Non au "pass nazitaire", non à l'injection d'immuno-toxiques aux enfants !
Citationhttps://twitter.com/i/status/1619945525670981632
Citation« Il y a deux catégories d'humains : ceux à qui s'applique le vocabulaire de la biologie, de la « science », des mathématiques – ceux-là sont les bannis qui vivent dans des camps – ; et ceux à qui s'applique le vocabulaire de la philosophie, de la politique au sens noble, de la culture en général – ceux-là sont les élus qui vivent dans la cité. Dans le champ politique actuel, servi par la propagande médiatique, s'est répandue la culture du « fact-checking », qui marque, de façon évidente, pour reprendre l'approche husserlienne, que seule compte désormais la narration politique du fait « scientifique ». Pour reprendre l'approche agambienne, il s'agit de faire croire que le vocabulaire du camp peut devenir celui de la cité. Dans cette industrie plumitive servile de la presse sous-prolétarisée et sous-intellectualisée, la seule interrogation politique se ramène donc au simple fait. Or le fait lui-même s'inscrit dans le mensonge scientifique, et sa mise en avant par la presse exprime exactement la fin des Humanités. Le fact-cheking constitue ainsi la réunion canonique de la fausse science et du sophisme politique : c'est la forme contemporaine par excellence de la langue totalitaire. »Les auteurs font ici référence aux travaux de Giorgio Agamben sur l'état d'exception, traité à mon petit niveau dans cet article d'avril 2021 :
CitationL'oxymore de l'état d'exception permanent est central à la pensée du philosophe italien Giorgio Agamben, pensée dérivée des travaux de gens tels Michel Foucault, Walter Benjamin et de nombreux autres. L'état d'exception, aujourd'hui nommé « état d'urgence » qu'il soit « sanitaire » ou « sécuritaire », est en effet l'état « normal » de la société française sous régime macroniste, une société ayant non seulement passé plus de temps sous ces régimes d'exception que sous le régime « normal », mais qui en plus de cela intègre au régime « normal » ce qui relevait auparavant du régime d'exception.Plus terre-à-terre, les milices au service du Grand Capital (parfois aussi appelées « forces de l'ordre », « armée » ou « service secrets ») participent à la chasse aux déviants dans la plus pure tradition totalitaire, comme le rappelle ici un article du DailyMail britannique :
CitationUne unité de l'armée de l'ombre a secrètement espionné des citoyens britanniques qui critiquaient les politiques de confinement du gouvernement en matière de Covid. Des militaires de la brigade britannique de « guerre de l'information » faisaient partie d'une sinistre opération visant des politiciens et des journalistes de haut niveau qui avaient émis des doutes sur la réponse officielle à la pandémie. Ils ont compilé des dossiers sur des personnalités publiques telles que l'ex-ministre David Davis, qui a remis en question la modélisation derrière les prévisions alarmantes du nombre de morts, ainsi que sur des journalistes tels que Peter Hitchens et Toby Young. Leurs opinions dissidentes ont ensuite été rapportées au No 10. Des documents obtenus par le groupe de défense des libertés civiles Big Brother Watch, et partagés exclusivement avec ce journal, ont révélé le travail de cellules gouvernementales telles que l'Unité de lutte contre la désinformation, basée au Département du numérique, de la culture, des médias et des sports, et l'Unité de réponse rapide du Bureau du Cabinet.Nul doute que des opérations similaires existent dans tous les pays où règnent des régimes corrompus, et certainement en France. J'ai souvenir d'avoir été prévenu que le préfet local détestait fabuleusement nos petites entorses bisounours aux règles de la dictature sanitaire, entorses filmées par votre serviteur, et que nous allions avoir des problèmes. J'en ai eu un, en effet, mais pour insulte aux milices de la Sécurité Sanitaire. Ils n'ont pas aimé l'acronyme.
CitationVous avez peut-être entendu une publicité radio avertissant que si vous avez eu Covid, vous pourriez l'attraper à nouveau et éprouver des symptômes encore pires. Le message, parrainé par le ministère de la Santé et des Services sociaux, affirme que les vaccins bivalents mis à jour amélioreront votre protection. C'est de la publicité trompeuse. Mais les éloges de l'établissement de santé publique pour les injections bivalentes ne devraient pas être une surprise. Les agences fédérales ont pris la mesure sans précédent d'ordonner aux fabricants de vaccins de les produire et de les recommander sans données à l'appui de leur sécurité ou de leur efficacité.Dans le très mainstream Newsweek, une étudiante en médecine fait son mea-culpa (8) :
Citation« En tant qu'étudiante en médecine et chercheuse, j'ai fermement soutenu les efforts des autorités de santé publique en ce qui concerne la COVID-19. Je croyais que les autorités avaient réagi à la plus grande crise de santé publique de notre vie avec compassion, diligence et expertise scientifique. J'étais avec eux quand ils ont appelé au confinement, aux vaccins et aux rappels. J'avais tort. Nous, dans la communauté scientifique, avions tort. Et cela a coûté des vies. »C'est bien, même si c'est bien trop tard. Rare sont les gens du domaine médical, généralement fort imbus d'eux-mêmes, capables de porter un regard aussi critique sur leurs erreurs.
Citation« L'aphorisme par lequel Richard Horton, éditeur du Lancet, évoque est le mobile central du court-métrage que j'ai réalisé. Ce court-métrage s'articule sur 2 sujets principaux relatifs à la corruption des scientifiques :Appel contre la corruption en science et santé de 2002
Le premier traite de la véritable criminalité scientifique avec l'exemple du Professeur Mandeep Mehra de la Medical School de Harvard.
Le second traite de la corruption « politiquement correcte », avec le docteur Nicolas Dauby, du CHU Saint-Pierre, archétype du mensonge scientifique « sincère » ou « naïf », banalisé et admis aujourd'hui par une paradoxale « néo-coutume » médicale.
Cette corruption plus insidieuse et difficilement détectable résulte davantage de la façon dont on sélectionne les experts que de leur manque de loyauté ou de sincérité... Un labo pharmaceutique n'est plus confronté aujourd'hui, à la nécessité d'acheter un médecin pour qu'il mente, pour qu'il trahisse sa pensée ou pour qu'il en nuance les conclusions. Il suffit que ce labo soutienne les scientifiques dont l'avis va dans le sens de ses intérêts et qu'il ostracise ceux qui émettent des opinions dangereuses pour ses cibles commerciales. En raison de ce « Cherry Picking » opportuniste, un médecin dont les travaux ne sont pas favorables à l'utilisation d'un produit ou d'un dispositif médical, n'a aucune chance d'être invité à un congrès, d'être lu par des reviewers, d'être soutenu dans ses recherches, d'être engagé dans une institution financée par le secteur privé ou d'être interrogé par les grands Médias. Il est et reste « invisible »... On retrouvera dans les congrès et dans les institutions de recherche, des médecins sincèrement favorables aux objectifs de ses sponsors, et c'est sans arrière-pensée qu'ils les serviront, parfois au mépris volontaire ou involontaire de la vérité. Les truands qui traînent des valises de billets ne sont plus vraiment utiles à un secteur qui a fait main basse sur les Universités, sur les instituts de recherche et sur les organes officiels comme Sciensano et l'OMS.
Le Président de l'Ordre de Bruxelles et du Brabant Wallon a courageusement pris l'initiative d'un débat déontologique le 4 février au Château du Lac à Genval. Il serait raisonnable d'y aborder l'important sujet des conflits d'intérêts, souterrains, lointains, apparemment inoffensifs et pourtant si délétères pour la santé publique avec sagesse, avec raison, avec sérénité. Mettra-t-il à l'ordre du jour, l'analyse méticuleuse de cette corruption larvée qui laisse grandir son invisible mycélium sous nos vérités les plus sacrées ? Empêchera-t-il ce symposium de se transformer en messe basse servie sur l'autel de la bienséance ? Si le docteur Melot a le courage, en vertu d'une charge ordinale qui fait de lui le maître supérieur de nos consciences, d'engager une lutte décisive contre la tyrannie de l'argent, il laissera assurément une trace dans l'histoire de notre admirable métier, qui doit se mettre inconditionnellement et sans la moindre ambiguïté, à l'entier et unique service du patient ».