La fable criminelle de la « vaccination sans danger » des femmes enceintes

Démarré par Ouebmestre, 18 Août, 2022, 09:40:48

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Ouebmestre

La fable criminelle de la « vaccination sans danger » des femmes enceintes



par Dr Gérard Delépine.
« Dis-moi qui te paie, je te dirai qui tu es »
Depuis deux ans et huit mois, le gouvernement et les médias aux ordres nous mentent pour nous inciter à accepter des injections expérimentales abusivement qualifiées de vaccin alors qu'il s'agit de médicaments à ARN dont les essais phase 3 ne seront terminés qu'en 2023.
L'un des derniers mensonges en vogue concerne les femmes enceintes qu'on trompe en prétendant1 :
« Une vaste étude canadienne... confirme que les vaccins à ARN messager contre le Covid-19 sont « sans danger » pendant la grossesse... L'étude a été menée sur 200 000 femmes enceintes canadiennes vaccinées ».
Ce pur mensonge estampillé AFP a été répété partout avec la complicité de France info, Médisite2, La Dépêche3, Elle, 20 Minutes Santé4 le quotidien du pharmacien5 et bien d'autres médias.
Existe-t-il dans ces rédactions des journalistes qui vérifient leurs sources et les données ? Sont-ils paresseux ou volontairement menteurs ? S'ils avaient fait leur travail de journaliste, ils auraient remarqué les faits suivants déjà dénoncés brillamment par Gibertie6.
L'étude7 ne porte que sur 5625 femmes enceintes vaccinées !
Car la lecture de l'article qu'ils citent montre que l'effectif réel des vaccinées est près de 40 fois inférieur à ce qu'ils annoncent !
L'étude se limite à de simples contacts par e-mails et/ou téléphoniques !
Il ne s'agit en aucun cas d'un article médical. Aucun examen clinique ni biologique n'a été réalisé. Il est heureusement douteux que les gynécologues canadiens suivent leurs patientes et l'évolution de leur grossesse par ces seuls moyens !
L'étude ne porte que sur les 7 jours post injection !
C'est quand même très court pour affirmer que les grossesses qui durent 9 mois n'ont pas été altérées par les injections et que les futurs nouveau-nés n'en ont pas souffert.
En 7 jours de suivi, ils ont quand même réussi à avoir chez les vaccinées : 4 qui ont perdu la vue, 7 incapables de marcher, 91 infections respiratoires, 1 paralysie soudaine du visage, et de nombreuses fausses couches.
Il ne s'agit pas d'un essai prospectif randomisé.
Mais d'une analyse rétrospective de cohorte dont la fiabilité scientifique est faible et la valeur probante très faible d'autant que l'effectif du groupe témoin (non vacciné) n'est que 339, chiffre totalement insuffisant pour estimer les risques et les comparer à des groupes numériquement 10 fois plus importants.
Les auteurs sont très liés à l'industrie des vaccins.
Il suffit de consulter les liens d'intérêt détaillés à la fin de l'article :
MS a été chercheur sur des projets financés par GlaxoSmithKline, Merck, Moderna, Pfizer, Sanofi-Pasteur, Seqirus, Symvivo et VBI Vaccines.
OGV a été chercheur, co-chercheur ou panéliste expert sur des projets financés par GlaxoSmithKline, Merck, Pfizer et Seqirus, en dehors du travail soumis.
JDK a été enquêteur sur des projets financés par GlaxoSmithKline, Merck, Moderna et Pfizer
KAT a été enquêteur sur des projets financés par GlaxoSmithKline.
JEI a été chercheur sur des projets financés par GlaxoSmithKline et Sanofi-Pasteur.
AJM a été chercheuse sur des projets financés par GlaxoSmithKline, Merck, Pfizer, Sanofi-Pasteur et Seqirus, et a reçu des honoraires pour sa participation à des conseils consultatifs d'Astra-Zeneca, GlaxoSmithKline, Medicago, Merck, Moderna, Pfizer, Sanofi-Pasteur, Seqirus, et pour les présentations d'Astra-Zeneca et Moderna.
GDS a été enquêteur sur un projet financé par Pfizer.
L'étude a été financée par les organismes d'État qui vivent des campagnes vaccinales et en font la promotion constante.
Ce travail a été soutenu par le financement COVID-19 Vaccine Readiness des Instituts en santé du Canada et de l'Agence de la santé publique du Canada CANVAS (numéro de subvention CVV-450980) et par le financement de l'Agence de la santé publique du Canada, par le biais du Document de référence sur la surveillance des vaccins Group et le groupe de travail sur l'immunité COVID-19.

La publication par le Lancet d'un tel torchon rappelle le précédent Lancetgate8,9,10,11
Jamais un tel article bidon n'aurait passé l'examen par un comité de lecture à l'époque où le Lancet était indépendant et que son impartialité faisait sa réputation. Le docteur Richard Horton rédacteur en chef du Lancet a d'ailleurs prévenu ses lecteurs :
« Une grande partie de la littérature scientifique, sans doute la moitié, pourrait être tout simplement fausse. Affligée d'études avec des échantillons réduits, flagrants, avec l'obsession de suivre les tendances d'importance douteuse à la mode, la science a pris le mauvais tournant vers les ténèbres. Les grandes compagnies pharmaceutiques falsifient ou truquent les tests sur la santé, la sécurité et l'efficacité de leurs divers médicaments, en prenant des échantillons trop petits pour être statistiquement significatifs, ou bien, pour les essais, embauchent des laboratoires ou des scientifiques ayant des conflits d'intérêts flagrants, ils doivent plaire à la compagnie pharmaceutique pour obtenir d'autres subventions ».
L'agence France presse, et les médias qui ont diffusé sans modération ce mensonge se sont comportés non pas comme des organes d'information, mais comme des propagandistes sans état d'âme d'un pseudovaccin expérimental dont les premiers résultats avérés en population réelle sont très inquiétants.

source : Docteur Nicole Delépine



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Données cachées Essai Pfizer, un nouveau scandale : 30% des femmes enceintes après la première dose ont perdu leur bébé



par Patrice Gibertie.
Les documents de l'essai Pfizer multiplient les pièges, j'ai donc tout repris de l'article initial en constatant que 50 femmes se sont retrouvées enceintes dans un essai qui leur était interdit. Des tests de grossesse ont été effectués pour les femmes en âge de procréer lors des visites de dosage avant l'administration du vaccin.
17 ont été retirées officiellement de l'étude dont 13 pour lesquelles aucune info sur le suivi de grossesse n'est donné.
Nous savons que pour 37 femmes suivies quelques mois, 11 ont perdu leur bébé pendant cette période qui couvre la 1ere et les jours suivant la 2ème dose.
Nous ignorons combien de grossesses sont à ce jour parvenues à terme pour les 26 femmes qui restaient et les 4 écartées qui n'ont pas donné de nouvelles.
Il faut chasser les doublons et les triplés mais pour ne pas aider les codes « subjects » fluctuant , il est impossible de retrouver les mêmes codes en comparant la liste des 50 femmes vaccinéees enceintes et la liste des femmes pour lesquelles nous avons un avortement (sauf 3).
Toutes les femmes qui ont perdu leur bébé sont dans la liste des 50.
Nous savions que les femmes enceintes NE POUVAIENT PAS PARTICIPER À L'ESSAI et les autres devaient pratiquer abstinence et ou methode contraceptive (p. 120 du protocole).
Aucune femme n'était enceinte avant de se faire vacciner.
Étude des documents
Mais quelques femmes de l'étude se sont pourtant retrouvées enceintes et elles ont été injectées, elles sont listées.
Officiellement 6 femmes enceintes du groupe vacciné et 7 du groupe placebo ont été ecartées de l'étude après la première dose...
Que sont-elles devenues ?
Selon les derniers documents, elles seraient 17. Le sort de la grossesse de 13 d'entre elles est inconnu.
La justice américaine a contraint la FDA de rentre public un document de 3645 pages présentant les adverses events survenus lors du fameux essai Pfizer portant sur 44 000 personnes. Nous savions déja que le suivi moyen ne portait pas sur 6 mois mais sur deux.

document : nejmoa2034577_protocol.pdf

Les derniers documents posent de gros problèmes et interrogent sur le sort d'autres femmes enceintes vaccinées.
On découvre que 50 femmes ont été vaccinées, 37 suivies sans doute pendant quelques semaines. 11 ont perdu leur bébé.

Qu'est il advenu des grossesses des femmes enceintes ? Le diable se cache dans les détails. On découvre que 50 femmes sont tombées enceintes lors de l'étude après la première injection (le document, à la page 3643, intitulé « Listing of Subjects Reporting Pregnancy After Dose 1 »). Cependant, il faut fouiller dans le reste du gros document pour apprendre que 11 des 37 femmes suivies ont subi un « avortement spontané », un « avortement spontané complet », un « avortement spontané incomplet » ou une « fausse couche ».
Les femmes répertoriées dans la liste des sujets déclarant une grossesse après la dose 1 ont reçu entre une et quatre injections chacune. 42 des femmes ont reçu le pfizer d'essai immédiatement. Huit ont reçu le placebo, puis ont été levés en aveugle et ont reçu le vaccin. Ainsi, au 31 mars 2021, toutes les femmes enceintes participant à l'essai avaient reçu la version BNT162b2 du vaccin de Pfizer et 11 avaient perdu leur bébé.
Bien entendu aucune relation avec l'injection...
42 femmes BNT-162b2 vs 8 placebo Pfizer a ensuite vacciné le groupe placebo et déclaré qu'aucune fausse couche n'était en lien avec le vaccin.
Le sort des grossesses de 13 est inconnu.
Le tout avait disparu avec la complicité de la FDA. 11/37 femmes ont perdu leur bébé1,2.
Et les injections ont déjà des effets sur la natalité : la Suisse

https://t.me/real_hero_francais/323... Et merci à @CuendetV
lire la suite : Patrice Gibertie


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Le gouvernement britannique conseille de ne pas vacciner les femmes enceintes ni allaitantes


Ce sont les dernières recommandations officielles en Angleterre datées du 16 août 2022.
Comme vous pouvez le constater dans la traduction ci-dessous et que vous pourrez vérifier en cliquant sur le lien du site gouvernemental, depuis le 16 août dernier, les autorités de santé britanniques déconseillent totalement la vaccination des femmes enceintes mais également allaitantes. Pire encore, en lisant le texte nous apprenons qu'une étude sur la fertilité et le développement fœtal est en cours chez le rat. En d'autres termes, ceci n'a pas été fait précédemment avant d'injecter des millions de femmes enceintes !!! Concernant les développements prénatal et postnatal, il est écrit noir sur blanc – comme vous pouvez le constater ci-dessous – qu'aucune étude n'a été réalisée !!! Cela va faire bientôt 20 mois qu'ils sont en train de vacciner les femmes enceintes sans aucune donnée scientifique ! C'est tout simplement un désastre sanitaire dans un futur proche, du pur charlatanisme.
Il faut absolument diffuser cette information au plus grand nombre et aller titiller les vérificateurs (sic) de l'information officielle en leur demandant de nous expliquer comment une telle folie est-elle possible aujourd'hui ?
***

Toxicité pour la reproduction et le développement
Fertilité et développement embryonnaire précoce et développement embryofœtal
Dans les études de toxicité générale, l'évaluation macroscopique et microscopique des tissus reproducteurs mâles et femelles n'a montré aucun signe de toxicité.
Une étude combinée de fertilité et de développement (y compris la tératogénicité et les investigations postnatales) chez le rat est en cours.
Développement prénatal et postnatal, y compris la fonction maternelle
Aucune étude de ce type n'a été réalisée.
Études dans lesquelles la progéniture (animaux juvéniles) est dosée et/ou évaluée plus avant
Aucune étude de ce type n'a été réalisée.
Tolérance locale
Aucune étude de ce type n'a été réalisée. Les évaluations faites dans le cadre de l'étude de toxicité générale devraient suffire et une étude distincte n'est pas nécessaire.
Autres études de toxicité
Aucune étude de ce type n'a été réalisée.
Conclusions sur la toxicité
L'absence de données sur la toxicité pour la reproduction reflète la vitesse de développement pour d'abord identifier et sélectionner l'ARNm du COVID-19 Vaccin BNT162b2 pour les tests cliniques et son développement rapide pour répondre aux besoins sanitaires urgents en cours. En principe, une décision d'homologation d'un vaccin pourrait être prise dans ces circonstances sans données provenant d'études de toxicité pour la reproduction chez les animaux, mais des études sont en cours et elles seront fournies lorsqu'elles seront disponibles. Dans le cadre de l'approvisionnement au titre du règlement 174, il est considéré qu'il n'est pas possible à l'heure actuelle de garantir suffisamment la sécurité d'utilisation du vaccin chez les femmes enceintes : cependant, l'utilisation chez les femmes en âge de procréer pourrait être soutenue à condition que les professionnels de santé soient invités à statuer grossesse connue ou suspectée avant la vaccination. Les femmes qui allaitent ne doivent pas non plus être vaccinées. Ces jugements reflètent l'absence de données à l'heure actuelle et ne reflètent pas une constatation préoccupante particulière.

Informations pour les professionnels de la santé au Royaume-Uni et informations pour les destinataires au Royaume-Uni

source : Le Libre Penseur
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Pays européens : Baisse de la natalité jusqu'à 19% dans la première moitié de 2022




par Aguellid.

Reste à savoir si cette baisse est liée aux campagnes de vaccinations massives à l'ARN messager.

Une telle conclusion ne peut pas être publiée aussi vite car il peut y avoir d'autres paramètres mais on ne peut pas ne pas penser immédiatement aux innombrables troubles des cycles menstruels post-vaccinaux. De plus, nous savons aujourd'hui que les autorités sanitaires anglaises déconseillent totalement la vaccination des femmes enceintes et allaitantes car il n'y a aucune étude scientifique qui démontrerait son efficacité et son innocuité surtout pour le développement fœtal. Il peut exister d'autres facteurs comme par exemple le stress et il faut dire que depuis 2 ans et demi, jamais une population n'a été autant terrorisée médiatiquement avec cette crise sanitaire Covid-19, puis vient s'ajouter le risque de guerre nucléaire mondiale depuis 6 mois avec la guerre russo-ukrainienne, sans oublier une propagande insensée concernant le réchauffement climatique et ses prédictions d'un futur sombre pour la planète. Si on ajoute à cela la volonté de nombreuses personnes en Occident de ne plus faire d'enfants à cause d'un découragement et d'une démoralisation complets, de nombreux hommes se portent candidats à la vasectomie, car ils ne veulent pas avoir d'enfants dans un monde tel que le nôtre. Sans oublier bien entendu tous les empoisonnements environnementaux que nous devons subir en Occident et qui sont responsables de la baisse de concentration de spermatozoïdes depuis des décennies maintenant.

Bref, nous avons l'impression que le plan des globalistes du World Economic Forum de Klaus Schwab est en train de se réaliser sous nos yeux étant donné leur volonté de faire baisser la population mondiale, comme ne cessent de le répéter Bill Gates et ses amis depuis 2 décennies maintenant.
***
La situation est la même dans le monde entier : neuf mois après le début de la vaccination Covid, les naissances vivantes ont considérablement diminué chez les personnes âgées de 18 à 49 ans, en particulier dans les pays où le taux de vaccination est élevé.

Le fait que ces cas ne sont pas isolés a été clairement démontré : Sur la base des chiffres officiels des offices statistiques nationaux, un analyste de données a effectué des analyses complètes pour 18 pays. Résultat : au cours du premier semestre 2022, on a constaté un net recul des naissances par rapport à la moyenne des années précédentes – dans de nombreux pays, ce recul était nettement supérieur à 10% !

Au total, les données d'un nombre encore plus important de pays ont été analysées, bien que certaines d'entre elles soient encore incomplètes. Néanmoins, l'analyse est tout à fait significative : dans 15 pays, l'analyste de données Raimund Hagemann et son équipe ont constaté un recul des naissances vivantes de plus de 4%, dans sept pays, ce recul était même supérieur à 10%. Hagemann ne prétend pas avoir démontré un lien de cause à effet avec la campagne de vaccination, mais indique que d'autres facteurs (tels que l'impact psychologique du lockdown sur le planning familial ou encore les infections Covid) n'expliquent pas la baisse des taux de natalité :
Mon analyse met en relation le nombre de naissances mensuelles avec la moyenne des trois dernières années. On constate d'emblée que tous les pays européens étudiés présentent une baisse mensuelle des naissances pouvant aller jusqu'à plus de 10% par rapport à la période de référence. Il est possible de prouver que ce signal très alarmant ne peut pas être expliqué par l'épidémie de Covid-19. En revanche, les liens temporels avec la vaccination dans le groupe d'âge des hommes et des femmes entre 18 et 49 ans peuvent être clairement établis. Des analyses statistiques et médicales approfondies doivent donc être exigées1.

Près de 90 000 naissances vivantes en moins ?

La liste suivante donne des informations sur les différences parfois considérables des taux de natalité en 2022 par rapport aux années précédentes :

Tous les pays montrent une corrélation négative entre la fréquence de vaccination et la baisse de la natalité. Il est intéressant de noter que la Roumanie, où le taux de vaccination est relativement faible, a néanmoins enregistré la plus forte baisse de la natalité – d'autres facteurs que la vaccination pourraient donc bien jouer un rôle. Il est cependant un fait que l'EMA a été et est toujours littéralement submergée par des déclarations de troubles des organes génitaux féminins et masculins qui seraient en rapport avec les vaccins Covid. Le nombre de troubles menstruels signalés – plus de 126 000 au 20 août selon Hagemann – est particulièrement inquiétant : Un lien avec la baisse de la natalité devrait absolument être vérifié. Une étude a par ailleurs déjà démontré une influence négative du vaccin BioNTech/Pfizer sur la fertilité masculine.
Un lien de cause à effet évident
Hagemann constate :
Les effets indésirables sur les organes reproducteurs féminins et les résultats des études concernant la fertilité masculine suggèrent une interprétation causale du lien entre la baisse de la natalité et les vaccins Covid-19[1].
Compte tenu du fait qu'en Europe, on observe uniformément une baisse des taux de natalité en relation temporelle frappante avec la campagne de vaccination, l'analyste demande un arrêt immédiat de la vaccination.
En se référant aux critères de Bradford-Hill, il a été possible de démontrer une corrélation temporelle entre la baisse de la natalité et le déroulement de la première campagne de vaccination (doses 1 et 2) neuf mois auparavant. Il y avait une très forte analogie entre les pays européens. La baisse du nombre de naissances observée de manière uniforme avec une corrélation temporelle avec le début de la campagne de vaccination n'est donc pas un phénomène national isolé. Certains pays retiennent encore leurs données. La Norvège a transmis les données des deuxièmes trimestres, mais retient actuellement les données des premiers trimestres.
Compte tenu de l'importance individuelle et sociétale considérable du lien entre les campagnes de vaccination et la baisse des taux de natalité, il convient d'exiger la suspension immédiate de la vaccination Covid-19 pour toutes les personnes en âge de procréer et de se reproduire[1].

Il insiste sur le fait que ses propos ont été aussi objectifs que possible et qu'aucune interprétation des données ne doit être exclue. Il estime toutefois qu'il n'est pas acceptable d'attendre davantage les publications scientifiques traditionnelles : la menace individuelle et sociale évidente que représente le vaccin est trop importante.

source : Le Libre Penseur

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Effondrement de la natalité depuis les vaccinations de masse


par Aguellid.
C'est déjà le cas dans de nombreux pays comme l'Allemagne et la Suisse.
Il va falloir suivre de très près ces chiffres épidémiologiques car ils sont directement liés avec la crise sanitaire.
Que ce soit une question de stress, une volonté de ne plus faire d'enfants dans un monde chaotique ou tout simplement les effets indésirables graves des injections d'ARN messager, si ces chiffres se confirment, il faut absolument en connaître les raisons pour faire arrêter ce massacre.
Ne plus faire d'enfants est un suicide d'une extrême gravité qui conduit à la disparition d'un peuple.
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CitationDr Hippocrate

Effondrement dramatique des naissances en Europe 9 mois après ces « vaccinations » de masse ! Pas besoin d'être médecin pour comprendre le lien de causalité ! Le plus terrifiant c'est le silence total des merdias : RIEN Et on continue à vacciner les jeunes et femmes enceintes !

Image


source : Le Libre Penseur
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Rien ne justifie l'injection dangereuse des femmes enceintes ni des bébés



Refuser la marche forcée pour injecter petits et femmes enceintes par un médicament génique expérimental

par le Dr Nicole Delépine
En Californie, l'échec du gouvernement et des associations provax à faire vacciner les enfants malgré toutes leurs pressions et leur propagande nous réjouit. Le mythe covid commence à ne plus fonctionner, même dans les pires États comme la Californie ou New York qui réintègre et indemnise les suspendus, soignants et autres.
« Contrairement aux prévisions de Rochelle Walensky, directrice du centre de prévention et de lutte contre les maladies (CDC), il semblerait que la vaccination des enfants suscite peu d'engouement. À ce jour, près de 70% des enfants américains âgés de 5 à 11 ans ne sont toujours pas vaccinés. En Californie, l'Association médicale de Californie, l'Académie américaine de pédiatrie, l'Académie californienne des médecins de famille et la Coalition californienne pour l'immunisation ont demandé à tous les prestataires de services pédiatriques de recommander la vaccination contre le Covid-19 et la grippe pour protéger les enfants. Pourtant jusqu'à ce jour, aucun variant agressif pour les enfants n'est apparu. Aussi est-on en droit de s'interroger sur les raisons réelles de cette propagande pour la vaccination, qui soulève de nombreuses questions »1.
Des chiffres d'origine incertaine sans mise en perspective pour effrayer les parents : « Selon l'Association médicale de Californie et ses partenaires, même si les cas de Covid-19 grave sont rares chez les enfants, la maladie a causé 122 000 hospitalisations et 1500 décès aux États-Unis ». On aimerait connaître la source de ces données, car parmi les 0-17 ans, malgré de fortes incertitudes2 au 1/12/2022, le CDC recensait moins de 1000 décès attribués au covid3.



Pour illustrer le faible risque vital que courent les enfants avec le covid19, le Dr Daniel Rauch, chef du service pédiatrique au Tufts Children's Hospital de Boston prend en exemple la coupe du monde :
« Pensez-y en termes de stades de football : sur 100 000 enfants, l'un d'eux ne s'en sortira pas avec COVID. Tous les autres qui sont entrés vont sortir. »
De plus, on aimerait aussi vérifier les dossiers médicaux pour voir si ces petits sont morts malades du covid ou le plus souvent morts d'une autre cause avec seulement avec un test PCR positif comme la Société française de pédiatrie a pu le démontrer en France :
« Pour 21 décès avec une investigation qui a pu être menée à son terme, il a été retrouvé pour 17 enfants des comorbidités très sévères »... « dans certains cas, l'infection était de découverte fortuite et le décès était en lien avec un accident ou une autre pathologie ».
Enfin, ce chiffre étonnamment élevé de 50 morts d'enfants par mois brandi par l'association médicale de Californie doit être comparé aux autres causes de décès d'enfants aux USA : par arme à feu : 358 par mois4, par accident de la route : 325 par mois. La troisième cause de décès est la mort par surdose et empoisonnement et en 2021, le National Cancer Institute estime que 15 590 enfants et adolescents âgés de 0 à 19 ans ont souffert de cancer et que 1800 en sont morts5, permettant de chiffrer à 150 le nombre mensuel moyen de décès d'enfants par cancer.
Chacun avertit, mais il y a encore trop de sourds et aveugles au danger encouru par l'Humanité.
• IMPARDONNABLE – 125 enfants morts, 1000 handicapés et 50 000 lésés à cause de la vaccination Covid-19 aux USA au 3 juin 2022
« Les derniers chiffres publiés par les Centres américains de contrôle des maladies révèlent que 50 000 enfants ont été affectés par la vaccination contre le Covid-19 aux États-Unis. Malheureusement, 1112 de ces enfants ont souffert d'une complication mettant leur vie en danger ou d'un handicap permanent, tandis que 125 autres enfants ont malheureusement perdu la vie »6.
Les parents ouvrent les yeux7 et les mensonges accumulés sur l'injection Covid jettent le trouble sur les autres vaccins
16/11/2022
Dr McCullough8 explique à Robert Kennedy Jr9 que les parents sont beaucoup plus réticents à faire des vaccins depuis le « désastre de l'injection Covid19 » :
« On a ouvert la boîte de Pandore et les gens examinent tous les vaccins avec attention. Et nous comprenons le sens d'essais de contrôle appropriés. Nous voyons maintenant des vaccins administrés pour des maladies facilement traitables comme la coqueluche ou la diphtérie et nous assistons maintenant à une attaque incroyable ! Nous voyons maintenant des enfants recevoir plus de 17 injections. Quand j'étais petit, il n'y en avait que 3 ! Et il y a probablement eu une attribution inappropriée du succès de ces vaccins.
Ainsi, même certains des premiers succès jamais revendiqués par les vaccins sont probablement davantage attribuables à l'assainissement ou à d'autres formes de soins médicaux.
Donc, ce qui se passe maintenant, c'est qu'ils avaient l'habitude de recenser un taux de réticence à la vaccination ce qu'on appelle : « l'hésitation aux vaccins » aux États-Unis. Ce taux était d'environ 2,5% de la population avant. Actuellement, du fait des mensonges permanents constatés par la population, la confiance en la parole de l'état a fortement chuté et l'hésitation aux vaccins dépasse les 25%.
J'ai fait une excellente interview avec le Dr Sherri Tenpenny (https://www.tenpennyimc.com/sherri-tenpenny-bio) récemment.
Moi je suis un médecin entièrement vacciné et elle est un médecin entièrement non vacciné, elle n'a jamais pris un seul vaccin de sa vie !
Nous avions donc deux perspectives différentes, mais ce sur quoi nous nous sommes mis d'accord, c'est que les vaccins, comme toute thérapie médicale, méritent une réévaluation dans le temps.
Rien n'a de permanence, rien n'a de talisman, rien n'a une existence basée sur la foi. Tout a un état dans le temps. Les médicaments que nous utilisons maintenant ne sont pas les mêmes que ceux que nous utilisions l'année dernière. Et si les médicaments sont retirés, les vaccins devraient être retirés. Tout doit faire l'objet d'une évaluation critique.
Et la catastrophe du vaccin Covid-19 a ouvert la boîte de Pandore et maintenant, selon des estimations récentes, environ 30% des parents sont maintenant très préoccupés par l'ensemble du calendrier vaccinal. »10.



Voici un graphique intéressant sur les mortinaissances australiennes. Pourquoi y aurait-il un bond aussi astronomique des mortinaissances à partir de 2021-2022 ?
Aux USA, fausses couches et mortalité périnatale importantes
Même si VAERS est connu pour avoir supprimé de grandes quantités de données rapportées, celle-ci affiche encore suffisamment de chiffres pour susciter de sérieuses inquiétudes11.
VAERS COVID Vaccine Reproductive Health Related Reports



La duperie commence à être révélée : scoop !
Les remarques du Dr Bourla sur le vaccin des enfants étaient « honteusement trompeuses » et « de nature extrêmement promotionnelle »12.
Et la surmortalité globale augmente



Nos enfants meurent du vaccin covid
Les données recueillies dans 24 pays montrent le dépassement de surmortalité.
Dépassement du pic hebdomadaire des enfants de 0 à 14 ans :215 morts en 2020
Autorisation vaccinale des enfants de 12 à 5 ans de l'EMA.481 morts
2022 : Vaccinations et rappels des enfants+ de 807 mortsC'est un record absolu.
ET POURTANT pour les enfants de 0 à 14 ans, la probabilité de mourir du covid est très proche de zéro13.
Eudravigilance pour UE



EudraVigilance data updates
Data status 19/11/2022
EMA data update (Cf. z. data status 11/14/2022) :
→ 2,120,667 cases (+13,852)
→ 26,870 deaths (+32)
→ 610,753 serious adverse events (+3,248).
Affected children :
→ 40,567 cases (+242)
→ 243 deaths (+0)
→ 14,501 serious adverse events (+56)



Et si vous souhaitez écouter une vidéo sur les problèmes des fœtus :

Et globalement en UE effets toxiques des pseudovax anticovid comparés à ceux des effets des vaccins administrés en UE de 2010 à 2022 NOV :





Au niveau mondial, les données de mortalité de l'OMS montrent que l'épidémie est en voie d'extinction :



NE VACCINEZ NI LES ENFANTS,
NI LES FEMMES ENCEINTES,
NI TOUTE PERSONNE JEUNE OU VIEILLE QUE VOUS AIMEZ !
source : Docteur Nicole Delépine


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