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Non au "pass nazitaire", non à l'injection d'immuno-toxiques aux enfants !

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#41
Psychologie sociale / Pourquoi la propagande fonctio...
Dernier message par Ouebmestre - 19 Juillet, 2023, 18:22:21
Pourquoi la propagande fonctionne-t-elle si bien ?



Par Caitlin Johnstone – Le 16 juin 2023

Il est indéniable que la civilisation occidentale est saturée de propagande à usage domestique visant à manipuler la façon dont le public pense, agit, travaille, achète et vote. Des employés des médias ont témoigné du fait qu'ils subissent une pression constante pour diffuser des récits favorables au statu quo politique de l'empire américain. Les gestionnaires de l'empire ont publiquement reconnu qu'ils avaient tout intérêt à manipuler la pensée publique. L'observation à l'œil nu de la manière dont les médias soutiennent systématiquement toutes les guerres américaines, se rallient à l'objectif de politique étrangère américain du jour et font preuve d'un parti pris écrasant contre les gouvernements ciblés par l'empire, montre clairement que c'est ce qui se passe si l'on fait preuve d'un minimum d'esprit critique.

Nier que ces manipulations à grande échelle ont un effet sur vous est aussi absurde que de nier que la publicité – une industrie de près de mille milliards de dollars – a un effet sur vous. Il s'agit simplement d'un fait gênant : même si nous aimons nous considérer comme des agents souverains libres de penser et à l'abri de toute influence extérieure, l'esprit humain est tout à fait piratable. Les manipulateurs le savent, et la science de la propagande moderne, qui progresse depuis plus d'un siècle, le comprend avec une lucidité aiguë.

En martelant continuellement notre esprit de messages simples et répétés sur la nature du monde dans lequel nous vivons, les propagandistes sont en mesure d'exploiter les failles de la cognition humaine, comme l'effet de vérité illusoire, qui fait que notre esprit confond l'expérience d'avoir déjà entendu quelque chose avec l'expérience d'avoir reconnu cette chose comme vrai. [Selon l'adage bien connu de Goebbels : Un mensonge répété 100 fois devient une vérité, NdT]

Notre endoctrinement dans la vision du monde impériale dominante commence lorsque nous sommes très jeunes, en grande partie parce que l'école est liée aux mêmes structures de pouvoir dont les intérêts d'information sont servis par cette vision du monde, et parce que de puissants ploutocrates comme John D Rockefeller se sont activement insérés dans la formation des systèmes d'enseignement modernes.
Notre vision du monde est formée lorsque nous sommes jeunes dans l'intérêt de nos dirigeants, et à partir de là, des biais cognitifs prennent le relais pour protéger et renforcer cette vision du monde, la préservant généralement sous une forme plus ou moins identique pour le reste de notre vie.

C'est ce qui fait qu'il est si difficile de convaincre quelqu'un que ses croyances sur une question sont des mensonges nés de la propagande. Beaucoup de gens attribuent ce problème au fait que la pensée critique n'est pas enseignée dans les écoles, et j'ai vu certains courants de la pensée marxiste soutenir que les Occidentaux choisissent d'épouser des récits de propagande parce qu'ils savent que cela favorise leurs propres intérêts de classe. Il est sûr que ces deux facteurs entrent dans l'équation dans une certaine mesure. Mais la principale raison pour laquelle les gens ont tendance à rester attachés à leurs perspectives installées par la propagande a en fait une explication beaucoup plus simple et bien documentée.

La psychologie moderne nous apprend que les gens n'ont pas seulement tendance à s'accrocher à leur système de croyance induit par la propagande, mais aussi à n'importe quel système de croyance. La persévérance dans les croyances, comme son nom l'indique, décrit la manière dont les gens ont tendance à s'accrocher à leurs croyances même lorsqu'on leur présente des preuves qui les réfutent. La théorie veut qu'à l'époque où les humains vivaient en tribus souvent hostiles les unes aux autres, notre cohésion tribale et le fait de savoir à qui nous pouvions faire confiance comptaient plus pour notre survie que de prendre le temps de découvrir ce qui est objectivement vrai, de sorte que nous avons maintenant ces cerveaux qui ont tendance à donner la priorité à la loyauté envers nos "tribus" modernes comme notre nation, notre religion, nos factions idéologiques et nos causes préférées.

Cette tendance peut prendre la forme d'un raisonnement motivé, où nos intérêts émotionnels et nos loyautés "tribales" influencent la manière dont nous prenons en compte les nouvelles informations. Elle peut également donner lieu à un effet de retour, où le fait d'être confronté à des preuves qui entrent en conflit avec notre vision du monde non seulement ne changera pas nos croyances, mais les renforcera au contraire.

La réponse simple à la question de savoir pourquoi les gens s'accrochent à des croyances inculquées par la propagande impériale est donc que c'est ainsi que fonctionnent les esprits. Si vous parvenez à endoctriner quelqu'un avec force et constance dès son plus jeune âge, puis à lui donner une "tribu" idéologique dominante à laquelle s'identifier dans le cadre de cet endoctrinement, les failles cognitives de nos cerveaux nouvellement évolués agissent comme des sentinelles qui protègent les visions du monde que vous leur avez inculquées. C'est exactement ce que la propagande moderne et nos systèmes politiques modernes sont censés faire.

Je vois souvent des gens exprimer leur perplexité face à la façon dont les personnes les plus intelligentes qu'ils connaissent adhèrent aux récits de propagande les plus ridicules qui soient. Voici pourquoi. Une personne intelligente qui a été efficacement endoctrinée par la propagande sera tout simplement plus intelligente qu'une personne d'intelligence moyenne pour défendre ses convictions. Certains des articles de politique étrangère les plus écervelés que vous lirez proviennent de titulaires de doctorats et de diplômés de l'Ivy League, parce que leur intelligence leur permet d'avancer des arguments intelligents pour expliquer pourquoi il serait bon et intelligent que l'armée américaine fasse quelque chose de maléfique et de stupide.

https://lesakerfrancophone.fr/tu-ne-vas-pas-croire-ce-que-je-vais-te-dire [pour la traduction française de cette vidéo].

The Oatmeal a publié une excellente bande dessinée à ce sujet (que quelqu'un a également transformée , si vous préférez). Fait important, l'auteur note à juste titre que la tendance de l'esprit à protéger avec force sa vision du monde ne signifie pas qu'il est impossible de changer ses croyances à la lumière de nouvelles preuves, mais seulement que c'est plus difficile que d'accepter des croyances qui confirment ses préjugés. Cela demande du travail, de la sincérité et de l'honnêteté, mais c'est possible. C'est une bonne nouvelle pour ceux d'entre nous qui ont intérêt à convaincre les gens d'abandonner leurs visions du monde construites par la propagande pour des visions fondées sur la réalité.

Parfois, le simple fait d'être patient avec quelqu'un, de faire preuve d'empathie, de le traiter comme nous aimerions être traités et de chercher à établir des points communs pour surmonter la psychologie primitive qui crie que nous appartenons à une tribu hostile peut accomplir beaucoup plus que d'exposer des tonnes de faits objectifs réfutant leur récit sur la Russie, la Chine, leur propre gouvernement ou quoi que ce soit d'autre.

Et surtout, nous pouvons continuer à dire la vérité, de toutes les manières nouvelles, engageantes et créatives que nous pouvons imaginer. Plus nous serons nombreux à le faire, plus il y aura d'occasions pour quelqu'un d'entrevoir quelque chose au-delà du voile de sa vision du monde installée par la propagande et des préjugés cognitifs qui la protègent. Plus nous créons de telles opportunités, plus la vérité a de chances d'être entendue.

Caitlin Johnstone

Traduit par Wayan, relu par Hervé, pour le Saker Francophone.
#42
Intox médiatiques / Quand la censure COVID se fait...
Dernier message par Ouebmestre - 21 Avril, 2023, 23:24:34
Quand la censure COVID se fait visible

par Michel de Lorgeril

Certains pensent encore que l'information médicale et scientifique a été fluide et ouverte pendant les trois années de Covid.
Mais parfois, le rideau s'entrouvre sur la réalité des faits.
On annonçait un article/témoignage sur un site anglophone à propos d'une complication postvaccinale survenue chez un médecin avec le décès du collègue comme conséquence.
A priori, ce type de témoignage est intéressant car probablement bien documenté : il s'agit d'un médecin, donc probablement (j'insiste sur cette notion de probabilité) bien entouré...
Du fait de cette « probabilité » (qui n'est pas une certitude), je n'en ai pas fait une priorité.
J'ai eu tort !
En effet, aussitôt mis en ligne, l'article a été censuré (ci-dessous).



Bien lire les petites lignes de « Editor's note »...
Pour les non-anglophones, « jab » signifie ici « injection vaccinale » et je traduis « removed » par « censuré ».
La pauvre Helen William ne fera pas « long feu » parmi les employés de Medscape UK, à mon avis.
Il y a des « Editorial standards » à respecter !
Ce n'est pas aux lecteurs de se faire eux-mêmes une idée...
Certains pourraient penser que cette observation (de ma part) est anecdotique et de faible intérêt.
Ils ont tort.
Dans le monde du « Spectacle » (monde travesti) qui nous assaille, ce sont parfois les échappées anecdotiques qui donnent tout leur sens à ce qui se déroule sur la scène ! Opéra-bouffe en somme !
Attention, la mise en scène concerne autant les « pro » que les « anti » à propos de tout et n'importe quoi : le monde du « Spectacle » travaille pour lui-même !

source : Michel de Lorgeril
#43
Fraudes scientifiques / Le gardasil ne prévient que le...
Dernier message par Ouebmestre - 21 Avril, 2023, 19:24:40
Le gardasil ne prévient que les infections HPV et pas le cancer du col de l'utérus




par Gérard Delépine

Gardasil : 10 mensonges dans un seul article de l'AFP Factuel.
Un « article » récent de l'AFP Factuel la cellule « fact-checking » de l'Agence France-Presse (AFP) – repris par Actu Orange fait la promotion du vaccin anti-HPV (papillomavirus humain) Gardasil. Il tente de mettre en doute les faits rapportés dans ma tribune publiée par FranceSoir et ignore soigneusement les données officielles. Cette production parvient à accumuler 10 mensonges en moins de 2500 mots sans se référer à aucun chiffre réel, tout en se présentant factuel : un exploit en matière de désinformation ! Contre-vérification en détails.

1. Non, il n'existe aucune preuve d'efficacité anticancer du Gardasil. Prétendre le contraire, comme le fait l'AFP Factuel, est mensonger

Pour expliquer l'absence de preuve d'efficacité contre le cancer invasif (pourtant essentielle pour un vaccin qui revendique cet objectif), l'Agence France-Presse (AFP), via sa cellule de fact-cheking « AFP Factuel », répète la propagande du laboratoire MSD, qui commercialise le Gardasil 9 :
« Il peut se passer entre 10 et 30 ans entre l'infection par le papillomavirus et l'apparition du cancer du col de l'utérus : ce délai n'est pas compatible avec des études cliniques sur ce critère. »
MSD et l'AFP reconnaissent donc que l'efficacité anticancer n'a pas été étudiée. Mais cela ne les empêche pas d'utiliser cette prétendue efficacité non comme argument publicitaire !
Pourtant la Haute Autorité de santé (HAS) précise dans son avis de septembre 2017 sur le Gardasil 9 :
« Les données disponibles à ce jour ne permettent pas de répondre aux interrogations concernant l'efficacité en termes de prévention des cancers, comme pour les vaccins GARDASIL et CERVARIX. »
Alors pourquoi l'AFP ment-elle en déclarant fausse cette diapositive qui rappelle simplement l'absence de preuve d'efficacité contre le cancer ? Mensonge n°1 !



Et il faudrait prendre pour parole d'évangile la déclaration du professeur Jean-Luc Prétet, directeur du Centre national de référence sur les papillomavirus : « Il y a une vraie protection du vaccin contre les cancers, c'est clairement démontré par les études épidémiologiques ». Ce dernier ne cite pourtant pas une seule de ces prétendues études. Il faudrait donc le croire, sans preuve, alors que toutes les données officielles du monde réel démontrent le contraire ?

2. Non, en Australie les cancers invasifs ne disparaissent pas !

L'AFP Factuel ment en déclarant faux un authentique graphique officiel australien.
L'éradication des cancers du col partout annoncée par les médias est totalement contredite par les déclarations officielles du gouvernement australien de 2022 reproduites ci-après :
« Le nombre de diagnostics annuels de cancer du col de l'utérus est initialement passé de 966 en 1982 à 1144 en 1994, puis a diminué à 695 en 2002 et a depuis augmenté régulièrement pour atteindre 839 en 2017. En 2021, on estime que 913 nouveaux cas de cancer du col de l'utérus vont être diagnostiqués en Australie. »



Ce graphique officiel du gouvernement australien illustre l'efficacité du dépistage cytologique (chute du nombre annuel de nouveaux cas de cancers invasifs de 50% entre 1994 et 2002) et dément la propagande permanente des médias et notamment de l'AFP qui prétend que l'Australie verrait l'éradication des cancers invasifs du col grâce à la vaccination, alors que depuis celle-ci leur nombre augmente.
La capture d'écran confirme bien l'origine officielle du graphique et permet à chacun d'en vérifier l'authenticité. Mais l'AFP se contente de le déclarer... « faux ». Mensonge n°2 !
De plus, contrairement aux assertions de l'AFP Factuel (mensonge n°3 !), il ne s'agit pas de projections mais bien des chiffres avérés enregistrés et publiés par les registres officiels des cancers australiens expliquant que les données du graphique publié en 2022 s'arrêtent à 2017.
On ne peut pas croire qu'il s'agirait d'une simple erreur de l'AFP car la source officielle du graphique était rappelée en rouge. L'Agence France-Presse pouvait par conséquent facilement le vérifier.
Barrer d'une croix rouge et qualifier de faux un graphique officiel du gouvernement australien témoigne de sa volonté forcenée d'ignorer les faits qui dérangent.
Plutôt que de rapporter des faits avérés et chiffrés, l'AFP Factuel donne la parole à des experts qui se trompent ou bien mentent.
Ainsi M. Prétet prétend sans aucune vérification (mensonge n°4 !) :
« Cette augmentation, si elle existe, ne touche sûrement pas les femmes vaccinées, ce sont des femmes qui sont plus âgées, autour de 45 ans. »
Malheureusement pour lui, cette augmentation constitue un fait avéré et les chiffres rapportés en 2022 par l'Australian Institute of Health and Welfare prouvent que contrairement à ce qu'il pense, chez les 20-39 ans (le groupe le plus vacciné), le nombre annuel de nouveaux cancers de l'utérus a augmenté de plus de 50%, passant de 195 en 2001 (cinq ans avant la vaccination) à 331 en 2021 (après 15 ans de vaccination).



L'AFP Factuel utilise comme témoin de prétendus « experts » qui n'étudient, ne vérifient ni ne citent aucun chiffre officiel, mais récitent seulement leur crédo (celui des laboratoires pharmaceutiques, du gouvernement et de l'Institut Pasteur). Ainsi, l'AFP ment en se prétendant « factuelle » !

3. En Suède, depuis la vaccination, les cancers du col augmentent. Prétendre le contraire constitue un mensonge de plus (le 5ème) :

L'AFP et son expert Francesco Salvo prétendent que les chiffres cités dans ma tribune seraient « inexacts et (représenteraient) une sélection aléatoire et malveillante des données ». Mais ceux-ci ne citent aucune donnée officielle à l'appui de leur croyance.
D'ailleurs, ils reconnaissent eux-mêmes plus loin : « L'incidence des cancers augmente » en attribuant cette augmentation à « des progrès diagnostiques », alors que les critères anatomopathologiques utilisés pour diagnostiquer le cancer invasif n'ont pas évolué depuis 50 ans.
Mais revenons aux faits, rappelons les données officielles suédoises
En 2017, le Centre suédois de prévention du cancer du col de l'utérus (NKCx) a constaté une augmentation très significative (p < 0,03) de l'incidence du cancer du col de l'utérus passée de 9,7/100 000 en 2006-2009 (date d'introduction de la vaccination) à 11,5/100 000 en 2014-2015.
En avril 2018, un article de l'Indian Journal of Medical Ethics (IJME) a soulevé l'hypothèse que l'augmentation du cancer du col de l'utérus serait liée à la vaccination, mais ce texte a été retiré ultérieurement car son auteur, craignant des représailles, avait utilisé un pseudonyme, violant ainsi la politique de transparence de l'IJME.
En 2019, l'augmentation de l'incidence du cancer du col de l'utérus a été confirmée par Lars Jørgensen lors d'un plaidoyer tentant d'innocenter la vaccination.
En 2020, l'étude de J. Wang rappelle, de même, l'augmentation d'incidence des cancers invasifs du col dans la dernière décennie :
« Parmi les femmes correctement dépistées avec des résultats normaux, il y a eu une forte augmentation de l'incidence en 2014-2015 par rapport aux années précédentes. »
En 2022, l'augmentation d'incidence est confirmée et analysée par Avalon Sundqvis qui ne parvient pas à en trouver une explication satisfaisante.
Au total, l'augmentation de l'incidence des cancers du col depuis la vaccination en Suède est constatée, confirmée et commentée par tous les articles scientifiques publiés depuis plus de dix ans. Comment l'auteur de cet article publié par l'AFP peut-il l'ignorer ?
La présidente de MSD France, pourtant censée s'intéresser aux chiffres officiels du cancer du col, Clarisse Lhoste, mérite la palme de l'ignorance (ou de la désinformation ?). Elle a osé présenter la Suède, comme un « pays en passe d'éliminer les cancers liés au HPV grâce à la vaccination et au dépistage. »
Ceci est le 6ème mensonge ! Et il est relayé complaisamment par l'AFP. Il s'agit d'un exemple caricatural de négation d'une réalité qui dérange, et/ou d'une propagande réfléchie qui paraît appliquer les conseils les plus manipulatoires en la matière : un mensonge répété mille fois se transforme-t-il en réalité ?
L'AFP ment par omission (7ème mensonge !) en ne rappelant pas l'augmentation de l'incidence des cancers en Grande-Bretagne chez les femmes les plus vaccinées.
En Grande-Bretagne, on observe, depuis les campagnes de vaccination, la même évolution paradoxale qu'en Australie et en Suède associant l'absence de diminution globale d'incidence sur l'ensemble de la population, à une augmentation d'incidence chez les femmes âgées de 25 à 34 ans (groupe le plus vacciné) comme le rapporte cette capture d'écran de la figure publiée sur le site officiel Cancer research UK :



Mais bizarrement, l'AFP et ses « experts » feignent d'ignorer cette augmentation d'incidence observée dans le groupe de femmes anglaises les plus vaccinées.
L'AFP ment encore (8ème mensonge !) par omission en ne rappelant pas que la France, peu vaccinée, souffre moins du cancer invasif que les pays très vaccinés.
En France, en 2018, l'incidence standardisée monde était de 6,1/100 000. Depuis, elle est passée en dessous de 6/100 000 (seuil définissant les maladies rares, selon l'OMS) alors qu'elle atteint des taux supérieurs dans tous les pays apôtres de la vaccination : 7,1 en Australie, 9 en Grande-Bretagne, 13 en Suède et 13,5 en Norvège. Et ce sont ces pays qu'on nous donne en exemple !
L'AFP ment encore en prétendant que le Gardasil est sans risques (9ème et 10ème mensonges !)
Elle ne fait que citer les chiffres d'agences gouvernementales qui refusent d'enregistrer les complications post vaccinales et nient systématiquement tout lien de causalité entre complication et vaccin. En détails :
– 9ème mensonge : l'Agence France-Presse fait semblant d'ignorer la mise en garde de l'avisde la Commission de la transparence de septembre 2017 confirmant l'existence de risques neurologiques :
« un surrisque de syndrome de Guillain-Barré d'environ 1 à 2 cas pour 100 000 jeunes femmes vaccinées avec GARDASIL ou CERVARIX a été observé dans une étude épidémiologique réalisée par l'ANSM et la CNAMTS. »
– 10ème mensonge : elle cache les nombreuses manifestations de familles qui ont fait vacciner leurs enfants et se plaignent des complications survenus depuis les injections.



On ne peut pas traiter ces manifestants d'antivax puisqu'ils ont fait vacciner leurs enfants alors que ce n'était pas obligatoire... Ils ne dénoncent d'ailleurs pas la vaccination en général, mais seulement la vaccination anti-HPV.
Aux États-Unis, en août 2022, une commission judiciaire a rendu une ordonnance validant plus de 31 actions en justice intentées contre Merck pour des complications graves survenues après injection de son vaccin anti-HPV Gardasil. Mais l'AFP ne dit mot des procédures en cours. Comment peut-elle les ignorer ?
L'AFP fait-elle encore du journalisme ?
La charte mondiale du journalisme précise clairement :
1. Respecter les faits et le droit que le public a de les connaître constitue le devoir primordial d'un journaliste.
2. Conformément à ce devoir, le/la journaliste défendra, en tout temps, les principes de liberté dans la collecte et la publication honnête des informations, ainsi que le droit à un commentaire et à une critique équitables. Il/elle veillera à distinguer clairement l'information du commentaire et de la critique.
3. Le/la journaliste ne rapportera que des faits dont il/elle connaît l'origine, ne supprimera pas d'informations essentielles et ne falsifiera pas de documents. Il/elle sera prudent dans l'utilisation des propos et documents publiés sur les médias sociaux.
Plus de dix mensonges en un seul article. Aucune enquête objective. Aucun fait avéré. Aucun chiffre officiel rapporté. La parole donnée à de prétendus experts qui récitent leur crédo publicitaire mensonger sans modération. Voilà le travail accompli par AFP factuel. Il paraît légitime de se demander si cette agence fait encore du journalisme.

source : Docteur Nicole Delépine
#44
Fraudes d'ordre juridique / Une plainte pénale en Belgique...
Dernier message par Ouebmestre - 14 Avril, 2023, 22:45:16
Une plainte pénale en Belgique contre Ursula von der Leyen dans l'affaire des SMS avec Pfizer




par David Leloup

La justice belge est saisie d'une plainte pénale contre Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission européenne. Il lui est reproché de s'être substituée au gouvernement fédéral durant la pandémie de Covid-19, en négociant un méga-contrat de vaccins par SMS avec le CEO de Pfizer. Puis d'avoir supprimé ces textos.

Ce fut un cadeau pascal inattendu pour le juge d'instruction financier Frédéric Frenay. Le magistrat liégeois vient en effet d'être saisi par un citoyen belge afin d'instruire une plainte pénale contre Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission européenne. Une plainte qui n'est pas anodine puisqu'elle vise les qualifications d'« usurpation de fonctions et de titre », de « destruction de documents publics » et de « prise illégale d'intérêts et corruption ».

En clair, il est reproché à la présidente de la Commission de s'être substituée « sans aucun mandat » aux États membres de l'UE – dont le gouvernement fédéral belge – en négociant de façon « directe et secrète », par SMS notamment, des contrats d'achat de vaccins avec le CEO de Pfizer, Albert Bourla, durant la pandémie de Covid-19. Il est également reproché à Ursula von der Leyen d'avoir supprimé ces textos, une affaire connue sous le nom de « Deletegate » (de l'anglais to delete, effacer).

Ursula von der Leyen, ou la première plainte pénale dans l'UE

Jusqu'ici, cette affaire avait fait l'objet de plaintes administratives contre la Commission auprès de l'ombudsman européen (saisi par un journaliste allemand) et auprès de la Cour de justice de l'Union européenne (saisie par le New York Times). Avec cette nouvelle plainte, le Deletegate prend pour la première fois une tournure pénale dans un des 27 États-membres de l'UE. Et, ici, ce n'est plus la Commission qui est ciblée pour manque de transparence. C'est sa présidente, à titre personnel, pour des actes réprimés par le code pénal belge.


Plainte pénale contre Ursula von der Leyen : la présidente de la Commission est accusée d'avoir négocié, à la place des États, directement avec Albert Bourla, patron de Pfizer (Getty Images)

Le plaignant, Frédéric Baldan, 35 ans, est un lobbyiste professionnel accrédité auprès des institutions européennes. Il est spécialisé dans les relations commerciales entre l'Union européenne et la Chine. En 2019, il a participé coup sur coup à la mission économique de la Région de Bruxelles-Capitale à Shenzen, puis à la mission fédérale à Pékin et Shangaï en présence de la princesse Astrid. En 2021, son principal client fut la start-up carolo Venyo, pépite wallonne de l'aéronautique alors en quête d'un repreneur.

Accompagné de son conseil, Mme Diane Protat, avocate au barreau de Paris, Frédéric Baldan a déposé plainte mercredi 5 avril, au tribunal de première instance de Liège, directement entre les mains du juge Frenay. Le lobbyiste européen, qui réside non loin de Hannut en province de Liège, s'est constitué partie civile et évalue son préjudice moral à 50 000 euros. Il estime en effet que le comportement de la présidente von der Leyen a porté atteinte « aux finances publiques de la Belgique » et « à la confiance publique ».

Cette dernière est définie dans la plainte comme étant la « croyance collective dans l'État en tant que puissance institutionnelle de réalisation du bien commun ». En quelque sorte, en négociant sans mandat, seule et secrètement avec le big boss de Pfizer, à la place du gouvernement belge, la présidente de la Commission aurait sapé la confiance citoyenne dans la puissance publique de l'État belge.

Plainte contre Ursula von der Leyen : un contrat de 35 milliards d'euros

Quant aux finances publiques belges, elles auraient, selon le plaignant, été lésées par les négociations d'Ursula von der Leyen avec Pfizer concernant un méga-contrat signé le 19 mai 2021 par la Commission et la firme américaine. Il s'agit du troisième contrat signé par l'exécutif européen avec l'entreprise new-yorkaise. Et c'est de loin le plus important : il porte sur 1,8 milliard de doses de vaccin, là où les deux premiers contrats avec Pfizer ne concernaient, chacun, « que » 300 millions de doses.

Ce troisième contrat pèserait 35 milliards d'euros s'il est pleinement exécuté. C'est le plus gros contrat de tous ceux signés par la Commission avec des firmes pharmaceutiques. En effet, comme le relève la Cour des comptes européenne, « entre août 2020 et novembre 2021, la Commission a signé 11 contrats avec huit fabricants de vaccins, permettant d'obtenir jusqu'à 4,6 milliards de doses de vaccins pour un coût total escompté proche de 71 milliards d'euros. »

Des commandes gonflées aux hormones

En juin 2022, une coalition de dix États membres d'Europe de l'Est réclamait une renégociation de tous ces contrats signés avec les fabricants, dont, forcément, le plus important d'entre eux avec Pfizer. La raison ? Les quantités de vaccins livrées dépassent largement les besoins des pays signataires. Résultat : tous ces stocks reçus et facturés ont pour effet de plomber les finances nationales de ces dix États membres.

Bref, lors des négociations préliminaires, de bonne foi ou sous l'influence de l'industrie pharmaceutique, les commandes réalisées par la Commission semblent avoir été gonflées aux hormones. Cette observation concerne l'ensemble des 11 contrats dont celui qui, à lui seul, représenterait la moitié du budget global européen dévolu aux vaccins.

62% des vaccins belges « en trop »

Tous les États membres, dont la Belgique, ont donc des surplus. Les surplus belges sont de deux ordres : les stocks restants et les doses données aux pays en développement. Au 9 décembre 2022, les stocks de doses de vaccins contre le covid-19 disponibles dans le royaume s'élevaient à 13,5 millions de doses (dont 9,2 millions achetées à Pfizer), selon les chiffres publiés par l'Institut de santé publique Sciensano.

Quant au nombre de vaccins donnés via l'aide au développement, il s'élevait à 11,6 millions de doses (dont 2,5 millions de vaccins Pfizer) en date du 15 septembre 2022. L'Institut de santé publique souligne d'ailleurs que « la Belgique compte parmi les pays ayant fait proportionnellement don du plus grand nombre de doses de vaccins compte tenu de sa population ». Résultat des courses, la Belgique a acheté 25,1 millions de doses surnuméraires, soit 62% de l'ensemble des vaccins livrés. Près de la moitié de ces vaccins « en trop » (11,7 millions de doses) ont été acquis auprès de Pfizer.

Au total, fin 2022, la Belgique avait en effet reçu 40,4 millions de doses tous fabricants confondus. Au sein de ces livraisons, Pfizer se taille la part du lion avec 27,9 millions de doses, toujours selon Sciensano. Ainsi, près de sept vaccins sur dix livrés à la Belgique l'ont été par la firme dirigée par Albert Bourla.

Le CEO de Pfizer a confirmé à nos confrères du New York Times, fin avril 2021 juste avant la signature du méga-contrat, qu'il avait créé un vrai lien personnel avec la présidente de la Commission européenne. Il a déclaré avoir « développé une profonde confiance [avec elle], car nous avons eu des discussions approfondies ». Il a ajouté : « Elle connaissait les détails des variants, elle connaissait les détails de tout. Cela a rendu la discussion beaucoup plus engagée ».

Le 18 juin 2020, la Commission a signé un accord avec les 27 États membres. Cet accord autorise l'exécutif européen à conclure en leur nom des contrats d'achat anticipé (Advance Purchase Agreements ou « APA ») avec des fabricants de vaccins. L'accord met en place un comité de pilotage et des équipes de négociateurs dont les compositions sont précisées.

Or, souligne la plainte pénale entre les mains du juge Frenay, dans cet accord, « aucune attribution particulière n'est conférée à la présidente de la Commission, madame Ursula von der Leyen, qui n'est partie ni au comité de pilotage ni aux équipes de négociateurs. La présidente de la Commission ne pouvait donc se prétendre chargée de la conduite des négociations. »

Opacité et règles bafouées

Quoiqu'il en soit, la Cour des comptes européenne a épinglé ces négociations « en solo » de von der Leyen dans un rapport spécial sur l'acquisition des vaccins, publié en septembre dernier. « Nous n'avons reçu aucune information sur les négociations préliminaires pour le plus important contrat de l'UE », peut-on lire en page 33. La gardienne des finances de l'UE avait demandé à la Commission de lui fournir, pour ce méga-contrat, la liste des experts scientifiques consultés et les conseils reçus, le calendrier des négociations, les procès-verbaux des discussions et le détail des modalités convenues. Elle n'a rien reçu.

La Cour des comptes européenne confirme en outre que les règles de négociation fixées par la Commission ont été bafouées par Ursula von der Leyen : « Au cours du mois de mars 2021, la présidente de la Commission a mené les négociations préliminaires ayant pour objet un contrat avec Pfizer/BioNTech. Il s'agit du seul contrat pour lequel l'équipe conjointe de négociation n'a pas participé à cette étape des négociations, contrairement à ce que prévoit la décision de la Commission relative à l'acquisition de vaccins contre la COVID-19. »

Le Parquet européen a ouvert une enquête

Un auditeur de la Cour des comptes européenne, interrogé par le magazine Politico, a déclaré que les négociations préliminaires d'Ursula von der Leyen avaient été déterminantes pour les termes de l'accord final : « Les aspects essentiels des contrats ont été convenus de manière informelle. Ce n'est qu'après la conclusion de cet accord informel que le processus formel a pu se poursuivre. C'était vraiment essentiel pour les négociations. »

En octobre dernier, le Parquet européen (OEPP) a confirmé avoir ouvert une enquête sur l'ensemble du processus d'acquisition des vaccins anti-Covid-19 dans l'Union européenne. Sur le fond, rien n'a jamais filtré. Mais la nature des SMS échangés entre Ursula von der Leyen et Albert Bourla devrait logiquement constituer un des volets de cette enquête. Si ces messages ont effectivement été effacés du smartphone de la présidente de la Commission, une copie devrait toujours figurer dans celui d'Albert Bourla. Qui pourrait être saisi par le Parquet européen. Ou par le juge d'instruction liégeois.

source : Le Vif
https://www.levif.be/international/union-europeenne/une-plainte-penale-en-belgique-contre-ursula-von-der-leyen-dans-laffaire-des-sms-avec-pfizer-info-le-vif/

https://reseauinternational.net/une-plainte-penale-en-belgique-contre-ursula-von-der-leyen-dans-laffaire-des-sms-avec-pfizer/
#45
Psychologie sociale / Comment la vision claire des ...
Dernier message par Ouebmestre - 14 Avril, 2023, 19:26:22
Comment la vision claire des choses et la pensée sont brouillées par la propagande
par Eliane Perret




Il semble, de nos jours, que de nombreux médias ne considèrent plus que leur mission consiste à informer leurs lecteurs, auditeurs et téléspectateurs, par le biais d'un reportage objectif, sur des événements qui concernent la cohabitation des hommes dans leur propre pays et dans le monde entier. Non seulement il n'y a plus guère de distinction claire entre commentaire et reportage, mais les textes sont préparés à l'aide de différentes méthodes visant à orienter l'opinion, à brouiller le regard sur l'essentiel et à obscurcir la pensée claire. Ce n'est donc pas un hasard si de plus en plus de personnes sont sceptiques vis-à-vis des soi-disant «médias de qualité». La critique du livre de Johannes Menath «Moderne Propaganda» (Horizont et débats n° 6 du 28 mars 2023) a déjà abordé ce sujet. Dans la contribution ci-dessus, nous présentons, de manière plus détaillée, quelques-unes des méthodes majeures employés pour orienter nos opinions dans une certaine direction, processus hautement inquiétant dans la démocratie.

Monopolisation – en instaurant une fausse vérité

Il est normal que les lecteurs attentifs se posent des questions sur l'uniformité des couvertures médiatiques et des évaluations souvent identiques d'un fait. Les grands groupes médiatiques peuvent abuser de leur position de monopole et ne diffuser que les informations souhaitées, filtrées par les agences de presse ou même censurées. Par cette astuce de propagande, ils tentent de créer une vérité factice qui ne doit pas être remise en question selon la devise: «Si tout le monde dit la même chose, cela doit être vrai!» Ils se refusent ainsi à leur véritable mission, qui est de présenter objectivement différents points de vue et perspectives sur un événement et de fournir au lecteur les bases pour qu'il se forge lui-même sa propre opinion, et ceci grâce à des informations complètes et évaluations divergentes. Par contre, dans nos réalités médiatiques, les observations, expériences ou réflexions indésirables sont passées sous silence ou rejetées comme étant le fruit du hasard ou d'une opinion subjective. Un tel reportage unilatéral est manipulateur et autoritaire, car non seulement il prétend détenir la seule vérité, mais il dévalorise en même temps ceux qui pensent différemment en tant que «minorités négligeables». Les perspectives différentes sont ainsi condamnées et considérées comme dérangeantes, ce qui étouffe le discours équivoque entre des vues divergentes en public; la formation libre de l'opinion est ainsi tronquée et, en fin de compte, les bases d'un Etat de droit démocratique sont minées. Cette tentative autoritaire d'orienter l'opinion doit être contrée par la recherche d'informations authentiques et de sources alternatives.1

Ces «faux débats» qui enveniment le climat du discours public

Les «faux débats» tentent de masquer la monopolisation de la formation de l'opinion, afin de détourner l'attention des questions critiques et de maintenir l'illusion d'un discours libre. Dans le domaine de l'éducation, un tel faux débat a eu lieu il y a quelques années, lorsqu'il a été question, en Suisse, d'introduire une deuxième langue étrangère dès l'é cole primaire. La discussion portait sur le fait de savoir si ce devait être une autre langue nationale ou l'anglais. On n'a pas donné la parole aux personnes qui rejetaient totalement l'enseignement précoce des langues étrangères et qui soulignaient la priorité de l'enseignement de la langue maternelle pour remédier aux connaissances souvent insuffisantes en allemand d'une partie considérable de nos enfants et adolescents en Suisse allemande. De même, des études indépendantes comme celle du professeur Simone Pfenninger ont été ignorées, car elles ont clairement démontré que l'enseignement précoce des langues étrangères n'avait aucun avantage, puisque l'avance acquise dans un premier temps est rapidement rattrapée dans l'enseignement supérieur qui débute plus tard. L'issue du débat était donc claire dès le départ et ne pouvait pas avoir d'issue indésirable – un faux débat, voilà tout.2

L'« infantilisation» des citoyens – autre moyen de réprimer la pensée critique

Cette méthode vise à réprimer la pensée critique en s'adressant aux destinataires adultes comme à des enfants mineurs qu'il s'agit de protéger et de préserver de situations et de décisions qui les dépassent. On leur fait subtilement comprendre qu'ils ne sont pas en mesure de prendre ou de juger des décisions politiques et que la «puissance paternelle» du gouvernement doit assumer cette tâche à leur place. Indirectement, ils sont catalogués comme des sujets dépendants, soumis à l'autorité, incultes et incapables de vues critiques. L'argument de la «surcharge» des citoyens est volontiers avancé par les médias suisses lorsque les décisions populaires ne vont pas dans le sens des groupes de pression qui se comportent comme des élites. En lieu et place d'une réflexion et d'une décision autonomes, on propose de l'« info-divertissement» et une vision du monde facile à comprendre, générée par la propagande. Cela favorise encore plus le processus d'infantilisation et peut générer chez les personnes concernées une attitude fataliste et un désenchantement vis-à-vis de la politique, qui éveille et maintient en eux l'appel à une main forte.3

« Pacing and leading» – créer de fausses pistes

Différentes méthodes issues de la recherche psychologique sont utilisées abusivement pour orienter l'opinion. Le «pacing and leading» (tracer la voie et guider), issu de la programmation neurolinguistique (PNL), en fait partie. Avec cette technique, on essaie d'amener les gens à se détourner de leurs propres idées, valeurs et opinions et à suivre les autres sans s'en rendre compte. Pour gagner la confiance des lecteurs, des auditeurs ou des spectateurs, le reportage reprend d'abord les points de vue existants et semble être en accord avec eux, pour ensuite prendre successivement un virage vers le mode de pensée réellement visé. Comme il est difficile pour de nombreuses personnes d'admettre qu'elles se sont laissées manipuler, cette méthode d'orientation de l'opinion est souvent couronnée de succès. Les messages souhaités sont également intégrés dans des produits de l'industrie du divertissement et de la culture, derrière lesquels on ne soupçonne guère d'influence politique ou idéologique. Les jeux informatiques, présentant très souvent des variantes innombrables d'un seul schéma primitif, celui d'ami/ennemi récompensant en plus la violence, en sont des exemples instructifs. La musique et le cinéma peuvent également contenir des messages qui discréditent les valeurs actuelles et favorisent leur transformation. Et si l'on fait croire aux gens, sur une longue période, qu'il est normal de porter des vêtements américains, de manger des aliments américains, d'é couter de la musique américaine, de regarder des films américains et de célébrer des fêtes américaines, cela ne sera plus guère remis en question. L'identité commune et le sentiment d'appartenance des groupes ethniques et des nations existantes, qui reposent sur une histoire et une tradition communes, sont ainsi détruits.4

Cadrage et étiquetage pour orienter la pensée

Ces techniques étroitement liées consistent à donner un cadre d'interprétation (cadrage) à l'intérieur duquel la personne à qui l'on s'adresse doit mentalement rester. Elles font présenter un certain fait ou une certaine personne sous le jour souhaité. Par exemple les guerres qui sont souvent justifiées en tant qu'ils apporteraient «la liberté et la démocratie» aux habitants du pays concerné, que l'on lutte en faveur des «droits de l'homme». Un autre cadre d'interprétation pour le même processus, essentiellement plus honnête, se résumerait dans la devise: «Nous faisons la guerre parce que nous revendiquons les matières premières dans le sol de l'adversaire» ou «Nous faisons la guerre pour cimenter notre position géostratégique dominante et parce que nous voulons établir des bases militaires». Les cadrages «acceptables» sont étouffés d'é tiquettes, souvent à l'aide d'euphémismes. Mais les bombardements deviennent ainsi des «frappes aériennes», la population civile tuée pendant la guerre et les infrastructures détruites des «dommages collatéraux». Dans ce jeu, la propagande avec laquelle la population est menée en bateau est étiquetée par le terme neutre de «relations publiques» (PR). Les termes de jugement (étiquetage) permettent également d'intégrer un événement dans un récit-cadre particulier. Certains gouvernements sont systématiquement décrits par le terme «régime», éventuellement complété par «autoritaire» (par exemple lorsqu'il s'agit de la Syrie, du Venezuela ou de la Russie), dans le but de provoquer une ambiance émotionnelle négative, à la différence de ceux réservés aux «royaumes» qui doivent susciter une association romantique avec les contes de fées, par exemple dans le cas de la Grande-Bretagne, de la Jordanie et, jusqu'à  récemment, de l'Arabie saoudite. La même méthode peut bien sûr être utilisée pour décrire des personnes et des groupes, en parlant par exemple d'« historiens controversés» ou de «groupes sectaires» dont l'opinion serait imprégnée de «théories du complot» ridicules, voire dangereuses, et qui ne doivent donc pas être pris au sérieux.5

Décontextualisation – omettre des informations importantes

Les agences de propagande et les portails d'information tentent de créer une image souhaitée en passant sous silence des informations de fond ou des contextes importants. Cette «décontextualisation» est la technique complémentaire du «cadrage». Elle consiste à passer sous silence les antécédents d'un état ou d'un fait, son contexte politique et historique plus large ou encore en passant sous silence les opérations des services secrets qui ont conduit à un conflit. Un exemple actuel en est la guerre en Ukraine, qui ne peut être classée sans ses antécédents. Le coup d'Etat en Ukraine financé par les Etats-Unis à hauteur de cinq milliards de dollars en 2014 – appelée «révolution de Maïdan» par les médias mainstream – en fait partie, tout comme la discrimination de la population russe qui en a découlé. La classification de l'Ukraine comme Etat clé pour l'extension de la puissance américaine, telle qu'elle a été établie dès 1997 par le stratège militaire américain Zbigniew Brzezinski, est encore plus ancienne. Les informations courantes passent ce contexte sous silence au profit du récit d'une guerre d'agression non provoquée par l'armée russe. Le contemporain intéressé doit donc se procurer lui-même les informations complémentaires, en cherchant des sources en dehors des portails d'information habituels comme AP, Reuters et AFP, qui nourrissent les soi-disant «médias de qualité», et en consultant des livres qui complètent les comptes rendus lacunaires de nos entreprises médiatiques par des informations fiables et différenciées.6
La tâche principale du citoyen reste: ne pas s'interdire de penser
C'est une entreprise passionnante que de se rendre compte des méthodes actuelles de la manipulation de l'opinion. Il en existe malheureusement une multitude. C'est pourquoi il est non seulement passionnant, mais aussi urgent, de ne pas se laisser interdire la réflexion. Dans la démocratie, chacun a droit à sa propre opinion et à penser de manière autonome.

1cf. Menath, Johannes. Moderne Propaganda. 80 Methoden der Meinungslenkung. Höhr-Grenzhausen: Zeitgeist-Verlag, 2023, S. 18
2cf. loc. cit. p. 21f.
3cf. loc. cit. p. 53
4cf. loc. cit. p. 31 et p. 107
5cf. loc. cit. p.. 17 et p. 33
6cf. loc. cit. p. 75

Autres livres sur le sujet propagande et manipulation:
Ellul, Jacques. Propaganda. Wie die öffentliche Meinung entsteht und geformt wird. Frankfurt a. Main: Westend Verlag, 2021, (Première édition francaise 1962)
Morelli, Anne. Die Prinzipien der Kriegspropaganda. ZuKlampen-Verlag, Springe 2004




Avec l'invention de l'imprimerie, la base était donnée pour éduquer et informer la population, une condition importante des processus de décision démocratiques. Si l'on observe le paysage médiatique actuel, cet objectif s'est inversé et leurs possibilités devenues multiples sont utilisées à mauvais escient pour orienter l'opinion.
(photo gravure sur bois de Jost Amman, 1539 – 1591, wikicommons media)

https://www.zeit-fragen.ch/fr/archives/2023/nr-7-4-april-2023/wie-mit-propaganda-der-klare-blick-getruebt-und-das-denken-vernebelt-wird

https://reseauinternational.net/comment-la-vision-claire-des-choses-et-la-pensee-sont-brouillees-par-la-propagande/
#46
Fraudes d'ordre sanitaire / Quand Peter Mc Cullough se pen...
Dernier message par Ouebmestre - 10 Avril, 2023, 18:12:30
Quand Peter Mc Cullough se penche sur les statistiques françaises (et manque de choir de sa chaise)



par AIMSIB
Étonnement cette semaine à la lecture de la presse médicale électronique, le Dr Peter McCullough a posté une critique peu flatteuse1 de la fameuse étude officielle française EPI-PHARE sur les données du SNDS2 qui voulait rassurer sur la sécurité d'emploi des vaccins anti-Covid bivalents par rapport à l'injection monovalente : horreur, non seulement les statisticiens français ont oublié de comparer les vaccinés aux non vaccinés mais, en plus, ils n'ont pris en considération que quatre pathologies. Aux ordres de qui sont-ils ? Bonne lecture.



Voici le titre de sa critique : Des centaines de Français souffrent d'accidents cardiaques après des rappels bivalents. La fenêtre réglementaire d'observation de 30 jours englobe les crises cardiaques, les accidents vasculaires cérébraux et les caillots sanguins.
Il s'agit de la revue critique d'une lettre à l'éditeur du NEJM écrite par les responsables français de la pharmacovigilance des vaccins (groupe EPI-PHARE de l'ANSM) qui ont donc accès à toutes les données des autorités sanitaires.3
Il existe donc bien une possibilité de recouper les bases de données concernant le statut vaccinal et celles concernant les pathologies des vaccinés et ceci sans rompre l'anonymat puisque chaque personne est désignée par un numéro anonyme.
Il faut ajouter à la critique du Dr McCullough que cette étude compare des vaccinés avec le monovalent avec des vaccinés avec le bivalent, mais jamais il n'est question de non vaccinés : donc il est impossible d'en déduire quoi que ce soit sur la fréquence des effets cardiovasculaires du vaccin Covid et pourtant les auteurs concluent que leurs résultats prouvent l'innocuité du vaccin bivalent. En effet pour eux, il n'est pas pire que le monovalent !
Ils retrouvent en effet 1 effet grave pour 1000 personnes injectées (en ne prenant en compte que les AVC, infarctus du myocarde et embolies pulmonaires, et en excluant les personnes décédées d'une autre pathologie « non liée au vaccin » dans les 21 jours suivant l'injection !)
Il faut noter que d'après le matériel supplémentaire fourni avec l'article sur 1 148 036 personnes vaccinées entre le 6 octobre et le 9 novembre 2022, seules 470 962 ont été retenues pour cette étude. La majorité des participants ont reçu 3 doses de vaccins avant l'étude (et ils y ont survécu ceci excluant les personnes décédées avant de les avoir reçues).
Un tiers des participants ont une histoire d'infection Covid (temporalité non précisée) ce qui pose le problème de l'efficacité du vaccin.
L'avis de Peter A. McCullough, MD, MPH
« J'ai siégé ou présidé deux douzaines de comités de surveillance de la sécurité des données pour des essais randomisés de nouveaux médicaments ou dispositifs expérimentaux. Je peux vous dire de première main que pour les vaccins COVID-19, une fenêtre réglementaire de 30 jours après l'injection est correcte pour juger de l'attribution des événements de santé au produit lorsque les événements indésirables d'intérêt sont connus pour être causés par la protéine Wuhan Spike induite par l'ARNm.
Jabagi et al, NEJM, ont fait état d'événements cardiovasculaires survenus après des injections de rappel bivalents d'ARNm BA4/BA5, à partir du système national de données de santé français relié à la base de données nationale de vaccination COVID-19. Toutes les personnes âgées de 50 ans ou plus et ayant reçu une dose de rappel entre le 6 octobre et le 9 novembre 2022 ont été incluses dans l'étude. Les évènements de type AVC ischémique/hémorragique, infarctus du myocarde ou pulmonaire sont survenus chez 335 malheureux.
Les auteurs commettent l'erreur de diviser le nombre de cas par le nombre total de personnes vaccinées et de comparer les taux d'effets indésirables entre récipiendaires du bivalent et du monovalent. Aucune de ces opérations n'est valable puisque la saisie des événements est incomplète et que la comparaison n'a pas été faite avec un placebo ou un groupe de contrôle.
Ces données suggèrent qu'un grand nombre d'événements de sécurité bien caractérisés, graves et potentiellement mortels se produisent dans les 21 jours suivant les injections de rappel d'ARNm bivalent. Tous ces événements doivent être considérés comme graves et directement attribuables à la vaccination par COVID-19 et, inversement, si les injections n'avaient pas été reçues, ces personnes seraient selon toute probabilité en vie et exemptes de ces complications aujourd'hui. »

source : AIMSIB


Un commentaire sur le site d'origine :
CitationBernard Guennebaud sur 9 avril 2023 à 22h51
Cette « méthode » consistant à ne pas comparer au sein même des vaccinés (monovalent et bivalent ici) est souvent utilisée, sciemment ou non. Par exemple, en comparant les enfants atteints de démyélinisation centrale avec des témoins, au sens du test dit « cas-témoins » tout en évitant soigneusement (et volontairement) de comparer les malades entre-eux comme d'une part ceux atteints d'une sclérose en plaques (143 dont 80 vaccinés HB soit 56%) avec ceux chez qui la première atteinte n'avait pas évolué en SEP au cours de la période d'observation (206 dont 74 vaccinés HB soit 36%). La différence de proportions de vaccinés HB est très significative ( une chance sur 10000). Un tel écart imposait de dissocier en étudiant séparément les SEP des non SEP. Aucune étude publiée portant sur ces 206 cas. Il fut imposé aux auteurs de ne pas le faire alors qu'ils le voulaient.
De même, parmi les 143 SEP, il y a 42 cas apparus (première atteinte) avant l'âge de 10 ans dont 10 vaccinés HB (23,81%) contre 101 cas d'au moins 10 ans dont 70 vaccinés HB (69,31%). L'écart très significatif (3 chances sur 10 millions par le seul hasard) imposait de dissocier, pour traiter séparément les deux groupes. Je ne sais pas si ce fut volontaire pour dissimuler un possible signal très défavorable au vaccin parmi les 101 cas. On pourrait vraisemblablement l'obtenir en comparant ces 101 SEP dont 70 vaccinées HB avec les « au moins 10 ans » parmi les 206 atteintes non SEP, données non communiquées mais connue des auteurs. Le signal aurait toutes chances d'être beaucoup plus fort encore que celui qu'on peut trouver sur les 143 et 206 puisqu'on remplace 56% de vaccinés par 69,31%.
#47
Psychologie sociale / Martine Wonner, Alexandra Henr...
Dernier message par Ouebmestre - 01 Avril, 2023, 18:06:10
Martine Wonner, 4 décembre 2022.


Alexandra Henrion-Caude.



Voir aussi, en deux minutes et vingt secondes, David Martin
CitationAlors que l'OMS a elle-même retiré le Remdesivir, en 2018, de la liste des médicaments à utiliser pour le traitement d'Ebola, Anthony Fauci, Ralph Baer, Peter Daszak et d'autres ont pris la décision de l'injecter à des patients atteints de COVID

https://odysee.com/@Q...uestions:6/Dr-David-Martin---Nous-savions-que-nous-allions-tuer-des-gens:1

Dr David Martin : « Nous savions que nous allions tuer des gens. C'est un meurtre prémédité. Nous savions que nous allions le faire et nous l'avons fait quand même. »

source : Le Déclencheur
#48
Fraudes scientifiques / Le gardasil n’est pas efficace...
Dernier message par Ouebmestre - 30 Mars, 2023, 16:32:11
Le gardasil n'est pas efficace contre le cancer, avec plein d'effets secondaires




par Gérard Delépine
Le Gardasil ne diminue pas la fréquence des cancers du col de l'utérus, ni de l'anus.
Infection n'est pas cancer
Faits avérés concernant cette vaccination
Depuis plusieurs semaines, les lobbys des entreprises pharmaceutiques ont mobilisé les médias, notre ministre de la Santé et notre président pour faire la promotion de la vaccination anti-HPV (papillomavirus). Après avoir déploré qu'« un tiers des jeunes filles » et moins de 10% des garçons se font vacciner », il s'est déclaré « ouvert à une vaccination obligatoire »1, et vient de déclarer des contre-vérités flagrantes dans un collège de Charente. Comment ses conseillers peuvent-ils le tromper à ce point et lui cacher les résultats inquiétants de cette vaccination dans le monde réel ?
Pourtant la Commission de la transparence dans son avis du 13 septembre 20172 avait alerté :
« Les données disponibles ne permettent pas de répondre aux interrogations concernant... l'efficacité en termes de prévention des cancers ».
La consultation des registres des cancers des pays pionniers de cette vaccination anti-HPV montre que nulle part la vaccination n'a fait régresser les cancers invasifs et que, parfois, paradoxalement, la vaccination anti-HPV est suivie d'une augmentation du risque de cancer invasif du col de l'utérus !3
Le lien de causalité exclusive entre infection à HPV et cancer n'est pas démontré
Un ami gendarme m'a rappelé que « sur les lieux d'un crime, on trouve aussi les témoins ».
Avant la mise sur le marché de ce vaccin, tous les articles recherchant les causes du cancer du col utérin démontraient que ce dernier est statistiquement lié à de très nombreux facteurs4,5, eux-mêmes liés entre eux dont : l'activité sexuelle précoce, importante et variée (source de microtraumatismes répétés et d'inflammations chroniques qui constituent des causes classiques de cancérisation), le tabagisme, l'usage prolongé des contraceptifs oraux, le nombre élevé d'enfants (plus de cinq), le Sida et les autres déficits immunitaires et les infections génitales dont l'herpès, la chlamydia et une vingtaine de souches de HPV, les dépressions6. Depuis la mise sur le marché des vaccins anti-HPV, les articles détaillant les facteurs favorisants des cancers se focalisent uniquement sur ces derniers virus et prétendent qu'ils en seraient les seuls responsables.
De plus un certain nombre de cancéreuses se révèlent d'ailleurs HPV négatives7,8, ce qui contredit le discours habituel repris par l'agence officielle Santé publique France faisant de cette infection une condition indispensable au cancer.
Le papillomavirus qui ne donne aucun signe clinique est habituellement commensal comme le staphylocoque blanc sur la peau, le colibacille dans l'intestin ou le bacille de Doderlein dans le vagin. Plus de 150 souches de papillomavirus peuvent infecter l'homme. La contamination se fait par simple contact cutané (plus de 50% des vierges sont ou ont été infectées9) ou lors d'un acte sexuel. Près de 80% des personnes sexuellement actives seront infectées sans le savoir un jour ou l'autre, souvent à plusieurs reprises, et se débarrasseront naturellement du HPV dans 90% des cas en quelques mois, sans séquelles avec acquisition d'une immunité solide contre la souche concernée.
Une réinfection est possible avec une autre des 150 souches existantes. La multiplicité des partenaires et des contacts sexuels fréquents favorise la persistance d'une infection à HPV. Une vingtaine de souches connues peuvent précéder un cancer. Il existe, certes, une corrélation statistique entre persistance d'infection à HPV et cancer, mais aucune preuve de causalité directe n'a jamais été établie. L'absence de lien de causalité exclusive10 démontré entre infection à HPV et cancer rend très hypothétique l'efficacité des vaccins anti-HPV contre les cancers associés au virus11, qu'il s'agisse du cancer du col de l'utérus, du cancer anal ou ORL et explique certainement l'échec de la prévention contre le cancer dans les pays adeptes de cette vaccination d'autant que le faux sentiment de sécurité créé par la propagande Gardasil peut inciter certaines jeunes filles à commencer plus tôt leurs expériences sexuelles et d'autres à négliger le dépistage cytologique.
En Australie, la vaccination n'a pas fait reculer l'incidence des cancers invasifs
L'Australie a été le premier pays à instaurer la vaccination scolaire des filles dès 2006. Des journalistes ignorants (ou corrompus ?) proclament régulièrement que le pays va « éradiquer le cancer du col grâce à la vaccination »12,13, mais les chiffres officiels montrent que depuis la généralisation de la vaccination, l'incidence standardisée14 des cancers invasifs ne diminue plus alors qu'elle avait diminué de plus de 50% entre 1987 et 2006, grâce aux dépistages par frottis cytologiques.
La capture d'écran qui suit illustre cette vérité officielle que chacun peut vérifier à l'adresse Internet qui y figure. On peut regretter que ce graphique publié en décembre 2022 par l'agence sanitaire australienne (AIHW) ne donne des chiffres observés que jusqu'en 2019 (les services statistiques officiels australiens ne sont pas très réactifs), mais les prévisions officielles des années suivantes ne font que confirmer la tendance avec une incidence 2022 estimée à 7,1/100 000 contre moins de 6/100000 en France peu vaccinée).



De plus, le nombre annuel de nouveaux cancers invasifs, loin de diminuer, augmente :



Les articles qui claironnent la victoire de la vaccination sur le cancer du col en Australie ne reposent donc sur aucun fait réel, mais seulement sur la croyance que la diminution des infections à HPV entraînera une diminution des cancers invasifs, à l'aide de simulations aux hypothèses incertaines, alors que les faits constatés dans le monde réel démontrent le contraire. Prétendre comme tant de journalistes que l'Australie serait en train d'éradiquer le cancer du col grâce à la vaccination n'est donc qu'un énorme mensonge auquel le président a cru et qu'il a répété !
En Grande-Bretagne non plus, la vaccination n'a pas fait régresser les cancers invasifs
La Grande-Bretagne a été le second pays à généraliser la vaccination des jeunes filles à l'école. En 2008, la Grande-Bretagne a mis en place une campagne de vaccination systématique contre les papillomavirus humains dès 2008 pour les jeunes filles de 12-13 ans et en rattrapage entre 2008 et 2010 pour les 14-18 ans. Entre 2008-2009 et 2011-2012, la couverture annuelle (pour une dose du vaccin) en Angleterre se situait entre 85,9% et 90,6%.
Un article mensonger récent15 mélangeant allègrement vrais cancers invasifs et dysplasies bénignes, largement diffusé par les médias, proclame fièrement : « Vaccin anti-HPV : quasi-élimination du cancer du col utérin en Angleterre ». Mais, curieusement, l'agence officielle Cancer research UK (CRUK) publie sur son site la dernière incidence standardisée de cancer invasif à 9,6/100 000 (soit supérieure de 50% au taux français actuel).
Depuis les campagnes de vaccination, l'évolution globale d'incidence des cancers invasifs au Royaume-Uni se caractérise par l'absence de diminution, ainsi que le constate Cancer Research UK :
« Au cours de la dernière décennie, au Royaume-Uni (entre 2006-2008 et 2016-2018 les taux d'incidence du cancer de l'utérus chez les femmes sont restés stables »



De 1993 à 2006, grâce au dépistage cytologique, l'incidence standardisée avait régressé de 13/100 000 à 9/100 000, mais depuis le début de la vaccination, elle est passée de 9/100 000 en 2006-2008 à 10/100 000 en 2016-2018, dernière période publiée.
Et cette estimation globale dissimule l'augmentation d'incidence dans les groupes les plus vaccinés. L'analyse par groupes d'âge objective en effet une diminution franche d'incidence chez les femmes âgées, non vaccinées.



À l'opposé, le groupe des 20-24 ans, le plus vacciné, souffre d'une augmentation d'incidence de 19% des cancers invasifs passée de 16/100 000 en 2007 à 19/100 000 en 2016-2018, dernière période publiée en mars 2023.



En Grande-Bretagne aussi la vaccination est donc très loin d'amorcer l'éradication du cancer que promettent les avocats du vaccin avec une augmentation d'incidence dans le groupe le plus vacciné !
En Suède, l'incidence des cancers invasifs a franchement augmenté depuis la vaccination
En Suède, grâce au dépistage cytologique une diminution de 66% de l'incidence standardisée des cancers invasifs avait été observée entre 1965 et 2007 (de 24/100 000 à 8/100 000).16



La généralisation de la vaccination à l'école en 2010 a été suivie, au contraire, d'une augmentation de l'incidence des cancers invasifs17 de 7/100 000 en 2006-2009 à 11.5/100 000 en 2014-2015 (p <0.03) et même 13/100 000 en 2021, augmentation que reconnaissent les avocats de cette vaccination qui tentent seulement de nier le lien de causalité avec la vaccination18,19. L'analyse en break point (recherche du point de rupture) faite par l'agence sanitaire suédoise date l'apparition de cette augmentation en 2011, un an après la généralisation de la vaccination et plaide pour sa responsabilité.



En Norvège, l'incidence des cancers invasifs a augmenté depuis la vaccination
La vaccination HPV a été commencée en automne 2009 pour les Norvégiennes. Contrairement aux articles écrits par des auteurs trop liés aux labos, qui claironnent les bénéfices supposés de la vaccination anti HPV, la consultation du registre norvégien du cancer20 montre que l'incidence de ce cancer a augmenté depuis la vaccination passant de 12,1/100 000 en 2007-2011 à 13,5 en 2017.



2021 (2 fois plus élevée qu'en France !)



Résultats globaux des vaccinations anti-HPV dans le monde : efficacité sur le virus, inefficacité sur la prévention du cancer
Globalement, dans tous les pays qui l'ont instauré, la vaccination anti-HPV s'est révélée efficace sur les souches de virus visées, les verrues et les dysplasies cytologiques, mais s'est jusqu'ici révélée inefficace (avec 16 ans de recul) sur la fréquence des cancers invasifs.
En 2016, nous avions fait part de nos inquiétudes au président de l'Institut national du cancer (INCa) par courrier privé, et le député Gérard Bapt21 avait interrogé oralement la ministre de la Santé de l'époque, ne s'attirant comme réponse qu'un « il est trop tôt pour juger ». Et pourtant ce vaccin existait déjà depuis 10 ans à l'époque. De nombreux cris d'alarme avaient été émis depuis de longues années sans effet, par exemple par le Dr de Chazournes.22
Six ans plus tard, la situation est toujours aussi préoccupante, alors que la publicité mensongère s'intensifie en France et s'accompagne de déclarations gouvernementales ahurissantes, sans jamais évoquer les problèmes que soulève cette vaccination (inefficacité contre le cancer et effets secondaires possibles).
En France, faible taux de vaccination et faible incidence du cancer invasif du col utérin
En France, la prudence envers cette vaccination explique un taux de vaccination relativement bas par rapport aux pays voisins, qui va de pair avec une incidence standardisée de cancers moindre que chez les champions de la vaccination, tendance qui s'est amorcée dès la généralisation de la vaccination selon les données de l'agence internationale de recherche sur le cancer illustrée par le graphique suivant :



En France, en 2018, l'incidence standardisée monde était de 6,1/100 000 et est depuis passée en dessous de 6/100 000 (seuil définissant les maladies rares, selon l'OMS) alors qu'elle atteint des taux supérieurs dans tous les pays apôtres de la vaccination : 7,1 en Australie, 9 en Grande-Bretagne, 13 en Suède et 13,5 en Norvège.
Pourquoi le président fustige-t-il le faible taux de vaccinées en France au lieu de regretter les taux de cancers invasifs élevés dans les pays adeptes des vaccinations scolaires ? Ses conseillers sont-ils incompétents ou trop liés aux laboratoires pharmaceutiques ? L'ont-ils informé sur les dégâts éventuels de cette injection ? Pourquoi le trompent-ils ?
Des accidents post vaccination graves ont été constatés dans de nombreux pays
En France, le calvaire de Marie-Océane23,24 a mis en évidence les risques neurologiques de ces vaccins liés possiblement à l'aluminium utilisé comme adjuvant et à une prédisposition génétique. Le lien de causalité a été reconnu par les experts et une indemnisation accordée par les juges, retoquée en appel. L'affaire est en cassation.
Les complications post Gardasil ont été rapportées dans de nombreux autres pays (Danemark, Bolivie, Japon, Irlande) où elles ont motivé des manifestations de parents que personne ne peut pourtant qualifier d'antivax, puisqu'ils ont fait vacciner leurs enfants en étant persuadés de bien faire et qu'ils le regrettent après la survenue des complications et des procès aux USA.25,26,27



En août 2022, une commission judiciaire américaine a rendu une ordonnance validant plus de 31 actions en justice intentées contre Merck pour des complications graves survenues après injection de son vaccin Gardasil28,29 et les premières audiences devraient se tenir en avril 2023.



Les poursuites montrent que le géant pharmaceutique a accéléré le processus d'approbation de Gardasil par la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis et a mené des essais cliniques trompeurs pour masquer les effets secondaires graves et pour exagérer l'efficacité du vaccin.
L'argument de Merck selon lequel la tenue des procès augmenterait l'hésitation à se faire vacciner et provoquerait un afflux de plaintes « infondées » pour complications dues aux vaccins, n'a pas convaincu la commission.
« La consolidation de tous les cas de blessures liées au Gardasil aux États-Unis dans une seule salle d'audience signifie que chaque enfant et chaque adulte victime du vaccin Gardasil peuvent maintenant plaider leur cause devant un seul juge fédéral ».
Ne vaccinons surtout pas les garçons par le Gardasil !
Le risque de cancer anal possiblement lié aux HPV a été le prétexte de la proposition du CDC américain (qui reçoit des royalties sur les ventes de vaccin) et de la Haute Autorité de santé française (dont beaucoup d'experts ont des liens d'intérêt avec l'industrie pharmaceutique) de vacciner les garçons. Mais ce cancer, exceptionnel (800 cas/an en France), ne menace qu'un groupe très restreint de la population mâle : les homosexuels adeptes de rapports anaux passifs30 avec de multiples partenaires (74% des cas), et séropositifs au sida (77% des cas)31,32 et les personnes souffrant de déficit immunitaires, ce qui ne justifie donc pas une vaccination généralisée des garçons d'autant plus que là aussi l'efficacité contre le cancer anal n'est pas du tout démontrée.



Il existe certes une corrélation statistique entre la présence de HPV et le cancer anal, mais une fois de plus le lien causal n'est pas démontré contrairement au fait d'être homosexuel passif et porteur du virus du sida. Lorsqu'on n'est pas homosexuel passif ni malade du Sida, le risque de cancer anal est infime, même si on est porteur de HPV.
De plus, les exemples de l'Australie, de la Grande-Bretagne et des USA suggèrent l'inefficacité des vaccins anti-HPV contre le cancer anal, car depuis 15 ans, malgré le très fort taux de vaccination chez les filles, leur risque de cancer anal a augmenté 3 à 4 fois plus vite que celle des garçons très peu vaccinés.
Aux USA, la vaccination par Gardasil a été popularisée dès 2008, mais depuis l'incidence des cancers anaux a augmenté plus que dans les précédentes décennies comme le précise le Surveillance and End Results Program (SEER) du National Cancer Institute33 :
« Les taux ajustés selon l'âge pour les nouveaux cas de cancer anal ont augmenté en moyenne de 2,2% chaque année de 2010 à 2019. Les taux de mortalité ajustés en fonction de l'âge ont augmenté en moyenne de 3,9% par an entre 2011 et 2020. »
En Grande-Bretagne, Cancer Research UK précise ainsi34 :
« Au cours de la dernière décennie, les taux d'incidence du cancer anal chez les femmes ont augmenté de plus de la moitié (53%) et les taux chez les hommes ont augmenté d'environ un septième (13%). »



On peut donc craindre que ce vaccin anti-HPV favorise paradoxalement l'éclosion d'un cancer anal comme il favorise l'apparition plus précoce et fréquente d'un cancer du col utérin !
Les arguments avancés par la Haute Autorité de Santé pour généraliser ce vaccin chez les garçons sont d'ailleurs révélateurs de l'absence de bénéfice médical démontré pour les garçons et de la volonté de faciliter le passage à l'homosexualité.
Initialement les recommandations visaient seulement les homosexuels mâles et les immunodéprimés35 :
« La vaccination par GARDASIL 9® (9HPV) est recommandée chez les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes (HSH) jusqu'à l'âge de 26 ans et chez les adolescents immunodéprimés ».
Mais le 16 décembre 2019, à la suite d'une saisine de la direction générale de la santé et de la ministre chargée de la Santé, la Haute Autorité de santé (HAS) a élargi ses recommandations36 à l'ensemble des mâles « pour ne pas stigmatiserdes adolescents ou des hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes à un âge où la préférence sexuelle n'est pas connue ou pas affirmée. »
La HAS recommande un vaccin potentiellement dangereux et totalement inutile chez les hétérosexuels pour calmer les angoisses de potentiels homosexuels mâles passifs ou garçons indécis !
En l'état actuel de la science, la prévention pratique du cancer anal repose sur l'utilisation systématique du préservatif (pour éviter la contamination par le virus du sida), la limitation de la fréquence des rapports anaux passifs et peut-être le traitement des lésions précancéreuses par radiofréquence37. La vaccination anti HPV, qui confère un faux sentiment de sécurité, risque de favoriser la survenue de la maladie, comme on l'a constaté lors des essais de vaccins contre le Sida.
Un vaccin jugé peu efficace et trop cher par 400 praticiens38
Rappelons que la vaccination anti-HPV ne permet pas de se dispenser du dépistage et peut-être justifierait même une fréquence accrue, comme le suggèrent les Suédois39. La vaccination ne diminue donc pas le coût de la prévention du cancer, mais l'augmente.
Le coût financier de la généralisation de cette vaccination serait exorbitant, car, avec près de 500 euros le coût de chaque vaccination complète (trois doses plus quatre consultations), il faudrait dépenser environ 400 millions d'euros chaque année sans même pouvoir espérer le moindre résultat avant 15 ans ! En prenant les hypothèses d'efficacité les plus invraisemblables (100% d'efficacité sur 100% des cancers concernés) le coût/efficacité financière atteindrait 200 000 euros par année de vie gagnée ajustée sur la qualité de vie (QALY)40, alors que la Grande-Bretagne fixe le seuil d'acceptabilité à 30 000 euros par qaly. Un bénéfice très incertain (et potentiellement négatif) pour un coût colossal, totalement disproportionné de plus en cette période de déficit budgétaire.
Comme le souligne Bijan Esfandiari, avocat spécialisé dans les litiges en matière de responsabilité du fait des produits pharmaceutiques et associé principal chez Wisner Baum à Los Angeles41 :
« le moyen le plus efficace et sans effets secondaires pour prévenir le cancer du col de l'utérus est le test de Papanicolaou.42
Des études montrent que les jeunes femmes qui ont reçu du Gardasil ont un faux sentiment de sécurité et renoncent aux frottis vaginaux de routine. Les données ont également montré que, dans les pays où l'utilisation du Gardasil est élevée, les taux de cancer augmentent chez les jeunes femmes, pour un cancer qui apparaît généralement lorsque les femmes atteignent la cinquantaine et la soixantaine. Il y a quelque chose qui ne va pas ici et nos enfants ne devraient pas être soumis à une obligation de l'État qui les transforme en cobayes et les expose à un risque accru de contracter la maladie même si on leur dit que ce vaccin la prévient. »
On peut conseiller à Monsieur le Président de ne plus croire des conseillers incompétents ou corrompus qui le décrédibilisent, et de vérifier personnellement les données officielles des pays qui ont généralisé le Gardasil. Il constatera qu'il ne faut pas promouvoir cette vaccination efficace sur l'infection et les verrues, mais inefficace contre les cancers, hors de prix et dont les dangers conduisent actuellement à de nombreux procès aux USA.
Dans l'état actuel de la science, il ne faut vacciner ni filles ni garçons avec le Gardasil !

source : Nicole Delépine

#49
Fraudes scientifiques / Gardasil épisode 7 : Entre men...
Dernier message par Ouebmestre - 20 Mars, 2023, 20:57:49
Gardasil épisode 7 : Entre mensonges et corruptions




par AIMSIB
Il n'est pas de meilleure compagnie qui ne se quitte, provisoirement nous l'espérons, et Marceau nous livre ici le dernier opus de sa série concernant ce révoltant plan mondial de vaccination. Contre un risque qui n'a jamais été démontré, d'abord, avec un produit dont la toxicité féroce demeure toujours soigneusement camouflée, ensuite, et pour finir à un tarif flirtant avec les 400€ par enfant. Les « valises de biftons » (cf infra) parcourent le monde, les vigilances indépendantes s'évanouissent et le camp retranché tenu par les défenseurs des enfants va bientôt devoir nécessiter que des troupes fraîches prennent part au conflit. Politiciens, décideurs, journalistes, médecins, parents, la santé de nos enfants est clairement mise en danger par le culte du veau d'or de l'argent sale, aidez-nous, aidez-vous. À bientôt Marceau et merci. Bonne lecture.
7ème et dernier épisode de la série consacrée au Gardasil. Série qui pourrait être complétée en fonction de l'avancée du procès aux USA ou de nouvelles actualités brûlantes.
Récapitulatif des épisodes précédents
Rappelons (voir tous les épisodes 1-6) que le Gardasil est un vaccin développé par Merck pour la « prévention » des cancers causés par une famille de virus appelés les papillomavirus humains (PVH). La firme pharmaceutique a obtenu la mise sur le marché de ce vaccin par une procédure accélérée en juin 2006 avec des résultats d'essais cliniques trompeurs qui ont exagéré les avantages et largement sous-estimé les risques et les effets indésirables du vaccin.
Merck a commercialisé le Gardasil de manière agressive en utilisant des tactiques alarmistes, de fausses publicités et des lobbyistes politiques pour inciter des millions de parents à vacciner leurs adolescentes avec le Gardasil.
CitationAujourd'hui, des milliers de filles qui ont reçu le vaccin Gardasil subissent de graves conséquences néfastes pour leur santé et des centaines sont décédées des suites de complications liées au vaccin dans le silence complice des autorités sanitaires.
L'infection virale à PVH est la maladie sexuellement transmissible la plus courante et la majorité des gens contracteront le PVH à un moment donné de leur vie. La plupart des cas de PVH sont entièrement bénins, mais s'ils ne sont pas traités, un très faible pourcentage de cas de PVH (<1%) chez les femmes peuvent éventuellement se transformer en cancer du col de l'utérus. La meilleure prévention étant donc le dépistage qui fonctionne très bien en France, alors pourquoi vouloir imposer ce vaccin ?
Parce que les lobbys de Merck poussent devant le risque de la fin de la poule aux œufs d'or avec les procès qui vont commencer aux USA ?
Une promotion aussi repoussante qu'efficace
Après la mort de plusieurs petites indiennes, Bill Gates veut à présent s'en prendre à nos enfants !1
Le même Bill Gates – via l'OMS et Gavi – fait une priorité de cette vaccination de tous nos ados, pourquoi ?2,3





CitationMerck incite les politiques du monde entier à rendre ce vaccin obligatoire afin de ne plus être responsable des effets secondaires graves de ses injections comme nous l'avons montré dans les épisodes précédents.4,5





Nous osons à peine évoquer la proposition de loi opportune du député Pierre MOREL À L'HUISSIER pour rendre la vaccination contre le PVH obligatoire.
Qu'est-ce qui a bien pu le pousser à pondre ce torchon le 15 novembre 2022 ?6



Intéressant de parcourir quelques-unes des dernières actualités de son parcours...7,8,9,10,11



Le 8 décembre dernier, le président Macron et son ministre de la Santé Braun se disent eux aussi favorables à rendre ce produit obligatoire, ils ont été suivis le 10 décembre par le clip de propagande de la députée macroniste Prisca Thevenot aussitôt applaudie par un lobby LGBT+ (associé Renaissance), quelle est cette manie de systématiquement vouloir sexualiser les enfants et maintenant leur imposer cette vaccination ?
La vaccination obligatoire, techniquement ça change tout
De quoi se mêle-t-il ce lobby ? Fichez la paix à NOS enfants !12
CitationEn cas d'obligation, les victimes devront alors prouver le lien entre leurs maladies et le Gardasil pour recevoir une compensation minable de l'État. Mais l'État français ne reconnait aucun lien entre la vaccination et les effets secondaires sans y être contraint une fois que d'autres pays reconnaissent ces liens.
Ce que sait faire le gouvernement français, c'est contraindre et étouffer les affaires ! Nous ne sommes que du bétail pour ces gens et Macron voudrait rendre ce produit obligatoire pour exonérer Merck de toute responsabilité ? Comment compte-t-il faire ? Demander à Sainte-Ursula de négocier des contrats à l'échelon européen avec Merck par SMS ?
Combien de personnalités politiques Merck a-t-il déjà corrompues pour leur faire voter l'obligation vaccinale pour le Gardasil ?
Comme démontré précédemment,
CitationMerck a dissimulé des faits importants sur l'efficacité (ou l'absence d'efficacité) et la sécurité du Gardasil au cours du processus d'approbation accéléré. Merck n'a pas non plus effectué d'investigations et d'études médicales complètes et appropriées au cours des étapes de pré-approbation ou de post approbation. Les essais cliniques entrepris par Merck n'ont même pas examiné le potentiel du Gardasil pour prévenir le cancer, mais uniquement l'immunogénicité !
Ça ne vous rappelle rien ?!13,14
Le CDC américain l'écrit lui-même sur son site : aucune corrélation entre immunogénicité et protection. Post-autorisation de mise sur le marché, ils disent que ces injections préviendraient des verrues cervicales, ce qui n'est pas un cancer ! Ces verrues se résorbent toutes seules sans traitement.15
Post-approbation ils ont fait des études bidon pour analyser si le Gardasil pouvait prévenir les conditions précurseurs potentielles (verrues, lésions) qui disparaissent seules dans >> 99% des cas sans conduire à des cancers !
Merck a ensuite soumis des données trompeuses suggérant que ces « conditions précurseurs » entraînent inexorablement le cancer, ce qui est FAUX !
La campagne marketing trompeuse de Merck et la corruption des politiques et autres ONG/lobbys pour rendre la vaccination Gardasil obligatoire
Avant et après l'approbation du Gardasil, Merck s'est engagé dans des tactiques de marketing sans scrupule conçues pour surestimer à la fois les risques associés au PVH et la prétendue efficacité de Gardasil afin d'effrayer le public et de l'amener à accepter des vaccinations de masse des adolescents.
Avant le Gardasil, il n'y avait pas d'urgence de santé publique contre le PVH aux États-Unis et dans d'autres pays comme la France, et peu de femmes avaient même entendu parler du PVH. Il y avait donc peu ou pas de demande pour un vaccin contre le PVH.
Parenthèse : c'est comme pour la propagande cette année au sujet des VRS (Virus Respiratoires Syncytiaux) qui étaient jusque-là de simples virus respiratoires hivernaux donnant des symptômes grippaux avec comme traitement du doliprane et de l'amoxicilline. Cette année ils sont subitement devenus terribles avec un nom « VRS » dont l'écrasante majorité des français n'a jamais entendu parler auparavant. Et rupture de l'antibiotique amoxicilline pour que les gens, surtout les enfants, morflent bien. Pourquoi ? Car Pfizer arrive l'an prochain avec le vaccin contre les VRS. Les mêmes gens se souviendront des 10 jours cloués au lit et de leurs enfants au tapis toussant dans la douleur à cause de ces méchants « VRS » et ils iront courir se faire vacciner sans faire le lien. Fermons la parenthèse !
Afin d'assurer le succès financier de son nouveau « Saint Graal », Merck a précédé le déploiement du Gardasil par des années de marketing coûteux de « sensibilisation à la maladie » du PVH.
Sans parler des lobbys et de la corruption des politiques dans tous les pays développés, poussant initialement au remboursement accéléré de ce vaccin et à des campagnes agressives de culpabilisation pour pousser les parents à vacciner leurs filles dans un premier temps puis tous les ados, sans aucun fondement scientifique.16
En plus de sa campagne publicitaire agressive et culpabilisante pour les parents, Merck a également utilisé des lobbyistes politiques et des incitations financières pour essayer de convaincre les législatures des États américains (pareil dans d'autres pays) à rendre le vaccin Gardasil obligatoire.
À partir de 2004, Merck a injecté des millions de dollars dans des organisations de lobbying politique telles que Women in Government et NACCHO aux USA. Ces organisations ont alors commencé à pousser agressivement les législateurs à travers le pays pour rendre obligatoires les vaccins Gardasil pour toutes les filles américaines.
CitationMerck a complété ces lobbyistes rémunérés par des contributions aux campagnes politiques et des millions en financement direct aux services de santé des États.
Entre 2012 et 2018, Merck a directement acheminé 92 millions de dollars au ministère de la Santé du Maryland pour la promotion des vaccins Gardasil dans les écoles publiques. Ce financement a essentiellement servi à payer les responsables scolaires pour tromper les élèves et les parents en leur faisant croire que la vaccination Gardasil était obligatoire alors qu'elle ne l'était pas ! En Europe et en France vous pensez une seule seconde qu'ils n'ont pas opéré de la même manière ?
Merck a fait pression sur tous les politiques avec ses lobbys pour faire progresser l'utilisation des vaccins Gardasil.
Merck irait même plus loin et présenterait son programme aux politiciens au pouvoir pour placer son produit dans une position favorable. La société pharmaceutique a dépensé des millions de dollars en incitations financières, en contributions de campagne et en financement direct aux politiciens et aux institutions de l'État avec le pouvoir d'offrir le Gardasil au plus grand nombre d'enfants possible et de présenter leur produit comme une étape nécessaire pour arrêter un problème qu'ils ont dépeint comme plus grave que la réalité.
CitationAux USA, face à la révolte des parents, des médecins et des associations de consommateurs, Merck a promis d'arrêter ses campagnes de lobbying agressives pour faire passer des lois d'obligation vaccinale pour les pré-adolescentes.17,18
Mais qui peut leur faire confiance ? Qui pour vérifier ce qui se déroule dans les couloirs des parlements à travers le monde ou dans les bureaux des chefs d'États ?
En effet, dès 2014, d'un seul coup et en chœur les parlementaires de tous les pays européens ont poussé le Gardasil dans leurs pays respectifs. Le président Hollande inclura le Gardasil comme arme dans son plan cancer 2014-2019 en visant 60% de vaccination des adolescentes.19
CitationLe ministre de la Santé Xavier Bertrand avait validé le Gardasil et son remboursement avant même que les autorités de santé françaises ne se soient prononcées ! Regardez cette vidéo de France 5 jusqu'au bout et enregistrez-la pour les batailles à venir. Regardez les parlementaires plaider pour le Gardasil dans leur pays respectif, et les mains de Xavier Bertrand trembler après avoir fait son annonce devant le parlement. Regardez son expression corporelle ! Il n'est pas à son aise.20
Quelle est la probabilité que tout ceci ne se passe en même temps sans la pression des lobbys de Merck ? Combien ces parlementaires ont-ils été payés ?
Combien de valises de « biftons » comme a dit lui-même le PGD de Merck ?


https://web.archive.org/web/2013/06/14/http://www.liberation.fr/economie/06014396-le-laboratoire-merck-et-les-valises-de-biftons

CitationAgnès Buzyn aussi a envisagé de le rendre obligatoire en 2018 avec les autres 11 vaccins mais, devant la mauvaise presse de ce produit, elle a reculé et aujourd'hui Macron voudrait le rendre obligatoire « quand tout cela sera installé... » ?
Combien ces gens ont-ils été payés pour mettre la vie de nos enfants en jeu ?
COMBIEN ????!!!21



En 2019 des voix s'élèvent contre la corruption par les labos poussant ce vaccin et demandent un moratoire22 :



Et ce produit qui est considéré comme le vaccin le plus dangereux avant les injections COVID-19 est aussi le plus cher jamais approuvé :



Le Cervarix, vaccin bivalent de GSK contre 2 souches du papillomavirus, est la même daube23 ! Une fois que le Gardasil a été approuvé pour les préadolescentes, Merck a lancé une campagne de propagande agressive visant à effrayer et à culpabiliser les parents qui n'ont pas vacciné leurs filles avec le Gardasil. La campagne de Merck impliquait que les « bons parents » vaccinent leurs enfants avec le Gardasil.24
Au cours de ces efforts de marketing agressif, Merck a frauduleusement dissimulé les risques et les dangers connus du vaccin contre le PVH tout en exagérant son efficacité. Merck a commercialisé le Gardasil avec la campagne la plus agressive jamais montée pour promouvoir un vaccin, dépensant plus en publicité Gardasil que toute autre campagne publicitaire de vaccin précédente. (voir extrait à partir de 15 min 40 sec dans la vidéo)25



Au passage, la même émission de France 5 « Le magazine de la santé » présentée par Marina Carrère d'Encausse diffusait ce documentaire en 2014-2015 mais aujourd'hui, c'est devenu impossible, les mêmes personnes servent la propagande...26
La publicité de Merck laissait entendre que vous étiez un mauvais parent si vous ne vacciniez pas votre enfant avec le Gardasil pour le protéger contre le cancer.
CitationCe que la publicité a laissé de côté, c'est qu'il n'y a pas une seule étude pour soutenir l'affirmation de Merck selon laquelle le Gardasil prévient certains types de cancer.
Au contraire, des études ont montré que le Gardasil pourrait être plus susceptible de provoquer le cancer que de le prévenir (voir épisode 6).
« Merck sait que s'ils divulguaient la vérité sur le potentiel du Gardasil à provoquer des réactions indésirables graves et des maladies horribles, y compris des maladies auto-immunes, et la mort de certains receveurs, personne ne recevrait le vaccin », Merck a profité de milliards en faisant peur aux parents et en cachant les faits.27
L'inquiétude concernant la sécurité du Gardasil augmente
Au fil des ans, les parents sont devenus de plus en plus préoccupés par la sécurité du Gardasil. Selon une enquête de 2021, 23% des parents qui ont refusé la vaccination contre le PVH pour leur enfant en 2018 ont fait part de préoccupations concernant la sécurité, contre 13% en 201528. Normalement, les médicaments deviennent plus acceptés au fil du temps à mesure que leur innocuité est démontrée dans le monde réel. Ce n'est pourtant pas le cas avec le Gardasil, ce qui pourrait être une indication que de plus en plus de gens connaissent ou ont entendu parler de jeunes souffrant de problèmes graves.
Tout comme lesdits « vaccins » COVID-19 !29
CitationL'innocuité d'un vaccin comme le Gardasil devrait être totale car il est administré à des enfants et des adolescents en parfaite santé dont le risque futur de mourir d'un cancer du col de l'utérus est nul au moment où il est administré, et seulement 2,2 pour 100 000 à l'âge de 58 ans sans dépistage et sans traitement.
Merck a donc promis aux régulateurs, aux pédiatres et au public que les inoculations administrées aux filles de 9 à 12 ans conféreraient une immunité contre un cancer relativement rare qui ne tue généralement pas avant l'âge de 58 ans !
De plus, il convient de noter que les facteurs de risque d'infection au PVH chez les jeunes femmes sont30,31 :



Alors, considérant que les principaux facteurs de risque sont des choix de comportements modifiables, ne serait-il pas plus logique d'éduquer les jeunes femmes et hommes aux risques et comment les éviter, plutôt que de vouloir rendre ce vaccin obligatoire et décréter les capotes gratuites dès 15 ans pour les inciter à faire EXACTEMENT l'inverse de la prévention ???
CitationIl existe également de nombreuses preuves montrant que les frottis vaginaux peu coûteux sont le moyen le plus efficace d'identifier une infection au PVH et, en la traitant, d'empêcher qu'elle ne se transforme en cancer.
Ancien employé de Merck, la société américaine qui a développé le Gardasil, le Dr Bernard Dalbergue a affirmé dans une interview accordée en 2014 au magazine français Principes de Santé, que le médicament avait été mis sur le marché trop rapidement, et le qualifie de « conte de fées médical ». Il a déclaré que le vaccin ne faisait rien pour prévenir le cancer du col de l'utérus et que « les très nombreux effets indésirables détruisaient des vies et même tuaient », mais que son approbation hâtive du financement aux États-Unis et en Europe était motivée par les marges bénéficiaires des fabricants.
Il a déclaré que Gardasil « sera le plus grand scandale médical de tous les temps », mais ça c'était avant les injections COVID-19 ! Le Dr Dalbergue n'est pas anti-vaccins.32,33,34,35



Conclusion provisoire
La série Gardasil se termine donc et je ne doute pas qu'avec ces informations vous ne ferez pas vacciner vos ados. Il faut faire circuler et éduquer le grand public pour faire bloc contre Macron quand il viendra avec cette aberration d'obligation vaccinale.
Pour finir jetons à nouveau un œil sur l'état du compteur des amendes auxquelles Merck a déjà été condamné depuis 2000...
10 467 160 581 $36
Dix milliards quatre-cent-soixante-sept millions cent-soixante mille cinq-cent-quatre-vingt-un dollars



Et n'hésitons pas à relire la fabuleuse histoire de la contribution de Merck au sabordage organisé de l'ivermectine dès début 2021.37
Voici également un ouvrage qui m'a été conseillé38 :



Hasard du calendrier, en sortant de consultation chez la pédiatre avec ma fille, je me suis rendu compte qu'elle avait rajouté sur l'ordonnance en plus de la vitamine D annuelle le fameux sérum, alors même que je venais aimablement de décliner sa proposition... !



Pour revenir au premier épisode :
https://www.aimsib.org/2023/02/05/gardasil-episode-1-deja-le-debut-de-la-fin
source : AIMSIB





#50
Fraudes scientifiques / Le génocide du Covid-19 appell...
Dernier message par Ouebmestre - 19 Mars, 2023, 20:14:11
Le génocide du Covid-19 appelle la création d'une Cour mondiale indépendante




par Kla.tv
Le lobbying international, les magouilles et la corruption de Big Pharma dans les sphères politiques et judiciaires montrent clairement qu'il faut une justice indépendante et entièrement nouvelle. En particulier dans le contexte des crimes mondiaux du Covid-19, un génocide d'une ampleur sans précédent, il faut un tribunal spécial comparable aux procès de Nuremberg après la Seconde Guerre mondiale. Un groupe de juristes fait des avancées intéressantes dans ce domaine.

Vidéo :  https://www.kla.tv/index.php?a=showembed&vidid=25447&lang=fr

Transcription :

Un groupe d'avocats internationaux, d'experts de haut niveau et de scientifiques renommés présente à un grand jury les preuves que la pandémie Covid-19 est une opération criminelle visant à instaurer une dictature mondiale. Parmi les experts figurent des conseillers de l'OMS, un fonctionnaire des Nations unies, des membres des services secrets britanniques, d'anciens officiers de l'armée américaine et britannique, un expert du Center for Disease Control, un ancien vice-président de Pfizer, un lauréat du prix Nobel de médecine et de nombreux autres témoins de haut niveau.

Ils ont bon espoir qu'une fois le procès terminé, des charges seront retenues contre tous les principaux accusés présumés.

L'accusation

Il est reproché que les gouvernements du monde entier sont tombés sous l'influence d'un contrôle de structures de pouvoir corrompues et criminelles, qui ont orchestré ensemble une pandémie qu'ils avaient planifiée depuis des années. À cette fin, ils ont délibérément créé une panique de masse par le biais de fausses allégations factuelles et d'une opération psychologique socialement construite, dont ils ont diffusé les messages par le biais des médias dominants. Cette panique de masse avait pour but d'inciter la population à accepter des injections expérimentales, appelées « vaccins », qui ne sont pas des vaccins. Celles-ci ne se sont révélées ni efficaces ni sûres, mais extrêmement dangereuses, voire mortelles. En particulier, les accusations portent sur Christian Drosten, Anthony Fauci, Tedros de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), Bill Gates, BlackRock et Pfizer. L'objectif final des pandémies mises en scène serait le contrôle total de tous les êtres humains. Les experts présentent à ce sujet des faits fondés.

Le constat des experts

Selon le groupe d'experts, le Covid-19 n'est qu'une pandémie de test PCR alimentée par une opération psychologique sophistiquée visant à créer une panique permanente au sein de la population mondiale. Le virus correspond à une grippe bénigne qui peut être soignée de manière sûre et efficace avec des traitements éprouvés. Mais tous ces traitements ont été interdits par ceux qui utilisent cette pandémie comme couverture pour faire avancer leur projet final, à savoir amener tout un chacun à recevoir des injections expérimentales non seulement inefficaces, mais aussi extrêmement dangereuses, voire mortelles.

Objectif de la pandémie de Covid

Selon le groupe d'experts, l'objectif principal est le contrôle mondial. Cela implique le pillage complet de l'économie. Cela implique la destruction délibérée des petites et moyennes entreprises, des commerces de détail, des hôtels et des restaurants, afin que des plateformes internationales comme Amazon puissent prendre le contrôle. Les mêmes forces qui ont fait de la grippe porcine une pandémie il y a 13 ans ont créé cette pandémie du Covid. Les politiciens n'ont pas empêché ces crimes financiers, car ils soutiennent ceux qui les commettent – et ils en profitent.

Le Forum économique mondial a pris le contrôle des gouvernements

Si, à l'époque de la faillite de Lehman, l'opinion publique mondiale avait regardé de plus près au lieu de croire aveuglément aux promesses des gouvernements selon lesquelles les responsables de ces crimes financiers seraient tenus pour responsables, l'opinion publique mondiale aurait alors vu que la mafia financière pillait les caisses publiques depuis des décennies. Au contraire, ils sont aux mains de la mafia financière, par le biais de sa principale organisation, le Forum économique mondial (FEM). Leur principale organisation, le Forum économique mondial de Klaus Schwab, avait déjà commencé en 1992 à créer ses propres leaders mondiaux par le biais du programme Young Global Leaders. Deux des premiers diplômés étaient Angela Merkel et Bill Gates. D'autres sont devenus des leaders politiques comme Sebastian Kurz, Justin Trudeau, Jacinda Ardern, Emmanuel Macron et bien d'autres. L'objectif était déjà à l'époque de réduire fortement la population et de la contrôler en manipulant l'ADN. Il était également prévu de détruire délibérément la démocratie, l'État de droit et les constitutions. Par le biais d'un chaos orchestré, les gens devaient consentir à perdre leurs identités nationales et culturelles et accepter à la place un gouvernement mondial unique sous l'égide de l'ONU, les Nations unies, qui sont déjà sous le contrôle total du Forum économique mondial. Cela implique des passeports numériques permettant de surveiller et de contrôler chaque mouvement. Et une seule monnaie numérique, disponible uniquement par le biais de la Banque mondiale, à condition de faire exactement ce que le gouvernement attend de vous.

La prise de pouvoir de la mafia financière – planifiée depuis plus de 20 ans

Le FEM promeut ouvertement, en étroite collaboration avec des personnes comme Bill Gates, les Rockefeller et d'autres, la réduction drastique de la population mondiale et la manipulation de l'ADN jusqu'au transhumanisme. Dans ce but, des plans concrets pour cette pandémie du Covid ont été élaborés au moins depuis le printemps 2001. Par exemple avec l'opération Dark Winter, suivie d'une autre répétition de ce type, l'exercice Lockstep de la Fondation Rockefeller en 2010. Et enfin, l'événement 201 en octobre 2019 à New York, sponsorisé par le Johns Hopkins Centre for Health Security, la Fondation Rockefeller, le Forum économique mondial et la Fondation Bill et Melinda Gates. Les témoins prestigieux suivants informeront le grand jury sur le contexte historique et géopolitique de la prise de pouvoir et de l'eugénisme : James Bush, un ancien membre de l'armée américaine qui a participé à l'opération Dark Winter en 2001. Les anciens membres des services secrets britanniques, Brian Gerrish et Alex Thompson. Les journalistes d'investigation Whitney Webb et Matthew Ehret, ainsi que les anciens collaborateurs et conseillers de l'Organisation mondiale de la santé, les Dr Sylvia Behrendt et Astrid Stuckelberger.

Comment l'extrême surmortalité a été si longtemps dissimulée

Jusqu'au début des injections expérimentales, il n'y avait nulle part de surmortalité. Début 2020, pas un seul cas n'avait été enregistré. Les experts expliquent comment l'urgence sanitaire internationale s'est produite et ce qui se cache derrière la légende de l'épidémie. Ils démontrent que le virus n'est pas plus dangereux qu'une grippe ordinaire. Ils prouvent que le test PCR ne peut rien dire sur les infections, alors qu'il a été utilisé comme seule base pour toutes les mesures anti-Covid. Et ils rapportent les effets secondaires et les décès massifs de ce qu'on appelle les « vaccins à ARNm », qui ne sont pas seulement inefficaces, mais qui mettent la vie en danger. Les personnes suivantes déposent en tant que témoins : le Dr Wolfgang Wodarg, un pneumologue expérimenté qui, il y a 13 ans, a réussi à démontrer que la grippe porcine était une grippe bénigne. Le professeur Ulrike Kämmerer, biologiste à l'Université de Würzburg et le Dr Mike Yeadon, ancien vice-président de Pfizer. Ainsi que le Dr Sylvia Behrendt, le Dr Astrid Stuckelberger de l'OMS, le Pr Dolores Cahill de l'Université de Dublin, le Pr Antonietta Gatti et le Pr Berkholz.

Pourquoi les malades de Covid ont été délibérément mal traités

Un autre groupe d'experts est composé du Dr Thomas Binder de Suisse, du Dr Brian Ardis du Texas, du Dr Shankara Chetty d'Afrique du Sud, du Dr Wolfgang Wordarg d'Allemagne et de John O'Looney, entrepreneur de pompes funèbres d'Angleterre. Ces témoins témoignent de la manière dont l'humanité a été victime, dès le début, d'une interdiction délibérée et totalement insensée d'utiliser des méthodes normales, efficaces et sûres pour traiter les maladies respiratoires. Au lieu de cela, des traitements souvent mortels ont été prescrits, qui sont aujourd'hui considérés comme des fautes médicales graves : intubation, Remdesivir et Midazolam. John O'Looney explique comment il a d'abord cru aux allégations de pandémie et a même aidé la BBC à diffuser la propagande alarmiste, jusqu'à ce qu'il réalise comment des personnes ont été délibérément tuées sous le couvert de la pandémie.

Erreurs de traitement et de vaccination Covid : Assassinat de masse par le gouvernement

Le Pr Alexandra Henrion-Caude, le Pr Sucharit Bhakdi, le Dr Vanessa Schmidt-Krüger, le Dr Robert Malone, inventeur de la technique du vaccin à ARNm, et le Pr Arne Burkhardt, pathologiste allemand, montrent que le Covid-19 est inoffensif et qu'il présente un taux de survie de 99,97% s'il est correctement traité. C'est la « vaccination » qui rend de nombreuses personnes malades et qui, depuis septembre 2022, provoque une surmortalité allant jusqu'à 40% en raison de l'empoisonnement par la protéine Spike et, en outre, de la désactivation du système immunitaire. Le Dr Mike Yeadon, ancien vice-président de Pfizer, raconte comment un groupe de scientifiques a même trouvé des preuves concrètes que les fabricants de vaccins expérimentent des doses mortelles afin d'étudier comment les effets secondaires mortels peuvent être manipulés pour que la population ne comprenne pas immédiatement ce qui lui arrive.

Les crimes des mesures de Corona

Le Pr Mattias Desmet, le Dr. Ariane Bilheran, Meredith Miller, le Pr Harald Walach et Stefan Cohen, collaborateurs du ministère allemand de l'Intérieur, tous des experts, expliquent comment les acteurs du Covid mis en cause, après avoir érigé l'urgence sanitaire en intérêt international, ont rapidement mis en place le confinement, les obligations de porter un masque, absurdes et dangereuses, et l'éloignement social, très dommageable tant physiquement que psychologiquement, pour finalement arriver à leur véritable objectif : les injections inefficaces, dangereuses et souvent même mortelles.

L'agenda de la domination mondiale

Alex Thompson, ancien officier des services secrets britanniques, explique que la City of London est la plus grande puissance financière du monde et que son objectif a toujours été la domination mondiale. Leur principale stratégie est le contrôle de l'esprit. Les experts montrent comment le contrôle mental, la manipulation psychologique et les techniques d'hypnose sont utilisés pour contrôler les opinions et le comportement du public dans le monde entier. Les informations sont étayées par des documents officiels des gouvernements et des organisations mentionnées. D'anciens conseillers de l'Organisation mondiale de la santé et des Nations unies révèlent comment l'OMS et l'ONU ont été entièrement dirigées par des entités privées et ont ainsi été établies comme un gouvernement mondial unique efficace. Ce qu'ils doivent faire, c'est imposer un état d'urgence sanitaire international et, de cette manière, ils peuvent priver l'ensemble de la population mondiale de tous ses droits et libertés. Il est évident que cela fait partie d'un plan de domination mondiale. Pour ce faire, il s'agit de réduire radicalement l'humanité et de la contrôler de manière impitoyable. Le petit reste d'êtres humains doit être modifié génétiquement, par exemple par des vaccins à ARNmessager, et complété techniquement, par exemple par des implants cérébraux, de telle sorte qu'il puisse être relié à des machines et à une intelligence artificielle, et totalement contrôlé jusqu'à ce qu'il obéisse parfaitement.

Conclusion

Les preuves des avocats et des experts sont déjà sur la table. Seuls un public critique mondial, des débats publics et le succès d'une plainte devant un grand jury peuvent encore arrêter les plans mortels de l'oligarchie financière suprême. C'est pourquoi la diffusion de ces faits est si importante. Car peu de gens ont conscience de ce qui est prévu et de ce qui est déjà en cours. Vous trouverez tous les détails et des informations complémentaires en cliquant sur le lien https://stopworldcontrol.com/jury.

source : Kla.tv