crée donc une réponse immunitaire au Gardasil qui provoque une attaque contre des protéines spécifiques responsables du bon fonctionnement des ovaires. La liaison de ces protéines spécifiques les a détruites et/ou les a rendues dysfonctionnelles, entraînant le développement d'une insuffisance ovarienne primaire.

Études concernant le lien entre le Gardasil et les maladies auto-immunes :

Il n'y a pas seulement le témoignage de ceux qui ont souffert de symptômes débilitants après avoir reçu le vaccin Gardasil PVH, mais aussi plusieurs études qui ont été menées pour déterminer le lien entre le Gardasil et les effets secondaires graves.
L'Université de la Colombie-Britannique a publié une étude qui a déterminé qu'il y avait effectivement un lien entre le Gardasil et une myriade de rapports de maladies auto-immunes présumées chez les receveurs. [7]

Alors que nombre de médecins VRP continuent de soutenir que le Gardasil est sûr en niant les effets secondaires graves, un nombre important de jeunes filles et garçons ont été gravement blessés au fil des ans. Les effets indésirables graves signalés au Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) en rapport avec le Gardasil comprennent aux USA, sans toutefois s'y limiter, les éléments suivants :

CitationMerck, les autorités sanitaires, et les politiques des différents pays nient en bloc tout lien entre les injections et les effets secondaires graves de ce vaccin MAIS un document OFFICIEL de décembre 2014, obtenu récemment de l'EMA via une requête FOIA, démontre que tous les signaux étaient présents dans les essais cliniques, que les autorités sanitaires SAVAIENT TOUT mais qu'elles ont approuvé malgré tout et ferment désormais les yeux sur toutes les remontées de terrain.

Nous rapportons ci-dessous une partie du contenu du document de 81 pages, mais il mérite d'être lu en entier et sauvegardé pour les procès à venir si d'aventure une majorité de parlementaires corrompus parvenait à rendre ce poison obligatoire. [8]



Note : Les vaccins Gardasil quadrivalent puis nonavalent Gardasil 9 ont été développés d'un partenariat entre Merck pour les USA et Sanofi-Pasteur pour l'Europe. C'est pour cette raison que sur le rapport il y est reporté le nom de Sanofi-Pasteur/MSD.

À la suite de nombreuses plaintes à cause des effets secondaires graves des injections, Sanofi-Pasteur a rompu la collaboration pour « se concentrer sur leur vaccin contre la Dengue, ont-ils justifié ». Donc les criminels de Sanofi-Pasteur sont aussi responsables que Merck/MSD pour ce désastre sanitaire. [9]

Les rapporteurs de l'EMA constatent donc :

▪️ Beaucoup d'effets secondaires systémiques graves ont été rapportés dans l'essai clinique mais ils s'accommodent de la réponse de Merck qui les considère comme bénins !


▪️ Des douleurs thoraciques et abdominales 4 fois supérieures à la normale mais rien, Merck botte en touche :

▪️ Des effets secondaires pouvant être précurseurs de maladies neurologiques et auto-immunes mais sans intérêt pour Merck :


▪️ Vascularite pulmonaire avec soupçons de SLE = Systemic Lupus Erythematosus.

L'EMA écrit que c'est un risque très élevé et qui doit être investigué après la mise sur le marché !
Pourquoi mettre un produit qui démontre déjà le potentiel pour déclencher le Lupus et qui va être administré à des ados pour un cancer qui a une si faible prévalence ?

Surtout que Merck ne fera aucun suivi !



▪️ POTS = postural orthostatic tachycardia syndrome qui est le syndrome de tachycardie posturale (PoTS) extrêmement handicapant et qui se retrouve chez beaucoup de plaignants aux USA dont la vie est fichue – l'EMA écrit que ce signal était déjà préoccupant dans les vaccins bivalents et quadrivalents précédents et pourtant les injections n'ont jamais été retirées !

C'est aussi un des effets secondaires les plus rapportés dans la base de données de l'OMS mentionné plus haut !



Ce rapport date de fin 2014 et concerne la demande d'homologation du Gardasil 9.

Donc, l'EMA savait pertinemment à ce moment que ce syndrome POTS était déjà un problème avec les vaccins Gardasil bivalents et quadrivalents. Et pourtant en 2015, lorsque les médecins danois faisant face à une explosion d'effets secondaires graves chez les jeunes filles vaccinées avec les Gardasil 4 (dont les POTS) ont demandé à l'EMA de revoir la sécurité de ce vaccin, les officiels de l'EMA ont affirmé qu'il n'y avait aucun lien entre POTS et vaccin Gardasil. Voir absolument la vidéo ci-dessous de 7 min. Édifiante ! [10]

▪️ 2 cas de leucémies aiguës recensées par l'EMA alors que seules des personnes 100% saines ont été recrutées pour les essais cliniques.

Tout antécédent de cancer ou suspicion ont été écartés.


La réponse de Merck est à vomir : non seulement ils avouent qu'il y a eu 5 cas de leucémies et non 2 mais concluent qu'il n'y a pas de lien avec le vaccin et qu'il n'y a pas besoin de surveillance post marketing !


Les cas de leucémies se sont déclarés respectivement :
• 3.5 ans après dose 3,
• 3 mois après dose 2,
• 3.5 ans après dose 3,
• 2 ans après dose 3,
• et 1.5 ans après dose 3.

CitationL'EMA n'a pas été convaincue par la réponse de Merck et a même considéré que les cas de leucémies post vaccination Gardasil pourraient être beaucoup plus nombreux car éloignés de la vaccination et les victimes ne faisant pas le lien (lire réponse complète de l'EMA p.49).

Le problème a été considéré comme non résolu par les rapporteurs avec demande de suivi post marketing, mais qu'en est-il réellement ?
Comment peuvent-ils faire prendre un tel risque à nos enfants sachant la possibilité de déclencher une leucémie jusqu'à 4 ans après l'injection ? Quel médecin fera le lien surtout que ces cas n'apparaissent nulle part sur la notice du vaccin !

▪️ Plus de la moitié des vaccinés ont développé une maladie post injection mais Merck n'a listé que celles avec une incidence >1%.

CitationL'EMA a demandé la liste de celles < 1% potentiellement graves comme la sclérose en plaque ou la narcolepsie. La réponse de Merck n'ayant pas été satisfaisante, l'EMA a considéré ce problème non résolu.

▪️ Pour faire plus de fric, le Gardasil 9 aux USA est aussi offert aux femmes jusque 45 ans, ce qui est complètement stupide sachant que ce vaccin ne sert à rien une fois que les personnes ont déjà été exposées aux PVH au début de la sexualité.

Et parmi ces femmes qui se sont faites injecter dans les 30 jours avant de tomber enceinte, ils ont observé un fort taux de fausses couches !

Que de similitudes avec les vaccins ARNm COVID-19...



▪️ 13 cas d'arthrites indicatifs de signes précurseurs de maladies auto-immunes non suivis (😡 bon sang, on parle d'adolescentes !) – l'EMA demande ce qui est advenu de ces 13 cas parce qu'aucun suivi n'a été référencé ? Merck prétend avoir eu une erreur informatique et que ces cas d'inflammations des articulations se sont résorbés tout seuls...



▪️ Un nombre important d'autres effets secondaires graves dans l'essai clinique (encéphalomyélite disséminée aiguë, pancréatite, troubles de la thyroïde...) et au lieu de refuser la mise sur le marché, l'EMA demande simplement à Merck de surveiller post marketing considérant le bénéfice > risque ! Vous connaissez la suite...



▪️ La mention de 17 avortements post vaccination comme effets secondaires graves, car ces avortements ont dû être provoqués probablement suite à des morts fœtales, sans plus de détails.



Donc en dépit de tous ces signaux et effets secondaires sans précédent (avant les injections COVID-19), la FDA et l'EMA ont approuvé ce vaccin.

Tout ce à quoi nous nous sommes réveillés avec les injections COVID-19 était normal business pour toutes les injections dont le Gardasil.
Tous les signaux étaient là dans les essais cliniques mais les autorités sanitaires corrompues ont fermé les yeux et ont validé, mettant la vie de nos enfants en jeu et ensuite NIANT l'existence de ces effets secondaires en prétendant qu'il n'y aurait pas de lien.

Ce rapport est donc une farce, comme probablement tous les rapports de demande de mise sur le marché des vaccins et autres médicaments dits innovants : l'EMA demande à Merck de justifier les signaux préoccupants, Merck répond à côté et/ou en minimisant tout sans vergogne.

Je vous laisse lire les réponses (amateurs de bullshit, faites-vous plaisir). Merck ne produit aucune étude pour infirmer les signaux de l'essai et l'EMA valide sans en demander plus si ce n'est qu'ils suivent cela une fois les vaccins déployés... mais vous connaissez la suite.

CitationPoint important : les essais cliniques excluent tous ceux qui souffraient d'allergies, de troubles immunologiques ou nerveux, d'au moins quatre partenaires sexuels, de vulnérabilités génétiques à toute maladie connue (y compris le cancer) et ceux qui souffraient d'infections générales, d'antécédents d'abus d'alcool ou de drogues, et/ ou une maladie grave ou chronique. De nombreuses femmes ayant des antécédents de troubles immunologiques ou du système nerveux ont été exclues des essais, démontrant ainsi que Merck savait que le Gardasil aggraverait leur condition.

Le problème, bien sûr, est que les enfants ne sont présélectionnés pour aucune de ces vulnérabilités avant de recevoir le vaccin. En réalité, toute personne atteinte d'une ou plusieurs de ces conditions ne devrait pas recevoir le Gardasil, car il n'a jamais été étudié chez une personne atteinte de ces conditions. Il n'a été testé pour la sécurité que sur les enfants les plus sains possibles. [11]

Merck comme Pfizer sont des entreprises sans foi, ni loi qui se foutent de nos vies. Il n'y a que le profit qui compte comme le prouve le scandale précédent du Vioxx.

L'agence du médicament a donc fermé les yeux et approuve ce vaccin le 10 juin 2015 (6 mois après la date de ce rapport) malgré les signaux clairs de danger pour nos ados.

Quel est le niveau de corruption pour fermer les yeux sur des signaux de sécurité criants ?!

Merck se targue de pouvoir le rendre obligatoire avec des valises de « biftons » (oui, oui : voir plus loin), nos politiques et l'establishment médical poussent jusqu'à vouloir le rendre obligatoire. [12]

Notice de l'EMA sur le Gardasil ne faisant mention d'aucun des effets secondaires pourtant présents dans leur rapport ci-dessus. [13]
La notice de la FDA fait mention de plus d'effets secondaires que celle de l'EMA [14]

En 2011 c'est le journal 20 minutes qui pointe les effets secondaires graves de ce vaccin [15] :

Les preuves sont accablantes contre le Gardasil donc nous ne voyons pas comment une obligation vaccinale pourrait passer ! Mais il faut s'armer avec le maximum d'arguments contre cette éventualité, puisque l'argent est roi et veut faire loi.

En avril 2018, Peter Gøtzsche a donné une conférence sur ses découvertes sur les vaccins contre le PVH et a expliqué notamment comment l'EMA a caché les effets secondaires du Gardasil [16] :

« Les vaccins contre le PVH sont controversés car il existe d'importantes incertitudes... L'histoire des vaccins est très intéressante ». Il aborde l'écart entre la santé publique et la santé individuelle, et c'est un exemple, parmi tant d'autres, que nous ne pouvons pas faire confiance à nos régulateurs de médicaments.

D'autres lectures relatives aux essais truqués de Merck/Sanofi-Pasteur pour faire approuver le Gardasil et autres effets secondaires [17] [18] [19] [20] [21] [22] [23] [24] [25] [26] [27] :




Mais le plus important est que Merck n'a JAMAIS démontré que son vaccin Gardasil pouvait prévenir le cancer du col de l'utérus et toute la fraude est là !

Pire, ce vaccin semble être responsable de plus de cancers encore !

Marceau
 Mars 2023

Notes et références :
(*)

https://www.aimsib.org/2019/06/17/bienvenue-en-republique-bananiere-francaise/

[1] https://www.bmj.com/content/346/bmj.f2865/rr-7
[2] https://www.corvelva.it/en/approfondimenti/pubblicazioni/hpv/call-to-action-ripristino-riat-di-una-metodologia-precedentemente-non-pubblicata-negli-studi-sul-vaccino-di-gardasil.html
[3] https://ebm.bmj.com/content/ebmed/early/2018/07/27/bmjebm-2018-111012.full.pdf
[4] https://www.sadakafirm.com/vaccine-injury/gardasil/
[5] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32612121/
[6] https://medlineplus.gov/primaryovarianinsufficiency.html
[7] https://www.researchgate.net/publication/300631961_Adverse_Reactions_to_Human_Papillomavirus_Vaccines
[8] https://fr.scribd.com/document/367386169/Day-150-JRAR-Clinical-Bortredigerad?secret_password=xeOaPPIdg5yEMz4SK7x0#
(Il faut s'enregistrer si vous voulez sauvegarder le PDF du rapport avant censure.)
[9] https://www.biopharmadive.com/news/ending-20-year-partnership-sanofi-and-merck-close-down-joint-vaccines-vent/415233/
[10] https://odysee.com/@sourcesetfaits:8/Effets-secondaires-du-Gardasil-au-Danemark:7
[11] https://vaccineimpact.com/2019/nations-leading-lawyers-take-on-gardasil-vaccine-fraud-in-u-s-court/
[12] https://fr.scribd.com/document/367386169/Day-150-JRAR-Clinical-Bortredigerad?secret_password=xeOaPPIdg5yEMz4SK7x0#
[13] https://www.ema.europa.eu/en/documents/product-information/gardasil-epar-product-information_en.pdf (le lien ci-dessous peut ne pas fonctionner depuis la France, nécessite parfois un VPN)
[14] https://www.fda.gov/media/74350/download
[15] https://www.20minutes.fr/sante/802652-20111010-cancer-gardasil-vaccin-effet-boomerang
[16] https://www.youtube.com/watch?v=tP-Th9Ug_vg
[17] https://www.lexpress.fr/sciences-sante/sante/gardasil-le-vaccin-contre-le-cancer-de-l-uterus-critique-par-420-medecins_1504507.html
[18] https://childrenshealthdefense.org/news/new-study-vaccine-manufacturers-fda-regulators-used-statistical-gimmicks-hide-risks-hpv-vaccines/
[19] https://childrenshealthdefense.org/defender/merck-gardasil-hpv-vaccine-autoimmunity/
[20] https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0896841122001299
[21] https://www.youtube.com/watch?v=jr4ttweKdgo
[22] https://www.lexpress.fr/sciences-sante/sante/le-vaccin-gardasil-vise-par-une-plainte_1302367.html
[23] https://www.researchgate.net/publication/300631961_Adverse_Reactions_to_Human_Papillomavirus_Vaccines
[24] https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/marie-oceane-et-l-affaire-du-gardasil-que-personne-d-autre-ne-vive-la-meme-galere-1385391495
[25] https://twitter.com/CuendetV/status/1334518892321009671
[26] https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/ne-vaccinez-ni-filles-ni-garcons-par-gardasil-un-vaccin-dangereux-et-inefficace
[27] https://twitter.com/BernardSudan/status/1602058319975403521?s=20&t=4HxM5MAXvBpNhV-7vHR0dA

Auteur de l'article : La rédaction de l'AIMSIB

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Ouebmestre

Gardasil épisode 6 : Aucune preuve qu'il prévienne le cancer du col de l'utérus, au contraire !

par La rédaction de l'AIMSIB | 12 Mar 2023 | 3 commentaires
Gardasil épisode 6 : Aucune preuve qu'il prévienne le cancer du col de l'utérus, au contraire !

Les révélations s'enchaînent autour de ce dossier terrible et voici presque venir le fin du fin, Marceau s'attaque aujourd'hui à cette allégation célèbre selon laquelle ce vaccin diminue la fréquence des cancers : il est probable que vous n'allez pas beaucoup aimer la suite. Un vaccin anticancer qui donne des cancers, c'est possible ? Mais ça, c'est déjà prouvé et c'est ici. Bonne lecture.

Pas d'étude préalable démontrant l'efficacité du Gardasil



Plus de 200 souches de papillomavirus humain (PVH) ont été identifiées et environ 40 d'entre elles « pourraient » causer le cancer, y compris le cancer du col de l'utérus, du pénis, de la bouche, du vagin, de la vulve et de l'anus. Parmi ceux-ci, le cancer du col de l'utérus est le type le plus courant de cancer attribué au PVH. Certaines souches sont également responsables des verrues génitales.

90% des infections au PVH disparaissent d'elles-mêmes sans traitement (*) car un système immunitaire qui fonctionne bien permet de contrôler le virus. Dans de rares cas cependant, une infection par un PVH à haut risque qui reste non traitée et non contrôlée peut se transformer en cancer.

Étant donné que l'infection par le PVH produit rarement des symptômes jusqu'à ce qu'elle devienne cancéreuse, il est conseillé aux femmes d'effectuer au moins un dépistage tous les trois à cinq ans, ce qui permettra d'identifier la présence du PVH et de le traiter. [1]


CitationAfin de convaincre les régulateurs et les responsables de la santé publique d'homologuer le Gardasil, Merck a menti sur l'efficacité du vaccin en annonçant à tort que le Gardasil prévenait le cancer du col de l'utérus. Aucune étude crédible ne démontre que le Gardasil prévienne le cancer du col de l'utérus.

Merck ne voulait pas investir le temps ou l'argent nécessaire pour effectuer des tests et a persuadé les régulateurs de lui permettre d'utiliser des « paramètres de substitution » pour étayer sa théorie selon laquelle les vaccins contre le PVH seraient efficaces pour prévenir le cancer du col de l'utérus.

L'utilisation de ces paramètres de substitution a permis à Merck de raccourcir les essais cliniques à quelques années et d'obtenir des approbations réglementaires pour les vaccins sans aucune preuve que les vaccins préviendraient le cancer à long terme.

En 2006, le premier vaccin contre le PVH, Gardasil, a été homologué ; d'abord en Europe en février suivi des États-Unis en juin.

En effet, l'EMA l'a approuvé avant la FDA, assez rare pour être souligné. [2] [3]

Lorsque le Gardasil a été introduit pour la première fois, la chercheuse sur le PVH, le Dr Diane Harper, a prédit qu'il faudrait 60 ans de vaccination d'au moins 70 % de toutes les filles de 11 ans pour réduire les taux de cancer du col de l'utérus aux États-Unis.

Mais en janvier 2020, une étude du Royaume-Uni a soulevé des doutes importants quant à savoir si le vaccin Gardasil prévenait le cancer du col de l'utérus, comme le prétend Merck. L'étude souligne le fait qu'il n'a jamais été prouvé que le Gardasil prévient le cancer du col de l'utérus (ou tout autre type de cancer). [4]

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À noter qu'en France les dépistages étaient effectués tous les 36 mois car il est connu que l'écrasante majorité de ces lésions guérissent spontanément dans cet intervalle de temps. Mais depuis l'arrivée du Gardasil, les autorités de santé ont changé la fréquence de dépistage pour passer à 24 mois.
La suite, vous la connaissez :
CitationIl y a plus de lésions à PVH et, à partir de là, on vous raconte qu'il y a donc plus de cancers du col de l'utérus pour justifier la vaccination Gardasil.

Qui a bien pu demander ce changement de calendrier de dépistage ?

Merck bien sûr ! Ils sont tous corrompus, à tous les étages, c'est effrayant ! Observons que Merck lui-même recommande de continuer les frottis de dépistage qui sont aujourd'hui reconnus encore comme étant la meilleure prévention contre le cancer du col de l'utérus.

CitationC'est un peu comme le vaccin magique ARNm que tout le monde doit prendre pour être protégé des formes graves en plus du masque, de la distanciation sociale, du gel hydroalcoolique. Et contre les formes graves, il faut en plus le Paxlovid ! Bande de clowns !

En 2013, un groupe de chercheurs met en garde contre la supercherie [5] :

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CitationLe vaccin a été salué comme une percée qui réduirait les taux de cancer du col de l'utérus mais, dans le monde réel, il a largement échoué. Au contraire, le Gardasil est désormais suspecté d'AUGMENTER le risque de développer un cancer du col de l'utérus !

Plusieurs études (dont une du CDC qui a toujours soutenu le vaccin jusqu'à présent) ont montré qu'en supprimant certaines souches de PVH, les vaccins Gardasil créent une niche écologique pour d'autres souches jusque-là « plus faibles » qui, tout d'un coup, se retrouvent avec le champ libre pour se multiplier et pouvant entraîner d'autres cancers.

Les données de santé publique semblent étayer la conclusion selon laquelle le Gardasil pourrait augmenter le taux de cancer du col de l'utérus.

  • Après l'introduction du vaccin contre le PVH en Grande-Bretagne, les taux de cancer du col de l'utérus chez les jeunes femmes âgées de 25 à 29 ans ont augmenté de 54 %.
  • En Australie, 13 ans après la sortie du Gardasil et son introduction chez les adolescentes, il y a eu une augmentation de 16 % chez les femmes de 25 à 29 ans et de 30 % chez les femmes de 30 à 34 ans.

Pendant ce temps, grâce au dépistage, les taux diminuent pour les femmes plus âgées (qui n'ont pas été vaccinées). En d'autres termes, le Gardasil peut augmenter le risque de cancer en permettant à d'autres virus PVH de prendre la place (phénomène de remplacement) de ceux que le Gardasil est censé inhiber.

Ce sera l'un des nœuds des procès de certaines victimes qui déposent une plainte contre le vaccin Gardasil aux Etats-Unis.

Propagande, propagande....

La propagande des politiques corrompus continue pourtant de marteler que l'Australie aurait éradiqué le cancer du col de l'utérus grâce au Gardasil alors qu'il est impossible d'affirmer une telle chose. Il faudrait des décennies avant de pouvoir s'en rendre compte car ces cancers ne concernent pas les jeunes mais moins de 1% des femmes autour de 60 ans. Alors sur quoi se basent-ils ?

Bah oui, sur des modélisations mathématiques, pas sur des chiffres réels. Simulation publiée dans le Lancet en 2018, encore ce journal de malheur !!! [6]

Pourtant, la réalité a la vie dure car cet objectif d'éradication ne fait qu'être reporté : en 2021, l'OMS publiait un tableau de bord prédisant l'éradication de ce cancer en 2030 [7] :


Mais les dernières prédictions reportent cet objectif à 2035 ! [8]
On se marre, quel niveau d'escroquerie !
CitationAujourd'hui, bientôt 17 ans après l'introduction du vaccin Gardasil, on observe un « pic inquiétant » des taux de cancer du col de l'utérus à travers les pays les plus vaccinés avec des taux de vaccination pouvant aller jusqu'à 80 %. [9]

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En 2019, 73 % des adolescentes avaient reçu une dose et 57 % avaient reçu les deux doses dans la série. [10]
Comme indiqué dans le numéro de décembre 2022 de l'International Journal of Gynecological Cancer. [11]

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En 2018, un article revu par les pairs est publié sur l'explosion des cancers du col de l'utérus en Suède et les auteurs l'ont liée directement à la vaccination contre le PVH. Cet article a été rétracté dans la foulée ! [12]

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Ce paradoxe s'explique par le phénomène de remplacement introduit plus haut

Les souches initialement associées au cancer du col de l'utérus ayant été remplacées, chez les vaccinés, par de nouvelles souches jusque-là contrôlées par le système immunitaire.

Malgré ces observations inquiétantes et les questions persistantes sur son efficacité, l'establishment médical salue toujours le vaccin contre le PVH comme un succès, prétendant que les cancers du col de l'utérus associés aux souches vaccinales auraient diminué.

Depuis 2006, les cancers associés aux quatre souches de PVH incluses dans le vaccin quadrivalent original semblent avoir diminué de 88 % chez les 14 à 19 ans et de 81 % chez les femmes âgées de 20 à 24 ans. [13] Mais uniquement 14 cas de cancer du col de l'utérus/an se produisaient chez les femmes âgées de 15 à 19 ans avant l'introduction du vaccin !

Ce qui signifie qu'une baisse de 88 % n'est pas si impressionnante surtout que les taux ont aussi diminué chez les femmes non vaccinées.

La baisse n'est donc pas « entièrement » due au vaccin mais aux campagnes de dépistage beaucoup plus efficaces. [14]



En outre, lorsqu'on examine les cancers liés au PVH en général, sans tenir compte de la souche, les taux ont augmenté régulièrement depuis l'introduction du vaccin.

Comme l'a rapporté la Kaiser Family Foundation (KFF) en juillet 2021 :

  • « Les cancers liés au PVH ont considérablement augmenté au cours des 15 dernières années — en 2015, 43 000 personnes ont développé un cancer lié au PVH contre 30 000 en 1999. »

Les cancers oraux et anaux liés à l'infection par le PVH ont également augmenté. Alors que le cancer du col de l'utérus était le cancer associé au PVH le plus répandu, les cancers de la bouche sont désormais les plus courants alors qu'ils étaient quasi inexistants avant l'introduction du Gardasil ! [15] [16] Pourquoi ?

Le vaccin contre le PVH augmente le risque de cancer dû à d'autres PVH qui touchent plus les hommes et donc la réponse est de vacciner les adolescents aussi !

CitationLa principale cause de cette augmentation continue semble être l'augmentation des cancers associés aux souches non vaccinales. En effet, de nouvelles preuves suggèrent que la vaccination contre le PVH rend les femmes plus sensibles que leurs homologues non vaccinées aux génotypes de PVH non couverts par le vaccin.

Ainsi, essentiellement les femmes qui ont reçu le vaccin viennent d'échanger un risque contre un autre, tel que rapporté par Medscape. Grrrrr !!! [17]


  • « Les données proviennent de l'essai de vaccin contre le PVH au Costa Rica, qui a impliqué plus de 10 000 femmes âgées de 18 à 25 ans. Le vaccin contre le PVH utilisé dans l'essai était Cervarix, de GlaxoSmith Kline (2ème vaccin contre le PVH disponible en France). Il couvre les deux principales causes de cancer du col de l'utérus, les PVH 16 et 18, et offre une protection partielle contre trois autres génotypes. Après un suivi de 11 ans, chez les femmes vaccinées, il y avait un excès de lésions cervicales précancéreuses causées par des génotypes non inclus dans le vaccin, entraînant une efficacité vaccinale négative pour ces variantes du PVH... Les résultats sont probablement la première preuve à ce jour d'un « démasquage clinique » (ou phénomène de remplacement) avec la vaccination contre le PVH, ce qui signifie que la protection contre les souches couvertes par le vaccin rend les femmes plus sujettes aux attaques d'autres variantes cancérigènes du PVH. »
 


Ces résultats ont été publiés dans le Lancet Oncology du 1er juillet 2022 avec toujours la même conclusion, comme pour les injections COVID19, il faut continuer à vacciner avec ces poisons inutiles ! [18]

Le phénomène de remplacement connu par Big Pharma

Ce « phénomène de remplacement » est précisément ce qui s'est passé avec le vaccin antipneumococcique. À chaque fois qu'une souche prend le dessus à la suite de la disparition d'une souche réduite par un vaccin, les fabricants de vaccins au lieu de retirer leurs vaccins, y rajoutent les souches devenues dangereuses À CAUSE de leur vaccin initial.

La même chose se passe maintenant avec le vaccin contre le PVH.

CitationLe Gardasil a commencé avec 4 souches en 2006, pour être mis à jour avec 5 souches de plus en 2014 sans jamais expliquer au public pourquoi ces 5 nouvelles souches initialement bénignes (HPV31, 33, 45, 52 et 58) y ont été ajoutées.  Et gardez en tête qu'il y a 200 souches différentes de PHV ! [19]

Comme disait Sylvestre des « guignols de l'info »,  le but est de toujours « vendre encore plus de vaccins ». Big Pharma et les corrompus gagnent toujours !

Ne manquez pas la petite vidéo ci-dessous 😅 [20]

La seule réponse à cela est de dire NON et de les exposer !

https://www.youtube.com/watch?v=pL5_p-tnA-g

Note :
Le Cervarix de GSK, un autre vaccin contre le PVH (il couvre lesdites deux principales causes de cancer du col de l'utérus, les PVH 16 et 18), est disponible en Europe et dans d'autres parties du monde mais, depuis 2017, Gardasil® 9 est le seul vaccin contre le PVH approuvé pour une utilisation aux États-Unis.[21]

Donc, malgré la faible prévalence des cancers du col de l'utérus (le risque pour une femme d'être diagnostiquée d'un cancer du col de l'utérus n'est que de 0,7 % aux USA !),  l'OMS et Bill Gates poussent comme des dingues pour faire vacciner toutes les adolescentes surtout avant qu'elles ne puissent être en âge de procréer.

CitationTout comme pour les injections COVID-19, ces vaccins touchent à la fertilité des femmes et des hommes très probablement aussi. Comment peut-on faire prendre un tel risque pour un bénéfice plus que douteux et qui n'en vaut pas la peine de toute façon ? Une bande de criminels !

Enfin, les propres données de Merck ont montré que l'administration du vaccin Gardasil aux filles qui avaient déjà été exposées au PVH augmentait en fait leur risque de développer des lésions précancéreuses (ou pire) de près de 45 %.

Comment vont-ils pouvoir prouver que nos enfants n'ont jamais été infectés par le PVH avant de les injecter ?

Se sont-ils juste posés la question ?

Non, car tout n'est ensuite que fric et corruption !

Marceau 
 Mars 2023
Donne un cheval à celui qui dit la vérité : il en aura besoin pour s'enfuir.

Ouebmestre

Gardasil épisode 7 : Entre mensonges et corruptions




par AIMSIB
Il n'est pas de meilleure compagnie qui ne se quitte, provisoirement nous l'espérons, et Marceau nous livre ici le dernier opus de sa série concernant ce révoltant plan mondial de vaccination. Contre un risque qui n'a jamais été démontré, d'abord, avec un produit dont la toxicité féroce demeure toujours soigneusement camouflée, ensuite, et pour finir à un tarif flirtant avec les 400€ par enfant. Les « valises de biftons » (cf infra) parcourent le monde, les vigilances indépendantes s'évanouissent et le camp retranché tenu par les défenseurs des enfants va bientôt devoir nécessiter que des troupes fraîches prennent part au conflit. Politiciens, décideurs, journalistes, médecins, parents, la santé de nos enfants est clairement mise en danger par le culte du veau d'or de l'argent sale, aidez-nous, aidez-vous. À bientôt Marceau et merci. Bonne lecture.
7ème et dernier épisode de la série consacrée au Gardasil. Série qui pourrait être complétée en fonction de l'avancée du procès aux USA ou de nouvelles actualités brûlantes.
Récapitulatif des épisodes précédents
Rappelons (voir tous les épisodes 1-6) que le Gardasil est un vaccin développé par Merck pour la « prévention » des cancers causés par une famille de virus appelés les papillomavirus humains (PVH). La firme pharmaceutique a obtenu la mise sur le marché de ce vaccin par une procédure accélérée en juin 2006 avec des résultats d'essais cliniques trompeurs qui ont exagéré les avantages et largement sous-estimé les risques et les effets indésirables du vaccin.
Merck a commercialisé le Gardasil de manière agressive en utilisant des tactiques alarmistes, de fausses publicités et des lobbyistes politiques pour inciter des millions de parents à vacciner leurs adolescentes avec le Gardasil.
CitationAujourd'hui, des milliers de filles qui ont reçu le vaccin Gardasil subissent de graves conséquences néfastes pour leur santé et des centaines sont décédées des suites de complications liées au vaccin dans le silence complice des autorités sanitaires.
L'infection virale à PVH est la maladie sexuellement transmissible la plus courante et la majorité des gens contracteront le PVH à un moment donné de leur vie. La plupart des cas de PVH sont entièrement bénins, mais s'ils ne sont pas traités, un très faible pourcentage de cas de PVH (<1%) chez les femmes peuvent éventuellement se transformer en cancer du col de l'utérus. La meilleure prévention étant donc le dépistage qui fonctionne très bien en France, alors pourquoi vouloir imposer ce vaccin ?
Parce que les lobbys de Merck poussent devant le risque de la fin de la poule aux œufs d'or avec les procès qui vont commencer aux USA ?
Une promotion aussi repoussante qu'efficace
Après la mort de plusieurs petites indiennes, Bill Gates veut à présent s'en prendre à nos enfants !1
Le même Bill Gates – via l'OMS et Gavi – fait une priorité de cette vaccination de tous nos ados, pourquoi ?2,3





CitationMerck incite les politiques du monde entier à rendre ce vaccin obligatoire afin de ne plus être responsable des effets secondaires graves de ses injections comme nous l'avons montré dans les épisodes précédents.4,5





Nous osons à peine évoquer la proposition de loi opportune du député Pierre MOREL À L'HUISSIER pour rendre la vaccination contre le PVH obligatoire.
Qu'est-ce qui a bien pu le pousser à pondre ce torchon le 15 novembre 2022 ?6



Intéressant de parcourir quelques-unes des dernières actualités de son parcours...7,8,9,10,11



Le 8 décembre dernier, le président Macron et son ministre de la Santé Braun se disent eux aussi favorables à rendre ce produit obligatoire, ils ont été suivis le 10 décembre par le clip de propagande de la députée macroniste Prisca Thevenot aussitôt applaudie par un lobby LGBT+ (associé Renaissance), quelle est cette manie de systématiquement vouloir sexualiser les enfants et maintenant leur imposer cette vaccination ?
La vaccination obligatoire, techniquement ça change tout
De quoi se mêle-t-il ce lobby ? Fichez la paix à NOS enfants !12
CitationEn cas d'obligation, les victimes devront alors prouver le lien entre leurs maladies et le Gardasil pour recevoir une compensation minable de l'État. Mais l'État français ne reconnait aucun lien entre la vaccination et les effets secondaires sans y être contraint une fois que d'autres pays reconnaissent ces liens.
Ce que sait faire le gouvernement français, c'est contraindre et étouffer les affaires ! Nous ne sommes que du bétail pour ces gens et Macron voudrait rendre ce produit obligatoire pour exonérer Merck de toute responsabilité ? Comment compte-t-il faire ? Demander à Sainte-Ursula de négocier des contrats à l'échelon européen avec Merck par SMS ?
Combien de personnalités politiques Merck a-t-il déjà corrompues pour leur faire voter l'obligation vaccinale pour le Gardasil ?
Comme démontré précédemment,
CitationMerck a dissimulé des faits importants sur l'efficacité (ou l'absence d'efficacité) et la sécurité du Gardasil au cours du processus d'approbation accéléré. Merck n'a pas non plus effectué d'investigations et d'études médicales complètes et appropriées au cours des étapes de pré-approbation ou de post approbation. Les essais cliniques entrepris par Merck n'ont même pas examiné le potentiel du Gardasil pour prévenir le cancer, mais uniquement l'immunogénicité !
Ça ne vous rappelle rien ?!13,14
Le CDC américain l'écrit lui-même sur son site : aucune corrélation entre immunogénicité et protection. Post-autorisation de mise sur le marché, ils disent que ces injections préviendraient des verrues cervicales, ce qui n'est pas un cancer ! Ces verrues se résorbent toutes seules sans traitement.15
Post-approbation ils ont fait des études bidon pour analyser si le Gardasil pouvait prévenir les conditions précurseurs potentielles (verrues, lésions) qui disparaissent seules dans >> 99% des cas sans conduire à des cancers !
Merck a ensuite soumis des données trompeuses suggérant que ces « conditions précurseurs » entraînent inexorablement le cancer, ce qui est FAUX !
La campagne marketing trompeuse de Merck et la corruption des politiques et autres ONG/lobbys pour rendre la vaccination Gardasil obligatoire
Avant et après l'approbation du Gardasil, Merck s'est engagé dans des tactiques de marketing sans scrupule conçues pour surestimer à la fois les risques associés au PVH et la prétendue efficacité de Gardasil afin d'effrayer le public et de l'amener à accepter des vaccinations de masse des adolescents.
Avant le Gardasil, il n'y avait pas d'urgence de santé publique contre le PVH aux États-Unis et dans d'autres pays comme la France, et peu de femmes avaient même entendu parler du PVH. Il y avait donc peu ou pas de demande pour un vaccin contre le PVH.
Parenthèse : c'est comme pour la propagande cette année au sujet des VRS (Virus Respiratoires Syncytiaux) qui étaient jusque-là de simples virus respiratoires hivernaux donnant des symptômes grippaux avec comme traitement du doliprane et de l'amoxicilline. Cette année ils sont subitement devenus terribles avec un nom « VRS » dont l'écrasante majorité des français n'a jamais entendu parler auparavant. Et rupture de l'antibiotique amoxicilline pour que les gens, surtout les enfants, morflent bien. Pourquoi ? Car Pfizer arrive l'an prochain avec le vaccin contre les VRS. Les mêmes gens se souviendront des 10 jours cloués au lit et de leurs enfants au tapis toussant dans la douleur à cause de ces méchants « VRS » et ils iront courir se faire vacciner sans faire le lien. Fermons la parenthèse !
Afin d'assurer le succès financier de son nouveau « Saint Graal », Merck a précédé le déploiement du Gardasil par des années de marketing coûteux de « sensibilisation à la maladie » du PVH.
Sans parler des lobbys et de la corruption des politiques dans tous les pays développés, poussant initialement au remboursement accéléré de ce vaccin et à des campagnes agressives de culpabilisation pour pousser les parents à vacciner leurs filles dans un premier temps puis tous les ados, sans aucun fondement scientifique.16
En plus de sa campagne publicitaire agressive et culpabilisante pour les parents, Merck a également utilisé des lobbyistes politiques et des incitations financières pour essayer de convaincre les législatures des États américains (pareil dans d'autres pays) à rendre le vaccin Gardasil obligatoire.
À partir de 2004, Merck a injecté des millions de dollars dans des organisations de lobbying politique telles que Women in Government et NACCHO aux USA. Ces organisations ont alors commencé à pousser agressivement les législateurs à travers le pays pour rendre obligatoires les vaccins Gardasil pour toutes les filles américaines.
CitationMerck a complété ces lobbyistes rémunérés par des contributions aux campagnes politiques et des millions en financement direct aux services de santé des États.
Entre 2012 et 2018, Merck a directement acheminé 92 millions de dollars au ministère de la Santé du Maryland pour la promotion des vaccins Gardasil dans les écoles publiques. Ce financement a essentiellement servi à payer les responsables scolaires pour tromper les élèves et les parents en leur faisant croire que la vaccination Gardasil était obligatoire alors qu'elle ne l'était pas ! En Europe et en France vous pensez une seule seconde qu'ils n'ont pas opéré de la même manière ?
Merck a fait pression sur tous les politiques avec ses lobbys pour faire progresser l'utilisation des vaccins Gardasil.
Merck irait même plus loin et présenterait son programme aux politiciens au pouvoir pour placer son produit dans une position favorable. La société pharmaceutique a dépensé des millions de dollars en incitations financières, en contributions de campagne et en financement direct aux politiciens et aux institutions de l'État avec le pouvoir d'offrir le Gardasil au plus grand nombre d'enfants possible et de présenter leur produit comme une étape nécessaire pour arrêter un problème qu'ils ont dépeint comme plus grave que la réalité.
CitationAux USA, face à la révolte des parents, des médecins et des associations de consommateurs, Merck a promis d'arrêter ses campagnes de lobbying agressives pour faire passer des lois d'obligation vaccinale pour les pré-adolescentes.17,18
Mais qui peut leur faire confiance ? Qui pour vérifier ce qui se déroule dans les couloirs des parlements à travers le monde ou dans les bureaux des chefs d'États ?
En effet, dès 2014, d'un seul coup et en chœur les parlementaires de tous les pays européens ont poussé le Gardasil dans leurs pays respectifs. Le président Hollande inclura le Gardasil comme arme dans son plan cancer 2014-2019 en visant 60% de vaccination des adolescentes.19
CitationLe ministre de la Santé Xavier Bertrand avait validé le Gardasil et son remboursement avant même que les autorités de santé françaises ne se soient prononcées ! Regardez cette vidéo de France 5 jusqu'au bout et enregistrez-la pour les batailles à venir. Regardez les parlementaires plaider pour le Gardasil dans leur pays respectif, et les mains de Xavier Bertrand trembler après avoir fait son annonce devant le parlement. Regardez son expression corporelle ! Il n'est pas à son aise.20
Quelle est la probabilité que tout ceci ne se passe en même temps sans la pression des lobbys de Merck ? Combien ces parlementaires ont-ils été payés ?
Combien de valises de « biftons » comme a dit lui-même le PGD de Merck ?


https://web.archive.org/web/2013/06/14/http://www.liberation.fr/economie/06014396-le-laboratoire-merck-et-les-valises-de-biftons

CitationAgnès Buzyn aussi a envisagé de le rendre obligatoire en 2018 avec les autres 11 vaccins mais, devant la mauvaise presse de ce produit, elle a reculé et aujourd'hui Macron voudrait le rendre obligatoire « quand tout cela sera installé... » ?
Combien ces gens ont-ils été payés pour mettre la vie de nos enfants en jeu ?
COMBIEN ????!!!21



En 2019 des voix s'élèvent contre la corruption par les labos poussant ce vaccin et demandent un moratoire22 :



Et ce produit qui est considéré comme le vaccin le plus dangereux avant les injections COVID-19 est aussi le plus cher jamais approuvé :



Le Cervarix, vaccin bivalent de GSK contre 2 souches du papillomavirus, est la même daube23 ! Une fois que le Gardasil a été approuvé pour les préadolescentes, Merck a lancé une campagne de propagande agressive visant à effrayer et à culpabiliser les parents qui n'ont pas vacciné leurs filles avec le Gardasil. La campagne de Merck impliquait que les « bons parents » vaccinent leurs enfants avec le Gardasil.24
Au cours de ces efforts de marketing agressif, Merck a frauduleusement dissimulé les risques et les dangers connus du vaccin contre le PVH tout en exagérant son efficacité. Merck a commercialisé le Gardasil avec la campagne la plus agressive jamais montée pour promouvoir un vaccin, dépensant plus en publicité Gardasil que toute autre campagne publicitaire de vaccin précédente. (voir extrait à partir de 15 min 40 sec dans la vidéo)25



Au passage, la même émission de France 5 « Le magazine de la santé » présentée par Marina Carrère d'Encausse diffusait ce documentaire en 2014-2015 mais aujourd'hui, c'est devenu impossible, les mêmes personnes servent la propagande...26
La publicité de Merck laissait entendre que vous étiez un mauvais parent si vous ne vacciniez pas votre enfant avec le Gardasil pour le protéger contre le cancer.
CitationCe que la publicité a laissé de côté, c'est qu'il n'y a pas une seule étude pour soutenir l'affirmation de Merck selon laquelle le Gardasil prévient certains types de cancer.
Au contraire, des études ont montré que le Gardasil pourrait être plus susceptible de provoquer le cancer que de le prévenir (voir épisode 6).
« Merck sait que s'ils divulguaient la vérité sur le potentiel du Gardasil à provoquer des réactions indésirables graves et des maladies horribles, y compris des maladies auto-immunes, et la mort de certains receveurs, personne ne recevrait le vaccin », Merck a profité de milliards en faisant peur aux parents et en cachant les faits.27
L'inquiétude concernant la sécurité du Gardasil augmente
Au fil des ans, les parents sont devenus de plus en plus préoccupés par la sécurité du Gardasil. Selon une enquête de 2021, 23% des parents qui ont refusé la vaccination contre le PVH pour leur enfant en 2018 ont fait part de préoccupations concernant la sécurité, contre 13% en 201528. Normalement, les médicaments deviennent plus acceptés au fil du temps à mesure que leur innocuité est démontrée dans le monde réel. Ce n'est pourtant pas le cas avec le Gardasil, ce qui pourrait être une indication que de plus en plus de gens connaissent ou ont entendu parler de jeunes souffrant de problèmes graves.
Tout comme lesdits « vaccins » COVID-19 !29
CitationL'innocuité d'un vaccin comme le Gardasil devrait être totale car il est administré à des enfants et des adolescents en parfaite santé dont le risque futur de mourir d'un cancer du col de l'utérus est nul au moment où il est administré, et seulement 2,2 pour 100 000 à l'âge de 58 ans sans dépistage et sans traitement.
Merck a donc promis aux régulateurs, aux pédiatres et au public que les inoculations administrées aux filles de 9 à 12 ans conféreraient une immunité contre un cancer relativement rare qui ne tue généralement pas avant l'âge de 58 ans !
De plus, il convient de noter que les facteurs de risque d'infection au PVH chez les jeunes femmes sont30,31 :



Alors, considérant que les principaux facteurs de risque sont des choix de comportements modifiables, ne serait-il pas plus logique d'éduquer les jeunes femmes et hommes aux risques et comment les éviter, plutôt que de vouloir rendre ce vaccin obligatoire et décréter les capotes gratuites dès 15 ans pour les inciter à faire EXACTEMENT l'inverse de la prévention ???
CitationIl existe également de nombreuses preuves montrant que les frottis vaginaux peu coûteux sont le moyen le plus efficace d'identifier une infection au PVH et, en la traitant, d'empêcher qu'elle ne se transforme en cancer.
Ancien employé de Merck, la société américaine qui a développé le Gardasil, le Dr Bernard Dalbergue a affirmé dans une interview accordée en 2014 au magazine français Principes de Santé, que le médicament avait été mis sur le marché trop rapidement, et le qualifie de « conte de fées médical ». Il a déclaré que le vaccin ne faisait rien pour prévenir le cancer du col de l'utérus et que « les très nombreux effets indésirables détruisaient des vies et même tuaient », mais que son approbation hâtive du financement aux États-Unis et en Europe était motivée par les marges bénéficiaires des fabricants.
Il a déclaré que Gardasil « sera le plus grand scandale médical de tous les temps », mais ça c'était avant les injections COVID-19 ! Le Dr Dalbergue n'est pas anti-vaccins.32,33,34,35



Conclusion provisoire
La série Gardasil se termine donc et je ne doute pas qu'avec ces informations vous ne ferez pas vacciner vos ados. Il faut faire circuler et éduquer le grand public pour faire bloc contre Macron quand il viendra avec cette aberration d'obligation vaccinale.
Pour finir jetons à nouveau un œil sur l'état du compteur des amendes auxquelles Merck a déjà été condamné depuis 2000...
10 467 160 581 $36
Dix milliards quatre-cent-soixante-sept millions cent-soixante mille cinq-cent-quatre-vingt-un dollars



Et n'hésitons pas à relire la fabuleuse histoire de la contribution de Merck au sabordage organisé de l'ivermectine dès début 2021.37
Voici également un ouvrage qui m'a été conseillé38 :



Hasard du calendrier, en sortant de consultation chez la pédiatre avec ma fille, je me suis rendu compte qu'elle avait rajouté sur l'ordonnance en plus de la vitamine D annuelle le fameux sérum, alors même que je venais aimablement de décliner sa proposition... !



Pour revenir au premier épisode :
https://www.aimsib.org/2023/02/05/gardasil-episode-1-deja-le-debut-de-la-fin
source : AIMSIB





Donne un cheval à celui qui dit la vérité : il en aura besoin pour s'enfuir.