Non au "pass nazitaire", non à l'injection d'immuno-toxiques aux enfants !
CitationLe paramètre pertinent pour l'évaluation de l'efficacité de la protection naturelle (suite à une 1ère infection à SARSCoV2), ou vaccinale, est la protection contre les formes graves.Cette connaissance est importante pour pouvoir anticiper l'impact réel d'une « vague » de contaminations mais aussi juger du bénéfice individuel ajouté par la vaccination ou des rappels supplémentaires, maintenant qu'une large part de la population est naturellement immunisée. On trouve par exemple des anticorps contre le SARS-CoV2 chez 99% des enfants non vaccinés de 11-15 ans depuis le mois d'avril 2022 en Angleterre1.
CitationC'est malheureusement ce type de données qu'a utilisées la DREES (Ministère de la Santé et de la Prévention) pour publier un modèle médiocre d'efficacité vaccinale visant à promouvoir les doses de rappel en début d'année.Il faut également distinguer les individus ayant été précédemment infectés ou non pour juger de la valeur ajoutée de la vaccination ou des rappels, contrairement à la récente étude EPI-PHARE qui mélange ces deux catégories2.
CitationCependant, on peut déjà voir sur les données non ajustées que la fréquence de Covid graves chez ces individus (« recovered unvaccinated ») est très faible, y compris chez les personnes âgées, en comparaison de ceux ayant reçu 2 ou 3 doses.
CitationContrairement aux données de Santé Publique France notamment, les cas hospitalisés sont rigoureusement attribués ou non à la Covid lors de la relecture des dossiers par des cliniciens.Résultats : Malgré la possibilité de réinfections, il n'est pas décelé de décroissance de l'immunité naturelle contre la Covid grave.
CitationLa protection conférée par une précédente infection contre la Covid grave, reste forte et stable proche de 100% y compris avec Omicron, et ceci à plus de 14 mois de la 1ère infection.
CitationDe façon intéressante, les personnes ayant reçu une dose de vaccin plus récemment (<3 mois) ont plus tendance à développer des symptômes persistants8.
CitationSelon les résultats apportés par la cohorte dite « qatarie », la protection conférée par une précédente infection contre la Covid grave, reste forte et stable à travers le temps et les variants, proche de 100% y compris avec Omicron.Conclusion
CitationJe souscris à l'idée que l'épidémie de covid n'est pas terminée, et la vaccination reste un enjeu essentiel. Il importe de faire en sorte que les personnes vaccinées complètent leur schéma vaccinal, et ce en dépit des mots d'ordre qui circulent, notamment sur les réseaux sociaux. La vaccination reste en effet le moyen privilégié pour éviter les formes graves de la maladie ainsi que, dans un nombre non négligeable de cas, la contamination elle‑même.Cette suite d'affirmations totalement conforme à la propagande de la caste, OMS en tête, est devenue une sortie de rituel obligé pour prouver que l'on n'est pas complotiste.
CitationTous les jours, des personnes meurent encore en France de cette maladie, dont une grande partie est d'ailleurs vaccinée, mais vulnérable au virus.Est-ce parce que, désormais, "une grande partie" des personnes qui meurent du virus sont des vaccinées que les parlementaires se sont mis d'accord pour ne plus pousser au vaccin ?
CitationMais à y regarder de plus près, j'ai constaté que le vaccin était de moins en moins efficace non pas pour prévenir les formes graves de la maladie, mais pour faire barrière aux contaminations. En France, ce sont aujourd'hui très majoritairement des personnes vaccinées qui contractent la maladie et la transmettent. Le vaccin fait barrage dans un tiers des cas. Le test présente donc actuellement une efficacité supérieure. C'est la raison – et la seule raison ! – pour laquelle la commission des lois du Sénat, puis le Sénat dans son ensemble ont décidé que, dans cette circonstance exceptionnelle, seul un test négatif soit exigé, plutôt qu'une preuve de vaccination à jour. La durée du test dépendra du nouveau variant – soixante‑douze heures, trente-six heures, vingt-quatre heures..."À y regarder de plus près"... Philippe Bas semble donc avoir découvert que la très abondante littérature complotiste sur l'inefficacité du vaccin n'était pas dénuée de fondement. Le vaccin ne ferait "barrage" que dans un tiers des cas à la contamination. Voilà pourquoi, officiellement, le Sénat s'oppose au rétablissement du certificat de vaccination (alors même que la Commission Européenne l'a imposé)...
CitationQuant au principe de s'en tenir aux tests pour limiter la propagation du virus – le vaccin demeurant ce qu'il y a de plus efficace pour en limiter la dangerosité –, un amendement similaire avait été déposé par mon groupe à l'Assemblée nationale."Le vaccin demeurant ce qu'il y a de plus efficace"... une fois de plus, un député (LFI, en l'espèce) sacrifie à la religion officielle en expliquant que, le vaccin étant le plus efficace, on abandonne le certificat vaccinal pour lutter contre la pandémie.
CitationLa vaccination ne protège pas seulement contre les formes graves de la covid, elle diminue également la transmission et donc la circulation virale. J'avais déposé sur ce sujet un amendement au nom de mon groupe qui n'a pas été retenu.Pour certains élus, la liberté d'opinion et de conscience relève toujours du discours anti-vax et des "fausses informations". Belle leçon de démocratie.
Derrière cette mesure, je relève que les discours « antivax » et les fausses informations ont circulé de manière libérée dans l'hémicycle hier. Pour notre haute assemblée, certains propos ont été regrettables : ils n'encouragent pas à poursuivre la vaccination, que l'on sait pourtant protectrice.
CitationDeuxièmement, je regrette la disparition de la preuve vaccinale pour le contrôle sanitaire aux frontières. Cela fait prévaloir le test sur le vaccin, ce qui, je le pense, n'est pas une bonne nouvelle.
CitationSelon certains, il faudrait rétablir le passe vaccinal pour ne pas déconsidérer le vaccin et ne pas dissuader les gens de se faire vacciner. Arrêtons-en avec les logiques trop théoriques ! L'efficacité commande que nous nous adaptions à l'évolution de la situation, en ne restant pas crispés sur des positions qui étaient très justifiées voici un an, mais qui ne le sont plus aujourd'hui."L'efficacité commande que nous nous adaptions à l'évolution de la situation"... mais quel est ce charabia ? De quelle évolution s'agit-il, sinon de la prise de conscience, au moins au Sénat, des dangers d'un vaccin inefficace, dont l'administration produira un scandale sanitaire au moins aussi violent que l'affaire du sang contaminé – scandale dont nos élus tentent de se prémunir aujourd'hui....