Nouvelles:

Non au "pass nazitaire", non à l'injection d'immuno-toxiques aux enfants !

Menu principal

Messages récents

#51
Fraudes scientifiques / Le génocide du Covid-19 appell...
Dernier message par Ouebmestre - 19 Mars, 2023, 20:14:11
Le génocide du Covid-19 appelle la création d'une Cour mondiale indépendante




par Kla.tv
Le lobbying international, les magouilles et la corruption de Big Pharma dans les sphères politiques et judiciaires montrent clairement qu'il faut une justice indépendante et entièrement nouvelle. En particulier dans le contexte des crimes mondiaux du Covid-19, un génocide d'une ampleur sans précédent, il faut un tribunal spécial comparable aux procès de Nuremberg après la Seconde Guerre mondiale. Un groupe de juristes fait des avancées intéressantes dans ce domaine.

Vidéo :  https://www.kla.tv/index.php?a=showembed&vidid=25447&lang=fr

Transcription :

Un groupe d'avocats internationaux, d'experts de haut niveau et de scientifiques renommés présente à un grand jury les preuves que la pandémie Covid-19 est une opération criminelle visant à instaurer une dictature mondiale. Parmi les experts figurent des conseillers de l'OMS, un fonctionnaire des Nations unies, des membres des services secrets britanniques, d'anciens officiers de l'armée américaine et britannique, un expert du Center for Disease Control, un ancien vice-président de Pfizer, un lauréat du prix Nobel de médecine et de nombreux autres témoins de haut niveau.

Ils ont bon espoir qu'une fois le procès terminé, des charges seront retenues contre tous les principaux accusés présumés.

L'accusation

Il est reproché que les gouvernements du monde entier sont tombés sous l'influence d'un contrôle de structures de pouvoir corrompues et criminelles, qui ont orchestré ensemble une pandémie qu'ils avaient planifiée depuis des années. À cette fin, ils ont délibérément créé une panique de masse par le biais de fausses allégations factuelles et d'une opération psychologique socialement construite, dont ils ont diffusé les messages par le biais des médias dominants. Cette panique de masse avait pour but d'inciter la population à accepter des injections expérimentales, appelées « vaccins », qui ne sont pas des vaccins. Celles-ci ne se sont révélées ni efficaces ni sûres, mais extrêmement dangereuses, voire mortelles. En particulier, les accusations portent sur Christian Drosten, Anthony Fauci, Tedros de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), Bill Gates, BlackRock et Pfizer. L'objectif final des pandémies mises en scène serait le contrôle total de tous les êtres humains. Les experts présentent à ce sujet des faits fondés.

Le constat des experts

Selon le groupe d'experts, le Covid-19 n'est qu'une pandémie de test PCR alimentée par une opération psychologique sophistiquée visant à créer une panique permanente au sein de la population mondiale. Le virus correspond à une grippe bénigne qui peut être soignée de manière sûre et efficace avec des traitements éprouvés. Mais tous ces traitements ont été interdits par ceux qui utilisent cette pandémie comme couverture pour faire avancer leur projet final, à savoir amener tout un chacun à recevoir des injections expérimentales non seulement inefficaces, mais aussi extrêmement dangereuses, voire mortelles.

Objectif de la pandémie de Covid

Selon le groupe d'experts, l'objectif principal est le contrôle mondial. Cela implique le pillage complet de l'économie. Cela implique la destruction délibérée des petites et moyennes entreprises, des commerces de détail, des hôtels et des restaurants, afin que des plateformes internationales comme Amazon puissent prendre le contrôle. Les mêmes forces qui ont fait de la grippe porcine une pandémie il y a 13 ans ont créé cette pandémie du Covid. Les politiciens n'ont pas empêché ces crimes financiers, car ils soutiennent ceux qui les commettent – et ils en profitent.

Le Forum économique mondial a pris le contrôle des gouvernements

Si, à l'époque de la faillite de Lehman, l'opinion publique mondiale avait regardé de plus près au lieu de croire aveuglément aux promesses des gouvernements selon lesquelles les responsables de ces crimes financiers seraient tenus pour responsables, l'opinion publique mondiale aurait alors vu que la mafia financière pillait les caisses publiques depuis des décennies. Au contraire, ils sont aux mains de la mafia financière, par le biais de sa principale organisation, le Forum économique mondial (FEM). Leur principale organisation, le Forum économique mondial de Klaus Schwab, avait déjà commencé en 1992 à créer ses propres leaders mondiaux par le biais du programme Young Global Leaders. Deux des premiers diplômés étaient Angela Merkel et Bill Gates. D'autres sont devenus des leaders politiques comme Sebastian Kurz, Justin Trudeau, Jacinda Ardern, Emmanuel Macron et bien d'autres. L'objectif était déjà à l'époque de réduire fortement la population et de la contrôler en manipulant l'ADN. Il était également prévu de détruire délibérément la démocratie, l'État de droit et les constitutions. Par le biais d'un chaos orchestré, les gens devaient consentir à perdre leurs identités nationales et culturelles et accepter à la place un gouvernement mondial unique sous l'égide de l'ONU, les Nations unies, qui sont déjà sous le contrôle total du Forum économique mondial. Cela implique des passeports numériques permettant de surveiller et de contrôler chaque mouvement. Et une seule monnaie numérique, disponible uniquement par le biais de la Banque mondiale, à condition de faire exactement ce que le gouvernement attend de vous.

La prise de pouvoir de la mafia financière – planifiée depuis plus de 20 ans

Le FEM promeut ouvertement, en étroite collaboration avec des personnes comme Bill Gates, les Rockefeller et d'autres, la réduction drastique de la population mondiale et la manipulation de l'ADN jusqu'au transhumanisme. Dans ce but, des plans concrets pour cette pandémie du Covid ont été élaborés au moins depuis le printemps 2001. Par exemple avec l'opération Dark Winter, suivie d'une autre répétition de ce type, l'exercice Lockstep de la Fondation Rockefeller en 2010. Et enfin, l'événement 201 en octobre 2019 à New York, sponsorisé par le Johns Hopkins Centre for Health Security, la Fondation Rockefeller, le Forum économique mondial et la Fondation Bill et Melinda Gates. Les témoins prestigieux suivants informeront le grand jury sur le contexte historique et géopolitique de la prise de pouvoir et de l'eugénisme : James Bush, un ancien membre de l'armée américaine qui a participé à l'opération Dark Winter en 2001. Les anciens membres des services secrets britanniques, Brian Gerrish et Alex Thompson. Les journalistes d'investigation Whitney Webb et Matthew Ehret, ainsi que les anciens collaborateurs et conseillers de l'Organisation mondiale de la santé, les Dr Sylvia Behrendt et Astrid Stuckelberger.

Comment l'extrême surmortalité a été si longtemps dissimulée

Jusqu'au début des injections expérimentales, il n'y avait nulle part de surmortalité. Début 2020, pas un seul cas n'avait été enregistré. Les experts expliquent comment l'urgence sanitaire internationale s'est produite et ce qui se cache derrière la légende de l'épidémie. Ils démontrent que le virus n'est pas plus dangereux qu'une grippe ordinaire. Ils prouvent que le test PCR ne peut rien dire sur les infections, alors qu'il a été utilisé comme seule base pour toutes les mesures anti-Covid. Et ils rapportent les effets secondaires et les décès massifs de ce qu'on appelle les « vaccins à ARNm », qui ne sont pas seulement inefficaces, mais qui mettent la vie en danger. Les personnes suivantes déposent en tant que témoins : le Dr Wolfgang Wodarg, un pneumologue expérimenté qui, il y a 13 ans, a réussi à démontrer que la grippe porcine était une grippe bénigne. Le professeur Ulrike Kämmerer, biologiste à l'Université de Würzburg et le Dr Mike Yeadon, ancien vice-président de Pfizer. Ainsi que le Dr Sylvia Behrendt, le Dr Astrid Stuckelberger de l'OMS, le Pr Dolores Cahill de l'Université de Dublin, le Pr Antonietta Gatti et le Pr Berkholz.

Pourquoi les malades de Covid ont été délibérément mal traités

Un autre groupe d'experts est composé du Dr Thomas Binder de Suisse, du Dr Brian Ardis du Texas, du Dr Shankara Chetty d'Afrique du Sud, du Dr Wolfgang Wordarg d'Allemagne et de John O'Looney, entrepreneur de pompes funèbres d'Angleterre. Ces témoins témoignent de la manière dont l'humanité a été victime, dès le début, d'une interdiction délibérée et totalement insensée d'utiliser des méthodes normales, efficaces et sûres pour traiter les maladies respiratoires. Au lieu de cela, des traitements souvent mortels ont été prescrits, qui sont aujourd'hui considérés comme des fautes médicales graves : intubation, Remdesivir et Midazolam. John O'Looney explique comment il a d'abord cru aux allégations de pandémie et a même aidé la BBC à diffuser la propagande alarmiste, jusqu'à ce qu'il réalise comment des personnes ont été délibérément tuées sous le couvert de la pandémie.

Erreurs de traitement et de vaccination Covid : Assassinat de masse par le gouvernement

Le Pr Alexandra Henrion-Caude, le Pr Sucharit Bhakdi, le Dr Vanessa Schmidt-Krüger, le Dr Robert Malone, inventeur de la technique du vaccin à ARNm, et le Pr Arne Burkhardt, pathologiste allemand, montrent que le Covid-19 est inoffensif et qu'il présente un taux de survie de 99,97% s'il est correctement traité. C'est la « vaccination » qui rend de nombreuses personnes malades et qui, depuis septembre 2022, provoque une surmortalité allant jusqu'à 40% en raison de l'empoisonnement par la protéine Spike et, en outre, de la désactivation du système immunitaire. Le Dr Mike Yeadon, ancien vice-président de Pfizer, raconte comment un groupe de scientifiques a même trouvé des preuves concrètes que les fabricants de vaccins expérimentent des doses mortelles afin d'étudier comment les effets secondaires mortels peuvent être manipulés pour que la population ne comprenne pas immédiatement ce qui lui arrive.

Les crimes des mesures de Corona

Le Pr Mattias Desmet, le Dr. Ariane Bilheran, Meredith Miller, le Pr Harald Walach et Stefan Cohen, collaborateurs du ministère allemand de l'Intérieur, tous des experts, expliquent comment les acteurs du Covid mis en cause, après avoir érigé l'urgence sanitaire en intérêt international, ont rapidement mis en place le confinement, les obligations de porter un masque, absurdes et dangereuses, et l'éloignement social, très dommageable tant physiquement que psychologiquement, pour finalement arriver à leur véritable objectif : les injections inefficaces, dangereuses et souvent même mortelles.

L'agenda de la domination mondiale

Alex Thompson, ancien officier des services secrets britanniques, explique que la City of London est la plus grande puissance financière du monde et que son objectif a toujours été la domination mondiale. Leur principale stratégie est le contrôle de l'esprit. Les experts montrent comment le contrôle mental, la manipulation psychologique et les techniques d'hypnose sont utilisés pour contrôler les opinions et le comportement du public dans le monde entier. Les informations sont étayées par des documents officiels des gouvernements et des organisations mentionnées. D'anciens conseillers de l'Organisation mondiale de la santé et des Nations unies révèlent comment l'OMS et l'ONU ont été entièrement dirigées par des entités privées et ont ainsi été établies comme un gouvernement mondial unique efficace. Ce qu'ils doivent faire, c'est imposer un état d'urgence sanitaire international et, de cette manière, ils peuvent priver l'ensemble de la population mondiale de tous ses droits et libertés. Il est évident que cela fait partie d'un plan de domination mondiale. Pour ce faire, il s'agit de réduire radicalement l'humanité et de la contrôler de manière impitoyable. Le petit reste d'êtres humains doit être modifié génétiquement, par exemple par des vaccins à ARNmessager, et complété techniquement, par exemple par des implants cérébraux, de telle sorte qu'il puisse être relié à des machines et à une intelligence artificielle, et totalement contrôlé jusqu'à ce qu'il obéisse parfaitement.

Conclusion

Les preuves des avocats et des experts sont déjà sur la table. Seuls un public critique mondial, des débats publics et le succès d'une plainte devant un grand jury peuvent encore arrêter les plans mortels de l'oligarchie financière suprême. C'est pourquoi la diffusion de ces faits est si importante. Car peu de gens ont conscience de ce qui est prévu et de ce qui est déjà en cours. Vous trouverez tous les détails et des informations complémentaires en cliquant sur le lien https://stopworldcontrol.com/jury.

source : Kla.tv
#52
Fraudes scientifiques / Explosion de cas de cancers du...
Dernier message par Ouebmestre - 15 Mars, 2023, 16:25:30
Explosion de cas de cancers du col de l'utérus chez la femme suédoise à partir de l'introduction du Gardasil en 2006



Idem pour de nombreux autres pays occidentaux corrompus par Big Pharma...
4 mars 2023 

Explosion de cas de cancers du col de l'utérus chez la femme suédoise à partir de l'introduction du Gardasil en 2006
7
PARTAGES
2.9k
VUES
PartagerTweeterPartager

Comme vous pouvez le constater vous-même, la recherche n'exige que quelques secondes sur le site officiel de l'OMS, en cliquant sur ce lien, le nombre de cas de cancers de l'utérus était en baisse jusqu'en 2006, l'année de l'introduction des injections du Gardasil de Merck en Suède par exemple. Depuis plusieurs décennies, le taux d'incidence baissait continuellement jusqu'à atteindre 1.5 cas pour 100 000 habitants, une broutille insignifiante qui ne représente certainement pas une urgence de santé publique. Puis, d'un coup, à partir de 2006 comme vous pouvez le constater, une augmentation exponentielle du nombre de cancers se confirme.





Malgré de très nombreux rapports d'effets indésirables graves ; malgré le retrait de cette vaccination en Autriche suite au décès du jeune fille vaccinée (les autorités locales ayant estimé que le dépistage était beaucoup plus efficace, moins dangereux et moins coûteux), la fin de sa recommandation au Japon... les autorités sanitaires européennes totalement corrompues par l'argent sale de Big Pharma vont maintenir la commercialisation de ce poison. Encore une fois, à l'instar du Covid-19, les effets indésirables en Autriche et ailleurs dans le monde sont niés.




Source :
https://www.lelibrepenseur.org/explosion-de-cas-de-cancers-du-col-de-luterus-chez-la-femme-suedoise-a-partir-de-lintroduction-du-gardasil-en-2006/
#53
Fraudes scientifiques / Gardasil épisode 6 : Aucune pr...
Dernier message par Ouebmestre - 14 Mars, 2023, 17:03:50
Gardasil épisode 6 : Aucune preuve qu'il prévienne le cancer du col de l'utérus, au contraire !

par La rédaction de l'AIMSIB | 12 Mar 2023 | 3 commentaires
Gardasil épisode 6 : Aucune preuve qu'il prévienne le cancer du col de l'utérus, au contraire !

Les révélations s'enchaînent autour de ce dossier terrible et voici presque venir le fin du fin, Marceau s'attaque aujourd'hui à cette allégation célèbre selon laquelle ce vaccin diminue la fréquence des cancers : il est probable que vous n'allez pas beaucoup aimer la suite. Un vaccin anticancer qui donne des cancers, c'est possible ? Mais ça, c'est déjà prouvé et c'est ici. Bonne lecture.

Pas d'étude préalable démontrant l'efficacité du Gardasil



Plus de 200 souches de papillomavirus humain (PVH) ont été identifiées et environ 40 d'entre elles « pourraient » causer le cancer, y compris le cancer du col de l'utérus, du pénis, de la bouche, du vagin, de la vulve et de l'anus. Parmi ceux-ci, le cancer du col de l'utérus est le type le plus courant de cancer attribué au PVH. Certaines souches sont également responsables des verrues génitales.

90% des infections au PVH disparaissent d'elles-mêmes sans traitement (*) car un système immunitaire qui fonctionne bien permet de contrôler le virus. Dans de rares cas cependant, une infection par un PVH à haut risque qui reste non traitée et non contrôlée peut se transformer en cancer.

Étant donné que l'infection par le PVH produit rarement des symptômes jusqu'à ce qu'elle devienne cancéreuse, il est conseillé aux femmes d'effectuer au moins un dépistage tous les trois à cinq ans, ce qui permettra d'identifier la présence du PVH et de le traiter. [1]


CitationAfin de convaincre les régulateurs et les responsables de la santé publique d'homologuer le Gardasil, Merck a menti sur l'efficacité du vaccin en annonçant à tort que le Gardasil prévenait le cancer du col de l'utérus. Aucune étude crédible ne démontre que le Gardasil prévienne le cancer du col de l'utérus.

Merck ne voulait pas investir le temps ou l'argent nécessaire pour effectuer des tests et a persuadé les régulateurs de lui permettre d'utiliser des « paramètres de substitution » pour étayer sa théorie selon laquelle les vaccins contre le PVH seraient efficaces pour prévenir le cancer du col de l'utérus.

L'utilisation de ces paramètres de substitution a permis à Merck de raccourcir les essais cliniques à quelques années et d'obtenir des approbations réglementaires pour les vaccins sans aucune preuve que les vaccins préviendraient le cancer à long terme.

En 2006, le premier vaccin contre le PVH, Gardasil, a été homologué ; d'abord en Europe en février suivi des États-Unis en juin.

En effet, l'EMA l'a approuvé avant la FDA, assez rare pour être souligné. [2] [3]

Lorsque le Gardasil a été introduit pour la première fois, la chercheuse sur le PVH, le Dr Diane Harper, a prédit qu'il faudrait 60 ans de vaccination d'au moins 70 % de toutes les filles de 11 ans pour réduire les taux de cancer du col de l'utérus aux États-Unis.

Mais en janvier 2020, une étude du Royaume-Uni a soulevé des doutes importants quant à savoir si le vaccin Gardasil prévenait le cancer du col de l'utérus, comme le prétend Merck. L'étude souligne le fait qu'il n'a jamais été prouvé que le Gardasil prévient le cancer du col de l'utérus (ou tout autre type de cancer). [4]

Capt écran
À noter qu'en France les dépistages étaient effectués tous les 36 mois car il est connu que l'écrasante majorité de ces lésions guérissent spontanément dans cet intervalle de temps. Mais depuis l'arrivée du Gardasil, les autorités de santé ont changé la fréquence de dépistage pour passer à 24 mois.
La suite, vous la connaissez :
CitationIl y a plus de lésions à PVH et, à partir de là, on vous raconte qu'il y a donc plus de cancers du col de l'utérus pour justifier la vaccination Gardasil.

Qui a bien pu demander ce changement de calendrier de dépistage ?

Merck bien sûr ! Ils sont tous corrompus, à tous les étages, c'est effrayant ! Observons que Merck lui-même recommande de continuer les frottis de dépistage qui sont aujourd'hui reconnus encore comme étant la meilleure prévention contre le cancer du col de l'utérus.

CitationC'est un peu comme le vaccin magique ARNm que tout le monde doit prendre pour être protégé des formes graves en plus du masque, de la distanciation sociale, du gel hydroalcoolique. Et contre les formes graves, il faut en plus le Paxlovid ! Bande de clowns !

En 2013, un groupe de chercheurs met en garde contre la supercherie [5] :

Capt. écran
Capt écran
CitationLe vaccin a été salué comme une percée qui réduirait les taux de cancer du col de l'utérus mais, dans le monde réel, il a largement échoué. Au contraire, le Gardasil est désormais suspecté d'AUGMENTER le risque de développer un cancer du col de l'utérus !

Plusieurs études (dont une du CDC qui a toujours soutenu le vaccin jusqu'à présent) ont montré qu'en supprimant certaines souches de PVH, les vaccins Gardasil créent une niche écologique pour d'autres souches jusque-là « plus faibles » qui, tout d'un coup, se retrouvent avec le champ libre pour se multiplier et pouvant entraîner d'autres cancers.

Les données de santé publique semblent étayer la conclusion selon laquelle le Gardasil pourrait augmenter le taux de cancer du col de l'utérus.

  • Après l'introduction du vaccin contre le PVH en Grande-Bretagne, les taux de cancer du col de l'utérus chez les jeunes femmes âgées de 25 à 29 ans ont augmenté de 54 %.
  • En Australie, 13 ans après la sortie du Gardasil et son introduction chez les adolescentes, il y a eu une augmentation de 16 % chez les femmes de 25 à 29 ans et de 30 % chez les femmes de 30 à 34 ans.

Pendant ce temps, grâce au dépistage, les taux diminuent pour les femmes plus âgées (qui n'ont pas été vaccinées). En d'autres termes, le Gardasil peut augmenter le risque de cancer en permettant à d'autres virus PVH de prendre la place (phénomène de remplacement) de ceux que le Gardasil est censé inhiber.

Ce sera l'un des nœuds des procès de certaines victimes qui déposent une plainte contre le vaccin Gardasil aux Etats-Unis.

Propagande, propagande....

La propagande des politiques corrompus continue pourtant de marteler que l'Australie aurait éradiqué le cancer du col de l'utérus grâce au Gardasil alors qu'il est impossible d'affirmer une telle chose. Il faudrait des décennies avant de pouvoir s'en rendre compte car ces cancers ne concernent pas les jeunes mais moins de 1% des femmes autour de 60 ans. Alors sur quoi se basent-ils ?

Bah oui, sur des modélisations mathématiques, pas sur des chiffres réels. Simulation publiée dans le Lancet en 2018, encore ce journal de malheur !!! [6]

Pourtant, la réalité a la vie dure car cet objectif d'éradication ne fait qu'être reporté : en 2021, l'OMS publiait un tableau de bord prédisant l'éradication de ce cancer en 2030 [7] :


Mais les dernières prédictions reportent cet objectif à 2035 ! [8]
On se marre, quel niveau d'escroquerie !
CitationAujourd'hui, bientôt 17 ans après l'introduction du vaccin Gardasil, on observe un « pic inquiétant » des taux de cancer du col de l'utérus à travers les pays les plus vaccinés avec des taux de vaccination pouvant aller jusqu'à 80 %. [9]

Capt. écran

En 2019, 73 % des adolescentes avaient reçu une dose et 57 % avaient reçu les deux doses dans la série. [10]
Comme indiqué dans le numéro de décembre 2022 de l'International Journal of Gynecological Cancer. [11]

Capt écran

En 2018, un article revu par les pairs est publié sur l'explosion des cancers du col de l'utérus en Suède et les auteurs l'ont liée directement à la vaccination contre le PVH. Cet article a été rétracté dans la foulée ! [12]

Capt écran

Ce paradoxe s'explique par le phénomène de remplacement introduit plus haut

Les souches initialement associées au cancer du col de l'utérus ayant été remplacées, chez les vaccinés, par de nouvelles souches jusque-là contrôlées par le système immunitaire.

Malgré ces observations inquiétantes et les questions persistantes sur son efficacité, l'establishment médical salue toujours le vaccin contre le PVH comme un succès, prétendant que les cancers du col de l'utérus associés aux souches vaccinales auraient diminué.

Depuis 2006, les cancers associés aux quatre souches de PVH incluses dans le vaccin quadrivalent original semblent avoir diminué de 88 % chez les 14 à 19 ans et de 81 % chez les femmes âgées de 20 à 24 ans. [13] Mais uniquement 14 cas de cancer du col de l'utérus/an se produisaient chez les femmes âgées de 15 à 19 ans avant l'introduction du vaccin !

Ce qui signifie qu'une baisse de 88 % n'est pas si impressionnante surtout que les taux ont aussi diminué chez les femmes non vaccinées.

La baisse n'est donc pas « entièrement » due au vaccin mais aux campagnes de dépistage beaucoup plus efficaces. [14]



En outre, lorsqu'on examine les cancers liés au PVH en général, sans tenir compte de la souche, les taux ont augmenté régulièrement depuis l'introduction du vaccin.

Comme l'a rapporté la Kaiser Family Foundation (KFF) en juillet 2021 :

  • « Les cancers liés au PVH ont considérablement augmenté au cours des 15 dernières années — en 2015, 43 000 personnes ont développé un cancer lié au PVH contre 30 000 en 1999. »

Les cancers oraux et anaux liés à l'infection par le PVH ont également augmenté. Alors que le cancer du col de l'utérus était le cancer associé au PVH le plus répandu, les cancers de la bouche sont désormais les plus courants alors qu'ils étaient quasi inexistants avant l'introduction du Gardasil ! [15] [16] Pourquoi ?

Le vaccin contre le PVH augmente le risque de cancer dû à d'autres PVH qui touchent plus les hommes et donc la réponse est de vacciner les adolescents aussi !

CitationLa principale cause de cette augmentation continue semble être l'augmentation des cancers associés aux souches non vaccinales. En effet, de nouvelles preuves suggèrent que la vaccination contre le PVH rend les femmes plus sensibles que leurs homologues non vaccinées aux génotypes de PVH non couverts par le vaccin.

Ainsi, essentiellement les femmes qui ont reçu le vaccin viennent d'échanger un risque contre un autre, tel que rapporté par Medscape. Grrrrr !!! [17]


  • « Les données proviennent de l'essai de vaccin contre le PVH au Costa Rica, qui a impliqué plus de 10 000 femmes âgées de 18 à 25 ans. Le vaccin contre le PVH utilisé dans l'essai était Cervarix, de GlaxoSmith Kline (2ème vaccin contre le PVH disponible en France). Il couvre les deux principales causes de cancer du col de l'utérus, les PVH 16 et 18, et offre une protection partielle contre trois autres génotypes. Après un suivi de 11 ans, chez les femmes vaccinées, il y avait un excès de lésions cervicales précancéreuses causées par des génotypes non inclus dans le vaccin, entraînant une efficacité vaccinale négative pour ces variantes du PVH... Les résultats sont probablement la première preuve à ce jour d'un « démasquage clinique » (ou phénomène de remplacement) avec la vaccination contre le PVH, ce qui signifie que la protection contre les souches couvertes par le vaccin rend les femmes plus sujettes aux attaques d'autres variantes cancérigènes du PVH. »
 


Ces résultats ont été publiés dans le Lancet Oncology du 1er juillet 2022 avec toujours la même conclusion, comme pour les injections COVID19, il faut continuer à vacciner avec ces poisons inutiles ! [18]

Le phénomène de remplacement connu par Big Pharma

Ce « phénomène de remplacement » est précisément ce qui s'est passé avec le vaccin antipneumococcique. À chaque fois qu'une souche prend le dessus à la suite de la disparition d'une souche réduite par un vaccin, les fabricants de vaccins au lieu de retirer leurs vaccins, y rajoutent les souches devenues dangereuses À CAUSE de leur vaccin initial.

La même chose se passe maintenant avec le vaccin contre le PVH.

CitationLe Gardasil a commencé avec 4 souches en 2006, pour être mis à jour avec 5 souches de plus en 2014 sans jamais expliquer au public pourquoi ces 5 nouvelles souches initialement bénignes (HPV31, 33, 45, 52 et 58) y ont été ajoutées.  Et gardez en tête qu'il y a 200 souches différentes de PHV ! [19]

Comme disait Sylvestre des « guignols de l'info »,  le but est de toujours « vendre encore plus de vaccins ». Big Pharma et les corrompus gagnent toujours !

Ne manquez pas la petite vidéo ci-dessous 😅 [20]

La seule réponse à cela est de dire NON et de les exposer !

https://www.youtube.com/watch?v=pL5_p-tnA-g

Note :
Le Cervarix de GSK, un autre vaccin contre le PVH (il couvre lesdites deux principales causes de cancer du col de l'utérus, les PVH 16 et 18), est disponible en Europe et dans d'autres parties du monde mais, depuis 2017, Gardasil® 9 est le seul vaccin contre le PVH approuvé pour une utilisation aux États-Unis.[21]

Donc, malgré la faible prévalence des cancers du col de l'utérus (le risque pour une femme d'être diagnostiquée d'un cancer du col de l'utérus n'est que de 0,7 % aux USA !),  l'OMS et Bill Gates poussent comme des dingues pour faire vacciner toutes les adolescentes surtout avant qu'elles ne puissent être en âge de procréer.

CitationTout comme pour les injections COVID-19, ces vaccins touchent à la fertilité des femmes et des hommes très probablement aussi. Comment peut-on faire prendre un tel risque pour un bénéfice plus que douteux et qui n'en vaut pas la peine de toute façon ? Une bande de criminels !

Enfin, les propres données de Merck ont montré que l'administration du vaccin Gardasil aux filles qui avaient déjà été exposées au PVH augmentait en fait leur risque de développer des lésions précancéreuses (ou pire) de près de 45 %.

Comment vont-ils pouvoir prouver que nos enfants n'ont jamais été infectés par le PVH avant de les injecter ?

Se sont-ils juste posés la question ?

Non, car tout n'est ensuite que fric et corruption !

Marceau 
 Mars 2023
#54
Fraudes scientifiques / Épisode 5 : Gardasil – Des ess...
Dernier message par Ouebmestre - 14 Mars, 2023, 16:46:28
Épisode 5 : Gardasil – Des essais cliniques truqués

par La rédaction de l'AIMSIB | 5 Mar 2023 | 22 commentaires

Épisode 5 : Gardasil – Des essais cliniques truqués

Cette semaine Marceau épluche pour nous la liste proprement hallucinante des effets indésirables du vaccin Gardasil, tant en fréquence, en gravité qu'en variétés diagnostiques. Il valait mieux tenter de tricher sur leur sur-représentation, l'AIMSIB le sait depuis 2019 alors qu'elle pensait facilement pouvoir faire condamner un « négationniste » de la question (*), à présent même les Présidents de la République vendent des vaccins alors... Mal supporté le Gardasil, des propos d'anti-vax ? Bonne lecture.
 
Dans les essais cliniques « vaccins », les sujets de test prenant le vaccin sont comparés à des sujets d'un autre groupe prenant un placebo. Selon les réglementations fédérales américaines et les experts de l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS), en particulier pour un nouveau vaccin, le contrôle par rapport auquel la sécurité du vaccin est mesurée devrait être un placebo inactif (inerte). Il ne doit produire aucune réaction. Souvent, le placebo est une injection d'une solution saline (sérum physiologique).

CitationDans les essais cliniques du vaccin Gardasil, Merck a « dopé » le placebo avec son adjuvant le sulfate d'hydroxyphosphate d'aluminium amorphe (AAHS), neurotoxique.

Le résultat a été qu'un nombre approximativement égal de sujets dans le groupe vacciné et dans le groupe placebo ont subi des effets indésirables. Cela a permis aux effets indésirables dans les deux groupes d'apparaître similaires et de donner l'impression que le vaccin Gardasil PVH était « aussi sûr qu'un placebo », ou aussi sûr que le sérum physiologique dans la tête du quidam moyen.

CitationEn fait, une quantité importante de sujets dans les deux groupes de traitement souffraient de nombreuses conditions médicales graves, y compris des symptômes de maladies auto-immunes... pour ce qui a été publié !

La communauté médicale a pourtant soulevé des objections sur les graves défauts dans la façon dont Merck a conçu, analysé et rapporté ses études sur le Gardasil.

https://www.bmj.com/content/346/bmj.f2865/rr-7
 
En particulier en 2013, de nombreux professionnels de la santé ont publié un article dans le British Medical Journal (Call to action : RIAT restore of previous unpublished method in Gardasil vaccin trial) soulignant les failles et le caractère incomplet des publications traitant des essais cliniques Gardasil de Merck.

Les auteurs ont lancé un « appel à l'action » pour que des chercheurs indépendants réanalysent ou « rétablissent la notification de plusieurs essais dans le cadre du programme de développement clinique de Merck pour le vaccin quadrivalent contre le papillomavirus humain (PVH) (Gardasil) ».

CitationComme vous pouvez le voir, les vaccins dits COVID-19 ne sont pas les premiers développés de manière frauduleuse, le BMJ dénonçait déjà ces pratiques mafieuses et les FDA/EMA financées par les labos approuvaient déjà des injections toxiques. [1] [2]

Comme Pfizer pour ses injections ARNm, Merck n'a pas signalé un grand nombre d'effets indésirables graves comme effets secondaires du Gardasil prétendant qu'ils n'étaient pas liés à l'injection.

Au contraire, Merck a classé ces maladies graves comme de « nouvelles conditions médicales » sans rapport avec le vaccin Gardasil.
Près de 50 % des participants à l'étude ont signalé une « nouvelle condition médicale ». Ceux-ci comprenaient des taux élevés de maladies neurologiques, musculosquelettiques et auto-immunes comme nous le verrons plus loin dans les documents de l'EMA.

Le 27 juillet 2018, le BMJ Evidence-Based Medicine a publié une critique d'un examen antérieur des essais cliniques du vaccin contre le PVH. Les auteurs ont fait plusieurs observations indiquant un biais dans la manière dont les essais ont été menés.

CitationIls ont rapporté qu'un tiers (31%) des études cliniques Gardasil (quadrivalent) et Gardasil 9 n'étaient pas publiées ! Cela soulève la question du biais de publication, la pratique courante consistant à ne publier que les résultats positifs et à ne pas mentionner les résultats négatifs.

Aucun des essais cliniques sur le vaccin contre le PVH inclus dans la revue n'a utilisé un véritable placebo inactif. Les soi-disant placebos contenaient TOUS des adjuvants avec de l'aluminium et d'autres ingrédients, biaisant ou annulant tout effort pour déterminer le risque accru réel d'événements indésirables causés par le vaccin, par rapport à un véritable placebo inactif.
Les auteurs mentionnent également une étude de l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) de 2017 qui a révélé de graves dommages liés au syndrome de tachycardie orthostatique posturale (POTS) et au syndrome douloureux régional complexe (SDRC) après la vaccination contre le PVH. Ils notent qu'en mai 2018, une base de données de l'OMS contenait 526 cas de POTS et 168 cas de SDRC liés à la vaccination contre le PVH. [3]

L'OMS dont l'intérêt premier n'est certainement pas notre santé pousse néanmoins toujours pour la vaccination des ados du monde surtout quand des cas d'infertilité directement liés au Gardasil commencent à être rendus publics.

Signal de sécurité détecté pour une insuffisance ovarienne prématurée à la suite de la vaccination avec le Gardasil [4] :

Selon une étude publiée en juillet 2020, l'exploration de données du VAERS a également révélé un nombre disproportionné de signalements d'insuffisance ovarienne prématurée (POI) et de problèmes analogues, notamment l'aménorrhée (absence de menstruations), des règles irrégulières, une augmentation de l'hormone folliculo-stimulante (FSH) et ménopause prématurée. [5]



Une POI se produit lorsque les ovaires d'une femme cessent de fonctionner normalement avant l'âge de 40 ans, ce qui réduit ses chances de tomber enceinte. Cela augmente également son risque d'anxiété et de dépression, de certaines maladies oculaires, de maladies cardiaques, d'hypothyroïdie (faible fonction thyroïdienne) et d'ostéoporose (faible densité osseuse). [6]

CitationTout comme pour la Spike des injections COVID-19, les protéines synthétiques contenues dans le Gardasil partagent des similitudes avec des protéines qui sont importantes pour maintenir le bon fonctionnement des ovaires.

Après vaccination, le corps crée donc une réponse immunitaire au Gardasil qui provoque une attaque contre des protéines spécifiques responsables du bon fonctionnement des ovaires. La liaison de ces protéines spécifiques les a détruites et/ou les a rendues dysfonctionnelles, entraînant le développement d'une insuffisance ovarienne primaire.

Études concernant le lien entre le Gardasil et les maladies auto-immunes :

Il n'y a pas seulement le témoignage de ceux qui ont souffert de symptômes débilitants après avoir reçu le vaccin Gardasil PVH, mais aussi plusieurs études qui ont été menées pour déterminer le lien entre le Gardasil et les effets secondaires graves.
L'Université de la Colombie-Britannique a publié une étude qui a déterminé qu'il y avait effectivement un lien entre le Gardasil et une myriade de rapports de maladies auto-immunes présumées chez les receveurs. [7]

Alors que nombre de médecins VRP continuent de soutenir que le Gardasil est sûr en niant les effets secondaires graves, un nombre important de jeunes filles et garçons ont été gravement blessés au fil des ans. Les effets indésirables graves signalés au Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) en rapport avec le Gardasil comprennent aux USA, sans toutefois s'y limiter, les éléments suivants :

CitationMerck, les autorités sanitaires, et les politiques des différents pays nient en bloc tout lien entre les injections et les effets secondaires graves de ce vaccin MAIS un document OFFICIEL de décembre 2014, obtenu récemment de l'EMA via une requête FOIA, démontre que tous les signaux étaient présents dans les essais cliniques, que les autorités sanitaires SAVAIENT TOUT mais qu'elles ont approuvé malgré tout et ferment désormais les yeux sur toutes les remontées de terrain.

Nous rapportons ci-dessous une partie du contenu du document de 81 pages, mais il mérite d'être lu en entier et sauvegardé pour les procès à venir si d'aventure une majorité de parlementaires corrompus parvenait à rendre ce poison obligatoire. [8]



Note : Les vaccins Gardasil quadrivalent puis nonavalent Gardasil 9 ont été développés d'un partenariat entre Merck pour les USA et Sanofi-Pasteur pour l'Europe. C'est pour cette raison que sur le rapport il y est reporté le nom de Sanofi-Pasteur/MSD.

À la suite de nombreuses plaintes à cause des effets secondaires graves des injections, Sanofi-Pasteur a rompu la collaboration pour « se concentrer sur leur vaccin contre la Dengue, ont-ils justifié ». Donc les criminels de Sanofi-Pasteur sont aussi responsables que Merck/MSD pour ce désastre sanitaire. [9]

Les rapporteurs de l'EMA constatent donc :

▪️ Beaucoup d'effets secondaires systémiques graves ont été rapportés dans l'essai clinique mais ils s'accommodent de la réponse de Merck qui les considère comme bénins !


▪️ Des douleurs thoraciques et abdominales 4 fois supérieures à la normale mais rien, Merck botte en touche :

▪️ Des effets secondaires pouvant être précurseurs de maladies neurologiques et auto-immunes mais sans intérêt pour Merck :


▪️ Vascularite pulmonaire avec soupçons de SLE = Systemic Lupus Erythematosus.

L'EMA écrit que c'est un risque très élevé et qui doit être investigué après la mise sur le marché !
Pourquoi mettre un produit qui démontre déjà le potentiel pour déclencher le Lupus et qui va être administré à des ados pour un cancer qui a une si faible prévalence ?

Surtout que Merck ne fera aucun suivi !



▪️ POTS = postural orthostatic tachycardia syndrome qui est le syndrome de tachycardie posturale (PoTS) extrêmement handicapant et qui se retrouve chez beaucoup de plaignants aux USA dont la vie est fichue – l'EMA écrit que ce signal était déjà préoccupant dans les vaccins bivalents et quadrivalents précédents et pourtant les injections n'ont jamais été retirées !

C'est aussi un des effets secondaires les plus rapportés dans la base de données de l'OMS mentionné plus haut !



Ce rapport date de fin 2014 et concerne la demande d'homologation du Gardasil 9.

Donc, l'EMA savait pertinemment à ce moment que ce syndrome POTS était déjà un problème avec les vaccins Gardasil bivalents et quadrivalents. Et pourtant en 2015, lorsque les médecins danois faisant face à une explosion d'effets secondaires graves chez les jeunes filles vaccinées avec les Gardasil 4 (dont les POTS) ont demandé à l'EMA de revoir la sécurité de ce vaccin, les officiels de l'EMA ont affirmé qu'il n'y avait aucun lien entre POTS et vaccin Gardasil. Voir absolument la vidéo ci-dessous de 7 min. Édifiante ! [10]

▪️ 2 cas de leucémies aiguës recensées par l'EMA alors que seules des personnes 100% saines ont été recrutées pour les essais cliniques.

Tout antécédent de cancer ou suspicion ont été écartés.


La réponse de Merck est à vomir : non seulement ils avouent qu'il y a eu 5 cas de leucémies et non 2 mais concluent qu'il n'y a pas de lien avec le vaccin et qu'il n'y a pas besoin de surveillance post marketing !


Les cas de leucémies se sont déclarés respectivement :
• 3.5 ans après dose 3,
• 3 mois après dose 2,
• 3.5 ans après dose 3,
• 2 ans après dose 3,
• et 1.5 ans après dose 3.

CitationL'EMA n'a pas été convaincue par la réponse de Merck et a même considéré que les cas de leucémies post vaccination Gardasil pourraient être beaucoup plus nombreux car éloignés de la vaccination et les victimes ne faisant pas le lien (lire réponse complète de l'EMA p.49).

Le problème a été considéré comme non résolu par les rapporteurs avec demande de suivi post marketing, mais qu'en est-il réellement ?
Comment peuvent-ils faire prendre un tel risque à nos enfants sachant la possibilité de déclencher une leucémie jusqu'à 4 ans après l'injection ? Quel médecin fera le lien surtout que ces cas n'apparaissent nulle part sur la notice du vaccin !

▪️ Plus de la moitié des vaccinés ont développé une maladie post injection mais Merck n'a listé que celles avec une incidence >1%.

CitationL'EMA a demandé la liste de celles < 1% potentiellement graves comme la sclérose en plaque ou la narcolepsie. La réponse de Merck n'ayant pas été satisfaisante, l'EMA a considéré ce problème non résolu.

▪️ Pour faire plus de fric, le Gardasil 9 aux USA est aussi offert aux femmes jusque 45 ans, ce qui est complètement stupide sachant que ce vaccin ne sert à rien une fois que les personnes ont déjà été exposées aux PVH au début de la sexualité.

Et parmi ces femmes qui se sont faites injecter dans les 30 jours avant de tomber enceinte, ils ont observé un fort taux de fausses couches !

Que de similitudes avec les vaccins ARNm COVID-19...



▪️ 13 cas d'arthrites indicatifs de signes précurseurs de maladies auto-immunes non suivis (😡 bon sang, on parle d'adolescentes !) – l'EMA demande ce qui est advenu de ces 13 cas parce qu'aucun suivi n'a été référencé ? Merck prétend avoir eu une erreur informatique et que ces cas d'inflammations des articulations se sont résorbés tout seuls...



▪️ Un nombre important d'autres effets secondaires graves dans l'essai clinique (encéphalomyélite disséminée aiguë, pancréatite, troubles de la thyroïde...) et au lieu de refuser la mise sur le marché, l'EMA demande simplement à Merck de surveiller post marketing considérant le bénéfice > risque ! Vous connaissez la suite...



▪️ La mention de 17 avortements post vaccination comme effets secondaires graves, car ces avortements ont dû être provoqués probablement suite à des morts fœtales, sans plus de détails.



Donc en dépit de tous ces signaux et effets secondaires sans précédent (avant les injections COVID-19), la FDA et l'EMA ont approuvé ce vaccin.

Tout ce à quoi nous nous sommes réveillés avec les injections COVID-19 était normal business pour toutes les injections dont le Gardasil.
Tous les signaux étaient là dans les essais cliniques mais les autorités sanitaires corrompues ont fermé les yeux et ont validé, mettant la vie de nos enfants en jeu et ensuite NIANT l'existence de ces effets secondaires en prétendant qu'il n'y aurait pas de lien.

Ce rapport est donc une farce, comme probablement tous les rapports de demande de mise sur le marché des vaccins et autres médicaments dits innovants : l'EMA demande à Merck de justifier les signaux préoccupants, Merck répond à côté et/ou en minimisant tout sans vergogne.

Je vous laisse lire les réponses (amateurs de bullshit, faites-vous plaisir). Merck ne produit aucune étude pour infirmer les signaux de l'essai et l'EMA valide sans en demander plus si ce n'est qu'ils suivent cela une fois les vaccins déployés... mais vous connaissez la suite.

CitationPoint important : les essais cliniques excluent tous ceux qui souffraient d'allergies, de troubles immunologiques ou nerveux, d'au moins quatre partenaires sexuels, de vulnérabilités génétiques à toute maladie connue (y compris le cancer) et ceux qui souffraient d'infections générales, d'antécédents d'abus d'alcool ou de drogues, et/ ou une maladie grave ou chronique. De nombreuses femmes ayant des antécédents de troubles immunologiques ou du système nerveux ont été exclues des essais, démontrant ainsi que Merck savait que le Gardasil aggraverait leur condition.

Le problème, bien sûr, est que les enfants ne sont présélectionnés pour aucune de ces vulnérabilités avant de recevoir le vaccin. En réalité, toute personne atteinte d'une ou plusieurs de ces conditions ne devrait pas recevoir le Gardasil, car il n'a jamais été étudié chez une personne atteinte de ces conditions. Il n'a été testé pour la sécurité que sur les enfants les plus sains possibles. [11]

Merck comme Pfizer sont des entreprises sans foi, ni loi qui se foutent de nos vies. Il n'y a que le profit qui compte comme le prouve le scandale précédent du Vioxx.

L'agence du médicament a donc fermé les yeux et approuve ce vaccin le 10 juin 2015 (6 mois après la date de ce rapport) malgré les signaux clairs de danger pour nos ados.

Quel est le niveau de corruption pour fermer les yeux sur des signaux de sécurité criants ?!

Merck se targue de pouvoir le rendre obligatoire avec des valises de « biftons » (oui, oui : voir plus loin), nos politiques et l'establishment médical poussent jusqu'à vouloir le rendre obligatoire. [12]

Notice de l'EMA sur le Gardasil ne faisant mention d'aucun des effets secondaires pourtant présents dans leur rapport ci-dessus. [13]
La notice de la FDA fait mention de plus d'effets secondaires que celle de l'EMA [14]

En 2011 c'est le journal 20 minutes qui pointe les effets secondaires graves de ce vaccin [15] :

Les preuves sont accablantes contre le Gardasil donc nous ne voyons pas comment une obligation vaccinale pourrait passer ! Mais il faut s'armer avec le maximum d'arguments contre cette éventualité, puisque l'argent est roi et veut faire loi.

En avril 2018, Peter Gøtzsche a donné une conférence sur ses découvertes sur les vaccins contre le PVH et a expliqué notamment comment l'EMA a caché les effets secondaires du Gardasil [16] :

« Les vaccins contre le PVH sont controversés car il existe d'importantes incertitudes... L'histoire des vaccins est très intéressante ». Il aborde l'écart entre la santé publique et la santé individuelle, et c'est un exemple, parmi tant d'autres, que nous ne pouvons pas faire confiance à nos régulateurs de médicaments.

D'autres lectures relatives aux essais truqués de Merck/Sanofi-Pasteur pour faire approuver le Gardasil et autres effets secondaires [17] [18] [19] [20] [21] [22] [23] [24] [25] [26] [27] :




Mais le plus important est que Merck n'a JAMAIS démontré que son vaccin Gardasil pouvait prévenir le cancer du col de l'utérus et toute la fraude est là !

Pire, ce vaccin semble être responsable de plus de cancers encore !

Marceau
 Mars 2023

Notes et références :
(*)

https://www.aimsib.org/2019/06/17/bienvenue-en-republique-bananiere-francaise/

[1] https://www.bmj.com/content/346/bmj.f2865/rr-7
[2] https://www.corvelva.it/en/approfondimenti/pubblicazioni/hpv/call-to-action-ripristino-riat-di-una-metodologia-precedentemente-non-pubblicata-negli-studi-sul-vaccino-di-gardasil.html
[3] https://ebm.bmj.com/content/ebmed/early/2018/07/27/bmjebm-2018-111012.full.pdf
[4] https://www.sadakafirm.com/vaccine-injury/gardasil/
[5] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32612121/
[6] https://medlineplus.gov/primaryovarianinsufficiency.html
[7] https://www.researchgate.net/publication/300631961_Adverse_Reactions_to_Human_Papillomavirus_Vaccines
[8] https://fr.scribd.com/document/367386169/Day-150-JRAR-Clinical-Bortredigerad?secret_password=xeOaPPIdg5yEMz4SK7x0#
(Il faut s'enregistrer si vous voulez sauvegarder le PDF du rapport avant censure.)
[9] https://www.biopharmadive.com/news/ending-20-year-partnership-sanofi-and-merck-close-down-joint-vaccines-vent/415233/
[10] https://odysee.com/@sourcesetfaits:8/Effets-secondaires-du-Gardasil-au-Danemark:7
[11] https://vaccineimpact.com/2019/nations-leading-lawyers-take-on-gardasil-vaccine-fraud-in-u-s-court/
[12] https://fr.scribd.com/document/367386169/Day-150-JRAR-Clinical-Bortredigerad?secret_password=xeOaPPIdg5yEMz4SK7x0#
[13] https://www.ema.europa.eu/en/documents/product-information/gardasil-epar-product-information_en.pdf (le lien ci-dessous peut ne pas fonctionner depuis la France, nécessite parfois un VPN)
[14] https://www.fda.gov/media/74350/download
[15] https://www.20minutes.fr/sante/802652-20111010-cancer-gardasil-vaccin-effet-boomerang
[16] https://www.youtube.com/watch?v=tP-Th9Ug_vg
[17] https://www.lexpress.fr/sciences-sante/sante/gardasil-le-vaccin-contre-le-cancer-de-l-uterus-critique-par-420-medecins_1504507.html
[18] https://childrenshealthdefense.org/news/new-study-vaccine-manufacturers-fda-regulators-used-statistical-gimmicks-hide-risks-hpv-vaccines/
[19] https://childrenshealthdefense.org/defender/merck-gardasil-hpv-vaccine-autoimmunity/
[20] https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0896841122001299
[21] https://www.youtube.com/watch?v=jr4ttweKdgo
[22] https://www.lexpress.fr/sciences-sante/sante/le-vaccin-gardasil-vise-par-une-plainte_1302367.html
[23] https://www.researchgate.net/publication/300631961_Adverse_Reactions_to_Human_Papillomavirus_Vaccines
[24] https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/marie-oceane-et-l-affaire-du-gardasil-que-personne-d-autre-ne-vive-la-meme-galere-1385391495
[25] https://twitter.com/CuendetV/status/1334518892321009671
[26] https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/ne-vaccinez-ni-filles-ni-garcons-par-gardasil-un-vaccin-dangereux-et-inefficace
[27] https://twitter.com/BernardSudan/status/1602058319975403521?s=20&t=4HxM5MAXvBpNhV-7vHR0dA

Auteur de l'article : La rédaction de l'AIMSIB

Lire tous les articles de La rédaction de l'AIMSIB
https://www.aimsib.org/2023/03/05/episode-5-gardasil-des-essais-cliniques-truques/
#55
Fraudes scientifiques / Gardasil épisode 4 : Mais au f...
Dernier message par Ouebmestre - 14 Mars, 2023, 16:12:40
Gardasil épisode 4 : Mais au fait, le Gardasil c'est fait avec quoi ?

 par La rédaction de l'AIMSIB | 26 Fév 2023 | 19 commentaires
Gardasil épisode 4 : Mais au fait, le Gardasil c'est fait avec quoi ?
Progressivement Marceau avance dans sa démonstration implacable. Il se lance ici dans une énumération extrêmement instructive de la composition du produit. S'il faut rappeler que l'identification de certains adjuvants des vaccins à ARNm ne sont toujours pas divulgués, vous apprendrez qu'il en est de même pour un constituant essentiel du Gardasil. Mais pire, quelle différence de probabilité hallucinante avez-vous de mourir, entre un cancer du col de l'utérus et une vaccination par Gardasil ? Bonne lecture.
 
Le Gardasil est un vaccin approuvé pour une utilisation chez les adolescents, hommes et femmes âgés de 11-14 ans, pour prétendument prévenir les infections sexuellement transmissibles par plusieurs types de papillomavirus humains (PVH en français ou HPV en anglais).
Certains types de PVH sont associés au cancer du col de l'utérus et le Gardasil a été fortement promu comme une protection nécessaire contre le cancer du col de l'utérus. Le vaccin a ensuite reçu l'approbation de la FDA, puis des autres autorités sanitaires pour la prétendue protection contre d'autres cancers et maladies chez les hommes et les femmes de la même tranche d'âge, tout cela sans aucun essai clinique pour corroborer ces allégations, comme nous le démontrerons plus loin.

Il existe plus de 200 types de PVH, chacun avec un numéro.

Le Gardasil a été conçu pour protéger contre certains types de PVH.

• Les PVH dits « à haut risque » sont associés à la croissance de cellules potentiellement précancéreuses sur le col de l'utérus.
• Les types dits « à faible risque » présentent peu ou pas de risque de cancer du col de l'utérus, mais ils peuvent être associés à des verrues cutanées et génitales.

Le Gardasil 9 a été conçu pour prévenir l'infection par sept types de PVH à haut risque (16, 18, 31, 33, 45, 52, 58) et deux types à faible risque (6 et 11). Ce vaccin a été approuvé par la FDA en 2014 aux USA et par l'Agence Européenne du médicament (EMA) le 10 juin 2015, soit il y a à peine 7 ans !

CitationPlus de 90 % des nouvelles infections au PVH, y compris celles causées par des types de PVH à haut risque, disparaissent naturellement en 1 à 2 ans. L'élimination de l'infection se produit généralement dans les 6 mois. Même lorsque le PVH ne disparaît pas et provoque des changements anormaux dans les cellules cervicales, ces « lésions », comme on les appelle, évoluent rarement vers un cancer !

Est-ce que le Gardasil est efficace ?

Les preuves que le Gardasil prévienne effectivement le cancer sont remarquablement faibles.

L'âge cible pour l'inoculation se situe entre 11 et 12 ans, mais l'âge médian de décès par cancer du col de l'utérus est de 64 ans en France et le taux de mortalité par cancer du col de l'utérus était de 2,8 pour 100 000 en 2020 sur la population féminine.

Ramené à la population française totale on parle de 1 000 morts par an, soit 0,0015% !

Il faut 15 à 30 ans pour qu'une infection par le PVH aboutisse à un cancer.

Avec un taux de mortalité aussi bas et les décennies nécessaires pour que le cancer se développe, il faudrait une population incroyablement nombreuse de patientes pour atteindre un résultat statistiquement significatif dans une étude pour montrer si le Gardasil prévient le cancer. Donc à ce stade, nous pouvons déjà dire que les essais cliniques de Merck n'ont pas pu démontrer ce qu'ils affirment, comme nous verrons plus loin. [1]

Le Gardasil peut-il causer le cancer ?

La notice du Gardasil indique : « Gardasil 9 n'a pas été évalué pour son potentiel de cancérogénicité ou de génotoxicité ». [2]

Capt. écran

Des chercheurs ont suggéré que l'élimination ou la suppression de certains virus PVH à haut risque pourrait en fait ouvrir une niche écologique pour des souches PVH encore plus dangereuses jusque-là maintenues sous contrôle et donc non oncogènes.

CitationEn d'autres termes, cela pourrait ouvrir des voies vers des cancers qui n'existaient pas avant la vaccination.

Décès par cancer du col de l'utérus versus décès par essai clinique Gardasil

Nous avons montré plus haut que l'incidence pour le cancer du col de l'utérus en France en 2020 était de 2,8 pour 100 000. En 2018, il était de 6 pour 100 000.

CitationLa baisse constante depuis plus de 20 ans est liée au dépistage et aux traitements précoces, pas à la vaccination qui ne remplacera jamais le dépistage. [3] Le taux de mortalité dans l'essai clinique du Gardasil toutes causes était de 85 pour 100 000 !

Le Gardasil : ingrédients et adjuvants

En immunologie, un adjuvant est un agent ajouté à un vaccin pour améliorer la réponse immunitaire à l'antigène du vaccin. Un adjuvant est inclus dans le vaccin et injecté avec l'antigène pour produire des anticorps contre l'antigène. Le CDC américain affirme que les adjuvants « aident les vaccins à mieux fonctionner » en produisant une réponse immunitaire qui protège une personne contre la maladie contre laquelle elle est vaccinée.

CitationMais il a été démontré que les adjuvants, y compris l'aluminium et d'autres ingrédients du Gardasil, provoquent de graves effets secondaires.

Les ingrédients dans le Gardasil :

1) L'aluminium :

Le sulfate d'hydroxyphosphate d'aluminium amorphe (AAHS) est ajouté au Gardasil pour produire une réponse immunitaire plus forte et plus longue que les autres dérivés de l'aluminium utilisés dans les vaccins classiques comme celui contre la diphtérie/tétanos/coqueluche (DTC) et l'hépatite B.

CitationLe AAHS, comme les autres sels d'aluminium, est neurotoxique s'il s'accumule dans le cerveau et il n'y a pas de données de test de sécurité humaine sur l'AAHS.

Aussi fou que cela puisse paraître, AAHS n'a jamais été testé par le gouvernement ou Merck. Des études animales indépendantes ont cependant montré que des animaux tels que des souris et des moutons, lorsqu'ils sont exposés à des adjuvants à base d'aluminium à des concentrations comparables à celles utilisées dans les vaccins humains, « développent d'étranges schémas comportementaux et des maladies ressemblant à des maladies auto-immunes » note CHD (Children Health Defense). [4]


 
Les autorités sanitaires ont validé le vaccin sans imposer d'études pour prouver l'innocuité de cet adjuvant, mais comme nous le verrons dans la partie sur les essais cliniques, elles savaient qu'il est dangereux et ont fermé les yeux !

Selon une étude publiée dans Nature en 2020, « le cerveau est un tissu cible pour l'accumulation d'aluminium ». L'étude confirme des recherches antérieures selon lesquelles des niveaux plus élevés d'aluminium existent dans le tissu cérébral des personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer, d'autisme et de sclérose en plaques. [5]

L'aluminium augmente la perméabilité de la barrière hémato-encéphalique. Cette barrière est la façon dont le corps empêche les toxines de pénétrer dans les tissus cérébraux. Un autre ingrédient du Gardasil, le polysorbate 80, possède également cette capacité.
Un rapport de 2021 sur la toxicité de l'aluminium dans Medscape indique que l'aluminium provoque un stress oxydatif dans le tissu cérébral et a une demi-vie dans le cerveau de 7 ans, ce qui « peut entraîner des dommages cumulatifs ».
La recherche a montré que l'aluminium a une capacité unique à provoquer de puissantes réponses immunitaires. De fortes doses d'aluminium peuvent provoquer une sur-stimulation du système immunitaire menant à des maladies auto-immunes = le système immunitaire attaque les propres organes du corps.
CitationMerck affirme que l'AAHS utilisé dans le Gardasil est protégé par le secret industriel et, à ce jour, a refusé de fournir des échantillons à des chercheurs indépendants pour des tests. Nous ne connaissons donc pas la composition complète de l'AAHS utilisé par Merck. [6]

2) Polysorbate 80 :

Le polysorbate 80 est un tensioactif, une substance qui réduit la tension superficielle des liquides. Il est utilisé dans les vaccins comme émulsifiant pour maintenir les ingrédients uniformément mélangés dans le liquide. Le polysorbate 80 affaiblit la barrière hémato-encéphalique et se lie assez étroitement à l'aluminium. Il a été associé à un choc anaphylactique et à des réactions d'hypersensibilité. Cet adjuvant a également été associé à des effets sur la reproduction et le cœur chez les animaux.

CitationL'American College of Pediatricians a averti que le Gardasil est lié à une affection connue sous le nom d'insuffisance ovarienne prématurée et que le polysorbate 80 ou l'aluminium contenu dans le Gardasil pourraient être à l'origine de cette affection.

3) Borate de sodium (borax) :

Le borate de sodium a été interdit dans les aliments aux États-Unis et présente un danger pour le système reproducteur masculin et le fœtus en développement. Il peut provoquer des réactions toxiques aiguës lorsqu'il est ingéré ou inhalé, ce qui soulève la question de savoir quelles réactions pourraient en résulter lorsqu'il est injecté. L'intensité d'une réaction toxique peut être influencée par la voie d'exposition.

4) L-histidine :

La L-histidine (également appelée histidine) est un composé chimique que le corps utilise pour fabriquer un autre produit chimique, l'histamine.

Lorsque vous ressentez une réaction allergique – démangeaisons, larmes, gonflement, urticaire – les histamines sont à l'œuvre dans le corps. Les histamines font partie du système immunitaire de l'organisme pour se débarrasser des substances allergènes (ex : le pollen, l'herbe, la nourriture) qui vous dérangent (c'est pourquoi vous prenez des antihistaminiques).

Les histamines sont impliquées dans un grand nombre de fonctions corporelles incluant le système nerveux central, le système cardiovasculaire et les voies respiratoires. Elles provoquent une inflammation et, comme l'aluminium et le polysorbate 80, elles augmentent également la perméabilité des vaisseaux sanguins.

Il a aussi été constaté que les histamines augmentaient la coagulation sanguine de 5 fois lorsqu'elles étaient combinées à des surfactants – et la mort par caillots sanguins est la forme de décès la plus courante après l'injection du Gardasil.

5) Levure génétiquement modifiée :

Le type de levure utilisé dans le Gardasil, Saccharomyces cerevisiae, peut provoquer une maladie auto-immune dans le corps.
Dans un article publié dans Clinical Reviews in Allergy & Immunology en 2013, les auteurs ont déclaré qu'« un nombre croissant d'études ont détecté un taux élevé d'ASCA [anticorps anti-S. cerevisiae] chez des patients atteints de maladies auto-immunes ». [7]  [8]

6) Fragments d'ADN du PVH non divulgués :

Des fragments d'ADN de PVH réels ont été trouvés dans des échantillons de Gardasil par le Dr Sin Hang Lee, un pathologiste spécialisé dans le séquençage d'ADN et l'analyse de séquences d'ADN.

CitationDr Lee a déclaré : « L'ADN de PVH contenus dans le Gardasil n'est pas de l'ADN naturel ».

Il s'agit d'ADN HPV recombinant (ADNr) – génétiquement modifié – à insérer dans des cellules de levure pour la production de protéines VLP (virus-like-particle).

L'ADNr est connu pour se comporter différemment de l'ADN naturel. Il peut pénétrer dans une cellule humaine, notamment dans une lésion inflammatoire causée par les effets de l'adjuvant aluminique, via des mécanismes mal compris... Une fois qu'un segment d'ADN recombinant est inséré dans une cellule humaine, les conséquences sont difficiles à prévoir. [9] [10] [11]



CitationCes fragments d'ADN de HPV ne sont pas divulgués dans la notice. [12] [13]

Nous avons essayé de vous expliquer ce qu'est le Gardasil, à quoi il est sensé servir et ce qu'on connaît de sa composition.

Il contient beaucoup de substances dangereuses et des particules d'ADN recombinantes qui s'assemblent toutes seules dans le corps pour former des particules synthétiques qui imitent les souches de virus naturels.

Le Gardasil ne contient en aucun cas des parties de virus réels qui auraient été isolées, dénaturées et formulées comme antigènes dans les vaccins. Ces vaccins anti-PVH ne contiennent pas de matériel génétique provenant de virus naturels sensés provoquer des cancers !

Pourquoi ne pas avoir utilisé de vraies particules virales comme antigènes ?

Marceau 
 Février 2023

https://www.aimsib.org/2023/02/26/gardasil-episode-4-mais-au-fait-le-gardasil-cest-fait-avec-quoi/
#56
Fraudes scientifiques / Gardasil épisode 3 : Dévastate...
Dernier message par Ouebmestre - 13 Mars, 2023, 15:22:45
Gardasil épisode 3 : Dévastateur et pourtant 17 ans sans procès, pourquoi ?

par La rédaction de l'AIMSIB | 19 Fév 2023 | 8 commentaires

Gardasil épisode 3 : Dévastateur et pourtant 17 ans sans procès, pourquoi ?

Cette semaine Marceau nous entraîne en 1986 aux USA, probablement au moment où la pire conséquence générée par la guerre froide a vu le jour. Puisque la protection des populations et des armées US nécessitait qu'on puisse déployer rapidement des anti-poisons en cas d'attaque Russe, la loi fédérale dut prévoir cette éventualité. Mais quel rapport avec la vaccination des bébés européens, me direz-vous ? Corollaire évident : ne serions-nous pas que des « Américains ratés » ? Bonne lecture.

Des bébés-parapluies

Arrêtons-nous un instant sur les États-Unis qui sont utilisés comme exemple pour imposer à nos enfants toutes les potions magiques qui sont injectées aux enfants américains. Nos politiques, médecins VRP et médias financés par le gouvernement nous disent souvent : regardez, les États-Unis ont rendu ce vaccin obligatoire depuis X années et tout se passe bien. Et ceci pour tous les vaccins qu'ils veulent rendre obligatoires en France.

CitationEn revanche ce qu'ils ne disent pas – mais je suis convaincu que beaucoup NE SAVENT PAS – c'est qu'aux USA, il ne peut pas y avoir de procès contre les vaccins recommandés par le CDC, même s'ils ne sont pas obligatoires !

Expliquons-nous : dans les années 80 après de nombreux procès perdus par les fabricants de vaccins à la suite de plaintes de parents d'enfants morts ou gravement blessées par des vaccins, les boites pharmas ont menacé les politiciens américains d'arrêter de fabriquer des vaccins s'ils ne passaient pas une loi les protégeant contre toute poursuite en cas d'effet secondaire grave ou mort.
C'est donc le 14 Novembre 1986 que le président Ronald Reagan signe le « National Childhood Vaccine Injury Act (NCVIA) » créant un fonds de compensation fédéral pour indemniser les victimes des vaccins, tout en donnant l'immunité TOTALE aux fabricants pour tous les vaccins mis dans le calendrier de vaccination des enfants recommandé par le CDC dès le début de la vie.



Vous comprenez donc pourquoi la FDA et le CDC, qui entretiennent des relations très étroites avec des labos comme Pfizer ou Moderna, ont validé toutes les injections COVID-19 jusqu'aux bébés.

Dès lors, une fois l'état d'urgence levé, plus personne ne pourra plus se retourner contre les fabricants car les injections sont incluses dans le calendrier vaccinal des bébés recommandé par le CDC, même si elles ne sont pas obligatoires.

CitationSi les bébés et jeunes enfants n'avaient pas été inclus, dès la levée de l'état d'urgence sanitaire aux USA, tous les adultes auraient pu se retourner au pénal contre Pfizer and Co.

MAIS, il y a une limite à cette immunité donnée aux fabricants de vaccins : si les victimes peuvent prouver que le fabricant a caché des données importantes, menti sur l'innocuité de ses injections en connaissance de cause, falsifié les données ou les essais cliniques, alors cette protection par le « Vaccine Act » tombe.

Des trous dans le parapluie

Il y a eu beaucoup de plaintes déposées depuis 2006 contre Merck, mais jusque-là les victimes ont toutes été déboutées car les juges ont estimé qu'il n'y avait pas de preuves suffisantes pour prouver que Merck aurait menti et triché sur les essais cliniques. Les victimes étaient donc invitées à demander compensation auprès du gouvernement fédéral pour leur blessures et maladies causées par le vaccin.

Après des années et des milliers de plaintes rejetées par la justice considérant qu'elles relevaient du « National Childhood Vaccine Injury Act », il semble enfin que les preuves accumulées ne puissent plus être ignorées par les juges pour traduire Merck en justice.

CitationCe procès qui va avoir lieu aux USA début 2023 contre Merck concernant le désastre du Gardasil avec les effets secondaires graves est donc véritablement exceptionnel, car en dépit du « Vaccine Act », le juge a estimé qu'il ne pouvait pas fermer les yeux et que Merck ne pouvait plus se prévaloir de cette protection. [1]
En ce qui concerne les injections COVID-19, nous avons déjà accumulé toutes les preuves et il sera aisé pour les victimes de démontrer la fraude bien plus rapidement qu'avec le Gardasil.

Donc, à l'avenir quand on vous donnera les USA comme exemple en vous disant ce vaccin a été rendu obligatoire depuis tant d'années sans problème (sous-entendu le vaccin est toujours administré et qu'il n'y a pas de plainte) rappelez-vous de ce « Vaccine Act » qui protège complètement les fabricants et laisse les victimes démunies.

De la même manière, quand n'importe quel vaccin est validé par le CDC américain pour les enfants et que vous ne comprenez pas pourquoi, rappelez-vous que l'immunité pénale ne fonctionne que si le vaccin est sur le calendrier des bébés, même s'il n'est donné qu'à l'adolescence, car il s'inscrit déjà dans le calendrier des 0-18 ans.

Ce qu'a imposé Pfizer à la France, par le biais du contrat européen négocié via SMS par Sainte Ursula von der Leyen, mais aussi à presque tous les gouvernements du monde dans le but de pouvoir soumettre les populations à ces injections mortelles dites COVID-19, n'est rien d'autre qu'une réplique de ce « Vaccine Act » en vigueur aux USA.

CitationLes labos pharmas ont donc réussi à décliner dans le reste du monde ce qui n'existait qu'aux USA : leur immunité TOTALE en cas d'effets secondaires liés à la vaccination dans le cas des injections COVID19 !

Depuis le « Vaccine Act » et sous la pression du département américain des armées, les vaccins jouissent également d'une nouvelle règlementation particulière exonérant les fabricants de la nécessité d'utiliser un vrai placebo dans les essais cliniques et d'effectuer de nombreux tests pour prouver leur innocuité comme la bio-distribution, la génotoxicité, la carcinogénicité, etc... qui étaient pourtant nécessaires et indispensables pour obtenir l'homologation.

Pourquoi les militaires ?

Il ne pouvait y avoir une règlementation aussi lourde car en cas d'attaques ou de menaces bactériologiques visant les militaires, l'armée américaine devait pouvoir rapidement formuler et injecter les soldats sans avoir à passer tous les tests de sécurité afin de théoriquement pouvoir les protéger.

Le problème est que cette règlementation s'applique désormais aussi à tous les vaccins destinés à la population civile ! Ce court-circuit ayant bien entendu été opportunément maintenu pour le plus grand bien de Big Pharma et Fauci & Co, mais au détriment des citoyens.
NOTRE PROBLÈME est que L'EMA en Europe ne fait que suivre les recommandations de la FDA américaine, donc en réalité l'Europe est sous la même règlementation imposée par l'armée américaine.

CitationLe fait que les vaccins rendus obligatoires par les états mafieux gangrénés par les lobbys pharmas, comme la France, transfère l'indemnisation des victimes du fabriquant vers l'état (ONIAM en France) revient effectivement à appliquer le même « Vaccine Act », sans qu'aucune loi française ne le permette ! [2]

Et enfin, comme l'a indiqué la députée européenne Virginie Joron [3], c'est Emmanuel Macron qui a poussé la Commission Européenne à négocier les contrats directement avec les fabricants de vaccins Covid-19 car il savait que le code pénal français ne lui permettrait pas de signer une telle clause d'immunité !

Pas merci à lui...

Le décor est planté, nous allons ensuite pouvoir plonger dans le vif du sujet...
Marceau 
 Février 2023
Notes et références
[1] https://www.law.cornell.edu/uscode/text/42/300aa-22
[2] https://www.youtube.com/watch?v=hE6A7dfku38
[3] https://twitter.com/v_joron/status/1603691701851357184?s=20

Auteur de l'article : La rédaction de l'AIMSIB

Lire tous les articles de La rédaction de l'AIMSIB


#57
Fraudes scientifiques / Gardasil épisode 2 : « De Viox...
Dernier message par Ouebmestre - 13 Mars, 2023, 15:08:09
Gardasil épisode 2 : « De Vioxx à Gardasil, comment faire confiance à Merck ? »


par La rédaction de l'AIMSIB | 12 Fév 2023




Cette semaine Marceau nous ramène à l'année 2007 qui n'a laissé en France aucun souvenir de crise sanitaire majeure, et pourtant ! Pour avoir sciemment écoulé pendant des années son Vioxx malgré des rapports internes catastrophiques concernant la mort régulière de ses consommateurs par quadruplement des crises cardiaques, Merck consent à s'acquitter de sept milliards de dollars d'amende. Pour revenir avec une furieuse envie de devenir le laboratoire le plus honnête de la planète ? C'est bien mal les connaître ! Voici Gardasil, « Help Pay for Vioxx » et le deuxième épisode de votre nouvelle série préférée. Bonne lecture... 

La firme pharmaceutique Merck a une longue histoire de mise sur le marché de produits controversés, notamment Fosamax (un prétendu médicament contre la densité osseuse qui a causé des fractures osseuses) et NuvaRing (un dispositif de contrôle des naissances associé à des caillots sanguins potentiellement mortels et à la mort).

CitationMais le plus grand scandale à ce jour, pour Merck et toute l'industrie pharma confondue, a été le scandale du Vioxx : un anti-inflammatoire de type coxib que la société a dû retirer du marché mondial en 2004 en raison des multiplications de morts par suite de crises cardiaques, AVC et autres problèmes cardiovasculaires.

Merck avait introduit le Vioxx sur le marché américain en 1999 en tant qu'alternative efficace et « plus sûre » aux anti-inflammatoires non stéroïdiens pour le traitement de la douleur associée à l'arthrose.

Selon le New England Journal of Medicine (NEJM), le retrait du Vioxx du marché a été « le plus grand retrait de médicaments sur ordonnance de l'histoire, et pourtant si les nombreux signes avant-coureurs avaient été pris en compte, une telle débâcle aurait pu être évitée. » [1].

Selon un article publié dans le BMJ, des documents internes et des communications obtenus de Merck lors du litige sur le Vioxx ont révélé que leurs scientifiques avaient reconnu très tôt l'existence des risques du Vioxx. Plus précisément, le journal médical a rapporté que :
  • « Depuis le début du développement du Vioxx, certains scientifiques de Merck craignaient que le médicament n'affecte négativement le système cardiovasculaire... Dans des courriels internes rendus publics par le biais des procès, on peut voir que les responsables de Merck ont cherché à truquer l'interprétation des données en faisant modifier les manuscrits des auteurs universitaires avant publication dans les revues scientifiques pour camoufler les effets du Vioxx sur le système cardiovasculaire » [2].

Selon d'autres documents découverts dans les litiges sur le Vioxx, Merck a orchestré la publication de nombreux articles écrits par des sociétés de communication médicales et des employés de l'entreprise. Merck a aussi recruté des leaders d'opinion universitaires clés pour être les principaux auteurs de revues médicales à comité de lecture. Et, pour lutter contre l'opposition, Merck a ciblé de manière sélective les médecins qui posaient des questions sur le Vioxx, allant jusqu'à faire pression sur certains d'entre eux par l'intermédiaire des chefs de département.

  • « Malheureusement, il est clair pour moi que l'intérêt commercial de Merck pour les ventes du Vioxx a dépassé ses inquiétudes concernant la toxicité cardiovasculaire potentielle du médicament« , a écrit le Dr. Eric J. Topol dans le NEJM.

(Non, vous ne rêvez pas, c'est bien le même Eric Topol qui a dû être généreusement arrosé depuis ses déclarations !)

La conduite de Merck concernant le Vioxx était si préoccupante que les rédacteurs du NEJM, dans une « expression de préoccupation » au sujet d'une étude publiée dans la revue, ont écrit que [3] :

On déplore aujourd'hui plusieurs centaines de milliers de morts du Vioxx avec les dernières estimations allant jusqu'à 500 000. Aux USA, le taux de mortalité était le plus élevé en 1999, année de la mise sur le marché du Vioxx et une chute de mortalité a été observée en 2004, année de son retrait du marché [4] [5].

Mais devinez quoi : la France ne décompte AUCUN mort lié au Vioxx. Quelle est la probabilité ? NULLE.
La France est toujours singulière, comme pour le nuage de Tchernobyl, comme pour les injections COVID19, donc je vous laisse réfléchir quant au Gardasil et à la valeur de ce que les « autorités sanitaires » disent ! [6] [7] [8] [9]
Capt. écran
Des dizaines de milliers de patients ont intenté des poursuites contre Merck, alléguant qu'ils avaient subi des crises cardiaques, des d'accidents vasculaires cérébraux et d'autres blessures cardiovasculaires à la suite de l'ingestion du médicament.

Le litige a révélé que Merck savait très tôt que le Vioxx était lié à des événements indésirables cardiovasculaires mortels, mais a intentionnellement choisi de dissimuler les risques au public et à la communauté médicale. Des poursuites ont accusé Merck d'avoir orchestré un stratagème pour minimiser la gravité des risques, déformé les résultats de ses essais cliniques, omis d'entreprendre les essais cliniques qui révéleraient les risques et mis à l'index les professionnels de la santé qui ont osé critiquer publiquement la sécurité du Vioxx. Rien que cela.

Merck SAVAIT [10] [11] [12] :


CitationMerck a finalement dû payer près de 5 milliards de dollars pour régler les dizaines de milliers d'actions en justice contre le Vioxx et 1 milliard de dollars supplémentaires pour régler un recours collectif en valeurs mobilières. La société a également été contrainte de payer 950 millions de dollars d'amendes civiles et pénales au ministère de la Justice et à d'autres entités gouvernementales à la suite de diverses activités criminelles auxquelles Merck s'était livré en ce qui concerne le Vioxx.
Soit un total de quasi 7 milliards de dollars ! [13] [14] [15]

Merck retire son produit en septembre 2004 et décide d'accélérer la mise sur le marché du Gardasil, alors toujours en essai clinique, pour combler les pertes du Vioxx !

Merck obtient alors rapidement de la FDA (inutile de vous les présenter) une procédure accélérée de mise sur le marché du Gardasil en 2006...

Comment ? Corruption, comme toujours !

Merck a alors trompé le public au sujet du vaccin Gardasil contre le HPV

À cette époque, Merck était encore sous le choc des pertes de milliards de dollars subies après avoir été contraint de retirer le Vioxx du marché. La société saignait et a précipité le vaccin Gardasil contre le HPV sur le marché.

Au sein de Merck, Gardasil a été décrit comme le « Saint Graal » qui aiderait l'entreprise à remplacer les revenus perdus du Vioxx.
Les dirigeants de Merck disaient souvent que « HPV » signifiait « Help Pay for Vioxx » = pour compenser les pertes du Vioxx. Ce n'est pas une blague ! Et comme si un tel cynisme n'était pas suffisant, un document interne de Merck, obtenu par l'avocat RFK Jr. dont le cabinet représente des victimes du Gardasil aux USA dans l'un des procès qui vont s'ouvrir en 2023, dit ceci :

Citation« Les analystes de Wall Street disaient que Merck était fini à cause du scandale du Vioxx, leur plus grosse source de revenus. Merck répondit : non, car nous avons quelque chose de meilleur. Nous avons un produit qui va être rendu obligatoire de manière que toutes les personnes dans le monde devront le prendre, chaque adolescent ; et cette fois nous ne serons responsables de rien car nous ne pouvons pas être pris » !



Les poursuites judiciaires contre le Gardasil allèguent que Merck a déformé les données internes et n'a jamais réellement étudié si son vaccin prévenait réellement le cancer du col de l'utérus. Au contraire, le laboratoire n'a étudié que son impact sur les précurseurs possibles du cancer du col de l'utérus.

De plus, en 2013, plusieurs éminents professionnels de la santé ont publié une étude dans le British Medical Journal soulignant les failles liées aux études internes menées par Merck. Il s'avère que leurs affirmations selon lesquelles le Gardasil pourrait prévenir le cancer du col de l'utérus étaient grandement exagérées.

Les différents cabinets d'avocats qui poursuivent Merck au nom de patients blessés par le Gardasil affirment que Merck s'est livré à des méfaits d'entreprise similaires au Vioxx avec son vaccin contre le HPV.

Selon le marketing de Merck, le Gardasil offre une immunité à vie contre le cancer du col de l'utérus et d'autres cancers associés au HPV. Cependant, les plaignants dans le litige Gardasil rétorquent que l'affirmation marketing de Merck d'après laquelle le Gardasil prévient le cancer (sans parler de l'immunité à vie), n'est pas prouvée. Les allégations indiquent que le Gardasil pourrait en fait être plus susceptible de provoquer le cancer chez les personnes précédemment exposées au HPV que de le prévenir.

CitationLes plaignants avancent que Merck sait et dissimule activement le fait que le Gardasil peut provoquer une constellation de réactions indésirables et d'effets secondaires graves, y compris des maladies auto-immunes, et la mort chez certains receveurs.

Selon les plaintes, le Gardasil contient de nombreux ingrédients dangereux, dont au moins un que Merck n'a pas divulgué aux autorités de réglementation et au public. Des études ont montré que l'un des ingrédients du Gardasil, le sulfate d'hydroxyphosphate d'aluminium amorphe (AAHS), se lie aux protéines non vaccinales, déclenchant des maladies auto-immunes et d'autres affections graves.

Les plaignants affirment aussi que Merck, dans la conception et la conduite de ses essais cliniques pour le Gardasil, a dissimulé délibérément les preuves de maladies graves, telles que les maladies auto-immunes, afin d'améliorer artificiellement le profil d'innocuité du vaccin, tout comme la société l'avait fait des années auparavant avec le Vioxx [16] [17].

CitationEn décembre 2019, le nombre d'effets secondaires déclarés à la suite de la vaccination Gardasil était supérieur à n'importe quel autre vaccin dans le système de notification des événements indésirables liés aux vaccins (VAERS) de la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis.

Plus de 64 000 rapports d'événements indésirables liés au vaccin contre le HPV à ce moment-là. Il n'est donc pas surprenant que le Vaccine Injury Compensation Program (VICP = système de compensation du gouvernement USA aux victimes des vaccins) ait versé des millions de dollars en dommages-intérêts pour les blessures et les décès imputés au Gardasil.

  • « En raison de cette fraude de Merck, le Gardasil fait des ravages sur une grande partie d'une génération entière d'enfants et de jeunes adultes à l'échelle mondiale », révèlent les poursuites contre le Gardasil [18].

Faut-il faire confiance à Merck pour le Gardasil après avoir provoqué l'un des pires scandales de médicaments de l'histoire avec le Vioxx, sans parler du Fosamax et du NuvaRing ?

N'oublions pas le scandale du Levothyrox, c'était aussi... Merck ! Donc, la réponse est NON !
CitationSurtout lorsqu'eux-mêmes l'utilisent pour combler le manque à gagner après le retrait de leur poison Vioxx en se vantant de vouloir le rendre obligatoire pour échapper aux possibles poursuites !

NON, nos enfants ne se feront jamais injecter pour que vous puissiez vous en mettre plein les poches ( « vous » désignant les labos et les politiques abreuvés de pots de vin) !

Marceau
 Février 2022
https://www.aimsib.org/2023/02/12/gardasil-episode-2-de-vioxx-a-gardasil-comment-faire-confiance-a-merck/
#58
Fraudes scientifiques / Gardasil épisode 1 : Déjà le d...
Dernier message par Ouebmestre - 13 Mars, 2023, 14:36:50
Gardasil épisode 1 : Déjà le début de la fin ?



par La rédaction de l'AIMSIB

L'AIMSIB est très fière de pouvoir vous présenter aujourd'hui un article exceptionnel. Il vous sera décliné régulièrement sous la forme de sept épisodes distincts, tellement l'ensemble est dense et particulièrement étayé. Il est l'œuvre de l'un de nos nouveaux rédacteurs, « Marceau », que les internautes connaissent déjà parfaitement1 et dont les responsabilités professionnelles actuelles interdisent absolument qu'on lui retire son anonymat. Cette frénésie politique actuelle pour chercher à vacciner tous les enfants des deux sexes à 370€ par tête ne frôlerait seulement que l'escroquerie du siècle si le plus grave n'était pas ailleurs, l'effroyable toxicité parfaitement négligée de ce produit. Bonne lecture...

Introduction

Si vous doutiez encore de la corruption des politiques par les lobbys pharmas, cette nouvelle tentative pour rendre obligatoire le vaccin Gardasil contre les papillomavirus (HPV), soi-disant pour protéger nos enfants contre le cancer du col de l'utérus, doit tous nous alerter.
Il y a tellement à dire sur ce produit dont le développement a bénéficié d'une autorisation de développement accélérée = Merck n'a pas eu besoin de tout étudier lors de l'essai mais devait faire les études après la mise sur le marché tout comme pour les injections COVID-19 !

Je vous propose de commencer par les dernières nouvelles : après des années d'utilisation aux US, après des décès et des handicapés à vie, un juge a ordonné le 5 août 2022 l'ouverture du premier grand procès contre Merck qui débutera en février 2023. Les plaignants accusent Merck d'avoir caché les effets secondaires graves de ses vaccins en exagérant les bénéfices, induisant les parents en erreur et extorquant ainsi leur consentement non éclairé2,3.



Le juge a examiné 48 dossiers de victimes présentant beaucoup de similitudes au niveau des effets secondaires subis par les jeunes femmes et jeunes hommes, puis a demandé que toutes les plaintes (plus d'une centaine) soient présentées en même temps sous une « class action ».

Après avoir épuisé tous les recours pour empêcher ce procès, le dernier argument de Merck pour empêcher le juge d'ordonner l'ouverture d'un procès fut que « cela augmenterait l'hésitation vaccinale et contribuerait à la désinformation contre les vaccins ». N'est-ce pas fabuleux ?

CitationIls mettent des poisons sur le marché, corrompent les politiques pour faire voter des obligations, refusent d'admettre les effets secondaires graves et, quand il y a trop de victimes, ils demandent aux juges de ne pas faire de procès pour ne pas contribuer à la « désinformation ».
Parmi les effets secondaires les plus souvent recensés, dont la mort, on trouve beaucoup de réactions auto-immunes comme listé ci-dessous (en jaune sont surlignées celles qu'on trouve déjà avec les injections COVID-19)4.

Chez hommes et femmes :



L'avant-dernier effet listé concerne les problèmes de reproduction et l'insuffisance ovarienne précoce, prématurée = stérilisation. (Au passage, Bill Gates est l'un des plus fervents soutiens de la distribution de ce vaccin surtout en Afrique et Inde...)
Effets secondaires surtout chez les femmes indiquant des réactions auto-immunes :



Effets secondaires surtout chez les hommes indiquant des réactions auto-immunes :



Mais que trouve-t-on dans la notice des effets secondaires répertoriés par Merck ?
RIEN de plus que des petits désagréments, comme pour les injections COVID-19 !



De quelle manière le laboratoire Merck, à l'instar de TOUS les autres fabricants de vaccins pour prévenir les cancers du col de l'utérus à HPV comme GSK, a-t-il truqué ses essais cliniques pour couvrir les effets secondaires graves ?

Facile, ils n'ont PAS utilisé de vrai PLACEBO (solution saline INERTE) mais ils ont injecté aux groupes placebos un adjuvant neurotoxique à base d'aluminium dont la sécurité n'a jamais été étudiée sur l'homme.



L'adjuvant utilisé est le 𝗔𝗔𝗛𝗦 (Amorphous Aluminium Hydroxyphosphase Sulfate) connu pour être à 100% absorbé dans les organes et tissus comme :
le cerveau (maladies neurologiques),
les articulations (arthrite rhumatoïde),
et la rate (joue un rôle déterminant dans l'immunité et le processus de renouvellement cellulaire du sang)

Un placebo DOIT ÊTRE INERTE !

Vous comprenez aisément que si le groupe placebo est injecté avec ce qui cause des effets secondaires graves, le crime est effacé !
CitationL'EMA a autorisé le vaccin sans exiger que les effets de cet adjuvant, jamais utilisé chez l'homme, ne soient étudiés !5



CitationComment un président de la République peut-il faire aussi ouvertement la promotion d'un vaccin connu pour avoir déjà été le plus dangereux avant l'arrivée des injections COVID-19 ?
Combien est-il offshorisé pour vouloir imposer à tous nos ados un tel produit qui n'a jamais démontré une quelconque efficacité contrairement à ce qu'ils martèlent ? (précisions dans les prochains épisodes...)

Et surtout comment pense-t-il pouvoir rendre obligatoire un produit pour nous protéger d'une maladie contre notre gré ? Une pensée envers tous les personnels suspendus pour avoir refusé la vaccination Covid-19.

On ne parle plus d'une maladie respiratoire transmissible contre laquelle il faudrait protéger des bébés pas encore en âge d'être vaccinés. Chacun décide pour le risque qu'il veut prendre et ce n'est certainement pas à Macron ou à Merck de décider pour nous.
D'ailleurs le Président de la République Emmanuel Macron pourrait-il préciser ses récents propos6 :
« quand tout cela sera installé » CELA quoi ?
• Nudging des médias et slogans de McKinsey ?
« quand on aura les bonnes recommandations » de QUI ?
• Les virements offshores de Merck, le WEF, Bill Gates, l'OMS ?



Et quelle hypocrisie de tout ce petit monde : le cancer du col de l'utérus représente 600 000 cas par an dans le monde et dont la grande majorité se résorbe sans traitement.

CitationQuand bien même il s'agirait de 600 000 morts, nous sommes 8 MILLIARDS soit une prévalence de 0.0075% et ils voudraient vacciner tous les ados pour ça ?
En France, il y a 1000 morts par an par suite d'un cancer du col de l'utérus mais rien ne prouve que ce cancer soit lié aux virus HPV et ils veulent injecter des millions d'enfants chaque année ?

En France, on déplore 60 000 MORTS annuels (pas des cas) liés au tabac, pourtant personne ne parle d'interdire la cigarette, pourquoi ?
Parce que les big pharmas vendent pour une fortune leurs traitements pour les cancers des poumons, de la gorge et autres cancers liés au tabac. Et les jeunes commencent à fumer de plus en plus tôt !

Au lieu d'interdire la cigarette, Macron préfère rendre gratuits les préservatifs en pharmacie pour les mineurs, s'imaginant peut-être que tous nos ados ont les mêmes mœurs que lui, à moins que ce ne soit les premiers pas vers la légalisation d'autres choses moins avouables et dont rêvent ces globalistes !



À bientôt pour la suite

source : AIMSIB



Auteur de l'article : La rédaction de l'AIMSIB

Lire tous les articles de La rédaction de l'AIMSIB
#59
Fraudes d'ordre sanitaire / Lettre à la revue indépendante...
Dernier message par Ouebmestre - 12 Mars, 2023, 18:01:15
Lettre à la revue indépendante Prescrire

Publié le mars 12, 2023 par Zineb

La presse médicale en langue française continue à soutenir la politique covidiste du gouvernement français. Exemple de l'ampleur de la compromission de la revue indépendante Prescrire.

Par Zineb Deheb – Le 12 mars 2023

Le 16 février 2022

Objet : Prescrire, la tartufferie d'une revue indépendante qui ne savait compter ni les morts ni les malades.

Cher Prescrire,

Dans votre numéro de janvier 2023, vous avez rédigé une synthèse1 du rapport définitif de l'enquête conjointe de l'IGAS et de l'IGESR sur l'IHU de Marseille et ses protocoles contre l'infection à Sars-CoV-2. C'était l'occasion de rappeler qu'il n'y avait décidément aucun traitement, selon vous, contre cette terrible infection, légitimant par là-même l'autorisation de mise sur le marché conditionnelle de l'ARNm à nucléoside modifié de la protéine spike du Sars-CoV-2.

Tout d'abord, je souhaiterais comprendre la pertinence de revenir une nouvelle fois sur l'hydroxychloroquine, alors que, déjà, le « 26e rapport [du centre de pharmacovigilance de Dijon] ne modifie pas les conclusions des précédents rapports »2. D'autant plus que depuis janvier 2020, seuls 315 effets indésirables ont été signalés en France suite à la prise d'hydroxychloroquine seule ou en association avec d'autres médicaments.

A titre de comparaison, l'ANSM a recueilli 189 438 cas déclarés, dont 47 359 cas graves3 suite aux injections d'ARNm à nucléoside modifié de la protéine spike du Sars-CoV-2, entre le 27/12/2020 et le 15/12/2022. Le nombre faramineux de ces effets ne constitue-t-il pas un sujet d'une ampleur bien plus gigantesque à étudier ? Qu'en pensez-vous ?

Il est également ahurissant de noter que le ministère de la santé ne reconnaisse aucun de ces décès. La Commission d'accès aux documents administratifs signale4, en effet, dans un avis en date du 22/09/2022, que ce ministère n'a pas connaissance du statut vaccinal des personnes décédées et/ou hospitalisées depuis décembre 2020. Pourquoi donc le gouvernement n'est-il pas intéressé de connaître le statut « vaccinal » des personnes une fois décédées ? Ce diagnostic facile à recueillir sans biais et indispensable à toute expérimentation humaine de qualité ne serait-il vraiment plus disponible tout à coup ?

Ces dissimulations fourniraient-elles un « motif à poursuite pénale »5 ? Pourtant, durant la campagne des injections, le statut « vaccinal » était nécessaire en permanence pour obtenir le fameux sésame indispensable à la vie en société ? Et le prétendu vaccin, censé garantir la survie à des formes graves, promettait aussi d'éviter la mort, elle-même inimaginable après injection.

Au fait, pourquoi ce silence sur ce sujet ? Dites-vous vraiment la vérité, toute la vérité, rien que la vérité quand vous signalez en couverture que votre revue est « financée par les abonnés, sans publicité ni subvention, sans sponsor ni actionnaire » ? J'ai des raisons d'en douter, au vu de votre soutien sans réserve, depuis plus de 2 ans, à la politique dictée à l'État français par des cabinets de conseil privés en contradiction avec les pratiques élémentaires de la médecine et de la pharmacie.

A moins que l'indépendance pécuniaire ne garantisse en rien l'indépendance éditoriale ?

Quelle ironie d'intituler cet article sur la prise en charge à l'IHU de Marseille « Hydroxychloroquine, de gré ou de force » , alors que de nombreux Français ont reçu l'inoculât à ARNm à la suite d'un chantage organisé au niveau national et formulé fermement le 12 juillet 2021. Auriez-vous oublié que beaucoup de Français ne sont allés subir cette inoculation expérimentale qu'après avoir été menacés de mort sociale et économique6 ?

Je suis vraiment impatiente de savoir ce que vous pensez du fait d'imposer par le chantage un produit expérimental à des millions de Français. Certains l'ont fait sans consentement libre et éclairé et beaucoup n'ont pas eu d'information claire, loyale et appropriée dans des centres d'inoculation à la chaîne.

Ces personnes ont-elles eu le temps nécessaire pour lire et réaliser, en signant le formulaire, qu'elles participaient à une expérimentation humaine, qu'elles devaient être consentantes pour y participer et qu'elles pouvaient, sans risque, retirer leur consentement à tout moment ? Avant l'inoculation expérimentale, ont-elles eu l'occasion et le temps de consulter la liste des effets indésirables potentiels qu'elles risquaient ? Ces personnes ont-elles été suivies régulièrement dans le cadre de cette recherche clinique ?

Si toutes ces conditions et bien d'autres n'ont pas été respectées, pensez-vous qu'il y aurait alors « un motif à poursuite pénale »7 des inoculateurs, du personnel administratif et des hommes politiques ayant organisé cette expérimentation sauvage ?
J'espère que vous publierez également un article intitulé « ARNm de gré ou de force » . Je pense qu'un tel article serait d'actualité puisqu'il reste encore des dizaines de milliers de professionnels de santé, d'agents hospitaliers, de pompiers et d'autres corps de métier qui sont interdits d'exercer et privés de rémunération tant qu'ils n'auront pas reçu l'inoculât à ARNm, conformément à la loi du 5 août 2021.
Comment avez-vous pu, en 2021, sans aucun recul sur la nouvelle technologie expérimentale de l'ARNm à nucléoside modifié de la protéine spike du Sars-CoV-2, décerner aux produits Comirnaty et Spikevax, concoctés officiellement en quelques mois, une « Pilule d'or » en l'honneur de leur apport thérapeutique significatif ? Allez-vous reconsidérer votre position au vu des dizaines de milliers de réserves que j'ai pris la peine de vous indiquer8 ?

J'ai actuellement un peu de temps devant moi pour analyser vos articles en lien avec l'épidémie de Sars-CoV-2. En tant que lectrice et ancienne abonnée, et dans la mesure de mes capacités de dermatologue non universitaire, je vous enverrai donc, d'ici quelques mois, une synthèse de mes remarques sur votre méthodologie et les contradictions qui en découlent. Je vous invite, pour le moment, à accepter quelques critiques sur votre empressement suspect à encourager l'inoculation d'ARNm aux femmes enceintes9. Seriez-vous donc en faveur de la disparition du groupe témoin ?

Par ailleurs, j'ai hâte de lire vos éclaircissements sur la pertinence des injections hors AMM du clonazepam ayant vraisemblablement entraîné la mort, en mars et avril 2020, de personnes institutionnalisées dyspnéiques « susceptibles d'être infectées par le Sars-CoV-2 » .
Dans l'attente de vos réponses, je vous prie d'agréer, cher Prescrire, l'assurance de mes sincères salutations.

Docteur Zineb Deheb

  • « Hydroxychloroquine, de gré ou de force » , dans la revue Prescrire de Janvier 2023, Tome 43, N° 471.
  • Consulter le «Bilan des effets indésirables transmis par le centres régionaux de pharmacovigilance chez les patients pris en charge dans le contexte d'une infection à SARS-CoV2 et des cas de mésusages en ambulatoire – CRPV Dijon – Rapport n°26 » (04/07/2022) sur la page de l'ANSM
  • Consulter la synthèse des résultats et les faits marquants sur le site de l'ANSM.
  • Avis n°202225084 du 22/09/2022 de la commission d'accès aux documents administratifs à la suite de la demande de Maître Martine Baheux, conseil de Monsieur Laurent TOUBIANA, docteur au sein de l'INSERM
  • « Hydroxychloroquine, de gré ou de force » , dans la revue Prescrire de Janvier 2023, Tome 43, N° 471.
  • Exemple : 640 000 personnes parmi les 30-39 ans se sont fait inoculer l'ARNm au 29/04/2021. Le passeport sanitaire limité alors aux grands rassemblements incite un peu moins de 4 millions de personnes à aller se faire inoculer. Ce n'est qu'à partir de l'annonce de l'instauration du passeport sanitaire le 12/07/2021, que l'inoculation d'ARNm reprend vraiment dans cette population.
  • « Hydroxychloroquine, de gré ou de force » , dans la revue Prescrire de Janvier 2023, Tome 43, N° 471.
  • Consulter la synthèse des résultats et les faits marquants sur le site de l'ANSM.
  • Prescrire 2022 ; 42 (461) : 195-197 

Source : https://lesakerfrancophone.fr/lettre-a-la-revue-independante-prescrire
#60
Intox médiatiques / Project Fear : En janvier 2021...
Dernier message par Ouebmestre - 07 Mars, 2023, 12:09:12
Project Fear : En janvier 2021, l'ancien secrétaire à la santé britannique demandait quand « déployer » le prochain variant Covid pour « effrayer » le public et le forcer à se soumettre





par Lizzie McAllister
L'ancien secrétaire à la Santé, Matt Hancock, aurait voulu « déployer » un nouvau variant Covid dans le but d'effrayer le public britannique pour qu'il respecte les règles de confinement, selon de nouveaux messages WhatsApp divulgués.
Matt Hancock voulait « déployer » un nouveau variant Covid pour « effrayer » le public, révèlent des messages WhatsApp divulgués.
L'ancien secrétaire à la Santé a élaboré le plan, connu sous le nom de Project Fear, dans le but d'amener les gens à respecter les restrictions liées au confinement, rapporte The Telegraph.
Hancock a apparemment suggéré qu'une nouvelle souche de Covid serait utile pour semer la peur parmi la population en vue de nouvelles restrictions dans une série de messages adressés à d'autres responsables avant le troisième confinement national en janvier 2021.
Hancock a déclaré : « Nous effrayons tout le monde avec la nouvelle souche », ce à quoi le conseiller en médias du ministère de la Santé, Damon Poole, a répondu : « Oui, c'est ce qui entraînera un changement de comportement approprié [sic] ».
La conversation accablante sur WhatsApp aurait eu lieu deux jours après que le politicien eut entendu parler du nouveau variant – connue sous le nom d'« alpha » ou « Kent ».
Inquiet que d'autres éléments à l'ordre du jour de l'actualité puissent éclipser l'importance de la nouvelle souche, Hancock a envoyé un message à Poole, demandant : « Quand déployons-nous le nouveau variant ».
Le variant alpha du virus a entraîné une augmentation spectaculaire du nombre de cas et a conduit le Premier ministre de l'époque, Boris Johnson, à annoncer que les gens ne pourraient pas voyager pour voir des parents à Noël le 19 décembre.
Un mois plus tard, dans un message au secrétaire du Cabinet Simon Case, Hancock a déclaré que « le facteur peur/culpabilité » était « vital » pour « intensifier la message» avant le confinement, ce qui signifiait que les Britanniques étaient presque complètement incapables de quitter leur domicile autre que pour des raisons essentielles ou pour faire de l'exercice.
Il s'agit du dernier message d'une série envoyée par Hancock et d'autres anciens dirigeants pendant la pandémie dans ce qui a été surnommé les Lockdown Files.

Vidéo : https://twitter.com/i/status/1632293781528518656
Twitter
L'ancien ministre britannique de la santé, Matt Hancock, voulait "déployer le nouveau variant" pour obtenir "un changement de comportement approprié" de la part du public. Quelques jours plus tard, sur la BBC 
@BlackBondPtv

https://twitter.com/i/status/1632293781528518656










9:15 AM · 5 mars 2023
·
8 237
vues



Fawkes Ce même gouvernement manipulateur a un temps pensé à exterminer tous les chats du Royaume-Uni...de vrais psychopathes.



source : Daily Star  via Guy Fawkes News

CitationC'est dans toute la presse depuis deux jours :
https://www.bbc.com/news/uk-64848106
https://www.mirror.co.uk/news/politics/hancock-plotted-use-new-covid-29375984

https://www.telegraph.co.uk/news/2023/03/04/project-fear-covid-variant-lockdown-matt-hancock-whatsapp/

https://www.dailymail.co.uk/news/article-11821671/Matt-Hancock-discussed-deploying-new-virus-variant-frighten-pants-everyone.html

https://www.theguardian.com/politics/2023/mar/05/matt-hancock-wanted-to-frighten-everyone-into-following-covid-rules

https://www.express.co.uk/news/politics/1742476/matt-hancock-text-whatsapp-messages-frighten-everyone-covid

Voilà, toute la plus grande presse britannique, y compris BBC