L’Afrique, test géant pour la chloroquine – Comparaisons des mortalités Covid en

Démarré par Ouebmestre, 14 Octobre, 2021, 10:20:29

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Ouebmestre

L'Afrique, test géant pour la chloroquine – Comparaisons des mortalités Covid entre l'Afrique et l'Europe

https://reseauinternational.net/lafrique-test-geant-pour-la-chloroquine-comparaisons-des-mortalites-covid-entre-lafrique-et-leurope

par Dr Gérard Delépine.

« On ne sait jamais le jour où son voisin devient fou » ~ Vieux proverbe africain
Depuis le début de la crise, les gouvernants et les médias occidentaux tentent de nous faire croire que leur stratégie sanitaire « confinement – pas de traitement – tout vaccin » est la meilleure et la seule possible.
Mais certains pays africains par choix et/ou nécessité ont fait autrement et s'en sont plutôt bien trouvé. Nous analysons ici l'évolution du Covid dans différents pays africains selon leurs stratégies.
Les faits bruts : nombre de cas et mortalité En Afrique, un peu plus de 8 millions de cas (3% du total mondial) et 200 000 morts Covid (4% du total mondial) ont été recensés alors qu'elle regroupe un peu plus de 17% de la population mondiale.

Le nombre de cas est certainement sous-estimé du fait de l'insuffisance chronique de tests, aussi nous nous concentrerons dans cette analyse sur la mortalité Covid. Rappelons d'emblée que sur les 200 000 morts africains, environ 45% des morts déclarées l'ont été dans un seul pays, l'Afrique du Sud.
Compte tenu de la population de 1,3 milliard, la mortalité Covid africaine globale est de 153 par million (80/million en excluant l'Afrique du Sud), soit 12 à 22 fois plus faible qu'en France qui en compte près de 1800 par million.
Cette très faible mortalité africaine est d'autant plus inattendue que les systèmes hospitaliers sont bien plus médiocres que le nôtre, qu'ils manquent chroniquement de médicaments et de médecins et que très peu d'Africains (moins de 3%) ont été vaccinés.
D'ailleurs depuis le début de la crise les médias avertissent de l'imminence d'une catastrophe Covid dans ce continent1,2,3,4 et nos gouvernants voudraient leur imposer la thérapie génique.
Comment expliquer cette évolution inattendue ? La population de l'Afrique dépasse 1,3 milliard d'humains, essentiellement composée de jeunes.
Le pourcentage des plus de 65 ans varie de 2,5% (Tchad) à 8% (Tunisie), alors qu'il atteint 20% en Europe et 17% aux USA.
Comme la très grande majorité des victimes du Covid se recrute parmi les plus de 65 ans, la proportion des malades à risque en Afrique est d'environ quatre fois inférieure à celle de l'Europe et peut ainsi explique une partie de la sous-mortalité constatée.
Mais après correction par l'âge, les Africains bénéficient encore de 3 (si on intègre l'Afrique du Sud) à 7 fois moins (en l'excluant) de morts Covid par million d'habitants.
Le climat, les modes de vie, les moindres contacts internationaux pourraient aussi expliquer une plus petite partie du sous-risque africain.
Mais l'explication la plus plausible est liée à l'utilisation quotidienne des antipaludéens La comparaison des cartes de la mortalité Covid et de l'incidence de paludisme montre que les pays dont la population exposée au paludisme prend des antipaludéens chaque jour bénéficient d'une mortalité Covid beaucoup plus faible que les autres.


L'éventuel rôle protecteur du climat tropical sur la mortalité Covid parfois évoquée est rendu peu vraisemblable par la carte des mortalités mondiales qui montre que les pays tropicaux d'Amérique du Sud (où le paludisme ne sévit pas et dont les populations ne prennent pas d'antipaludéens) souffrent autant du Covid que ceux d'Amérique du Nord et d'Europe.
Comme rien ne permet d'imaginer que le paludisme puisse protéger du Covid, l'hypothèse la plus plausible est l'effet bénéfique des traitements antipaludéens au long cours sur le Covid.


Les pays dont les populations prennent des antipaludéens tous les jours bénéficient d'une mortalité 10 à 200 fois inférieure à celle de la France
comme :

       
  • le Nigéria (13/M soit 135 fois moins),
  • le Mali (26/M soit 68 fois moins),
  • le Congo (10/M soit 176 fois moins),
  • le Tchad (11/M soit 170 fois moins),
  • le Cameroun (58/M soit 30 fois moins que la France),
  • le Niger (8/M soit 220 fois moins),
  • la Côte d'Ivoire (24/M soit 74 fois moins),
  • la Guinée (30/M soit 61 fois moins),
  • le Sénégal (116/M soit 16 fois moins)...


Les populations du Maghreb, comme celle de l'Afrique du Sud, ne prenaient pas d'antipaludéens avant l'arrivée du Covid.
En Algérie, dès mars 2020, les autorités sanitaires algériennes ont recommandé le protocole Raoult qui a été largement utilisé.
Au 10 octobre 2021, la mortalité cumulée ne dépasse pas 138/M soit 13 fois moins que la France. Le 31 mai 2121 à 19 h sur Canal Algérie, un membre du comité scientifique algérien, a employé le terme de « curatif » concernant ce traitement.
Au Maroc, le gouvernement qui avait initialement fortement milité pour la chloroquine n'a plus conseillé ce traitement après les mises en garde infondées de l'OMS. Au 10 octobre 2021 la mortalité cumulée atteint 392/Million.
La Tunisie a suivi les recommandations de l'OMS et suspendu l'utilisation de la chloroquine en mai 2020. Cet arrêt a été suivi par la progression de la maladie et l'apparition des premiers décès. Au 10 octobre 2021 la mortalité Covid atteint 2117/M.

L'Afrique du Sud ne souffre pas de paludisme et n'utilisait pas d'antipaludéens lorsque le Covid est apparu. La stratégie utilisée a été semblable à celle de la France : confinement, refus des traitements précoces, vaccin.
Elle a banni la chloroquine et plus récemment l'ivermectine. Elle constitue actuellement le pays africain à la plus forte mortalité Covid avec 1495 morts par million d'habitants, supérieure à la mortalité européenne moyenne.

Cet examen rapide de l'évolution du Covid en Afrique montre la parfaite corrélation entre une mortalité faible et la prise quotidienne d'antipaludéens.
Il n'y a pas de miracle africain. Il n'y a que la confirmation que les traitements par antipaludéens sont efficaces.

source : https://www.mondialisation.ca
Donne un cheval à celui qui dit la vérité : il en aura besoin pour s'enfuir.

Ouebmestre

#1
Ces cartes qui démontrent combien Christian Perronne a raison

Patrice Gibertie.
https://pgibertie.com/2021/11/22/ces-cartes-qui-demontrent-combien-christian-perronne-a-raison/



Publié le 22 novembre 2021 par pgibertie               
Il faut remercier Yvan Rioufol d'avoir bravé le CSA et les Bien pensants pour permettre  à Christian Perronne de s'exprimer.
Un grand monsieur, modeste et profondément humain .
Ce cher Professeur a eu à peine le temps d'asséner des vérités que je voudrais ici conforter par des cartes, des graphiques et des éléments factuels incontestables
Les effets secondaires?
17 821 décès liés aux vaccins anti Covid déclarés sur Eudravigilance au 20.11.2021 (base de pharmacovigilance) – Pfizer : 8 724 – Moderna : 4 542 – Astra Zeneca : 3 731 – Jansen : 841 La pharmacovigilance ne remonte qu'entre 1% et 10% de la réalité.
Professeur Perrone : il n'y a pas de 5ème vague. Les « vaccins » Covid n'empêchent pas d'attraper le Covid, ni de le transmettre ni de faire une forme grave. Tous les pays qui n'ont pas utilisé ces « vaccins » s'en sortent mieux. regardez les cartes
Le devenir de la Pandémie? C 'est l'histoire qui donne raison à Christian Perronne, le précédent virus, celui de 1890 est devenu un simple rhume qui nous protège contre la covid actuelle, oui ce type de virus s'affaiblit à la condition de ne pas jouer aux apprentis sorciers...
Il suffit ensuite de regarder les cartes....

   CES POPULATIONS PROTEGEES CAR SOIGNEES CONTRE LE PALU  ET L'ONCHOCERCOSE
'il n'y a pas,  de pouvoirs politiques libres qui puissent faire le choix de l'ivermectine ou de l'hydroxychloroquine, il y a peut-être des populations qui ont été protégées de la Covid malgré ces autorités politiques, c'est-à-dire protégées parce qu'elles étaient tout simplement soignées pour d'autres maladies. C'est le cas pour l'onchocercose, c'est-à-dire la cécité des rivières.

       
  • L'onchocercose est une maladie due à une filaire qui est un parasite l'onchocerca volvulus, vivant sous la peau. Cette maladie touche environ 25 millions d'individus dans le monde. Le risque majeur est la cécité par atteinte de la cornée et de la rétine.
  • Le traitement par l'ivermectine, en une prise tous les six mois, permet maintenant de faire régresser la maladie.
  • La prévention, comme souvent, est en partie liée à l'éradication des simulies par des insecticides et l'assèchement des zones humides où elles vivent.
Vous avez en rouge les zones du monde qui sont particulièrement touchées. Je peux vous assurer que les populations soignées contre l'onchocercose, sont protégées de la COVID. On peut tout à fait s'intéresser aussi aux médecines disparues ;  pour l'onchocercose, on sait très bien que c'est l'ivermectine.


Le virus n'aime pas le palu, mais alors pas du tout. On sait très bien que pour le palu, il y a l'artéminisinine, un peu l'ivermectine, l'hydroxychloroquine ; pour l'onchocercose, on sait très bien que c'est l'ivermectine.
  Cette étude est d'Idriss Aberkane,  Gérard Maudrux l'a reprise. C'est la différence entre l'Afrique qui est soignée à l'ivermectine contre la cécité des rivières par rapport à celle qui ne l'est pas. On voit très nettement que l'Afrique soignée à l'ivermectine – malgré elle – a infiniment moins de morts que l'Afrique qui n'est pas soignée à l'ivermectine, qui a la "malchance" de ne pas avoir d'onchocercose.
Plus de 99% des cas d'onchocercose en Afrique ont lieu dans ces 32 pays, soit 973 millions d'habitants qui font l'objet d'une campagne massive de l'OMS avec l'ivermectine, en vue d'éradiquer la maladie. Les 22 autres pays ("groupe placebo"de 357 millions d'habitants) ne l'utilisent pas
La situation est plus intéressante encore pour l'Afrique sub saharienne avec la fracture entre la République sud-africaine (et ses satellites) et le reste du continent, du Sénégal au Congo.

       
  • En Afrique du Sud, 18% de vaccinés, pays officiellement le plus touché avec un total de 83 899 décès dus au Covid-19, environ 7 400 nouveaux cas et 234 nouveaux décès quotidiens ont recensés en moyenne ces sept derniers jours, contre jusqu'à 20 000 cas et 420 décès par jour en juillet.
  • La République Sud Africaine pourchasse ceux qui voudraient utiliser l'ivermectine et bat tous les records de Covid du continent !
  • Elle n'est touchée ni par le paludisme, ni par la cécité des rivières, donc il faut se tourner vers la propagande pour tenter de s'en procurer.

       
  • Au Mozambique tout proche avec moins de 5% de vaccinés mais une ivermectine omniprésente, la Covid tue 100 fois moins par million d'habitants. Les habitants de la Namibie peuvent s'en procurer et la Covid ne pose plus de problème.
,Il fallait être attentif et comparer ce qui est comparable. Et je préfère me contenter de comparer, dans le Maghreb, la Tunisie et les autres.
MAGHREB/ LA TUNISIE VICTIME DU PARACETAMOL
-Au moins 38% des Tunisiens ont reçu leur première dose contre 7% des Egyptiens mais pas de commune mesure entre les deux pays, par million d'habitants, il y cent fois moins de cas et de décès en Egypte. Le Maroc a vacciné la moitié de sa population et il est relativement épargné, tout comme l'Algérie.
-Ces trois pays ont des structures démographiques, des comorbidités proches. Pourquoi la Tunisie et pas les deux autres ?? Une seule explication explose : le Maroc reste fidèle au protocole Raoult, l'Egypte y ajoute l'ivermectine. La Tunisie s'est soumise à l'interdiction des traitements précoces.
C'est la catastrophe en Tunisie. Pourquoi ce n'est pas la catastrophe au Maroc ? Pourquoi ce n'est pas la catastrophe en Egypte alors que ces pays ont des structures démographiques très proches ? La réponse est que la Tunisie s'est soumise à l'interdiction des traitements précoces. Le Maroc est resté fidèle à Raoult et l'Egypte soigne à l'ivermectine.

L'AMERIQUE LATINE GUERIE DU PALU ET DE L'ONCHOCERCOSE  PLONGE DANS LA COVID
L'Amérique centrale et les Caraibes connaissent ces molécules, au Mexique l'exemple viendra du Chiapas et sera repris par Mexico.Dans le Golfe du Mexique, Haiti protégée, nos DOM TOM  privés de la molécule qui les soignent font de la résistance
Le Chiapas est en jaune

Le Costa Rica vaccine et écoute Big Pharma, Panama  prend l'ivermectine
Brésil
Il faut en finir avec une légende médiatique, le Brésil n'est pas le pays de l'ivermectine et des soins précoces, au contraire. C' est un Etat fédéral ,Bolsonaro n'a aucun pouvoir dans le secteur sanitaire . Le Brésil est le modèle de pays n'AYANT PAS EU RECOURS AUX TRAITEMENTS PRECOCES , il le paie très cher.Pire les vaccins pasteuriens à virus atténués interdits en France sont plus efficaces que les injections experimentales de Pfizer . Mais le vaccin n'est pas suffisant.
olsonaro n'a constitutionnellement pas de moyens d'agir, il fait des discours . Dans les faits le Brésil vaccine et ne soigne pas précocement ...
https://www.gov.br/saude/pt-br
Il y a un an, la Cour suprême avait donné aux Etats et aux municipalités l'autonomie pour imposer leurs propres mesures de restriction. Mais dans la pratique, sauf quelques rares exceptions, notamment dans quelques villes de l'Etat de Sao Paulo (sud-est), seules certaines activités considérées comme non essentielles ont été fermées, sans confinement total.
A ce jour, le confinement au Brésil est décidé par les autorités locales. la Cour suprême a confirmé que chaque gouverneur pouvait décider des mesures d'isolement social. «Ce n'est pas au gouvernement fédéral de bannir des mesures [...] qui ont prouvé leur efficacité pour réduire le nombre de contaminations et de morts»,peut-on lire dans la décision de justice. Selon le Brazilian Report, la Cour suprême donne ainsi «un feu vert aux Etats pour défier le Président».
Bolsonaro a manifesté son attachement à la chloroquine mais  sans le moindre effet sur la politique du pays et ce malgré des études réalisées dans les hôpitaux brésiliens favorables à la molécule.
L'utilisation de l'hcq progresse bien de 50% en mars avril 2020 mais passée la première vague  elle est abandonnée pour suivre les avis de l'OMS et déplaire à Bolsonaro .

Les bonnes pratiques des états du Nord  des USA et les ploucs du sud ou des Caraibes qui prennent de l'ivermectine
Le modèle du Kerala et celui de l'Uttar  Pradesh.  Il faut rappeler que l'Inde est un état fédéraloù les enjeux politiques sont considérables et que l'OMS est omniprésente ; mais deux cas de figure apparaissent : le symbole du Kerala FACE à  celui de Uttar Pradesh.

Fin août 2021, les médias indiens remarquaient l'écart entre le succès massif de l'Uttar Pradesh et l'échec relatif d'autres états, comme le Kerala. Fin août, le Kerala (20% de vaccinés) avec ses 35 millions d'habitants, signalait 31 445 nouveaux cas (et 215 décès) en une journée, alors que l'Uttar Pradesh (5% de vaccinés), avec une population de près de 240 millions d'habitants, ne signalait que 22 cas (2 décès) le même jour. La principale différence pouvant expliquer ces résultats que les vaccins ne corrigeaient pas : l'un avait le kit, l'autre le refusait, sur les conseils de l'OMS. Est-ce que, en distribuant d'un côté, en déconseillant de l'autre, l'OMS et le CDC ont volontairement voulu faire un test grandeur nature avec des Etats traités et des Etats placebos ?

Au Kerala, 92,4% des adultes ont reçu au moins une dose de vaccin ; dans l'Uttar Pradesh, ils ont cassé la maladie alors qu'il y avait 5% de vaccinés. L'Uttar Pradesh soignait à l'ivermectine, pas le Kerala. Regardez bien parce que ce  qui m'intéresse n'est pas tant le Kerala contre l'Uttar Pradesh. Pourquoi ? J'ai discuté avec des gens qui n'ont pas du tout mon avis ; ils m'ont dit qu'ils avaient sous-estimé la mortalité. J'ai fait une étude et je ne me cache pas la sous-estimation. Je me suis lancé dans toutes les approches comme je le fais toujours, entre la mortalité telle qu'elle est déclarée et la mortalité telle qu'elle est. Et oui, peut-être que dans l'Uttar Pradesh on a sous-estimé les décès de trois à un. On ne l'a pas fait que là, on l'a également fait dans des états qui ne soignaient pas à l'ivermectine, dans des états où, au contraire, on pratique la politique voulue par l'OMS. Et là, je me suis dit qu'il fallait comparer en fait le Kerala et le Karnata. Pourquoi ? Parce que ces deux états sont tout à côté ; j'ai mené une étude permettant de calculer combien ils avaient sous-estimé de morts. C'est la même chose, un à trois dans les deux cas.
Mais quand on tient compte de toutes ces données, l'un a soigné massivement à l'ivermectine, l'autre absolument pas. Au Kerala : 37 millions d'habitants, 748 morts par million, au Karnata : 68 millions d'habitants, 567 morts par million. Ce n'est pas extraordinaire mais là, je peux dire que la seule différence qu'il y a entre ces deux états très proches, c'est que l'un a soigné à l'ivermectine et l'autre pas. Et que l'on ne me sorte pas qu'ils ont sous-estimé les chiffres ; non, non, ils n'ont pas plus sous-estimé l'un que l'autre et là, il s'est bien passé quelque chose.
INDONESIE ET PHILIPPINES On pourrait également montrer comment l'Indonésie a utilisé l'ivermectine avec très peu de vaccinés. On compare tout simplement avec l'archipel le plus proche, les Philippines ; eh bien, eux, ils sont dans la gadoue et ils y restent sans avoir soigné à l'ivermectine.
  Pouvez vous relever sur cette carte un seul pays soignant à l'ivermectine qui connaisse une progression de la pandémie? Pouvez vous comparez les deux cartes???
Donne un cheval à celui qui dit la vérité : il en aura besoin pour s'enfuir.