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Vaccination ARNm et odeur de sapin

Démarré par Ouebmestre, 01 Février, 2023, 15:32:02

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Ouebmestre

Vaccination ARNm et odeur de sapin

par Vincent Verschoore (son site)
mardi 31 janvier 2023

Le Dr Retsef Levi est un expert en analyse de risques pour le MIT. Il vient de publier une vidéo sur Twitter où, au vu des études d'impact disponibles depuis début 2021 en Israël et ailleurs, il appelle à l'arrêt immédiat de la vaccination type ARNm. Il estime que l'inefficacité et la dangerosité de ces produits, notamment pour les jeunes, est suffisamment démontrée pour en justifier l'arrêt total. Il appelle à une analyse en profondeur sur la manière dont toute une communauté « scientifique » a pu accepter d'imposer un produit aussi mauvais et aussi dangereux, mais aussi financièrement rentable pour ses promoteurs.



Citationhttps://twitter.com/i/status/1619945525670981632

https://twitter.com/i/status/1619945525670981632


Toutes choses que nous, « complotistes » démonisés à la sauce « antivax » par la bien-pensance ségrégationniste, ignorante ou corrompue et ses relais politiques, institutionnels et médiatiques, dénonçons depuis le début de cette histoire. Ce blog a commencé à s'en inquiéter sérieusement au printemps 2021, avec par exemple l'article « Vaccination Covid : la catastrophe qui vient ? » (1).
Sans désespérer.
Les signaux d'alerte sont apparus immédiatement, soulignés par les changements dans le narratif officiel face à l'avancée du réel, mais sans jamais remettre en cause le fondement purement commercial (et mafieux) de cette vaste expérience agricole. La question de la corruption était déjà abordée en décembre 2021, dans « Vaccination Covid, le grand marché de la corruption. » (2).
Même si la plupart des gens ne veulent plus en parler, le scandale est énorme et ses effets, sur la santé comme sur la confiance envers l'institution, encore difficiles à évaluer.
Entre-temps, les covido-fascistes macronistes et assimilés refusent toujours la réintégration des soignants, pompiers et autres suite à leur refus de se soumettre à l'expérience des Dr Mengele 2.0 (3). Aucun soi-disant « médecin » ne semble regretter avoir touché 900 euros par jour pour faire de l'abattage vaccinal, au mépris de tout serment et de toute éthique médicale.
Aucun repentir ne semble filtrer des ordres miliciens de la Gestapass et des Kapos vérifiant les Ausweis attestant de l'enrichissement des Pfizer et autres Moderna via la corruption massive du politique et des institutions, à commencer par l'Europe et l'infâme Ursula von der Leyen.
Les gens et les systèmes ayant permis et facilité la mise en place de cet immense racket sont toujours là, et ils nous la refont aujourd'hui au profit du complexe militaro-industriel et de la « guerre » non plus contre le virus, mais contre le Russe tout court (4).
Aucun politique ne semble capable d'en tirer la moindre leçon, la soi-disant « opposition » se limitant à se lever contre la politique de celui dont elle appelait à la réélection en avril dernier. Alors oui, c'est désespérant, mais la volonté de résistance existe, très clairement, sous diverses formes, et tant qu'elle existe rien n'est perdu.

Censure et Fact-checking.
Les Twitter Files et quelques articles parus dans la presse mainstream dévoilent le système de censure intégré aux Gafam, et piloté par l'establishment, à l'encontre de toute « pensée déviante » et contestation du narratif officiel par des gens pourtant hautement habilités à le faire, tels que l'épidémiologiste Laurent Toubiana ici (5) ou le Dr. Jay Bhattacharya aux USA, pourtant professeur à l'Ecole Médicale de l'université de Stanford. Un médecin, épidémiologiste, économiste de la santé et expert en santé publique spécialiste des maladies infectieuses et de leurs effets sur les populations vulnérables.
De toutes évidence, le portrait-type du militant d'extrême-droite « antivax » perpétuellement dénoncé par les bien-pensants ségrégationnistes dont beaucoup, aujourd'hui, arborent sans doute fièrement les insignes du régiment Asov.



Les fact-checkers, mercenaires au service du narratif officiel, ont également fortement participé à l'invisibilisation des messages d'alerte en se référant aux sources « officielles » pour « débunker » la critique desdites sources.
Dans leur livre à quatre mains « Le débat interdit- langage, covid et totalitarisme », Ariane Bilheran et Vincent Pavan qualifient ainsi les fact-checkers, cette « industrie plumitive servile de la presse sous-prolétarisée et sous-intellectualisée » :
Citation« Il y a deux catégories d'humains : ceux à qui s'applique le vocabulaire de la biologie, de la « science », des mathématiques – ceux-là sont les bannis qui vivent dans des camps – ; et ceux à qui s'applique le vocabulaire de la philosophie, de la politique au sens noble, de la culture en général – ceux-là sont les élus qui vivent dans la cité. Dans le champ politique actuel, servi par la propagande médiatique, s'est répandue la culture du « fact-checking », qui marque, de façon évidente, pour reprendre l'approche husserlienne, que seule compte désormais la narration politique du fait « scientifique ». Pour reprendre l'approche agambienne, il s'agit de faire croire que le vocabulaire du camp peut devenir celui de la cité. Dans cette industrie plumitive servile de la presse sous-prolétarisée et sous-intellectualisée, la seule interrogation politique se ramène donc au simple fait. Or le fait lui-même s'inscrit dans le mensonge scientifique, et sa mise en avant par la presse exprime exactement la fin des Humanités. Le fact-cheking constitue ainsi la réunion canonique de la fausse science et du sophisme politique : c'est la forme contemporaine par excellence de la langue totalitaire. »
Les auteurs font ici référence aux travaux de Giorgio Agamben sur l'état d'exception, traité à mon petit niveau dans cet article d'avril 2021 :
CitationL'oxymore de l'état d'exception permanent est central à la pensée du philosophe italien Giorgio Agamben, pensée dérivée des travaux de gens tels Michel Foucault, Walter Benjamin et de nombreux autres. L'état d'exception, aujourd'hui nommé « état d'urgence » qu'il soit « sanitaire » ou « sécuritaire », est en effet l'état « normal » de la société française sous régime macroniste, une société ayant non seulement passé plus de temps sous ces régimes d'exception que sous le régime « normal », mais qui en plus de cela intègre au régime « normal » ce qui relevait auparavant du régime d'exception.
Plus terre-à-terre, les milices au service du Grand Capital (parfois aussi appelées « forces de l'ordre », « armée » ou « service secrets ») participent à la chasse aux déviants dans la plus pure tradition totalitaire, comme le rappelle ici un article du DailyMail britannique :
CitationUne unité de l'armée de l'ombre a secrètement espionné des citoyens britanniques qui critiquaient les politiques de confinement du gouvernement en matière de Covid. Des militaires de la brigade britannique de « guerre de l'information » faisaient partie d'une sinistre opération visant des politiciens et des journalistes de haut niveau qui avaient émis des doutes sur la réponse officielle à la pandémie. Ils ont compilé des dossiers sur des personnalités publiques telles que l'ex-ministre David Davis, qui a remis en question la modélisation derrière les prévisions alarmantes du nombre de morts, ainsi que sur des journalistes tels que Peter Hitchens et Toby Young. Leurs opinions dissidentes ont ensuite été rapportées au No 10. Des documents obtenus par le groupe de défense des libertés civiles Big Brother Watch, et partagés exclusivement avec ce journal, ont révélé le travail de cellules gouvernementales telles que l'Unité de lutte contre la désinformation, basée au Département du numérique, de la culture, des médias et des sports, et l'Unité de réponse rapide du Bureau du Cabinet.
Nul doute que des opérations similaires existent dans tous les pays où règnent des régimes corrompus, et certainement en France. J'ai souvenir d'avoir été prévenu que le préfet local détestait fabuleusement nos petites entorses bisounours aux règles de la dictature sanitaire, entorses filmées par votre serviteur, et que nous allions avoir des problèmes. J'en ai eu un, en effet, mais pour insulte aux milices de la Sécurité Sanitaire. Ils n'ont pas aimé l'acronyme.



La cruciale analyse bénéfice-risque.
Nous rebouclons ici sur le début de cet article car, au-delà du combat politique contre la corruption et la manipulation au profit du Grand Capital via les « élites » aux ordres, se pose bien sûr la question centrale du rapport bénéfice-risque réel de cette vaccination expérimentale. Pour l'establishment et ses médias, le bénéfice est total et le risque est zéro, à quelques décimales près. Pour la science par contre, celle qui essaie malgré tout d'exister et qui fait monter la vérité par l'escalier, c'est un peu différent.
En septembre 2022 le site PubMed publiait une étude intitulée « Effets indésirables graves d'intérêt particulier après la vaccination à ARNm contre la COVID-19 dans des essais randomisés chez l'adulte » (6). Il s'agit d'une analyse objective du taux réel d'effets indésirables graves détectées dans le cadre des études cliniques sur les vaccins ARNm de Pfizer et Moderna, et dont la conclusion est terrible : ce taux réel est de l'ordre de 1 pour 800 injections, ou de 0,125%, un taux absolument énorme pour un vaccin imposé à l'ensemble d'une population. Normalement, un taux de 1 pour 10 000 déjà considéré inacceptable.
Cette étude recommande de se pencher sérieusement sur l'analyse bénéfice-risque de cette vaccination (ce qui n'est pas fait par les autorités sanitaires, et on doit se demander pourquoi).
Pour quel bénéfice, alors ? Les Britanniques viennent de sortir des chiffres intéressants sur le rapport entre nombre de vaccinations et nombre de cas hospitalisés. La question est de savoir combien il faut vacciner de gens, par tranche d'âge et par catégorie de risque, pour éviter une hospitalisation, ou une hospitalisation grave (passage en réa) (7).
L'analyse concerne 2022 avec le booster bivalent (souche originelle + variant Omicron).
Ensuite, on compare ces chiffres avec le risque de la vaccination elle-même.
Résultats :
Tranche 20-29 ans,
  • Personnes non à risque : 169 200 injections pour éviter une hospitalisation, ou 706 500 injections pour éviter une hospitalisation grave. Ci-après le second chiffre sera mis entre () pour plus de clarté.
  • Personnes à risque (les fameuses comorbidités) : 7 500 (59 500).
Dans tous les cas, le risque d'hospitalisation pour non vaccination est donc très largement inférieur au risque d'effet secondaire grave de la vax.
Voyons pour les autres tranches d'âge :
  • 30-39 non à risque : 210 400 (pas de cas)
  • 30-39 à risque : 7 800 (40 500)
  • 40-49 non à risque : 92 500 (932 500)
  • 40-49 à risque : 6 000 (49 800)
  • 50-59 non à risque : 43 600 (256 400)
  • 50-59 à risque : 3 100 (18 600)
Pour les tranches supérieures, il n'y a plus de distinction risque/non risque, ce qui donne les chiffres suivants :
  • 60-69 : 3 600 (27 300)
  • 70+ : 800 (7 500).
On voit donc que ce n'est que dans la catégorie des plus de 70 ans que le risque d'hospitalisation « normale » est le même que le risque d'effet secondaire grave, soit 1 pour 800.
Dans tous les autres cas, le calcul est en défaveur de la vaccination. Et de très loin.
Pourtant, les autorités continuent de recommander le booster. Pourquoi ? Soit elles sont corrompues par les intérêts des laboratoires, soit elles relèvent de la sociopathie criminelle. Très probablement un mix des deux.
Meâ-culpas tardifs.
A tel point que même dans le très mainstream Wall Street Journal on trouve un article critique du marketing vaccinal :
CitationVous avez peut-être entendu une publicité radio avertissant que si vous avez eu Covid, vous pourriez l'attraper à nouveau et éprouver des symptômes encore pires. Le message, parrainé par le ministère de la Santé et des Services sociaux, affirme que les vaccins bivalents mis à jour amélioreront votre protection. C'est de la publicité trompeuse. Mais les éloges de l'établissement de santé publique pour les injections bivalentes ne devraient pas être une surprise. Les agences fédérales ont pris la mesure sans précédent d'ordonner aux fabricants de vaccins de les produire et de les recommander sans données à l'appui de leur sécurité ou de leur efficacité.
Dans le très mainstream Newsweek, une étudiante en médecine fait son mea-culpa (8) :
Citation« En tant qu'étudiante en médecine et chercheuse, j'ai fermement soutenu les efforts des autorités de santé publique en ce qui concerne la COVID-19. Je croyais que les autorités avaient réagi à la plus grande crise de santé publique de notre vie avec compassion, diligence et expertise scientifique. J'étais avec eux quand ils ont appelé au confinement, aux vaccins et aux rappels. J'avais tort. Nous, dans la communauté scientifique, avions tort. Et cela a coûté des vies. »
C'est bien, même si c'est bien trop tard. Rare sont les gens du domaine médical, généralement fort imbus d'eux-mêmes, capables de porter un regard aussi critique sur leurs erreurs.
Je veux bien croire que cette personne « y a cru », a gobé toute cette histoire, mais c'est précisément cela qui est flippant : comment concevoir que des gens a priori éduqués, au fait des principes élémentaires de la médecine, de l'éthique et de l'épidémiologie, aient pu collaborer un seul instant avec des politiques telles que les confinements, les masques et la vaccination expérimentale obligatoire ?
Ce sont les mêmes questions qui se posaient à Hannah Arendt dans la banalité du mal : par quel mécanisme des gens a priori civilisés, « bons pères de famille », ont-ils pu adhérer aussi totalement au nazisme et à la « solution finale » ? Une réponse au moins partielle se trouve sans doute dans le phénomène de la manipulation psychotique des masses (9.
Une bonne guerre favorise l'oubli.
Evidemment soucieux d'étouffer tout ceci, les Macron, von der Leyen, Biden & Cie nous entrainement aujourd'hui vers une troisième guerre mondiale face aux Russes et aux Chinois, histoire de bien occuper les esprits et les médias sur autre chose. En effet, outre ces questions de corruption massive au profit de Big Pharma et associés, et d'imposition par la violence de produits expérimentaux inefficaces et dangereux, se pose la question de la surmortalité inexpliquée (cad hors Covid et hors attente statistique), mais tout à fait officielle, qui touche l'ensemble de la population occidentale depuis 2021 avec des taux entre 5% et 30%.
Il est évident, malgré l'absence (volontaire) de chiffres permettant de faire une corrélation entre statut vaccinal et surmortalité, qu'une partie au moins de cette surmortalité provient des effets secondaires de la vaccination par ARNm, notamment les myocardites. Mais combien, précisément, et en fonction de quels facteurs, la question reste ouverte. Alors une bonne guerre, une dépopulation rapide grâce aux prix inabordables des soins, de l'énergie et de l'alimentation, et on oubliera vite ces petites histoires covido-vaccinales. Et ce n'est même pas de l'ironie.

Liens et sources :
(1) https://zerhubarbeblog.net/2021/04/26/vaccination-covid-la-catastrophe-qui-vient/
(2) https://zerhubarbeblog.net/2021/12/29/vaccination-covid-le-grand-marche-de-la-corruption/
(3) https://lemediaen442.fr/15-septembre-2022-depuis-un-an-ils-sont-suspendus-sans-salaire-sans-chomage-voici-240-temoignages-dexclus-de-la-societe/
(4) https://zerhubarbeblog.net/2023/01/17/davos-du-covid-aux-tranchees-sanglantes-de-lukraine/
(5) https://zerhubarbeblog.net/2022/05/06/covid-19-en-france-ze-toubiana-papers/
(6) https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/36055877/
(7) https://assets.publishing.service.gov.uk/government/uploads/system/uploads/attachment_data/file/1131409/appendix-1-of-jcvi-statement-on-2023-covid-19-vaccination-programme-8-november-2022.pdf
(8) https://www.newsweek.com/its-time-scientific-community-admit-we-were-wrong-about-coivd-it-cost-lives-opinion-1776630
(9) https://zerhubarbeblog.net/2022/01/06/du-covid-a-la-formation-psychotique-des-masses/


https://zerhubarbeblog.net/2023/01/30/vaccination-arnm-et-odeur-de-sapin/
Donne un cheval à celui qui dit la vérité : il en aura besoin pour s'enfuir.