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Non au "pass nazitaire", non à l'injection d'immuno-toxiques aux enfants !

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Bravo aux députés qui ont refusé la prolongation du Passe vaccinal



par Nicole Delépine.

Bravo aux députés qui ont empêché Macron de continuer à « emmerder les Français » !

Le bien-fondé d’une mesure sanitaire se mesure à son efficacité ; le passe sanitaire s’est révélé partout inefficace contre la maladie1 et ne constituait qu’un moyen de chantage et de division. Il a d’ailleurs été presque partout abandonné par ceux qui l’ont essayé. Grâce aux oppositions, la France reprend un peu le chemin de la raison.

Le 12 juillet 2022, le projet de loi a entériné l’expiration au 1er août 22 de l’état d’urgence sanitaire et du régime de gestion de la crise mis en place fin mai 2021, et a rejeté une disposition permettant d’exiger ce passe pour les voyageurs mineurs. Puis, grâce à une alliance de votes du RN, de LR et d’une majorité de Nupes, l’article 2 du projet de loi a été rejeté en fin de soirée par 219 voix contre 195.

Le gouvernement a ainsi perdu en première lecture la possibilité de continuer « à emmerder les Français », en rétablissant le passe sanitaire pour les voyages « extra-hexagonaux », depuis ou vers l’étranger, la Corse et les départements d’outre-mer. Pan sur le bec du gouvernement Macron ! Et encore bravo aux députés de l’opposition qui ont enfin reconnu qu’en pratique, pour les Français, leur opposition à Macron dépassait leurs divergences.

Le ministre de la Santé, François Braun, compte désormais sur le Sénat pour rétablir ce texte dans son intégralité. Le calcul est très optimiste car les membres de la chambre haute jadis partiellement paralysés par la peur de la maladie ont réalisé pour la plupart l’arnaque de la crise Covid et l’absence de toute justification scientifique aux mesures. Ils devraient eux aussi faire entendre leur bon sens et leur « indépendance » proclamée à plusieurs reprises par son président Gérard Larcher. On pourrait même rêver que les sénateurs empêchent le gouvernement de continuer à collecter des données de santé sur les tests de dépistage et qu’ils exigent la destruction de ces fichiers qui n’ont pas non plus montrer leur efficacité à contrer l’ épidémie, mais seulement à préparer une surveillance globale de la population à la chinoise.

Encore bravo aux députés de l’opposition et non seulement pour leur clairvoyance mais aussi pour le climat fraternel qui a hier prévalu entre eux et qui s’est exprimé par leurs applaudissements respectifs.


source : Docteur Nicole Delépine





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Hausse de la mortalité infantile en Amérique du Nord depuis décembre 2021

Multiplication par 4 des ventes de cercueils de moins de 1m50 selon un témoin !

Il faut absolument approfondir la question car nous savons tous que ce ne sont pas les autorités sanitaires qui vont réaliser le travail étant donné que ce sont elles-mêmes qui ont poussé à la vaccination des moins de 12 ans contre le Covid-19 alors que cette tranche d’âge n’est pas concernée par la maladie ! Si cette information se confirme, c’est un véritable carnage, elles seront tenues pour responsables et elles ne pourront que finir en prison ! Par contre, elles ne pourront jamais cacher l’explosion des ventes de cercueils, sachant qu’elles n’ont aucun contrôle sur ces entreprises. À suivre…

source : Le Libre Penseur


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« Opération criminelle de grande envergure » : un dossier en béton

par Jean-Dominique Michel.

Lors de la séance du Conseil scientifique indépendant du jeudi 12 mai, nous avons eu droit à deux interventions exceptionnelles : celles du Dr Pierre Kory et du sociologue Laurent Mucchielli.

Pierre Kory, médecin réanimateur, est président de la FLCCC (Front Line COVID-19 Critical Care Alliance), un collectif états-uniens de scientifiques et praticiens luttant contre la désinformation sévissant dans les milieux dits scientifiques et les autorités de santé.


Dans une présentation en français, Pierre a passé en revue les ignominies actuellement couvertes par ces milieux et la presse aux ordres : négation systématique de l’efficacité des traitements qui ne rapportent rien, mise en valeur par des études frauduleuses de remèdes inefficaces et toxiques (dont une certaine inoculation expérimentale…) corruption des chercheurs et revues médicales, attaques et intimidation contre les experts intègres, mépris pour la vie des patients – la dérive fortement lucrative à l’œuvre dans la gestion du Covid n’a décidément rien à envier aux agissements de Cosa Nostra ou d’Al-Capone.


Parmi les « perles » mises en lumière dans son exposé, une étude dont le titre conclut à l’inefficacité de l’ivermectine… alors que les données dans l’article montrent le contraire ! Voilà le degré de crapulerie auquel nous en sommes arrivés aujourd’hui.

Ou encore une démonstration que les traitements cortico-stéroïdes les plus efficaces (selon la recherche) ont été interdits au profit des moins efficaces ! Avec combien de morts à la clé ?…


Et en guise d’incontournable conclusion que nous faisons face à l’homicide intentionnel de millions de personnes pour permettre aux pharmas vaccinales de faire – littéralement – des centaines de milliards de dollars de bénéfices.


Le maître d’œuvre de cette opération ? Un certain milliardaire ne connaissant absolument rien à la santé publique, mais qui a acheté les gouvernements, la presse, les universités, les revues médicales et désormais l’OMS – tout ceci étant à nouveau parfaitement documenté dans la présentation du Dr Kory.


Pierre (comme Peter McCullough, Robert Malone ou Jay Bhattacharya) est un scientifique de haut vol, avec cette particularité désormais rare d’être honnête et intègre. Il a eu l’occasion de s’exprimer récemment devant le Sénat américain et a publié accessoirement dans les revues les plus prestigieuses – hélas quant à elles aujourd’hui largement corrompues.


La doxa du grand banditisme

À cet exposé cinglant succéda celui de Laurent Mucchielli, directeur de recherches au CNRS, qui mène un travail d’investigation magistral depuis deux ans autour de la dérive en cours. Spécialiste dans ses travaux précédents de la délinquance, il est vrai qu’il reste en l’espèce dans son domaine…


En Sherlock Holmes des crimes covidiens, Mucchielli met en lumière chaque brique de la magouille : conflits d’intérêts, manipulations et trucages, procédés crapuleux, propagande, stigmatisation et ostracisation, police de la pensée et répression du débat scientifique, exploitation éhontée de la ficelle débile du « complotisme » par une presse achetée, le tout construisant un édifice totalitaire attentant aux fondamentaux de la démocratie et de la science.


Pour lire « Qui a vacciné les médias contre le débat démocratique ? » de Xavier Bazin sur Covidhub.ch : cliquer ici.

Je donne ici accès à l’entier de cette séance exceptionnelle ainsi qu’à chacune de ces interventions.


Mentionnons encore pour la petite histoire que la diffusion de cette séance réunissant deux experts de réputation mondiale a entraîné une censure rapide sur Facebook. Meta participant activement aux crimes en cours, le fait que ceux-ci soient nommés et démontrés, preuves à l’appui, ne pouvait que semer la terreur chez les sbires de Mark Z., grand ami de Bill G. et d’Anthony F. !

Pour lire « Robert Kennedy Jr : « résistez, résistez car une fois qu’ils ont le pouvoir ils ne le rendent jamais ! » sur France Soir : cliquer ici.

***

Comprendre les manipulations et les agissements pervers actuels des médias mainstream étant une œuvre de prophylaxie mentale – essentielle à notre immunité, individuelle et collective -, j’ajoute un décodage de haut vol offert par Idriss Aberkane sur les procédés du groupe de presse Altice et ses titres désormais lamentables (Libération, l’Express, BFMTV, RMC, etc.)

Les autres (en Suisse : Tamedia, Heidi / Le Temps, la RTS ou les titres Ringier, sans oublier Léman Bleu et autres tévélocales, ou en Belgique l’immonde RTBF) ne valant en l’espèce guère mieux. Et oui, cette dérive, comme le souligne Aberkane, constitue bel et bien une menace directe et sans précédents contre la démocratie et l’état de droit.


Du très lourd, donc, qui a l’avantage de mettre les criminels et leurs agissements à nu. Si ceux-ci disposent d’une puissance plus qu’inquiétante, la « résistance » ne manque dieu merci pas de valeureux combattants, ni surtout de preuves en béton !

source : Anthropo Logiques


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par Dr Joseph Mercola.

Le 1er avril 2022, un autre lot de 11 000 documents Pfizer a été rendu public par la Food and Drug Administration américaine. Les données des essais de Pfizer révèlent que l’immunité naturelle était aussi efficace que le vaccin et que les effets secondaires du vaccin étaient plus graves chez les moins de 55 ans. Étant donné que le risque de COVID sévère est considérablement plus faible chez les personnes plus jeunes, un risque élevé d’effets secondaires est inacceptable, et l’injection aurait dû être limitée aux personnes présentant un risque élevé de COVID sévère.

Le taux d’effets indésirables par dose pour le mRNA jab de Pfizer, basé sur ses propres études, est de près de 1 sur 800, et le taux de myocardite est de 10 sur 100 000 – bien plus élevé que le taux de 2 sur 100 000 rapporté précédemment.

Le formulaire de consentement de Pfizer précise que l’effet sur le sperme, les fœtus et les enfants allaités est inconnu. Pourtant, les autorités sanitaires et les médias considèrent comme un « fait » que l’injection n’affecte pas la santé reproductive ou la fertilité et qu’elle est parfaitement sûre pour les femmes enceintes et les mères allaitantes.

Les documents de Pfizer montrent qu’ils n’ont pas exclu le risque d’augmentation des anticorps dépendants. La maladie améliorée associée au vaccin (VAED) est répertoriée comme un « risque potentiel important ». Au 28 février 2021, Pfizer avait recensé 138 cas de VAED présumés, dont 75 étaient graves, entraînant une hospitalisation, une invalidité, des conséquences potentiellement mortelles ou le décès ; 38 cas étaient mortels et 65 n’étaient pas résolus.

Pfizer et la FDA savaient également que des personnes de tous âges présentaient une suppression transitoire de la fonction immunitaire pendant une semaine après la première dose.

Avec un nouveau lot de 11 000 documents de Pfizer, publiés le 1er avril 2022, de vieux soupçons ont trouvé un nouveau soutien. Comme le rapporte la coanimatrice de « Rising », Kim Iversen (vidéo ci-dessus), la première révélation qui fait l’effet d’une bombe est que l’immunité naturelle fonctionne, et que Pfizer le savait depuis le début.

Les données de l’essai clinique ont montré qu’il n’y avait pas de différence de résultats entre les personnes ayant déjà été infectées par le COVID et celles qui ont été vaccinées. Aucun des deux groupes n’a connu d’infection grave. L’immunité naturelle était également statistiquement identique à la vaccination en termes de risque d’infection.

Les jeunes adultes sont plus susceptibles de subir des effets secondaires

La deuxième révélation est que les effets secondaires des injections étaient plus graves chez les jeunes, âgés de 18 à 55 ans, que chez les personnes âgées de 55 ans et plus. (Le risque d’effets secondaires augmentait également avec les doses supplémentaires, de sorte que le risque était plus élevé après la deuxième dose qu’après la première).

Comme beaucoup d’entre nous l’ont dit depuis le début, le risque de COVID grave est considérablement plus faible chez les jeunes que chez les plus de 60 ans, ce qui rend inacceptable un risque élevé d’effets secondaires.

Comme l’a noté The Naked Emperor sur Substack1, « avec un vaccin qui produit des réactions et des événements indésirables plus fréquents et plus graves chez les personnes plus jeunes, le vaccin aurait dû être limité aux personnes qui étaient réellement à risque de COVID-19 grave. »

Les documents de Pfizer montrent un taux élevé de myocardite

Il est intéressant de noter que la documentation de Pfizer comprend également des informations médicales que les médias grand public et les vérificateurs de faits ont qualifiées de désinformation ou d’informations erronées. Un formulaire de consentement pédiatrique énumère plusieurs effets secondaires possibles, dont un taux de myocardite de 10 sur 100 000 – bien plus élevé que le taux de 1 sur 50 000 (c’est-à-dire 2 sur 100 000) rapporté précédemment.

Nous savons également que la myocardite est beaucoup plus fréquente chez les jeunes hommes, de sorte que pour eux, le risque est nettement supérieur à 10 sur 100 000, puisqu’ils constituent la majeure partie de ces blessures.

Les effets sur la santé reproductive sont inconnus

Le formulaire de consentement précise également que les effets sur le sperme, les fœtus et les enfants allaités sont inconnus. Pourtant, les autorités sanitaires et les médias considèrent comme un « fait » que l’injection n’affecte pas la santé reproductive ou la fertilité et qu’elle est parfaitement sûre pour les femmes enceintes et les mères qui allaitent.

Si un effet est inconnu, par définition, vous ne pouvez pas prétendre qu’il est inoffensif. Si vous le faites, vous mentez, purement et simplement, et le Dr Rochelle Walensky, directrice des Centres de contrôle et de prévention des maladies, n’est qu’une des nombreuses personnes coupables de cela. Elle a assuré à plusieurs reprises au public que le vaccin ne présentait aucun risque pour la santé des femmes enceintes ou de leurs bébés. Voici Walensky en mai 2021 :

Et la voilà, en octobre 2021, qui continue à affirmer qu’il n’y a aucun risque.

De même, en août 2021, lorsque le Comirnaty a été homologué, le Dr Anthony Fauci, directeur du National Institute of Allergy and Infectious Diseases, a affirmé que le vaccin COVID était sans danger pendant la grossesse :

L’American College of Obstetricians and Gynecologists (ACOG) fait également des déclarations définitives sur la sécurité, affirmant que « la vaccination peut avoir lieu à n’importe quel trimestre, et l’accent doit être mis sur la réception du vaccin dès que possible afin de maximiser la santé de la mère et du fœtus »2. Pourtant, même l’étiquette de Comirnaty[2],3 indique que « les données disponibles sur Comirnaty administré aux femmes enceintes sont insuffisantes pour informer des risques associés au vaccin pendant la grossesse ».

Le renforcement dépendant des anticorps n’a pas été exclu

De nombreuses personnes qui ont mis en garde contre la possibilité que les injections d’ARNm provoquent un renforcement des anticorps (ADE) – une situation dans laquelle vous finissez par être plus sensible à une infection grave que vous ne l’auriez été autrement – ont été dénigrées et diabolisées par les médias et qualifiées de propager de la désinformation.

Pourtant, le propre formulaire de consentement de Pfizer indique clairement :

« Bien que cela n’ait pas été observé à ce jour, on ne peut pas encore exclure que le vaccin étudié puisse rendre plus grave une maladie ultérieure liée au COVID-19. »

Comme l’a noté Iversen, si l’ADE n’était vraiment pas un sujet de préoccupation, le formulaire de consentement ne l’inclurait pas. Pourtant, il est là.

La maladie améliorée associée au vaccin (VAED) est également répertoriée comme un « risque potentiel important » dans le tableau 5 de la page 11 d’un document intitulé « 5.3.6 Cumulative Analysis of Post-Authorization Adverse Event Reports »4.

Au 28 février 2021, Pfizer comptait 138 cas de VAED présumés, dont 75 étaient graves, entraînant une hospitalisation, une invalidité, des conséquences potentiellement mortelles ou le décès ; au total, 38 cas se sont avérés mortels et 65 sont restés non résolus[4],5.

De plus, comme le note le Daily Expose[5] :

« Les essais cliniques de phase 3 sont conçus pour découvrir les effets secondaires fréquents ou graves avant qu’un vaccin ne soit approuvé, y compris les EIM. Mais c’est là que réside le problème, [car] aucun des vaccins COVID-19 n’a terminé les essais de phase 3. »

L’essai de phase 3 de Pfizer doit se terminer le 8 février 20246, soit dans près de deux ans ! Malgré cela, Pfizer a conclu dans sa soumission à la FDA qu’« aucun des 75 cas ne pouvait être considéré de manière définitive comme un VAED [Vaccine-associated enhanced disease, Maladie renforcée associée aux vaccins]. »

« [Comment diable n’ont-ils pas pu conclure définitivement que le VAED était à blâmer alors que 75% des cas confirmés de « percée » qui leur ont été rapportés étaient des maladies graves entraînant une hospitalisation, une invalidité, des conséquences mortelles de la mort ? » demande The Daily Expose[5].

Pfizer était au courant de l’immunosuppression

Une autre déclaration révélatrice trouvée dans les documents est la suivante :

« L’évaluation clinique en laboratoire a montré une diminution transitoire des lymphocytes, observée dans tous les groupes d’âge et de dose après la dose 1, qui s’est résorbée en une semaine environ… »

En d’autres termes, Pfizer savait que, dans la première semaine suivant l’injection, des personnes de tous âges subissaient une immunosuppression transitoire, ou en d’autres termes, un affaiblissement temporaire du système immunitaire, après la première dose.

Comme l’a noté Iversen, cela peut avoir faussé les taux d’infection, car les personnes n’étaient considérées comme partiellement vaccinées que 14 jours après leur première injection7, et officiellement complètement vaccinées deux semaines après la deuxième dose.

Si les personnes sont susceptibles d’être infectées pendant cette première semaine, mais qu’elles sont considérées comme non vaccinées pendant cette période, cela donne l’impression que les personnes non vaccinées sont plus sujettes à l’infection, alors que ce n’est tout simplement pas le cas. Le propre essai de Pfizer a montré que l’infection était significativement plus fréquente dans le groupe vacciné que dans le groupe placebo – 409 contre 287 – dans les sept premiers jours suivant le vaccin[1].

Les personnes entièrement vaccinées sont plus susceptibles de mourir du COVID

Le fait que Pfizer et la Food and Drug Administration américaine savaient que l’injection provoquait une immunosuppression est incriminé, maintenant que les données du gouvernement britannique montrent que, par rapport aux personnes non vaccinées, celles qui ont reçu deux doses sont[5] :

  • Jusqu’à trois fois plus susceptibles de recevoir un diagnostic de COVID-19
  • Deux fois plus de risques d’être hospitalisées à cause du COVID-19.
  • Trois fois plus de risques de mourir du COVID-19.

Les documents de Pfizer admettent qu’il y a eu une baisse temporaire de la fonction immunitaire après la première dose, mais les données du monde réel montrant un risque accru d’infection grave et de décès dû au COVID chez les personnes ayant reçu une double injection suggèrent que l’EIM peut aussi être en jeu plus tard.

Le graphique ci-dessous, créé par Daily Expose[5] à partir des données du rapport de surveillance des vaccins de l’UKHSA pour la semaine 13, 20228 (pages 40 et 45), révèle qui est le plus susceptible de contracter le COVID. Et le taux d’infection des triples-vaccinés est encore plus élevé que celui des doubles-vaccinés.

Le graphique suivant a été créé par le Daily Expose[5] à partir des données des pages 41 et 45, en comparant les taux d’hospitalisation COVID.

Enfin, il y a une comparaison des taux de mortalité, basée sur les pages 44 et 45 du rapport de surveillance des vaccins de l’UKHSA pour la semaine 13, 2022[8]. Toute personne âgée de plus de 40 ans qui a reçu une double injection est maintenant plus susceptible de mourir du COVID qu’une personne non vaccinée du même âge.

Efficacité négative des vaccins dans le monde réel

Le Daily Expose poursuit en calculant et en établissant un graphique du taux d’efficacité du vaccin COVID dans le monde réel, et les nouvelles sont terribles[5] :

« Si les taux pour 100 000 sont plus élevés chez les vaccinés, ce qui est le cas, cela signifie que les injections de COVID-19 ont une efficacité négative dans le monde réel. Et en utilisant la formule d’efficacité des vaccins de Pfizer, nous pouvons déchiffrer avec précision quelle est l’efficacité réelle dans chaque groupe d’âge.

La formule d’efficacité des vaccins de Pfizer : Taux de non-vaccination pour 100k – Taux de vaccination pour 100k / Taux de non-vaccination pour 100k x 100 = Efficacité du vaccin …

Ces données montrent que toutes les personnes doublement vaccinées de plus de 18 ans ont entre 2 et 3 fois plus de risques d’être infectées, avec une efficacité vaccinale de moins 87% chez les 18-29 ans et de moins 178% chez les plus de 80 ans.

[Toutes les personnes doublement vaccinées de plus de 30 ans ont entre 0,2 et 2 fois plus de risques d’être hospitalisées, avec une efficacité vaccinale de moins 1% chez les 30 à 39 ans et de moins 76% chez les plus de 80 ans.

Le graphique suivant montre l’efficacité réelle du vaccin COVID-19 contre le décès parmi la population doublement vaccinée en Angleterre, sur la base des taux de décès fournis ci-dessus …

[Toutes les personnes doublement vaccinées âgées de plus de 40 ans ont entre 2 et 3 fois plus de risques de mourir du COVID-19, avec une efficacité vaccinale de moins 90% chez les 30 à 39 ans et de moins 156% chez les plus de 80 ans ».

Pfizer a embauché 600 personnes pour traiter un nombre sans précédent de rapports

Au cours des deux dernières années, nous avons gardé un œil sur le système américain de notification des effets indésirables des vaccins (VAERS), secouant la tête avec incrédulité alors que les chiffres augmentaient par centaines chaque semaine, dépassant rapidement les blessures liées à tous les autres vaccins combinés au cours des 32 dernières années9.

Au 25 mars 2022, on comptait 1 205 753 rapports liés au vaccin COVID, dont 145 781 hospitalisations et 26 396 décès10. Aucun produit médical de l’histoire moderne n’est comparable. Rien n’a été aussi dommageable et mortel que ces injections expérimentales.

Entre décembre 2020 et fin février 2021, Pfizer a expédié 126 212 580 doses de sa piqûre d’ARNm dans le monde entier. Divisé par 158 000 effets secondaires, nous obtenons un taux d’événements indésirables par dose de près de 1:800.

Dans un lot précédent de documents, nous avons appris que Pfizer avait reçu 42 086 rapports de cas contenant un total de 158 893 événements au cours des trois premiers mois du déploiement. Dans ce communiqué, le nombre de doses expédiées était expurgé, mais dans le communiqué du 1er avril 2022, il ne l’était plus, ce qui signifie que nous pouvons maintenant calculer le taux d’événements indésirables signalés à Pfizer au cours de ces trois premiers mois.

Entre décembre 2020 et fin février 2021, Pfizer a expédié 126 212 580 doses de sa piqûre d’ARNm dans le monde entier. Divisé par 158 000 effets secondaires, nous obtenons un taux d’événements indésirables par dose de près de 1 sur 800[9], ce qui est tout simplement follement irresponsable.

Nous disposons également de documents montrant que Pfizer, à la fin du mois de février 2021, avait embauché 600 employés supplémentaires à temps plein pour traiter l’afflux sans précédent de rapports d’effets indésirables, et qu’elle prévoyait qu’à la fin du mois de juin 2021, elle en embaucherait plus de 1 800[9].

En fin de compte, la vaccination COVID restera dans l’histoire comme la plus grande fraude médicale jamais commise avec la participation volontaire des entreprises pharmaceutiques et des organismes de réglementation. Et il n’y a pas de perspective de fin.

En mars 2022, la FDA a autorisé les doses 4 et 5, sur la base d’une étude préliminaire11,12 qui a révélé qu’une quatrième injection Moderna était efficace à 11% et provoquait des effets secondaires chez 40% des patients, et qu’une quatrième injection Pfizer était efficace à 30% et provoquait des effets secondaires chez 80% des personnes.

Je ne sais pas ce qu’il faudra pour que ce cauchemar de santé publique prenne fin et que les parties responsables soient appelées à répondre de leur négligence criminelle, mais apparemment, nous n’avons pas encore atteint l’indignation de masse critique.

source : Global Research

via Mondialisation


  • The Naked Emperor Substack March 29, 2022
  • The Defender March 15, 2022
  • Meryl Nass Substack March 14, 2022
  • 5.3.6 Cumulative Analysis of Post-Authorization Adverse Event Reports, Page 11, Table 5
  • Daily Expose April 3, 2022
  • Clinical Trials NCT04368728
  • MMWR March 19, 2021; 70(11): 396-401
  • UKHSA Vaccine Surveillance Report for week 13, 2022
  • The Defender April 5, 2022
  • OpenVAERS As of March 25, 2022
  • MedRxiv February 15, 2022, DOI: 10.1101/2022.02.15.22270948
  • NEJM Correspondence March 16, 2022 DOI: 10.1056/NEJMc2202542



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    30 faits que vous DEVEZ connaître : Votre fiche d’information Covid

    30 faits que vous DEVEZ connaître : Votre fiche d’information Covid

    par Kit Knightly.

    Vous l’avez demandé, alors nous l’avons fait. Une collection de tous les arguments dont vous aurez besoin.

    Nous recevons beaucoup d’e-mails et de messages privés du genre « avez-vous une source pour X ? » ou « pouvez-vous m’indiquer des études sur les masques ? » ou « je sais que j’ai vu un graphique sur la mortalité, mais je ne le trouve plus ». Nous comprenons que ces 18 mois ont été longs et qu’il y a tellement de statistiques et de chiffres à essayer de garder en tête.

    Alors, pour faire face à toutes ces demandes, nous avons décidé de dresser une liste par points et par sources de tous les points clés.

    Voici les principaux faits et sources concernant la prétendue « pandémie », qui vous aideront à comprendre ce qui est arrivé au monde depuis janvier 2020, et à éclairer tous vos amis qui seraient encore prisonniers du brouillard de la nouvelle normalité.

    *

    Partie I : « Morts du Covid » et mortalité

    1. Le taux de survie du « Covid » est supérieur à 99%. Les experts médicaux du gouvernement ont fait tout leur possible pour souligner, dès le début de la pandémie, que la grande majorité de la population ne courait aucun danger avec le Covid.

    Presque toutes les études sur le taux de létalité (IFR) du Covid ont donné des résultats compris entre 0,04% et 0,5%. Ce qui signifie que le taux de survie du Covid est d’au moins 99,5%.

    *

    2. Il n’y a eu AUCUNE surmortalité inhabituelle. La presse a qualifié l’année 2020 d’« année la plus meurtrière depuis la Seconde Guerre mondiale» au Royaume-Uni, mais cette affirmation est trompeuse car elle ne tient pas compte de l’augmentation massive de la population depuis cette époque. Une mesure statistique plus raisonnable de la mortalité est le taux de mortalité standardisé sur l’âge (TMS) :

    Selon cette mesure, 2020 n’est même pas la pire année pour la mortalité depuis 2000. En fait, depuis 1943, seules 9 années ont été meilleures que 2020.

    De même, aux États-Unis, le TMS pour 2020 n’est qu’au niveau de 2004 :

    Pour une analyse détaillée de l’impact du Covid sur la mortalité en Europe occidentale et aux États-Unis, cliquez ici. Les augmentations de la mortalité que nous avons observées pourraient être attribuées à des causes non liées au Covid [faits 7, 9 et 19].

    *

    3. Le nombre de « décès dus au Covid » est artificiellement gonflé. Les pays du monde entier définissent le « décès dû au Covid » comme un « décès, quelle qu’en soit la cause, dans les 28/30/60 jours suivant un test positif ».

    Des responsables de la santé d’Italie, d’Allemagne, du Royaume-Uni, des États-Unis, d’Irlande du Nord et d’autres pays ont tous admis cette pratique :

    La suppression de toute distinction entre le décès dû au Covid et le décès dû à autre chose après un test positif au Covid entraînera naturellement un surdénombrement des « décès dus au Covid ». Le Dr John Lee, pathologiste britannique, a mis en garde contre cette « surestimation substantielle » dès le printemps dernier. D’autres sources grand public l’ont également signalé.

    Compte tenu de l’énorme pourcentage d’infections « asymptomatiques » par le Covid [fait 14], de la prévalence bien connue de comorbidités graves [fait 4] et de la possibilité de tests faussement positifs [fait 18], le nombre de décès dus au Covid est une statistique extrêmement peu fiable.

    *

    4. La grande majorité des morts covid avaient des comorbidités sérieuses. En mars 2020, le gouvernement italien a publié des statistiques montrant que 99,2% de leurs « décès Covid » avaient au moins une comorbidité grave.

    Celles-ci comprenaient le cancer, les maladies cardiaques, la démence, la maladie d’Alzheimer, l’insuffisance rénale et le diabète (entre autres). Plus de 50% d’entre eux présentaient au moins trois pathologies graves préexistantes.

    Ce schéma s’est maintenu dans tous les autres pays au cours de la « pandémie ». Une requête FOIA d’octobre 2020 auprès de l’ONS britannique a révélé que moins de 10% du décompte officiel des « décès dus au Covid » à cette époque avaient le Covid comme seule cause de décès.

    *

    5. L’âge moyen des décès dus au Covid est supérieur à l’espérance de vie moyenne. L’âge moyen des morts « Covid » au Royaume-Uni est de 82,5 ans. En Italie, il est de 86 ans. En Allemagne, 83 ans. En Suisse, 86 ans. Au Canada, 86. Aux États-Unis, 78, en Australie, 82.

    Dans presque tous les cas, l’âge médian d’un « décès Covid » est supérieur à l’espérance de vie nationale.

    Ainsi, pour la majeure partie du monde, la « pandémie » n’a eu que peu ou pas d’impact sur l’espérance de vie. À titre de comparaison, la grippe espagnole a entraîné une baisse de 28% de l’espérance de vie aux États-Unis en un peu plus d’un an. [source]

    *

    6. La mortalité covid reflète exactement la courbe de mortalité naturelle. Des études statistiques menées au Royaume-Uni et en Inde ont montré que la courbe des « morts Covid » suit presque exactement la courbe de la mortalité attendue :

    Le risque de décès « dû au Covid » suit, presque exactement, le risque de décès naturel en général.

    La légère augmentation pour certains des groupes d’âge plus élevés peut être expliquée par d’autres facteurs [faits 7, 9 et 19].

    *

    7. Il y a eu une augmentation massive de l’utilisation de NPR « illégaux ». Les organismes de surveillance et les agences gouvernementales ont signalé une augmentation considérable de l’utilisation des Ordres de ne pas réanimer (NPR) au cours des vingt derniers mois.

    Aux États-Unis, les hôpitaux ont envisagé des « NPR universels » pour tout patient testé positif au Covid, et des infirmières dénonciatrices ont admis que le système de NPR était utilisé de manière abusive à New York.

    Au Royaume-Uni, on a constaté une augmentation « sans précédent » du nombre de NPR « illégaux » pour les personnes handicapées. Les cabinets de médecins généralistes ont envoyé des lettres aux patients en fin de vie pour leur recommander de signer des Ordres de ne pas réanimer, tandis que d’autres médecins ont signé des Ordres de ne pas réanimer généraux pour des maisons de retraite entières.

    Une étude réalisée par l’Université de Sheffield a révélé que plus d’un tiers de tous les patients « suspectés » de Covid avaient un NPR joint à leur dossier dans les 24 heures suivant leur admission à l’hôpital.

    L’utilisation généralisée de NPR forcés ou illégaux pourrait expliquer toute augmentation de la mortalité en 2020/21 [Faits 2 & 6].

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    Partie II : Confinements

    8. Les confinements n’empêchent pas la propagation des maladies. Il n’y a que peu ou pas de preuves que les confinements ont un quelconque impact sur la limitation des « décès Covid ». Si l’on compare les régions qui ont procédé à un confinement à celles qui ne l’ont pas fait, on ne voit aucune tendance.

    « Décès dus au covid » en Floride (pas de confinement) et en Californie (confinement).
    « Décès dus au Covid » en Suède (pas de confinement) vs Royaume-Uni (confinement).

    9. Les confinements tuent les gens. Il existe des preuves solides que les confinements – à travers les dommages sociaux, économiques et de santé publique – sont plus mortels que le « virus ».

    Le Dr David Nabarro, envoyé spécial de l’Organisation mondiale de la Santé pour le Covid-19, a décrit les confinements comme une « catastrophe mondiale » en octobre 2020 :

    « Nous, à l’Organisation mondiale de la Santé, ne préconisons pas les confinements comme principal moyen de lutte contre le virus […] il semble que nous pourrions avoir un doublement de la pauvreté mondiale d’ici l’année prochaine. Nous pourrions bien avoir au moins un doublement de la malnutrition infantile […] C’est une catastrophe mondiale terrible, épouvantable ».

    Un rapport de l’ONU datant d’avril 2020 prévient que des centaines de milliers d’enfants seront tués par l’impact économique des confinements, tandis que des dizaines de millions d’autres risquent la pauvreté et la famine.

    Le chômage, la pauvreté, le suicide, l’alcoolisme, la toxicomanie et d’autres crises sociales et de santé mentale sont en hausse dans le monde entier. Les opérations chirurgicales et les dépistages manqués ou retardés vont entraîner une augmentation de la mortalité due aux maladies cardiaques, au cancer, etc. dans un avenir proche.

    L’impact du confinement expliquerait la légère augmentation de la surmortalité [Faits 2 & 6].

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    10. Les hôpitaux n’ont jamais été exceptionnellement surchargés. Le principal argument utilisé pour défendre le confinement est que « l’aplatissement de la courbe » empêcherait un afflux rapide de cas et protégerait les systèmes de santé de l’effondrement. Mais la plupart des systèmes de santé n’ont jamais été proches de l’effondrement.

    En mars 2020, il a été rapporté que les hôpitaux espagnols et italiens débordaient de patients, mais cela se produit à chaque saison de grippe. En 2017, les hôpitaux espagnols étaient à 200% de leur capacité, et 2015 a vu des patients dormir dans les couloirs. Un article du JAMA de mars 2020 a révélé que les hôpitaux italiens « fonctionnent généralement à 85-90% de leur capacité pendant les mois d’hiver ».

    Au Royaume-Uni, le NHS est régulièrement mis à rude épreuve pendant l’hiver.

    Dans le cadre de sa politique Covid, le NHS a annoncé au printemps 2020 qu’il allait « réorganiser la capacité des hôpitaux selon de nouvelles méthodes pour traiter séparément les patients Covid et non Covid » et que « par conséquent, les hôpitaux connaîtront des pressions de capacité à des taux d’occupation globaux inférieurs à ce qui aurait été le cas auparavant ».

    Cela signifie qu’ils ont supprimé des milliers de lits. Pendant une prétendue pandémie mortelle, ils ont réduit le taux d’occupation maximal des hôpitaux. Malgré cela, le NHS n’a jamais ressenti de pression au-delà de la saison de grippe typique, et a parfois eu quatre fois plus de lits vides que la normale.

    Au Royaume-Uni et aux États-Unis, des millions de dollars ont été dépensés pour des hôpitaux d’urgence temporaires qui n’ont jamais été utilisés.

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    Partie III : Tests PCR

    11. Les tests PCR n’ont pas été conçus pour diagnostiquer les maladies. Le test RT-PCR (Reverse-Transcriptase Polymerase Chain Reaction) est décrit dans les médias comme le « standard or » pour le diagnostic Covid. Mais l’inventeur de ce procédé, lauréat du prix Nobel, n’a jamais eu l’intention de l’utiliser comme outil de diagnostic, et l’a dit publiquement :

    « La PCR n’est qu’un procédé qui vous permet de produire une grande quantité de quelque chose à partir de quelque chose. Il ne vous dit pas que vous êtes malade, ou que la chose que vous avez obtenue va vous faire du mal ou quoi que ce soit d’autre ».

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    12. Les tests PCR ont un historique d’imprécision et de manque de fiabilité. Les tests PCR pour le Covid sont connus pour produire beaucoup de résultats faussement positifs, en réagissant à des matériaux d’ADN qui ne sont pas spécifiques au Sars-Cov-2.

    Une étude chinoise a montré qu’un même patient pouvait obtenir deux résultats différents avec le même test le même jour. En Allemagne, on sait que des tests ont réagi à des virus du rhume. Une étude de 2006 a révélé que les tests PCR pour un virus réagissaient également à d’autres virus. En 2007, le recours aux tests PCR a entraîné une « épidémie » de coqueluche qui n’a jamais existé. Aux États-Unis, certains tests ont même réagi à l’échantillon de contrôle négatif.

    L’ancien président de la Tanzanie, John Magufuli, a soumis des échantillons de chèvre, de papaye et d’huile de moteur à des tests PCR, qui se sont tous révélés positifs au virus.

    Dès février 2020, les experts ont admis que le test n’était pas fiable. Le Dr Wang Cheng, président de l’Académie chinoise des Qciences médicales, a déclaré à la télévision d’État chinoise : « La précision des tests n’est que de 30 à 50% ». Sur le site web du gouvernement australien, on peut lire : « Les données disponibles pour évaluer la précision et l’utilité clinique des tests COVID-19 disponibles sont limitées ». Et un tribunal portugais a jugé que les tests PCR étaient « peu fiables » et ne devaient pas être utilisés pour le diagnostic.

    Vous pouvez lire des analyses détaillées des défaillances des tests PCR ici, ici et ici.

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    13. Les valeurs CT des tests PCR sont trop élevées. Les tests PCR sont exécutés en cycles, le nombre de cycles que vous utilisez pour obtenir votre résultat est connu comme votre « seuil de cycle » ou valeur CT. Kary Mullis a déclaré : « Si vous devez effectuer plus de 40 cycles […], il y a quelque chose qui ne va pas du tout avec votre PCR».

    Les directives de la MIQE en matière de PCR sont d’accord, puisqu’elles stipulent ce qui suit : « Les valeurs de [CT] supérieures à 40 sont suspectes en raison de la faible efficacité implicite et ne doivent généralement pas être rapportées », le Dr Fauci lui-même a même admis que tout ce qui dépasse 35 cycles n’est presque jamais cultivable.

    Le Dr Juliet Morrison, virologue à l’Université de Californie, Riverside, a déclaré au New York Times : « Tout test dont le seuil de cycles est supérieur à 35 est trop sensible… Je suis choquée que les gens puissent penser que 40 [cycles] puissent représenter un positif… Un seuil plus raisonnable serait de 30 à 35 ».

    Dans le même article, le Dr Michael Mina, de l’école de santé publique de Harvard, a déclaré que la limite devrait être de 30. L’auteur poursuit en soulignant que la réduction du CT de 40 à 30 aurait réduit les « cas de Covid » dans certains États jusqu’à 90%.

    Les propres données du CDC suggèrent qu’aucun échantillon de plus de 33 cycles ne peut être cultivé, et l’Institut Robert Koch d’Allemagne affirme que rien de plus de 30 cycles n’est susceptible d’être infectieux.

    Malgré cela, on sait que presque tous les laboratoires aux États-Unis effectuent leurs tests à au moins 37 cycles et parfois jusqu’à 45. La « procédure opérationnelle standard » du NHS pour les tests PCR fixe la limite à 40 cycles.

    Sur la base de ce que nous savons des valeurs CT, la majorité des résultats des tests PCR sont au mieux douteux.

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    14. L’Organisation mondiale de la Santé a admis (deux fois) que les tests PCR produisaient des faux positifs. En décembre 2020, l’OMS a publié une note d’information sur le processus de PCR indiquant aux laboratoires de se méfier des valeurs CT élevées qui entraînent des résultats faussement positifs :

    « Lorsque les échantillons renvoient une valeur Ct élevée, cela signifie que de nombreux cycles ont été nécessaires pour détecter le virus. Dans certaines circonstances, la distinction entre le bruit de fond et la présence réelle du virus cible est difficile à établir ».

    Puis, en janvier 2021, l’OMS a publié un autre mémo, avertissant cette fois que les tests PCR positifs « asymptomatiques » devaient être retestés car il pouvait s’agir de faux positifs :

    « Lorsque les résultats du test ne correspondent pas à la présentation clinique, un nouvel échantillon doit être prélevé et retesté en utilisant la même technologie NAT ou une technologie différente ».

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    15. La base scientifique des tests Covid est discutable. Le génome du virus Sars-Cov-2 a soi-disant été séquencé par des scientifiques chinois en décembre 2019, puis publié le 10 janvier 2020. Moins de deux semaines plus tard, des virologues allemands (Christian Drosten et al.) auraient utilisé ce génome pour créer des essais pour les tests PCR.

    Ils ont rédigé un article intitulé « Détection du nouveau coronavirus 2019 (2019-nCoV) par RT-PCR en temps réel », qui a été soumis pour publication le 21 janvier 2020, puis accepté le 22 janvier. Cela signifie que l’article a été prétendument « examiné par les pairs » en moins de 24 heures. Un processus qui prend généralement des semaines.

    Depuis lors, un consortium de plus de quarante spécialistes des sciences de la vie a demandé le retrait de l’article, en rédigeant un long rapport détaillant dix erreurs majeures dans la méthodologie de l’article.

    Ils ont également demandé la publication du rapport d’examen par les pairs du journal, afin de prouver que l’article a réellement été soumis au processus d’examen par les pairs. Le journal ne s’est pas encore exécuté.

    Les tests de Corman-Drosten sont à la base de tous les tests PCR de Covid dans le monde. Si l’article est douteux, chaque test PCR l’est aussi.

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    Partie IV : « Infection asymptomatique »

    16. La majorité des infections Covid sont « asymptomatiques ». Dès mars 2020, des études réalisées en Italie suggéraient que 50 à 75% des tests Covid positifs ne présentaient aucun symptôme. Une autre étude britannique datant d’août 2020 a révélé que 86% des « patients Covid » ne présentaient aucun symptôme viral.

    Il est littéralement impossible de faire la différence entre un « cas asymptomatique » et un résultat de test faussement positif.

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    17. Il existe très peu de preuves à l’appui du prétendu danger de « transmission asymptomatique ». En juin 2020, le Dr Maria Van Kerkhove, chef de l’unité des maladies émergentes et des zoonoses de l’OMS, a déclaré :

    « D’après les données dont nous disposons, il semble encore rare qu’une personne asymptomatique transmette effectivement le virus à un individu secondaire ».

    Une méta-analyse des études Covid, publiée par le Journal of the American Medical Association (JAMA) en décembre 2020, a révélé que les porteurs asymptomatiques avaient moins de 1% de chances d’infecter les personnes de leur foyer. Une autre étude, réalisée sur la grippe en 2009, a trouvé :

    « … des preuves limitées pour suggérer l’importance de la transmission [asymptomatique]. Le rôle des personnes asymptomatiques ou présymptomatiques infectées par la grippe dans la transmission de la maladie a peut-être été surestimé… »

    Étant donné les défauts connus des tests PCR, de nombreux « cas asymptomatiques » peuvent être des faux positifs [fait 14].

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    Partie V : Respirateurs

    18. La ventilation n’est PAS un traitement pour les virus respiratoires