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Non au "pass nazitaire", non à l'injection d'immuno-toxiques aux enfants !

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#71
Comparaisons internationales / Vaccination des mineurs contre...
Dernier message par Ouebmestre - 31 Janvier, 2023, 14:55:47
Vaccination des mineurs contre la Covid-19 : La Suède lâche la seringue, la France la brandit




par Nexus

La France incite fortement à faire vacciner les enfants dès l'âge de 5 ans, et même les bébés à partir de 6 mois s'ils sont jugés à risque.
À l'heure où les directives françaises encouragent la vaccination de tous les enfants – y compris ceux ne présentant pas de facteurs de risque – depuis le 1er novembre 2022, la Suède s'appuie sur le « faible risque de maladie grave et de décès » et met fin aux recommandations de vaccination générale pour les jeunes.

« Les variants du virus sont de plus en plus bénins »
Contactée par notre équipe, l'Agence de santé publique de Suède rappelle que la vaccination contre la Covid-19 reste volontaire sur son sol.
Fin octobre 2022, elle ne recommandait plus le vaccin aux enfants âgés de 5 à 11 ans en bonne santé. En novembre de la même année, c'était au tour des ados de 12 à 17 ans. Et si le vaccin est proposé à certains groupes d'enfants, les connaissances actuelles suggèrent que les « variants du virus sont de plus en plus bénins pour les enfants et les jeunes en bonne santé ».



« L'infection par le SARS-CoV-2 n'est généralement pas associée à un risque accru de morbidité ou de mortalité chez les enfants et les adolescents. » (Société suédoise de pédiatrie)
En outre, le communiqué de la Société suédoise de pédiatrie fait état de peu de risque de morbidité lié à l'infection par le SARS-CoV-2, le jeune âge étant « le facteur de protection le plus important contre les maladies graves ».
Si la vaccination demeure recommandée aux jeunes immunodéprimés, doit-on redouter des effets délétères du vaccin pour cette population à risque ? Toujours est-il que pour le pays scandinave, il apparaît que la jeunesse demeure l'arme de protection la plus efficace face au virus lorsqu'on est en bonne santé.

La vaccination n'est recommandée que pour certains groupes d'enfants
La Société suédoise de pédiatrie a défini les situations dans lesquelles la vaccination peut être appropriée à partir de l'âge de 5 ans : « Le médecin traitant de l'enfant évalue individuellement si la vaccination est nécessaire ».
La vaccination n'est recommandée que pour certains groupes d'enfants, notamment ceux souffrant d'une immunodéficience grave : « Il s'agit d'individus au sein de groupes jugés plus sensibles aux infections respiratoires en général, ou dont le système immunitaire est considérablement affaibli ».
En Suède, les connaissances actuelles montrent que les variants du virus du SARS-CoV-2 provoquent des symptômes de plus en plus légers chez les enfants en bonne santé : « À ce stade de la pandémie, nous ne voyons pas de besoin de vaccination dans ce groupe ».

La Suède et la France : deux pays qui ne sont pas au diapason
C'est une tout autre direction qui est prise par la France. Au 1er janvier 2023, 66% des 12-17 ans à qui le vaccin est recommandé avaient reçu au moins une première injection de vaccin, selon les chiffres de l'INSEE.
L'Académie de médecine vient de recommander la vaccination contre la Covid-19 des enfants âgés de 5 à 11 ans.
La Haute Autorité de santé recommande depuis décembre 2022 la vaccination contre la Covid-19 « aux enfants âgés de 6 mois à 4 ans révolus à risque de forme grave de la maladie et de décès », ainsi qu'à ceux « vivant dans l'entourage de personnes immunodéprimées ou ne répondant pas à la vaccination », même s'ils n'ont aucun problème de santé et alors même qu'on ne sait pas vraiment dans quelle mesure le vaccin empêche la transmission du virus.

source : Nexus
#72
Fraudes scientifiques / LA CORRUPTION TUE LA SCIENCE E...
Dernier message par Ouebmestre - 30 Janvier, 2023, 17:38:40
LA CORRUPTION TUE LA SCIENCE ET AUSSI BEAUCOUP DE MALADES !



par Nicole Delépine
« L'ordre se lave les mains pendant qu'on cloue Hippocrate sur sa croix »



« À tous ceux qui sont morts seuls... », par le Docteur Alain Collignon
Vidéo à ne pas manquer pour comprendre tout ce qui s'est passé depuis trois ans en ce qui concerne le Covid-19.




Merci à Alain Colignon qui a fait cette belle vidéo et à Pascal Sacré qui la diffuse largement, médecins belges qui (avec quelques rares autres dans plusieurs pays du monde) ont sauvé l'honneur de notre profession.
PRENEZ LE TEMPS DE L'ÉCOUTER ET DE LA PARTAGER.
Les pieds nickelés font de la science, dixit le PR Raoult à juste raison.



Le « virage vers les ténèbres » de la Science contemporaine
Citation« L'aphorisme par lequel Richard Horton, éditeur du Lancet, évoque est le mobile central du court-métrage que j'ai réalisé. Ce court-métrage s'articule sur 2 sujets principaux relatifs à la corruption des scientifiques :
Le premier traite de la véritable criminalité scientifique avec l'exemple du Professeur Mandeep Mehra de la Medical School de Harvard.
Le second traite de la corruption « politiquement correcte », avec le docteur Nicolas Dauby, du CHU Saint-Pierre, archétype du mensonge scientifique « sincère » ou « naïf », banalisé et admis aujourd'hui par une paradoxale « néo-coutume » médicale.
Cette corruption plus insidieuse et difficilement détectable résulte davantage de la façon dont on sélectionne les experts que de leur manque de loyauté ou de sincérité... Un labo pharmaceutique n'est plus confronté aujourd'hui, à la nécessité d'acheter un médecin pour qu'il mente, pour qu'il trahisse sa pensée ou pour qu'il en nuance les conclusions. Il suffit que ce labo soutienne les scientifiques dont l'avis va dans le sens de ses intérêts et qu'il ostracise ceux qui émettent des opinions dangereuses pour ses cibles commerciales. En raison de ce « Cherry Picking » opportuniste, un médecin dont les travaux ne sont pas favorables à l'utilisation d'un produit ou d'un dispositif médical, n'a aucune chance d'être invité à un congrès, d'être lu par des reviewers, d'être soutenu dans ses recherches, d'être engagé dans une institution financée par le secteur privé ou d'être interrogé par les grands Médias. Il est et reste « invisible »... On retrouvera dans les congrès et dans les institutions de recherche, des médecins sincèrement favorables aux objectifs de ses sponsors, et c'est sans arrière-pensée qu'ils les serviront, parfois au mépris volontaire ou involontaire de la vérité. Les truands qui traînent des valises de billets ne sont plus vraiment utiles à un secteur qui a fait main basse sur les Universités, sur les instituts de recherche et sur les organes officiels comme Sciensano et l'OMS.
Le Président de l'Ordre de Bruxelles et du Brabant Wallon a courageusement pris l'initiative d'un débat déontologique le 4 février au Château du Lac à Genval. Il serait raisonnable d'y aborder l'important sujet des conflits d'intérêts, souterrains, lointains, apparemment inoffensifs et pourtant si délétères pour la santé publique avec sagesse, avec raison, avec sérénité. Mettra-t-il à l'ordre du jour, l'analyse méticuleuse de cette corruption larvée qui laisse grandir son invisible mycélium sous nos vérités les plus sacrées ? Empêchera-t-il ce symposium de se transformer en messe basse servie sur l'autel de la bienséance ? Si le docteur Melot a le courage, en vertu d'une charge ordinale qui fait de lui le maître supérieur de nos consciences, d'engager une lutte décisive contre la tyrannie de l'argent, il laissera assurément une trace dans l'histoire de notre admirable métier, qui doit se mettre inconditionnellement et sans la moindre ambiguïté, à l'entier et unique service du patient ».
Appel contre la corruption en science et santé de 2002
Une épidémie de corruption sévit dans notre profession.
N'a pas été entendu malgré tous ceux qui suivront.





Les mises en garde ne furent pas entendues et la situation ne fit que s'aggraver comme l'explique le DR A. Colignon dans son film. Les livres, vidéos, éditoriaux s'accumulèrent dans le silence médiatique complet. Les professionnels se soumettaient pour ne pas risquer les ennuis des quelques résistants (refus de nomination universitaire, refus de publication d'études dans les revues ou dans les congrès internationaux). Nous avons tous vécu ce que raconte si bien le Dr Colignon. Une anecdote (rigolote ?) : un article capital sur le sarcome d'Ewing vers 1999 nous fut refusé pour « mauvais anglais » mais de fait c'était un article commun avec le célèbre et trop vite disparu le Pr américain G Rosen... Combien de patients auraient-ils pu bénéficier plus tôt de la chimiothérapie préopératoire facile et efficace et bénéficié d'une chirurgie conservatrice si ce papier novateur n'avait pas été censuré ?
À QUAND LA GRANDE LESSIVE ?



Marcia Angel a démissionné en 2004 puis son successeur en 2007 pour dénoncer la corruption des revues médicales les plus prestigieuses. Le pire est que les patients largement avertis, s'ils le souhaitent, font majoritairement l'autruche et préfèrent croire les mensonges bien présentés que la triste vérité. De tout temps, semble-t-il...


https://www.youtube.com/watch?v=Mcp-cssMgFc

Car la corruption en médecine ne touche pas seulement certains leaders d'opinion et quelques revues. Depuis plus de 20 ans, elle s'est emparée des agences sanitaires devenues « captives »1 des seuls intérêts de l'industrie pharmaceutique expliquant des décisions de plus en plus discutables et l'apparition récurrente de scandales sanitaires de plus en plus catastrophiques. Après le scandale du sang contaminé, de l'amiante, du chlordécone, de l'hormone de croissance, le médiator a causé quelques milliers de morts, le Vioxx 60000 à 500 000 morts2 aux USA et les opioïdes encore plus (actuellement100 000 morts chaque année depuis 2020)3,4.

LA CORRUPTION TUE LA SCIENCE ET AUSSI BEAUCOUP DE MALADES !

source : Nouveau Monde

  • La capture réglementaire des agences sanitaires, conséquence de la défaillance de l'État et du clientélisme, donne la priorité à l'industrie pharmaceutique au détriment des contribuables et les malades qu'elles sont censées protéger.
  • « Quand un demi-million d'Américains sont morts et que personne n'a remarqué », Alexandre Cockburn, The Week, 27 avril 2012
  • Les décès de fentanyl dans le comté de Los Angeles ont augmenté de 1280% de 2016 à 2021 – rapport
  • « The Lancet Managing the opioid crisis in North America and beyond » February 02, 2022 DOI: https://doi.org/10.1016/S0140-6736(22)00200-8
#73
Fraudes d'ordre sanitaire / Que révèlent les études précli...
Dernier message par Ouebmestre - 16 Janvier, 2023, 22:23:18
Que révèlent les études précliniques Moderna et Pfizer dévoilées récemment par FOIA ?


par Hélène Banoun
Les requêtes FOIA représentent des transmissions de documents officiels, détenus par les agences fédérales US ou d'autres pays anglo-saxons, vers qui en fait la demande. Celles-ci doivent se soumettre à une loi promulguée en 1966, intitulée « Freedom Of Information Act », qui les oblige en théorie à s'exécuter, hormis quand ces documents doivent rester frappés du secret (Your Right to Federal Records Questions and Answers on the Freedom of Information Act and the Privacy Act, 1992 https://archive.epic.org/open-gov/rights). Les dossiers préparatoires aux agréments des vaccins anti-Covid y sont détenus et quand ils sont exhumés, ce qui paradoxalement se révèle très long et difficile, de vilaines surprises ainsi que d'énormes mensonges voient brutalement le jour : « Ils » savaient déjà à l'avance ce que « nous » avions fini par comprendre à l'usage, merci à Hélène Banoun de nous éclairer encore une fois sur cette éclatante preuve de fraude à la science. Bonne lecture.
***
Résumé
Définition et rappel : les vaccins sont fondés sur la protéine spike dont la toxicité est connue depuis longtemps. Les vaccins anti-coronavirus sont connus depuis 2003 comme susceptibles de provoquer l'ADE (facilitation de l'infection). Les documents obtenus par FOIA montrent que le vaccin diffuse dans tout le corps des animaux testés et persiste au moins 14 jours. Une toxicité générale et une toxicité des doses répétées ont été notées pendant ces études ainsi que des résultats équivoques sur la génotoxicité et des résultats concordants sur une toxicité reproductive très probable. Les résultats ne peuvent exclure la possibilité de l'ADE.
Ce document a été rédigé pour compléter un dossier juridique d'une plainte de victimes des vaccins : comment prouver la causalité des vaccins Covid dans les effets indésirables et les décès qui sont notifiés suite aux injections. J'y rappelle que la toxicité de la protéine spike du SARS-CoV-2 était connue depuis le début des années 2000 avec le SARS-CoV-1 et pourtant tous les fabricants de vaccin l'ont choisie comme antigène. Et particulièrement les vaccins géniques (à ADN ou à ARNm) vont faire produire au vacciné cette toxine !
Les études pré cliniques (sur des animaux) Moderna et Pfizer révèlent aussi qu'on pouvait anticiper la toxicité des vaccins ARNm anti-Covid.

Principe des vaccins ARNm

Les vaccins ARNm de Pfizer et Moderna sont fondés sur la protéine spike du virus SARS-CoV-2. Ils sont constitués d'acide nucléique (l'ARNm) qui est le code génétique (modifié) par rapport aux ARNm naturels de cette protéine (modifiée par rapport à la protéine virale). Les cellules du corps de la personne vaccinée vont traduire ce code et synthétiser la protéine spike.
La toxicité de la spike était connue depuis longtemps (voir en fin de texte)
Les experts craignaient dès le début 2020 le phénomène de facilitation et aggravation de l'infection par les anticorps vaccinaux. Ce phénomène est connu sous différentes appellations : ADE antibody dependent enhancement, VAERD Vaccine-associated enhanced respiratory disease, ou ERD enhanced respiratory disease, VAED vaccine associated enhanced disease.
Dans deux réunions officielles les Drs A. Fauci et P. Hotez, experts en vaccins mettent en garde contre ce phénomène qui était connu pour les vaccins anti-coronavirus1,2. Les Risk Management Plans des fabricants prenaient en compte ces risques3.
Les nombreux cas de Covid apparaissant chez les personnes vaccinées dans les jours suivant les injections sont certainement dus à cet ADE ; ceci est confirmé par des publications4,5,6. De même l'efficacité négative du vaccin au bout de quelques mois peut être rapportée à ce phénomène7.
Les résultats exposés dans les documents d'études pré-cliniques obtenus par FOIA8,9 ne peuvent exclure le risque d'ADE car la méthodologie employée n'est pas adéquate. En effet les animaux utilisés ne sont pas le bon modèle pour étudier ce phénomène, ils ont été sacrifiés avant que ne puisse apparaitre l'ADE, et les images radiographiques montrant l'absence d'ADE n'ont pas été fournies aux agences de régulation. Le document Moderna précise qu'à dose suboptimale de vaccin (propice à l'ADE), les animaux n'étaient pas totalement protégés de l'infection dans les poumons. Le document Pfizer précise que seuls de jeunes singes ont été testés : ils sont moins sensibles à l'ADE que les vieux animaux.
En fin d'article je donne des arguments en faveur de la possibilité de l'ADE post vaccination

Résumé de l'analyse des données de pharmacocinétique des documents Moderna et Pfizer

Il peut-être utile de discuter de la réglementation concernant les études de pharmacocinétique pour les vaccins ARNm, en effet, les vaccins ARN anti-Covid ne sont pas soumis à des études complètes de pharmacocinétique (voir prochain article sur la réglementation).
Les documents sur les études précliniques Pfizer et Moderna qui ont été récemment obtenus par FOIA et publiés montrent que le vaccin  diffuse dans tout le corps du vacciné et y persiste plusieurs jours, contrairement à ce qui a été affirmé officiellement (« le vaccin reste au site d'injection dans l'épaule et a disparu complètement au bout de 48h »)10.
La biodistribution n'a pas été étudiée sur la formulation du vaccin (ARNm de la spike encapsulé dans des LNP : nanoparticules lipidiques).
Des études post-cliniques ont montré que l'ARNm peut circuler nu ou être encapsulé naturellement dans des exosomes et relargué par les cellules du vacciné, donc ces études sont insuffisantes11.
Les études pré-cliniques présentées par les fabricants montrent que les composants des LNP ou les LNP contenant l'ARNm se distribuent dans tout le corps et persistent jusqu'à 6 ou 14 jours (selon qu'il s'agit de Moderna ou Pfizer).
Dans certains organes il y a même concentration des LNP par rapport aux taux retrouvés dans le sang (les glandes surrénales, la moelle osseuse,  les yeux, l'intestin, le foie, les ganglions, les ovaires la rate, les testicules) ; les animaux étant sacrifiés au bout de 6 ou 14 jours, il est impossible de savoir si la concentration se poursuit au-delà de cette période et de connaître la durée d'élimination complète du vaccin.
Le résumé du rapport Moderna affirme que l'ARNm du vaccin est dégradé en quelques minutes dans les fluides biologiques et ne persiste pas dans les tissus, contrairement aux résultats détaillés du même rapport...

Toxicité

Dans l'essai Moderna fourni par le fabricant (celui de 2017 avec une formulation de vaccin anti-CMV [cytomégalovirus] induisant la synthèse de protéines autres que la spike des vaccins Covid) des pathologies graves sont observées au niveau macroscopique dans certains organes 6 jours après l'injection : ganglions proximaux et distaux, thymus, rein, site d'injection, estomac.
Dans l'essai Pfizer des doses supérieures aux doses humaines ont été injectées et ont montré une toxicité chez les rats : piloérection, corps voûté, activité réduite et respiration irrégulière, toxicité hépatique, perte d'appétit et  de poids.
Cette toxicité est-elle transposable à l'homme avec des doses plus faibles ?
Les régulateurs notent aussi l'absence d'étude évaluant les risques de maladies auto-immunes.
Toxicité de doses répétées : pour Moderna elle a été étudiée selon un schéma différent du protocole appliqué chez l'homme (délais beaucoup plus courts entre les doses). Des signes de toxicité ont été notés (dans le foie, la rate, les glandes surrénales et la moelle osseuse) et l'agence de régulation australienne  (TGA) souligne que la formulation utilisée pour ces tests n'est pas similaire à celle des vaccins ARNm Covid.
Les possibilités d'un choc anaphylactique ou de l'activation du complément ou la stimulation de la libération de cytokines n'ont pas été étudiées correctement d'après la TGA.

Génotoxicité

Elle n'a pas été étudiée pour Pfizer, et pour Moderna elle a été avec une formulation différente de celle des vaccins ARNm Covid. Les résultats sont équivoques : parfois positifs et parfois négatifs.
Dans l'ensemble, le risque génotoxique pour l'homme est considéré comme faible en raison de l'exposition systémique minimale après administration IM (intra-musculaire), de la durée limitée de l'exposition et des résultats négatifs in vitro. Cependant la durée de vie réelle observée de l'ARNm chez l'homme est de plusieurs semaines donc l'exposition systémique est importante et le risque génotoxique doit être réévalué.
De plus, la génotoxicité de la protéine spike n'a pas été étudiée et ne peut donc être exclue (considérant sa longue durée de vie systémique de plusieurs mois). Si on considère également la possibilité d'intégration dans l'ADN12,13 et son expression éventuelle même des années après l'injection, le risque génotoxique devient bien plus sérieux.

Toxicité reproductive

Les résultats sont concordants pour Pfizer et Moderna et montrent une toxicité chez les mères et des malformations squelettiques chez les fœtus.
L'étude Pfizer montre de plus des morts fœtales concernant des portées entières et une augmentation des pertes pré-implantatoires dans le groupe vacciné par rapport au groupe témoin. Ceci peut faire supposer une toxicité chez les femmes enceintes et pourtant les autorités continuent à recommander le vaccin à celles-ci !
La toxicité de la spike était connue depuis longtemps
Dès 2005, ce potentiel délétère des protéines de type Spike était envisageable pour le SARS-CoV-1, le proche parent du virus SARS-CoV-2 responsable de la COVID-1914 :
« Les infections à SARS-CoV et la protéine Spike du SARS-CoV réduisent l'expression de l'ACE2. Notamment, l'injection de la protéine Spike du SRAS-CoV à des souris aggrave l'insuffisance pulmonaire aiguë in vivo qui peut être atténuée en bloquant la voie rénine-angiotensine. Ces résultats fournissent une explication moléculaire de la raison pour laquelle les infections par le SRAS-CoV provoquent une insuffisance pulmonaire grave et souvent mortelle et suggèrent une thérapie rationnelle pour le SRAS et peut-être d'autres virus de maladies respiratoires. »
En 2008, une étude concluait que la liaison entre le domaine de liaison (RBD) de la protéine Spike et le récepteur ACE2 contribuait à la pathogénèse du SARS-CoV-1, tout vaccin basé sur le RBD de la protéine Spike devrait être considéré « avec soin » :
« En plus d'utiliser les récepteurs pour entrer dans les cellules, de nombreux virus peuvent induire une régulation négative du récepteur et altérer sa fonction normale, ce qui entraîne une maladie grave. Notre étude montre que la liaison RBD spike est le déclencheur de cette voie d'entrée, ce qui confirme l'importance de la protéine RBD spike dans l'infection par le SRAS-CoV. Étant donné que la liaison de la protéine RBD spike à l'ACE2 contribue à la pathogenèse du SRAS, l'utilisation de vaccins sous-unitaires basés sur la protéine RBD spike doit être considérée avec attention. Un mutant de la protéine RBD spike, qui diminue ou élimine son affinité pour l'ACE2, mais conserve les principaux épitopes neutralisants, est souhaitable »15.
Ceci a été confirmé dès le début 2020. Les effets toxiques délétères de la spike ont été énoncés dès le printemps 2020 par Jean-Marc Sabatier16 : il prévoyait des effets délétères de l'infection par SARS-CoV-2 résultant de la fixation de la protéine spike du coronavirus sur le récepteur cellulaire humain ACE2.
Les vaccins sont tous fondés sur la protéine spike qui a depuis été reconnue comme la principale responsable (si ce n'est l'unique cause) de la pathogénicité du virus SARS-CoV-217,18,19,20,21.
Donc, on pouvait s'attendre à ce que les EI des vaccins soient en rapport avec la toxicité de la spike...22

Plusieurs publications font état de phénomènes de Covid graves après vaccination qui pourraient être dus à l'ADE

Selon Sridhar et al.23, l'ADE peut être considéré comme responsable de l'aggravation d'une infection Covid dans les jours suivant la vaccination : une femme récemment vaccinée (7 jours) par le produit ARNm Pfizer décède d'un syndrome de détresse respiratoire aigu. Il n'y a pas trace d'infection Covid-19, par contre des anticorps anti spike sont retrouvés au 13ème jour après l'injection.
Dans un article japonais24 publié par des auteurs dont certains ont travaillé pour des fabricants de vaccins, on apprend que 2 patients atteints de Covid-19 en phase aigüe ont été vaccinés contre la Covid-19 avec le produit Pfizer (tous les 2 le 26ème jour de leur maladie Covid-19). Ces deux personnes ont présenté un syndrome respiratoire aigu non dû au virus SARS-CoV-2, l'imagerie pulmonaire a montré une maladie pulmonaire interstitielle. Les auteurs suggèrent que la réaction immune à la COVID-19 a été réactivée par la vaccination mais ils ne font pas allusion à l'ADE ou VAERD probable.
Les autopsies25 de 170 personnes décédées de la Covid-19 (ou porteuses du virus lors du décès) montrent chez les complètement vaccinées (29) des charges virales pulmonaires très supérieures à celle des non vaccinées (141 personnes) et ceci est accentué chez les partiellement vaccinés. Les auteurs n'excluent pas le rôle de l'ADE dans ce phénomène.
Selon Thailand Medical News26, pendant la vague omicron fin 2022 en Chine, des patients ont montré des images pulmonaires et des syndromes respiratoires aigus semblables à ceux des phases Wuhan et Delta (fin 2019 et début 2020 lors de l'émergence de la souche originelle du SARS-CoV-2 et 2021 pour delta) ; ces dommages sont nommés « white lungs » (poumons blancs). Les autorités chinoises expliquent ces SARS par les propriétés immunosuppresssives des variants circulants actuellement (ils favoriseraient les infections opportunistes) ; mais il est reconnu que ces variants sont atténués par rapport aux souches proches de l'émergence du virus. La population chinoise serait vaccinée à 90% (selon le site de John Hopkins https://ourworldindata.org/covid-vaccinations) et en majorité avec les vaccins chinois à virus inactivé dont on sait qu'ils sont associés à un excès de Covid post-vaccinales possiblement dû à l'effet ADE27.

source : AIMSIB

#74
Comparaisons internationales / Royaume-Uni : Morgues des hôpi...
Dernier message par Ouebmestre - 16 Janvier, 2023, 10:29:35
Royaume-Uni : Morgues des hôpitaux surchargées causant l'installation de morgues provisoires à travers le pays



par Ryan Parry, Sarah Ridley et Sam Blanchard
Les corps sont entreposés dans une cour de sablage du Conseil alors que les morgues des hôpitaux atteignent leur pleine capacité. Le groupe frigorifique, niché dans un coin du site, est gardé 24h/24.


Les cadavres sont stockés dans des morgues de fortune à travers le Royaume-Uni, y compris un dépôt de gravier. Crédit : SIMON JONES


Le groupe frigorifique, niché dans un coin du site, est sous surveillance 24H/24.

Des véhicules hospitaliers ont été vus livrer et récupérer les morts à l'hôpital le plus proche, situé à 15 minutes en voiture à Salisbury, dans le Wiltshire. Deux autres unités ont été installées au Royal Liverpool Hospital.
Des morgues temporaires – généralement à l'intérieur de conteneurs d'expédition de 40 pieds et contenant chacune environ 35 corps – ont été vues pour la dernière fois au plus fort de la pandémie, alors qu'il y avait au moins 1000 décès par jour. Bien que, pas à ce rythme, des chiffres sombres ont montré que la semaine de Noël était la plus meurtrière en Angleterre et au Pays de Galles depuis près de deux ans.
Il y a eu plus de 1600 décès au-dessus de la norme, car le temps froid, la recrudescence des infections grippales, les longues attentes pour les ambulances devant gérer les accidents et les urgences, se sont combinés pour augmenter les taux de mortalité d'un cinquième.



C'était la troisième semaine consécutive qu'il y avait plus de 1000 décès supplémentaires en Angleterre et au Pays de Galles. Le Royal College of Emergency Medicine a affirmé que la flambée des décès était sans aucun doute liée à des retards record pour les soins d'urgence. Il disait : « Si vous ne pouvez pas amener une ambulance à quelqu'un qui a une crise cardiaque ou un accident vasculaire cérébral, certains de ces patients pourraient en mourir. »
Le président du Collège, Adrian Boyle, a déclaré que les taux de mortalité étaient « scandaleusement élevés ». Il a ajouté : « Notre propre analyse indique qu'environ 300 à 500 patients meurent par semaine à travers le Royaume-Uni en raison de longs temps d'attente dans les services d'urgence. C'est affreux, affligeant et totalement inacceptable. »



Hier, 999 gestionnaires d'appels ont rejoint les ambulanciers paramédicaux lors d'une deuxième journée de grève dans le service d'ambulance, avec environ 25 000 employés sur la ligne de piquetage. Cela s'est produit quelques jours après que les patrons de la Human Tissue Authority, qui réglemente le stockage des corps, ont lancé une alerte nationale sur les « problèmes de capacité mortuaire ». Il a déclaré que les organisations doivent s'assurer qu'elles ont des plans d'urgence.



La semaine dernière, une unité de réfrigération, logée dans un conteneur gris, a été livrée à High Post Salt Store juste à l'extérieur de Salisbury. Les patrons de la santé ont demandé l'utilisation du site pour emmener les cadavres de l'hôpital du district de Salisbury, où la morgue serait pleine.
Le site de sablage est adjacent à un parc d'activités, qui abrite une entreprise de pièces automobiles, une salle de sport et une entreprise de fournitures artistiques. Il est également à une courte distance d'un parcours de golf de 18 trous.
Joyce Robins, fondatrice de Patient Concern, a déclaré : « Tout cela est très décevant. C'est le genre de chose qu'il faut prévoir. Les mettre dans une cour salée donne l'impression que nous ne nous soucions tout simplement pas de ces personnes lorsqu'elles meurent. C'est terriblement triste pour les familles. Un peu de respect, c'est ce dont nous avons besoin. »
Hier soir, Salisbury NHS Foundation Trust a déclaré : « Nous pouvons confirmer que nous avons ouvert une capacité mortuaire supplémentaire pour répondre à une augmentation des besoins dans la communauté locale. Notre service mortuaire fonctionne selon les normes nationales, traitant les personnes décédées et leurs proches avec dignité et respect à tout moment, quel que soit leur emplacement. Toute notre capacité supplémentaire offre une confidentialité et une sécurité 24h/24 et 7j/7. »



Les deux unités du Royal Liverpool Hospital ont également été livrées la semaine dernière et installées sur le terrain de l'hôpital. Selon son site Internet, la morgue de l'hôpital traite environ 2000 décès par an, mais on pense qu'elle est à pleine capacité.
Liverpool University Hospitals NHS Foundation Trust, qui gère le Royal Liverpool Hospital, a déclaré : « Il est courant pour les morgues de disposer de systèmes temporaires spécialement conçus. Cela garantit que les patients continuent d'être traités avec dignité et respect, dans des installations équivalentes à une morgue permanente, pendant les périodes de demande accrue. Deux de ces systèmes, qui répondent aux normes établies par la Human Tissue Authority, ont été déployés au Royal Liverpool University Hospital ». En plus d'avoir une sécurité 24 heures sur 24, le personnel des deux sites est soumis à des instructions strictes pour surveiller les unités, en veillant à ce que la température à l'intérieur reste entre 4°C et 7°C.

Le Service National de Santé Publique et le Ministère de la Santé ont refusé de commenter cette situation.



source : The Sun via Soleil Verseau

https://reseauinternational.net/royaume-uni-morgues-des-hopitaux-surchargees-causant-linstallation-de-morgues-provisoires-a-travers-le-pays/

Curieusement, l'article omet juste de parler des injections d'immuno-toxiques.
#75
Fraudes d'ordre sanitaire / La drôle de répartition des in...
Dernier message par Ouebmestre - 15 Janvier, 2023, 23:35:13
La drôle de répartition des injections très aléatoires mais pas tant que ça



Révélations de Catherine Austin Fitss sur l'étrange répartition des lots de produits ARNm !!!
Ce qu'elle révèle correspond à la présentation déjà réalisée par un scientifique anglais avec preuves et documents à
l'appui qui démontrait que : Chaque labo qui libérait un lot de produits attendait que le labo concurrent ait libéré le sien. Ils libéraient les lots avec une programmation méthodiquement organisée afin de ne pas faire doublons les uns avec les autres. Chaque lot libéré présentait des niveaux de toxicité variables. Dans un même lot, on trouvait des flacons avec de la solution saline (placébo) et des flacons de plus en plus toxiques.
Donc tout cela ressemble à s'y méprendre à un parfait brouillage de piste intentionnel. Les fabricants peuvent ainsi assurer que certains cobayes se portent bien après l'injection.
Cela suggère donc qu'ils ont expérimenté des injections létales à dangerosité variable et à mortalité aléatoire. D'où le fait que des gens injectés se portent bien, et d'autres sont morts plus ou moins rapidement après injection.
Mais il reste le fait que de toute évidence les injections sont des poisons lents à retardement. De 1 jour à 3 ans selon plusieurs experts scientifiques.
POUR FAIRE COURT, EN CLAIR, CELA SIGNIFIE : TOUS VACCINÉS = TOUS CONDAMNÉS ; ce n'est juste qu'une question de temps. Et cela permet d'étirer le lien de cause à effet et d'EMBROUILLER LES PISTES !!!
Ils gagnent ainsi un temps précieux pour dédouaner les injections qui passent de cette sorte tranquillement sous les radars.
DIABOLIQUEMENT SUBTIL... NON ???

Vidéo :
https://odysee.com/$/embed/@c19legrandreveil:f/CATHERINE-AUSIN-FITSS,-LA-DR%C3%94LE-DE-R%C3%89PARTITION-DES-INJECTIONS-TRES-AL%C3%89ATOIRES-MAIS-PAS-TANT-QUE-%C3%87A.:c?r=6rKHgmeCEdX1bto9c7WSjHtJta1RbQZy



source : c19 Le Grand Réveil
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Actions locales Isère / Dimanche 22 janvier 2023 à Vie...
Dernier message par Ouebmestre - 14 Janvier, 2023, 18:12:31
Dimanche 22 janvier 2023 à Vienne : "En marche ou crève !"
« En Marche ou crève » 

CitationRodolphe Bacquet, 8 janvier 2023 39 6 min de lecture  779 
Chers amis,
Je vais rarement au théâtre. Je trouve le théâtre d'aujourd'hui souvent prétentieux, trop intellectuel, et déconnecté de la vie.
C'est pourtant de théâtre dont je vais vous parler aujourd'hui.
Plus exactement, d'une pièce en particulier, que je vous recommande d'aller voir, si dans deux semaines vous êtes aux alentours de Vienne (je parle bien de Vienne en France, pas en Autriche).
Si vous êtes plus loin et que vous pouvez faire le déplacement, faites-le.
Cette pièce-là, vous ne la verrez jamais à Paris ; ni sur les grands boulevards, ni dans les théâtres subventionnés par l'État.
La Comédie-Française ne l'inscrira jamais à son répertoire.
Et pour cause : cette pièce n'a pas été écrite par des auteurs professionnels, elle n'est pas interprétée par des comédiens de métier, mais par des soignantes suspendues.
Très exactement par 8 femmes, dont 7 ont dit non à l'obligation vaccinale, et 1 a dit oui... et qui sont toutes passées par des situations qu'elles n'auraient jamais imaginées en 30 ans de métier.

Ce sont ces situations, vécues, qu'elles ont restituées et mises en scène dans une pièce de théâtre, intitulée « En Marche ou crève ».
Oui, le Covid a été une « tragédie » dès le départ
Vous devinez déjà qu'en termes de « déconnexion de la vie », cette pièce-là... c'est tout le contraire : elle vous permet de voir et d'éprouver ce qu'a vécu, de l'intérieur, le monde du soin professionnel à partir du mois de mars 2020.
C'est un accès privilégié, de l'intérieur, par celles qui les ont vécues, à des situations dont aucun grand média ne s'est fait l'écho, ni durant le confinement, ni après.
Car il n'est pas ici uniquement question d'obligation vaccinale, loin de là.
Entre le début de la crise sanitaire et la promulgation de la loi scélérate du 5 août 2021 (portant sur l'obligation vaccinale du personnel soignant et des pompiers) puis l'exclusion dès le mois suivant des individus refusant l'injection obligatoire, il s'est passé un an et demi.
Cette année et demie a été rythmée par – rappelez-vous – les applaudissements destinés aux soignants chaque soir du premier confinement.
Elle a été rythmée, surtout, par l'adaptation, en catastrophe et avec les moyens du bord, des centres de soin aux conditions imposées par le gouvernement : je veux parler du confinement, des protocoles sanitaires et de l'interdiction des visites aux résidents d'Ehpad.
Ainsi, la première « tragédie » de la gestion de la crise du Covid, c'est bien celle que (re)mettent en scène les soignantes qui ont écrit la pièce : ce sont ces résidents d'Ehpad, ces hospitalisés sur longue durée, qui sombrent dans le désespoir car le seul lien qui les raccrochait à la vie – la visite de leurs enfants et petits-enfants, mais aussi leurs interactions entre eux, entre pensionnaires – leur est retiré par décret.
Ces scènes sont poignantes, et vous aurez le cœur gros en y assistant.
Car vous éprouverez la détresse de ces patients et résidents, brusquement coupés de leur raison de vivre, mais également celle des soignants, chargés de leur annoncer qu'ils sont désormais incarcérés dans leur chambre.

C'est en effet là, cette fois, que débute la tragédie des soignants, auxquels est confiée l'écrasante responsabilité d'appliquer de nouveaux « protocoles » déshumanisés, mais qui leur ôte à eux-mêmes peu à peu toute dignité.
Comment ne pas frémir, en les voyant revêtir, durant la représentation, en guise de « surblouse »... des sacs poubelles !?
Ces sacs poubelles ne sont pas uniquement l'illustration du manque de moyens criant de l'hôpital : ils annoncent le sort de ces soignants qui refuseront l'escalade de protocoles de plus en plus absurdes et qui contredisent leur déontologie au nom de « l'urgence sanitaire ».
C'est-à-dire être jetés, sans ménagement ni compensation. 
La parole est aux soignants suspendus
Cette pièce met en lumière une vérité fondamentale : les infirmières remirent d'abord en question le bien-fondé des injections anti-Covid pour leurs patients, avant qu'il ne devienne un problème pour elles-mêmes.
Quand arrivent les premiers flacons de Pfizer fin 2020/début 2021, plusieurs soignants sont face à un cas de conscience : comment accepter d'inoculer à leurs patients ces produits, sur lesquels ne figurent aucune composition, et qui ne sont accompagnés d'aucune notice ?
Or, l'on apprend, en école d'infirmière, à ne pas administrer de traitement pharmaceutique sans rien savoir de son contenu ni de ses effets indésirables et contre-indications éventuelles.
Dans la pièce, comme dans la vie, on leur répond : « Ce sont les instructions, ç'a été validé par la Haute Autorité de Santé, vous n'avez qu'à les appliquer et obéir »...
... en éludant à la fois l'entorse au Code de la santé publique, le principe de précaution, et le fait que, face à la justice, ce sont elles, les infirmières, qui seront responsables des effets secondaires éventuels puisque les fabricants se déchargent de toute responsabilité à ce sujet.
Le choix deviendra cornélien lorsque ce seront les soignants eux-mêmes qui seront les objets de ces instructions, et que le gouvernement leur demandera de se soumettre à ces injections pour continuer à exercer leur métier.
C'est la fameuse loi du 5 août 2021, et qui a pour conséquence, quelques semaines plus tard, la suspension des milliers de soignants à travers la France qui ont fait valoir leur liberté de conscience et leur droit au consentement éclairé ; bref, qui ont résisté.
Ces soignantes racontent leur histoire au début de la représentation.
Elles sont à jour de leurs vaccinations professionnelles.
Elles ont des décennies de service et d'expérience derrière elles.
Elles sont exemplaires, vraiment.
Si exemplaires que l'une d'elles sera « dégagée »... une semaine après avoir reçu une médaille d'honneur dans son établissement.
Toutes ces femmes, il y a encore un an et demi au service des autres, ont été remerciées du jour au lendemain, sans salaire, sans chômage, sans RSA.

Face à la disproportion de cette suspension, les autorités de leurs établissements ne leur ânonnent qu'une seule réponse : « C'est la loi ».
Face à l'absence de recul sur les effets de ces produits, et le fait qu'ils sont encore en phase expérimentale, leurs collègues leur rétorquent : « Faites-nous confiance ».
Et face au fait que les soignants vaccinés et contaminés peuvent continuer à aller travailler, leurs collègues vaccinés leur font cette réponse ahurissante : « On est obligés de travailler davantage parce que vous refusez de vous faire vacciner »...
Comment voir cette pièce et soutenir ces soignantes ?
Ce collectif de soignantes suspendues devenues autrices et comédiennes pour raconter leur histoire s'est baptisé « Les Indispendues ».
Face à leur pièce « En Marche ou crève », je vous préviens, vous risquez de verser quelques larmes – pas seulement de colère et de tristesse, d'ailleurs ; aussi de rire, tant certaines scènes pointent avec pertinence et humour l'absurdité des situations engendrées par cette « crise ».
Vous pouvez avoir un aperçu de leur pièce dans la bande-annonce dont le lien figure en source[1].
La prochaine représentation de leur pièce aura lieu à Vienne, au centre de danse Pulcinella, le dimanche 22 janvier 2023.
Vous trouverez en source[2] toutes les coordonnées pour réserver votre place.
Le collectif dispose en outre d'une page Facebook, sur laquelle vous pouvez surveiller les prochaines représentations de leur pièce[3].
C'est une belle façon de continuer à soutenir ces soignants toujours empêchés d'exercer en dépit du droit international et de la science (maintenant que l'on sait que les injections anti-Covid n'empêchent ni l'infection ni la transmission), un cas dramatiquement unique en Europe.
Et c'est, en outre, une occasion d'entendre un autre récit de ces mois noirs que celui fourni par le gouvernement et les grands médias.

Portez-vous bien,
Rodolphe Bacquet

[1] Teaser « En Marche ou crève » : https://www.youtube.com/watch?v=D4yFi16sXss
[2] Réservations au 06 83 46 92 09 ou à centrededanse.pulcinella@orange.fr
[3] Page Facebook Les Indispendues, https://m.facebook.com/profile.php?id=100087627916585&eav=AfYjrwpou2-GyFkheoZPsBidrBznnaE1lZ7f7LE1lMpfXugRrKt4iujru8-pj4Phquo&tsid=0.844102495939052&source=result




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Intox médiatiques / Surmortalité inhabituelle en F...
Dernier message par Ouebmestre - 09 Janvier, 2023, 19:13:56
Surmortalité inhabituelle en France : Les crématoriums tirent la sonnette d'alarme, débordés par l'afflux de décès


par Le Média en 4-4-2
Selon BFMTV, les délais pour les familles en deuil qui souhaitent faire la crémation de leurs défunts ont explosé ces dernières semaines, parfois jusqu'à doubler. Cette situation est inédite pour les professionnels du secteur funéraire qui sont confrontés à un afflux important de décès à gérer. Selon eux, « si janvier et décembre sont des mois où les décès sont plus élevés qu'au cours de l'année, il y a actuellement une vague inhabituelle de morts qui touche la France, observée par les professionnels du secteur funéraire ».
Cette vague inhabituelle de morts est observée dans toute la France et ne s'explique pas, sauf à spéculer sur la grippe et l'encombrement des hôpitaux. Pour faire face à cette situation, les crématoriums tentent de s'adapter en débloquant de nouveaux créneaux horaires, mais la loi qui impose un délai de six jours ouvrables au maximum entre le décès et l'inhumation ou la crémation est difficilement tenable.
Une situation qui n'est pas limitée à la seule France puisque lors du journal '8' (NDLR, équivalent du 20h en France) sur la chaîne portugaise TVI du 5 septembre 2022 (voir vidéo ci-dessous), une information critique alerte le pays. La présentatrice du JT, Andréa Vale, annonce d'un ton grave, l'apparition de données inquiétantes d'une épidémie de mortalité juvénile au Portugal : « Au cours des douze derniers mois, trois cent soixante adolescents entre quatorze et vingt-cinq ans sont décédés. Le mois d'août dernier a été le pire mois, de mémoire d'homme. »

Vidéo


https://reseauinternational.net/surmortalite-inhabituelle-en-france-les-crematoriums-tirent-la-sonnette-dalarme-debordes-par-lafflux-de-deces/
#78
Comparaisons internationales / Moins de naissances que de déc...
Dernier message par Ouebmestre - 09 Janvier, 2023, 14:57:28
Moins de naissances que de décès aux Pays-Bas pour la première fois depuis 1900




par Aguellid

Certainement la faute au changement climatique...
Ces chiffres sont assez effrayants car ils démontrent qu'il y a une anomalie certaine aux Pays-Bas concernant la mortalité mais également les naissances. Certes les naissances sont en baisse depuis longtemps, mais la question du lien de causalité entre les effets indésirables des injections d'ARN messager et de la baisse de la fertilité doit se poser. Néanmoins, une chose est certaine, Il y a un vrai problème concernant la mortalité puisqu'en 2020, en pleine crise Covid-19, les Pays-Bas ont comptabilisé 9.7 décès pour 1000 personnes sur une population de 17 440 000 individus, ce qui nous donne un total de 169 000 décès, exactement le même nombre de décès comptabilisés en 2022 selon l'article ci-dessous ! Comment est-ce possible ? Il faut savoir que les Pays-Bas ont cumulé 11 600 décès en 2020 à cause du Covid-19 avec un total de morts à ce jour de 23 000 en 3 ans, c'est-à-dire une moyenne de 5700 décès en 2021 en 2022 causés par le virus chinois. Il faut savoir également que près de 70% de la population des Pays-Bas est entièrement vaccinée selon les chiffres officiels.
Après avoir pris connaissance de ces chiffres, comment est-il possible d'expliquer que la mortalité de 2022 soit aussi importante que 2020 alors qu'il n'y a pas eu de vague de mortalité Covid-19 ? D'autant que la population est très largement vaccinée (près de 70%), bien au-delà du taux de l'immunité collective nécessaire à la protection de la population. De fait, une question s'impose : d'où vient cette surmortalité qui inverse le taux de croissance de la population générale ? C'est d'autant plus inquiétant que nous constatons la même chose en France ou en Allemagne avec des surmortalités records ces dernières semaines, voire ces derniers mois.
La moindre des choses est d'avouer que la vaccination ne fonctionne pas, elle ne protège pas contre le décès, c'est un fait. Sauf que la mortalité Covid-19 officielle est trop basse pour donner des résultats qui pourraient modifier les statistiques de toute la population ! Bref, encore une fois, la situation est très grave et les autorités publiques n'en parlent même pas car elles savent parfaitement ce qui se passe et qu'elles sont incapables de réagir étant donné qu'elles ont été complices du génocide.
CitationL'année dernière, pour la première fois depuis 1900, le nombre de décès a dépassé celui des naissances aux Pays-Bas. C'est ce qu'indique une estimation de Statistics Netherlands. La population a néanmoins augmenté, en raison du nombre élevé de migrants venant aux Pays-Bas.
Les taux de natalité et de mortalité sont proches, 168 000 bébés ont vu le jour l'année dernière, tandis que 169 000 personnes ont perdu la vie.
« Le fait que vous ayez pour la première fois une diminution naturelle de la population est assez spécial », a déclaré Dick ter Steege de CBS au NOS Radio 1 Journaal. Le bureau des statistiques n'a jamais vu cela auparavant. Du moins pas depuis 1900, l'année pour laquelle CBS dispose des données comparables les plus anciennes.
Corona
Les chiffres de décembre n'étaient pas encore connus. Pour ce mois, CBS s'est appuyé sur une estimation afin d'être encore en mesure de présenter les chiffres de la population en janvier. C'est ainsi que cela se passe chaque année, et les prévisions de décembre sont généralement justes, selon Ter Steege.
La surmortalité est en partie constituée de victimes de coronavirus, mais aucune explication n'a encore été trouvée pour une partie d'entre elles. Même pendant la Seconde Guerre mondiale, le nombre de naissances était supérieur au nombre de décès.
Il n'est pas encore certain que la contraction se poursuive. « Nous constatons que les naissances diminuent depuis des années et que les décès augmentent également, mais ces trois dernières années, ces décès ont été un peu plus élevés à cause de la couronne », explique Ter Steege. « Donc, dans ce sens, cette baisse pourrait être temporaire. Si la surmortalité passe l'année prochaine, le nombre de bébés sera à nouveau un peu plus élevé que le nombre de personnes qui meurent. »
Migration
Malgré le déclin naturel, la population a tout de même augmenté grâce à la migration. En fait, la croissance a presque doublé par rapport à l'année précédente. En 2021, elle a ajouté 115 000 habitants ; l'année dernière, l'augmentation était de près de 227 000. Au total, les Pays-Bas comptent désormais plus de 17,8 millions d'habitants.
L'année dernière, un nombre record de migrants est arrivé dans notre pays : 402 000. C'est 150 000 de plus qu'un an auparavant.
En particulier, la guerre en Ukraine contribue à l'augmentation substantielle du nombre de migrants. C'est surtout dans les premiers mois qui ont suivi l'invasion de la Russie (24 février 2022) qu'un nombre relativement important de personnes sont venues aux Pays-Bas.
Les réfugiés ukrainiens se sont répandus dans presque toutes les municipalités. Renswoude (Utrecht), Gennep (Limbourg) et Pekela (Groningue) ont accueilli relativement le plus de nouveaux arrivants de ce pays : plus de 20 pour mille habitants.
Dans les cinq principaux groupes de migrants qui sont venus aux Pays-Bas l'année dernière, la Syrie, la Turquie et l'Inde occupent les places deux à quatre. Un an plus tôt, les Polonais constituaient encore le deuxième groupe de nouveaux arrivants après les Syriens. Mais les migrants polonais constituent désormais le cinquième groupe de nouveaux arrivants aux Pays-Bas.
Il est difficile de prévoir si les migrants continueront à venir aux Pays-Bas au même rythme, selon Ter Steege. « Lorsqu'il s'agit de migration, nous ne savons en fait jamais ce qui va se passer. Nous constatons ces dernières années que la migration est vraiment élevée. Il y a beaucoup de travail aux Pays-Bas, on peut y étudier, notre pays a donc un grand attrait. Mais ce qui se passera avec les personnes venant d'Ukraine, par exemple, nous ne le savons pas, cela dépend beaucoup de la situation en Ukraine même. Peut-être qu'ils y retourneront, et peut-être pas. »...
NOS [Nederlandse Omroep Stichting]
Fondation néerlandaise pour la radiodiffusion
source : Le Libre Penseur

https://reseauinternational.net/moins-de-naissances-que-de-deces-aux-pays-bas-pour-la-premiere-fois-depuis-1900/
#79
Fraudes d'ordre sanitaire / O’Looney, entrepreneur de pomp...
Dernier message par Ouebmestre - 29 Décembre, 2022, 10:03:05
John O'Looney, entrepreneur de pompes funèbres en Grande-Bretagne : « Je n'ai jamais vu autant de décès »

par Kla.TV
L'entrepreneur de pompes funèbres J.O'Looney a attiré l'attention au printemps 2021 lorsqu'il a fait de sombres prévisions concernant une possible augmentation des décès entre octobre et décembre 2021. Comme il avait accès au certificats de décès en tant que responsable de pompes funèbres et qu'il avait des contacts avec des médecins et le personnel soignant des hôpitaux, il avait fait des comparaisons et attiré l'attention sur des faits surprenants. Son propre vécu pendant la crise du Covid, entre autres en ce qui concerne la prise en charge médicale en Angleterre, s'est révélé épouvantable, tout comme ses expériences avec les politiciens haut placés en charge de la politique du Covid.



Transcription :

Intervieweur : Nous sommes très heureux d'avoir John O'Looney avec nous aujourd'hui. Il est entrepreneur de pompes funèbres à Milton Keynes, en Angleterre. John, merci d'être avec nous aujourd'hui.

O'Looney : Avec plaisir. Merci de m'accueillir.

Intervieweur : Je pense que la plupart de nos téléspectateurs seront familiers avec les interviews virales que vous avez données au début de l'été et au début de l'automne, dans lesquelles vous avez lancé un sombre avertissement. Vous avez également mentionné que vous étiez en contact avec un groupe d'experts et qu'ils disaient qu'il y aurait une énorme augmentation des décès en octobre, novembre et décembre. Or, nous sommes justement en pleine saison des rhumes et des grippes. Les événements actuels ont-ils donc confirmé vos craintes de l'époque ?

O'Looney : Oui, absolument. Ce que nous voyons, c'est un nombre de décès en constante augmentation, et curieusement, surtout des décès par thrombose, infarctus du myocarde, dilatation artérielle par anévrisme ou des AVC, et ceci en nombre sans précédent. Je n'ai jamais vu autant de décès. Et il ne s'agissait pas que de personnes âgées. Cela concerne des personnes de différentes tranches d'âge. Des personnes dans la vingtaine, la trentaine et la quarantaine, et des personnes qui ne devraient normalement pas mourir. Cela avait été prédit et maintenant c'est effectivement arrivé.

Intervieweur : Oui, c'est juste. Je vous ai entendu dire dans une interview récente que vous aviez enregistré plus de décès par thrombose cette année qu'au cours des 14 dernières années. Voulez-vous dire un nombre plus élevé durant l'ensemble des 14 dernières années ou durant chacune de ces 14 années ?

O'Looney : Eh bien, pour être exact, je veux dire un plus grand nombre que durant chacune de ces 14 années. Et l'augmentation est phénoménale. Il ne s'agit pas du double ou du triple, mais d'une augmentation de 500 ou 600 %, c'est approximativement de cet ordre de grandeur. Et en temps normal, un décès par thrombose est assez rare, et il s'agit alors plutôt de personnes âgées, pas de personnes dans la vingtaine, la trentaine ou la quarantaine, et celles-ci sont toutes vaccinées. J'ai discuté avec des personnes intéressantes ces derniers temps. Michelle, une infirmière urgentiste, m'a dit que 9 patients sur 10 admis aux urgences pour des problèmes respiratoires étaient vaccinés. La raison de leur admission est le développement de caillots de sang. Ils passent alors une rapide radiographie et si les caillots de sang se trouvent dans la poitrine, ils sont hospitalisés. Si par contre, les caillots de sang se trouvent dans un membre, les gens sont renvoyés à la maison. Ce qui se passe alors inévitablement, c'est que ces caillots se déplacent du membre vers le cœur ou la gorge, et les personnes meurent. J'ai des amis dans la région qui travaillent dans la médecine légale, et ils sont débordés parce qu'ils doivent régulièrement aller chercher ces personnes chez elles parce qu'elles sont mortes subitement d'une thrombose.

Intervieweur : En tant qu'entrepreneur de pompes funèbres, avez-vous accès à tous les rapports des médecins légistes concernant les décès ? Y a-t-il un certificat de décès pour chaque corps qui arrive ?

O'Looney : Eh bien, pas toujours, parce qu'en tant que « pompes funèbres » je n'ai pas besoin de voir le certificat de décès, mais ce que je vois, ce sont les papiers du médecin légiste. Pour chaque mort subite, on fait appel au médecin légiste, qui délivre ce qu'on appelle un formulaire « 6 ». Une partie de mon travail d'entrepreneur de pompes funèbres consiste à rassembler les papiers et la demande pour la crémation, car la grande majorité des obsèques au Royaume-Uni sont des incinérations. Je dirais qu'environ 5 % sont des enterrements. C'est une question plutôt culturelle. Je vois donc ces papiers, je dois les passer en revue et vérifier s'ils sont corrects. Je vois la cause du décès établie par le médecin légiste, qui m'est envoyée par e-mail. Ensuite, je l'imprime et je la vérifie. S'il y a un problème ou une erreur, je retourne vers le médecin légiste et je lui demande de me renvoyer le document.

Intervieweur : Y a-t-il des médecins légistes qui procèdent à des dénonciations comme vous?

O'Looney : Non, car ils mettraient leur carrière en danger. En fait, j'ai même fait pression sur le médecin légiste en chef parce que je ne voulais pas mettre mon médecin légiste local dans l'embarras. Parce qu'ils savent très bien ce qui se passe. C'est un bon gars, mon médecin légiste local. Ce sont des gens bien, et je ne doute pas qu'ils soient au courant de ce qui se passe. Vous voyez par exemple l'énorme augmentation du nombre de décès par thrombose. Nous tous, nous le voyons. Regardez les jeunes footballeurs, les footballeurs de la FIFA, qui tombent actuellement comme des mouches. Ce sont des personnes au sommet de leur forme physique et de leur perfection. Savez-vous pourquoi ils meurent ? Pourquoi ils tombent, pourquoi ils meurent ? Je crois qu'au cours des six derniers mois, environ cent huit joueurs et entraîneurs enregistrés auprès de la FIFA sont morts. Ce n'est tout simplement plus normal.

Intervieweur : En plus de ces décès par thrombose, vous avez mentionné dans une vidéo très récente que le vaccin peut attaquer le système immunitaire.

O'Looney : Oui. Je n'en étais pas conscient jusqu'à ce que je participe à une réunion en septembre. J'ai été invité à une réunion à Westminster, à Birdcage Walk (un centre de conférence). Cette réunion a rassemblé environ 18... on a dit qu'il s'agissait d'un groupe d'opposants à la vaccination. Mais il s'agissait de personnes du calibre du professeur Dolores Cahill et du Dr Tess Lawrie, du Dr Sucharit Bhakdi et ce ne sont pas des anti-vaccins. Ce sont des gens qui ont construit leur carrière sur la science, des scientifiques de haut niveau – ils sont à la pointe de leur profession. Ils étaient nombreux – il y en avait 18 – et nous avons pu rencontrer un type du nom de Sir Graham Brady, qui est le représentant du « Comité 1922 » du parti conservateur ( le Comité 1922, officiellement connu sous le nom de Conservative Private Members Committee [une association parlementaire créée en 1923 et composée de membres de la Chambre des Communes britannique]) C'est donc un politicien conservateur très, très important. Et nous avons tous témoigné, nous nous sommes présentés et nous avons eu cinq minutes pour faire part de nos préoccupations. Et on avait l'impression, une fois qu'il avait quitté la pièce, qu'il avait compris. Il était, nous... cela signifie-t-il qu'il est complice ? Il a dit qu'il ferait ce qu'il pourrait, mais qu'il avait les mains liées et qu'il ne pouvait rien promettre et, vous savez quoi ? Rien n'a changé ! Ils continuent toujours à picouser les enfants dans les écoles. On a dit à M. Graham que ces vaccins auront comme effet secondaire la stérilisation de 70 % des enfants. Et une énorme quantité de preuves scientifiques ont été mises sur table pour confirmer et étayer ces affirmations. Et il ne faut pas oublier des personnes comme Dolores qui conseillaient le gouvernement britannique lorsqu'elle avait une vingtaine d'années. Elle est très, très... c'est un génie. Et Tess Lawrie, c'est un génie dans son domaine. Dans leurs domaines respectifs, ils savent exactement de quoi ils parlent. Mais ils ne sont pas sur la liste de salariés de l'industrie pharmaceutique, ni sur celle du gouvernement. Ils sont donc discrédités. Et on a dit à M. Graham que beaucoup d'enfants décéderaient de cardiomyopathie et que jusqu'à 70 % seraient stérilisés. J'étais choqué. Car dans mon activité de pompes funèbres, je ne connaissais évidemment pas cette facette. Il a également été question des dommages causés au système immunitaire. On a expliqué qu'après l'injection les cellules de leur corps se régénéreraient en deux ans et que les nouvelles cellules recevraient de nouvelles instructions, et que ces nouvelles instructions retourneraient leur système immunitaire contre eux-mêmes. C'est ainsi donc que le système immunitaire s'affaiblira lentement, ce qui se manifestera par des nausées et des maladies. Et ce sera ça, leur Covid.

Intervieweur : Wow !

O'Looney : Ne vous méprenez pas. Le Covid existe. Il y a bien un virus là dehors. J'ai parlé à beaucoup de gens. Je l'ai bien eu moi-même, donc il est vraiment là, là dehors. Mais il est guérissable, ce n'est pas une pandémie mortelle. Ce n'est pas quelque chose qui va nécessiter une thérapie génique expérimentale toutes les 12 semaines pendant les cinq prochaines années.

Intervieweur : Ou un arrêt complet de l'économie.

O'Looney : Oui, mais c'est fait exprès, non ? Parce qu'au Royaume-Uni, je sais... eh bien non, je ne sais pas... je ne peux pas suivre tous les événements sur cette planète – j'ai beaucoup trop à faire, mais au Royaume-Uni, par exemple, il y avait 400 000 petites entreprises qui ont été délibérément détruites par le gouvernement. Par contre, il y a 600 nouveaux milliardaires.

Intervieweur : Oui.

O'Looney : Oui, c'est donc fait exprès, n'est-ce pas ? Je trouve très intéressant qu'ils continuent à faire de très grosses erreurs. Et ils ont récemment montré l'une des plus grandes erreurs. Ils essaient clairement de se débarrasser de Boris Johnson.

Ils savent que les médias battent leur plein pour l'assassiner. Et l'une des choses qu'ils ont exposée, c'est la récente fête de Noël où tous les ministres ont dansé sans masque. Eh bien, ça... ça va détruire sa crédibilité de Premier ministre, et ça signifie également que tous les ministres présents dans la salle étaient au courant. Et qu'il n'y avait aucun risque. Ils se sont donc pour ainsi dire plantés, parce que tout le monde peut maintenant voir qu'aucun d'eux n'en a été gêné. Ils étaient donc tous complices d'un mensonge abominable. Ils étaient tous complices d'un détestable mensonge. Mais les gens ne veulent pas toujours voir la vérité. Ils font simplement ce qu'on leur dit de faire.

Intervieweur : Oui. Avant cette interview, je voulais encore mentionner une chose qui m'a frappé. J'ai des amis aux États-Unis qui m'ont raconté des histoires d'êtres chers, d'amis qui sont allés à l'hôpital et qui se sont soumis à un protocole pour lequel je viens d'inventer un nom. Je l'appelle le protocole de la mort.

Mais, comme je ne suis pas un expert en la matière, je ne pensais pas en parler si je n'avais pas vu il y a quelques heures un nouvel article de Jon Rappoport dans lequel il parle précisément de ce sujet.

Il mentionne un groupe qui s'appelle le Centre pour les services de soin et d'aide médicaux et qui agit en tant que lanceur d'alerte. Il y a eu un rapport publié par l'Association américaine de médecins et chirurgiens et je voudrais vous donner la première citation de cet article. On peut y lire :

« Lorsqu'ils sont admis dans un hôpital qui leur était autrefois familier, les patients américains atteints du Covid-19 deviennent des prisonniers virtuels. Ils sont soumis à un protocole de traitement rigide visant à rationner les soins médicaux des personnes de plus de 50 ans. Ils ont un taux de mortalité impressionnant. »

O'Looney : Oui.

Intervieweur : J'aimerais aborder certains points sur la façon dont ils font de la propagande. Ils ne font pas seulement la promotion du Covid, mais il semble qu'ils encouragent également le meurtre. Et vous avez mentionné ...

O'Looney : C'est très intéressant. Matt Hancock ici présent a annoncé il y a quelque temps, lorsqu'il était au gouvernement, qu'il ferait transférer tous les patients des hôpitaux, les patients Covid, dans des maisons de soins, afin de leur offrir une belle mort. La traduction grecque de « belle mort » est le mot « euthanasie ». Il l'a donc dit à tout le monde, et pourtant ils ne l'ont pas vu, parce que la plupart des gens en Grande-Bretagne ne connaissent pas le grec. Mais oui, ils nous disent ce qu'ils font, et les gens ne comprennent tout simplement pas. Il faut donc... parfois, les gens écoutent, mais ils n'écoutent pas vraiment. Et c'est exactement ce qui s'est passé. Le taux de décès dans les maisons de repos est en parfaite corrélation avec l'utilisation du Midazolam et la quantité administrée. ça a été largement relaté. Ça a été bien démontré par un certain nombre de personnes qui ont utilisé les lois sur la liberté d'information pour obtenir les chiffres. C'est malheureusement ce qui se passe ; c'est triste, malheureusement. J'ai vu un nombre croissant de personnes extrêmement contrariées par le manque de soins apportés à leurs proches. Et encore plus bouleversant : J'ai eu des conversations très perturbantes avec des infirmières qui m'ont appelé pour me décrire de manière très détaillée la manière dont elles traitent les gens. Je veux dire qu'ils leur donnent des DNR (: DNR : A do-not-resuscitate order – ordre de ne pas réanimer ) sans même leur demander leur avis. Et ensuite, elles leur donnent des trucs comme le Remdesivir.

Intervieweur : Oui. Ok, donc ça se passe aussi en Grande-Bretagne.

O'Looney : Oui, c'est fou, vous savez. C'est aussi le cas pour le Midazolam. Pourquoi donner un sédatif tellement puissant à quelqu'un qui a du mal à respirer ? Cela ne peut avoir qu'un seul résultat, non ? La respiration devient beaucoup plus mauvaise parce qu'elle est supprimée, avec ce médicament... et c'est pourquoi les gens meurent. Les personnes qui font cela doivent être assez sadiques. Je n'en doute pas. Il y a quelques semaines, j'ai accueilli des infirmières pour lesquelles j'ai organisé des funérailles. Nous en avons longuement parlé et elles ont dit : « Vous avez raison sur ce que vous dites. » Et l'une d'entre elles ne pouvait pas détacher son regard du sol. Car elles savent que ce qu'elles font est mal. Et elles savent que ce qu'elles font est inacceptable. Ils sont esclaves des prêteurs d'argent, et c'est là que réside le problème. Je pense que les gens du National Health Service sont la clé de notre salut. Ils doivent se lever. Ils doivent descendre dans la rue pour que ce travail perde sa fiabilité et son poids. Ils doivent raconter leur histoire, et en nombre suffisant pour qu'on ne puisse pas les ignorer, afin que le public ait une chance de connaître la vérité. Ce que les patients ne reçoivent pas actuellement, c'est de l'information et de l'éducation, et leur consentement, consécutif à ces informations n'est pas donné. Quand je parle aux gens, c'est presque comme un bon moment. On peut le voir sur leur visage. Et ils le comprennent, ils le comprennent, mais le consommateur moyen, qu'est-ce qu'il fait ? Ils se connectent toute la journée sur leur ordinateur et travaillent dans une compagnie d'assurance ou comme agent immobilier, puis ils rentrent chez eux et regardent Netflix ou Facebook et ne sont même pas actifs. Et ce n'est que lorsqu'on se réunit et qu'on dit : « Eh bien, réfléchissez logiquement à A, B et C. » Tous les ministres se sont promenés, sans masque et proches les uns des autres. Cela ne veut-il pas dire qu'il n'y a pas de pandémie pour eux ?

Il n'y en a pas eu, il y a un virus. Je le sais, je l'ai déjà eu. Et il est plutôt rare. Je me suis senti assez mal. Mais il peut être traité. On peut y survivre, puisque je suis là. Et vous savez, c'est des mensonges. On nous a nourris d'un flot de mensonges, et en réalité, ce n'est qu'une question de finances. Car il n'y a pas d'or pour couvrir le nombre de billets en circulation. Et il n'y a pas d'argent. Il n'y a plus d'argent. L'économie est au bord de l'effondrement. Elle a longtemps été soutenue par un assouplissement quantitatif, c'est-à-dire des taux d'intérêt négatifs et autres. Et il est temps que les banques récupèrent tout, et elles le font en confisquant toutes les maisons et les entreprises, et le cycle recommence.

Voilà donc ce qui se passe. Ils vont suspendre un peu le dépeuplement et en même temps mettre en place un système de crédit social pour tout le monde. Il y a donc un certain nombre de personnes qui sont impliquées avec leurs petits agendas. Leur propre agenda. C'est terriblement triste, n'est-ce pas ? La clé, en fin de compte, ce sont les gens eux-mêmes. Je veux dire, c'est la raison pour laquelle j'ai pris la parole, parce que je vois... Il n'y avait pas de surmortalité là en 2020. Le taux de mortalité, il n'était pas aussi élevé qu'on le prétendait. Et vous savez, j'ai vu des gens sur le pas de la porte, et des infirmières se disputer pour savoir qui vidait les poubelles. Ce n'était absolument pas une pandémie.

En fait, il y a eu plus de décès en 2019 qu'en 2020 dans ma localité, et ce malgré une prétendue terrible pandémie qui ruine les affaires de tout le monde, et ce volontairement. Et bien sûr, ils font très attention à la manière dont ils ont procédé. Le consommateur ordinaire qui travaille pour un employeur sait que si on lui propose de rester assis sur ses fesses à la maison pour 80% de son salaire, la plupart diront : « Oh, bien, oui. On va le faire ! » Et puis il y a eu un effet d'entraînement et ils sont passés de 80% à 65%, de 60% à 50%. Et quand ils voulaient reprendre le travail, ils ne le pouvaient pas parce que l'entreprise était ruinée. Et c'est exactement ce qui s'est passé. J'espère donc qu'il y a suffisamment de patriotes en Amérique qui peuvent vraiment changer les choses et nous sauver, parce que je pense que nous serons sauvés.

Intervieweur : La Grande-Bretagne va-t-elle se contenter d'attendre pour voir ce que font les... cobayes – l'Allemagne et l'Autriche ? Attendent-ils le premier février pour voir si l'Autriche peut faire passer sa loi ?

O'Looney : Je pense qu'ils essaient différentes approches dans différents pays pour voir laquelle est la plus efficace, et ensuite ils continueront à le faire. J'encourage tout le monde à continuer à se battre, car il devient de plus en plus difficile de se cacher, et même si les gens ont l'impression que le temps leur est compté. Croyez-moi, ce n'est pas le cas. Le temps est court pour les personnes qui répandent ce mensonge, car elles seront démasquées. Les médecins et les policiers m'appellent, les infirmières m'appellent, et tous disent la même chose. C'est un mensonge total. Dans nos médias, on dit que les hôpitaux sont remplis de personnes non vaccinées. C'est une invention totale. C'est exactement le contraire. Neuf patients sur dix qui sont là, pleins de caillots de sang, sont vaccinés. J'ai déjà entendu cela de la part d'innombrables spécialistes. Qu'on le croie ou non, ça n'aggrave pas la situation pour autant. C'est la vérité. C'est la réalité. On peut mener un cheval à l'eau, mais on ne peut pas le forcer à boire.

Intervieweur : Donc, si vous dites que la personne moyenne qui a un travail normal et qui rentre chez elle pour regarder Netflix, c'est un groupe. Mais si vous pensez aux gens de l'establishment médical — oh là là ! — ils le savent.

O'Looney : Ils le savent. Vous devez garder à l'esprit que certains d'entre eux vont investir dans le Covid sans restriction... Je sais que, moi en tant que professionnel des pompes funèbres, j'étais très inquiet lorsque le Covid a été annoncé pour la première fois. J'ai cinquante-trois ans et je suis un ancien fumeur, donc ma voix peut paraître un peu rauque.....j'étais très inquiet. Voici ce terrible virus qui fait s'effondrer les gens. On nous a montré des images de personnes en Chine qui sont littéralement mortes dans la rue. Ce n'est tout simplement pas arrivé, donc ça n'a clairement jamais été vrai. Mais les gens perdent la mémoire et l'hippocampe (sous-titre : hippocampe = une partie du cerveau) est atteint. Ils entrent dans ce mode de fuite effrayés et cherchent des vaccins qui ne sont pas vraiment des vaccins, mais des thérapies géniques expérimentales, mais qui ont été réétiquetées pour paraître plus acceptables, car nous avons tous été vaccinés quand nous étions enfants, moi y compris. La dissonance cognitive est stupéfiante. Et il est certain que des gens que je connais et qui sont considérés comme extrêmement intelligents sur le plan académique et éclairés sont complètement dupes, même si je leur ai dit que ce n'était pas la vérité. En 2020, il n'y a pas eu d'augmentation du taux de mortalité, pas du tout. À Milton Keynes, il était même légèrement inférieur, mais les gens ne veulent pas en tenir compte. Ils sont toujours convaincus qu'il y a eu une pandémie, juste une pandémie sans décès.

Intervieweur : Et il ne semble pas y avoir de lien entre l'intelligence et le QI et le fait d'être touché ou non par la pandémie. C'est différent.

O'Looney : Nous sommes tous un peu différents, et je me suis posé cette question : Est-ce que je me serais fait vacciner si je n'étais pas entrepreneur de pompes funèbres, si je n'étais pas dans la position privilégiée dans laquelle je me trouve ? C'est possible. Peut-être. Je ne le saurai probablement jamais, n'est-ce pas ? Je crois que ce qui m'a vraiment contrarié, ce sont les efforts massifs pour faire passer consciemment tout le monde pour un mort du Covid  : des patients atteints de cancer, des victimes de crises cardiaques, oui , et même un homme qui s'est fait écraser – tous des morts du Covid.

Ils étaient trop enthousiastes, trop pressés d'enregistrer tous les gens comme cas Covid, alors qu'il ne pouvait en aucun cas s'agir de décès dus au Covid. Je commençais à flairer l'arnaque, d'autant plus que le taux de mortalité n'augmentait pas. Je m'attendais d'ailleurs à ce que le taux de mortalité s'envole dès que la vaccination serait lancée. J'en ai parlé très ouvertement à un certain nombre d'amis en novembre et décembre de l'année dernière. Et voilà, le 6 janvier, la vaccination a commencé et le taux de mortalité a immédiatement grimpé en flèche. C'était du niveau d'une pandémie. Je n'avais jamais rien vu de tel. Mais cela n'a commencé qu'au moment où ils ont planté les aiguilles dans les bras. Alors, est-ce que c'est une pandémie ? Ou est-ce un taux de mortalité extrême pour une pandémie transmise par une aiguille ? Je suppose que nous ne le saurons jamais, mais il me semble que c'est le cas. Tout dépend si l'on est un penseur critique ou non, et j'ai prédit tout ce qui s'est passé et continue de se passer. Je dois donc être une personne à l'esprit critique. De plus j'ai eu le privilège de rencontrer des gens vraiment sympa et très compétents, qui m'ont tendu la main et m'ont en quelque sorte intégré, et j'ai donc eu le privilège de participer à de nombreuses réunions en ligne. Cependant, je ne participe plus à toutes ces réunions, car je sais ce qui se passe. La question est de savoir ce que nous allons faire pour l'arrêter. Serons-nous vraiment capables d'arrêter tout ça ? Je ne le sais vraiment pas. Mais j'espère que oui. Je l'espère, car ici, en Grande-Bretagne, ils vont s'en prendre aux enfants, et je suppose qu'en janvier, ils s'en prendront aux moins de 12 ans. Vous savez, je ne veux pas que mon enfant soit stérilisé.

Intervieweur : Vous avez des enfants ?

O'Looney : J'ai un fils de 11 ans. Je ne veux pas que mon enfant soit exposé au risque de myocardite et de mort. Et depuis deux ans que cette prétendue épidémie existe, je n'ai vu nulle part dans la région un seul enfant mourir du Covid. Alors à quoi bon ? Il n'y a aucun besoin.

Intervieweur : Je vis au Japon, et il y a quelques jours seulement, il y a effectivement eu ce qui semblait être une bonne nouvelle au début. Un communiqué du gouvernement japonais, du ministère de la Santé disait : « Désormais, tous les médecins doivent avertir leurs patients qui reçoivent un vaccin Covid de la possibilité d'une myocardite ou d'une péricardite, etc. » Et je me suis dit : « C'est incroyable ! Qu'est-ce que c'est ? Le premier gouvernement au monde à annoncer une telle nouvelle ? » Mais ensuite, continuez à lire, continuez à lire, et ensuite le paragraphe suivant dit : « Mais le risque pour cela est extrêmement faible, cependant le risque de contracter ces mêmes maladies est plus élevé à cause du Covid, même chez les enfants. » Cela a été publié en même temps que le rapport allemand, qui est le suivant « Dix millions d'enfants entre 5 et 18 ans, aucun décès. » C'est fou.

O'Looney : Oui, oui, et le problème, c'est que les gouvernements ne gouvernent plus les pays, n'est-ce pas ? Ce sont les entreprises qui gouvernent les pays. Et c'est là que réside le problème. C'est là que réside le problème. C'est le Grand Reset. C'est le Grand Reset, et je pense que les gens vont tout perdre très lentement au cours des trois à cinq prochaines années. Nous sommes donc arrivés à la fin de la première année et nous voyons que les gens commencent maintenant à être malades. Ils sont de plus en plus malades parce que leur système immunitaire est désormais affaibli. Et j'ai eu certaines de ces personnes au téléphone. Lorsque le système immunitaire est affaibli, on perd la capacité de se défendre contre un simple rhume. Je le vois par exemple chez les patients cancéreux qui suivent une chimiothérapie qui affaiblit le système immunitaire. Je parle avec des personnes dont les familles viennent me voir et me disent : « Mon père allait vraiment bien. La tumeur avait presque disparu. Et puis il a attrapé un rhume. »

Et c'est ce qui les tue. C'est ce que nous voyons chez les gens. Là aussi, ils vont très, très mal, et ce de manière répétée, et plus ils reçoivent d'injections, plus ils vont mal. J'ai prévenu tous ceux que j'ai pu, et je continuerai à le faire. Qu'est-ce que tu peux faire ? Oui, on peut conduire un cheval à l'eau, mais on ne peut malheureusement pas le forcer à boire. Chacun doit décider pour lui-même de la meilleure façon de faire. Mais quand on fait du chantage en leur disant aux gens qu'ils ne peuvent pas aller au travail, qu'ils ne peuvent pas faire leurs courses, qu'ils ne peuvent plus aller nulle part, qu'ils ne peuvent plus voir leur famille et qu'ils ne peuvent plus voyager... on ne leur laisse plus vraiment le libre choix, n'est-ce pas ? Donc...

Intervieweur : Oui. Eh bien, je voudrais gentiment terminer l'interview, parce que nous voulons aussi la traduire en allemand. L'interview devrait être limitée à 30 minutes, mais j'aimerais encore poser une question. Vous avez mentionné que nous pouvons encore compter sur trois à cinq ans avant le contrôle total. Mais à entendre des gens comme Robert Kennedy Jr, C.J. Hopkins, Yeadon (l'homme de Pfizer) et le professeur Bhakdi, les prochains mois semblent être décisifs.

O'Looney : C'est ça ! Les prochains mois, je vais vous dire ce qu'on va voir. Nous vivons un grand réveil. Et je l'ai remarqué moi-même, parce que j'ai littéralement reçu des milliers et des milliers d'appels et de courriels. Et bien, quand le grand réveil arrive, ils doivent améliorer leur jeu, parce qu'ils sentent que le temps pour croire à ce mensonge est court. Donc ils vont accélérer leur jeu et tenter tout ce qu'ils peuvent. Nous sommes les 99 %, donc nous sommes trop nombreux. Et je me demande si les gens vont vraiment regarder leurs voisins être envoyés dans des camps de concentration et ne rien faire ! Je ne sais vraiment pas. J'espère que non, j'espère que non. Si je vous l'avais dit il y a deux ans, je sais qu'on m'aurait ri au nez et qu'on m'aurait dit : « Non, non, ça n'arrivera jamais. »

Ils ont construit six super-prisons en Grande-Bretagne. Six. Et ce, à une époque où l'économie est au plus bas. Mais maintenant, ils disent que c'est le bon moment pour investir des centaines de millions de livres dans des super-prisons.

Intervieweur : Ah oui !.

O'Looney : J'aimerais bien qu'un ministre me dise comment il justifie ça à ce moment de l'histoire. Je suis sûr qu'ils vont les utiliser. Je suis sûr qu'ils vont les utiliser pour quelque chose. Je suppose qu'ils le feront probablement pour nous.

Intervieweur : Avez-vous un dernier message pour d'autres entrepreneurs de pompes funèbres, pour des médecins légistes, des médecins ou des infirmières qui ne veulent plus faire les autruches, qui veulent lever la tête et révéler ce qui se passe, comme vous l'avez fait ? Là, dehors il doit y en avoir une quantité qui sont prêts mais pas encore tout à fait décidés.

O'Looney : Oui – c'est ça. Pour moi il y a eu deux déclencheurs qui m'ont poussé à rendre publique mon opinion. L'un c'était un certain Dr Sam White qui a pris la parole après sa démission et qui a été aussitôt rayé du registre GMC [General Medical Council, UK]. En fait, j'avais regardé ce qu'il avait dit et j'étais impressionné puisque cet homme renonce à sa carrière... pour d'autres. Ça m'a inspiré. L'autre [déclencheur] est la façon atroce avec laquelle le peuple australien a été traité et comment il est maintenant mis dans des camps de concentration. Où est le cri d'alarme international ? Il y en a pas parce que tous sont coupables. Et ce sont des multi-nationales qui gouvernent les pays, pas leurs gouvernements. Et ici en Grande-Bretagne, nous avons le parti « Conservateur » et le « Labour », mais ce sont les deux faces de la même médaille. On parle donc de la Grande Réinitialisation. Je veux bien croire qu'il serait temps de renouveler le sommet de la pyramide hiérarchique et le système du gouvernement. Cependant, la voie semble aller dans la direction du non-respect des règles afin qu'ils puissent littéralement arracher les personnes de leurs maisons. Cette horreur et ce terrorisme, c'est peut-être la seule façon de pouvoir éveiller les êtres humains. Soyons optimistes ! Les gens vont-ils penser que c'est acceptable d'être amené dans un camps de concentration en Grande-Bretagne ? Ma femme le voit peu à peu et se fait de plus en plus de soucis. Juste un exemple : Un ami a dit : «Tu peux venir chez moi mais tu dois te faire tester et ceci et...» Vous savez quoi ? Nous n'allons pas garder ces gens. C'est si simple que ça, car ils nous manipulent, ils nous poussent tout droit vers l'esclavage.

En ce qui concerne le personnel soignant, les médecins légistes, les infirmiers, les médecins et les responsables de pompes funèbres, j'aimerais dire ceci : J'ai longtemps réfléchi avant de m'exprimer, probablement pendant plusieurs mois. C'est que j'ai un esprit lucide. Et j'ai regardé en avant et je savais que j'avais deux options : je pouvais m'exprimer tant que j'avais encore la liberté de le faire, ou bien dans une année j'allais crier de derrière un mur de prison. Tu peux descendre et plonger seulement pendant un temps limité. Ou bien il faut se soumettre et accepter cette injection dangereuse et il y a une bonne chance qu'on tombe malade et qu'on meurt. Parmi les scientifiques, on a l'impression qu'il s'agit de la roulette russe. Quand on se présente pour le vaccin, on a de la chance ou on a de la poisse. Et j'ai essayé de deviner comment ils pourraient encore faire du mal aux gens qui ont reçu le placebo. Comment feraient-ils ? Et puis ils ont annoncé... ils sont arrivé avec les...

Intervieweur : ... Oui, pour les cinq prochaines années. Omicron : le rappel booster.

O'Looney : Oui, les boosters, oui trois ou quatre par année pour les cinq années à venir. Et vous êtes au courant ? Omicron vient d'arriver. Pour ça ils ont déjà prévu 3 boosters. Comment est-ce possible ? C'est impossible à moins que ça n'ait été planifié. (Non) c'était prévu d'avance. Et encore une fois : les gens ne pensent pas de manière critique. Ils sont en mode « panique ». Leur hippocampe dit : «Oooohh, Covid !» Ils ne pensent pas de manière logique. Comment peuvent-ils annoncer Omicron et puis déclarer « Nous avons déjà les trois injections prêtes » ? Avec ça, tout est dit, tout ce qu'on a besoin de savoir. Et nos ministres dansaient et s'embrassaient à Noël de l'année dernière pendant que nos magasins devaient être fermés et que nous devions nous cacher.

Ici on ne parle pas de Covid. Ce n'est pas le sujet. Oui, le Covid existe. Et oui, si on est gravement malade, il nous tuera. J'aimerais instamment prier ces personnes de se demander s'ils veulent encore se claquemurer pendant 12 à 18 mois avant de recevoir une injection, de tomber malades ou de mourir. Ou bien veulent-ils véritablement amorcer quelque chose et se mettre du bon côté de l'histoire ?

Un jour, on va de toute façon mourir. Vous savez, vous, moi... c'est un voyage qu'on fera tous. Je préfère être connu pour celui qui s'est levé et qui a dit « C'est faux. C'est faux. » Et en voici la raison. Et c'est ce que j'ai décidé de faire. Et si ma vie peut sauver celle de quelqu'un d'autre, quelque part, votre enfant ou votre famille ou quelqu'un de l'autre côté du monde. Alors, ma vie aura eu une valeur.

Intervieweur : Oui. Exactement. C'était aussi comme ça pour ce professeur au Nouveau-Mexique qui a dit devant ses étudiants : « Voyez, j'ai un job passionnant. J'ai été élu professeur de l'année et je n'ai aucune raison de tout laisser tomber, mais si une des femmes de cette classe peut avoir un bébé grâce à ce que je vous dis, je veux en prendre le risque. »

O'Looney : Oui, 100 % d'accord, 100 %. C'est aussi ce que j'ai vécu. Une de mes clientes qui avait eu la 1ère injection, saignait et les règles ne s'arrêtaient pas. La mère d'un autre client était devenu aveugle. Un homme pour qui j'ai organisé des funérailles avait été vacciné et il a été paralysé des hanches aux pieds. Il était donc considéré comme à risque. On lui a fait l'injection suivante et le lendemain on l'a trouvé mort dans sa maison.
Il est évident qu'il y a des lots très différents car il y a trop de différences dans les effets non-désirés. Et j'ai même vu des appels d'offres par lesquels le gouvernement souhaitait faire appel aux services de sociétés de logiciels informatiques afin d'évaluer les effets secondaires probables. Alors qu'est-ce que les gens ne voient pas ? C'est là sous nos yeux et c'est public. Mais, comme je l'ai déjà dit, ils rentrent, enlèvent les chaussures et mettent leur mot de passe pour aller sur Facebook ou Netflix. Tant que le loyer est payé et qu'ils peuvent se coucher sous un duvet bien au chaud, ça leur est égal. Mais cette fois-ci, ils ont été touchés. Ils ont paniqué et ne peuvent plus raisonner de manière logique. Leurs pensées ne sont plus claires. Et c'est une honte, vraiment. Et j'espère que les experts... j'espère que les collaborateurs du NHS [National Health System] vont sortir de leurs hôpitaux et qu'ils raconteront leur histoire, car s'ils peuvent faire le récit de ce qu'ils observent, ce sont eux qui ont la clé pour sauver tant de vies, la mienne et la leur inclues. Mais s'ils décident que leurs relevés bancaires sont plus importants que l'humanisme, ça pourrait être notre fin.

Intervieweur : Très exactement. John O'Looney, je vous remercie d'avoir accepté cet entretien, et je vous remercie de tout ce que vous faites afin de réveiller les gens.

O'Looney : Le plaisir était aussi de mon côté. Prenez soin de vous et que Dieu bénisse l'Amérique, le Japon, ...

Intervieweur : Et que Dieu vous bénisse ! Merci

source : Kla.TV
https://reseauinternational.net/john-olooney-entrepreneur-de-pompes-funebres-en-grande-bretagne-je-nai-jamais-vu-autant-de-deces/
#80
Fraudes d'ordre sanitaire / Bilan explosif : 71% des décès...
Dernier message par Ouebmestre - 16 Décembre, 2022, 17:48:17
Bilan explosif : 71% des décès survenus dans les 20 jours suivant la réception du vaccin covid semblent être dûs aux effets secondaires du vaccin



Le public est de plus en plus préoccupé par les informations faisant état de décès parmi les personnes vaccinées. Bien sûr, la question se pose : "Le décès a-t-il été causé par la vaccination ?". La façon la plus absolue de répondre à cette question est par une autopsie, écrit le célèbre Dr. Peter A. McCullough de The Epochtimes avec John Leake .
L'équipe de recherche en pathologie dirigée par le professeur Constantin Schwab de l'Institut de pathologie de l'Université de Heidelberg et de son hôpital affilié (Hôpital universitaire de Heidelberg, Institut de pathologie, Im Neuenheimer Feld 224, 69120, Heidelberg, Allemagne) a mené une étude détaillée des post- autopsies de vaccination. Sur 35 décès dans les 20 jours suivant l'injection, 10 ont été écartés comme étant clairement sans rapport avec le vaccin Covid.
 
Cependant, les 25 autres (71 %) avaient un diagnostic compatible avec le syndrome de blessure induit par le vaccin, y compris l'infarctus du myocarde, l'aggravation de l'insuffisance cardiaque, l'anévrisme vasculaire, l'embolie pulmonaire, l'accident vasculaire cérébral mortel et la thrombocytopénie thrombotique induite par le vaccin.
 
Fait intéressant, la myocardite aiguë a été identifiée comme la cause du décès dans 5 cas, l'histopathologie du muscle cardiaque montrant une inflammation inégale très similaire à celle du muscle deltoïde injecté avec le vaccin à ARNm, bien qu'il soit officiellement propagé que la myocardite survenant après la vaccination ne peut pas entraîner la mort et est très traitable (voir Gheorghiță et al).

Du rapport :
1) 71 % des décès survenant dans les 20 jours suivant l'administration du vaccin semblent être dus à des maladies connues pour survenir avec la vaccination contre le COVID-19,
2) L'inflammation du cœur a coïncidé avec le même schéma d'inflammation du bras. De cela, nous pouvons conclure que la mort quelques jours après la vaccination est très probablement due au produit du gène et que l'inflammation dans le bras pourrait être un substitut à un processus similaire dans le cœur.
Le taux très élevé d'autopsies post-vaccinales devrait inciter les familles et les médecins à demander des autopsies post-vaccinales afin que nous puissions en savoir plus sur la façon dont cette procédure médicale (*vaccination anti-covid) entraîne une perte de vie aussi élevée.
source : https://uncutnews.ch,
traduction: soleilverseau.com
via Soleil Verseau