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Non au "pass nazitaire", non à l'injection d'immuno-toxiques aux enfants !

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#31
Fraudes d'ordre sanitaire / Le Dr Peter McCullough a témoi...
Dernier message par Ouebmestre - 21 Septembre, 2023, 23:37:03
Le Dr Peter McCullough a témoigné au Parlement européen à Strasbourg sur la gestion de la Covid-19, l'OMS et les vaccins anti-Covid




par Sam la Touch

Le Dr Peter McCullough a témoigné au Parlement européen à Strasbourg, présidé par Christine Anderson.

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Le Dr McCullough a prononcé un discours devant le Parlement de l'Union européenne le 13 septembre 2023, lors d'une séance consacrée à l'Organisation mondiale de la Santé et à la réponse à la pandémie. Quatre avocats et cinq scientifiques ont fait des exposés. Le discours du Dr McCulllough s'articulait autour de trois grands concepts :

Le complexe (OMS) a infligé la terreur mondiale à travers trois faux récits :

1. L'infection au SRAS-CoV-2 est inattaquable. Elle ne peut pas être traitée et ne le sera pas. Les seules réponses de santé publique sont la distance sociale, le confinement et le port du masque, et la prise de vaccins génétiques tous les six mois sans fin en vue.

2. Les vaccins contre la COVID-19 sont sûrs et efficaces, et aucune question ne peut être posée par le milieu universitaire, les médias grand public ou les pairs.

3. Le bilan humain massif des blessures, des invalidités et des décès causés par la protéine Spike provient de l'infection au coronavirus, et non de l'accumulation de codes d'ARNm synthétiques pour la production et la circulation cellulaires de la même protéine Spike de longue durée.

Écoutez «The McCullough Report» entendu sur l'America Out Loud Talk Radio Network. Il y a toujours beaucoup à apprendre à America Out Loud :

CitationRumble
NOTICE TO USERS IN FRANCE

Because of French government demands to remove creators from our platform, Rumble is currently unavailable in France. We are challenging these government demands and hope to

restore access soon.

Extraits :

«L'OMS a joué un rôle négatif dès le début, trompant le monde sur les origines du SRAS-CoV-2... ils ont effectivement créé un environnement de nihilisme scientifique...»

«Les vaccins ont ravagé la population mondiale... le code génétique de la protéine potentiellement mortelle du virus.  C'était la pire idée jamais vue d'installer le code génétique par injection, et de permettre la production débridée d'une protéine potentiellement mortelle dans le corps humain pour une durée incontrôlée.

Tout ce que nous avons appris sur les vaccins depuis leur sortie est horrible. Il n'y a pas une seule étude montrant que l'ARN messager est décomposé. Parce qu'il est pseudo-uridinifié. Il est fabriqué synthétiquement. On ne peut pas le décomposer. Il n'y a pas une seule étude qui montre qu'il quitte le corps.

Nous avons maintenant des papiers de [Kestroyuda-sp ?] qui démontre que l'ARN messager circule pendant un mois.

Nous avons la protéine de pointe – la protéine létale des vaccins – trouvée dans le corps humain après la vaccination, circulant au moins pendant six mois, sinon plus, et si les gens prennent une autre injection dans six mois, c'est une autre installation, et plus circulant, protéine de pointe potentiellement mortelle...

...La protéine de pointe est prouvée comme responsable de quatre grands domaines de la maladie dans 3400 manuscrits évalués par des pairs.

La première est la maladie cardiovasculaire : l'inflammation du cœur, ou myocardite. Tous les organismes de réglementation sont d'accord pour dire que les vaccins causent la myocardite.

Je suis cardiologue. Quand il y a une myocardite, les gens ne peuvent pas faire de l'athlétisme. Cela va causer un arrêt cardiaque. Et pourtant, en Europe et aux États-Unis, les ligues sportives injectent des jeunes qui n'ont aucune nécessité médicale, aucune indication clinique, et nous avons vu une augmentation d'arrêts cardiaques chez les jeunes.

Je vous dis – en tant que cardiologue expert – que ces arrêts cardiaques sont dus au vaccin contre la COVID-19 jusqu'à preuve du contraire. Ils le sont.

Le domaine cardiovasculaire des dommages causés par le vaccin au corps humain est considérable. Plus que tout ce que nous avons jamais vu avec le cholestérol, l'hypertension artérielle ou le diabète...

... Le deuxième domaine est la maladie neurologique. AVC, à la fois actif et hémorragique, syndrome de Guillain-Barre, paralysie ascendante, qui peut conduire à la mort, et qui a conduit à la mort, avec des vaccins à ARN messager. Ce qui est accepté par tous nos organismes de réglementation. Neuropathie des petites fibres, engourdissements et picotements, bourdonnements dans les oreilles, maux de tête. Ils sont tous communs...

... Les caillots de sang. Les caillots de sang comme nous n'en avons jamais vu auparavant. La protéine de pointe est la protéine la plus thrombogène que nous ayons jamais vue en médecine humaine. On le trouve dans les caillots sanguins.

La protéine de pointe provoque des caillots de sang. Les caillots de sang sont plus gros et plus résistants aux anticoagulants que nous n'en avons jamais vus en médecine humaine. J'ai des patients qui ont des caillots sanguins depuis deux ans maintenant et ils ne se dissolvent pas avec des anticoagulants conventionnels à cause de ces vaccins.

Nous ne pouvons pas sortir ces [caillots] du corps. [Probablement parce que] nous ne pouvons pas obtenir l'ARN messager ou la protéine de pointe hors du corps, car elle est continuellement produite...

... Le quatrième et dernier domaine : les anomalies immunologiques. La thrombocytopénie thrombotique induite par la vaccination et le trouble inflammatoire multisystémique sont des syndromes aigus précoces, bien décrits, publiés, ils ont leurs propres acronymes, tous acceptés par les agences».

«Ainsi, vous tous dans la salle et vous qui écoutez en ligne vous demandez : Est-ce moi ? Est-ce un membre de ma famille ? Est-ce mon être cher ? Qui sera le prochain à partir après le vaccin ? Nous avons vu des arrêts cardiaques deux ans après ces injections. Deux ans.

Je suis l'auteur principal de la plus grande étude d'autopsie jamais réalisée sur le décès après la vaccination contre la COVID-19. À l'échelle mondiale. Nous avons recherché la littérature, 600 articles, tous les résultats cliniques, nous les avons examinés avec des connaissances contemporaines, [en utilisant] des experts en pathologie et en médecine clinique.

Notre conclusion : 73,9% des décès après la vaccination sont dus au vaccin. Quand on soupçonne une myocardite, elle est 100% du temps liée au vaccin...

... Le premier faux récit était que le virus est inattaquable, nous devons rester en confinement et avoir peur. Le deuxième faux récit est de prendre un vaccin, c'est sûr et efficace. Nous voyons maintenant un troisième faux récit. Le troisième faux récit est : ce n'est pas le vaccin qui cause ces problèmes, c'est la covid».

source : Le Blog Sam La Touch

envoyé par André Legrand
#32
Fraudes d'ordre sanitaire / Haro sur l’ivermectine
Dernier message par Ouebmestre - 18 Septembre, 2023, 19:42:43
Haro sur l'ivermectine




par Gérard Maudrux

Décidément l'ivermectine est un produit dangereux... pour l'industrie pharmaceutique.

Avec les nouvelles vagues de grippes «coronaires» qui peuvent se succéder, il ne faudrait pas qu'il vous prenne l'envie de prendre un petit cachet. Un vaccin existe, et si vous avez besoin de soins, il faut se faire piquer, même si tout le monde sait maintenant qu'il ne fera rien.

Pour cela la guerre anti-ivermectine est relancée, chez nous par la revue Prescrire, reprise par le Vidal. «ATTENTION, L'IVERMECTINE EST UN PRODUIT MORTEL !» Pourtant les chiffres de la pharmacovigilance, qui ne mentent pas, disent que c'est le médicament le moins dangereux de tous, infiniment moins que le Doliprane, l'Aspirine ou la Pénicilline.

Commençons par Prescrire : «Attention à l'ivermectine, ce produit peut tuer via des manifestations cutanées sévères».



Sur quelles bases scientifiques se fonde la revue Prescrire pour cette sévère mise en garde ? Elle cite trois sources, deux de l'EMA, Agence Européenne du Médicament, et un article du Journal of Dermatology de 2022. Voyons donc ces sources.

L'EMA ? Vous vous souvenez, cet organisme financé à 86% par l'industrie pharmaceutique, et qui a émis un avis défavorable sur l'ivermectine, sur la foi d'un dossier qui montrait que l'ivermectine diminuait la mortalité Covid de 80% ?

Quelle source fiable venant de Prescrire ! En effet Prescrire se targue de ne pas avoir de conflit d'intérêt, n'ayant pas de lien financier avec l'industrie pharmaceutique. Dans ces conditions utiliser comme source principale des organismes liés jusqu'au cou par cette industrie est-il crédible, honnête ? C'est un détournement qui abuse le lecteur. C'est comme acheter des produits venant de Chine dans un magasin en France, en prétendant que je n'achète jamais de produit chinois, mais français.

Première source : EMA «Scientific conclusions and grounds for the variation of the terms of the Marketing Autorisation(s) holder – ivermectin». Mai 2023. On retrouve cette note de l'EMA ici, cette note signale simplement qu'il faut rajouter la possibilité d'EI cutanés pouvant être graves, car cette mention n'existait pas avant. Les notices des médicaments, qui font plusieurs pages, auront 3 lignes de plus. Rien sur la fréquence, aucun article scientifique cité. C'est un peu du même style que l'hydroxychloroquine classée substance vénéneuse début 2020, découverte faite après 40 ans de services.

Seconde source : EMA «Rapports sur les effets indésirables suspectés des médicaments pour les substances – ivermectine». Site adreports.eu consulté le 12 mai 2023.

Je suis donc allé sur adreports.eu, «Base de données européenne des rapports d'effets indésirables, susceptibles d'être liés à l'utilisation de médicaments», et à Ivermectine, on a tous les effets indésirables depuis que la base existe, comme pour Vigiaccess souvent cité ici. 888 déclarations concernent les problèmes cutanés qui nous concernent ici. Je n'ai pas trouvé de Syndromes de Lyell, mais 28 Stevens-Johnson, dont 6 fatals.

Rappelons que ce ne sont que des événements suspectés, dont la corrélation n'est pas prouvée, et rappelons aussi que dans son communiqué anti-ivermectine, Merck avouait que la plupart des incidents attribués à l'ivermectine, étaient dus à la libération de toxines par les parasites tués par l'ivermectine (trop rapidement efficace), pas au produit lui-même. Il faudrait donc nous préciser, dans toutes ces affirmations concernant l'ivermectine, dans quelles indications on a constaté ces EI. La notice de Mylan à ce sujet est très claire : «Les effets indésirables sont généralement peu graves et de courte durée. Ils peuvent se produire plus facilement chez les sujets infestés par plusieurs parasites. Ceci est particulièrement vrai chez les patients qui ont le ver «Loa loa».... Les effets indésirables dépendent de la maladie pour laquelle vous prenez Ivermectine Mylan 3 mg, comprimé. Ils dépendent également de la présence ou non d'autres infections».

Par curiosité, je suis allé voir ce que dit adreport sur le doliprane : 77 457 effets indésirables déclarés, dont 17 124 pour des problèmes cutanés, avec 751 Stevens Johnson avec 34 décès. Est-ce mentionné sur la notice ?

Bien évidemment on n'a pas le nombre de doses pour réellement comparer.

Tout médicament a des effets pouvant être graves, mais on peut affirmer, ce que ne fera pas Prescrire, que vous avez plus de chances de faire un syndrome de Lyell ou un Stevens Johnson avec une cacahuète qu'avec de l'ivermectine, qui est LE produit qui présente le moins de décès de toute la pharmacopée, surtout en regard de l'efficacité et du panel de modes d'actions. Quant aux vaccins, qui ne semblent pas inquiéter Prescrire, des centaines d'articles existent rien que sur les EI cutanés. Un petit aperçu ici et . Une vraie galerie des horreurs.

Qu'en pense Prescrire ?

Enfin troisième source, une publication médicale, qui recense aux USA dans la base de données des évènements indésirables pour l'ivermectine, sur 7 ans, 411 déclarations d'EI, dont 7 Stevens Johnson avec 2 décès. Là encore, on ne sait pas si ces EI sont liés à la destruction massive de parasites ou liés au médicament.

Que sont ces cas et ces morts ? Je suis allé voir toutes les sources de cet article. Ici, c'est un Stevens Johnson chez un Camerounais, également porteur du VIH, bien connu pour ce type d'EI. On peut lire dans cet article : «Le syndrome de Stevens-Johnson est l'une des manifestations des effets indésirables cutanéomuqueux des médicaments. Bien que les antimicrobiens soient responsables de plus de 50% de ces effets indésirables des médicaments, il n'existe aucun cas documenté impliquant l'ivermectine comme coupable». (2017). c'est un DRESS (Drug reaction with eosinophilia and systemic symptoms), un cas, signalé comme très rare avec l'ivermectine, car non décrit dans la littérature (2018). Encore, un cas, signalé comme très rare. Ici encore, ce sont 177 cas de Steven Johnson étudiés en dermatologie, avec 22 décès dont 16 VIH. Les causes sont médicamenteuses, aucune n'est due à l'ivermectine, non citée. Les autres articles sont sans rapport avec le sujet : mise en garde concernant les EI cutanés de l'ivermectine. Il y en a même un où on peut lire : «Après plus de 25 ans d'utilisation, l'ivermectine continue d'offrir une marge de sécurité élevée pour un nombre croissant d'indications basées sur ses activités antiparasitaires et anti-inflammatoires».

Pour résumer, aucune raison d'être alarmiste avec ces sources scientifiques. Phénomène très, très rare. Quant au syndrome de Lyell dénoncé par Prescrire, il semble qu'il n'y ait aucun cas décrit dans la littérature et dans les organismes de pharmacovigilance ! J'ai aussi mis les dates des articles, car on peut s'apercevoir que ce n'est qu'après 40 ans d'utilisation et avec l'arrivée du covid, que l'on signale ce «danger», alors qu'il n'y a aucun cas décrit dans la littérature concernant covid, ivermectine et décès, que ce soit d'origine cutanée ou autre. L'agence de pharmacovigilance belge a fait de même, ayant mis 40 ans pour signaler ce «danger», uniquement lorsque cela a été prescrit pour le covid ! Cherchez l'erreur.

Le Vidal a suivi Prescrire avec une nouvelle page :



Rappelons que la base de données de l'OMS, Vigiaccess, recense sur 35 ans 26 décès sur 5 milliards de prescriptions d'ivermectine.

Oui on peut faire une réaction mortelle avec l'ivermectine, mais moins qu'avec n'importe quel produit, et moins qu'avec des cacahuètes (première cause de décès par allergie alimentaire). Faire croire pour cela que c'est un produit potentiellement mortel, c'est comme dire qu'il ne faut plus monter dans une voiture parce que quelque part une voiture a pris une météorite sur la tête, et que vous risquez d'avoir la même chose.

À mes patients qui stressaient d'avoir une anesthésie générale, je répondais que oui il y avait des accidents, mais que statistiquement, ils avaient 100 fois plus de chances de mourir en traversant la route en sortant de mon cabinet qu'en se faisant endormir, et que cela ne les empêchait pas de traverser, sans y penser. Cela les rassurait toujours. Ici, on cherche au contraire à faire peur. Pour quoi ? Pour qui ?

source : Covid : Fait et Chiffres

#33
Fraudes d'ordre juridique / Ordre des Médecins, ça va mal ...
Dernier message par Ouebmestre - 18 Septembre, 2023, 16:18:39
Ordre des Médecins, ça va mal finir

par AIMSIB

En ce début septembre 2023, l'incendie de la révolte semble se propager à toute la communauté médicale francophone. En Belgique d'abord, où les sanctions ordinales qui accablent les médecins vraiment attachés au sort de leurs patients prennent la plume en dénonçant «une dérive mafieuse» de leurs représentants. Naissance de l'Ordre Universel des Professions de Santé également, bravo à lui, qui s'attachera à rejuger les médecins condamnés. Au Québec ensuite, où un «médecin de la base» réclame avec insistance à ses autorités de tutelle que le sujet de la vaccination Covid soit enfin analysée avec indépendance. Du Luxembourg enfin, où le Dr Benoît Ochs est enfin parvenu à démontrer que sa condamnation n'avait été obtenue qu'au prix d'un incroyable déni de justice. Pendant ce temps-là, en France, le rouleau compresseur ordinal s'emballe toujours plus, deux ans d'interdiction d'exercice contre un médecin qui s'élevait contre la dangerosité du Gardasil, pour «avoir manqué à son obligation déontologique d'apporter son concours à l'action entreprise par les autorités compétentes en vue de la protection de la santé et de l'éducation sanitaire» (*). La liberté ou la soumission, la belle médecine ou le fric à tous les étages, et cette colère qui monte partout... Bonne lecture.

1- Belgique : Lettre ouverte d'un collectif de médecins envoyée à la Presse et à l'Ordre

Bruxelles, le 13 septembre 2023

MISE EN DEMEURE de l'ORDRE DES MÉDECINS et des dirigeants des Ordres régionaux et de l'Ordre national. ENVOIS par courriers recommandés et par courriers ordinaires. Copie envoyée à la Presse.

Messieurs les Présidents, vice-Présidents et Membres effectifs des Ordres des Médecins régionaux et national,
La confiance en notre Ordre a atteint un point de rupture...

Des milliers de médecins ont accepté, jusqu'à aujourd'hui, de se conformer à la Doxa et à la censure imposées par des autorités de santé manifestement sous emprise des grands laboratoires pharmaceutiques et de leurs «experts».

Par prudence, par soumission, pour éviter des ennuis, nous avons longtemps accepté de nous taire et d'obéir. Mais avec nos patients, dans la discrétion de nos cabinets, prudemment, à demi-mot, nous étions déjà nombreux à émettre des doutes et des nuances par rapport au discours officiel que ces autorités tentent de nous imposer.

Nous constatons, parmi nos confrères toujours plus nombreux, une profonde perte de confiance dans l'intégrité et la vraie déontologie du système médical actuel dont l'Ordre des Médecins est censé être le garant.

La colère gronde, parmi les médecins, appelant à un changement radical et immédiat du comportement de notre Ordre faute de quoi nous n'aurons plus d'autre choix que de saisir la Justice, afin de préserver la sécurité de nos patients et afin d'établir les responsabilités pénales et civiles des membres de l'Ordre, à titre collectif et/ou individuel.

Depuis de nombreuses années et encore beaucoup plus gravement depuis mars 2020, il est devenu manifeste que notre Ordre ne nous représente plus, ne défend plus ni la noblesse de l'art de la Médecine, ni les médecins, ni les patients. Cet Ordre est devenu incontestablement le bras armé de la toute puissante industrie pharmaceutique.

Cette industrie est dominée par quelques multinationales devenues plus puissantes que les Etats et qui leur dictent leurs décisions, via leurs cabinets de consultance et leurs experts à leur service qui ont infiltré les autorités de santé nationales et supranationales.

Se prétendant être au service de la santé des patients, cette industrie est en réalité au seul service des actionnaires des laboratoires pharmaceutiques qui brassent plus de 1200 milliards de dollars par an, dont une grande partie sert à financer le lobbyisme, la propagande marketing et les financements octroyés aux hôpitaux, aux journaux médicaux et aux experts qui, en leur mangeant dans la main, perdent toute liberté de paroles.

Cette industrie pharmaceutique décide insidieusement de la réussite des carrières d'experts qui abondent dans le sens de ses intérêts financiers, docilement, hypocritement, en suivant l'adage de bon sens qu'on ne mord pas la main qui nous nourrit !

Nous, médecins de terrain, qui voyons souffrir et mourir nos patients, nous ne pouvons plus tolérer que nos pratiques thérapeutiques soient dictées par des experts bourrés de conflits d'intérêts passant du privé au public, travaillant simultanément ou en alternance, au service de l'industrie et au service des autorités de santé publique.

Nous ne pouvons plus tolérer que des chefs de services d'hôpitaux arrosés massivement par les laboratoires pharmaceutiques terminent leurs carrières au sommet de l'Ordre des médecins et nous mènent à la baguette pour nous contraindre à devenir les simples prescripteurs des traitements les plus lucratifs pour plaire à l'ogre pharmaceutique.

Le «Lancet Gate» avait pourtant dévoilé aux yeux du monde scientifique à quel point même les plus grands journaux médicaux sont gangrenés par une corruption intolérable qui travestit la science, avec des données falsifiées, discréditant les molécules anciennes, au profit des produits encore sous brevets qui procurent des bénéfices royaux.

La Justice a eu beau frapper de très lourdes sanctions, jusqu'à plusieurs milliards de dollars d'amendes, des multinationales comme PFIZER, condamnées pour publicité mensongère, tromperie et études faussées, l'Ordre des Médecins a malgré tout continué à faire mine d'ignorer cette gangrène de la corruption et des conflits d'intérêts qui détruit notre métier et la qualité de nos soins, au détriment de la santé et de la vie de nos patients.

Des associations de journalistes comme OPEN PHARMA ont eu beau mettre en lumière les financements privés qui amènent des institutions comme l'OMS et SCIENSANO à être sous l'emprise du diktat des grands labos, l'Ordre a continué à dérouler le tapis rouge devant la propagande marketing de ces firmes cyniques, obsédées par leurs seuls profits financiers, comme si cette propagande représentait la Science et la Vérité absolue.

La loi impose à tous les médecins, y compris aux dirigeants de l'Ordre, à déclarer leurs conflits d'intérêts pour tenter de s'opposer à cette gangrène. Mais notre Ordre n'a vu aucun inconvénient à ce que soit nommé vice-président de l'Ordre national, un médecin (photo), le docteur Christian Melot, qui déclare ses conflits d'intérêts dans le domaine de la vaccinologie, tout en se vantant, dans la presse, de persécuter des dizaines de médecins qui ont osé émettre des critiques concernant la faible efficacité et la toxicité des injections expérimentales anti-Covid.

Comment peut-on être simultanément juge et partie ?

La Loi de 2002 sur la protection des patients nous impose, à nous médecins, d'informer nos patients, de manière complète, pour obtenir leur consentement libre et éclairé. Une circulaire de l'Ordre nous a imposé le contraire, dès janvier 2021, en plein début d'une expérimentation médicale de masse, en nous menaçant de sanctions sévères si nous n'assurions pas la «promotion» inconditionnelle de ces injections expérimentales.

Non seulement l'Ordre nous contraint à enfreindre la Loi, ce qui est déjà d'une gravité extrême, mais ce qui est encore plus indécent, c'est que vous nous forcez à piétiner l'essence même de notre métier, du service dévoué à nos patients, de la balance bénéfices/risques, du Primum Non Nocere. C'est l'esprit et le cœur même de notre Serment d'Hippocrate que vous nous forcez à trahir.

Les études scientifiques avaient déjà mis en lumière depuis 20 ans qu'une immunité collective est impossible avec les coronavirus pour lesquels les mutations sont bien trop rapides, les vaccins imparfaitement immunisants et la mémoire immunitaire trop courte, sans même mentionner le réservoir animal de ces virus les faisant ressurgir sans cesse. Malgré ces évidences scientifiques, l'Ordre a fait mine de croire dans le dogme d'une vaccination miraculeuse de toute la population, avec une nouvelle technologie prétendument sûre et efficace, alors que, depuis 20 ans, l'ARN messager avait montré son absence de fiabilité et sa dangerosité.

Malgré que des médecins lanceurs d'alerte vous ont informé inlassablement des graves effets secondaires de ces injections expérimentales qu'ils constatent parmi leur patientèle, malgré nos tentatives répétées d'ouvrir le dialogue avec l'Ordre des médecins, nous constatons que vous conservez une rigidité extrême dans votre posture et que vous restez radicalement fermés à tout débat déontologique, fermés à la liberté d'expression et à la liberté thérapeutique.

Pire que tout ce que nous aurions pu imaginer de la part de notre Ordre, censé défendre la déontologie médicale, nous constatons que vous continuez, avec acharnement, à persécuter des dizaines de nos confrères les plus consciencieux en les sanctionnant lourdement, un par un, les privant du droit d'exercer la médecine pour des durées de trois mois à deux ans, simplement parce qu'ils ont osé émettre des critiques envers la gestion de la crise sanitaire et qu'ils ont alerté la population sur les risques des injections expérimentales à ARN messager produisant une protéine SPIKE toxique.

Suite à la censure que vous nous avez imposée, nos concitoyens ont été injectés pratiquement de force, sans l'obtention de leur consentement libre et éclairé, sans avoir été informés des risques encourus. Les conséquences de cette politique désastreuse sont maintenant criantes, sous nos yeux. Nous le constatons quotidiennement chez nos patients, toujours plus nombreux, qui sont abîmés, voire détruits par ces produits faussement appelés «vaccins».

Comment pouvez-vous encore nier la dangerosité et la très faible efficacité de ces injections géniques expérimentales et leur balance bénéfice-risque défavorable ? Ce pseudo-vaccin tue ou handicape plus que le virus initial dont la gravité s'est, par ailleurs, fortement atténuée avec Omicron.

Le dérèglement du système immunitaire causé par ces pseudos-vaccins est manifeste avec une auto-immunité provoquée par la synthèse d'une protéine virale qui pousse notre système immunitaire à considérer nos propres cellules comme étant étrangères.

Nous, médecins de terrain, constatons une forte augmentation des troubles gynécologiques, des myocardites, des Guillain-Barré, des névrites, des rechutes de maladies auto-immunes en rémission, mais également la réapparition d'infections auparavant sous contrôle telles que Lyme, zonas, mononucléoses, CMV...

Nous constatons également la réapparition de cancers en rémission, l'apparition de cancers de novo à progression très rapide appelés «turbos cancers» avec un mécanisme d'action d'altération de la balance IgG4/IgG2 avec suppression de plusieurs mécanismes de défense antitumorale.
L'Ordre des médecins entend-il vraiment poursuivre la censure sur ces informations vitales qu'il est pourtant urgent de transmettre à la population pour l'informer des risques de cette expérience médicale désastreuse ?

Comment l'Ordre a-t-il pu exiger de notre part de violer le principe de précaution (Primum non nocere), d'autant plus avec des produits expérimentaux sur une population saine, sur des enfants, des jeunes, des femmes enceintes mettant en danger leur santé et leur vie, ainsi que celles de leurs fœtus ?

Comme l'a exprimé l'Ordre des Médecins en France, lors de l'audition du professeur Christian Perronne, il était pourtant du devoir des médecins lanceurs d'alerte, d'informer la population. Cet Ordre en France a indiqué clairement que le prétendu «devoir de réserve du médecin» n'est pas d'application, lorsque la santé et la vie de la population sont en jeu.

Dans le cas contraire, comment aurions-nous pu mettre un terme aux scandales sanitaires du passé, du Softenon au Mediator, des prothèses PIP au scandale des Opioïdes qui ont fait tant de victimes, jusqu'à ce que des médecins lanceurs d'alerte fassent éclater la vérité ?

En conclusion, par votre politique de la terreur, l'Ordre des médecins se rend coupable de harcèlement des lanceurs d'alerte (faute punissable pénalement), de censure du débat scientifique et, en conséquence, de mise en danger de la vie d'autrui, nous privant du droit fondamental d'informer nos patients et la population sur les dangers de cette expérience médicale à grande échelle. Nous ne pouvons plus tolérer votre attitude de harcèlement de nos confrères intègres et consciencieux qui n'ont pourtant fait que respecter la Loi et l'essence même de notre Serment. Vous croyez-vous vraiment au-dessus de la Loi, au-dessus de toute Science et de toute logique ?

Pour que vous ne puissiez pas feindre votre ignorance, nous vous soumettons à nouveau, à la fin de cette lettre ouverte, une vingtaine de publications que vous devriez, en tout état de cause, déjà avoir reçues et lues et qui relèvent de la science non-subsidiée et non pas des recommandations venant «d'experts» sous emprise de l'industrie pharmaceutique.

Nous sommes consternés que vous n'ayez pas encore pris en compte les nombreux messages que nous vous avons envoyés, lors de ces trois dernières années. Nous vous avons imploré à de nombreuses reprises d'enfin ouvrir les yeux. Vous n'avez rien voulu voir et rien voulu entendre.
Où cela va-t-il s'arrêter ? Que faites-vous des faits réels, de la souffrance et des nombreux morts qui auraient pu être évités avec une prise en charge précoce de la Covid et avec une information loyale et complète sur les dangers des injections expérimentales à ARNm ?

Que vous faut-il pour mettre un terme à cette persécution intolérable contre nos confrères intègres qui respectent la Loi de 2002 et leur Serment d'Hippocrate et que vous suspendez les uns après les autres de leur droit d'exercer la médecine, sous prétexte de délits d'opinion ?
Souhaitez-vous vraiment une nouvelle «science» de la pensée unique se pliant aux décisions imposées par de prétendus experts au service d'une industrie pharmaceutique obsédée par des intérêts financiers privés ?

Nous attirons fermement votre attention sur le fait que votre comportement, à titre collectif et individuel, pourrait être considéré par les Tribunaux comme de l'abus de pouvoir, du harcèlement de lanceurs d'alerte, de la censure du débat scientifique et, en conséquence, de la mise en danger de la vie d'autrui, ce qui entraînerait votre condamnation pénale, ainsi que votre responsabilité civile vis-à-vis des soussignés.

Votre rôle était de défendre la déontologie médicale. Vous vous êtes manifestement trompés de cible. Malgré nos demandes multiples, vous n'avez pas retrouvé votre lucidité et votre intégrité. Il était de votre devoir de sauver cette médecine qui s'enlise dans les conflits d'intérêts et dans une grave dérive financière, pour ne pas dire «mafieuse».

Votre mission était de préserver une médecine réellement dévouée à la santé et au bien-être de la population, à laquelle, par Serment, nous avions tous souscrit.

Cette mission, Messieurs les dirigeants de l'Ordre, vous l'avez trahie.

Si vous poursuivez, ne fût-ce qu'un jour de plus, votre œuvre délétère, nous n'aurons plus d'autre choix que de déposer des plaintes au Civil et au Pénal contre l'Ordre, ses présidents et membres effectifs. Humainement, scientifiquement, déontologiquement, éthiquement, en tant que membres cotisants de l'Ordre des médecins, nous ne pouvons plus cautionner la dérive actuelle que nous subissons, les principes fondamentaux de notre profession étant littéralement piétinés par notre Ordre.

Humainement, scientifiquement, déontologiquement, éthiquement, en tant que membres cotisants de l'Ordre des médecins, nous ne pouvons plus cautionner la dérive actuelle que nous subissons, les principes fondamentaux de notre profession étant littéralement piétinés par notre Ordre.

En conséquence, nous vous mettons en demeure de cesser immédiatement de sanctionner les médecins lanceurs d'alerte, qui dénoncent «la mauvaise gestion de la crise Covid par les autorités» et d'envoyer, endéans les 10 jours ouvrables, votre réponse à la présente au docteur Alain Colignon. A défaut d'un engagement écrit de votre part, nous devrons porter, devant les Tribunaux, cette situation de harcèlement, de censure et de mise en danger de la vie de nos patients.

À titre symbolique, nous avons rassemblé quinze signatures sur cette lettre de mise en demeure. Mais dans les faits, nous sommes des milliers de médecins à faire le même constat et à partager la même indignation.

La présente lettre vous est envoyée sous toute réserve généralement quelconque et sans aucune reconnaissance préjudiciable, ni renonciation aux droit des soussignés.

Veuillez agréer, messieurs les présidents, vice-présidents et membres effectifs de l'Ordre des Médecins, nos salutations distinguées.



2- L'ordre Universel des Professions de Santé vous attend


http://www.oups23.org

3- Lettre d'un médecin à Mauril Gaudreault, président du Collège des Médecins du Québec
Québec, le 01/09/2023

https://reinfoquebec.ca/lettre-dun-medecin-a-mauril-gaudreault-president-du-cmq

Monsieur Mauril Gaudreault,

À l'heure où les experts de plateaux de télévision tels la chroniqueuse pharmacienne Diane Lamarre ou l'infectiologue Karl Weiss essaient de se convaincre eux-mêmes et de convaincre les Québécois qu'il est toujours pertinent de se faire «vacciner» et que le Comité national consultatif sur l'immunisation recommande toujours dans une récente déclaration l'inoculation expérimentale des Canadiens, enfants et femmes enceintes y compris, votre silence ainsi que celui de ces sociétés savantes que sont à vos yeux l'INSPQ et l'INESSS est plus qu'inquiétant. Vous connaissez sans
doute l'adage «Qui ne dit mot consent». Les Québécois méritent mieux que de se faire informer par des médias largement subventionnés par le gouvernement et qui ne servent en fait qu'à relayer le message de ce dernier. Je compte interpeller à nouveau M. Gerlier-Forest et Mme De Guise, dirigeants de l'INSPQ et de l'INESSS, afin qu'ils répondent par la voix de leurs comités scientifiques respectifs aux appréhensions de médecins, scientifiques et citoyens membres du collectif Réinfo Québec concernant les graves dangers de ces produits à base d'ARN messager qui n'ont jamais rien donné qui vaille et qui sont tout sauf un success story (cf. l'excellent livre de la généticienne Alexandra Henrion-Caude sur le sujet*).

Et pour que ces instituts à la bureaucratie étourdissante sortent de leur mutisme et répondent enfin aux questionnements de citoyens de plus en plus nombreux qui, en plus d'avoir expérimenté eux-mêmes l'inefficacité de ces produits, en constatent maintenant, pour peu qu'ils sortent des ornières des TVA et Radio-Canada de ce monde, les réels dangers et la hausse de la mortalité toutes causes chez celles et ceux qui ont reçu ces substances que l'industrie et les autorités sanitaires ont qualifié à tort de vaccins.

Ma demande est double :
  • Que le Collège des médecins du Québec accuse réception de ce courriel non pas simplement par une réponse électronique automatique mais bien par une réponse humaine, de personne à personne,
  • Que le Collège exhorte ces Think tank que sont l'INSPQ et l'INESSS à bien daigner répondre aux lettres du collectif Réinfo Québec d'abord acheminées à vous-mêmes puis ensuite, à votre demande, aux instituts en question.
Comme dit précédemment, je veux bien les relancer de mon côté mais si vous le faites en plus cher Dr Gaudreault, alors là les choses peuvent bouger. Il y va de l'intérêt supérieur de la médecine et de la science, il y va de la santé de millions de Québécois, il y va d'un rendez-vous avec
l'Histoire.
Serez-vous du bon côté ?
Primum non nocere.

Simon Ruelland MD

4- Luxembourg, interview du Dr Benoit Ochs
Condamné à un an d'interdiction d'exercice, sanction obtenue par déni de justice dont l'authenticité a été confirmée par la Cour d'Appel du Luxembourg !


https://twitter.com/BAM_PRESS/status/1692439395582796245?s=20

Notes et sources
(*) https://www.egora.fr/actus-pro/deontologie/82112-propos-antivax-le-pr-joyeux-sanctionne-de-deux-ans-d-interdiction
(1) «Innate immune suppression by SARS-CoV-2 mRNA vaccinations : The role of G-quadruplexes, exosomes, and MicroRNAs» https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S027869152200206X
«BNT162b2 COVID-19 vaccination in children alters cytokine responses to heterologous pathogens and Toll-like receptor agonists https://www.frontiersin.org/articles/10.3389/fimmu.2023.1242380/full
(2) «Irrgang P, Gerling J, Kocher K, Lapuente D, Steininger P, Habenicht K, Wytopil M, Beileke S, Schäfer S, Zhong J, Ssebyatika G, Krey T, Falcone V, Schülein C, Peter AS, Nganou-Makamdop K, Hengel H, Held J, Bogdan C, Überla K, Schober K, Winkler TH, Tenbusch M. «Changement de classe vers des anticorps IgG4 non inflammatoires spécifiques aux pointes après une vaccination répétée de l'ARNm du SRAS-CoV-2». Sci Immunol. 22 décembre 2022 : eade2798. doi : 10.1126/sciimmunol.ade2798. Epub avant impression. PMID : 36548397.
Vidarsson G, Dekkers G, Rispens T. «Sous-classes et allotypes d'IgG : de la structure aux fonctions effectrices». Immunol avant. 2014 octobre 20 ; 5:520. doi : 10.3389/fimmu.2014.00520. PMID : 25368619 ; PMCID : PMC4202688.
Akdis CA, Akdis M. «Mécanismes de tolérance immunitaire aux allergènes : rôle de l'IL-10 et des Tregs». J Clin Invest. 2014 novembre ; 124(11) : 4678-80. doi : 10.1172/JCI78891. Publication en ligne du 3 novembre 2014. PMID : 25365074 ; PMCID : PMC4347251.
Aalberse RC, Stapel SO, Schuurman J, Rispens T. «Immunoglobuline G4 : un anticorps étrange». Clin Exp Allergie. 2009 avril ; 39(4):469-77. doi : 10.1111/j.1365-2222.2009. 03207.x. Epub 13 février 2009. PMID : 19222496.
https://en.wikipedia.org/wiki/IgG4-related_disease
(3) https://www.mdpi.com/1467-3045/44/3/73/htm
«Intracellular Reverse Transcription of Pfizer BioNTech COVID-19 mRNA Vaccine BNT162b2 In Vitro in Human Liver Cell» Line by 8 Markus Aldén 1 DO, 8 Francisko Olofsson Falla 1 I, 8 Daowei Yang 1 1, 8 Mohammad Barghouth 1 1, 8 Cheng Luan 1 5, Magnus Rasmussen 2 C and & Yang De Marinis 1, Department of Clinical Sciences, Lund University, 20502 Malmö, SwedenInfection Medicine, Department of Clinical Sciences, Lund University, 22362 Lund, Sweden
(4) Lancet Jama myocardites transmission https://www.thelancet.com/journals/laninf/article/PIIS1473-3099%2821%2900768-4/fulltext
Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS). https://vaers.hhs.gov
«COVID19 Vaccines for Children and Teens. https://www.cdc.gov/coronavirus/2019-ncov/vaccines/recommendations/adolescents
EudraVigilance European database of suspected adverse drug reaction reports : How to report a side effect. https://www.adrreports.eu/en/report_side_effect
Kantarcioglu, B. et al. «An update on the pathogenesis of COVID-19 and the reportedly rare thrombotic events following vaccination». Clin. Appl. Thromb. Hemost. 27, 10760296211021498 (2021).
Surveillance of Myocarditis (Inflammation of the Heart Muscle) Cases Between December 2020 and May 2021. https://www.gov.il/en/departments/news/01062021-03
Wise, J. «Covid-19 : Should we be worried about reports of myocarditis and pericarditis after mRNA vaccines ?» BMJ 373, n1635. https://doi.org/10.1136/bmj.n1635 (2021).
Larson, K. F. et al. «Myocarditis after BNT162b2 and mRNA-1273 vaccination», Circulation https://doi.org/10.1161/CIRCULATIONAHA.121.055913 (2021).
Bozkurt, B., Kamat, I. & Hotez, P. J. «Myocarditis with COVID-19 mRNA vaccines». Circulation 144, 471–484 (2021).
Verma, A. K., Lavine, K. J. & Lin, C.-Y. «Myocarditis after Covid-19 mRNA vaccination». N. Engl. J. Med. https://doi.org/10.1056/NEJMc2109975 (2021).
Patone, M. et al. «Risks of myocarditis, pericarditis, and cardiac arrhythmias associated with COVID-19 vaccination or SARS-CoV-2 infection». Nat. Med. 66, 1–13 (2021).
(5) The Lancet : travailleurs de la santé https://papers.ssrn.com/sol3/papers.cfm?abstract_id=3897733
https://www.mondialisation.ca/les-pseudovaccins-anticovid-injections-geniques-ne-protegent-ni-les-vaccines-ni-leurs-contacts
https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2022.06.28.22276926v2.full cette étude britannique en pré-print analysant 22 millions de cas de COVID révèle une «proportion considérablement accrue de cas de SRAS-COV-2, d'hospitalisations et de décès parmi les vaccinés».
«Israel : les 143 hospitalisés actuels attribués au covid : https://www.jpost.com/health-science/coronavirus-in-israel-what-do-we-know-about-the-143-hospitalized-people
Service des urgences britanniques, tableau https://assets.publishing.service.gov.uk/Technical-Briefing-19.pdf
Contagion collective dans un home de personnes âgées https://www.eurosurveillance.org/content/10.2807/1560-7917.ES.2021.26.27.2100626
Cette dernière publication anglaise est récente (publiée le 8 juillet) et concerne un home de personnes âgées (donc milieu relativement fermé propice à la contagion), où une contagion collective au variant indien (delta) a touché 57% des 42 personnes (résidents et travailleurs). Ils étaient soit non vaccinés (20%), soit vaccinés une fois (5%), soit vacciné 2 fois (75%). Les résultats confirment une fois de plus que le vaccin, chez les personnes âgées, est non seulement moins efficace, mais qu'au final, face à cette infection collective, les non-vaccinés s'en sortent aussi bien que les vaccinés.
Golan Y, Prahl M, Cassidy A, et al. «Evaluation of Messenger RNA From COVID-19 BTN162b2 and mRNA-1273 Vaccines in Human Milk». JAMA Pediatr. 2021;175(10):1069–1071. doi:10.1001/jamapediatrics.2021.1929 [5] Hanna N, Heffes-Doon A, Lin X, et al.
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC5475249
«Detection of Messenger RNA COVID-19 Vaccines in Human Breast Milk». JAMA Pediatr. Published online September 26, 2022. doi:10.1001/jamapediatrics.2022.3581
https://reinfocovid.fr/les-arnm-vaccinaux-atteignent-les-organes-reproducteurs
https://www.cell.com/cell/pdf/S0092-8674(22)00076-9.pdf
source : AIMSIB
#34
Fraudes d'ordre sanitaire / Le mystère Omicron : Variant m...
Dernier message par Ouebmestre - 03 Septembre, 2023, 17:24:08
Le mystère Omicron : Variant miraculeux ou fabrication humaine ? Décidément, rien n'est normal avec la COVID



par Patrice Gibertie

En 2021 l'apparition d'Omicron et de ses variants étonna les scientifiques ; plus contagieux, moins dangereux et avec une protéine Spike moins méchante que la vaccinale ou l'originale. Vous retrouverez dans la deuxième partie de l'article la publication de JC PEREZ (2021) sur les mutations dans la région spike prions.

Une nouvelle publication interpelle, et s'il s'agissait d'une sélection naturelle délibérée ?
*

Manque de naturel dans le processus d'évolution des variantes du SRAS-CoV-2 et possibilité d'une sélection naturelle délibérée

Nous avons conclu que les formations d'une partie des isolats Omicron BA.1, BA.1.1 et BA.2 n'étaient pas le produit de l'évolution du génome comme cela est couramment observé dans la nature, comme l'accumulation de mutations et de recombinaisons homologues.

L'analyse que nous avons montrée ici est que les variants Omicron sont formés par un mécanisme entièrement nouveau qui ne peut être expliqué par la biologie antérieure, et connaître la manière dont les variantes du SRAS-CoV-2 se sont formées incite à reconsidérer la pandémie de SRAS-CoV-2. Nous avons conclu que les formations d'une partie des isolats Omicron BA.1, BA.1.1 et BA.2 n'étaient pas le produit de l'évolution du génome comme cela est couramment observé dans la nature, comme l'accumulation de mutations et de recombinaisons homologues.

source : Zenodo
*

Dans cette étude, deux auteurs japonais ont étudié les processus évolutifs qui ont conduit à la formation des variantes Omicron du coronavirus 2 (SARS-CoV-2) du syndrome respiratoire aigu sévère. Ils se sont concentrés sur les variantes d'Omicron qui présentent de nombreuses mutations d'acides aminés dans la protéine Spike (S).

Les chercheurs ont comparé les séquences de 129 isolats liés à Omicron BA.1, de 141 isolats liés à BA.1.1 et de 122 isolats liés à BA.2 pour déterminer l'ordre des mutations conduisant à la formation des variantes du SRAS-CoV-2 Omicron. Ils ont cherché à élucider le processus évolutif du variant Omicron, qui présente deux fois plus de mutations d'acides aminés dans la protéine S que les autres variants, en examinant l'ordre d'introduction des mutations d'acides aminés dans la protéine S.

Selon les résultats de l'étude, les scientifiques ont conclu que la formation d'une partie des isolats Omicron BA.1, BA.1.1 et BA.2 n'était pas le résultat de l'évolution du génome, comme l'accumulation de mutations et la recombinaison homologue, comme cela est courant dans la nature. Ils ont souligné que les isolats du SRAS-CoV-2 sont formés par un mécanisme complètement nouveau qui ne peut être expliqué par la biologie antérieure et qu'il est très improbable que ces virus soient apparus spontanément.
*

La variante Omicron brise la lignée évolutionnaire des variantes du SRAS-CoV2

source : International Journal of Research

Nous avons analysé 15 génomes et Spikes de la nouvelle variante OMICRON, d'une part 7 de la toute première lignée 21K (Afrique du Sud, USA, Belgique, Canada), d'autre part 8 du deuxième clade sœur ultérieur 21L (USA, Suisse, Royaume-Uni). Nous avons appliqué, à l'échelle du génome entier et du gène Spike, la méthode biomathématique d'analyse fractale de la méta-structure de Fibonacci appliquée aux proportions UA/CG.

Il apparaît une rupture totale de cette variante par rapport à toutes les variantes précédentes, et une forte différenciation entre ces 2 lignées OMICRON. Nous avons mis en évidence la RUPTURE d'OMICRON par rapport à TOUTES les variantes précédentes : D614G, ALPHA, BETA, GAMMA, DELTA. En particulier, nous suggérons que la structure secondaire stabilisatrice de l'ARNm (conformation «en épingle à cheveux») dans la pointe de toutes les variantes est dégradée dans OMICRON, rendant probablement son ARNm plus fragile. La perte de métastructures fractales à longue portée dans le gène Spike OMICRON est conforme aux connaissances communes sur les mécanismes de fin de l'épidémie, impliquant la recombinaison de fragments d'ARN fortement mutés du virus, avec la possible inférence d'un virus auxiliaire distinct. Cela indiquerait que le SRAS-CoV2 est soumis à une très forte pression évolutive, marquant peut-être la fin de la pandémie.

De manière remarquable, on observe que la densité des mutations OMICRON dans la région SPIKE PRION est plus de 8 fois supérieure à celle du reste de la protéine Spike. Cette forte densité de mutations de la région Prion chez OMICRON semble supprimer complètement cette éventuelle fonction Prion, contrairement aux Spikes des différents variants et ARNm des vaccins où cette fonction Prion est observée. La perte de métastructures fractales à longue portée dans le gène Spike OMICRON est conforme aux connaissances communes sur les mécanismes de fin de l'épidémie, impliquant la recombinaison de fragments d'ARN fortement mutés du virus, avec la possible inférence d'un virus auxiliaire distinct. Cela indiquerait que le SRAS-CoV2 est soumis à une très forte pression évolutive, marquant peut-être la fin de la pandémie.

source : Patrice Gibertie

https://pgibertie.com/2023/09/02/le-mystere-omicron-variant-miraculeux-ou-fabrication-humaine-decidement-rien-nest-normal-avec-la-covid/
#35
Explosion des chirurgies de changement de genre aux États-Unis et taux alarmants de suicide et de tentatives de suicide




par Mary Gillis

Les chiffres ne mentent pas : les chirurgies de changement de genre ont triplé aux États-Unis entre 2016 et 2019. Découvrez les résultats d'une étude suédoise qui explore les risques et les implications psychiatriques de ces interventions.

Les chirurgies de changement de genre ont presque triplé aux États-Unis entre 2016 et 2019, les opérations des seins et de la poitrine représentant 56,6% de l'ensemble des interventions, selon les résultats d'une étude publiée mercredi dans le JAMA Network Open.

Juste derrière se trouve la reconstruction génitale, représentant 35,1%, suivie par les interventions faciales et esthétiques à 13,9%. Le plus grand nombre d'interventions a été réalisé sur des femmes âgées de 19 à 30 ans, des personnes bénéficiant d'une assurance privée et des personnes ayant des revenus plus élevés. La plupart des interventions ont eu lieu dans l'Ouest et ont été effectuées dans des hôpitaux d'enseignement urbains.

Lorsqu'elles sont divisées en sous-groupes, les interventions des seins et de la poitrine représentaient une plus grande proportion des interventions chirurgicales chez les patients plus jeunes. Les interventions génitales étaient plus fréquentes chez les patients plus âgés.

Environ 15 pour cent des plus de 48 000 personnes interrogées ont indiqué des problèmes de santé mentale ou de toxicomanie, notamment l'abus de drogues et d'alcool, la dépression et la psychose.

«Ces résultats suggèrent qu'il y aura un plus grand besoin de cliniciens compétents dans la prise en charge des personnes transgenres et possédant l'expertise requise pour effectuer des procédures d'affirmation de genre», ont écrit les auteurs de l'étude.

Quels sont les dangers de la chirurgie de changement de genre ?

Les chirurgies de changement de genre ne sont pas sans dangers. Les preuves concernant le taux de regret après la chirurgie, les complications médicales à long terme, les effets de l'hormonothérapie et le lien entre les interventions chirurgicales et les taux de dépression et de suicide nécessitent une étude plus approfondie.

Effets secondaires

Une étude de 2021 a révélé que des réopérations dues à des complications à long terme suite à des augmentations mammaires se produisent. Les ruptures d'implants, les contractures capsulaires (une réponse immunitaire aux implants mammaires entraînant la formation de tissu cicatriciel) et les problèmes esthétiques peuvent survenir entre 30 jours et 5,5 ans après la chirurgie.

Selon l'American Society of Plastic Surgeons, les effets secondaires de la reconstruction des organes génitaux masculins en organes génitaux féminins, connue sous le nom de chirurgie de réassignation sexuelle transféminine, sont les suivants :
  • Saignement.
  • Infection.
  • Mauvaise cicatrisation de l'incision.
  • Hématome.
  • Sténose des lésions nerveuses du vagin.
  • Profondeur vaginale insuffisante.
  • Blessure des voies urinaires.
  • Connexions anormales entre l'urètre et la peau.
  • Rapports sexuels douloureux.

Suicide et tentatives de suicide

Les conclusions d'une étude menée par des chercheurs suédois ont mis en évidence que les individus ayant effectué une transition de genre présentaient une augmentation de 4,9 fois du risque de tentative de suicide et une augmentation de 19,1 fois du risque de décès par suicide par rapport au groupe de référence.

«Les personnes transsexualistes, après un changement de sexe, présentent des risques de mortalité, de comportement suicidaire et de morbidité psychiatrique considérablement plus élevés que la population générale», écrivent les auteurs«Nos résultats suggèrent que le changement de sexe, bien qu'il atténue la dysphorie de genre, pourrait ne pas suffire à traiter le transsexualisme et devrait inspirer de meilleurs soins psychiatriques et somatiques après un changement de sexe pour ce groupe de patients».

Recommandations mises à jour

La thérapie hormonale est recommandée et parfois nécessaire pour certains patients avant la chirurgie des seins et de la poitrine.

Cependant, les preuves soutenant la thérapie hormonale pour les personnes transgenres sont incomplètes.

La clinique londonienne du Tavistock Centre, qui s'occupe des jeunes aux prises avec des problèmes d'identité de genre, est prévue pour être fermée d'ici la fin de 2023. Cette décision fait suite à un examen indépendant qui a mis en avant l'absence de preuves concluantes soutenant les recommandations courantes en matière de thérapies hormonales, telles que l'utilisation des bloqueurs de puberté, ainsi que d'autres difficultés de gestion au sein de la clinique.

La décision de fermer la clinique fait suite aux recommandations révisées en 2022 du Conseil national suédois de la santé et du bien-être social. Les responsables du Conseil ont conclu qu'il manquait suffisamment de preuves scientifiques pour soutenir les soins «affirmatifs en matière de genre». Ils ont souligné la nécessité d'adopter une approche prudente et mesurée en ce qui concerne les interventions hormonales pour les mineurs.

«La mise à jour des directives suédoises en matière de traitement marque une avancée significative pour la protection du nombre croissant de jeunes souffrant de dysphorie de genre contre les risques médicaux associés à une transition de genre inadéquate», ont exprimé les responsables de la santé dans le cadre des recommandations.

source : The Epoch Times via Le média en 4-4-2
#36
Fraudes d'ordre sanitaire / T’as pas eu ta thrombose ? Pre...
Dernier message par Ouebmestre - 27 Août, 2023, 23:31:35
T'as pas eu ta thrombose ? Prends donc une autre dose !





par Patrice Gibertie

L'efficacité d'une vaccination massive ne peut être mesurée qu'en comparant le taux de mortalité de la population vaccinée avec le taux de mortalité de la population non vaccinée, ce dernier étant le groupe témoin. Récemment, cette recherche a été effectuée et elle a confirmé que la partie vaccinée de la population mondiale a un taux de mortalité accru d'environ 14,5% par rapport à la cohorte de population non vaccinée.1
https://www.walshmedicalmedia.com/open-access/analysis-of-covid19-vaccination-effectiveness-120520.html

En comparant les graphiques d'intensité de vaccination et de taux de mortalité, on constate qu'après une période de vaccination intense succède une période de surmortalité plus élevée. Les données statistiques de base confirment que les vaccins COVID-19 ont augmenté le taux de mortalité.



La vaccination contre le COVID-19 a été effectuée dans le monde entier dans un souci extrême de réduire le taux de surmortalité dû au virus COVID-19. Le résultat escompté n'a pas été atteint et les données statistiques prouvent le contraire. Les experts en santé publique doivent respecter les procédures scientifiques ordinaires de base, dans lesquelles nous vérifions d'abord un nouveau médicament sur un groupe limité de personnes et, après avoir été sûrs que le médicament fonctionne bien, nous considérons qu'il est logique de l'utiliser dans le monde entier.

Toutes les recherches qui ont conclu que les vaccins contre le COVID-19 étaient efficaces et ont réduit les taux de mortalité ont utilisé des méthodologies inappropriées et n'ont aucun support dans l'analyse des données statistiques de base qui prouvent que le taux de mortalité des cohortes vaccinées est supérieur au taux de mortalité des cohortes non vaccinées. La recherche clinique confirme que la technologie des protéines de pointe appliquée dans les vaccins contre la COVID cause de graves dommages à la santé humaine. Son utilisation sur l'homme était prématurée et ne protégeait pas la santé publique. Le contraire a été obtenu.

source : Patrice Gibertie

https://www.walshmedicalmedia.com/open-access/analysis-of-covid19-vaccination-effectiveness-120520.html
#37
Fraudes d'ordre sanitaire / Avant de faire votre 7ème inje...
Dernier message par Ouebmestre - 27 Août, 2023, 23:29:46
Avant de faire votre 7ème injection Pfizer ARNm vérifiez que vous n'êtes pas d'origine britannique



Là bas ils donnent de chiffres désastreux (95% des décédés sont multi dosés)

par Patrice Gibertie

En France rassurez-vous pas de danger, pas d'effets secondaires et les journalistes le disent tous les morts covid sont non vaccinés, c'est l'effet Macron. Mais ailleurs, c'est pas la joie...

Tweet Michel Jean-Dominique
CitationPetit florilège de la stupidité et de la haine.
Pour une injection qui n'a jamais immunisé ni prévenu, donc, la contamination.
Aujourd'hui comme hier, les ressorts du totalitarisme en action. C'est fou comme il est aisé de manipuler les gens sans lucidité ni conscience. Et combien ils sont nombreux...

L'ONS a finalement publié les «données sur les décès par statut vaccinal» du COVID-19 pour 2023 en Angleterre.
8330 décès étaient vaccinés (95%) 436 décès étaient non-vaccinés (5%) Et TOUJOURS notre gouvernement prétend que le jab empêche les décès avec le COVID...
Office for National Statistics








source : Patrice Gibertie
#38
L'augmentation du nombre de fausses couches et de mortinaissances est directement liée aux vaccins COVID, selon les données disponibles



par Mondialisation et Brenda Baletti
Les autorités sanitaires «auraient dû le savoir».

Konstantin Beck, statisticien et professeur à l'université de Lucerne, a déclaré que les données montrent que les taux de fausses couches et de mortinaissances en 2022 correspondaient directement à la vaccination au COVID-19 des femmes enceintes en Suisse neuf mois plus tôt, et que les fabricants de vaccins et les responsables de la santé publique connaissaient ou auraient pu connaître cette information à l'époque.

Une augmentation importante des avortements spontanés chez les femmes enceintes a été directement liée à l'introduction du vaccin COVID-19 en Suisse, selon une nouvelle analyse du statisticien et professeur à l'université de Lucerne, le Dr Konstantin Beck.

M. Beck, ancien conseiller du ministre allemand de la santé et du Parlement suisse, a analysé des données suisses et allemandes accessibles au public, provenant de publications scientifiques, de compagnies d'assurance maladie et de l'Office fédéral suisse de la statistique (OFS).

Il a constaté que les taux de fausses couches et de mortinatalité en 2022 correspondaient directement à la vaccination par le COVID-19 des femmes enceintes en Suisse neuf mois plus tôt.

Selon lui, les fabricants de vaccins et les responsables de la santé publique connaissaient ou auraient pu connaître ces informations à l'époque, s'ils s'étaient donné la peine de chercher. Au lieu de cela, ils ont présenté les informations au public d'une manière qui a masqué les risques.

M.Beck a présenté les résultats de ses recherches novatrices mercredi à Doctors for Covid Ethics (Médecins pour l'éthique Covid).

En outre, contrairement aux déclarations publiques des autorités suisses selon lesquelles «il n'y a pas de surmortalité significative chez les jeunes» en Suisse, le réexamen par Beck des propres données du gouvernement révèle que des tendances significatives de surmortalité chez les jeunes sont apparues à la fin de 2021 et au début de 2022.

Selon lui, ces résultats montrent que lors de la pandémie de COVID-19, «nous avons exposé inutilement les plus vulnérables à de nouveaux risques qui dépassent de loin le risque pandémique initial». Et que «aujourd'hui, de plus en plus de lourdes conséquences de nos mesures Corona apparaissent dans nos statistiques officielles, mais seules quelques personnes sont intéressées à [about them]connaître».
«En analysant le déploiement de ces vaccins, en particulier pour les femmes enceintes et leurs enfants à naître, j'ai trouvé des preuves évidentes, dès le début, qu'il aurait été impératif de repenser et de reporter la stratégie de vaccination», a-t-il déclaré.

Les piqûres pour COVID sont à l'origine du «baby gap» (baisse soudaine et temporaire de bébés)

La Suisse a connu une baisse historique du taux de naissances vivantes en 2022.

Chaque mois de cette année-là, le nombre de naissances a été inférieur à la moyenne des six années précédentes, soit une réduction globale de 8,5% du taux de natalité national, selon l'analyse de M. Beck.

Dans certains endroits, la baisse est encore plus importante : à Zurich, le taux de natalité a chuté de 16,5%.

La dernière baisse comparable des naissances (13%) remonte à la mobilisation de l'armée suisse en 1914, au début de la Première Guerre mondiale, lorsque la plupart des jeunes hommes sont partis faire la guerre.

La chute des taux de natalité en 2022 fait suite à un petit «baby-boom de Corona» – une hausse de 3% des taux de natalité en 2021, qui avait suivi le fermetures et confinements lors de la pandémie.

Selon les données compilées par l'analyste Raimund Hagemann, les taux de vaccination contre le COVID-19 chez les femmes suisses en 2021 et au début de 2022 ont correspondu de très près à la baisse des taux de natalité neuf mois après la vaccination.
La figure 1 (ci-dessous), qui ajuste la chronologie du taux de natalité de neuf mois pour tenir compte de la durée de la grossesse, montre cette forte corrélation entre les taux de vaccination et la baisse du taux de natalité – les deux chiffres se reflètent l'un l'autre.



Les chercheurs ont proposé plusieurs hypothèses pour expliquer ce «baby gap», que M. Beck a évaluées.

Certains ont proposé une explication comportementale, émettant l'hypothèse que les gens modifiaient leur comportement en raison de la peur associée à la pandémie elle-même ou de l'incertitude économique qui en découlait.

Mais M. Beck a déclaré que cette hypothèse ne correspondait pas aux modèles de comportement historiques ; le baby-boom lui-même s'est produit au milieu de la Seconde Guerre mondiale. Elle ne peut pas non plus tenir compte du baby-boom qui a suivi le début de la pandémie, alors que les craintes de la population et le chômage étaient à leur comble.

Il a également rejeté l'hypothèse selon laquelle l'infection par COVID-19 réduirait la fertilité. Si c'était le cas, il n'y aurait pas eu de pic de natalité en 2021 après la première vague d'infection en 2020, et il n'y a pas de preuve d'une baisse de la fertilité après la vague du virus Omicron.

En fait, selon M. Beck, il n'y a aucune preuve d'une réduction de la fertilité. Au contraire, les données montrent que les femmes tombaient enceintes au même rythme qu'avant la pandémie.

En utilisant les données de l'assurance maladie allemande – les données suisses n'étant pas encore disponibles – il a montré que le nombre de femmes effectuant des tests de grossesse et se rendant chez le médecin pour être traitées pour une grossesse est resté constant tout au long des années 2021 et 2022.

Il y a même eu une légère croissance continue et un pic lié au mini-baby-boom de 2021.

Cela fait de l'avortement spontané induit par le vaccin COVID-19 l'hypothèse la plus plausible pour expliquer la baisse des taux de natalité, car le même nombre de femmes tombaient enceintes, mais elles étaient moins nombreuses à mener leur grossesse à terme.

À l'appui de cette affirmation, les données des assureurs allemands et suisses montrent qu'à partir du quatrième trimestre 2021, le nombre de complications de grossesse traitées et la durée des séjours à l'hôpital après l'accouchement augmentent de façon nette et significative, alors qu'ils avaient tous deux tendance à diminuer depuis des années.

Les données allemandes indiquent également que le nombre de mortinaissances a augmenté de 20% au quatrième trimestre 2021.
Bien que les données sur les mortinaissances ne soient pas disponibles pour la Suisse, il n'y a pas de raison de penser qu'elles seraient substantiellement différentes.

Toute personne ayant lu le dépliant aurait été informée des dangers

L'impact des vaccins sur la grossesse n'était pas simplement un résultat tragique et imprévu, car il était déjà évident dans les propres données des fabricants de vaccins ou dans l'absence de données, a déclaré M. Beck.

Toute personne ayant «lu une notice du fabricant», a-t-il ajouté, «aurait été informée» qu'il n'y avait pas de données sur la grossesse, mais qu'il existait de sérieuses inquiétudes quant aux effets possibles des vaccins sur les nourrissons.

La version allemande de l'avertissement de Moderna Spikevax disait en substance : «Nous n'avons aucune idée du risque pour les femmes enceintes. Aucune étude contrôlée de qualité n'a été réalisée. Il n'y a pas assez de données disponibles», a déclaré M. Beck.

La brochure déconseillait également la vaccination aux mères qui allaitent, mais la recommandait fortement aux femmes enceintes, a indiqué M. Beck.

Mais la grossesse ne précède-t-elle pas généralement l'allaitement ? Et que faut-il faire après l'accouchement pour se débarrasser de la vaccination ?

Le 20 avril 2021, Pfizer a envoyé son rapport concernant le vaccin ARNm et la grossesse aux Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC), selon les documents de Pfizer.

Le lendemain, le New England Journal of Medicine (NEJM) a publié des conclusions préliminaires sur la sécurité du vaccin COVID-19 chez les femmes enceintes, sur la base d'une analyse de V-safe et du Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS).

Le 23 avril, lors d'une conférence de presse à la Maison Blanche, la directrice du CDC, Rochelle Walensky, a recommandé aux femmes enceintes de se faire vacciner sur la base des conclusions de cet article.

Le document indique explicitement que les chercheurs n'ont trouvé aucun signal de sécurité concernant la grossesse ou les résultats néonataux au cours du troisième trimestre, mais qu'ils ne peuvent tirer aucune conclusion concernant le premier ou le deuxième trimestre.
Étant donné que les premier et deuxième trimestres sont les périodes les plus à risque pour la grossesse, a déclaré M. Beck, l'article du NEJM admet que les chercheurs ne savaient pas quels risques supplémentaires les vaccins pouvaient présenter pour les femmes enceintes au moment où elles sont le plus vulnérables.

Le document comportait également une comparaison non pertinente des symptômes post-vaccinaux les plus fréquents entre les femmes enceintes et non enceintes, et utilisait la naissance vivante comme seule mesure des effets potentiels sur la santé du nouveau-né.

Et, ce qui est peut-être le plus important, elle indique explicitement que «les effets indésirables liés à la grossesse les plus fréquemment rapportés sont les avortements spontanés».

L'article fait état de 46 avortements spontanés liés à la vaccination sur un total de 104 avortements déclarés. Cela représente une augmentation de 73,1% des avortements spontanés.

En faisant des calculs basés sur les données du NEJM, Beck a constaté qu'avec un taux de vaccination de 75% des femmes enceintes en Suisse, une grossesse sur dix se termine par une fausse couche ou une naissance d'un enfant mort-né.

Il a conclu que les autres hypothèses existantes ne pouvaient expliquer ce phénomène et que l'hypothèse de la fausse couche induite par le vaccin correspondait à la fois aux données du fabricant et aux résultats pertinents rapportés dans le cadre de la campagne du CDC visant à vacciner les femmes enceintes.

Augmentation de 125% des embolies pulmonaires, des arrêts cardiaques, des accidents vasculaires cérébraux et des infarctus cérébraux chez les enfants âgés de 0 à 14 ans

La présentation a également soulevé une série de préoccupations concernant les effets de la vaccination COVID-19 sur les jeunes et la manière dont les manipulations statistiques peuvent masquer ces effets potentiels.

S'appuyant sur plusieurs exemples d'aggravation de la santé et de la mortalité des jeunes au cours de la période de vaccination, M. Beck a posé la question suivante : «Pourquoi avons-nous vacciné des enfants ? Je veux dire qu'ils n'étaient pas le groupe cible de ce virus».
L'examen des données fournies par les principaux assureurs de soins de santé, par exemple, a montré qu'en 2020-2021, les personnes âgées de 19 à 39 ans ont connu la plus forte croissance des coûts des soins de santé, alors qu'elles ont généralement les coûts les plus bas, ce qui indique un changement dans la santé de ce groupe démographique.

Les données relatives à la fréquence des embolies pulmonaires, des arrêts cardiaques, des accidents vasculaires cérébraux et des infarctus cérébraux chez les enfants âgés de 0 à 14 ans ont montré une augmentation de 125% des événements. Bien que les chiffres soient encore faibles, ils sont passés d'une moyenne de 20 événements par an au cours des années précédentes à un total de 45 événements en 2021.

Un deuxième examen de l'analyse des données par le FOS, qui avait indiqué qu'il n'y avait pas de surmortalité chez les jeunes en 2022, a mis la puce à l'oreille de M. Beck.

L'excès de mortalité mesure la différence entre les décès déclarés et les décès attendus au cours d'une période donnée. Les projections de base de la surmortalité sont généralement fondées sur des moyennes antérieures.

En réanalysant les données de mortalité du FOS, mais en conservant le nombre attendu de décès conformément aux moyennes antérieures – ce que le FOS n'avait pas fait – M. Beck a constaté une augmentation de 12% de la surmortalité globale.

Lorsqu'il a analysé la surmortalité par groupes d'âge, Beck a constaté que pour les jeunes adultes âgés de 20 à 39 ans, il y avait un pic de surmortalité dépassant les attentes normales à la fin de 2021 et en 2022. Pour les enfants âgés de 0 à 19 ans, il a constaté une tendance similaire.

Les données relatives à la surmortalité peuvent être facilement dissimulées en élargissant les intervalles de confiance des prévisions, en combinant des groupes démographiques présentant des profils de santé différents ou en modifiant le nombre de décès attendus pour dissimuler les variations, ce qui a permis aux autorités suisses d'annoncer qu'il n'y avait pas de surmortalité chez les jeunes.



source : The Defender via Mondialisation
https://reseauinternational.net/laugmentation-du-nombre-de-fausses-couches-et-de-mortinaissances-est-directement-liee-aux-vaccins-covid-selon-les-donnees-disponibles/
https://www.mondialisation.ca/laugmentation-du-nombre-de-fausses-couches-et-de-mortinaissances-est-directement-liee-aux-vaccins-covid-selon-les-donnees-disponibles-les-autorites-sanitaires-auraient-du/5680151?doing_wp_cron=1691384917.6941130161285400390625
https://childrenshealthdefense.org/defender/switzerland-miscarriages-stillbirths-covid-shots/
#39
Fraudes d'ordre juridique / Un Norvégien interné de force ...
Dernier message par Ouebmestre - 31 Juillet, 2023, 15:52:05
Un Norvégien interné de force en psychiatrie pour des publications Facebook qualifiées de «théories du complot Covid-19»



par Le Média en 4-4-2

Digne du film «Vol au-dessus d'un nid de coucou», le site Steigan, nous apprend que Trond Harald Haaland, un Norvégien, a récemment été enfermé de force dans une unité psychiatrique publique à Stavanger pendant neuf jours. La raison ? Des «théories du complot Covid-19» qu'il aurait publiées sur Facebook. Signalé anonymement par des «connaissances», il a été expulsé de chez lui de manière contraignante par un médecin accompagné de deux policiers.

Selon Trond Harald Haaland lui-même, les publications incriminées n'étaient en réalité que des interrogations sur la gestion gouvernementale face à la pandémie. Pourtant, un médecin et deux juges ont statué contre lui, le condamnant à un internement indéterminé en psychiatrie.

Grâce à l'acharnement de son équipe juridique, de sa famille et de ses soutiens, Haaland a finalement été libéré après une réunion de la commission de contrôle le 28 juillet 2023. Cette dernière a jugé que l'enfermement était injustifié compte tenu de ses publications sur Facebook.

Ce qui est particulièrement révélateur, c'est que le psychiatre en charge de l'affaire a admis, lors de l'appel, n'avoir même pas pris le temps de lire les prétendues «théories du complot» de Trond Harald Haaland. Il semble donc que cette admission forcée en psychiatrie ait été fondée sur des déclarations politiques sans fondement.

Le cas Haaland soulève des questions troublantes concernant la liberté d'expression en Norvège. Son avocat, Barbro Paulsen, a eu du mal à obtenir l'identité des personnes anonymes ayant signalé des inquiétudes concernant la santé mentale de son client. Cela signifie que n'importe qui peut potentiellement porter préjudice à une personne simplement en prétendant qu'elle propage des théories du complot. Ainsi, des individus pourraient être enfermés de force sur la base de dénonciations infondées.

La libération de Haaland est indéniablement une victoire pour les droits individuels, les droits de l'Homme et l'État de droit en Norvège. Cela soulève également des interrogations quant à ceux qui cherchent à réduire au silence ceux qui posent des questions sur la gestion de la pandémie et les mesures gouvernementales.

Twitter

Cet événement rappelle la dangerosité des procédés qui ont été utilisés en URSS pour réprimer les dissidents politiques. Dans un contexte où les dissidents étaient souvent inculpés sur la base d'articles du Code pénal tels que l'article 70 (agitation antisoviétique et propagande) et l'article 190-1 (diffusion de fausses informations injurieuses pour l'État soviétique et son système social), la psychiatrie judiciaire a été utilisée comme un outil pour faire taire et dénigrer les voix discordantes.

Les psychiatres judiciaires étaient convoqués pour examiner les dissidents, et lorsque les autorités ne trouvaient aucune norme correspondant à leur état, ils étaient déclarés irresponsables et malades mentaux. Cette prétendue maladie mentale servait ensuite de prétexte pour les envoyer de force dans des hôpitaux psychiatriques, sans que la durée de leur internement soit clairement définie, laissant les dissidents sans recours face à cette répression injuste.

source : Le Média en 4-4-2
#40
Conférence Dr Nicole Delépine : STOP au sabotage de l'école et à la sexualisation de l'enseignement



Conférence du Dr Nicole Delépine réalisée à Paris le 1er juillet dernier avec les Drs Gérard Delépine, J.-M. Sabatier, Alexandra Henrion-Caude ainsi que Salim Laïbi.

Il sera question dans cette intervention de la dangereuse dérive de l'éducation nationale, de l'école publique, qui perd le nord, qui ne remplit plus sa mission d'instruction publique auprès des nouvelles générations.
C'est un véritable sabotage du pilier central de toute civilisation, l'enseignement des enfants, avec une chute spectaculaire du niveau scolaire et du classement international de l'école française. Et comme ce n'est pas suffisant, il fallait que les autorités politiques introduisent dans cette école en perdition l'enseignement de la sexualité aux plus jeunes !

Le Dr Nicole Delépine de sensibiliser la population sur le danger de cette dérive en l'informant et en la poussant à réagir.

https://odysee.com/$/embed/@LeLibrePenseur.org:2/Dr-del%C3%A9pine-%C3%A9cole-sexualisation:b?r=9onY6gXbSey2iEY32vGeXs7dtaWZ5Lxi


source : Le Libre Penseur