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Non au "pass nazitaire", non à l'injection d'immuno-toxiques aux enfants !

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Contaminations, formes graves, effets secondaires : Pour chaque nouveau mensonge, quinze aveux pitoyables



par Patrice Gibertie.


Après l’OMS et l’Agence européenne du médicament hostiles à la multiplication des doses et inquiets d’un affaiblissement du système immunitaire, des scientifiques vont plus loin et alertent sur les effets secondaires graves car toutes les injections contiennent la fonction prion (Creutzfeldt Jacob, déja 23 cas en France contre 1 tous les 4 ans habituellement).

Le temps semble venu de la « défense élastique » du Pfizer, comme le chantait le regretté Pierre Dac : chaque nouveau mensonge doit être immédiatement suivi de quinze aveux pitoyables prouvant qu’ils vous ont menti et mis en danger votre santé et celle des enfants.

Ce que disent les savants, et les autres pays commencent à les écouter

Voir l’intervention de Alexandra et du Nobel Luc Montagnier devant le parlement du Luxembourg :

https://www.chd.lu/ArchivePlayer/video/191533

Les aveux pitoyables

Quand la press danoise avoue

pro-science, anti-BS™@GabinJean3 · 7h

Danemark : « Nous avons failli ». Un tabloid à large circulation admet avoir rapporté les messages gouvernementaux sans prendre la distance critique nécessaire, avec une humilité absolument impensable dans les médias suisses ou français. fr :

https://ekstrabladet-dk.translate.goog/nyheder/lederen/vi-fejlede

Attention le mélange des doses est dangereux

D’après The Lancet, mélanger les vaccins augmente les risques d’effets secondaires ; d’après Véran les Français qui ont eu deux fois du Moderna et à qui on va proposer du Pfizer : aucune inquiétude, c’est pareil. Sera-t-il tenu responsable ?

https://www.bfmtv.com/covid-19-d-apres-the-lancet-melanger-les-vaccins-augmente-les-risques-d-effets-secondaires

Ils vous ont menti !

Avec le système immunitaire affaibli, les vaccinés ont bien plus de risque d’être contaminés

Même au Québec les boostérisés ont plus de risques que les non vaccinés ou les une dose :

Un exemple de super contaminé contaminateur avec passe :

Le dernier mensonge qui s’effondre : Les formes graves

Étude sur 70 000 cas aux USA, moins d’hospitalisations Omicron pour les non vaccinés que pour les boostérisés

Les injections ne protègent pas les plus fragiles

Une grande étude américaine a révélé une mortalité impressionnante parmi les cancéreux atteints de Covid et une efficacité négative des vaccins.

13% Mortality Rate in Vaccinated Cancer Patients With Breakthrough COVID-19

Heureusement ils ont beaucoup d’imagination, ils mentent

Pour les cas graves ou les décès en France, ils commencent par retirer tous les non boostérisés puis ils les répartissent dans les différents catégories mais avec les 2/3 et parfois 100% dans les non vaccinés.

*

Pour en savoir plus

https://pgibertie.com/2022/01/09/voyage-au-coeur-des-statistiques-de-veran-miracle-ou-magouille

Pour les effets secondaires :

https://pgibertie.com/2022/01/12/la-proteine-spike-seule-virus-et-vaccins-et-lace2-au-carrefour-des-cancers-et-des-covid
https://pgibertie.com/2022/01/07/les-suedois-sont-vraiment-bizarres-le-pfizer-ne-les-protege-pas-des-formes-graves-et-en-plus-la-covid-ne-les-tue-pas

source : https://pgibertie.com




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Soumission volontaire

par Dominique Delawarde.

Alors que le nombre de décès liés à la « pandémie » baisse rapidement sur tous les continents et plafonne en France et que plus de 90% de ces décès sont actuellement liés au variant delta et non au variant Omicron ;

Alors que le variant Omicron à forte contagiosité mais à très faible létalité se comporte comme un véritable vaccin, plus efficace que tous les autres, et qui va permettre au monde d’atteindre plus facilement une immunité de groupe avec des effets secondaires graves tout à fait négligeables ;

Alors que la gouvernance française a récemment pris un certain nombre de mesures restrictives de liberté visant à réduire « un taux d’incidence » du variant Omicron jugé « potentiellement » dangereux, et a déposé un projet de loi visant à imposer un « passe vaccinal » pour pousser les récalcitrants vers une seringue qui n’a aucun effet protecteur contre Omicron ;

Il est peut être utile de regarder les 3 vidéos assez courtes que je vous propose aujourd’hui. Deux sont tirées de médias mainstream français.

1 – Dans un éditorial du 20 décembre 2021 (1 minute), le journaliste vedette de Cnews Pascal Praud se lâche enfin et nous décrit en quelques phrases le « Monde Nouveau » dans lequel nous sommes entrés:

2 – Le 30 décembre 2021 le journaliste vedette de la chaîne mainstream française LCI, David Pujadas a décidé de s’attaquer frontalement au « tsunami » Omicron, afin de montrer aux téléspectateurs qu’il n’est, en réalité, qu’un mirage. Les arguments sont là, les chiffres, les preuves et le constat sont sans appel. (8 minutes 26 secondes)

3 – Une vidéo que j’ai baptisée « Soumission volontaire ». Elle nous résume en quelques minutes, de manière très pédagogique ce que nous avons librement accepté de subir depuis 2 ans : les incohérences, les virages à 180 degrés, pour des résultats peu probants et l’entrée dans un nouveau monde plus que discutable. ….


Ces trois vidéos devraient inciter chacun d’entre nous à réfléchir.

Bien sûr certains d’entre nous refuseront d’écouter ces informations qui, bien que mainstream, ne vont pas dans le sens de la confiance aveugle qu’ils ont accordée à l’exécutif et aux autorités de santé du moment, sans se demander une seule minute s’ils en étaient dignes. Ils sont dans « la soumission volontaire ». C’est leur choix.

Ils se contenteront de conclure que, si l’épidémie finit par disparaître bientôt, ce sera « grâce au vaccin » et aux « excellentes mesures prise par un exécutif qui a su faire face, avec autorité et détermination », à « la guerre » qu’il a livrée au virus.

Ils ne se poseront jamais la question de savoir pourquoi l’Afrique très peu vaccinée (14%) et soumise la première au variant Omicron, s’est sortie d’affaire beaucoup plus vite que nous.

Ils ne se poseront pas non plus la question de savoir pourquoi la Suède a eu un taux de mortalité Covid de 30% inférieur au notre sans aucune des mesures coercitives fortes que nous avons connues depuis deux ans.

Bonne réflexion à ceux qui analysent encore les faits, tous les faits, et font l’effort de les interpréter .


Dominique Delawarde

______________________


Général Dominique Delawarde

Ancien chef «Situation-Renseignement-Guerre électronique» à l’État major interarmées de planification opérationnelle


https://reseauinternational.net/soumission-volontaire


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Le Comité consultatif national d’Éthique valide la vaccination anti-Covid-19 chez les 5 à 11 ans malgré les risques potentiels de myocardites et d’effets secondaires à long terme du vaccin



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par Candice Vacle.

La vaccination anti-Covid-19 chez les enfants de 5 à 11 ans se met en place rapidement. L’Agence européenne des médicaments (EMA) a autorisé le 25 novembre 2021 l’usage du vaccin anti-Covid-19 ARNm Comirnaty de Pfizer chez les enfants âgés de 5 à 11 ans1.

Cinq jours plus tard, le 30 novembre 2021, « la Haute Autorité de Santé rend un premier avis sur la vaccination des enfants de cette classe d’âge et la recommande pour tous ceux qui présentent un risque de faire une forme grave de la maladie et de décéder et pour ceux vivant dans l’entourage de personnes immunodéprimées ou vulnérables non protégées par la vaccination ». Comme il s’agit d’un premier avis, d’autres avis devraient être émis[1].

Suite au Conseil de Défense du 6 décembre 2021, le Premier ministre J. Castex a annoncé la vaccination des enfants de 5 à 11 ans dits « à risque » à partir du 15 décembre 20212.

Le Comité consultatif national d’Éthique (CCNE) a rendu le 16 décembre 2021 un avis favorable à la vaccination des enfants de 5 à 11 ans sous conditions. « Le CCNE insiste sur le fait que cet avis est rendu dans l’urgence, alors que de  nombreuses incertitudes persistent en ce qui concerne les effets à long terme du vaccin ». Ce comité « insiste sur le fait que cette vaccination des enfants doit être une proposition et non une obligation, et ne doit pas être incluse dans un pass-sanitaire ». « Cette mesure devra préalablement être discutée et approuvée par la Haute Autorité de Santé »3 (page 12).

Comment est-il possible que ce comité dit « éthique » rende un avis favorable à la vaccination des enfants de 5 à 11 ans compte tenu aussi de ce que la Haute Autorité de Santé a écrit le 30 novembre 2021 ? À savoir :

La HAS précise que « trois décès directement liés à la Covid-19 ont été recensés chez les enfants âgés de 5 à 11 ans depuis mars 2020 ».

« Parmi les complications observées chez l’enfant, les « syndromes inflammatoires multi-systémiques pédiatriques » (PIMS) sont rares mais graves ».

« Les symptômes prolongés de Covid-19 (« Covid long ») chez les enfants ne persistent pas au-delà de 12 semaines ».

La HAS demande « à éclairer le rapport bénéfice/risque individuel de la vaccination des enfants pour lesquels le risque de survenue de forme sévère ou de décès est faible au regard du risque possible de survenue d’effets indésirables rares (myocardites, péricardites) »[1].

Qui préside le CCNE ?

Le président du CCNE est le professeur Jean-François Delfraissy qui est aussi président du Conseil scientifique sur le Covid-19. Pour ces deux fonctions, il a été nommé par le président de la République4.

C’est très important de savoir qui est le président de ce CCNE car il porte une responsabilité immense d’avoir présidé à la validation de la vaccination anti-Covid-19 des enfants de 5 à 11 ans alors que ce conseil avoue sa grande ignorance concernant ce vaccin de Pfizer ; en l’occurrence sa totale ignorance sur les effets à long terme. D’autant plus que Jean-François Delfraissy a lui même dit le 8 décembre 2021, lors de son audition au Sénat sur la situation sanitaire :

« Ces vaccins ont une efficacité limitée sur la transmission et l’infectiosité ». (à partir de 11:12:12) « Il n’y a pas de solution miracle ». (à partir de 11:22:19)5. « Il y a des limites puisqu’on peut être vacciné et être porteur du virus »6.

Rappelons que Santé publique France7 a écrit le 31 octobre 2021 pour toute la période de la crise du Covid-19 : les « hospitalisations chez les enfants âgés de 5-11 ans et de 12-17 ans représent[e]nt respectivement 0,3% et 0,5% de l’ensemble des hospitalisations, sans différence entre 2020 et 2021 »[6].

Le Comité consultatif national d’Ethique (CCNE) et son président Jean-François Delfraissy n’auraient-il pas dû prendre davantage en compte leur ignorance sur les effets à long terme du vaccin ? N’auraient-il pas dû prendre davantage en compte aussi le risque potentiel de myocardite suite à la vaccination avec le vaccin de Pfizer, chez les enfants de 5 ans à 11 ans ?

À ce sujet, voici ce que Pfizer a rédigé dans son rapport sur son vaccin anti-Covid-19 ARNm appelé Cominarty, suite à une réunion de son Comité consultatif sur les vaccins le 26 octobre 2021: fda.gov/media/153409/download (page 11).

« Le nombre de participants au programme de développement clinique actuel est trop faible pour détecter tout risque potentiel de myocardite associé à la vaccination. La sécurité à long terme du vaccin COVID-19 chez les participants âgés de 5 à <12 ans sera étudiée dans le cadre de 5 études de sécurité post-autorisation, dont une étude de suivi de 5 ans pour évaluer les séquelles à long terme de la myocardite/péricardite post-vaccination ».

Pfizer dit donc clairement ignorer le risque potentiel de myocardite suite à la vaccination avec son vaccin Cominarty, chez les enfants de 5 ans à moins de 12 ans.

Pfizer ignore ceci car le nombre de participants à son étude est trop faible pour donner un résultat significatif.

De ce fait, Pfizer envisage notamment une étude sur 5 ans pour évaluer les séquelles à long terme de la myocardite (et de la péricardite) suite à la vaccination-Cominarty chez les enfants de 5 ans à moins de 12 ans. Il faudra donc attendre au moins 5 ans avant de connaître le résultat de cette étude.

La myocardite est une « inflammation du myocarde » c’est-à-dire une inflammation du muscle du cœur. Et la péricardite est une « inflammation des feuillets du péricarde » c’est-à dire une inflammation des feuillets enveloppant le cœur8,9.

Toute évaluation par Pfizer de son propre vaccin Cominarty est partiale et nécessite donc d’être confirmée ou infirmée par des études indépendantes.

Le CCNE et son président Jean-François Delfraissy sont-ils prudents ?

On peut penser que non lorsqu’on lit l’avis sur la vaccination anti-Covid-19 des enfants de 5 à 11 ans du Pr Bernard La Scola, médecin microbiologiste, virologue et directeur du laboratoire P3 de l’Institut Hospitalo-Universitaire en Maladies Infectieuses de Marseille (IHU). Il écrivait le 16 novembre 2021 :

« Je trouve toujours aussi scandaleux qu’on puisse continuer à vacciner des jeunes sans aucun facteur de risque avec les risques de thrombose et de myocardite que ça représente pour protéger pour l’essentiel les personnes de plus de 80 ans. Certes ces effets secondaires sont rares mais les décès liés au Covid chez ces jeunes encore plus ! Ça c’est pour les effets à court terme.

Ce qui me gêne le plus depuis le début c’est le risque à très long terme d’une technologie non éprouvée justement sur ce long terme (vaccination ARN). Il ne se passera peut-être rien et il faut l’espérer, mais si ces vaccins sont responsables de pathologies cancéreuses ou dégénératives d’ici 15-20 ans, comment justifiera-t-on auprès des jeunes de les avoir vaccinés alors que c’était inutile ? »10

De même Robert Malone inventeur de la technologie de l’ARNm alerte les parents au sujet de l’irréversibilité à vie des dommages que pourrait engendrer la vaccination anti-Covid-19 sur les enfants, dans cette vidéo :

Ce « biologiste moléculaire, épidémiologiste, spécialiste des maladies infectieuses »11,12, fait partie d’une alliance internationale de médecins et de scientifiques médicaux nommée Global Covid Summit pour qui « la vaccination des enfants entraîne des risques inutiles ». Ce collectif a listé les études scientifiques abondant en ce sens sur ce lien :

doctorsandscientistsdeclaration.org/supporting-evidence/#children

Aujourd’hui, 18 décembre 2021, le ministre de la Santé O. Véran a annoncé que « la vaccination de tous les enfants devrait commencer mercredi » 22 décembre prochain car il pense que la HAS va donner son feu-vert à cette vaccination13. L’avis du Comité consultatif national d’Éthique validant la vaccination anti-Covid-19 chez les 5 à 11 ans basé sur beaucoup d’ignorance pourrait donc être l’argument par lequel la HAS et le ministre de la Santé vont lancer la vaccination anti-Covid-19 à tous les enfants de 5 à 11 ans.


Candice Vacle


  1. has-sante.fr/covid-19-la-has-recommande-la-vaccination-des-enfants-fragiles
  2. mobile.francetvinfo.fr/direct-covid-19-nouvelles-mesures-ou-simples-recommandations-suivez-les-annonces-du-gouvernement
  3. ccne-ethique.fr/vaccination_des_enfants.pdf
  4. ccne-ethique.fr/les-membres
  5. videos.senat.fr/audition-en-application-de-l-article-l1451-1-du-code-de-la-sante-publique-audition-du-pr-jean-fran
  6. twitter.com/boutaour
  7. santepubliquefrance.fr/evolution-des-indicateurs-epidemiques-chez-les-5-11-ans-et-comparaison-avec-les-12-17-ans.-point-au-31-octobre-2021
  8. larousse.fr/myocardite
  9. larousse.fr/pericardite
  10. mondialisation.ca/pr-la-scola-virologue-reprouve-la-vaccination-contre-le-covid-19-des-enfants-de-5-a-11-ans
  11. wikipedia.org/Robert_Malone
  12. rwmalonemd.com
  13. franceinter.fr/l-invite-du-week-end-du-samedi-18-decembre-2021


Source : https://reseauinternational.net/le-comite-consultatif-national-dethique-valide-la-vaccination-anti-covid-19-chez-les-5-a-11-ans-malgre-les-risques-potentiels-de-myocardites-et-deffets-secondaires-a-long-terme-du-va/



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La protéine spike augmente les crises cardiaques et détruit le système immunitaire

par Mike Whitney.

« Il s’agit vraiment d’une technologie conçue pour empoisonner les gens, il n’y a vraiment pas deux voies possibles » ~ Dr Michael Palmer sur les vaccins à ARNm


*

Question : Le vaccin contre le Covid-19 provoque-t-il des crises cardiaques ?

Réponse : Oui, et les chercheurs sont sur le point de comprendre le mécanisme qui déclenche ces événements.

Q : Comment puis-je être sûr que vous dites la vérité ?

R :  Eh bien, pour commencer, il y a un article de recherche paru récemment dans le prestigieux magazine Circulation qui tire la même conclusion. Voici un extrait de l’article :

« Nous concluons que les vaccins à ARNm augmentent considérablement l’inflammation de l’endothélium (couche de cellules qui tapisse les vaisseaux sanguins) et l’infiltration des cellules T dans le muscle cardiaque et peuvent expliquer les observations d’une augmentation des thromboses (coagulation), de la cardiomyopathie (un groupe de maladies qui affectent le muscle cardiaque) et d’autres événements vasculaires après la vaccination »1.

Il est en fait assez rare que des chercheurs soient aussi directs dans leur analyse, mais la voici, noir sur blanc. Comme vous pouvez le constater, ils n’ont pas mâché leurs mots. Voici comment Alex Berenson résume la situation sur son blog à Substack :

« Une nouvelle étude portant sur 566 patients ayant reçu les vaccins Pfizer ou Moderna montre que les signes de dommages cardiovasculaires ont augmenté après les injections. Le risque de crise cardiaque ou d’autres problèmes coronariens graves a plus que doublé plusieurs mois après l’administration des vaccins, d’après les modifications des marqueurs d’inflammation et d’autres dommages cellulaires. Les patients avaient un risque sur quatre de problèmes graves après les vaccins, contre un sur neuf avant »2.

« Doublé » ? « Le risque de crise cardiaque… a plus que doublé » après la vaccination ?

Apparemment, oui. Pas étonnant que le cardiologue Dr. Aseem Malhotra soit si sidéré. Voici ce qu’il a dit dans une récente interview :

« Extraordinaire, inquiétant et bouleversant. Nous avons maintenant la preuve d’un mécanisme biologique plausible de la façon dont le vaccin à ARNm peut contribuer à l’augmentation des événements cardiaques. Le résumé est publié dans la revue de cardiologie la plus influente, nous devons donc prendre ces résultats très au sérieux ».

En effet, nous devons, mais nos experts en santé publique continuent de prétendre que rien n’a changé, même si de plus en plus de professionnels continuent de s’exprimer. Voici encore Malhotra :

« J’ai beaucoup d’interactions avec la communauté cardiologique à travers le Royaume-Uni, et de manière anecdotique, des collègues m’ont dit qu’ils voyaient des personnes de plus en plus jeunes arriver avec des crises cardiaques… Depuis juillet, il y a eu au moins 10 000 décès non-covid, dont la plupart sont dus à des maladies circulatoires, c’est-à-dire des crises cardiaques et des accidents vasculaires cérébraux. Et il y a eu une augmentation de 30% des décès à domicile, souvent dus à un arrêt cardiaque… (Et je pense qu’il est grand temps que les décideurs politiques du monde entier mettent fin aux mandats, car si ce signal est correct, l’histoire ne sera pas de leur côté et le public ne le leur pardonnera pas »3.

Choquant, non ? Et ce qui est encore plus choquant, c’est la réaction des médias qui vise à dissimuler le fait que ces injections toxiques constituent une menace évidente pour la vie de millions de personnes. Est-ce que c’est exagéré ?

Non, pas du tout.

Alors, quelles conclusions pouvons-nous tirer de cette nouvelle recherche ? Que nous dit la science ?

Elle nous dit que le vaccin peut réduire le flux sanguin vers le cœur, endommager le tissu cardiaque et augmenter considérablement le risque de crise cardiaque. Les auteurs disent carrément aux lecteurs que le vaccin peut soit les tuer, soit les blesser gravement. Pouvez-vous voir cela ?

Q : Je ne peux pas le dire. Je n’ai pas lu le rapport.

R : Non, vous ne l’avez pas lu, et vous ne le lirez probablement pas non plus, puisque les grands organismes de presse et les géants des médias sociaux vont s’assurer qu’il ne verra jamais la lumière du jour. Mais relisez ce paragraphe et essayez de comprendre ce que disent les auteurs. Ils disent que de nombreuses personnes qui choisissent de se faire vacciner mourront ou verront leur vie raccourcie de plusieurs années. Et, rappelez-vous, ce n’est pas un article d’opinion. C’est de la science. Il s’agit également d’un rejet direct d’une campagne de vaccination de masse qui tue manifestement des gens.

Q : Vous exagérez toujours. Ce n’est qu’un rapport d’un groupe de chercheurs. Je pourrais facilement vous fournir des recherches qui réfutent votre théorie.

R : Je suis sûr que vous le pourriez, en fait, il y a une petite armée de propagandistes employés par l’industrie (alias « vérificateurs de faits ») qui passent toutes leurs heures à bricoler des histoires de fausses nouvelles qui ne font que cela : discréditer la science qui s’écarte même légèrement du récit officiel. La vérité est que la campagne de désinformation pro-vaccin a été beaucoup plus efficace que le vaccin lui-même. Je ne pense pas que même vous soyez en désaccord avec cela.

Q : Je ne suis pas d’accord avec cela, et je n’apprécie pas que vous qualifiez le soutien généralisé à ces procédures essentielles de « désinformation pro-vaccin ». C’est une déclaration extrêmement biaisée et ignorante.

R : Vraiment ? Au cours des dernières semaines, nous avons produit des preuves tangibles qu’un grand nombre de personnes qui sont mortes après avoir été vaccinées sont mortes à cause de la vaccination. Nous avons montré, par exemple, que deux professeurs allemands de pathologie, Arne Burkhardt et Walter Lang, ont constaté que dans cinq des dix autopsies, « les deux médecins jugent le lien entre le décès et la vaccination très probable, dans deux cas probable ». Ces mêmes médecins ont constaté que « la myocardite lymphocytaire, le diagnostic le plus courant… (avec) les phénomènes auto-immuns, la réduction de la capacité immunitaire, l’accélération de la croissance du cancer, les dommages vasculaires « endothélitis », la vascularite, la périvasculite et « l’agglutination » des érythrocytes… En d’autres termes, tout le « catalogue » des maladies qui ont été liées à la “piqûre de poison mortelle” »4.

Ces mêmes pathologistes ont trouvé des preuves d’une « émeute lymphocytaire », potentiellement dans tous les tissus et organes. (Note : Les lymphocytes sont des globules blancs du système immunitaire qui entrent en action pour combattre les envahisseurs ou les cellules infectées par des pathogènes. Une « émeute lymphocytaire » suggère que le système immunitaire est devenu fou en essayant de contrer les effets de milliards de protéines spike situées dans les cellules de la circulation sanguine. Au fur et à mesure que les lymphocytes sont épuisés, le corps devient plus sensible à d’autres infections, ce qui peut expliquer pourquoi un grand nombre de personnes contractent maintenant des virus respiratoires à la fin de l’été).

Les autopsies fournissent des preuves tangibles que les vaccins causent effectivement des dommages importants aux tissus. Voici donc la question que je vous pose : Comment écarter la preuve solide comme le roc que les vaccins infligent des lésions importantes aux personnes qui se les font injecter ? Avez-vous besoin d’examiner vous-même les cadavres calomniés avant de changer d’avis et d’admettre que vous avez tort ?

Q : Rien ne peut être déduit de seulement 10 autopsies. Plus d’un milliard de personnes ont été vaccinées jusqu’à présent, et les décès restent dans une fourchette acceptable compte tenu de la gravité de la maladie.

R : « La sévérité de la maladie » ? Vous voulez dire un virus auquel survivent plus de 99,98% des personnes qui l’attrapent ? Vous parlez d’une infection qui, selon les derniers chiffres de Johns Hopkins, a tué 351 000 personnes aux États-Unis en 2020, soit environ la moitié du nombre de personnes qui meurent chaque année d’une maladie cardiaque ? Et quand vous dites : « Rien ne peut être déduit de seulement 10 autopsies », vous vous trompez lourdement. Vous pouvez détecter un modèle de maladie générée par le vaccin, produit par l’injection d’une substance toxique (protéine spike) qui provoque des saignements, la coagulation et l’auto-immunité, même chez les personnes qui survivent. « Survivre » ne signifie pas être indemne. Oh, non. Et quiconque a vu les nombreuses vidéos d’athlètes en bonne santé tombant morts sur le terrain de jeu des mois après avoir été piqué, devrait comprendre que « C’est là que je vais, mais par la grâce de Dieu ». En résumé : Si vous vous faites piquer, vous ne saurez jamais si vous ne serez pas frappé sans avertissement par un événement de type cardio similaire5.

Pensez-vous que si ces athlètes avaient su qu’ils pouvaient mourir à cause du vaccin, ils auraient fait le choix qu’ils ont fait ?

Q : Vous êtes trop dramatique. Naturellement, tout le monde ne réagit pas de la même manière à un médicament utilisé en urgence, mais, tout compte fait, les vaccins ont atténué l’impact d’une pandémie mortelle comme nous n’en avons pas vu depuis plus d’un siècle.

R : Vous le croyez vraiment, n’est-ce pas ? Tout comme vous croyez vraiment que le Covid-19 est un virus totalement unique et « nouveau ». Si vous vous documentez un peu, vous saurez que cette théorie a été complètement démystifiée. Le coronavirus n’est pas nouveau, c’est une itération de nombreuses autres infections qui se sont répandues dans la population depuis au moins deux décennies. Jetez un coup d’œil à cet extrait d’un document de recherche de Doctors for Covid Ethics et vous verrez de quoi je parle :

« Plusieurs études ont démontré que les anticorps IgG et IgA circulants spécifiques du SRAS-CoV-2 sont devenus détectables dans les 1 à 2 semaines suivant l’application des vaccins à ARNm… La production rapide d’IgG et d’IgA indique toujours une réponse secondaire, de type mémoriel, qui est suscitée par la re-stimulation de cellules immunitaires préexistantes… Il est toutefois important de noter que les IgG ont augmenté plus rapidement que les IgM, ce qui confirme que la réponse des IgG précoce était bien de type mémoire. Cette réponse de type mémoire indique une immunité préexistante, à réaction croisée, due à une infection antérieure par des souches ordinaires de coronavirus humains respiratoires…

Des réponses mémorielles ont également été documentées en ce qui concerne l’immunité médiée par les lymphocytes T. Dans l’ensemble, ces résultats indiquent que notre système immunitaire reconnaît efficacement le SRAS-CoV-2 comme « connu », même au premier contact. Les cas graves de la maladie ne peuvent donc pas être attribués à un manque d’immunité. Au contraire, les cas graves pourraient très bien être causés ou aggravés par une immunité préexistante par le biais d’un renforcement dépendant des anticorps.

Cette étude confirme l’affirmation ci-dessus selon laquelle la réponse immunitaire au contact initial avec le SRAS-CoV-2 est de type mémoire. En outre, elle montre que cette réaction se produit chez presque tous les individus, et notamment aussi chez ceux qui ne présentent aucun symptôme clinique manifeste.

Conclusion : Les résultats collectifs discutés ci-dessus montrent clairement que les avantages de la vaccination sont très douteux. En revanche, les dommages causés par les vaccins sont très bien documentés, avec plus de 15 000 décès associés à la vaccination enregistrés dans la base de données européenne sur les effets indésirables des médicaments (EudraVigilance), et plus de 7000 décès supplémentaires au Royaume-Uni et aux États-Unis »6.

Je répète : si la grande majorité des gens ont déjà une immunité robuste et préexistante, « alors les avantages de la vaccination sont très douteux ».

Est-ce une conclusion raisonnable « fondée sur des preuves » ? Et, si c’est le cas, n’aurait-il pas dû y avoir un débat sur cette question avant que plus d’un milliard de personnes ne soient inoculées avec une substance expérimentale qui provoque des hémorragies, la coagulation, l’auto-immunité, des accidents vasculaires cérébraux et des crises cardiaques ? Et comment pourrait-il en être autrement, après tout, s’il n’y avait pas d’immunité préexistante dans une population américaine de 330 millions de personnes, alors le nombre de décès serait exponentiellement plus élevé. Au lieu de cela, après deux années complètes d’exposition, le pourcentage de décès aux États-Unis est toujours inférieur à un tiers de 1%, une véritable goutte d’eau dans l’océan. Cela serait-il possible avec un « nouveau » virus vraiment super-contagieux ?

Non, ce ne serait pas possible, ce qui signifie que Fauci et Cie ont menti. Et s’ils ont menti, c’est pour convaincre les gens qu’ils sont plus vulnérables qu’ils ne le sont en réalité. Ce n’est qu’une des nombreuses escroqueries alarmistes qu’ils ont utilisées pour promouvoir le vaccin : « Faites-vous vacciner ou mourez », tel était le message.

Cela ne vous dérange pas ? Cela ne vous dérange pas de savoir que le gouvernement et les autorités de santé publique ont déformé la vérité afin de vous convaincre de subir une procédure médicale invasive et potentiellement mortelle ?

Q : Je pense que nos responsables de la santé publique ont fait du mieux qu’ils pouvaient compte tenu des circonstances.

R : Je pense que vous avez tort à ce sujet. Je pense qu’ils ont menti à plusieurs reprises afin de faire avancer un programme principalement politique. Mais, supposons que vous ayez raison pendant une minute. Alors pourquoi continuent-ils à ignorer les recherches révolutionnaires qui vont à l’encontre de leurs objectifs politiques ? Avez-vous réfléchi à cette question ? J’ai déjà mentionné le rapport choquant ci-dessus qui indique que le vaccin réduit le flux de sang vers le cœur et augmente le risque de crise cardiaque. Avez-vous entendu un seul mot de Fauci ou Walensky à propos de ce rapport ?

Non, pas un mot.

Pourquoi pensez-vous ? On pourrait penser que si Fauci avait nos meilleurs intérêts à l’esprit, il utiliserait son influence sur les médias pour faire passer le mot à tout le monde. Mais, non. Il n’a fait aucun effort pour confirmer ce que la recherche indique ; qu’il y a un lien clair entre la production de la protéine spike et les dommages cardiovasculaires. Il n’a pas levé le petit doigt à cet égard, et ça se voit. La flambée des décès et la forte augmentation de la surmortalité dans le grand nombre de pays qui ont lancé des campagnes de vaccination de masse au début de l’année, sont principalement des décès d’origine circulatoire, c’est-à-dire des crises cardiaques, des accidents vasculaires cérébraux et autres. Le dernier exemple en date de ce phénomène est celui des Pays-Bas, qui ont enregistré une hausse de 20% des décès par rapport à l’année précédente :

« La semaine dernière, le nombre de décès a été supérieur de plus de 20% à la normale pour cette période de l’année. Le Bureau central néerlandais des Statistiques (CBS) a fait état de 3750 décès, soit près de 850 de plus que prévu. Selon l’office statistique, la hausse de la mortalité s’observe dans tous les groupes d’âge.

Aux Pays-Bas, 85% des personnes âgées de plus de 18 ans sont entièrement vaccinées, et beaucoup d’entre elles n’ont été vaccinées que récemment … Les autorités néerlandaises ont commencé à injecter les rappels à ces 85% jeudi, soit plusieurs semaines plus tôt que prévu…

D’après les données hebdomadaires de l’Office of National Statistics (ONS) au Royaume-Uni, les personnes vaccinées de moins de 60 ans ont deux fois plus de chances de mourir que les personnes non vaccinées. Et le nombre total de décès en Grande-Bretagne est bien supérieur à la normale.

Comme en Allemagne, les Suédois semblent également mourir à des taux supérieurs de 20% ou plus à la normale pendant les semaines qui suivent leur deuxième injection de vaccin anti-covid, selon les données d’une étude suédoise »7.

Et cela ne se passe pas seulement aux Pays-Bas et en Allemagne. Cela se produit partout où des campagnes de vaccination de masse ont été lancées plus tôt dans l’année. Aujourd’hui, tous ces pays connaissent une forte augmentation des arrêts cardiaques, des accidents vasculaires cérébraux, des lésions vasculaires et des caillots sanguins. Pourquoi ? Qu’avons-nous fait différemment en 2021 par rapport aux années précédentes ?

Q : Où voulez-vous en venir ? J’ai l’impression que vous me tendez un piège ?

R : C’est le cas. Je veux que vous admettiez que les données plaident maintenant en faveur de l’arrêt immédiat de la campagne de vaccination. C’est mon objectif principal, convaincre les gens que nous sommes sur la mauvaise voie et que nous devons arrêter cette folie avant que d’autres personnes ne meurent.

Saviez-vous que les vaccins endommagent également le système immunitaire ?

C’est vrai, les injections sont immuno-suppressives, ce qui signifie que le corps est moins capable de combattre les infections, les virus et les maladies. Réfléchissez-y un instant. Le vaccin était censé protéger ses bénéficiaires de la maladie et de la mort, mais il fait exactement le contraire. Il empêche les cellules de produire les anticorps nécessaires pour éviter les infections. Le Dr David Bauer, de l’Institut Francis Crick, explique ce qui se passe dans ce court texte :

« Ainsi, le message clé de notre découverte est que, nous avons constaté que les bénéficiaires du vaccin Pfizer – ceux qui ont reçu deux doses – ont des anticorps neutralisants cinq à six fois plus faibles. Il s’agit des anticorps de sécurité privée « de référence » de votre système immunitaire, qui empêchent le virus de pénétrer dans vos cellules. Nous avons donc constaté que ce taux était inférieur chez les personnes ayant reçu deux doses. Nous avons également constaté que les personnes ayant reçu une seule dose du vaccin Pfizer sont moins susceptibles de présenter des taux élevés de ces anticorps dans le sang. Et, ce qui est peut-être le plus important, nous constatons que plus vous êtes âgé, plus vos taux sont susceptibles d’être faibles, et que plus le temps passe depuis que vous avez reçu votre deuxième vaccin, plus vos taux sont susceptibles d’être faibles. Cela nous indique donc qu’il faudra probablement donner la priorité aux rappels pour les personnes plus âgées et plus vulnérables, et ce prochainement, surtout si ce nouveau variant se propage »8.

6 fois moins d’anticorps neutralisants ?

Ouaip. Comme nous l’avons dit, le vaccin affaiblit le système immunitaire, ce qui ouvre la voie aux infections. Voici comment Alex Berenson résume la situation dans un article qu’il a posté récemment sur Substack :

« Ce que les Britanniques disent, c’est qu’ils découvrent maintenant que le vaccin interfère avec la capacité innée de votre corps, après l’infection, à produire des anticorps contre non seulement la protéine spike mais aussi d’autres parties du virus…

Cela signifie que les personnes vaccinées seront beaucoup plus vulnérables aux mutations de la protéine spike MÊME APRÈS AVOIR ÉTÉ INFECTÉES ET S’ÊTRE RASSURÉES UNE FOIS…

… c’est probablement une preuve supplémentaire que les vaccins peuvent interférer avec le développement d’une immunité robuste à long terme après l’infection »9.

Mais comment cela est-il possible ? Comment le gouvernement, l’establishment de le santé publique et les compagnies pharmaceutiques peuvent-ils promouvoir un vaccin qui rend les gens plus vulnérables à la maladie ? Cela n’a aucun sens, n’est-ce pas ? À moins, bien sûr, que l’objectif soit de rendre les gens plus malades et plus susceptibles de mourir ? Est-ce là ce qui se passe ?

En fait, oui exactement. Voici ce qu’en dit un dénonciateur de Pfizer :

« Un ancien employé de Pfizer, qui travaille aujourd’hui comme expert en marketing pharmaceutique et analyste en biotechnologie, a fourni des preuves lors d’une réunion publique en septembre, suggérant que Pfizer est conscient que ces vaccins peuvent rendre les personnes vaccinées plus enclines à contracter le COVID-19 et des infections.

Selon la dénonciatrice Karen Kingston : “Ainsi, lorsqu’ils n’étaient pas injectés, leur taux d’infection était de 1,3% et lorsqu’ils étaient injectés, il était de 4,34%. Il a augmenté de plus de 300%. Ils avaient moins d’infections quand ils n’avaient pas de protection. Donc, c’est un problème” »10.

Pourquoi cela ne fait-il pas la une des journaux ? Pourquoi la science est-elle ignorée ? Pourquoi les affirmations de professionnels crédibles sont-elles balayées sous le tapis, censurées sur les médias sociaux et écartées par nos responsables de la santé publique ?

La seule explication raisonnable est que les auteurs de la campagne de vaccination de masse veulent dissimuler les dangers du vaccin au public, car ce qui les intéresse vraiment, c’est la vaccination universelle, c’est-à-dire s’assurer que les 7 milliards d’habitants de la planète Terre soient vaccinés quoi qu’il arrive. Comme vous pouvez le constater, la science ne les a pas du tout découragés. Ils sont tout aussi déterminés à mettre en œuvre leur plan qu’au premier jour, voire plus.

Regardez cet extrait d’un article explosif qui montre comment la protéine spike pénètre dans le noyau de nos cellules et cause des dommages incalculables au système immunitaire. Cette recherche de pointe a provoqué un tollé dans la communauté scientifique.

« Le SRAS-CoV-2 a conduit à la pandémie de coronavirus 2019 (COVID-19), affectant gravement la santé publique et l’économie mondiale. L’immunité adaptative joue un rôle crucial dans la lutte contre l’infection par le SRAS-CoV-2 et influence directement les résultats cliniques des patients. Des études cliniques ont indiqué que les patients atteints de COVID-19 sévère présentent des réponses immunitaires adaptatives retardées et faibles ; cependant, le mécanisme par lequel le SRAS-CoV-2 entrave l’immunité adaptative reste obscur. En utilisant une lignée cellulaire in vitro, nous rapportons ici que la protéine spike du SRAS-CoV-2 inhibe de manière significative la réparation des dommages à l’ADN, qui est nécessaire pour une recombinaison V(D)J efficace dans l’immunité adaptative.

D’un point de vue mécanique, nous avons découvert que la protéine spike se localise dans le noyau et inhibe la réparation des lésions de l’ADN en empêchant le recrutement des protéines clés de réparation de l’ADN BRCA1 et 53BP1 au site de la lésion. Nos résultats révèlent un mécanisme moléculaire potentiel par lequel la protéine spike pourrait entraver l’immunité adaptative et soulignent les effets secondaires potentiels des vaccins à base de spike »11.

Qu’est-ce que cela signifie ?

Cela signifie que la protéine spike pénètre dans le noyau de nos cellules et endommage notre ADN. Ce n’était pas censé se produire. Le vaccin n’était pas censé pénétrer dans le sanctuaire intérieur où est stocké notre matériel génétique. Une fois qu’elle a atteint le noyau, la protéine spike empêche la réparation de l’ADN endommagé, ce qui a un impact sur la prolifération des cellules B et T, essentielles à la lutte contre l’infection. (Note : La protéine spike affecte également des gènes spécifiques qui sont hautement « prédisposés au développement du cancer… il s’agit donc clairement d’une nouvelle de grande importance qui ne doit pas être prise à la légère »12.

Voici comment le Dr Mobeen Syed explique les effets de la protéine spike sur le système immunitaire : (J’ai transcrit cela moi-même et je m’excuse pour les erreurs éventuelles).

« La protéine spike entre dans le noyau, et non seulement la protéine spike mais aussi les protéines non structurelles se retrouvent dans le noyau également. Elles ne se contentent pas de contaminer l’ADN, mais interfèrent également avec la machinerie et la réparation de l’ADN… Lorsque nos cellules se divisent, il existe des mécanismes stricts pour s’assurer que l’ADN est correctement réparé, et correctement copié, sinon la cellule deviendra une cellule cancéreuse. Nous disposons d’un mécanisme élaboré pour réparer l’ADN… Il y a plusieurs mécanismes de réparation de l’ADN, parce qu’il y a plusieurs types de réparation… Ces deux mécanismes sont importants, parce que ces deux mécanismes de réparation sont altérés par la présence des protéines spike… Lorsqu’une infection se produit, les cellules B et les cellules T prolifèrent. Augmenter en nombre, signifie faire des copies de l’ADN… La prolifération elle-même est une réponse immunitaire importante. La création des anticorps nécessite un ADN fonctionnel…

Ce que j’explique ici, c’est que la rupture et la réparation de l’ADN peuvent également être effectuées dans les cellules immunitaires de manière intentionnelle pour le fonctionnement normal du système immunitaire. Chaque cellule B et T a besoin d’une mire de liaison variable pour s’attacher à l’antigène, et pour créer cette variation, il faut que l’ADN se restructure de façon aléatoire, ce qui nécessite une cassure et une réparation de l’ADN… Imaginez qu’il y ait des enzymes de réparation dans notre corps qui vont vers l’ADN cassé et le réparent. Imaginons maintenant que ces enzymes de réparation ne se rendent plus sur le site de l’ADN cassé ou qu’elles ne sont même plus produites ? Les chercheurs ont découvert que lorsque les protéines non structurelles sont attirées dans le noyau, il se produit alors une réduction de la prolifération des cellules (B et T)… et notre capacité à répondre aux infections ne sera pas bonne »13.

Imaginez que quelqu’un ou un groupe d’élites puissantes veuille réduire la population mondiale de plusieurs milliards de personnes. Et ils ont pensé que le meilleur moyen d’atteindre cet objectif serait d’injecter aux gens un mystérieux agent pathogène développé secrètement dans des laboratoires étrangers depuis plus de dix ans. Imaginez que cet antigène mortel ne déclenche pas seulement des crises cardiaques, des accidents vasculaires cérébraux et des lésions vasculaires catastrophiques, mais qu’il mette également hors d’état de nuire le système de défense critique (immunitaire) de l’organisme, augmentant ainsi de plusieurs ordres de grandeur la vulnérabilité d’une personne aux infections, aux virus et aux maladies. Imaginez que nous voyions des signes indiquant que ce plan se déroule sous nos yeux, de la montagne de cadavres criblés de lymphocytes tueurs à la forte augmentation de la surmortalité et de la mortalité toutes causes confondues, en passant par l’augmentation inexpliquée des arrêts cardiaques, des accidents vasculaires cérébraux, de l’auto-immunité, des hémorragies, de la coagulation, des maux de tête, des contusions, des inflammations, des problèmes de valves cardiaques, des hémorragies cérébrales, des maladies vasculaires, neurologiques et respiratoires, tous liés de manière suspecte au lancement d’une campagne de vaccination de masse.

Une telle chose pourrait-elle se produire à notre époque ? Quelqu’un pourrait-il être assez audacieux pour lancer une guerre contre l’humanité ? Quelqu’un est-il capable d’un tel mal ?

Oui.

source : https://www.unz.com
traduit par Réseau International

Les opinions exprimées dans ce contenu n’engagent que la responsabilité de leur auteur



  • « Abstract 10712 : Les vaccins COVID à ARNm augmentent de façon spectaculaire les marqueurs inflammatoires endothéliaux et le risque de SCA tel que mesuré par le test cardiaque PULS : un avertissement », Circulation
  • « Si vous aimez les problèmes cardiaques, vous adorerez les vaccins Pfizer et Moderna Covid », Alex Berenson, Substack
  • « Le Dr Aseem Malhotra révèle une augmentation du risque de crise cardiaque suite au vaccin COVID à ARNm », Bitchute, Minute-1:35
  • Voir le rapport complet ici ; « Émeute lymphocytaire : Des pathologistes enquêtent sur les décès survenus après la vaccination contre le coronavirus », Free West Media
  • Voir « Au moins 69 athlètes s’effondrent en un mois, beaucoup sont morts », freewestmedia.co
  • « Lettre aux médecins : Quatre nouvelles découvertes scientifiques concernant l’immunité et les vaccins contre le COVID-19 – Implications pour la sécurité et l’efficacité », Doctors for Covid Ethics
  • « Les décès aux Pays-Bas sont supérieurs de plus de 20% à ceux de l’année précédente », Free West Media
  • « Le Dr David LV Bauer de l’institut Francis Crick détruit le système immunitaire », Bitchute, 1 minute
  • « Urgent : Les vaccins Covid vous empêcheront d’acquérir une immunité complète même si vous avez été infecté et êtes rétabli », Alex Berenson, Substack
  • « Vidéo : Un ancien employé de Pfizer affirme que le vaccin contre Covid-19 rend les personnes qui le reçoivent plus sensibles au virus », Gateway Pundit
  • « La protéine spike du SRAS-CoV-2 nuit à la réparation des dommages causés à l’ADN et inhibe la recombinaison V(D)J in vitro », mdpi.com
  • Voir « La protéine spike à l’intérieur du noyau renforce les dommages à l’ADN ? – Vaccins à ARNm COVID-19 mise à jour 1 », YouTube, 12 minutes
  • « La protéine spike va dans le noyau et nuit à la réparation de l’ADN », YouTube

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    Pandémie, vaccination, pass sanitaire : 6 pièces à conviction à ne pas manquer

    par Dominique Delawarde.

    1 – Un article de France Soir nous rapporte les résultats d’une étude intéressante. Selon le dernier rapport de l’Institut supérieur de la Santé (ISS) italien, seuls 2,9% des 130 468 des décès officiellement attribuées au Covid-19 depuis février 2020, soit moins de 3800 décès, seraient effectivement dus à cette seule maladie. Il y a donc eu une forte exagération dans la présentation du bilan de l’épidémie. Cette forte exagération relève, à l’évidence, du mensonge d’État et de la manipulation de l’opinion.

    Question naïve : Aurait-on cherché à faire peur pour mieux contrôler les populations et gagner leur obéissance ?

    francesoir.fr/italie-seuls-29-des-morts-du-covid-19-ont-effectivement-succombe-au-virus

    2 – Une très courte (4 minutes) intervention de Martin Blachier commentant, sur LCP (La très officielle chaîne TV parlementaire) un rapport de l’Agence technique de l’Information sur l’Hospitalisation (Service de l’État). Il se déclare surpris de découvrir aujourd’hui que les patients covid-19 ne représentaient que 2% des hospitalisations pour l’année 2020. Il admet que c’est « très, très, très loin de l’image que l’on s’en faisait ».

    Or, cette fameuse « image que l’on s’en faisait » a été créée de toute pièce par les politiques, et le conseil scientifique, en conflits d’intérêts avec Big Pharma ; politiques relayés par des médias mainstream complices, eux aussi en liens étroits avec divers lobbies par lesquels ils sont contrôlés.

    Le constat dressé par Martin Blachier, médecin de plateau TV qui n’a jamais cessé de soutenir les décisions de l’exécutif, appelle les questions suivantes :

    Pourquoi l’image de la pandémie, vendue aux citoyens et téléspectateurs, a-t-elle été exagérée à ce point par l’exécutif et les médias ?

    Pourquoi commence-t-on à admettre, aujourd’hui, dans des rapports officiels, que le narratif de l’épidémie a été fortement noirci ?

    Pourquoi, dans ces conditions, le gouvernement s’acharne-t-il à créer un pass sanitaire « à durée de validité limitée », soumis à un nombre de doses vaccinales imposées. Pourquoi s’acharne-t-il à multiplier les doses de vaccins, donnés pour une efficacité de 90 à 95%, mais qui n’ont pas donné les résultats escomptés, et pourquoi s’acharne-t-il, dans le même temps, à interdire les prises en charge précoces avec des médicaments qui ont fait leurs preuves, ailleurs, dans le monde ?

    3 – Le président biélorusse, dont le pays affiche pourtant l’un des taux de mortalité les plus bas d’Europe (4 fois inférieur au notre), a reçu de nombreux conseils pour mieux gérer l’épidémie de la part du président et des journalistes français, toujours en pointe pour s’ériger en donneurs de leçons, mais beaucoup plus réservés pour faire leur autocritique.

    Il est intéressant et surtout très amusant de voir comment il en tient compte, lors de son conseil des ministres (vidéo de 2 minutes) :

    4 – Invitée à s’exprimer par un sénateur US lors d’une audition dont la vidéo a été publiée le 9 novembre dernier, le lieutenant-colonel Theresa Long, médecin militaire américain, alerte sur la vaccination contre la Covid-19 dans les Armées américaines. (traduction simultanée de l’américain en français.)

    Outre son analyse argumentée sur la balance bénéfice-risque de la vaccination sur des populations jeunes qui ne risquent pas grand-chose, elle nous apprend que 200 000 soldats ont refusé le vaccin et ont quitté l’Armée américaine. Ce nombre représente 4 fois les pertes US lors de toute la guerre du Vietnam. Ça n’est pas rien.

    C’est une excellente nouvelle pour ces 200 000 soldats qui ont toutes les chances de survivre à la Covid-19, et de rester en bonne santé. C’est aussi une très bonne nouvelle parce que cela réduit d’autant la capacité d’ingérence et de nuisance des USA sur la planète. Ce ne sont probablement pas les plus mauvais soldats qui sont partis. Il faut, en effet, un certain courage et une capacité à retrouver du travail, pour accepter de perdre son emploi et de mettre sa famille en difficulté pour aller au bout de ses convictions. Il ne sera pas facile de les remplacer.

    infovf.com/lieutenant-colonel-theresa-long-alerte-sur-vaccination-contre-covid

    5 – La Suissesse Astrid Stuckelberger, au CV impressionnant, nous fait quelques révélations importantes dans une vidéo, hélas un peu longue. Je recommande, à ceux qui en ont le temps, de visionner de la minute 13’ 30’’ à la minute 53’ 30’’.

    synthesenationale.hautetfort.com/2021/11/09/revelations-importantes-du-docteur-astrid-stuckelberger

    6 – Enfin, dans une joute à fleuret moucheté entre un « géant » et un « nain », on réalise à quel point le harcèlement anti-Raoult, subventionné et réalisé par les suppôts de big pharma et des médias complices, est permanent. Le sourire mielleux, le regard patelin et les questions « à charge » du Raminagrobis envoyé par BFMTV pour tenter (en vain) de mettre Raoult en difficulté, transpirent la duplicité, l’hypocrisie, la désinformation.

    Cet échange sur BFMTV me fait étrangement penser à deux personnages d’Astérix :

    Dominique Delawarde

    Ancien chef «Situation-Renseignement-Guerre électronique» à l’État major interarmées de planification opérationnelle


    https://reseauinternational.net/pandemie-vaccination-pass-sanitaire-6-pieces-a-conviction-a-ne-pas-manquer/


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