Non au "pass nazitaire", non à l'injection d'immuno-toxiques aux enfants !
Citation« L'aphorisme par lequel Richard Horton, éditeur du Lancet, évoque est le mobile central du court-métrage que j'ai réalisé. Ce court-métrage s'articule sur 2 sujets principaux relatifs à la corruption des scientifiques :Appel contre la corruption en science et santé de 2002
Le premier traite de la véritable criminalité scientifique avec l'exemple du Professeur Mandeep Mehra de la Medical School de Harvard.
Le second traite de la corruption « politiquement correcte », avec le docteur Nicolas Dauby, du CHU Saint-Pierre, archétype du mensonge scientifique « sincère » ou « naïf », banalisé et admis aujourd'hui par une paradoxale « néo-coutume » médicale.
Cette corruption plus insidieuse et difficilement détectable résulte davantage de la façon dont on sélectionne les experts que de leur manque de loyauté ou de sincérité... Un labo pharmaceutique n'est plus confronté aujourd'hui, à la nécessité d'acheter un médecin pour qu'il mente, pour qu'il trahisse sa pensée ou pour qu'il en nuance les conclusions. Il suffit que ce labo soutienne les scientifiques dont l'avis va dans le sens de ses intérêts et qu'il ostracise ceux qui émettent des opinions dangereuses pour ses cibles commerciales. En raison de ce « Cherry Picking » opportuniste, un médecin dont les travaux ne sont pas favorables à l'utilisation d'un produit ou d'un dispositif médical, n'a aucune chance d'être invité à un congrès, d'être lu par des reviewers, d'être soutenu dans ses recherches, d'être engagé dans une institution financée par le secteur privé ou d'être interrogé par les grands Médias. Il est et reste « invisible »... On retrouvera dans les congrès et dans les institutions de recherche, des médecins sincèrement favorables aux objectifs de ses sponsors, et c'est sans arrière-pensée qu'ils les serviront, parfois au mépris volontaire ou involontaire de la vérité. Les truands qui traînent des valises de billets ne sont plus vraiment utiles à un secteur qui a fait main basse sur les Universités, sur les instituts de recherche et sur les organes officiels comme Sciensano et l'OMS.
Le Président de l'Ordre de Bruxelles et du Brabant Wallon a courageusement pris l'initiative d'un débat déontologique le 4 février au Château du Lac à Genval. Il serait raisonnable d'y aborder l'important sujet des conflits d'intérêts, souterrains, lointains, apparemment inoffensifs et pourtant si délétères pour la santé publique avec sagesse, avec raison, avec sérénité. Mettra-t-il à l'ordre du jour, l'analyse méticuleuse de cette corruption larvée qui laisse grandir son invisible mycélium sous nos vérités les plus sacrées ? Empêchera-t-il ce symposium de se transformer en messe basse servie sur l'autel de la bienséance ? Si le docteur Melot a le courage, en vertu d'une charge ordinale qui fait de lui le maître supérieur de nos consciences, d'engager une lutte décisive contre la tyrannie de l'argent, il laissera assurément une trace dans l'histoire de notre admirable métier, qui doit se mettre inconditionnellement et sans la moindre ambiguïté, à l'entier et unique service du patient ».
CitationRodolphe Bacquet, 8 janvier 2023 39 6 min de lecture 779
Chers amis,
Je vais rarement au théâtre. Je trouve le théâtre d'aujourd'hui souvent prétentieux, trop intellectuel, et déconnecté de la vie.
C'est pourtant de théâtre dont je vais vous parler aujourd'hui.
Plus exactement, d'une pièce en particulier, que je vous recommande d'aller voir, si dans deux semaines vous êtes aux alentours de Vienne (je parle bien de Vienne en France, pas en Autriche).
Si vous êtes plus loin et que vous pouvez faire le déplacement, faites-le.
Cette pièce-là, vous ne la verrez jamais à Paris ; ni sur les grands boulevards, ni dans les théâtres subventionnés par l'État.
La Comédie-Française ne l'inscrira jamais à son répertoire.
Et pour cause : cette pièce n'a pas été écrite par des auteurs professionnels, elle n'est pas interprétée par des comédiens de métier, mais par des soignantes suspendues.
Très exactement par 8 femmes, dont 7 ont dit non à l'obligation vaccinale, et 1 a dit oui... et qui sont toutes passées par des situations qu'elles n'auraient jamais imaginées en 30 ans de métier.
Ce sont ces situations, vécues, qu'elles ont restituées et mises en scène dans une pièce de théâtre, intitulée « En Marche ou crève ».
Oui, le Covid a été une « tragédie » dès le départ
Vous devinez déjà qu'en termes de « déconnexion de la vie », cette pièce-là... c'est tout le contraire : elle vous permet de voir et d'éprouver ce qu'a vécu, de l'intérieur, le monde du soin professionnel à partir du mois de mars 2020.
C'est un accès privilégié, de l'intérieur, par celles qui les ont vécues, à des situations dont aucun grand média ne s'est fait l'écho, ni durant le confinement, ni après.
Car il n'est pas ici uniquement question d'obligation vaccinale, loin de là.
Entre le début de la crise sanitaire et la promulgation de la loi scélérate du 5 août 2021 (portant sur l'obligation vaccinale du personnel soignant et des pompiers) puis l'exclusion dès le mois suivant des individus refusant l'injection obligatoire, il s'est passé un an et demi.
Cette année et demie a été rythmée par – rappelez-vous – les applaudissements destinés aux soignants chaque soir du premier confinement.
Elle a été rythmée, surtout, par l'adaptation, en catastrophe et avec les moyens du bord, des centres de soin aux conditions imposées par le gouvernement : je veux parler du confinement, des protocoles sanitaires et de l'interdiction des visites aux résidents d'Ehpad.
Ainsi, la première « tragédie » de la gestion de la crise du Covid, c'est bien celle que (re)mettent en scène les soignantes qui ont écrit la pièce : ce sont ces résidents d'Ehpad, ces hospitalisés sur longue durée, qui sombrent dans le désespoir car le seul lien qui les raccrochait à la vie – la visite de leurs enfants et petits-enfants, mais aussi leurs interactions entre eux, entre pensionnaires – leur est retiré par décret.
Ces scènes sont poignantes, et vous aurez le cœur gros en y assistant.
Car vous éprouverez la détresse de ces patients et résidents, brusquement coupés de leur raison de vivre, mais également celle des soignants, chargés de leur annoncer qu'ils sont désormais incarcérés dans leur chambre.
C'est en effet là, cette fois, que débute la tragédie des soignants, auxquels est confiée l'écrasante responsabilité d'appliquer de nouveaux « protocoles » déshumanisés, mais qui leur ôte à eux-mêmes peu à peu toute dignité.
Comment ne pas frémir, en les voyant revêtir, durant la représentation, en guise de « surblouse »... des sacs poubelles !?
Ces sacs poubelles ne sont pas uniquement l'illustration du manque de moyens criant de l'hôpital : ils annoncent le sort de ces soignants qui refuseront l'escalade de protocoles de plus en plus absurdes et qui contredisent leur déontologie au nom de « l'urgence sanitaire ».
C'est-à-dire être jetés, sans ménagement ni compensation.
La parole est aux soignants suspendus
Cette pièce met en lumière une vérité fondamentale : les infirmières remirent d'abord en question le bien-fondé des injections anti-Covid pour leurs patients, avant qu'il ne devienne un problème pour elles-mêmes.
Quand arrivent les premiers flacons de Pfizer fin 2020/début 2021, plusieurs soignants sont face à un cas de conscience : comment accepter d'inoculer à leurs patients ces produits, sur lesquels ne figurent aucune composition, et qui ne sont accompagnés d'aucune notice ?
Or, l'on apprend, en école d'infirmière, à ne pas administrer de traitement pharmaceutique sans rien savoir de son contenu ni de ses effets indésirables et contre-indications éventuelles.
Dans la pièce, comme dans la vie, on leur répond : « Ce sont les instructions, ç'a été validé par la Haute Autorité de Santé, vous n'avez qu'à les appliquer et obéir »...
... en éludant à la fois l'entorse au Code de la santé publique, le principe de précaution, et le fait que, face à la justice, ce sont elles, les infirmières, qui seront responsables des effets secondaires éventuels puisque les fabricants se déchargent de toute responsabilité à ce sujet.
Le choix deviendra cornélien lorsque ce seront les soignants eux-mêmes qui seront les objets de ces instructions, et que le gouvernement leur demandera de se soumettre à ces injections pour continuer à exercer leur métier.
C'est la fameuse loi du 5 août 2021, et qui a pour conséquence, quelques semaines plus tard, la suspension des milliers de soignants à travers la France qui ont fait valoir leur liberté de conscience et leur droit au consentement éclairé ; bref, qui ont résisté.
Ces soignantes racontent leur histoire au début de la représentation.
Elles sont à jour de leurs vaccinations professionnelles.
Elles ont des décennies de service et d'expérience derrière elles.
Elles sont exemplaires, vraiment.
Si exemplaires que l'une d'elles sera « dégagée »... une semaine après avoir reçu une médaille d'honneur dans son établissement.
Toutes ces femmes, il y a encore un an et demi au service des autres, ont été remerciées du jour au lendemain, sans salaire, sans chômage, sans RSA.
Face à la disproportion de cette suspension, les autorités de leurs établissements ne leur ânonnent qu'une seule réponse : « C'est la loi ».
Face à l'absence de recul sur les effets de ces produits, et le fait qu'ils sont encore en phase expérimentale, leurs collègues leur rétorquent : « Faites-nous confiance ».
Et face au fait que les soignants vaccinés et contaminés peuvent continuer à aller travailler, leurs collègues vaccinés leur font cette réponse ahurissante : « On est obligés de travailler davantage parce que vous refusez de vous faire vacciner »...
Comment voir cette pièce et soutenir ces soignantes ?
Ce collectif de soignantes suspendues devenues autrices et comédiennes pour raconter leur histoire s'est baptisé « Les Indispendues ».
Face à leur pièce « En Marche ou crève », je vous préviens, vous risquez de verser quelques larmes – pas seulement de colère et de tristesse, d'ailleurs ; aussi de rire, tant certaines scènes pointent avec pertinence et humour l'absurdité des situations engendrées par cette « crise ».
Vous pouvez avoir un aperçu de leur pièce dans la bande-annonce dont le lien figure en source[1].
La prochaine représentation de leur pièce aura lieu à Vienne, au centre de danse Pulcinella, le dimanche 22 janvier 2023.
Vous trouverez en source[2] toutes les coordonnées pour réserver votre place.
Le collectif dispose en outre d'une page Facebook, sur laquelle vous pouvez surveiller les prochaines représentations de leur pièce[3].
C'est une belle façon de continuer à soutenir ces soignants toujours empêchés d'exercer en dépit du droit international et de la science (maintenant que l'on sait que les injections anti-Covid n'empêchent ni l'infection ni la transmission), un cas dramatiquement unique en Europe.
Et c'est, en outre, une occasion d'entendre un autre récit de ces mois noirs que celui fourni par le gouvernement et les grands médias.
Portez-vous bien,
Rodolphe Bacquet
[1] Teaser « En Marche ou crève » : https://www.youtube.com/watch?v=D4yFi16sXss
[2] Réservations au 06 83 46 92 09 ou à centrededanse.pulcinella@orange.fr
[3] Page Facebook Les Indispendues, https://m.facebook.com/profile.php?id=100087627916585&eav=AfYjrwpou2-GyFkheoZPsBidrBznnaE1lZ7f7LE1lMpfXugRrKt4iujru8-pj4Phquo&tsid=0.844102495939052&source=result
CitationL'année dernière, pour la première fois depuis 1900, le nombre de décès a dépassé celui des naissances aux Pays-Bas. C'est ce qu'indique une estimation de Statistics Netherlands. La population a néanmoins augmenté, en raison du nombre élevé de migrants venant aux Pays-Bas.NOS [Nederlandse Omroep Stichting]
Les taux de natalité et de mortalité sont proches, 168 000 bébés ont vu le jour l'année dernière, tandis que 169 000 personnes ont perdu la vie.
« Le fait que vous ayez pour la première fois une diminution naturelle de la population est assez spécial », a déclaré Dick ter Steege de CBS au NOS Radio 1 Journaal. Le bureau des statistiques n'a jamais vu cela auparavant. Du moins pas depuis 1900, l'année pour laquelle CBS dispose des données comparables les plus anciennes.
Corona
Les chiffres de décembre n'étaient pas encore connus. Pour ce mois, CBS s'est appuyé sur une estimation afin d'être encore en mesure de présenter les chiffres de la population en janvier. C'est ainsi que cela se passe chaque année, et les prévisions de décembre sont généralement justes, selon Ter Steege.
La surmortalité est en partie constituée de victimes de coronavirus, mais aucune explication n'a encore été trouvée pour une partie d'entre elles. Même pendant la Seconde Guerre mondiale, le nombre de naissances était supérieur au nombre de décès.
Il n'est pas encore certain que la contraction se poursuive. « Nous constatons que les naissances diminuent depuis des années et que les décès augmentent également, mais ces trois dernières années, ces décès ont été un peu plus élevés à cause de la couronne », explique Ter Steege. « Donc, dans ce sens, cette baisse pourrait être temporaire. Si la surmortalité passe l'année prochaine, le nombre de bébés sera à nouveau un peu plus élevé que le nombre de personnes qui meurent. »
Migration
Malgré le déclin naturel, la population a tout de même augmenté grâce à la migration. En fait, la croissance a presque doublé par rapport à l'année précédente. En 2021, elle a ajouté 115 000 habitants ; l'année dernière, l'augmentation était de près de 227 000. Au total, les Pays-Bas comptent désormais plus de 17,8 millions d'habitants.
L'année dernière, un nombre record de migrants est arrivé dans notre pays : 402 000. C'est 150 000 de plus qu'un an auparavant.
En particulier, la guerre en Ukraine contribue à l'augmentation substantielle du nombre de migrants. C'est surtout dans les premiers mois qui ont suivi l'invasion de la Russie (24 février 2022) qu'un nombre relativement important de personnes sont venues aux Pays-Bas.
Les réfugiés ukrainiens se sont répandus dans presque toutes les municipalités. Renswoude (Utrecht), Gennep (Limbourg) et Pekela (Groningue) ont accueilli relativement le plus de nouveaux arrivants de ce pays : plus de 20 pour mille habitants.
Dans les cinq principaux groupes de migrants qui sont venus aux Pays-Bas l'année dernière, la Syrie, la Turquie et l'Inde occupent les places deux à quatre. Un an plus tôt, les Polonais constituaient encore le deuxième groupe de nouveaux arrivants après les Syriens. Mais les migrants polonais constituent désormais le cinquième groupe de nouveaux arrivants aux Pays-Bas.
Il est difficile de prévoir si les migrants continueront à venir aux Pays-Bas au même rythme, selon Ter Steege. « Lorsqu'il s'agit de migration, nous ne savons en fait jamais ce qui va se passer. Nous constatons ces dernières années que la migration est vraiment élevée. Il y a beaucoup de travail aux Pays-Bas, on peut y étudier, notre pays a donc un grand attrait. Mais ce qui se passera avec les personnes venant d'Ukraine, par exemple, nous ne le savons pas, cela dépend beaucoup de la situation en Ukraine même. Peut-être qu'ils y retourneront, et peut-être pas. »...