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Fraudes scientifiques / Fin d’un mythe : "Si c’est un ...
Dernier message par Ouebmestre - 28 Février, 2023, 19:13:21
La fin d'un mythe : "Si c'est un virus, pas d'antibiotique ?" Dr Claude Escarguel
Auteur(s)
Xavier Azalbert et Jean-Luc Duhamel, pour FranceSoir
Publié le 14 novembre 2022 - 20:50

Claude Escarguel
Le Dr Claude Escarguel.
Romain Pauc / FranceSoir

Citation« Toute vérité franchit trois étapes : D'abord, elle est ridiculisée. Ensuite, elle subit une forte opposition. Puis, elle est considérée comme ayant été une évidence ». Citation apocryphe
ENTRETIEN - La recherche sur l'aide apportée par les bactéries au développement des virus, une sorte de « collaboration » qui permet au virus de se répliquer dans le corps humain, a démarré lorsque le Pr Luc Montagnier découvrit, en 1990, un germe de type Mycoplasme dans une cellule d'un malade séropositif au VIH (germe intracellulaire) (1). Cette coopération entre bactéries et virus est appelée « mécanisme bactériophage-like ».

En 1992, cette découverte fut confirmée in vitro par une équipe de chercheurs français (C. Escarguel, G. Papierok, G. Pautrat) spécialisés dans les germes intracellulaires (2) et fit l'objet d'un brevet n° FR2694022 (A1), le 28 janvier1994.
En 1998, elle fut corroborée par une étude in vivo de l'équipe française de l'Association Biologie et Coopération (C. Escarguel, P. Lepere et C. Pelissier) (3).

D'après les résultats obtenus par de nombreux médecins traitant les patients en ambulatoire précoce et par les publications de C. Escarguel, la pandémie de Covid-19 a offert l'occasion de mettre ce mécanisme en évidence dès le début de l'année 2020, en constatant l'efficacité de certaines familles d'antibiotiques (macrolides, cyclines, clofoctol, rifaximine), ces derniers neutralisant les bactéries « coopérantes » avec le virus.

Aujourd'hui, les observations de l'équipe du Dr Carlo Brogna du laboratoire italien CRANIOMED, viennent une nouvelle fois de montrer la justesse de la découverte du Pr Luc Montagnier.

FranceSoir : En quoi cette nouvelle confirmation par le Dr Carlo Brogna de l'existence des bactéries « coopérantes » à la réplication d'un virus dans le corps humain est-elle déterminante ?

C. Escarguel : Malheureusement, les confirmations, en 1992 et en 1998, de la découverte du Pr Montagnier et les excellents résultats des traitements précoces contre le Covid-19 qui ont sauvé de nombreuses vies, n'ont pas suffi à convaincre la communauté scientifique et les responsables de la gestion de la pandémie de Covid-19 de l'efficacité de ces traitements ainsi que de la nécessité de les généraliser au plus vite.

Dès lors, les observations du Dr Brogna remettent d'importantes questions sur la table :
  • Pourquoi les responsables de la gestion de cette pandémie ont-ils refusé de prendre sérieusement en considération les découvertes du Pr Montagnier et nos travaux scientifiques de 1992 et de 1998, alors que nous n'avons cessé de les alerter depuis le mois de mars 2020 ? C'est-à-dire depuis les publications de l'IHU de Marseille sur la bithérapie (à base d'hydroxychloroquine et d'azithromicyne) avec qui nous sommes en désaccord sur la molécule efficace.
  • Pourquoi l'information sur la réussite des traitements précoces n'a-t-elle pas été diffusée massivement par les autorités et par l'Ordre des médecins ?
  • Pourquoi les médecins qui soignaient se sont-ils vus interdire l'utilisation des traitements précoces et pourquoi ont-ils fait l'objet de procédures disciplinaires pour les avoir prescrits ?
  • Pourquoi le paracétamol, le rivotril, puis les injections de substances géniques expérimentales ont-ils été préférés aux traitements qui soignaient ?
  • Pourquoi les dizaines de courriels que nous avons envoyés aux autorités sanitaires, à l'Ordre des médecins et au pouvoir politique sont-ils restés lettre morte ?
  • Pourquoi Emmanuel Macron en sa qualité de président de la République française n'a-t-il pas réussi à vaincre « le système » qu'il évoque dans son courriel envoyé à l'ancienne ministre de la Culture Françoise Nyssen, le 5 février 2021 et que celle-ci nous a réexpédié tel quel ?
CitationLe : 05 février 2021 à 21:24 (GMT +01:00)
De : "Francoise NYSSEN" f.nyssen@actes-sud.fr
À : xxxxxxxxx
Objet : RE: courrier au Président
Et son retour immédiat
« Formidable. Je crois beaucoup à cela vraiment depuis longtemps mais « le système » y croit trop peu c'est fou
Je m'en saisis. Merci. Je vous embrasse »
Maintenant, il reste à espérer que les observations visuelles par microscopie électronique de l'équipe du Dr Carlo Brogna du laboratoire italien CRANIOMED, qui confirment aussi bien la découverte du Pr Montagnier que nos travaux de 1992 et de 1998, ouvriront, dans les prochaines années, la voie à la recherche de la vérité et, donc, à la réponse aux questions qui précèdent.
À la suite des observations du Dr Carlo Brogna, l'autre question importante qui demeure est celle de la réponse à la priorité de l'OMS : « La prévention des chocs septiques des viroses respiratoires (grippe, bronchiolites, coronaviroses, etc.) par le traitement ambulatoire précoce paradoxal » (cf. antibiotique adapté).

FS : En quoi les observations du Dr Carlo Brogna et de ses équipes représentent-elles une confirmation de l'utilité d'un traitement contre les virus de type Covid-19 ?

C. Escarguel : Les récents travaux de l'équipe de recherche du laboratoire CRANIOMED, dirigée par le Dr Carlo Brogna avec qui nous collaborons, confirment la piste des bactéries « coopérantes » (4-5). Cette coopération est illustrée par un mécanisme appelé « bactériophage-like », qui provoque la libération de toxines bactériennes lors de la lyse bactérienne. Ces toxines (6) agissent de façon concomitante à l'action du virus SARS-CoV-2 et de sa protéine Spike sur le SRA (système rénine – angiotensine).
Les photographies réalisées par le laboratoire CRANIOMED avec un microscope à transmission électronique (TEM) illustrent le phénomène :
En A-B et C, on observe diverses bactéries avec parois (bactéries gram+ et gram-) et sans parois (mycoplasme et forme L).
Photo CRANIOMED ABCDE
En D et E, on visualise le SARS-CoV-2 (Covid-19) qui fracture la paroi des bactéries afin de les pénétrer pour se répliquer. Le SARS-CoV-2 fracture la paroi au niveau des flèches rouges.
Photo CRANIOMED FG
En F, on visualise une bactérie sans paroi qui est attaquée par le SARS-CoV-2, afin de l'utiliser pour se multiplier. La pénétration du virus s'effectue au niveau des flèches rouges. Les bactéries sans paroi semblent être une proie plus facile pour le virus (ARN polymérase commune ?).
En G, on visualise deux types de cellules :
  • celles du bas qui est en train d'être colonisée ;
  • celles du haut qui est en train d'être lysée (éclatement de la bactérie libérant les SARS-CoV-2 dupliqués et les toxines de la bactérie).

FS : Ces images de microscopie électronique expliquent donc visuellement la réussite des traitements précoces préconisés par de nombreux médecins dans le traitement du virus Covid-19 ?

C. Escarguel : Oui, en effet. Dans le monde entier, les médecins qui ont utilisé en ambulatoire précoce (dans les cinq premiers jours suivant l'apparition des premiers symptômes) une molécule d'antibiotique des familles suivantes* : macrolides, cyclines, ou Clofoctol (cf. enquête d'ARTE : « le médicament miracle ») ont constaté une chute drastique de la létalité : 0,1% comparée aux 2,3% des patients laissés sous Doliprane. Ces résultats ont été publiés (7) et la comparaison des courbes de mortalité et de circulation du virus, en 2020 (8), présente un fort décrochage de la mortalité jusqu'à ce que les autorités de santé interdisent l'hydroxychloroquine aux médecins de ville, tout en préconisant de ne pas traiter aux antibiotiques : étonnant !

Inversement, toute autre antibiothérapie, notamment celle à large spectre, destinée à la prévention des surinfections (qui ne se manifestent que si l'antibiotique adapté n'a pas été prescrit en ambulatoire précoce), ne pourra être que contreproductive (9) en altérant le microbiote intestinal et, donc, en favorisant l'inflammation, le risque de diarrhées mortelles à Clostridium difficile et, surtout, en permettant la translocation des bactéries résistantes aux antibiotiques de la sphère digestive vers le sang du patient avec des bactériémies mortelles.
Ces molécules d'antibiotiques « efficaces » sont connues pour être actives sur les germes suspects de « coopérer » avec le virus (mycoplasmes, intracellulaires, germes de parodontites), dont la population augmente lors de dysbioses locales : pulmonaires, buccales ou digestives. Ces germes « coopérants » sont tous colonisés par le virus dès l'incubation de la coronavirose.

Ils amplifient, selon le brevet cité ci-dessus, la réplication virale selon l'effet « bactériophage-like ». L'efficacité de ces antibiotiques, actifs sur ces germes « coopérants », s'explique par le blocage de l'amplification de la réplication du virus dans les bactéries « coopérantes » : c'est l'effet « virostatique ». Ces bactéries « coopérantes » sont présentes chez certains malades dont les comorbidités entrainent des dysbioses. Cette preuve thérapeutique indirecte valide la piste ouverte, dès 1990, par Luc Montagnier. C'est cette amplification qui, avec le potentiel immunitaire du sujet, explique la virulence variable d'un individu à l'autre. Dans le cas de germes ou de virus peu pathogènes (c'est le cas du SARS-CoV-2 avec 50% d'asymptomatiques), c'est l'effet inoculum associé à une immunodépression éventuelle qui est responsable de la virulence constatée (10). Le mécanisme amplificateur est supposé être, d'après notre hypothèse, une « mutualisation » de l'activité des ARN polymérases entre la bactérie et le virus, d'où l'importance d'associer le zinc à l'antibiotique du fait de sa propre activité sur les ARN polymérases du SARS-CoV-2) (11).

FS : En 2020 et 2021, de nombreuses infections au Covid-19 dégénéraient en détresses respiratoires a priori à cause de l'absence de traitements précoces. Comment expliquer que ce ne soit plus le cas aujourd'hui alors que la plupart des malades ne bénéficient toujours pas de ces traitements ?

C. Escarguel : La disparition, fin 2021, de la bactérie pulmonaire Mycoplasma Pneumoniae (MP), dans les centres de surveillance du monde entier, constatée par l'équipe des Pr Grueb et Bebear et publiée par P. Meyer Sauteur (12) au congrès des intracellulaires de Lausanne (août 2022), pourrait expliquer la disparition des syndromes de détresse respiratoire, en 2022 : syndromes liés à la toxine CARD du MP et à la phospholipase A2 des mycoplasmes : (13-14). Ce génocide bactérien lié au SARS-CoV-2 sera-t-il durable ou 2023, verra-t-il une réapparition des formes pulmonaires avec le retour du MP (cf. (15) : Pr Tcherakian ) ? La question reste posée.

Les études du Pr Lina montrent que les pics viraux des viroses respiratoires sont corrélés avec le pic de la bactérie pulmonaire Mycoplasma pneumoniae laissant supposer le rôle amplificateur de cette dernière, non seulement pour le SARS-CoV-2 mais également pour les grippes et les bronchiolites. En d'autres termes, la réapparition de cette bactérie pourrait faire resurgir des détresses respiratoires causées par le SARS-CoV-2 ou éventuellement par les grippes et les bronchiolites (16).

FS : Quelle est votre analyse en ce qui concerne le « covid long » ?

C. Escarguel : Les micro-caillots résistant à la fibrinolyse entrainant une hypoxie périphérique, signes cognitifs secondaires aux substances amyloïdes, auto-anticorps anti-idiotypes, endotheliopathie, inflammation chronique et asthénie secondaire à une mauvaise oxygénation des tissus, sont les signes majeurs des syndromes post-infectieux et du covid long, avec des variables liées aux toxines impliquées. Toutefois, le traitement du covid long, comme celui des syndromes post-infectieux, ne doit pas se limiter aux traitements des symptômes (neurologiques, endothelites, micro-caillots, liés aux auto-anticorps, asthénies, dysbioses), mais il doit surtout associer de façon alternative les traitements symptomatiques au traitement préconisé par notre étude prenant en compte « la coopération bactérie/virus ».

Pour cela, nous proposons aux autorités sanitaires, en partenariat avec les adhérents volontaires de notre association de malades, tous souffrant de covid long, de participer à un travail de recherche thérapeutique fondé sur nos hypothèses, dans le cadre d'un CPP, selon le protocole exposé dans le document de synthèse établi pour notre future participation au congrès de la SPIL (Société de Pathologie Infectieuse de Langue française). Ce congrès se déroulera à Nancy le 8 décembre prochain et je joins le document en téléchargement ici.

FS : Ne craignez-vous pas que l'utilisation de votre antibiothérapie préventive vous soit reprochée dans la cadre de la lutte contre les résistances aux antibiotiques ?

C. Escarguel : Je répondrai tout d'abord que sauver une vie par l'utilisation d'un antibiotique n'autorise pas cette question ! De surcroît, ce traitement ambulatoire précoce, en permettant d'éviter l'hospitalisation de 15% des malades positifs au Covid, dispense de ce fait de traiter les surinfections hospitalières. Ces dernières, grandes consommatrices d'antibiotiques à large spectre, entraînent de nombreuses résistances. Un petit extincteur d'antibiotique préventif génère moins de résistance qu'un "canadair d'antibiotique curatif".

FS : Alors qu'il ne semble plus possible de nier que les traitements précoces fonctionnent, qu'en est-il de l'autorisation conditionnelle des « vaccins » qui était subordonnée à l'absence de traitement de la maladie du Covid-19 ?

C. Escarguel : Si j'en crois les juristes que j'ai consultés à ce sujet, l'autorisation conditionnelle de mise sur le marché des vaccins était subordonnée à l'absence de traitement de la maladie ou, selon les termes du Règlement du 31 mars 2004 qui a servi de fondement aux autorisations, à l'existence d'un « besoin médical non satisfait ».
Le principe, pour la délivrance d'une AMM traditionnelle, est que le médicament a fait « l'objet d'études approfondies visant à assurer sa sécurité, sa qualité et l'efficacité de son utilisation » (Règl. n°507/2006 de la Commission du 29 mars 2006, relatif à l'autorisation de mise sur le marché conditionnelle de médicaments à usage humain relevant du règlement n°726/2004 du Parlement européen et du Conseil).
De façon exceptionnelle, une AMM, dite AMM conditionnelle, peut être délivrée avant que des données cliniques exhaustives aient été communiquées aux autorités sanitaires, « afin de répondre à des besoins médicaux non satisfaits de patients », c'est-à-dire lorsque, pour une maladie donnée, « il n'existe pas de traitement autorisé ou, même si un tel traitement existe, « le médicament concerné apportera un avantage thérapeutique majeur aux malades ». Cette possibilité dérogatoire est soumise à la condition que « le bénéfice que représente la disponibilité immédiate du médicament sur le marché l'emporte sur les risques inhérents au fait que des données supplémentaires restent à apporter » (Règl. n° 726/2004 du Parlement européen et du Conseil européen du 31 mars 2004, établissant des procédures communautaires pour l'autorisation et la surveillance en ce qui concerne les médicaments à usage humain et à usage vétérinaire).
En l'état actuel des connaissances et des certitudes thérapeutiques issues de nos travaux, la validité des AMM conditionnelles des vaccins peut être clairement questionnée.
CitationC'est pour cette raison que nous nous opposons avec vigueur aux adeptes de la religion « la vaccination pour tous » et nous la limiterions aux cas à risque. Leur publicité bombardée actuellement sur toutes les télévisions : « Alors on continue ! » qui, s'appuyant sur la peur, souhaiterait faire « vacciner » tout le monde et même les enfants, ne résulte pas de données scientifiques factuelles « Errare humanum est, perseverare diabolicum » !
L'étude sur le mécanisme bactériophage en microscopie électronique est disponible ici.

Bibliographie :
(1) Montagnier Pursues the Mycoplasma-AIDS - Science.org
(2) Procédé d'amplification des agents infectieux en diagnostic 'in vitro' sur cultures cellulaires
(3) Cahiers d'études et de recherches francophones / Santé
(4) Pulmonary clearance of Mycoplasma pulmonis in rats with respiratory viral infections or of susceptible genotype
(5) Synergistic effect of Sendai virus on Mycoplasma pulmonis infection in mice. Saito M, Nakagawa M, Suzuki E, Kinoshita K, Imaizumi K.
(6) Pre-infection of pigs with Mycoplasma hyopneumoniae .. .https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov ›
(7) Virus interactions with bacteria: Partners in the infectious dance https://www.ncbi.nlm.nih.gov
(8) Modeling SARS-CoV-2 viral kinetics and association ... - PNAS inoculum-S'intéresser à la charge virale pour comprendre l'évolution vers des formes graves de Covid-19 INSERM
(9) Type I and Type III Interferons - Induction, Signaling, Evasion ... https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov ›
(10) Incidence of Upper Respiratory Tract Mycoplasma ... - NCBI https://www.ncbi.nlm.nih.gov › pmc
(11) Blood clotting may be the root cause of Long COVID ... https://www.sciencedaily.com ›
(12) Can Early Home administration of Azithromycin with Zinc Help Prevent Severe COVID-19 Disease Progression and Long-COVID?
(13) La molécule miracle : chronologie d'un espoir - myCANAL
(14) Les virus géants et l'origine des ARN polymérases des eucaryotes
(15) Un quart des formes sévères de Covid-19 s'expliquent par une anomalie génétique ou immunologique - INSERM
3 à 4% des formes sévères ont une origine génétique, tandis que 10 à 11% s'expliquent par la présence d'auto-anticorps dirigés contre IFN 1 et qui bloquent leur action antivirale.
Afin de mieux comprendre la distribution de ces auto-anticorps dans la population générale non infectée et notamment l'influence de l'âge (l'essentiel des cas de formes sévères de Covid-19 concernent les plus de 65 ans), les auteurs ont comparé plus de 34 000 individus sains, classés par sexe et tranche d'âge, ils ont ainsi fait une découverte inattendue : la présence d'auto-anticorps.
(16) Incidence of Upper Respiratory Tract Mycoplasma ... – NCBI-https://www.ncbi.nlm.nih.gov ›

https://www.francesoir.fr/entretiens/la-fin-d-un-mythe-si-c-est-un-virus-pas-d-antibiotique-interview-du-dr-claude-escarguel
#62
Intox médiatiques / surinfections bactériennes
Dernier message par Ouebmestre - 28 Février, 2023, 18:02:51
Sur le groupe Usenet fr.misc.actualité.covid19 :

Citation de: Luciole135La principale cause de mortalité de la grippe en France n'est pas le virus lui-même, mais les surinfections bactériennes. Celles-ci sont particulièrement actives chez les personnes dont l'organisme est fragilisé. Mieux protéger et traiter les personnes » à risque », c'est donc tout l'enjeu des recherches sur les surinfections bactériennes post-grippales.
https://pasteur-lille.fr/centre-de-recherche/thematiques-de-recherche/maladies-infectieuses-et-inflammatoires/surinfections-bacteriennes/
Fauci a même été coauteur dans une étude qui montre que ce n'est pas le virus de la grippe espagnole qui a tué, mais les surinfections bactériennes.
Predominant Role of Bacterial Pneumonia as a Cause of Death in Pandemic Influenza: Implications for Pandemic Influenza Preparedness
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC2599911/

https://pasteur-lille.fr/centre-de-recherche/thematiques-de-recherche/maladies-infectieuses-et-inflammatoires/surinfections-bacteriennes/

https://www.francesoir.fr/entretiens/la-fin-d-un-mythe-si-c-est-un-virus-pas-d-antibiotique-interview-du-dr-claude-escarguel

Citation de:  Luciole 135Mais non puisque la mortalité n'est pas le fait des virus, mais des infections bactériennes secondaires, même Fauci l'a montré dans cette étude :
Predominant Role of Bacterial Pneumonia as a Cause of Death in Pandemic Influenza: Implications for Pandemic Influenza Preparedness
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC2599911/

- L'institut Pasteur en parle pour la grippe, je cite : «La principale cause de mortalité de la grippe en France n'est pas le virus lui-même, mais les surinfections bactériennes. Celles-ci sont particulièrement actives chez les personnes dont l'organisme est fragilisé. Mieux protéger et traiter les personnes » à risque », c'est donc tout l'enjeu des recherches sur les surinfections bactériennes post-grippales.»
https://pasteur-lille.fr/centre-de-recherche/thematiques-de-recherche/maladies-infectieuses-et-inflammatoires/surinfections-bacteriennes/

Citation de: Albert Equand ma mère (et non injectée) de 82 ans a chopé le c19 son toubib lui a immédiatement prescrit un antibio... Elle avait eu la tuberculose durant ses études d'infirmière travaillant dans le pavillon des tuberculeux... Elle a à peine toussé 3 jours. Chaque fois que j'ai une infection pulmonaire (tous les 2 ans depuis 6 années) je suis sous antibio et j'arrête de cracher mes poumons non fumeurs. Bcp de vieux auraient pu être protégés ainsi mais ce ne fut pas le choix de certains.
#63
Intox médiatiques / Covid-19 : En Suisse, on conti...
Dernier message par Ouebmestre - 28 Février, 2023, 16:00:59
Covid-19 : En Suisse, on continue à manipuler l'information



Les faits : le 2 mars 2022, une citoyenne, membre de l'association « Anticrim » – fondée en décembre 2021, en Suisse, par l'activiste François Meylan et le Docteur Francisco Verdú Vicente, avec la finalité de dénoncer l'absence de débat équilibré sur les sujets qui fâchent, saisit le Conseil suisse de la presse au sujet d'un article du Big média zurichois « Blick », site francophone. 

Cet article signé par Johannes Hillig et « adapté » par Yvan Mulone s'intitule « Un professeur zurichois coronasceptique bloqué par Twitter ». Ce n'est pas le fait de tirer à boulets rouges sur le malheureux professeur zurichois Martin Janssen qui vraisemblablement ne file pas droit au regard de la pensée unique que dénonce notre plaignante. Mais que dans moins de trois pages que compte le texte le journaliste Johannes Hillig descende en flammes l'ivermectine en la réduisant au statut de vermifuge pour chevaux. Ce qui est inexact. L'ivermectine est répertoriée par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) comme médicament de base pour l'être humain. Découverte dans les années 1970 par le Docteur Satoshi Omura, prix Nobel de Médecine en 2015, a été distribuée quelques sept milliards de fois à l'humain, durant 40 ans ! Ses propriétés sont antivirales ; anti bactériennes ; anticancéreuses et anti-inflammatoires. Le « Blick » pratique ainsi un concept qui est vieux comme le monde celui de ne dire qu'une partie de la vérité. En l'espèce, il s'agit bien de disqualifier l'ivermectine qui a fait ses preuves durant une quarantaine d'années au profit d'inoculations ARN Messager qui n'étaient qu'au stade expérimental, quand l'article a été publié. Mais est-ce que le « Blick » ? La courageuse journaliste suisse Amèle Debey y répond le 4 janvier 2022 : Blick est-il encore crédible dans son traitement de la Covid ? L'information a fait grand bruit ces derniers jours : le PDG de l'éditeur Ringier, fier membre du duopole médiatique qui informe le pays, a reconnu avoir demandé à ses rédactions de ne pas remettre en question la position gouvernementale à propos de la crise Covid. En Suisse romande, la version francophone du Blick s'est particulièrement illustrée dans le suivisme et la docilité envers la parole officielle. Malgré les explications de son rédacteur en chef, le portail, ainsi que tous les autres titres de Ringier, sont-ils encore crédibles dans le traitement de la pandémie ?

Pour autant, on est en droit d'attendre de la part de l'autorité de surveillance qu'est le Conseil suisse de la presse un minimum de courage. Qu'elle fasse respecter le droit qu'a le public d'être bien informé. Comme le prescrit la Charte de déontologie du journaliste appelée communément la Charte de Münich. Parce que sans une information de qualité – soit la recherche de la vérité – le citoyen ne saurait exercer comme il se doit la démocratie. 

Il n'en est rien. Le 11 octobre 2022, l'avocat Matthias Schwaibold a répondu à la plainte, au nom de la rédaction en chef du « Blick », et demandé qu'elle soit rejetée. Il critique d'abord la longueur de la procédure menée au Conseil suisse de la presse. Et il se permet de rappeler que tout ce qui est vrai n'est pas important ! Le journalisme, selon lui, a pour tâche de mettre en lumière ce qui est important parmi ce qui est vrai. 

Ainsi le public dépendrait du bon vouloir du seul journaliste pour être bien informé ; partiellement informé ; mal informé voire pas informé du tout. Où on attendrait l'intervention du Conseil suisse de la presse au profit du citoyen qui par ailleurs l'entretient économiquement parlant par le biais de la redevance le Conseil suisse de la presse se couche une fois de plus devant l'insistance d'un avocat, en plus de ne vraisemblablement pas savoir que Covid-19 s'écrit au féminin et non au masculin. Autre élément révélateur est que la décision de rejeter la plainte prise en date du 30 décembre 2022 rappelle les arguments du journaliste Johannes Hillig : « Il s'agit d'un vermifuge destiné aux chevaux que les opposants à la vaccination présentent pourtant comme une alternative à la piqûre. Swissmedic et divers médecins ont déjà mis en garde contre ce produit. En effet, l'ingestion incontrôlée par l'être humain serait dangereuse pour la santé. Ni les États-Unis, ni l'Allemagne, ni l'Autriche, ni la Suisse n'autorisent ce produit pour combattre le coronavirus. Le vermifuge a malgré tout l'aura d'un remède miracle aux yeux des antivax. »

Depuis quand des pays comme les États-Unis, l'Allemagne, l'Autriche ou encore la Suisse sont-ils des références en matière de traitement de la Covid-19 ? C'est l'Occident hyper inoculé aux injections ARN messager qui présente le plus de pertes humaines ! 

Le Comité d'Anticrim
PA François Meylan
Case postale
1110 Morges 2
#64
Il faut bannir traitements hormonaux et bloqueurs de puberté, à visée transgenre chez les mineurs




par Nicole Delépine

Il faut bannir les traitements hormonaux et bloqueurs de puberté, à visée transgenre1.

Les bloqueurs de puberté sont des médicaments qui inhibent la production des hormones sexuelles et de ce fait suspendent la puberté chez les enfants et les adolescents – Ils empêchent les adolescents d'acquérir des signes sexuels secondaires (seins, barbe). La combinaison de bloqueurs de puberté et d'hormones pour développer les signes sexuels secondaires de l'autre sexe a des conséquences irréversibles. Si elle intervient tôt dans le processus de la puberté, elle a notamment pour effet de rendre la personne stérile.

Ces bloqueurs empêchent l'apparition des caractères sexuels secondaires (pilosité, voix, modifications corporelles, etc.) mais bloquent d'autres phénomènes liés à la puberté tels que la croissance, la libido, la calcification des os et la fertilité. Ils ne devraient jamais être prescrits en dehors d'un suivi médical rigoureux et informatif afin de permettre un consentement véritablement éclairé et jamais par auto-prescription via internet. Aux parents de surveiller leurs enfants et d'éviter le trafic occulte de médicaments dangereux pour leur santé physique et psychique.

Le traitement des pubertés précoces repose essentiellement sur l'utilisation des agonistes de la GnRH2. Des formes retard, à injection mensuelle ou trimestrielle sont utilisées.

Ce sont ces mêmes médicaments qui sont utilisés chez des enfants non malades, mais qui ont déclaré se sentir d'un autre sexe. Le drame majeur est la politique de l'affirmatif dans ce domaine par les médecins dont certains profitent de la situation pour vendre leur business et d'autres sont prosélytes de leur idéologie.  Dans aucune maladie, le malade ne décide de son diagnostic ni de son traitement. Et encore moins un enfant, sauf pour les transgenres dont les lobbies imposent leurs fantasmes (comme ils les décrivent eux-mêmes). Dire le contraire est déclaré transphobe, susceptible de poursuites judiciaires.

Mis au point dans les années 1980 pour traiter la puberté précoce, ils ont transformé les traitements des transgenres depuis qu'ils ont été utilisés dans ce but pour la première fois à la fin des années 1990 avec toutes les conséquences dramatiques niées au début de leur usage et encore trop souvent en 2023.

Une fois l'âge atteint pour faire sa puberté, et si l'enfant le demande encore (mais il est en général entouré de médecins et soignants militants chez lesquels le doute est exclu par idéologie), il va recevoir un traitement hormonal croisé. Si la petite fille veut devenir un homme, elle recevra des hormones mâles – la testostérone- et inversement le petit garçon souhaitant devenir fille recevra des hormones de la femme, c'est-à-dire des œstrogènes. Ce sont ces hormones que des adultes plus âgés désirant changer de sexe recevront également.

Pour se féminiser

Le traitement se fait avec des œstrogènes naturels... par voie cutanée ou bien de la progestérone naturelle et de la finastéride (en cas de perte de cheveux)

Le traitement hormonal féminisant3 a des effets réversibles et irréversibles. Même si le caractère ne change pas ce qui reste à prouver vu les effets dévastateurs sur le moral et les dépressions, les effets réversibles habituels sont la diminution de la musculature, une répartition des graisses différente, la peau qui transpirera moins, diminution de la pression sanguine, des globules rouges et de la chaleur corporelle.

Quant aux effets irréversibles à prendre en compte : les seins se développement, les aréoles s'élargissent, des vergetures apparaissent.

Chez les femmes transgenres (initialement hommes) une combinaison de bloqueurs de la testostérone4 et de traitement aux œstrogènes est nécessaire. Les inhibiteurs de la testostérone sont nécessaires, car la testostérone agit plus fortement dans le corps que les œstrogènes. Mais des effets négatifs sont nombreux : diminution de la libido, modifications du cholestérol et effets cardiovasculaires etc...5 Les directives de la société endocrinienne suggèrent spécifiquement que l'éthinylestradiol par voie orale ne soit pas utilisé chez les femmes transgenres, car le très fréquemment associé aux événements thromboemboliques ( thrombose veineuse profonde, crise cardiaque, embolie pulmonaire et accident vasculaire cérébral).

Toutes les études le confirment : le risque de développer une maladie thromboembolique veineuse, c'est-à-dire l'apparition d'un caillot sanguin, est presque 2 fois plus élevé chez les femmes transgenres que les chez les hommes et les femmes cisgenres. Ce risque de développer un caillot 5 fois plus élevé après 2 ans de suivi que chez les hommes non transgenres et trois fois plus élevé que chez les femmes non transgenres.

En ce qui concerne le risque de faire un AVC causé par un caillot sanguin, les probabilités étaient 9,9 fois plus élevées chez les femmes transgenres que chez les hommes du groupe témoin et 4,1 fois plus élevées que chez les femmes du groupe témoin, d'après une période de suivi de plus de six ans dans l'étude citée6.

Se masculiniser

Chez les trans-hommes, la testostérone peut entraîner de l'acné, de la calvitie, un gain de poids, une augmentation des globules rouges, une augmentation du cholestérol et aussi une élévation des enzymes du foie. Elle peut également contribuer à l'apparition d'hypertension, de diabète de type 2 et de maladies cardiovasculaires.

Malade à vie

Quel que soit le type de traitement aux œstrogènes utilisé ou inversement les hormones masculinisantes la surveillance est importante. Le médecin doit surveiller les taux hormonaux dans le sang. Malheureusement ces traitements ne sont pas anodins et nécessitent une surveillance à vie. Chez les hommes, les risques de maladie induite sont aussi importants.

Est-ce le paradis sur terre que les marchands de rêve, et de médicaments et interventions à répétition leur ont fait imaginer ? Les parents devraient réfléchir sérieusement avant d'embarquer leur enfant dans une telle aventure médicale. Être malade à vie, est-ce une option ? Demandez à ceux qui ne l'ont pas choisi ce qu'ils auraient fait s'ils en avaient eu le choix. Le premier conseil de notre serment d'Hippocrate n'est-il pas « primum non nocere » ?

Transgenres : un risque de mortalité deux fois plus élevé7

Les personnes transgenres auraient un risque de mortalité deux fois plus élevé que celles cisgenres. En fonction du sexe, les causes seraient différentes.

Le suicide : parmi les premières causes de mortalité chez les hommes transgenres

Une étude publiée dans la revue The Lancet Diabetes & Endocrinology observationnelle a montré une augmentation du risque de mortalité chez les personnes transgenres utilisant un traitement hormonal, quel que soit le type de traitement. Ce risque accru de mortalité n'a pas diminué avec le temps. Chez les femmes transgenres le risque de mortalité était presque deux fois plus élevé par rapport aux hommes cisgenres et près de trois fois plus élevé comparativement aux femmes cisgenres. Chez les hommes transgenres, le risque était similaire à celui des hommes cisgenres mais presque le double par rapport à celui des femmes cisgenres. Cette étude tente de disculper le rôle des médicaments dans cette surmortalité, mais reconnaissant tout de même que les données sont insuffisantes... Cela évoque la mystification comparable actuelle niant le rôle de l'injection génique dans l'épidémie actuelle de morts subites...

La prise de conscience des communautés trans malgré les manipulations

Même les transgenres se posent des questions sur les conséquences dramatiques des interventions mutilantes et hormones dévastatrices chez les enfants qui n'ont pas la liberté psychique et le discernement suffisant pour choisir. Et reconnaissent que la transition est de fait IMPOSSIBLE DANS LA RÉALITÉ :

« Même si la transition du corps d'un sexe à l'autre n'est pas réellement possible, je suis d'accord avec les gens qui font ça. Aucune quantité d'hormones sexuelles croisées ne transformera un pénis en vagin, ni vice versa. La chirurgie peut enlever les seins, les lèvres, les clitoris, les vagins, les ovaires, les trompes de Fallope, les utérus, les pénis, les scrotums et les testicules. La chirurgie plastique peut essayer de façonner des pseudo-pénis à partir de morceaux de tissu de cuisse ou de bras, ou des pseudo-vagins à partir de pénis inversés ou de longueurs de côlon, mais ce ne sont pas des organes fonctionnels. Même les chirurgies et les médicaments les plus sophistiqués ne peuvent pas transformer l'ADN codé dans chaque cellule de votre corps. Le sexe ne peut jamais changer, mais je suis d'accord pour agir sur les fantasmes et les sentiments »8.

Alors ne faut-il pas enfin informer complètement les candidats et leurs familles sur l'inefficacité de ces transformations mutilantes ? Le rôle des parents est de protéger leurs enfants et non de les confier à des lobbies et à des professionnels militants et/ou intéressés par le juteux business de ce nouveau marché9.

Les législations évoluent dans les pays qui ont subi ces pratiques depuis des décennies

L'Utah10 (USA) est un des premiers États à bannir par la loi ces pratiques mutilantes et dangereuses pour l'individu : le projet de loi « Transgender [sic] Medical Treatments and Procedures Amendments », parrainé par le sénateur républicain Michael Kennedy a pris effet immédiatement.

« SB 16  « interdit à un fournisseur de soins de santé de fournir un traitement hormonal transgenre [sic] à de nouveaux patients qui n'ont pas été diagnostiqués avec une dysphorie de genre avant une certaine date » et « interdit d'effectuer des interventions chirurgicales sexospécifiques sur un mineur dans le but d'effectuer un rapport sexuel changer [sic] ». La loi impose un moratoire indéfini sur les médicaments hormonaux. Les individus « peuvent intenter une action pour faute professionnelle médicale » en réponse à des procédures qui changent la vie et « désaffirmer leur consentement » aux chirurgies et aux hormones mutilantes.

En 2022, l'Arizona a promulgué une loi interdisant les interventions chirurgicales visant à mutiler les enfants aux prises avec une confusion sur leur sexe, y compris les hystérectomies et les mastectomies.

La représentante républicaine Marjorie Taylor Greene de Géorgie a proposé un projet de loi en septembre qui transformerait en crime la fourniture de bloqueurs de puberté, d'hormones sexuelles croisées et d'interventions chirurgicales pour les mineurs au nom de la « transition de genre ».

Les législateurs du Tennessee ont introduit une législation similaire en novembre après que le gouverneur républicain Bill Lee a appelé à une enquête sur un centre médical local qui aurait promu des interventions médicales « transgenres » à des fins lucratives.

Les bloqueurs de puberté et les hormones croisées engendrent des drames irréversibles : peut-on enfin en parler ?11

Les bloqueurs de puberté officiellement prescrits aux jeunes se posant des questions sur leur genre pour leur donner le temps de réfléchir ne se concevraient que si leurs effets étaient effectivement réversibles et sans conséquences néfastes. Ce n'est malheureusement pas le cas.

Jusqu'à une période récente, les livres et articles dénonçant les conséquences nocives de ces médicaments étaient systématiquement calomniés par les activistes transgenres et censurés dans les médias comme le livre d'Abigail Shrier's « Irreversible Damage : The Transgender Craze Seducing Our Daughters », fort bien documenté et nommé livre de l'année par The Economist l'un des meilleurs livres de 2021 par The Time.

Mais avec le nombre croissant d'enfants soumis à ces traitements depuis longtemps12, le mensonge des lobbies trans qui répètent constamment que ces médicaments seraient sans danger et leurs effets réversibles, devient flagrant.

L'augmentation considérable des suicides est une des principales particularités de la santé mentale des personnes trans par rapport à la population générale. Plusieurs études montrent que plus 40% des personnes trans ont fait une tentative de suicide au moins une fois dans leur vie13,14 soit près de 20 plus que les hétérosexuels et dix fois plus que les homosexuels.

Même le New York Times rapporte les questions jusque-là interdites dans un article « They Paused Puberty, But is There A Cost? ».

« Même si tenter de faire passer le corps d'un sexe à l'autre n'est pas sain et augmente le suicide, je suis d'accord avec les gens qui font ça. Les bloqueurs de puberté, les hormones sexuelles croisées et les chirurgies sont mauvais pour le corps. Vraiment mauvais. Polypes cérébraux, anorgasmie, infertilité, ostéoporose, Alzheimer, lésions cardiaques, diabète, infections, décès. Les scientifiques et les médecins savent que ces approches sont mauvaises. Parfois, un patient rapporte que les résultats en valaient la peine, mais nous savons que la transition augmente en fait les taux de suicide. Je suis d'accord avec ces conséquences négatives, car les sentiments sont plus importants que la réalité ».

Malgré le fait que la vague actuelle d'adolescents atteints de dysphorie de genre a des taux disproportionnellement élevés d'isolement social, d'anxiété, de dépression, de TDAH et d'autisme, je suis également d'accord pour les endommager et les stériliser de façon permanente. Même si on ne peut pas faire confiance aux adolescents typiques pour voter, fumer des cigarettes ou conduire une voiture de location, je crois que ces adolescents socialement isolés, anxieux, déprimés, TDAH et autistes sont en quelque sorte extraordinairement matures, et je suis d'accord pour qu'ils fassent ces sortes de décisions qui changent la vie en fonction de leurs sentiments. Parce que les sentiments l'emportent sur le corps »15.

Ce monde est fou ! L'aveu de ces transgenres militants a le mérite de lister les effets tragiques de ces traitements et aussi le dérangement mental de notre société.

Il est indiscutable par exemple qu'ils engendrent un déficit osseux : les bloqueurs de la puberté font fondamentalement plus de mal que de bien. On ne compte plus les histoires d'adolescents avec des tassements de la colonne vertébrale ou d'autres fractures, de l'ostéoporose et de maux de dos chroniques ; certains ont un « handicap permanent » à cause des médicaments défendus par les militants trans et leurs auxiliaires médicaux.

Les bloqueurs de la puberté ont aussi un impact sur le cerveau mal compris actuellement.

L'infertilité permanente est probable pour ceux qui ont pris les médicaments dès leur plus jeune âge – une décision capitale pour les enfants qui ne peuvent pas saisir les implications lointaines de ces traitements.
De plus en plus, des dé-transitions se présentent pour raconter leur histoire et une fille explique par exemple que malgré la suppression des hormones mâles elle garde définitivement une voix grave.

Quelle est l'opportunité de ces traitements fournis à des enfants qui à 85% d'entre eux s'en seraient passés si on avait pris le temps d'y réfléchir et de leur fournir les aides psychologiques nécessaires ?

« Une douzaine d'études portant sur des enfants souffrant de dysphorie de genre mais n'ayant pas pris de bloqueurs de puberté ont démontré que, si ces enfants sont correctement accompagnés et suivis, ils et elles n'éprouveront plus après la puberté le désir de changer de sexe. La proportion de ces jeunes la plus souvent citée est de 85%. La plupart s'avèrent devenir homosexuel.

Autre indice qui va à l'encontre du bien-fondé de ces traitements : de plus en plus de personnes ainsi traitées choisissent la « détransition », c'est-à-dire qu'au bout d'une certaine période, elles et ils s'identifient de nouveau à leur sexe biologique. Ce sont pour en majorité des jeunes filles qui voulaient devenir des garçons à l'adolescence. Si elles avaient été traitées à cet âge, elles seraient devenues stériles, même en gardant un appareil génital intact »16.

L'épidémie trans qui semble se développer dans notre pays (bien après celle des pays anglosaxons qui reflue) semble traduire un mal être réel, utilisé par des marchands d'espoir qui créent un business bien réel.

Même les professionnels ou militants des transitions reconnaissent des anomalies :

« Selon l'Association Professionnelle Mondiale pour la santé des personnes transgenres (WPATH), les interventions de réassignation de sexe ne devraient avoir lieu qu'après une « enquête approfondie du contexte social et familial et un examen psychologique ». Cela semble évident. Or la dysphorie de genre ne fait l'objet d'aucun examen médical. Les recherches existantes montrent que la plupart des enfants qui s'identifient comme appartenant à l'autre sexe finissent par retrouver d'eux-mêmes un sentiment d'adéquation à leur sexe. Ce sont par ailleurs des enfants sujets à la dépression et aux troubles anxieux. C'est un écheveau compliqué à démêler pour les patients, leurs parents et les professionnels de santé qui doivent déterminer quel enfant, parmi cet ensemble de cas, souffre d'une dysphorie de genre qui va s'installer dans le temps.

Laura Edwards-Leeper, professeure de psychologie à la Pacific University dans l'Oregon et cofondatrice de la première clinique pour enfants transgenres des États-Unis, à Boston, admet qu'une « grande majorité » d'enfants soumis à des inhibiteurs d'hormones n'ont pas été examinés de façon suffisamment approfondie »[6].
Si même eux le disent...

source : Docteur Nicole Delépine
https://docteur.nicoledelepine.fr/il-faut-bannir-traitements-hormonaux-et-bloqueurs-de-puberte-a-visee-transgenre-chez-les-mineurs/

#65
Ecole et enseignement / Témoignage : Morts dans les éc...
Dernier message par Ouebmestre - 04 Février, 2023, 16:29:13
Témoignage
Morts dans les écoles...


  • 3 février 2023

 
Nous avons reçu ce témoignage d'une jeune enseignante belge sur ce qu'elle vit et voit dans son école. Bouleversant. Révoltant! Que reste-t-il dès lors que les gouvernements et le médias ont participé à assassiner leurs citoyens et que les effets sont irréversibles? Témoigner. Parler, parler, parler.

« Je suis enseignante dans l'enseignement secondaire, dans une école et dans un lieu dont je tairai le nom. Je suis belge. Notre école compte à peu près 1000 élèves, et une petite centaine de professeurs.

Je témoigne aujourd'hui en étant complètement factuelle car il est urgent de briser le silence sur ce qui suit.

Pendant la période du Covid « sans vaccination » , (donc jusque juin 2021), notre école n'a déploré aucun décès, ni aucune hospitalisation en son sein. Nous avons un panneau d'affichage pour nous informer quand un élève subit un évènement dramatique au sein de sa famille. Là, en effet, nous avons pu constater une légère augmentation de décès chez les grand-parents d'élève, et surtout des arrière-grands parents.
CitationAprès septembre 2021, le chaos a commencé
En septembre 2021, notre équipe de direction était fière d'annoncer que près de 98 % des profs et de la population scolaire étaient vaccinés. Nous étions exactement 3 enseignants à ne pas l'être. Peut être plus, car en Belgique, nous pouvions refuser de divulguer notre carnet de vaccination. Ce que j'ai fait car la pression était alors à son comble, pesante et surtout extra-culpabilisante, autant de la part des élèves que de celle des profs .

Après septembre 2021, le chaos a commencé. (Je ne donne que les données que j'ai pu observées)

Entre septembre 2021 et aujourd'hui, 3 février 2023:

Chez les professeurs :
  • Le professeur de mathématique — la quarantaine — crise cardiaque. Décès — Le jour de 3ème dose;
  • L'éducateur, 24 ans — cycliste de haut niveau -, myocardite pendant l'entrainement — fin de sa carrière;
  • Le directeur ‑cinquantaine — myocardite -; 
  • 2 AVC avec rémissions — 2 femmes de plus ou moins 45 ans — 2 fin de carrière;
  • 1 rupture d'anévrisme — décès- 50 ans;
  • 1 cancer fulgurant- 37 ans- décès;
  • Un cancer du sein qui était en rémission, ne l'est plus, 50 ans — chimio en cours;
  • Le prof d'histoire est devenu « cardiaque »;
  • Un cancer du cerveau « fulgurant » — mort en 7 jours d'un père de 3 enfants — 39 ans;
  • 2 personnes hospitalisées pour Covid juste après leur vaccination;
  • De nombreuses professeurs menstruées prennent des congés menstruels;
  • À ce jour, le taux d'absentéisme de longue durée des professeurs n'a jamais été aussi élevé;
  • ...

Chez les élèves:
  • L'épidémie la plus brutale est celle de la phobie scolaire. En 20 ans de carrière, j'ai connu des élèves hospitalisés pour phobie scolaire, mais c'était rare;
  • Ils sont 8 cette année a être dans un hôpital spécial , et 4 en attente de place, ou scolarisé en famille pour phobie scolaire;
  • Les données que j'ai collectées et auxquelles j'ai accès sont celles des élèves suivant mon cours (donc à peu près 200 élèves);
  • 3 élèves ont des problèmes cardiaques récents (donc apparus après 2021), dont 1 grave;
  • Un élève en rémission de son cancer a fait une rechute;
  • Les filles menstruées qui ont des problèmes de cycles et qui s'absentent sous certificat médical une fois par mois ont presque doublé. Et je n'ai pas le droit d'aborder l'éventuel problème de vaccination avec elles, ni de leur parler du collectif Où est mon cycle qui pourrait les informer et les soutenir.

Parlons maintenant du tableau des familles... et c'est là que c'est le pire. Il n'y plus de place sur ce tableau!:

Crise cardiaque, AVC, cancer, rupture d'anévrisme... quasiment que des décès brutaux de parents ou de grands parents ( surtout des hommes).
Cette année , 3 des mes élèves ont perdus leur papa. 3 sur 200.
Jamais je n'avais vécu ça.

Voilà c'est du factuel, et je ne me risque pas à interpréter ces chiffres. Mais puis-je dire que cela me terrifie?...
L'omerta sur les problèmes dus à la vaccination est plus forte encore que celle sur notre statut vaccinal.

Ne pas Avoir le courage de dire qu'on s'est fait berner par les labos et les gouvernements c'est de la non-assistance à personnes en danger, du déni de soin et la perte de notre humanité. Nous voyons chaque jour, impuissants et muselés, les élèves, collègues, qui s'enfoncent dans la solitude et la maladie.

Il faut parler, il faut s'entraider et il faut témoigner ».

https://www.kairospresse.be/morts-dans-les-ecoles/
#66
Fraudes d'ordre sanitaire / Le CDC publie enfin les analys...
Dernier message par Ouebmestre - 03 Février, 2023, 15:14:12
Le CDC publie enfin les analyses des effets indésirables pour les vaccins Covid




par le Professeur Josh Guetzkow

Résumé de l'article

• L'analyse des signaux de sécurité VAERS [Système de notification des événements indésirables liés aux vaccins] du CDC [Centre pour le contrôle et la prévention des maladies] basée sur les rapports du 14 décembre 2020 au 29 juillet 2022 pour les vaccins mRNA COVID-19 montre des signaux de sécurité clairs pour le décès et une gamme d'événements indésirables (EI) thrombo-emboliques, cardiaques, neurologiques, hémorragiques, hématologiques, du système immunitaire et menstruels très préoccupants chez les adultes américains.
Il y avait 770 types différents d'événements indésirables qui présentaient des signaux de sécurité chez les 18 ans et plus, dont plus de 500 (ou 2/3) avaient un signal de sécurité plus important que la myocardite/péricardite.
L'analyse du CDC montre que le nombre d'événements indésirables graves signalés en moins de deux ans pour les vaccins COVID-19 à ARNm est 5,5 fois plus important que tous les rapports sérieux pour les vaccins administrés aux adultes aux États-Unis depuis 2009 (~73 000 contre ~13 000).
• Deux fois plus de rapports concernant le vaccin ARNm COVID-19 ont été classés comme graves par rapport à tous les autres vaccins administrés aux adultes (11% contre 5,5%). Cela correspond à la définition du CDC d'un signal de sécurité.
• Il existe 96 signaux de sécurité pour les 12-17 ans, à savoir : myocardite, péricardite, paralysie de Bell, ulcérations génitales, hypertension artérielle et fréquence cardiaque élevée, irrégularités menstruelles, incompétence des valves cardiaques, embolie pulmonaire, arythmie cardiaque, thromboses, épanchement péricardique et pleural, appendicite et appendice perforé, thrombocytopénie immunitaire, douleur thoracique, augmentation du taux de troponine, séjour en soins intensifs et traitement anticoagulant.
• Il y a 66 signaux de sécurité pour les 5-11 ans, qui comprennent : myocardite, péricardite, dysfonctionnement ventriculaire et incompétence des valves cardiaques, épanchement péricardique et pleural, douleur thoracique, appendicite et appendicectomie, maladie de  Kawasaki, irrégularités menstruelles, vitiligo et infection percée par le vaccin.
• Les signaux de sécurité ne peuvent être rejetés comme étant dus à des rapports « stimulés », exagérés, frauduleux ou autrement gonflés artificiellement, pas plus qu'ils ne peuvent être rejetés en raison du nombre considérable de vaccins COVID administrés. Il y a plusieurs raisons à cela, mais la plus simple est la suivante : l'analyse des signaux de sécurité ne dépend pas du nombre de rapports, mais du fait que certains EI sont ou non rapportés à un taux plus élevé pour ces vaccins que pour les autres vaccins non COVID. D'autres raisons sont discutées dans le post complet ci-dessous.
En août 2022, les CDC ont déclaré à l'Epoch Times que les résultats de leur analyse des signaux de sécurité « étaient généralement conformes à l'exploration des données EB [Empirical Bayesian] [menée par la FDA], ne révélant aucun signal de sécurité supplémentaire inattendu ». Donc, soit l'exploration des données de la FDA était cohérente avec la méthode du CDC – ce qui signifie qu'ils ont « généralement » trouvé le même grand nombre de signaux de sécurité hautement alarmants – soit les signaux qu'ils ont trouvés étaient attendus. Ou encore, ils ont menti. Nous ne le saurons peut-être jamais, car la FDA a refusé de publier ses résultats d'exploration des données.



Introduction

Enfin ! Zachary Stieber, d'Epoch Times, a réussi à obtenir du CDC qu'ils publient les résultats de leur surveillance des signaux de sécurité VAERS [Vaccine Adverse Event Reporting System- Système de notification des événements indésirables liés aux vaccins] pour les vaccins COVID-19, et ils dressent un tableau très alarmant (voir son rapport et les fichiers de données ici).
Les analyses couvrent les rapports VAERS pour les vaccins COVID à ARNm depuis le lancement du vaccin le 14 décembre 2020 jusqu'à la fin du mois de juillet 2022.
Le CDC a admis n'avoir commencé son analyse des signaux de sécurité que le 25 mars 2022 (par coïncidence, trois jours après qu'un avocat de Children's Health Defense [Défense de la Santé des Enfants] leur ait écrit pour leur rappeler notre demande de liberté d'information).
[Mise à jour : T Coddington a laissé un lien dans les commentaires vers un site web où il a rendu les données des fichiers Excel plus accessibles].

Comme moi, vous vous demandez peut-être pourquoi le CDC a attendu plus de 15 mois avant de procéder à sa première analyse des signaux de sécurité du VAERS, bien qu'il ait déclaré dans un document publié sur son site Web qu'elle commencerait au début de 2021 – d'autant plus que le VAERS est présenté comme notre système d'alerte précoce sur la sécurité des vaccins.
Vous pouvez également vous demander comment ils ont pu insister pendant tout ce temps sur le fait que les vaccins COVID-19 sont soumis au contrôle de sécurité le plus rigoureux que le monde ait jamais connu. J'y reviendrai plus tard.
Je vais d'abord vous donner quelques informations générales sur l'analyse qu'ils ont effectuée (que vous pouvez sauter si vous êtes déjà au courant), puis je décrirai ce qu'ils ont trouvé.

Contexte de l'analyse des signaux de sécurité

En juin 2022, les CDC ont répondu à une demande présentée en vertu de la loi sur la liberté de l'information (FOIA) concernant le suivi des signaux de sécurité du Vaccine Adverse Events Reporting System (VAERS) – celui qu'ils avaient déclaré vouloir effectuer chaque semaine à partir du début de 2021.
Leur réponse a été la suivante : nous ne l'avons jamais fait. Puis, un peu plus tard, ils ont dit qu'ils l'avaient fait dès le début. Mais en août 2022, ils ont finalement mis les choses au point et ont déclaré qu'ils l'avaient effectivement fait, mais seulement du 25 mars 2022 à la fin juillet. Vous pouvez vous mettre à jour sur ce sujet ici.
L'analyse qu'ils étaient censés faire, utilise ce que l'on appelle des ratios de rapports proportionnels (PRR). Il s'agit d'un type d'analyse de disproportionnalité couramment utilisé en pharmacovigilance (c'est-à-dire la surveillance des événements indésirables après la mise sur le marché de médicaments/vaccins).
L'idée de base de l'analyse de disproportionnalité est de prendre un nouveau médicament et de le comparer à un ou plusieurs médicaments existants généralement considérés comme sûrs. Nous recherchons la disproportionnalité dans le nombre d'événements indésirables (EI) signalés pour un EI spécifique par rapport au nombre total d'EI signalés (puisque nous ne savons généralement pas combien de personnes prennent un médicament donné). Nous comparons ensuite avec les médicaments existants considérés comme sûrs pour voir s'il y a une proportion plus élevée d'événements indésirables particuliers signalés pour le nouveau médicament par rapport aux médicaments existants. (Dans ce cas, ils examinent les vaccins, mais ils utilisent toujours le PRR même s'ils ont généralement une bien meilleure idée du nombre de vaccins administrés).
Il existe de nombreuses façons d'effectuer une analyse de disproportionnalité. Le PRR est l'une des plus anciennes. L'exploration empirique bayésienne des données, qui était censée être effectuée sur le VAERS par la FDA, en est une autre. Le PRR est calculé en prenant le nombre de rapports pour un événement indésirable donné divisé par le nombre total d'événements signalés pour le nouveau vaccin ou le nombre total de rapports. Il est ensuite divisé par le même ratio pour un ou plusieurs médicaments/vaccins existants considérés comme sûrs. Voici une formule simple :



Ainsi, par exemple, si la moitié de tous les événements indésirables signalés pour les vaccins COVID-19 et le(s) vaccin(s) de comparaison concernent la myocardite, alors le PRR est de 0,5/0,5 = 1. Si un quart de tous les effets indésirables pour le vaccin de comparaison sont des myocardites, alors le PRR est de 0,5/0,25 = 2.
Traditionnellement, pour qu'un PRR soit considéré comme un signal de sécurité, il doit être égal ou supérieur à 2, avoir une valeur de Chi-carré égale ou supérieure à 4 (ce qui signifie qu'il est statistiquement significatif) et au moins trois événements doivent être signalés pour un EI donné. (Cela signifie également que si des tonnes d'effets indésirables différents sont signalés pour les vaccins COVID et qu'ils n'ont jamais été signalés pour aucun autre vaccin, ils ne seront pas considérés comme un signal de sécurité. J'en ai trouvé plus de 6000 dans mon analyse des signaux de sécurité de 2021.
Bien sûr, un signal de sécurité ne signifie pas nécessairement qu'il y a un problème ou que le vaccin a causé l'événement indésirable. Mais il est censé déclencher des sonnettes d'alarme pour inciter à une inspection plus approfondie, comme dans cette brochure du CDC :



Ah oui, partagé avec le public – après un premier refus de partager les résultats et des mois de tergiversations suite à des demandes répétées de FOIA ! Nous verrons que le CDC n'a pas réalisé d'étude plus ciblée sur la quasi-totalité des événements indésirables présentant de « nouveaux schémas » (ou signaux de sécurité).

Qu'a fait le CDC en réalité ?

The Epoch Times a obtenu du CDC trois semaines d'analyses des signaux de sécurité pour les données VAERS mises à jour les 15, 22 et 29 juillet 2022. Je me concentrerai ici sur la dernière, car il y a très peu de différence entre elles et elle est plus complète. L'analyse des signaux de sécurité compare les événements indésirables1 signalés au VAERS pour les vaccins COVID-19 à ARNm entre le 14 décembre 2020 et le 29 juillet 2022 aux rapports pour tous les vaccins non-COVID entre le 1er janvier 2009 et le 29 juillet 2022.
Les RRP sont calculés séparément pour les 5-11 ans, les 12-15 ans et les 18 ans et plus. Pour chaque groupe d'âge, il existe des tableaux séparés pour les EI de tous les rapports, les EI des rapports marqués comme graves et les EI des rapports non marqués comme graves. Rappelons qu'un rapport grave2 est un rapport qui implique un décès, un événement mettant la vie en danger, une nouvelle hospitalisation ou une hospitalisation prolongée, un handicap ou un dommage permanent, ou une anomalie congénitale. Je vais me concentrer sur les rapports concernant tous les EI.
Ils ont également un tableau qui calcule les RRP en comparant les rapports pour le vaccin COVID-19 de Pfizer aux rapports pour le vaccin Moderna et vice versa, encore une fois pour tous les rapports, les rapports graves seulement et les rapports non graves. Ces tableaux ne présentent pas de résultats remarquables, je ne les discuterai donc pas. [Edit : J'ai oublié ce que Norman Fenton a noté dans son analyse : la proportion globale de rapports avec des événements indésirables graves est de 9,6% pour Moderna contre 12,6% pour Pfizer].
Ce n'est pas très surprenant puisque les deux vaccins sont très similaires et devraient donc présenter des effets indésirables relativement similaires l'un par rapport à l'autre, et que les différences éventuelles ne sont probablement pas assez importantes pour être détectées par une analyse du RRP. [La différence dans le taux global d'événements indésirables graves, qui ne sont pas spécifiques à un type d'événement particulier mais seulement à son degré de gravité, était toutefois significative].
Les CDC semblent avoir calculé les PRR pour chaque type d'événement indésirable rapporté pour tous les vaccins COVID examinés – mais il est possible qu'ils n'aient analysé qu'un sous-ensemble.
Ce qui semble clair, c'est que, parmi les EI examinés, les seuls qui figurent dans les tableaux remplissent au moins une des deux conditions suivantes : une valeur de PRR d'au moins 2 et une valeur de Chi-carré d'au moins 4 (Chi est la lettre grecque χ et se prononce comme « kai »). Lorsque les deux conditions étaient remplies, ils ont mis l'événement indésirable en jaune, ce qui semble indiquer un signal de sécurité. Aucun événement indésirable lié au vaccin COVID n'a été répertorié avec moins de 3 événements signalés, bien que pour les vaccins non-COVID, de nombreux événements indésirables répertoriés n'avaient été signalés qu'à 1 ou 2 reprises depuis 2009. Les tableaux du CDC les incluent toujours et les mettent en évidence en jaune lorsque le PRR est supérieur à 2 et que la valeur du chi-deux est supérieure à 4, ce qui indique que ces événements sont considérés comme des signaux de sécurité.

Quels signaux de sécurité le CDC a-t-il trouvés ?

Je vais répartir les résultats par groupes d'âge et comparer Pfizer et Moderna. Commençons par le groupe des 18 ans et plus.
Il y a 772 EI qui apparaissent sur la liste. Parmi eux, 770 sont marqués en jaune et ont des valeurs de PRR et de Chi-carré qui les qualifient de signaux de sécurité. Certains d'entre eux sont de nouveaux codes liés à COVID-19, et nous nous attendons à ce qu'ils déclenchent un signal puisqu'ils n'existaient pas les années précédentes pour être rapportés par d'autres vaccins. Si nous enlevons ces codes, il nous reste 758 types différents d'événements indésirables non-COVID qui ont montré des signaux de sécurité.
J'ai regroupé ces 758 signaux de sécurité en différentes catégories.
Le graphique ci-dessous montre le nombre total d'EI signalés pour chacune des grandes catégories de signaux de sécurité :



Approfondissons certaines de ces catégories pour voir quels types d'EI ont généré le plus grand nombre de rapports3.



Vous pouvez parcourir les événements indésirables à l'aide des tableaux Excel fournis par le CDC, qui ont été publiés par The Epoch Times et Children's Health Defense aux liens figurant en haut de cet article.











Et les enfants ?

S'il y a quelque chose qui ressemble un tant soit peu à un point positif dans tout cela, c'est que la liste des signaux de sécurité pour les 12-17 ans et les 5-11 ans est beaucoup plus courte que pour les 18+. Il y a 96 EI qui constituent un signal de sécurité pour le groupe des 12-17 ans et 67 pour celui des 5-11 ans.
Si l'on exclut les nouveaux EI de l'ère COVID, il y a 92 signaux de sécurité pour les 12-17 ans et 65 pour les 5-11 ans. Voici les plus alarmants :





Je ne sais pas pourquoi la liste des EI est beaucoup plus courte pour ces groupes d'âge. Il se peut que la liste des effets indésirables des autres vaccins pour ces groupes d'âge soit beaucoup plus courte. Ainsi, dans le cas où des effets indésirables ont été signalés pour les vaccins COVID à ARNm mais pas pour les autres vaccins, ils ne seront pas considérés comme un signal de sécurité par définition.

Comparaisons avec la myocardite et la péricardite

On nous dit que l'existence d'un signal de sécurité ne signifie pas nécessairement que l'EI est causé par le vaccin, et j'accepte cette prémisse.
Mais la pratique actuelle semble être d'ignorer les signaux de sécurité, de les rejeter comme un bruit sans aucune preuve, et de retarder toute enquête à leur sujet aussi longtemps que possible.
Le principe de précaution nous impose pourtant de présumer qu'un signal de sécurité indique une causalité, jusqu'à preuve du contraire.
Puisqu'il a été reconnu que les vaccins COVID à ARNm peuvent provoquer des myocardites et des péricardites (souvent appelées myo-péricardites), nous pouvons considérer ces EI comme une sorte de référence et proposer qu'au minimum, tout EI accompagné d'un signal de taille égale ou supérieure soit considéré comme potentiellement causal et fasse l'objet d'une enquête plus approfondie4.
Après avoir éliminé les nouveaux EI de l'ère COVID, on compte 503 EI dont le RRP est supérieur à celui de la myocardite (RRP=3,09) et 552 dont le RRP est supérieur à celui de la péricardite (RRP=2,82)5. Cela signifie que 66,4% des EI ont un signal de sécurité supérieur à celui de la myocardite et 77,3% à celui de la péricardite. Vous pouvez voir ce qu'il en est en utilisant ce fichier Excel fourni par le CDC et en triant l'onglet 18+ par la colonne PRR du 14/12-07/29 (colonne E). Il suffit ensuite de regarder quels EI ont des PRR supérieurs à ceux de la péricardite et de la myocardite.
Pour les 12-17 ans, il y a un signal de sécurité plus important que la myocardite (il s'agit d'une « augmentation de la troponine ») et 14 signaux de sécurité plus importants que la péricardite (à l'exclusion de la myocardite), qui comprennent : l'incompétence de la valve mitrale, la paralysie de Bell, les saignements menstruels abondants, l'ulcération génitale, l'infection percée par le vaccin et une série d'indicateurs d'anomalies cardiaques.
Pour les enfants de 5 à 11 ans, la comparaison avec la myo/péricardite est moins pertinente, car ils semblent moins souffrir de cet effet secondaire. Mais nous pouvons quand même faire la comparaison : il y a 7 signaux de sécurité plus importants que la péricardite, y compris la paralysie de Bell, le dysfonctionnement ventriculaire gauche, l'incompétence de la valve mitrale et le « médicament inefficace » (ce qui signifie probablement qu'ils ont quand même reçu le COVID).
Il existe 16 signaux de sécurité plus importants que la myocardite (à l'exclusion de la péricardite), qui, en plus de ceux énumérés ci-dessus, comprennent également : l'épanchement péricardique, l'augmentation de la pression artérielle diastolique, l'incompétence de la valve tricuspide et le vitiligo. La tachycardie sinusale (rythme cardiaque élevé), l'appendicite et les troubles menstruels arrivent juste après la myocardite.
Si l'on considère qu'un signal de sécurité possède à la fois une force et une clarté, le PRR peut être considéré comme un indicateur de la force du signal, tandis que le chi carré est une mesure de la clarté ou de l'absence d'ambiguïté du signal, car il nous donne une idée de la probabilité que le signal soit dû au seul hasard : plus la valeur du chi carré est élevée, moins le signal est dû au hasard. Un chi carré de 4 signifie qu'il n'y a que 5% de chances que le signal observé soit dû au hasard. Un khi-deux de 8 signifie qu'il n'y a que 0,5% de chances que le signal soit dû au hasard6.
• Pour le groupe 18+, il y a 57 EI avec un Chi-carré plus grand que la myocardite (Chi-carré=303,8) et 68 avec un Chi-carré plus grand que la péricardite (Chi-carré=229,5). Encore une fois, vous pouvez voir de quoi il s'agit en consultant le fichier Excel lié ci-dessus et en triant la colonne D.
Pour le groupe 12-17 ans, il y a 4 EI avec un Chi carré plus grand que la myocardite (Chi carré=681,5) et 6 plus grands que la péricardite (Chi carré=175,4).
Pour le groupe des 5-11 ans, il y a 22 EI avec un Khi-deux supérieur à la myocardite (Khi-deux=30,42) et 34 EI avec un Khi-deux supérieur à la péricardite (Khi-deux=18,86).

Réponses aux objections

Dissipons certaines des critiques utilisées pour rejeter les données VAERS, qui seront sans doute soulevées si vous essayez de porter l'analyse du CDC à l'attention des gens.
Objection N°1 : N'importe qui peut faire un rapport au VAERS. Les rapports ne sont pas fiables
Les anti-vax ont fait beaucoup de rapports frauduleux. Personne n'était au courant du VAERS dans le passé, mais maintenant ils le sont. Tant de gens avaient peur du vaccin qu'ils lui attribuaient tous leurs problèmes de santé. Les agents de santé étaient tenus par la loi de signaler certains événements indésirables, comme les décès et les anaphylaxies. Etc. Etc.
Toutes ces objections reposent en définitive sur l'idée que les rapports VAERS concernant les vaccins COVID-19 ont été artificiellement gonflés au cours des années précédentes pour une raison ou une autre.
Le fait est, cependant, que le CDC a une méthode pour distinguer l'inflation artificielle du signal réel.
L'idée est simple : si les événements indésirables sont artificiellement gonflés, ils devraient l'être au même degré. Autrement dit, les RRP de tous ces signaux de sécurité devraient être à peu près les mêmes. Or, un simple coup d'œil aux PRR du fichier Excel montre qu'ils varient considérablement, allant d'un minimum de 2 à un maximum de 105 pour l'infection percée par le vaccin ou de 74 pour la thrombose cérébrale. Cette méthode ne porte pas sur le nombre de déclarations, mais sur le taux de déclaration de certains événements par rapport à l'ensemble des événements déclarés. Le cas échéant, cette méthode aurait tendance à masquer les signaux de sécurité dans une situation où un nouveau vaccin génère un très grand nombre de rapports.
Le CDC nous a même fait la faveur de calculer des intervalles de confiance supérieurs et inférieurs, ce qui signifie que nous pouvons être sûrs à au moins 95% que deux PRR sont vraiment différents si leurs intervalles de confiance ne se chevauchent pas. Ainsi, par exemple, l'intervalle de confiance inférieur pour la thrombose pulmonaire est de 19,7, ce qui est supérieur à l'intervalle de confiance supérieur pour 543 autres signaux. Des rapports artificiellement gonflés ne peuvent pas expliquer pourquoi tant d'événements indésirables différents ont des RRP importants qui sont statistiquement distincts les uns des autres.
Objection N° 2 : Les signaux de sécurité sont dus à l'énorme quantité de vaccins COVID administrés.
Jamais auparavant nous n'avions administré autant de doses de vaccin. À la fin du mois de juillet, les États-Unis avaient administré quelque 600 millions de doses de vaccin à des personnes âgées de plus de 18 ans.
Mais l'analyse du CDC compare les rapports VAERS pour ces doses à toutes les doses de tous les autres vaccins pour ce groupe d'âge depuis le 1er janvier 2009. Mais de 2015 à 2020, plus de 100 millions de doses de vaccin contre la grippe ont été administrées chaque année à ce seul groupe d'âge.
Dans un travail précédent, j'ai estimé à 538 millions les doses de grippe administrées aux personnes de 18 ans et plus entre juillet 2015 et juin 2020. Le nombre de vaccins contre la grippe et d'autres vaccins non COVID administrés à ce groupe d'âge entre le 1er janvier 2009 et le 29 juillet 2022 doit être bien supérieur au double de ce chiffre, ce qui signifie que les rapports VAERS concernant les vaccins COVID sont comparés à des rapports concernant au moins le double de doses d'autres vaccins. En outre, comme nous l'avons déjà noté, la méthodologie PRR ne dépend pas, à proprement parler, du nombre de doses, mais plutôt du taux de notification d'un EI spécifique parmi tous les EI pour ce vaccin.
Objection N° 3 : Les vaccins sont principalement administrés à des personnes âgées qui ont tendance à avoir des problèmes de santé, alors que d'autres vaccins sont administrés à des personnes plus jeunes.
Cette objection est traitée, puisque les analyses sont stratifiées par groupes d'âge. Elle pourrait être encore un peu valable pour le groupe des 18 ans et plus, sauf que dans l'analyse des signaux de sécurité que j'ai effectuée à l'automne 2021, j'ai stratifié par tranches d'âge plus petites et j'ai encore trouvé des signaux de sécurité. Quoi qu'il en soit, cette objection n'est pas suffisante pour rejeter d'emblée l'analyse des signaux de sécurité, mais appelle plutôt à une recherche meilleure et plus affinée.
Objection N° 4 : Les données du VAERS ne sont pas vérifiées et ne sont pas dignes de confiance.
Je serai le premier à reconnaître que les données du VAERS ne sont pas de grande qualité, mais si elles sont totalement indignes de confiance, comment se fait-il que le CDC utilise ces données pour publier dans les meilleures revues médicales telles que JAMA et The Lancet ?
Si les données étaient sans valeur, alors ces revues ne devraient pas accepter ces articles. Dans cet article du JAMA, ils ont indiqué que 80% des rapports de myocardite répondaient à leur définition de la myocardite et étaient inclus dans l'analyse. De nombreux autres rapports nécessitaient simplement plus de détails pour être validés. En outre, le CDC a la capacité et le budget nécessaires pour assurer le suivi de chaque rapport que le VAERS reçoit afin d'obtenir plus de détails et même des dossiers médicaux pour vérifier le rapport.
Donc, si la myocardite présente un signal clair dans l'analyse du CDC, et que 80% de ces rapports étaient apparemment de qualité suffisante pour être inclus dans un article publié dans l'une des meilleures revues médicales du monde, comment est-il possible que tous les autres rapports soient des déchets ? Que tous les autres signaux de sécurité soient dénués de sens ? Réponse : ce n'est pas le cas.
Et puisque nous parlons de signaux de sécurité qui se sont avérés réels, il est instructif de constater que l'appendicite est apparue comme un signal de sécurité dans les trois groupes d'âge, puisqu'une étude publiée dans NEJM sur la base des dossiers médicaux de plus d'un million d'Israéliens adultes a révélé un risque accru d'appendicite dans les 42 jours suivant la vaccination par Pfizer (mais pas après un test PCR SRAS-CoV-2 positif). Cette étude a également révélé une augmentation des lymphadénopathies (gonflement des ganglions lymphatiques) après la vaccination, mais pas après un test COVID positif. La lymphadénopathie était un autre signal de sécurité.
Objection N° 5 : Et cela nous amène à notre dernière objection à écarter : tous ces EI étaient dus au COVID.
Il y avait une épidémie et donc les gens tombaient malades à cause de COVID et avaient tous ces problèmes qui ont ensuite été imputés au vaccin.
Eh bien, pour commencer, comme nous venons de le voir, au moins deux d'entre eux (appendicite et lymphadénopathie) ne semblent pas présenter des ratios de risque accrus à la suite d'un test SRAS-CoV-2 positif, et nous savons que les vaccins à ARNm augmentent le risque de myo/péricardite indépendamment des infections. Alors comment pouvons-nous supposer que les autres le sont et les écarter d'un revers de la main ? Nous ne le pouvons pas. Au minimum, ils nécessitent une enquête plus approfondie. En outre, dans l'analyse des signaux de sécurité que j'ai effectuée en 2021, j'ai laissé de côté tous les rapports VAERS dans lesquels un signe d'exposition ou d'infection par le SRAS-CoV-2 était indiqué, et j'ai encore trouvé des signaux de sécurité importants et significatifs.

Mettre tout cela en perspective

L'article d'Epoch Times cite mon estimé collègue et ami, Norman Fenton, professeur de gestion des risques et expert de renommée mondiale en analyse statistique bayésienne :
« D'un point de vue bayésien, la probabilité que le taux réel d'EI des vaccins COVID-19 ne soit pas plus élevé que celui des vaccins non-COVID-19 est essentiellement nulle... Il incombe aux autorités de réglementation de trouver une autre explication causale à cette différence si elles souhaitent affirmer que la probabilité qu'un EI du vaccin COVID entraîne un décès n'est pas significativement plus élevée que celle des autres vaccins. » (Voir son post sur l'analyse du CDC ici.)
Il en va de même pour tous les signaux de sécurité qu'ils ont trouvés.
Le document d'analyse VAERS SOP du CDC énumère 18 événements indésirables d'intérêt particulier auxquels ils vont accorder une attention particulière.
Dans leur article paru en 2021 dans le JAMA (et dans des présentations similaires à l'ACIP), les chercheurs chargés d'analyser les millions de dossiers médicaux du Vaccine Safety Datalink (VSD) du CDC à l'aide du « Rapid Cycle Analysis » n'ont étudié que 23 résultats.
Une analyse similaire publiée dans le NEJM par des chercheurs israéliens n'a porté que sur 25 résultats.
Comparez cela aux plus de 700 signaux de sécurité trouvés par les CDC lorsqu'ils ont finalement décidé de regarder – sans compter tous les événements indésirables qui n'ont jamais été rapportés pour d'autres vaccins et qui ne peuvent donc jamais montrer un signal de sécurité par définition.
Comment le CDC peut-il affirmer que ces signaux de sécurité sont dénués de sens si presque aucun d'entre eux n'a été étudié plus avant ? Et pourtant, on nous assure que ces vaccins ont fait l'objet de l'effort de surveillance de la sécurité le plus intensif de l'histoire.
C'est de la foutaise complète et totale !
Josh Guetzkow est maître de conférences à l'Université hébraïque de Jérusalem. Abonnez-vous à son Substack ici.
Pour confirmer ces analyses, (re) visionnez notre entretien censuré avec Christine Cotton, Biostatisticienne pour l'industrie pharmaceutique pendant 23 ans, Ex-PDG de la société de recherche sous-contrat Statitec spécialisée en gestion des essais cliniques.

source : Jackanapes Junction via Gépolitique Profonde

  • Pour être précis, les « événements indésirables » concernent les « termes préférés » (PT), qui sont un type/niveau de classification utilisé dans le Medical Dictionary for Regulatory Activities (MedDRA), qui est le système de classification utilisé par le VAERS et dans d'autres systèmes de pharmacovigilance et de recherche clinique pour coder les événements indésirables signalés. Tous les termes préférés ne correspondent pas à un symptôme ou à un événement indésirable en soi. Certains font référence à un test de diagnostic spécifique qui a été effectué ou à un traitement qui a été administré.
  • Il n'est pas tout à fait clair comment ils les ont divisés, puisqu'il y a clairement des EI qui devraient être considérés comme graves et qui n'apparaissent pas dans le tableau Excel des graves – bien qu'ils n'apparaissent peut-être pas simplement parce qu'ils cherchent dans les rapports graves. Je pense qu'ils ont simplement filtré les rapports pour n'inclure que les rapports sérieux ou les rapports non sérieux, puis ont effectué l'analyse des signaux de sécurité sur tous les EI codés dans ces rapports. La raison pour laquelle je pense cela est que j'ai utilisé le MedAlerts Wayback Machine, sélectionné uniquement les rapports sérieux sur le vaccin COVID-19, et le nombre total de rapports était très proche de celui du tableau fourni par le CDC (MedAlerts en avait en fait un peu moins). Les fichiers obtenus par Epoch Times ne contiennent pas beaucoup de description sur la façon dont les analyses ont été effectuées, j'ai donc dû déduire certains détails, qui pourraient être incorrects. J'essaierai d'indiquer quand je fais une déduction sur la manière dont l'analyse a été effectuée.
  • De manière générale, ces chiffres montrent les dix premiers EI de chaque catégorie. Dans certains cas, j'ai combiné des EI qui indiquaient la même chose, par exemple en combinant « rythme cardiaque irrégulier » et « arythmie ». [MISE À JOUR : Notez que les tableaux de toutes les catégories, des événements cardiaques et thrombo-emboliques ont été mis à jour le 7 janvier 2023. La raison en est que j'avais précédemment classé l'infarctus aigu du myocarde comme un problème cardiaque et l'infarctus du myocarde comme un événement thrombo-embolique. Par souci de cohérence, j'ai maintenant combiné l'infarctus du myocarde et l'infarctus aigu du myocarde en une seule catégorie d'EI dans les événements thrombo-emboliques (ce qui a rendu le total des EI rapportés pour cette catégorie plus important que pour les pulmonaires) et j'ai ensuite ajouté un EI cardiaque différent à la catégorie des EI cardiovasculaires, les extrasystoles ventriculaires, alias contraction ventriculaire prématurée (CVP), qui, selon la fréquence et la présence d'autres cardiomyopathies, est associé à un arrêt cardiaque soudain].
  • Notez que le fait d'utiliser le signal de la myo-péricardite comme étalon ne signifie pas que ce sont les seuls signaux qui comptent. Pour donner un exemple, les réactions anaphylactiques n'apparaissent même pas dans la liste des signaux de sécurité, alors qu'il s'agit de l'un des tout premiers risques du vaccin qui est apparu dès le premier jour du déploiement du vaccin.
    Une objection potentielle à ce point de référence est qu'il s'agit d'une barre trop basse, puisque la myo-péricardite semble affecter de manière disproportionnée les jeunes hommes et qu'un signal de sécurité approprié devrait être stratifié par âge et par sexe, puis comparé à la myocardite stratifiée de manière similaire. Je suis d'accord, et c'est le travail du CDC de le faire. Mais le fait est que tout effet indésirable peut affecter de manière disproportionnée un sous-groupe de personnes, auquel cas le signal de sécurité pour ce groupe serait également faible ou dilué lorsque nous regardons tout le monde ensemble. Donc objection rejetée.
  • Dans leur document sur les procédures opérationnelles standard, les CDC ont dit qu'ils combineraient ces codes et d'autres codes connexes pour évaluer un signal de sécurité, mais peu importe – au moins ils ont finalement fait quelque chose.
  • Dans ce contexte, le Chi-carré est largement déterminé par le nombre d'événements indésirables : plus le nombre d'événements indésirables signalés est élevé, y compris pour le vaccin de comparaison, plus le Chi-carré est grand. Par exemple, le RRP pour la péricardite et l'hématome subdural est le même (2,82), mais 1 701 incidents de péricardite ont été signalés pour les vaccins COVID à ARNm contre 221 pour les vaccins de comparaison, avec un Chi-carré de 229,5. Pour l'hématome sous-dural, ces chiffres sont de 162 contre 21, pour un Chi-deux de 21,2.
#67
Fraudes d'ordre sanitaire / Mea culpa d’un ex covidiste : ...
Dernier message par Ouebmestre - 02 Février, 2023, 15:21:39
Mea culpa d'un ex covidiste : « Il est temps pour la communauté scientifique d'admettre que nous nous sommes trompés sur le COVID et que cela a coûté des vies »



par Aguellid

Un bon début...

Selon nous, il est tout à fait possible de pardonner aux gens qui ont été trompés par la Doxa, par Big Pharma et les morticoles corrompus des plateaux télé mais il est tout à fait impossible de pardonner à ces derniers même s'ils présentent de plates excuses car il s'agit ici de la mort de centaines de milliers de personnes, de la destruction de l'économie et de l'endettement de la nation de plusieurs centaines de milliards de dollars ! Il faut que les coupables rendent compte de leurs actes car sans « justice » il ne peut y avoir de « paix » ! C'est d'autant plus grave et sérieux que ces mêmes sociopathes peuvent récidiver à n'importe quel moment.
Néanmoins, cet article écrit par un étudiant en médecine, qui était hier un vrai covidiot, fait chaud au cœur et démontre que l'on peut se réveiller d'un long sommeil. Bravo à lui pour son courage et son honnêteté.

***

À vous de décider...

par Tyler Durden

Dans un torchon libéral comme Newsweek, Kevin Bass (étudiant en médecine MS/PHD, école de médecine) a écrit un article d'opinion assez surprenant (et « courageux ») disant qu'« il est temps pour la communauté scientifique d'admettre que nous avions tort au sujet du COVID et que cela a coûté des vies... ».

En tant qu'étudiant en médecine et chercheur, j'ai fermement soutenu les efforts des autorités de santé publique en ce qui concerne le COVID-19.

Je pensais que les autorités avaient répondu à la plus grande crise de santé publique de notre vie avec compassion, diligence et expertise scientifique. J'étais avec eux quand ils ont demandé des mesures de confinement, des vaccins et des rappels.

J'avais tort. Nous, la communauté scientifique, avions tort. Et cela a coûté des vies

Je constate aujourd'hui que la communauté scientifique, des CDC à l'OMS en passant par la FDA et leurs représentants, a à plusieurs reprises exagéré les preuves et trompé le public sur ses propres opinions et politiques, notamment sur l'immunité naturelle ou artificielle, les fermetures d'écoles et la transmission des maladies, la propagation des aérosols, les masques obligatoires, l'efficacité et la sécurité des vaccins, en particulier chez les jeunes. Toutes ces questions étaient des erreurs scientifiques à l'époque, et non a posteriori. Étonnamment, certains de ces obscurcissements se poursuivent encore aujourd'hui.
Mais ce qui est peut-être plus important que n'importe quelle erreur individuelle, c'est que l'approche globale de la communauté scientifique était et continue d'être intrinsèquement défectueuse. Elle était défectueuse d'une manière qui a miné son efficacité et entraîné des milliers, voire des millions, de décès évitables.

Ce que nous n'avons pas bien compris, c'est que ce sont les préférences qui déterminent la façon dont l'expertise scientifique est utilisée, et que nos préférences peuvent être – en fait, nos préférences étaient – très différentes de celles de la plupart des personnes que nous servons. Nous avons créé une politique basée sur nos préférences, puis nous l'avons justifiée à l'aide de données. Puis nous avons dépeint ceux qui s'opposaient à nos efforts comme étant malavisés, ignorants, égoïstes et mauvais.

Nous avons fait de la science un sport d'équipe et, ce faisant, nous lui avons fait perdre son caractère scientifique. C'est devenu « nous » contre « eux », et « eux » ont répondu de la seule façon que l'on pouvait attendre d'eux : en résistant.

Nous avons exclu d'importantes parties de la population de l'élaboration des politiques et fustigé les critiques, ce qui signifie que nous avons déployé une réponse monolithique dans une nation exceptionnellement diverse, forgé une société plus fracturée que jamais et exacerbé des disparités sanitaires et économiques de longue date.

Notre réaction émotionnelle et notre esprit de parti bien ancré nous ont empêchés de voir l'impact total de nos actions sur les personnes que nous sommes censés servir. Nous avons systématiquement minimisé les inconvénients des interventions que nous avons imposées – imposées sans la participation, le consentement et la reconnaissance de ceux qui sont forcés de vivre avec elles. Ce faisant, nous avons violé l'autonomie de ceux qui seraient le plus négativement touchés par nos politiques : les pauvres, la classe ouvrière, les propriétaires de petites entreprises, les Noirs et les Latinos, et les enfants. Ces populations ont été négligées parce qu'elles nous étaient rendues invisibles par leur exclusion systématique de la machine médiatique dominante et corporatiste qui présumait de son omniscience.

La plupart d'entre nous ne se sont pas exprimés pour soutenir des points de vue alternatifs, et beaucoup d'entre nous ont essayé de les supprimer. Lorsque des voix scientifiques fortes, comme celles des professeurs de renommée mondiale de Stanford John Ioannidis, Jay Bhattacharya et Scott Atlas, ou celles des professeurs de l'Université de Californie à San Francisco Vinay Prasad et Monica Gandhi, ont tiré la sonnette d'alarme au nom des communautés vulnérables, elles ont dû faire face à la censure sévère de foules implacables de critiques et de détracteurs au sein de la communauté scientifique – souvent non pas sur la base de faits, mais uniquement sur la base de différences d'opinions scientifiques.

Lorsque l'ancien président Trump a souligné les inconvénients de l'intervention, il a été rejeté publiquement comme un bouffon. Et lorsque le Dr Antony Fauci s'est opposé à Trump et est devenu le héros de la communauté de la santé publique, nous lui avons apporté notre soutien pour qu'il fasse et dise ce qu'il voulait, même lorsqu'il avait tort.

Trump n'était pas parfait, loin s'en faut, pas plus que les critiques universitaires de la politique consensuelle. Mais le mépris que nous avons affiché à leur égard a été un désastre pour la confiance du public dans la réponse à la pandémie. Notre approche a aliéné de larges segments de la population de ce qui aurait dû être un projet national et collaboratif.

Et nous en avons payé le prix. La rage des personnes marginalisées par la classe des experts a explosé sur les médias sociaux et les a dominés. Ne disposant pas du lexique scientifique nécessaire pour exprimer leur désaccord, de nombreux dissidents se sont tournés vers les théories du complot et une industrie artisanale de contorsionnistes scientifiques pour faire valoir leurs arguments contre le consensus de la classe des experts qui dominait le courant dominant de la pandémie. Qualifiant ce discours de « désinformation » et le mettant sur le compte de « l'analphabétisme scientifique » et de « l'ignorance », le gouvernement a conspiré avec Big Tech pour le supprimer de manière agressive, effaçant ainsi les préoccupations politiques valables des opposants du gouvernement.

Et ce, malgré le fait que la politique de lutte contre les pandémies a été créée par une frange très mince de la société américaine qui s'est autoproclamée présidente de la classe ouvrière – des membres du monde universitaire, du gouvernement, de la médecine, du journalisme, de la technologie et de la santé publique, qui sont hautement éduqués et privilégiés. Du haut de ses privilèges, cette élite prône le paternalisme, contrairement aux Américains moyens qui louent l'autonomie et dont la vie quotidienne les oblige à prendre en compte les risques. Il est inadmissible que nombre de nos dirigeants aient négligé de prendre en compte l'expérience vécue de ceux qui se trouvent de l'autre côté du fossé des classes.

En raison de ce fossé des classes, nous avons sévèrement jugé les critiques du confinement comme étant paresseux, arriérés, voire mauvais. Nous avons rejeté comme « escrocs » ceux qui représentaient leurs intérêts. Nous pensions que la « désinformation » énergisait les ignorants, et nous refusions d'accepter que ces personnes aient simplement un point de vue différent et valable.

Nous élaborions des politiques pour les gens sans les consulter. Si nos responsables de la santé publique avaient fait preuve de moins d'orgueil, l'évolution de la pandémie aux États-Unis aurait pu avoir une issue très différente, avec beaucoup moins de vies perdues.

Au lieu de cela, nous avons assisté à une perte massive et continue de vies en Amérique en raison de la méfiance à l'égard des vaccins et du système de santé ; une concentration massive de la richesse par des élites déjà riches ; une augmentation des suicides et de la violence armée, en particulier chez les pauvres ; un quasi-doublement du taux de dépression et de troubles anxieux, en particulier chez les jeunes ; une perte catastrophique du niveau d'éducation chez les enfants déjà défavorisés ; et chez les plus vulnérables, une perte massive de confiance dans les soins de santé, la science, les autorités scientifiques et les dirigeants politiques en général.

Ma motivation pour écrire ces lignes est simple :

Il est clair pour moi que pour restaurer la confiance du public dans la science, les scientifiques doivent discuter publiquement de ce qui a bien fonctionné et de ce qui a mal fonctionné pendant la pandémie, et de ce que nous aurions pu faire mieux.

Il n'y a pas de mal à se tromper et à admettre ses erreurs et ce que l'on a appris. C'est un élément essentiel du fonctionnement de la science. Pourtant, je crains que beaucoup ne soient trop ancrés dans la pensée de groupe – et n'aient trop peur d'assumer publiquement leurs responsabilités – pour le faire.

Pour résoudre ces problèmes à long terme, il faut un plus grand engagement en faveur du pluralisme et de la tolérance dans nos institutions, y compris l'inclusion de voix critiques et impopulaires.

Il faut mettre fin à l'élitisme intellectuel, à la crédulité et au classisme. Le rétablissement de la confiance dans la santé publique – et dans notre démocratie – en dépend.

Le problème n'était pas l'ignorance des faits par les gens, mais l'antagonisme et la censure organisés à l'encontre de toute personne présentant des données contraires à l'agenda du mandat. Ceci sans tenir compte de proclamations comme celles du LA Times, qui a soutenu que se moquer de la mort des « anti-vaxxers » pouvait être nécessaire et justifié. Après deux ans de ce type d'absurdité arrogante, il est difficile d'imaginer que les gens seront prêts à faire comme si tout allait bien.

L'effort actif pour faire taire toute donnée opposée est le crime fondamental, cependant, et non, il ne peut jamais être oublié ou pardonné.

Les gens sont toujours livides...

On ne peut s'empêcher de remarquer que l'appel de l'Atlantique à l'oubli passif et maintenant ce mea culpa dans l'éditorial coïncident avec la fin des déclarations d'urgence du COVID, au milieu d'une réaction politique croissante à ces deux dernières années de verrouillages et de mandats insignifiants, et les démocrates ont joué un rôle déterminant dans la mise en œuvre des deux.  Une grande partie de la population considère qu'un parti est la cause de la plupart des conflits de l'ère covidienne.

Peut-être que les grands médias réalisent soudain qu'ils vont devoir payer pour leur fanatisme covidien ?  « Nous ne savions pas ! Nous ne faisions que suivre les ordres ! »  Tout cela semble plutôt familier.

source : ZeroHedge via Le Libre Penseur
#68
Fraudes d'ordre sanitaire / Une chute de la fertilité a ét...
Dernier message par Ouebmestre - 01 Février, 2023, 15:56:15
Une chute de la fertilité a été constatée après que les 2/3 de la population adulte ont reçu le « vaccin » Covid



par Aguelid
Il sera très compliqué pour les covidiots de nier la réalité des faits !
Cette déclaration est réalisée par le Docteur Peter A. McCullough, elle est effrayante. Nous le savions déjà étant donné le nombre très important de femmes atteintes de troubles du cycle menstruel, reste à savoir si c'est réversible ou pas. D'ailleurs, ce genre d'étude est très simple à réaliser car nous avons dans le monde des pays qui ont énormément injecté de l'ARN messager et d'autres qui ne l'ont pas fait. Nous pouvons par exemple comparer la fertilité des femmes australiennes avec les femmes algériennes vu la très forte différence d'injections. Sans être un grand expert en épidémiologie ou en statistiques, les chiffres démographiques suffisent amplement à faire la différence.



Une chose est certaine, injecter un matériel génétique comme l'ARN messager sur une femme enceinte relève de la psychiatrie et du crime crapuleux. Là encore, nul besoin de faire de grandes études de médecine ou de génétique. Concernant le cycle menstruel, étant donné les troubles de la coagulation causés par la protéine Spike, un enfant de 10 ans pourrait comprendre ce qui se passe.
On vous laisse maintenant imaginer les conséquences dramatiques de cette campagne de vaccination chez les jeunes femmes sans oublier le stress apocalyptique créé par les médias qui ont fait croire que nous allions tous mourir, sans oublier aujourd'hui la crise climatique et la guerre en Ukraine, qui voudra faire des enfants maintenant ?

Twitter


Les tendances mondiales en matière de fertilité chutent après que deux tiers de la population
adulte ont reçu un ou plusieurs vaccins C19. Un désastre international pour vacciner avec
une technologie génétique non prouvée. Mal conçu. Débâcle.


source : Le Libre Penseur
#69
Fraudes d'ordre sanitaire / Vaccination ARNm et odeur de s...
Dernier message par Ouebmestre - 01 Février, 2023, 15:32:02
Vaccination ARNm et odeur de sapin

par Vincent Verschoore (son site)
mardi 31 janvier 2023

Le Dr Retsef Levi est un expert en analyse de risques pour le MIT. Il vient de publier une vidéo sur Twitter où, au vu des études d'impact disponibles depuis début 2021 en Israël et ailleurs, il appelle à l'arrêt immédiat de la vaccination type ARNm. Il estime que l'inefficacité et la dangerosité de ces produits, notamment pour les jeunes, est suffisamment démontrée pour en justifier l'arrêt total. Il appelle à une analyse en profondeur sur la manière dont toute une communauté « scientifique » a pu accepter d'imposer un produit aussi mauvais et aussi dangereux, mais aussi financièrement rentable pour ses promoteurs.



Citationhttps://twitter.com/i/status/1619945525670981632

https://twitter.com/i/status/1619945525670981632


Toutes choses que nous, « complotistes » démonisés à la sauce « antivax » par la bien-pensance ségrégationniste, ignorante ou corrompue et ses relais politiques, institutionnels et médiatiques, dénonçons depuis le début de cette histoire. Ce blog a commencé à s'en inquiéter sérieusement au printemps 2021, avec par exemple l'article « Vaccination Covid : la catastrophe qui vient ? » (1).
Sans désespérer.
Les signaux d'alerte sont apparus immédiatement, soulignés par les changements dans le narratif officiel face à l'avancée du réel, mais sans jamais remettre en cause le fondement purement commercial (et mafieux) de cette vaste expérience agricole. La question de la corruption était déjà abordée en décembre 2021, dans « Vaccination Covid, le grand marché de la corruption. » (2).
Même si la plupart des gens ne veulent plus en parler, le scandale est énorme et ses effets, sur la santé comme sur la confiance envers l'institution, encore difficiles à évaluer.
Entre-temps, les covido-fascistes macronistes et assimilés refusent toujours la réintégration des soignants, pompiers et autres suite à leur refus de se soumettre à l'expérience des Dr Mengele 2.0 (3). Aucun soi-disant « médecin » ne semble regretter avoir touché 900 euros par jour pour faire de l'abattage vaccinal, au mépris de tout serment et de toute éthique médicale.
Aucun repentir ne semble filtrer des ordres miliciens de la Gestapass et des Kapos vérifiant les Ausweis attestant de l'enrichissement des Pfizer et autres Moderna via la corruption massive du politique et des institutions, à commencer par l'Europe et l'infâme Ursula von der Leyen.
Les gens et les systèmes ayant permis et facilité la mise en place de cet immense racket sont toujours là, et ils nous la refont aujourd'hui au profit du complexe militaro-industriel et de la « guerre » non plus contre le virus, mais contre le Russe tout court (4).
Aucun politique ne semble capable d'en tirer la moindre leçon, la soi-disant « opposition » se limitant à se lever contre la politique de celui dont elle appelait à la réélection en avril dernier. Alors oui, c'est désespérant, mais la volonté de résistance existe, très clairement, sous diverses formes, et tant qu'elle existe rien n'est perdu.

Censure et Fact-checking.
Les Twitter Files et quelques articles parus dans la presse mainstream dévoilent le système de censure intégré aux Gafam, et piloté par l'establishment, à l'encontre de toute « pensée déviante » et contestation du narratif officiel par des gens pourtant hautement habilités à le faire, tels que l'épidémiologiste Laurent Toubiana ici (5) ou le Dr. Jay Bhattacharya aux USA, pourtant professeur à l'Ecole Médicale de l'université de Stanford. Un médecin, épidémiologiste, économiste de la santé et expert en santé publique spécialiste des maladies infectieuses et de leurs effets sur les populations vulnérables.
De toutes évidence, le portrait-type du militant d'extrême-droite « antivax » perpétuellement dénoncé par les bien-pensants ségrégationnistes dont beaucoup, aujourd'hui, arborent sans doute fièrement les insignes du régiment Asov.



Les fact-checkers, mercenaires au service du narratif officiel, ont également fortement participé à l'invisibilisation des messages d'alerte en se référant aux sources « officielles » pour « débunker » la critique desdites sources.
Dans leur livre à quatre mains « Le débat interdit- langage, covid et totalitarisme », Ariane Bilheran et Vincent Pavan qualifient ainsi les fact-checkers, cette « industrie plumitive servile de la presse sous-prolétarisée et sous-intellectualisée » :
Citation« Il y a deux catégories d'humains : ceux à qui s'applique le vocabulaire de la biologie, de la « science », des mathématiques – ceux-là sont les bannis qui vivent dans des camps – ; et ceux à qui s'applique le vocabulaire de la philosophie, de la politique au sens noble, de la culture en général – ceux-là sont les élus qui vivent dans la cité. Dans le champ politique actuel, servi par la propagande médiatique, s'est répandue la culture du « fact-checking », qui marque, de façon évidente, pour reprendre l'approche husserlienne, que seule compte désormais la narration politique du fait « scientifique ». Pour reprendre l'approche agambienne, il s'agit de faire croire que le vocabulaire du camp peut devenir celui de la cité. Dans cette industrie plumitive servile de la presse sous-prolétarisée et sous-intellectualisée, la seule interrogation politique se ramène donc au simple fait. Or le fait lui-même s'inscrit dans le mensonge scientifique, et sa mise en avant par la presse exprime exactement la fin des Humanités. Le fact-cheking constitue ainsi la réunion canonique de la fausse science et du sophisme politique : c'est la forme contemporaine par excellence de la langue totalitaire. »
Les auteurs font ici référence aux travaux de Giorgio Agamben sur l'état d'exception, traité à mon petit niveau dans cet article d'avril 2021 :
CitationL'oxymore de l'état d'exception permanent est central à la pensée du philosophe italien Giorgio Agamben, pensée dérivée des travaux de gens tels Michel Foucault, Walter Benjamin et de nombreux autres. L'état d'exception, aujourd'hui nommé « état d'urgence » qu'il soit « sanitaire » ou « sécuritaire », est en effet l'état « normal » de la société française sous régime macroniste, une société ayant non seulement passé plus de temps sous ces régimes d'exception que sous le régime « normal », mais qui en plus de cela intègre au régime « normal » ce qui relevait auparavant du régime d'exception.
Plus terre-à-terre, les milices au service du Grand Capital (parfois aussi appelées « forces de l'ordre », « armée » ou « service secrets ») participent à la chasse aux déviants dans la plus pure tradition totalitaire, comme le rappelle ici un article du DailyMail britannique :
CitationUne unité de l'armée de l'ombre a secrètement espionné des citoyens britanniques qui critiquaient les politiques de confinement du gouvernement en matière de Covid. Des militaires de la brigade britannique de « guerre de l'information » faisaient partie d'une sinistre opération visant des politiciens et des journalistes de haut niveau qui avaient émis des doutes sur la réponse officielle à la pandémie. Ils ont compilé des dossiers sur des personnalités publiques telles que l'ex-ministre David Davis, qui a remis en question la modélisation derrière les prévisions alarmantes du nombre de morts, ainsi que sur des journalistes tels que Peter Hitchens et Toby Young. Leurs opinions dissidentes ont ensuite été rapportées au No 10. Des documents obtenus par le groupe de défense des libertés civiles Big Brother Watch, et partagés exclusivement avec ce journal, ont révélé le travail de cellules gouvernementales telles que l'Unité de lutte contre la désinformation, basée au Département du numérique, de la culture, des médias et des sports, et l'Unité de réponse rapide du Bureau du Cabinet.
Nul doute que des opérations similaires existent dans tous les pays où règnent des régimes corrompus, et certainement en France. J'ai souvenir d'avoir été prévenu que le préfet local détestait fabuleusement nos petites entorses bisounours aux règles de la dictature sanitaire, entorses filmées par votre serviteur, et que nous allions avoir des problèmes. J'en ai eu un, en effet, mais pour insulte aux milices de la Sécurité Sanitaire. Ils n'ont pas aimé l'acronyme.



La cruciale analyse bénéfice-risque.
Nous rebouclons ici sur le début de cet article car, au-delà du combat politique contre la corruption et la manipulation au profit du Grand Capital via les « élites » aux ordres, se pose bien sûr la question centrale du rapport bénéfice-risque réel de cette vaccination expérimentale. Pour l'establishment et ses médias, le bénéfice est total et le risque est zéro, à quelques décimales près. Pour la science par contre, celle qui essaie malgré tout d'exister et qui fait monter la vérité par l'escalier, c'est un peu différent.
En septembre 2022 le site PubMed publiait une étude intitulée « Effets indésirables graves d'intérêt particulier après la vaccination à ARNm contre la COVID-19 dans des essais randomisés chez l'adulte » (6). Il s'agit d'une analyse objective du taux réel d'effets indésirables graves détectées dans le cadre des études cliniques sur les vaccins ARNm de Pfizer et Moderna, et dont la conclusion est terrible : ce taux réel est de l'ordre de 1 pour 800 injections, ou de 0,125%, un taux absolument énorme pour un vaccin imposé à l'ensemble d'une population. Normalement, un taux de 1 pour 10 000 déjà considéré inacceptable.
Cette étude recommande de se pencher sérieusement sur l'analyse bénéfice-risque de cette vaccination (ce qui n'est pas fait par les autorités sanitaires, et on doit se demander pourquoi).
Pour quel bénéfice, alors ? Les Britanniques viennent de sortir des chiffres intéressants sur le rapport entre nombre de vaccinations et nombre de cas hospitalisés. La question est de savoir combien il faut vacciner de gens, par tranche d'âge et par catégorie de risque, pour éviter une hospitalisation, ou une hospitalisation grave (passage en réa) (7).
L'analyse concerne 2022 avec le booster bivalent (souche originelle + variant Omicron).
Ensuite, on compare ces chiffres avec le risque de la vaccination elle-même.
Résultats :
Tranche 20-29 ans,
  • Personnes non à risque : 169 200 injections pour éviter une hospitalisation, ou 706 500 injections pour éviter une hospitalisation grave. Ci-après le second chiffre sera mis entre () pour plus de clarté.
  • Personnes à risque (les fameuses comorbidités) : 7 500 (59 500).
Dans tous les cas, le risque d'hospitalisation pour non vaccination est donc très largement inférieur au risque d'effet secondaire grave de la vax.
Voyons pour les autres tranches d'âge :
  • 30-39 non à risque : 210 400 (pas de cas)
  • 30-39 à risque : 7 800 (40 500)
  • 40-49 non à risque : 92 500 (932 500)
  • 40-49 à risque : 6 000 (49 800)
  • 50-59 non à risque : 43 600 (256 400)
  • 50-59 à risque : 3 100 (18 600)
Pour les tranches supérieures, il n'y a plus de distinction risque/non risque, ce qui donne les chiffres suivants :
  • 60-69 : 3 600 (27 300)
  • 70+ : 800 (7 500).
On voit donc que ce n'est que dans la catégorie des plus de 70 ans que le risque d'hospitalisation « normale » est le même que le risque d'effet secondaire grave, soit 1 pour 800.
Dans tous les autres cas, le calcul est en défaveur de la vaccination. Et de très loin.
Pourtant, les autorités continuent de recommander le booster. Pourquoi ? Soit elles sont corrompues par les intérêts des laboratoires, soit elles relèvent de la sociopathie criminelle. Très probablement un mix des deux.
Meâ-culpas tardifs.
A tel point que même dans le très mainstream Wall Street Journal on trouve un article critique du marketing vaccinal :
CitationVous avez peut-être entendu une publicité radio avertissant que si vous avez eu Covid, vous pourriez l'attraper à nouveau et éprouver des symptômes encore pires. Le message, parrainé par le ministère de la Santé et des Services sociaux, affirme que les vaccins bivalents mis à jour amélioreront votre protection. C'est de la publicité trompeuse. Mais les éloges de l'établissement de santé publique pour les injections bivalentes ne devraient pas être une surprise. Les agences fédérales ont pris la mesure sans précédent d'ordonner aux fabricants de vaccins de les produire et de les recommander sans données à l'appui de leur sécurité ou de leur efficacité.
Dans le très mainstream Newsweek, une étudiante en médecine fait son mea-culpa (8) :
Citation« En tant qu'étudiante en médecine et chercheuse, j'ai fermement soutenu les efforts des autorités de santé publique en ce qui concerne la COVID-19. Je croyais que les autorités avaient réagi à la plus grande crise de santé publique de notre vie avec compassion, diligence et expertise scientifique. J'étais avec eux quand ils ont appelé au confinement, aux vaccins et aux rappels. J'avais tort. Nous, dans la communauté scientifique, avions tort. Et cela a coûté des vies. »
C'est bien, même si c'est bien trop tard. Rare sont les gens du domaine médical, généralement fort imbus d'eux-mêmes, capables de porter un regard aussi critique sur leurs erreurs.
Je veux bien croire que cette personne « y a cru », a gobé toute cette histoire, mais c'est précisément cela qui est flippant : comment concevoir que des gens a priori éduqués, au fait des principes élémentaires de la médecine, de l'éthique et de l'épidémiologie, aient pu collaborer un seul instant avec des politiques telles que les confinements, les masques et la vaccination expérimentale obligatoire ?
Ce sont les mêmes questions qui se posaient à Hannah Arendt dans la banalité du mal : par quel mécanisme des gens a priori civilisés, « bons pères de famille », ont-ils pu adhérer aussi totalement au nazisme et à la « solution finale » ? Une réponse au moins partielle se trouve sans doute dans le phénomène de la manipulation psychotique des masses (9.
Une bonne guerre favorise l'oubli.
Evidemment soucieux d'étouffer tout ceci, les Macron, von der Leyen, Biden & Cie nous entrainement aujourd'hui vers une troisième guerre mondiale face aux Russes et aux Chinois, histoire de bien occuper les esprits et les médias sur autre chose. En effet, outre ces questions de corruption massive au profit de Big Pharma et associés, et d'imposition par la violence de produits expérimentaux inefficaces et dangereux, se pose la question de la surmortalité inexpliquée (cad hors Covid et hors attente statistique), mais tout à fait officielle, qui touche l'ensemble de la population occidentale depuis 2021 avec des taux entre 5% et 30%.
Il est évident, malgré l'absence (volontaire) de chiffres permettant de faire une corrélation entre statut vaccinal et surmortalité, qu'une partie au moins de cette surmortalité provient des effets secondaires de la vaccination par ARNm, notamment les myocardites. Mais combien, précisément, et en fonction de quels facteurs, la question reste ouverte. Alors une bonne guerre, une dépopulation rapide grâce aux prix inabordables des soins, de l'énergie et de l'alimentation, et on oubliera vite ces petites histoires covido-vaccinales. Et ce n'est même pas de l'ironie.

Liens et sources :
(1) https://zerhubarbeblog.net/2021/04/26/vaccination-covid-la-catastrophe-qui-vient/
(2) https://zerhubarbeblog.net/2021/12/29/vaccination-covid-le-grand-marche-de-la-corruption/
(3) https://lemediaen442.fr/15-septembre-2022-depuis-un-an-ils-sont-suspendus-sans-salaire-sans-chomage-voici-240-temoignages-dexclus-de-la-societe/
(4) https://zerhubarbeblog.net/2023/01/17/davos-du-covid-aux-tranchees-sanglantes-de-lukraine/
(5) https://zerhubarbeblog.net/2022/05/06/covid-19-en-france-ze-toubiana-papers/
(6) https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/36055877/
(7) https://assets.publishing.service.gov.uk/government/uploads/system/uploads/attachment_data/file/1131409/appendix-1-of-jcvi-statement-on-2023-covid-19-vaccination-programme-8-november-2022.pdf
(8) https://www.newsweek.com/its-time-scientific-community-admit-we-were-wrong-about-coivd-it-cost-lives-opinion-1776630
(9) https://zerhubarbeblog.net/2022/01/06/du-covid-a-la-formation-psychotique-des-masses/


https://zerhubarbeblog.net/2023/01/30/vaccination-arnm-et-odeur-de-sapin/
#70
Comparaisons internationales / Le sénateur américain Ron John...
Dernier message par Ouebmestre - 31 Janvier, 2023, 22:51:44
Le sénateur américain Ron Johnson fait entrer le crime de la vaccination Covid-19 dans la conscience populaire



par Kla.TV
Le sénateur américain Ron Johnson lance le processus d'un débat public national en organisant des auditions sur les dommages et les décès dus au vaccin Covid-19. Les experts scientifiques, médicaux, judiciaires, médiatiques et autres invités par Johnson font entrer dans la conscience populaire que les vaccins Covid-19 sont, en toute objectivité, une campagne hautement criminelle.

Vidéo :
https://www.kla.tv/_files/video.kla.tv/2023/01/24918/LeSenateurAmericainRonJohnsonF_480p.webm


Transcription :
Avec ses auditions sur les dommages et les décès dus au vaccin Covid19, le sénateur américain Ron Johnson lance le processus d'un débat public à l'échelle nationale. Ce que la politique, l'industrie pharmaceutique et les principaux médias tentent de balayer sous le tapis, les experts scientifiques, médicaux, judiciaires, médiatiques et autres invités par Ron Johnson à sa plate-forme le font entrer dans la conscience populaire : Les vaccins Covid19 sont – en toute objectivité – une campagne hautement criminelle.
Film « Inside the Capitol Hill Covid Forum » – The HighWire – résumé de 10 minutes
Le sénateur Ron Johnson
La raison principale de l'événement d'aujourd'hui était avant tout de donner au public américain les informations qu'il mérite et qui lui sont cachées. Et tout ce que nous pouvons faire pour éviter d'autres dommages. Je ne veux pas effrayer les gens, ce n'est pas ce que je veux, nous – aucun d'entre nous ne veut cela, d'accord ? Mais ils doivent avoir ces informations.

Aaron Siri
V-safe est le principal système de sécurité vaccinale du CDC pour le vaccin COVID-19. Il s'agit d'un tableau de bord créé par ICAN (Informed Consent Action Network : réseau d'information médicale aux États-Unis) afin de pouvoir présenter visuellement les données V-safe. Dans la base de données de 9 à 10 millions de personnes, environ 800 000 personnes ont signalé qu'elles avaient besoin de soins médicaux. Cela représente environ 7,7% des personnes enregistrées dans V-safe qui ont déclaré avoir besoin de soins médicaux, soit une personne sur 13. Néanmoins, le CDC n'a pas retiré l'injection.

Lieutenant-colonel Theresa Long
En janvier 2021, je me suis présentée devant eux comme lanceur d'alerte au sein de l'armée et j'ai signalé une augmentation catastrophique des maladies et des dommages dans l'ensemble du ministère de la Défense. Le nombre total d'événements à déclarer est passé de 110 000 en 2020 à plus de 200 000 en 2022. Le vaccin a été introduit dans l'armée en janvier 2021.

Josh Stirling
... crée des centaines de graphiques, de toutes les manières, depuis dimanche. Jusqu'à cet été, le gouvernement britannique a publié une série de données montrant les taux de mortalité relatifs des personnes vaccinées et non vaccinées en fonction du nombre de doses de vaccin, et a conclu que les personnes au Royaume-Uni qui ont été vaccinées ont un taux de mortalité supérieur de 26% selon le dernier ensemble de données disponible.

Edward Dowd
C'est la Société des actuaires (actuaires = experts en évaluation des risques) qui le dit. En 2021, la population active de notre nation, âgée de 25 à 64 ans et couverte par une assurance vie collective, connaît une surmortalité de 40%. De plus, 1,2 million d'Américains de notre population active ont été mis en incapacité de travail. Cette population active qui a disparu correspond à la taille des États du Wyoming et du Vermont réunis.

Del Bigtree
En tant que journaliste, j'ai regardé l'autorisation d'urgence du vaccin pour voir s'il pouvait arrêter la transmission, ce qui est notre définition d'un vaccin. Mais quand nous avons regardé l'autorisation d'urgence, on savait que les données n'étaient pas suffisantes pour évaluer l'efficacité du vaccin contre la transmission du SARS-Covid-2 ; ils n'avaient aucune idée... ils n'avaient aucune idée si le vaccin allait arrêter l'infection, et pourtant ils ont fait ces déclarations dans les informations. Et maintenant, nous apprenons des responsables de Pfizer qu'ils n'ont même pas testé, au sein des études, si le vaccin pouvait ou non arrêter la transmission.

Dr. David Gortler
En janvier 2020, j'étais conseiller principal du Commissaire de la FDA pour la sécurité des médicaments et la politique scientifique de la FDA. Je ne comprends pas comment, à cette date, nous pouvons encore recevoir en toute bonne conscience des vaccins contre le COVID-19, qui ont été nommés ainsi en 2019 d'après une souche virale qui n'existe plus aujourd'hui.

Dr. Ryan Cole
Cette protéine spike, lorsque nous injectons ce gène dans notre corps et que nous nous obligeons à la produire... Ces cellules tueuses naturelles examinent alors nos propres cellules, y font un petit trou, puis y lancent une petite grenade et commencent à les faire exploser. Ce n'est pas seulement que cette protéine spike est dangereuse. Les nanoparticules lipidiques peuvent se retrouver n'importe où dans le corps. Elles ont été conçues pour transporter des médicaments de chimiothérapie dans le cerveau. Vous ne voulez pas de protéine spike dans votre cerveau !

Kirk Milhoan
Nous disposons à présent de données provenant de plusieurs sources selon lesquelles les protéines spike, que le corps est censé fabriquer dans les vaccins ARNm actuels, sont cardiotoxiques et provoquent une inflammation du cœur. La protéine spike déclenche une cascade d'événements qui activent les plaquettes sanguines pour former des caillots et enflamment les vaisseaux sanguins qui tapissent le cœur ainsi que le muscle cardiaque lui-même.

Dr Peter McCullough
Ce que j'ai observé cliniquement, c'est que les patients ont reçu le vaccin et ont eu le COVID, et ils ont reçu le vaccin, et maintenant tout est mélangé et il y a plusieurs expositions. Plus il y a d'expositions, plus je pense qu'il y a un risque de myocardite (inflammation du muscle cardiaque) et de myocardite récurrente, ainsi que de caillots sanguins et d'autres thromboses. C'est pourquoi la FDA et les fabricants ont strictement exclu les patients guéris du COVID des essais cliniques.

Lieutenant-colonel Theresa Long
J'ai vu trois accidents vasculaires cérébraux, des accidents ischémiques transitoires, des caillots massifs dans la rate et le foie, des tumeurs de la colonne vertébrale, des tumeurs cérébrales, une sarcoïdose (maladie inflammatoire qui affecte tout le corps), un lupus (maladie auto-immune), des troubles cognitifs, une myocardite (inflammation du muscle cardiaque), une péricardite (inflammation du péricarde) et une suppression choquante du système immunitaire, qui est omniprésente.

James Thorp
Mes patients sont des femmes en âge de procréer, des femmes enceintes et des fœtus. Et ce que j'ai observé dans ma pratique clinique, c'est une augmentation considérable et sans précédent des anomalies menstruelles avant la grossesse et une augmentation considérable de l'infertilité, une augmentation considérable des fausses couches, des morts fœtales et des malformations fœtales, et ce que nous avons vu est catastrophique. C'est un signal de danger comme aucun autre.

Dr Robert Malone
Il y a des différences considérables de toxicité d'un lot à l'autre, comme par exemple le lot que j'ai reçu avec ma deuxième dose et qui a failli me tuer parce que j'ai développé une hypertension artérielle avec une valeur systolique de 230. Il doit y avoir une raison pour laquelle certains lots sont associés à beaucoup plus de décès et de maladies que d'autres.

Brianne Dressen
Ma vie avant ma vaccination était magnifique... Je suis désolée, il m'est difficile de me souvenir des pires moments de ma vie. J'ai participé à un essai clinique pour AstraZeneca. Et maintenant, je souffre d'une forme grave et débilitante de neuropathie qui va continuer à progresser jusqu'à ce que je me retrouve concrètement dans une maison de retraite.

Joel Wallskog
J'ai reçu ma seule injection de Moderna le 30 décembre 2021. Dans la semaine qui a suivi l'injection de Moderna, j'ai ressenti des engourdissements et une faiblesse dans les jambes. J'ai rapidement reçu un diagnostic de myélite transverse (une forme d'inflammation de la moelle épinière). Il s'agit d'une lésion de ma moelle épinière thoracique. Je suis maintenant handicapé de manière permanente. Si vous avez un effet secondaire après votre injection, vous êtes seul(e).

Dr Robert Malone
Actuellement, 50 études cliniques différentes sont en cours sur d'autres nouveaux vaccins à ARNm. Ce produit, dont nous sommes tous d'accord pour dire qu'il est défectueux, est désormais protégé par un droit d'antériorité, ce qui permet à Pfizer, Moderna et BioNTech de bénéficier d'un monopole fonctionnel pour l'utilisation de cette technologie à pratiquement toutes les fins.

Pierre Kory
Il existe toute une série de médicaments dont les propriétés antivirales ont été démontrées. Et ils ont été très rapidement identifiés et largement utilisés dans le monde entier – pas dans ce pays.

Dr Paul Marik
Mais 40% des médicaments. 40% des médicaments utilisés dans les hôpitaux sont utilisés sans étiquetage, ce qui est acceptable lorsqu'il s'agit d'une maladie cardiaque. Mais quand il s'agit du Covid, tout à coup la FDA, le CDC et le NIH ne veulent plus qu'on utilise un médicament sans étiquetage, parce qu'il ferait concurrence à Big Pharma.

James Thorp
Je voudrais demander pourquoi l'American Board et le Collège américain d'obstétrique et de gynécologie, ainsi que la Société de médecine maternelle et néonatale, que j'ai servis de manière remarquable tout au long de ma carrière, font la promotion de ce vaccin mortel, risquant ainsi l'avenir de toute l'humanité.

Renata Moon
D'autres pays ont interdit ce produit parce qu'il est trop dangereux pour les jeunes. Que faisons-nous ?

Kirk Milhoan
Je m'engage avec passion pour la santé de nos enfants. Je m'engage également avec passion pour les jeunes soldats que j'ai servis pendant 13 ans dans l'Air Force en tant que médecin de vol – j'ai été déployé deux fois en Irak. Pour nos enfants en bonne santé et la plupart de nos soldats, les données montrent que le risque de myocardite (inflammation du muscle cardiaque) est plus important que les bénéfices des vaccins. En tant que médecin j'ai juré de ne pas faire de mal, je pense que nous ne devrions pas en prescrire.

Dr. David Gortler
Je ne peux pas croire qu'à la FDA, où j'ai travaillé en tant que fonctionnaire médical, je ne peux pas croire que parmi les quelque 20 000 employés de la FDA, des médecins, des pharmaciens, des infirmières et des fonctionnaires de santé publique, je sois la seule personne à s'exprimer ici sur ce sujet. Je ne comprends pas.

Dr Paul Marik
C'est un scandale, un scandale moral, éthique et médical.

Dr Peter McCullough
Toutes les recommandations de vaccination doivent être abrogées immédiatement. Nous avons besoin de candidatures et d'un financement immédiat pour des centres d'excellence pour les dommages liés aux vaccins dans tous les États-Unis. Pour le dépistage, la détection, le diagnostic, le pronostic et la gestion. Nous avons besoin d'un changement massif dans notre système de santé pour traiter ce grand nombre de victimes de la vaccination.

Janci Lindsay
Il est absolument irresponsable de continuer à vacciner des jeunes en âge de procréer ou plus jeunes. Quiconque peut les administrer sans même enquêter sur ce point, et je demande maintenant que cela soit fait.
source : Kla.TV