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Non au "pass nazitaire", non à l'injection d'immuno-toxiques aux enfants !

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Intox médiatiques / Surmortalité inhabituelle en F...
Dernier message par Ouebmestre - 09 Janvier, 2023, 19:13:56
Surmortalité inhabituelle en France : Les crématoriums tirent la sonnette d'alarme, débordés par l'afflux de décès


par Le Média en 4-4-2
Selon BFMTV, les délais pour les familles en deuil qui souhaitent faire la crémation de leurs défunts ont explosé ces dernières semaines, parfois jusqu'à doubler. Cette situation est inédite pour les professionnels du secteur funéraire qui sont confrontés à un afflux important de décès à gérer. Selon eux, « si janvier et décembre sont des mois où les décès sont plus élevés qu'au cours de l'année, il y a actuellement une vague inhabituelle de morts qui touche la France, observée par les professionnels du secteur funéraire ».
Cette vague inhabituelle de morts est observée dans toute la France et ne s'explique pas, sauf à spéculer sur la grippe et l'encombrement des hôpitaux. Pour faire face à cette situation, les crématoriums tentent de s'adapter en débloquant de nouveaux créneaux horaires, mais la loi qui impose un délai de six jours ouvrables au maximum entre le décès et l'inhumation ou la crémation est difficilement tenable.
Une situation qui n'est pas limitée à la seule France puisque lors du journal '8' (NDLR, équivalent du 20h en France) sur la chaîne portugaise TVI du 5 septembre 2022 (voir vidéo ci-dessous), une information critique alerte le pays. La présentatrice du JT, Andréa Vale, annonce d'un ton grave, l'apparition de données inquiétantes d'une épidémie de mortalité juvénile au Portugal : « Au cours des douze derniers mois, trois cent soixante adolescents entre quatorze et vingt-cinq ans sont décédés. Le mois d'août dernier a été le pire mois, de mémoire d'homme. »

Vidéo


https://reseauinternational.net/surmortalite-inhabituelle-en-france-les-crematoriums-tirent-la-sonnette-dalarme-debordes-par-lafflux-de-deces/
#72
Comparaisons internationales / Moins de naissances que de déc...
Dernier message par Ouebmestre - 09 Janvier, 2023, 14:57:28
Moins de naissances que de décès aux Pays-Bas pour la première fois depuis 1900




par Aguellid

Certainement la faute au changement climatique...
Ces chiffres sont assez effrayants car ils démontrent qu'il y a une anomalie certaine aux Pays-Bas concernant la mortalité mais également les naissances. Certes les naissances sont en baisse depuis longtemps, mais la question du lien de causalité entre les effets indésirables des injections d'ARN messager et de la baisse de la fertilité doit se poser. Néanmoins, une chose est certaine, Il y a un vrai problème concernant la mortalité puisqu'en 2020, en pleine crise Covid-19, les Pays-Bas ont comptabilisé 9.7 décès pour 1000 personnes sur une population de 17 440 000 individus, ce qui nous donne un total de 169 000 décès, exactement le même nombre de décès comptabilisés en 2022 selon l'article ci-dessous ! Comment est-ce possible ? Il faut savoir que les Pays-Bas ont cumulé 11 600 décès en 2020 à cause du Covid-19 avec un total de morts à ce jour de 23 000 en 3 ans, c'est-à-dire une moyenne de 5700 décès en 2021 en 2022 causés par le virus chinois. Il faut savoir également que près de 70% de la population des Pays-Bas est entièrement vaccinée selon les chiffres officiels.
Après avoir pris connaissance de ces chiffres, comment est-il possible d'expliquer que la mortalité de 2022 soit aussi importante que 2020 alors qu'il n'y a pas eu de vague de mortalité Covid-19 ? D'autant que la population est très largement vaccinée (près de 70%), bien au-delà du taux de l'immunité collective nécessaire à la protection de la population. De fait, une question s'impose : d'où vient cette surmortalité qui inverse le taux de croissance de la population générale ? C'est d'autant plus inquiétant que nous constatons la même chose en France ou en Allemagne avec des surmortalités records ces dernières semaines, voire ces derniers mois.
La moindre des choses est d'avouer que la vaccination ne fonctionne pas, elle ne protège pas contre le décès, c'est un fait. Sauf que la mortalité Covid-19 officielle est trop basse pour donner des résultats qui pourraient modifier les statistiques de toute la population ! Bref, encore une fois, la situation est très grave et les autorités publiques n'en parlent même pas car elles savent parfaitement ce qui se passe et qu'elles sont incapables de réagir étant donné qu'elles ont été complices du génocide.
CitationL'année dernière, pour la première fois depuis 1900, le nombre de décès a dépassé celui des naissances aux Pays-Bas. C'est ce qu'indique une estimation de Statistics Netherlands. La population a néanmoins augmenté, en raison du nombre élevé de migrants venant aux Pays-Bas.
Les taux de natalité et de mortalité sont proches, 168 000 bébés ont vu le jour l'année dernière, tandis que 169 000 personnes ont perdu la vie.
« Le fait que vous ayez pour la première fois une diminution naturelle de la population est assez spécial », a déclaré Dick ter Steege de CBS au NOS Radio 1 Journaal. Le bureau des statistiques n'a jamais vu cela auparavant. Du moins pas depuis 1900, l'année pour laquelle CBS dispose des données comparables les plus anciennes.
Corona
Les chiffres de décembre n'étaient pas encore connus. Pour ce mois, CBS s'est appuyé sur une estimation afin d'être encore en mesure de présenter les chiffres de la population en janvier. C'est ainsi que cela se passe chaque année, et les prévisions de décembre sont généralement justes, selon Ter Steege.
La surmortalité est en partie constituée de victimes de coronavirus, mais aucune explication n'a encore été trouvée pour une partie d'entre elles. Même pendant la Seconde Guerre mondiale, le nombre de naissances était supérieur au nombre de décès.
Il n'est pas encore certain que la contraction se poursuive. « Nous constatons que les naissances diminuent depuis des années et que les décès augmentent également, mais ces trois dernières années, ces décès ont été un peu plus élevés à cause de la couronne », explique Ter Steege. « Donc, dans ce sens, cette baisse pourrait être temporaire. Si la surmortalité passe l'année prochaine, le nombre de bébés sera à nouveau un peu plus élevé que le nombre de personnes qui meurent. »
Migration
Malgré le déclin naturel, la population a tout de même augmenté grâce à la migration. En fait, la croissance a presque doublé par rapport à l'année précédente. En 2021, elle a ajouté 115 000 habitants ; l'année dernière, l'augmentation était de près de 227 000. Au total, les Pays-Bas comptent désormais plus de 17,8 millions d'habitants.
L'année dernière, un nombre record de migrants est arrivé dans notre pays : 402 000. C'est 150 000 de plus qu'un an auparavant.
En particulier, la guerre en Ukraine contribue à l'augmentation substantielle du nombre de migrants. C'est surtout dans les premiers mois qui ont suivi l'invasion de la Russie (24 février 2022) qu'un nombre relativement important de personnes sont venues aux Pays-Bas.
Les réfugiés ukrainiens se sont répandus dans presque toutes les municipalités. Renswoude (Utrecht), Gennep (Limbourg) et Pekela (Groningue) ont accueilli relativement le plus de nouveaux arrivants de ce pays : plus de 20 pour mille habitants.
Dans les cinq principaux groupes de migrants qui sont venus aux Pays-Bas l'année dernière, la Syrie, la Turquie et l'Inde occupent les places deux à quatre. Un an plus tôt, les Polonais constituaient encore le deuxième groupe de nouveaux arrivants après les Syriens. Mais les migrants polonais constituent désormais le cinquième groupe de nouveaux arrivants aux Pays-Bas.
Il est difficile de prévoir si les migrants continueront à venir aux Pays-Bas au même rythme, selon Ter Steege. « Lorsqu'il s'agit de migration, nous ne savons en fait jamais ce qui va se passer. Nous constatons ces dernières années que la migration est vraiment élevée. Il y a beaucoup de travail aux Pays-Bas, on peut y étudier, notre pays a donc un grand attrait. Mais ce qui se passera avec les personnes venant d'Ukraine, par exemple, nous ne le savons pas, cela dépend beaucoup de la situation en Ukraine même. Peut-être qu'ils y retourneront, et peut-être pas. »...
NOS [Nederlandse Omroep Stichting]
Fondation néerlandaise pour la radiodiffusion
source : Le Libre Penseur

https://reseauinternational.net/moins-de-naissances-que-de-deces-aux-pays-bas-pour-la-premiere-fois-depuis-1900/
#73
Fraudes d'ordre sanitaire / O’Looney, entrepreneur de pomp...
Dernier message par Ouebmestre - 29 Décembre, 2022, 10:03:05
John O'Looney, entrepreneur de pompes funèbres en Grande-Bretagne : « Je n'ai jamais vu autant de décès »

par Kla.TV
L'entrepreneur de pompes funèbres J.O'Looney a attiré l'attention au printemps 2021 lorsqu'il a fait de sombres prévisions concernant une possible augmentation des décès entre octobre et décembre 2021. Comme il avait accès au certificats de décès en tant que responsable de pompes funèbres et qu'il avait des contacts avec des médecins et le personnel soignant des hôpitaux, il avait fait des comparaisons et attiré l'attention sur des faits surprenants. Son propre vécu pendant la crise du Covid, entre autres en ce qui concerne la prise en charge médicale en Angleterre, s'est révélé épouvantable, tout comme ses expériences avec les politiciens haut placés en charge de la politique du Covid.



Transcription :

Intervieweur : Nous sommes très heureux d'avoir John O'Looney avec nous aujourd'hui. Il est entrepreneur de pompes funèbres à Milton Keynes, en Angleterre. John, merci d'être avec nous aujourd'hui.

O'Looney : Avec plaisir. Merci de m'accueillir.

Intervieweur : Je pense que la plupart de nos téléspectateurs seront familiers avec les interviews virales que vous avez données au début de l'été et au début de l'automne, dans lesquelles vous avez lancé un sombre avertissement. Vous avez également mentionné que vous étiez en contact avec un groupe d'experts et qu'ils disaient qu'il y aurait une énorme augmentation des décès en octobre, novembre et décembre. Or, nous sommes justement en pleine saison des rhumes et des grippes. Les événements actuels ont-ils donc confirmé vos craintes de l'époque ?

O'Looney : Oui, absolument. Ce que nous voyons, c'est un nombre de décès en constante augmentation, et curieusement, surtout des décès par thrombose, infarctus du myocarde, dilatation artérielle par anévrisme ou des AVC, et ceci en nombre sans précédent. Je n'ai jamais vu autant de décès. Et il ne s'agissait pas que de personnes âgées. Cela concerne des personnes de différentes tranches d'âge. Des personnes dans la vingtaine, la trentaine et la quarantaine, et des personnes qui ne devraient normalement pas mourir. Cela avait été prédit et maintenant c'est effectivement arrivé.

Intervieweur : Oui, c'est juste. Je vous ai entendu dire dans une interview récente que vous aviez enregistré plus de décès par thrombose cette année qu'au cours des 14 dernières années. Voulez-vous dire un nombre plus élevé durant l'ensemble des 14 dernières années ou durant chacune de ces 14 années ?

O'Looney : Eh bien, pour être exact, je veux dire un plus grand nombre que durant chacune de ces 14 années. Et l'augmentation est phénoménale. Il ne s'agit pas du double ou du triple, mais d'une augmentation de 500 ou 600 %, c'est approximativement de cet ordre de grandeur. Et en temps normal, un décès par thrombose est assez rare, et il s'agit alors plutôt de personnes âgées, pas de personnes dans la vingtaine, la trentaine ou la quarantaine, et celles-ci sont toutes vaccinées. J'ai discuté avec des personnes intéressantes ces derniers temps. Michelle, une infirmière urgentiste, m'a dit que 9 patients sur 10 admis aux urgences pour des problèmes respiratoires étaient vaccinés. La raison de leur admission est le développement de caillots de sang. Ils passent alors une rapide radiographie et si les caillots de sang se trouvent dans la poitrine, ils sont hospitalisés. Si par contre, les caillots de sang se trouvent dans un membre, les gens sont renvoyés à la maison. Ce qui se passe alors inévitablement, c'est que ces caillots se déplacent du membre vers le cœur ou la gorge, et les personnes meurent. J'ai des amis dans la région qui travaillent dans la médecine légale, et ils sont débordés parce qu'ils doivent régulièrement aller chercher ces personnes chez elles parce qu'elles sont mortes subitement d'une thrombose.

Intervieweur : En tant qu'entrepreneur de pompes funèbres, avez-vous accès à tous les rapports des médecins légistes concernant les décès ? Y a-t-il un certificat de décès pour chaque corps qui arrive ?

O'Looney : Eh bien, pas toujours, parce qu'en tant que « pompes funèbres » je n'ai pas besoin de voir le certificat de décès, mais ce que je vois, ce sont les papiers du médecin légiste. Pour chaque mort subite, on fait appel au médecin légiste, qui délivre ce qu'on appelle un formulaire « 6 ». Une partie de mon travail d'entrepreneur de pompes funèbres consiste à rassembler les papiers et la demande pour la crémation, car la grande majorité des obsèques au Royaume-Uni sont des incinérations. Je dirais qu'environ 5 % sont des enterrements. C'est une question plutôt culturelle. Je vois donc ces papiers, je dois les passer en revue et vérifier s'ils sont corrects. Je vois la cause du décès établie par le médecin légiste, qui m'est envoyée par e-mail. Ensuite, je l'imprime et je la vérifie. S'il y a un problème ou une erreur, je retourne vers le médecin légiste et je lui demande de me renvoyer le document.

Intervieweur : Y a-t-il des médecins légistes qui procèdent à des dénonciations comme vous?

O'Looney : Non, car ils mettraient leur carrière en danger. En fait, j'ai même fait pression sur le médecin légiste en chef parce que je ne voulais pas mettre mon médecin légiste local dans l'embarras. Parce qu'ils savent très bien ce qui se passe. C'est un bon gars, mon médecin légiste local. Ce sont des gens bien, et je ne doute pas qu'ils soient au courant de ce qui se passe. Vous voyez par exemple l'énorme augmentation du nombre de décès par thrombose. Nous tous, nous le voyons. Regardez les jeunes footballeurs, les footballeurs de la FIFA, qui tombent actuellement comme des mouches. Ce sont des personnes au sommet de leur forme physique et de leur perfection. Savez-vous pourquoi ils meurent ? Pourquoi ils tombent, pourquoi ils meurent ? Je crois qu'au cours des six derniers mois, environ cent huit joueurs et entraîneurs enregistrés auprès de la FIFA sont morts. Ce n'est tout simplement plus normal.

Intervieweur : En plus de ces décès par thrombose, vous avez mentionné dans une vidéo très récente que le vaccin peut attaquer le système immunitaire.

O'Looney : Oui. Je n'en étais pas conscient jusqu'à ce que je participe à une réunion en septembre. J'ai été invité à une réunion à Westminster, à Birdcage Walk (un centre de conférence). Cette réunion a rassemblé environ 18... on a dit qu'il s'agissait d'un groupe d'opposants à la vaccination. Mais il s'agissait de personnes du calibre du professeur Dolores Cahill et du Dr Tess Lawrie, du Dr Sucharit Bhakdi et ce ne sont pas des anti-vaccins. Ce sont des gens qui ont construit leur carrière sur la science, des scientifiques de haut niveau – ils sont à la pointe de leur profession. Ils étaient nombreux – il y en avait 18 – et nous avons pu rencontrer un type du nom de Sir Graham Brady, qui est le représentant du « Comité 1922 » du parti conservateur ( le Comité 1922, officiellement connu sous le nom de Conservative Private Members Committee [une association parlementaire créée en 1923 et composée de membres de la Chambre des Communes britannique]) C'est donc un politicien conservateur très, très important. Et nous avons tous témoigné, nous nous sommes présentés et nous avons eu cinq minutes pour faire part de nos préoccupations. Et on avait l'impression, une fois qu'il avait quitté la pièce, qu'il avait compris. Il était, nous... cela signifie-t-il qu'il est complice ? Il a dit qu'il ferait ce qu'il pourrait, mais qu'il avait les mains liées et qu'il ne pouvait rien promettre et, vous savez quoi ? Rien n'a changé ! Ils continuent toujours à picouser les enfants dans les écoles. On a dit à M. Graham que ces vaccins auront comme effet secondaire la stérilisation de 70 % des enfants. Et une énorme quantité de preuves scientifiques ont été mises sur table pour confirmer et étayer ces affirmations. Et il ne faut pas oublier des personnes comme Dolores qui conseillaient le gouvernement britannique lorsqu'elle avait une vingtaine d'années. Elle est très, très... c'est un génie. Et Tess Lawrie, c'est un génie dans son domaine. Dans leurs domaines respectifs, ils savent exactement de quoi ils parlent. Mais ils ne sont pas sur la liste de salariés de l'industrie pharmaceutique, ni sur celle du gouvernement. Ils sont donc discrédités. Et on a dit à M. Graham que beaucoup d'enfants décéderaient de cardiomyopathie et que jusqu'à 70 % seraient stérilisés. J'étais choqué. Car dans mon activité de pompes funèbres, je ne connaissais évidemment pas cette facette. Il a également été question des dommages causés au système immunitaire. On a expliqué qu'après l'injection les cellules de leur corps se régénéreraient en deux ans et que les nouvelles cellules recevraient de nouvelles instructions, et que ces nouvelles instructions retourneraient leur système immunitaire contre eux-mêmes. C'est ainsi donc que le système immunitaire s'affaiblira lentement, ce qui se manifestera par des nausées et des maladies. Et ce sera ça, leur Covid.

Intervieweur : Wow !

O'Looney : Ne vous méprenez pas. Le Covid existe. Il y a bien un virus là dehors. J'ai parlé à beaucoup de gens. Je l'ai bien eu moi-même, donc il est vraiment là, là dehors. Mais il est guérissable, ce n'est pas une pandémie mortelle. Ce n'est pas quelque chose qui va nécessiter une thérapie génique expérimentale toutes les 12 semaines pendant les cinq prochaines années.

Intervieweur : Ou un arrêt complet de l'économie.

O'Looney : Oui, mais c'est fait exprès, non ? Parce qu'au Royaume-Uni, je sais... eh bien non, je ne sais pas... je ne peux pas suivre tous les événements sur cette planète – j'ai beaucoup trop à faire, mais au Royaume-Uni, par exemple, il y avait 400 000 petites entreprises qui ont été délibérément détruites par le gouvernement. Par contre, il y a 600 nouveaux milliardaires.

Intervieweur : Oui.

O'Looney : Oui, c'est donc fait exprès, n'est-ce pas ? Je trouve très intéressant qu'ils continuent à faire de très grosses erreurs. Et ils ont récemment montré l'une des plus grandes erreurs. Ils essaient clairement de se débarrasser de Boris Johnson.

Ils savent que les médias battent leur plein pour l'assassiner. Et l'une des choses qu'ils ont exposée, c'est la récente fête de Noël où tous les ministres ont dansé sans masque. Eh bien, ça... ça va détruire sa crédibilité de Premier ministre, et ça signifie également que tous les ministres présents dans la salle étaient au courant. Et qu'il n'y avait aucun risque. Ils se sont donc pour ainsi dire plantés, parce que tout le monde peut maintenant voir qu'aucun d'eux n'en a été gêné. Ils étaient donc tous complices d'un mensonge abominable. Ils étaient tous complices d'un détestable mensonge. Mais les gens ne veulent pas toujours voir la vérité. Ils font simplement ce qu'on leur dit de faire.

Intervieweur : Oui. Avant cette interview, je voulais encore mentionner une chose qui m'a frappé. J'ai des amis aux États-Unis qui m'ont raconté des histoires d'êtres chers, d'amis qui sont allés à l'hôpital et qui se sont soumis à un protocole pour lequel je viens d'inventer un nom. Je l'appelle le protocole de la mort.

Mais, comme je ne suis pas un expert en la matière, je ne pensais pas en parler si je n'avais pas vu il y a quelques heures un nouvel article de Jon Rappoport dans lequel il parle précisément de ce sujet.

Il mentionne un groupe qui s'appelle le Centre pour les services de soin et d'aide médicaux et qui agit en tant que lanceur d'alerte. Il y a eu un rapport publié par l'Association américaine de médecins et chirurgiens et je voudrais vous donner la première citation de cet article. On peut y lire :

« Lorsqu'ils sont admis dans un hôpital qui leur était autrefois familier, les patients américains atteints du Covid-19 deviennent des prisonniers virtuels. Ils sont soumis à un protocole de traitement rigide visant à rationner les soins médicaux des personnes de plus de 50 ans. Ils ont un taux de mortalité impressionnant. »

O'Looney : Oui.

Intervieweur : J'aimerais aborder certains points sur la façon dont ils font de la propagande. Ils ne font pas seulement la promotion du Covid, mais il semble qu'ils encouragent également le meurtre. Et vous avez mentionné ...

O'Looney : C'est très intéressant. Matt Hancock ici présent a annoncé il y a quelque temps, lorsqu'il était au gouvernement, qu'il ferait transférer tous les patients des hôpitaux, les patients Covid, dans des maisons de soins, afin de leur offrir une belle mort. La traduction grecque de « belle mort » est le mot « euthanasie ». Il l'a donc dit à tout le monde, et pourtant ils ne l'ont pas vu, parce que la plupart des gens en Grande-Bretagne ne connaissent pas le grec. Mais oui, ils nous disent ce qu'ils font, et les gens ne comprennent tout simplement pas. Il faut donc... parfois, les gens écoutent, mais ils n'écoutent pas vraiment. Et c'est exactement ce qui s'est passé. Le taux de décès dans les maisons de repos est en parfaite corrélation avec l'utilisation du Midazolam et la quantité administrée. ça a été largement relaté. Ça a été bien démontré par un certain nombre de personnes qui ont utilisé les lois sur la liberté d'information pour obtenir les chiffres. C'est malheureusement ce qui se passe ; c'est triste, malheureusement. J'ai vu un nombre croissant de personnes extrêmement contrariées par le manque de soins apportés à leurs proches. Et encore plus bouleversant : J'ai eu des conversations très perturbantes avec des infirmières qui m'ont appelé pour me décrire de manière très détaillée la manière dont elles traitent les gens. Je veux dire qu'ils leur donnent des DNR (: DNR : A do-not-resuscitate order – ordre de ne pas réanimer ) sans même leur demander leur avis. Et ensuite, elles leur donnent des trucs comme le Remdesivir.

Intervieweur : Oui. Ok, donc ça se passe aussi en Grande-Bretagne.

O'Looney : Oui, c'est fou, vous savez. C'est aussi le cas pour le Midazolam. Pourquoi donner un sédatif tellement puissant à quelqu'un qui a du mal à respirer ? Cela ne peut avoir qu'un seul résultat, non ? La respiration devient beaucoup plus mauvaise parce qu'elle est supprimée, avec ce médicament... et c'est pourquoi les gens meurent. Les personnes qui font cela doivent être assez sadiques. Je n'en doute pas. Il y a quelques semaines, j'ai accueilli des infirmières pour lesquelles j'ai organisé des funérailles. Nous en avons longuement parlé et elles ont dit : « Vous avez raison sur ce que vous dites. » Et l'une d'entre elles ne pouvait pas détacher son regard du sol. Car elles savent que ce qu'elles font est mal. Et elles savent que ce qu'elles font est inacceptable. Ils sont esclaves des prêteurs d'argent, et c'est là que réside le problème. Je pense que les gens du National Health Service sont la clé de notre salut. Ils doivent se lever. Ils doivent descendre dans la rue pour que ce travail perde sa fiabilité et son poids. Ils doivent raconter leur histoire, et en nombre suffisant pour qu'on ne puisse pas les ignorer, afin que le public ait une chance de connaître la vérité. Ce que les patients ne reçoivent pas actuellement, c'est de l'information et de l'éducation, et leur consentement, consécutif à ces informations n'est pas donné. Quand je parle aux gens, c'est presque comme un bon moment. On peut le voir sur leur visage. Et ils le comprennent, ils le comprennent, mais le consommateur moyen, qu'est-ce qu'il fait ? Ils se connectent toute la journée sur leur ordinateur et travaillent dans une compagnie d'assurance ou comme agent immobilier, puis ils rentrent chez eux et regardent Netflix ou Facebook et ne sont même pas actifs. Et ce n'est que lorsqu'on se réunit et qu'on dit : « Eh bien, réfléchissez logiquement à A, B et C. » Tous les ministres se sont promenés, sans masque et proches les uns des autres. Cela ne veut-il pas dire qu'il n'y a pas de pandémie pour eux ?

Il n'y en a pas eu, il y a un virus. Je le sais, je l'ai déjà eu. Et il est plutôt rare. Je me suis senti assez mal. Mais il peut être traité. On peut y survivre, puisque je suis là. Et vous savez, c'est des mensonges. On nous a nourris d'un flot de mensonges, et en réalité, ce n'est qu'une question de finances. Car il n'y a pas d'or pour couvrir le nombre de billets en circulation. Et il n'y a pas d'argent. Il n'y a plus d'argent. L'économie est au bord de l'effondrement. Elle a longtemps été soutenue par un assouplissement quantitatif, c'est-à-dire des taux d'intérêt négatifs et autres. Et il est temps que les banques récupèrent tout, et elles le font en confisquant toutes les maisons et les entreprises, et le cycle recommence.

Voilà donc ce qui se passe. Ils vont suspendre un peu le dépeuplement et en même temps mettre en place un système de crédit social pour tout le monde. Il y a donc un certain nombre de personnes qui sont impliquées avec leurs petits agendas. Leur propre agenda. C'est terriblement triste, n'est-ce pas ? La clé, en fin de compte, ce sont les gens eux-mêmes. Je veux dire, c'est la raison pour laquelle j'ai pris la parole, parce que je vois... Il n'y avait pas de surmortalité là en 2020. Le taux de mortalité, il n'était pas aussi élevé qu'on le prétendait. Et vous savez, j'ai vu des gens sur le pas de la porte, et des infirmières se disputer pour savoir qui vidait les poubelles. Ce n'était absolument pas une pandémie.

En fait, il y a eu plus de décès en 2019 qu'en 2020 dans ma localité, et ce malgré une prétendue terrible pandémie qui ruine les affaires de tout le monde, et ce volontairement. Et bien sûr, ils font très attention à la manière dont ils ont procédé. Le consommateur ordinaire qui travaille pour un employeur sait que si on lui propose de rester assis sur ses fesses à la maison pour 80% de son salaire, la plupart diront : « Oh, bien, oui. On va le faire ! » Et puis il y a eu un effet d'entraînement et ils sont passés de 80% à 65%, de 60% à 50%. Et quand ils voulaient reprendre le travail, ils ne le pouvaient pas parce que l'entreprise était ruinée. Et c'est exactement ce qui s'est passé. J'espère donc qu'il y a suffisamment de patriotes en Amérique qui peuvent vraiment changer les choses et nous sauver, parce que je pense que nous serons sauvés.

Intervieweur : La Grande-Bretagne va-t-elle se contenter d'attendre pour voir ce que font les... cobayes – l'Allemagne et l'Autriche ? Attendent-ils le premier février pour voir si l'Autriche peut faire passer sa loi ?

O'Looney : Je pense qu'ils essaient différentes approches dans différents pays pour voir laquelle est la plus efficace, et ensuite ils continueront à le faire. J'encourage tout le monde à continuer à se battre, car il devient de plus en plus difficile de se cacher, et même si les gens ont l'impression que le temps leur est compté. Croyez-moi, ce n'est pas le cas. Le temps est court pour les personnes qui répandent ce mensonge, car elles seront démasquées. Les médecins et les policiers m'appellent, les infirmières m'appellent, et tous disent la même chose. C'est un mensonge total. Dans nos médias, on dit que les hôpitaux sont remplis de personnes non vaccinées. C'est une invention totale. C'est exactement le contraire. Neuf patients sur dix qui sont là, pleins de caillots de sang, sont vaccinés. J'ai déjà entendu cela de la part d'innombrables spécialistes. Qu'on le croie ou non, ça n'aggrave pas la situation pour autant. C'est la vérité. C'est la réalité. On peut mener un cheval à l'eau, mais on ne peut pas le forcer à boire.

Intervieweur : Donc, si vous dites que la personne moyenne qui a un travail normal et qui rentre chez elle pour regarder Netflix, c'est un groupe. Mais si vous pensez aux gens de l'establishment médical — oh là là ! — ils le savent.

O'Looney : Ils le savent. Vous devez garder à l'esprit que certains d'entre eux vont investir dans le Covid sans restriction... Je sais que, moi en tant que professionnel des pompes funèbres, j'étais très inquiet lorsque le Covid a été annoncé pour la première fois. J'ai cinquante-trois ans et je suis un ancien fumeur, donc ma voix peut paraître un peu rauque.....j'étais très inquiet. Voici ce terrible virus qui fait s'effondrer les gens. On nous a montré des images de personnes en Chine qui sont littéralement mortes dans la rue. Ce n'est tout simplement pas arrivé, donc ça n'a clairement jamais été vrai. Mais les gens perdent la mémoire et l'hippocampe (sous-titre : hippocampe = une partie du cerveau) est atteint. Ils entrent dans ce mode de fuite effrayés et cherchent des vaccins qui ne sont pas vraiment des vaccins, mais des thérapies géniques expérimentales, mais qui ont été réétiquetées pour paraître plus acceptables, car nous avons tous été vaccinés quand nous étions enfants, moi y compris. La dissonance cognitive est stupéfiante. Et il est certain que des gens que je connais et qui sont considérés comme extrêmement intelligents sur le plan académique et éclairés sont complètement dupes, même si je leur ai dit que ce n'était pas la vérité. En 2020, il n'y a pas eu d'augmentation du taux de mortalité, pas du tout. À Milton Keynes, il était même légèrement inférieur, mais les gens ne veulent pas en tenir compte. Ils sont toujours convaincus qu'il y a eu une pandémie, juste une pandémie sans décès.

Intervieweur : Et il ne semble pas y avoir de lien entre l'intelligence et le QI et le fait d'être touché ou non par la pandémie. C'est différent.

O'Looney : Nous sommes tous un peu différents, et je me suis posé cette question : Est-ce que je me serais fait vacciner si je n'étais pas entrepreneur de pompes funèbres, si je n'étais pas dans la position privilégiée dans laquelle je me trouve ? C'est possible. Peut-être. Je ne le saurai probablement jamais, n'est-ce pas ? Je crois que ce qui m'a vraiment contrarié, ce sont les efforts massifs pour faire passer consciemment tout le monde pour un mort du Covid  : des patients atteints de cancer, des victimes de crises cardiaques, oui , et même un homme qui s'est fait écraser – tous des morts du Covid.

Ils étaient trop enthousiastes, trop pressés d'enregistrer tous les gens comme cas Covid, alors qu'il ne pouvait en aucun cas s'agir de décès dus au Covid. Je commençais à flairer l'arnaque, d'autant plus que le taux de mortalité n'augmentait pas. Je m'attendais d'ailleurs à ce que le taux de mortalité s'envole dès que la vaccination serait lancée. J'en ai parlé très ouvertement à un certain nombre d'amis en novembre et décembre de l'année dernière. Et voilà, le 6 janvier, la vaccination a commencé et le taux de mortalité a immédiatement grimpé en flèche. C'était du niveau d'une pandémie. Je n'avais jamais rien vu de tel. Mais cela n'a commencé qu'au moment où ils ont planté les aiguilles dans les bras. Alors, est-ce que c'est une pandémie ? Ou est-ce un taux de mortalité extrême pour une pandémie transmise par une aiguille ? Je suppose que nous ne le saurons jamais, mais il me semble que c'est le cas. Tout dépend si l'on est un penseur critique ou non, et j'ai prédit tout ce qui s'est passé et continue de se passer. Je dois donc être une personne à l'esprit critique. De plus j'ai eu le privilège de rencontrer des gens vraiment sympa et très compétents, qui m'ont tendu la main et m'ont en quelque sorte intégré, et j'ai donc eu le privilège de participer à de nombreuses réunions en ligne. Cependant, je ne participe plus à toutes ces réunions, car je sais ce qui se passe. La question est de savoir ce que nous allons faire pour l'arrêter. Serons-nous vraiment capables d'arrêter tout ça ? Je ne le sais vraiment pas. Mais j'espère que oui. Je l'espère, car ici, en Grande-Bretagne, ils vont s'en prendre aux enfants, et je suppose qu'en janvier, ils s'en prendront aux moins de 12 ans. Vous savez, je ne veux pas que mon enfant soit stérilisé.

Intervieweur : Vous avez des enfants ?

O'Looney : J'ai un fils de 11 ans. Je ne veux pas que mon enfant soit exposé au risque de myocardite et de mort. Et depuis deux ans que cette prétendue épidémie existe, je n'ai vu nulle part dans la région un seul enfant mourir du Covid. Alors à quoi bon ? Il n'y a aucun besoin.

Intervieweur : Je vis au Japon, et il y a quelques jours seulement, il y a effectivement eu ce qui semblait être une bonne nouvelle au début. Un communiqué du gouvernement japonais, du ministère de la Santé disait : « Désormais, tous les médecins doivent avertir leurs patients qui reçoivent un vaccin Covid de la possibilité d'une myocardite ou d'une péricardite, etc. » Et je me suis dit : « C'est incroyable ! Qu'est-ce que c'est ? Le premier gouvernement au monde à annoncer une telle nouvelle ? » Mais ensuite, continuez à lire, continuez à lire, et ensuite le paragraphe suivant dit : « Mais le risque pour cela est extrêmement faible, cependant le risque de contracter ces mêmes maladies est plus élevé à cause du Covid, même chez les enfants. » Cela a été publié en même temps que le rapport allemand, qui est le suivant « Dix millions d'enfants entre 5 et 18 ans, aucun décès. » C'est fou.

O'Looney : Oui, oui, et le problème, c'est que les gouvernements ne gouvernent plus les pays, n'est-ce pas ? Ce sont les entreprises qui gouvernent les pays. Et c'est là que réside le problème. C'est là que réside le problème. C'est le Grand Reset. C'est le Grand Reset, et je pense que les gens vont tout perdre très lentement au cours des trois à cinq prochaines années. Nous sommes donc arrivés à la fin de la première année et nous voyons que les gens commencent maintenant à être malades. Ils sont de plus en plus malades parce que leur système immunitaire est désormais affaibli. Et j'ai eu certaines de ces personnes au téléphone. Lorsque le système immunitaire est affaibli, on perd la capacité de se défendre contre un simple rhume. Je le vois par exemple chez les patients cancéreux qui suivent une chimiothérapie qui affaiblit le système immunitaire. Je parle avec des personnes dont les familles viennent me voir et me disent : « Mon père allait vraiment bien. La tumeur avait presque disparu. Et puis il a attrapé un rhume. »

Et c'est ce qui les tue. C'est ce que nous voyons chez les gens. Là aussi, ils vont très, très mal, et ce de manière répétée, et plus ils reçoivent d'injections, plus ils vont mal. J'ai prévenu tous ceux que j'ai pu, et je continuerai à le faire. Qu'est-ce que tu peux faire ? Oui, on peut conduire un cheval à l'eau, mais on ne peut malheureusement pas le forcer à boire. Chacun doit décider pour lui-même de la meilleure façon de faire. Mais quand on fait du chantage en leur disant aux gens qu'ils ne peuvent pas aller au travail, qu'ils ne peuvent pas faire leurs courses, qu'ils ne peuvent plus aller nulle part, qu'ils ne peuvent plus voir leur famille et qu'ils ne peuvent plus voyager... on ne leur laisse plus vraiment le libre choix, n'est-ce pas ? Donc...

Intervieweur : Oui. Eh bien, je voudrais gentiment terminer l'interview, parce que nous voulons aussi la traduire en allemand. L'interview devrait être limitée à 30 minutes, mais j'aimerais encore poser une question. Vous avez mentionné que nous pouvons encore compter sur trois à cinq ans avant le contrôle total. Mais à entendre des gens comme Robert Kennedy Jr, C.J. Hopkins, Yeadon (l'homme de Pfizer) et le professeur Bhakdi, les prochains mois semblent être décisifs.

O'Looney : C'est ça ! Les prochains mois, je vais vous dire ce qu'on va voir. Nous vivons un grand réveil. Et je l'ai remarqué moi-même, parce que j'ai littéralement reçu des milliers et des milliers d'appels et de courriels. Et bien, quand le grand réveil arrive, ils doivent améliorer leur jeu, parce qu'ils sentent que le temps pour croire à ce mensonge est court. Donc ils vont accélérer leur jeu et tenter tout ce qu'ils peuvent. Nous sommes les 99 %, donc nous sommes trop nombreux. Et je me demande si les gens vont vraiment regarder leurs voisins être envoyés dans des camps de concentration et ne rien faire ! Je ne sais vraiment pas. J'espère que non, j'espère que non. Si je vous l'avais dit il y a deux ans, je sais qu'on m'aurait ri au nez et qu'on m'aurait dit : « Non, non, ça n'arrivera jamais. »

Ils ont construit six super-prisons en Grande-Bretagne. Six. Et ce, à une époque où l'économie est au plus bas. Mais maintenant, ils disent que c'est le bon moment pour investir des centaines de millions de livres dans des super-prisons.

Intervieweur : Ah oui !.

O'Looney : J'aimerais bien qu'un ministre me dise comment il justifie ça à ce moment de l'histoire. Je suis sûr qu'ils vont les utiliser. Je suis sûr qu'ils vont les utiliser pour quelque chose. Je suppose qu'ils le feront probablement pour nous.

Intervieweur : Avez-vous un dernier message pour d'autres entrepreneurs de pompes funèbres, pour des médecins légistes, des médecins ou des infirmières qui ne veulent plus faire les autruches, qui veulent lever la tête et révéler ce qui se passe, comme vous l'avez fait ? Là, dehors il doit y en avoir une quantité qui sont prêts mais pas encore tout à fait décidés.

O'Looney : Oui – c'est ça. Pour moi il y a eu deux déclencheurs qui m'ont poussé à rendre publique mon opinion. L'un c'était un certain Dr Sam White qui a pris la parole après sa démission et qui a été aussitôt rayé du registre GMC [General Medical Council, UK]. En fait, j'avais regardé ce qu'il avait dit et j'étais impressionné puisque cet homme renonce à sa carrière... pour d'autres. Ça m'a inspiré. L'autre [déclencheur] est la façon atroce avec laquelle le peuple australien a été traité et comment il est maintenant mis dans des camps de concentration. Où est le cri d'alarme international ? Il y en a pas parce que tous sont coupables. Et ce sont des multi-nationales qui gouvernent les pays, pas leurs gouvernements. Et ici en Grande-Bretagne, nous avons le parti « Conservateur » et le « Labour », mais ce sont les deux faces de la même médaille. On parle donc de la Grande Réinitialisation. Je veux bien croire qu'il serait temps de renouveler le sommet de la pyramide hiérarchique et le système du gouvernement. Cependant, la voie semble aller dans la direction du non-respect des règles afin qu'ils puissent littéralement arracher les personnes de leurs maisons. Cette horreur et ce terrorisme, c'est peut-être la seule façon de pouvoir éveiller les êtres humains. Soyons optimistes ! Les gens vont-ils penser que c'est acceptable d'être amené dans un camps de concentration en Grande-Bretagne ? Ma femme le voit peu à peu et se fait de plus en plus de soucis. Juste un exemple : Un ami a dit : «Tu peux venir chez moi mais tu dois te faire tester et ceci et...» Vous savez quoi ? Nous n'allons pas garder ces gens. C'est si simple que ça, car ils nous manipulent, ils nous poussent tout droit vers l'esclavage.

En ce qui concerne le personnel soignant, les médecins légistes, les infirmiers, les médecins et les responsables de pompes funèbres, j'aimerais dire ceci : J'ai longtemps réfléchi avant de m'exprimer, probablement pendant plusieurs mois. C'est que j'ai un esprit lucide. Et j'ai regardé en avant et je savais que j'avais deux options : je pouvais m'exprimer tant que j'avais encore la liberté de le faire, ou bien dans une année j'allais crier de derrière un mur de prison. Tu peux descendre et plonger seulement pendant un temps limité. Ou bien il faut se soumettre et accepter cette injection dangereuse et il y a une bonne chance qu'on tombe malade et qu'on meurt. Parmi les scientifiques, on a l'impression qu'il s'agit de la roulette russe. Quand on se présente pour le vaccin, on a de la chance ou on a de la poisse. Et j'ai essayé de deviner comment ils pourraient encore faire du mal aux gens qui ont reçu le placebo. Comment feraient-ils ? Et puis ils ont annoncé... ils sont arrivé avec les...

Intervieweur : ... Oui, pour les cinq prochaines années. Omicron : le rappel booster.

O'Looney : Oui, les boosters, oui trois ou quatre par année pour les cinq années à venir. Et vous êtes au courant ? Omicron vient d'arriver. Pour ça ils ont déjà prévu 3 boosters. Comment est-ce possible ? C'est impossible à moins que ça n'ait été planifié. (Non) c'était prévu d'avance. Et encore une fois : les gens ne pensent pas de manière critique. Ils sont en mode « panique ». Leur hippocampe dit : «Oooohh, Covid !» Ils ne pensent pas de manière logique. Comment peuvent-ils annoncer Omicron et puis déclarer « Nous avons déjà les trois injections prêtes » ? Avec ça, tout est dit, tout ce qu'on a besoin de savoir. Et nos ministres dansaient et s'embrassaient à Noël de l'année dernière pendant que nos magasins devaient être fermés et que nous devions nous cacher.

Ici on ne parle pas de Covid. Ce n'est pas le sujet. Oui, le Covid existe. Et oui, si on est gravement malade, il nous tuera. J'aimerais instamment prier ces personnes de se demander s'ils veulent encore se claquemurer pendant 12 à 18 mois avant de recevoir une injection, de tomber malades ou de mourir. Ou bien veulent-ils véritablement amorcer quelque chose et se mettre du bon côté de l'histoire ?

Un jour, on va de toute façon mourir. Vous savez, vous, moi... c'est un voyage qu'on fera tous. Je préfère être connu pour celui qui s'est levé et qui a dit « C'est faux. C'est faux. » Et en voici la raison. Et c'est ce que j'ai décidé de faire. Et si ma vie peut sauver celle de quelqu'un d'autre, quelque part, votre enfant ou votre famille ou quelqu'un de l'autre côté du monde. Alors, ma vie aura eu une valeur.

Intervieweur : Oui. Exactement. C'était aussi comme ça pour ce professeur au Nouveau-Mexique qui a dit devant ses étudiants : « Voyez, j'ai un job passionnant. J'ai été élu professeur de l'année et je n'ai aucune raison de tout laisser tomber, mais si une des femmes de cette classe peut avoir un bébé grâce à ce que je vous dis, je veux en prendre le risque. »

O'Looney : Oui, 100 % d'accord, 100 %. C'est aussi ce que j'ai vécu. Une de mes clientes qui avait eu la 1ère injection, saignait et les règles ne s'arrêtaient pas. La mère d'un autre client était devenu aveugle. Un homme pour qui j'ai organisé des funérailles avait été vacciné et il a été paralysé des hanches aux pieds. Il était donc considéré comme à risque. On lui a fait l'injection suivante et le lendemain on l'a trouvé mort dans sa maison.
Il est évident qu'il y a des lots très différents car il y a trop de différences dans les effets non-désirés. Et j'ai même vu des appels d'offres par lesquels le gouvernement souhaitait faire appel aux services de sociétés de logiciels informatiques afin d'évaluer les effets secondaires probables. Alors qu'est-ce que les gens ne voient pas ? C'est là sous nos yeux et c'est public. Mais, comme je l'ai déjà dit, ils rentrent, enlèvent les chaussures et mettent leur mot de passe pour aller sur Facebook ou Netflix. Tant que le loyer est payé et qu'ils peuvent se coucher sous un duvet bien au chaud, ça leur est égal. Mais cette fois-ci, ils ont été touchés. Ils ont paniqué et ne peuvent plus raisonner de manière logique. Leurs pensées ne sont plus claires. Et c'est une honte, vraiment. Et j'espère que les experts... j'espère que les collaborateurs du NHS [National Health System] vont sortir de leurs hôpitaux et qu'ils raconteront leur histoire, car s'ils peuvent faire le récit de ce qu'ils observent, ce sont eux qui ont la clé pour sauver tant de vies, la mienne et la leur inclues. Mais s'ils décident que leurs relevés bancaires sont plus importants que l'humanisme, ça pourrait être notre fin.

Intervieweur : Très exactement. John O'Looney, je vous remercie d'avoir accepté cet entretien, et je vous remercie de tout ce que vous faites afin de réveiller les gens.

O'Looney : Le plaisir était aussi de mon côté. Prenez soin de vous et que Dieu bénisse l'Amérique, le Japon, ...

Intervieweur : Et que Dieu vous bénisse ! Merci

source : Kla.TV
https://reseauinternational.net/john-olooney-entrepreneur-de-pompes-funebres-en-grande-bretagne-je-nai-jamais-vu-autant-de-deces/
#74
Fraudes d'ordre sanitaire / Bilan explosif : 71% des décès...
Dernier message par Ouebmestre - 16 Décembre, 2022, 17:48:17
Bilan explosif : 71% des décès survenus dans les 20 jours suivant la réception du vaccin covid semblent être dûs aux effets secondaires du vaccin



Le public est de plus en plus préoccupé par les informations faisant état de décès parmi les personnes vaccinées. Bien sûr, la question se pose : "Le décès a-t-il été causé par la vaccination ?". La façon la plus absolue de répondre à cette question est par une autopsie, écrit le célèbre Dr. Peter A. McCullough de The Epochtimes avec John Leake .
L'équipe de recherche en pathologie dirigée par le professeur Constantin Schwab de l'Institut de pathologie de l'Université de Heidelberg et de son hôpital affilié (Hôpital universitaire de Heidelberg, Institut de pathologie, Im Neuenheimer Feld 224, 69120, Heidelberg, Allemagne) a mené une étude détaillée des post- autopsies de vaccination. Sur 35 décès dans les 20 jours suivant l'injection, 10 ont été écartés comme étant clairement sans rapport avec le vaccin Covid.
 
Cependant, les 25 autres (71 %) avaient un diagnostic compatible avec le syndrome de blessure induit par le vaccin, y compris l'infarctus du myocarde, l'aggravation de l'insuffisance cardiaque, l'anévrisme vasculaire, l'embolie pulmonaire, l'accident vasculaire cérébral mortel et la thrombocytopénie thrombotique induite par le vaccin.
 
Fait intéressant, la myocardite aiguë a été identifiée comme la cause du décès dans 5 cas, l'histopathologie du muscle cardiaque montrant une inflammation inégale très similaire à celle du muscle deltoïde injecté avec le vaccin à ARNm, bien qu'il soit officiellement propagé que la myocardite survenant après la vaccination ne peut pas entraîner la mort et est très traitable (voir Gheorghiță et al).

Du rapport :
1) 71 % des décès survenant dans les 20 jours suivant l'administration du vaccin semblent être dus à des maladies connues pour survenir avec la vaccination contre le COVID-19,
2) L'inflammation du cœur a coïncidé avec le même schéma d'inflammation du bras. De cela, nous pouvons conclure que la mort quelques jours après la vaccination est très probablement due au produit du gène et que l'inflammation dans le bras pourrait être un substitut à un processus similaire dans le cœur.
Le taux très élevé d'autopsies post-vaccinales devrait inciter les familles et les médecins à demander des autopsies post-vaccinales afin que nous puissions en savoir plus sur la façon dont cette procédure médicale (*vaccination anti-covid) entraîne une perte de vie aussi élevée.
source : https://uncutnews.ch,
traduction: soleilverseau.com
via Soleil Verseau
#75
Métiers de santé / Radiation : Au tour du Dr Marc...
Dernier message par Ouebmestre - 06 Décembre, 2022, 19:15:35
Radiation : Au tour du Dr Marc Girard, éminent expert auprès des tribunaux



Personne n'échappe à la chasse aux sorcières. Jusqu'à quand ?

par Nicole Delépine
Hommage aux personnels suspendus par Marc Girard (sur son site)
« Le contraste entre la misère objective où se trouvent acculés les soignants (les petits, surtout : aides-soignants, femmes de ménage et personnel de service) et le ridicule du prétexte sanitaire (se défendre contre les rhumes) en dit tristement long sur l'état de sauvagerie où en sont arrivés tous ceux qui, sous prétexte de soins, se voient dépositaires d'une mission sacrée : tenir à distance la maladie (sinon la mort) et, surtout, faire preuve d'autorité à l'endroit des plus faibles. »
INLASSABLE LANCEUR D'ALERTE DEPUIS LES ANNÉES 90, le Dr Marc Girard a informé ceux qui ont accepté de l'écouter (car la pensée unique ne date pas d'aujourd'hui) sur le distilbène, l'hormone de croissance, le vaccin contre l'hépatite B1, la dangerosité du vaccin H1N1, les dangers du Gardasil inutile et dangereux2, les inconvénients de la mammographie, du dépistage du cancer de la prostate par le PSA, sur la mascarade du procès mediator etc.. sur les risques des imprégnations hormonales des femmes... et bien sûr sa critique clairvoyante de la gestion du rhume covid3. Son parcours émaillé de la révélation de tant de scandales médicaux-sociaux l'ont conduit à son propre drame personnel par la persécution des autorités depuis de longues décennies. Son roman de vie mériterait un volume en soi qui éclairerait son parcours personnel en le remerciant, mais surtout l'état de la pharmacovigilance en France depuis les années 904.
Que de sujets tabous a-t-il abordé au grand jour à l'heure où les médias étaient un peu moins fermés qu'aujourd'hui bien que déjà travaillés au corps par big pharma. Je l'ai rencontré sur le plateau de C dans l'air en 2011 environ, alors qu'il présentait un livre sur les dangers des médicaments et que j'étais invitée à propos de mon livre « la face cachée des médicaments ». Nous étions en phase, encore tolérés sur les plateaux (à peine) et cela ne m'étonne pas que ce médecin instruit, pionnier de la pharmacovigilance française, déterminé, honnête, d'un autre monde finalement, ait été persécuté jusqu'à la radiation...5


Médicaments dangereux : à qui la faute ?


Alertes grippales

INSUPPORTABLE une nouvelle fois, après la censure et l'interdiction d'exercer la médecine de nos parlementaires6, on apprend ce jour la radiation du Dr Marc Girard, en même temps que fleurissent à nouveau sur nos antennes (on va casser nos télés avant longtemps) des pseudo médecins statisticiens, généralistes, urgentistes ou autres qui en plus des mensonges avérés qu'ils recrachent, insultent les médecins. Le pseudovax éviterait les formes graves contre toutes les évidences statistiques. Ils traitent les collègues vaccino prudents de « rien », de déchets ou autres galanteries. Quand les citoyens les poursuivront-ils pour mensonges, intoxication aux conséquences dangereuses et insultes discriminatoires de leurs collègues médecins ?7
« Radiation définitive du Dr Marc Girard », Le site du Dr Marc Girard (rolandsimion.org)8
Qui est le docteur Marc Girard ? Voilà la description de son parcours sur son site fort instructif qu'il faut lire, en particulier pour ceux qui s'intéressent au scandale précurseur de la vaccination contre l'hépatite B (encore obligatoire chez les nourrissons suite à la loi de Mme Buzyn), mais aussi à l'histoire cocasse du médiator, etc...
Ses livres, tous riches en informations bien cachées par les médias sont sûrement autant d'aiguillons qui ont heurté les représentants de notre profession qui ne se préoccupent plus que de la censure contre tout ce qui n'est pas la doxa des pouvoirs publics au service de Big Pharma, lui-même serviteur parmi les plus « zélés » du Nouvel Ordre Mondial.
Et cerise sur le gâteau, à l'heure de la retraite, lorsqu'il déménage, l'ordre « perd » son dossier.
« Il refournit tous les documents, mais au lieu de délivrer la carte professionnelle en s'excusant, il est réévalué par des nuls et est radié ! »9
La question à poser est jusqu'à quand la passivité des citoyens ?
Ils pleurent (à juste raison) à l'arrivée des services d'urgence quand ils attendent des heures sans boire, sans manger, sans soulagement, mais laissent nos médecins compétents, solides se faire virer sans ménagement... y compris les courageux médecins suspendus pour avoir eu le courage de leurs opinions, quand les ministres qui les insultent avouent eux-mêmes ne pas être injectés ou que beaucoup de leurs collègues députés ou sénateurs ne le sont pas. Et chaque jour, une nouvelle radiation ou nouvelle suspension pour avoir trop parlé !10
Si vous voulez que renaisse la médecine, il faut nous aider, vous tous citoyens et ne pas tourner la tête, à reconquérir notre pouvoir médical et supprimer celui des instances bureaucratiques et singulièrement celui des agences régionales de santé qui gèrent financièrement la médecine.
Pourtant la médecine n'est pas une marchandise et faire des pubs télé pour les pseudovax comme pour des parfums est insupportable.
Une réflexion déjà ancienne sur la médicalisation et ce qu'elle dissimule : la vie, la sexualité, la mort...



Étudiant en mathématiques, Marc Girard était frappé de voir que les collégiens mis en échec par les « math modernes » étaient naturellement adressés à des médecins, alors que ces derniers se targuaient plutôt d'avoir été formés aux « humanités ». En cette époque où la conscience écologique naissante s'exerçait sur le scandale du « veau aux hormones », il ne comprenait pas non plus pourquoi saturer le corps fascinant des contemporaines avec ces mêmes hormones sous prétexte de contraception devait être tenu pour une « émancipation ».
Devenu médecin non par vocation, mais par engagement politique à l'encontre d'un métier dont le potentiel totalitaire était déjà patent, il a cru bon mettre sa compétence de spécialiste du médicament au service de la justice, avant de constater qu'entre sanctionner les criminels de la santé et ceux qui les dénonçaient, la justice avait choisi la seconde option.
Le présent site récapitule les réflexions nées de ces interrogations anciennes, mais dont l'actualité serait difficile à ignorer. »
ET VOICI SA RÉACTION SUR SON SITE À CETTE MONSTRUEUSE INTERDICTION DE MÊME SE PRESCRIRE UN ANTIBIOTIQUE OU UN ANTICOAGULANT
***
Radiation définitive du Dr Marc Girard
30 novembre 2022
Eh bien ! Ça y est, c'est fait ! Je ne suis plus médecin. Plus du tout. Plus jamais. Définitivement radié de l'Ordre. Donc interdit de prescrire même des antalgiques banals, même des médicaments contre le rhume, même des somnifères réputés anodins...
Parce que je me suis lancé sur un sujet hautement polémique, comme le Covid, comme telle ou telle vaccination, comme la mammographie, comme le dépistage du cancer de la prostate, comme les nouveaux anticancéreux ? Que nenni ! Je suis radié parce que je mets en danger même mes proches, a fortiori des patients, par mon incompétence apparemment criante — en dépit du fait facilement vérifiable qu'en 40 ans de pratique intensive, je n'ai pas eu un seul sinistre...
Radiation d'autant plus sidérante que, aussi bien chez les experts judiciaires que chez les médecins, je n'ai quasiment jamais vu de suspension, si motivée fût-elle, qui ne soit temporaire : même après une faute grave, on tend presque toujours à passer l'éponge après un certain temps. Mais le Dr Girard, ça doit soulager de le virer définitivement11,12.
Sans me fourvoyer dans la doléance égocentrique, je crois qu'il est utile d'entrer un peu dans l'historique de cette situation. Après des études brillantes, menées dans un CHU prestigieux (Necker EM) et couronnées par un prix de thèse, j'ai eu une pratique intensive de médecin généraliste, pas intéressé par l'internat (concours dont la débilité m'est toujours apparue flagrante). Domicilié dans les Yvelines, j'étais dûment inscrit à l'Ordre de ce département durant 35 ans. En 2018, ayant décidé de me replier dans la Mayenne natale pour ma retraite, je me tournais naturellement vers l'Ordre de ce département pour obtenir le transfert de mon dossier et mon inscription en Mayenne. Là, première surprise : mon dossier s'est révélé introuvable. Après un moment de panique, j'ai retrouvé – et fourni – tous les documents attestant mon parcours et authentifiant mes titres : ils n'avaient pas été obtenus à la sauvette ou moyennant finance.
Comme un con, j'ai imaginé que le problème était résolu, et j'ai commencé à attendre mon caducée, ma nouvelle carte professionnelle et mes ordonnances. Mais au lieu de s'excuser pour cette gabegie dans son archivage, l'Ordre mayennais s'est mis en tête de m'évaluer. Malheureusement, surtout quand on est un médecin nourri de presse médicale type Le Quotidien du médecin, on n'évalue pas le Dr Girard sans avoir autant réfléchi que lui : sans apercevoir l'incongruité du propos, l'un des « experts » autoproclamés chargés de m'évaluer n'avait aucune notion des objections qu'on peut – qu'on doit – adresser aux statines et à leurs prescripteurs ; un autre refusait même l'idée qu'au-delà de trois médicaments par personne – surtout chez une vieille dame de 85 ans – on nage dans l'inconnu (outre les trois principes actifs, on a la bouteille à l'encre de tous les métabolites) – mais peut-être mes évaluateurs ignorent-ils ce qu'est un métabolite. On peut également alléger une ordonnance : l'expérience atteste que diminuer le nombre de médicaments prescrits tue rarement le patient concerné, alors que l'inverse n'est pas vrai.
Il est notoire pourtant que certaines régions françaises (la Mayenne, justement) souffrent d'une pénurie grave de médecins, conduisant à recruter soit des étudiants ayant échoué au concours, soit même des médecins étrangers baragouinant un français approximatif, mais ayant obtenu – Europe oblige – le titre de médecin dans un pays étranger au terme d'études non moins approximatives, par exemple en Bulgarie où la pègre fait sa loi et où, si l'on en croit Le Figaro (02/10/22), « la corruption est endémique ». Voici quelques semaines, la presse locale faisait état des files d'attente occasionnées par la réinstallation d'un médecin retraité (qui avait dû finir par s'ennuyer), à côté desquelles celles occasionnées par l'enterrement récent de la Reine d'Angleterre avaient l'allure d'un aimable pique-nique. Il est non moins notoire qu'Internet fourmille de menaces sanitaires et d'offres de soins plus que douteuses qui devraient appeler une réaction ferme et coordonnée des professionnels.
Bon, bref. Je ne compte pas me laisser faire ni prendre des cours de français. Mais il me paraît utile d'informer les gens de ce qui m'arrive et qui dit beaucoup du milieu médical français (à l'égard duquel j'ai toujours eu une position très critique). J'invite tous mes lecteurs à retransmettre cette histoire exemplaire à leurs proches, à la presse, à leurs responsables politiques...
L'Ordre n'a qu'à bien se tenir...
Sur le coup, c'est vexant d'être radié. Mais est-il si flatteur d'en être ? »
Quelques réflexions de twittos scandalisés



@FabriceMegrot
#radiation du Dr Marc GIRARD. Encore un grand médecin maltraité. À lire, ses travaux et son site Internet riche
@BanounHelene 1er déc.
Encore un médecin compétent et courageux radié par l'Ordre : il s'est opposé à Big Pharma depuis bien longtemps ! C'est un expert en pharmacovigilance[9].
Dès 2009, le Dr Marc Girard a contesté les affirmations de Madame Bachelot alors ministre de la Santé, ancienne pharmacienne sur la vaccination H1N1. Elle défendait son vaccin anti H1N1 avec les mêmes mots qu'elle a défendu la vax anticovid. Jouer sur la peur, on prend les mêmes et on recommence. Les représentants du pouvoir ont été beaucoup plus efficaces avec le covid dans la désinformation ; mais n'ont pas pardonné au Dr Marc Girard sa clairvoyance.
En 2020, il a alerté à nouveau la population et rappelé les techniques de manipulation utilisées par le gouvernement, qui auraient dû rendre prudents les citoyens.
« Parmi les méthodes de promotion mensongère, on relève « la dramatisation de l'anecdotique » (p. 173), une « rhétorique de globalisation » (p. 175) et la collusion des professionnels de santé (p. 177), plus prompts à amplifier de leur autorité les sornettes glanées à la télé qu'à parler sérieusement de ce dont ils ont une expérience effective (qui se résume parfois à très peu). »
Et ce chapitre de réflexion générale : « Élever le débat en 2009, c'était — exemple parmi bien d'autres — créer les conditions pour que, sans éprouver le besoin d'en modifier la moindre ligne, ce livre soit remis dans l'actualité après « la divine surprise » (pour les patrons...) de Macron-président et son coup d'État du 16 mars 2020.
Élever le débat, c'est proposer des événements une triple lecture, politique, scientifique, morale.
Omniprésente dans les pages qui ont précédé, la lecture politique rappelle que la menace qui pèse le plus sur l'expertise, ce n'est pas celle des liens d'intérêts (à la révélation desquels je pense pourtant avoir puissamment contribué) : c'est celle de l'incompétence.
La lecture scientifique, c'est comprendre que la recherche clinique en général, et l'évaluation des médicaments en particulier, n'ont rien (ou pas grand-chose) à voir avec le travail dit classiquement « scientifique », centré sur une épistémologie tirée des sciences physiques ou, à la rigueur, de la biologie. Rien à voir, donc, avec les références intellectuelles de tous « les sages et les savants » qui se prévalent bruyamment d'une agrégation, d'un doctorat d'État ou de quelque autre affiliation censément prestigieuse (CNRS, INSERM...), mais peu pertinente pour l'espèce.
La lecture morale, enfin, c'est comprendre que la faute des autres, pour patente qu'elle soit, ne saurait résumer à elle seule la misère du monde : se demander, par conséquent, en quoi les engagements personnels participent du processus général de récupération par lequel, pourtant condamné à mort par application des lois sacrées du « matérialisme historique », le capitalisme renaît chaque fois de ses cendres, et chaque fois plus fort. Dans un livre consacré aux ravages de la médicalisation, c'est une invitation à y inclure les fausses « alternatives » des médecines douces, holistiques, homéopathiques, parallèles, ainsi que les emprunts aux traditions thérapeutiques du monde qui fascinent d'autant plus que, voyage organisé parmi d'autres, elles sont exotiques (et qu'elles n'impliquent évidemment rien des contraintes culturelles qui donneraient du sens à cette forme de tourisme...). »




et comme disent des commentateurs sur twitter : Patricia Chaibriant 19 août 2021
« Macron et Véran ne se sont pas foulés pour essayer de nous terroriser avec le covid afin de caser du vax, ils ont repris les rôles de Sarkozy et Bachelot dans l'arnaque de la fausse pandémie H1N1 de 2009 ».
« Marc Girard et la Bachelot qui nous a coûté des millions € »
L'imposture de la grippe A dévoilée sur la chaîne « La Locale »



L'imposture de la grippe A dévoilée sur la chaîne « La Locale » Emission du 25 Octobre 2009 — 23 h.
Intervenants sur « La Locale » :
Christian Cotten (Journaliste),
Dr Vercoutere (Docteur),
Jean-Frédéric (citoyen),
Intervenants sur France 24 :
Jennifer Knock (Spécialiste Santé à France24),
Marc Girard (Médecin) C*0*V*I*D* : TOUTES RESSEMBLANCES AVEC DES ÉVÉNEMENTS RÉCENTS NE SERAIENT QUE PUR HASARD ! (lol si le hasard existe, bien sûr)
Le Dr Marc Girard a aussi combattu les effets secondaires des vaccins comme le Gardasil contre le HPV
@FrancoisTribun 23 nov.
« Je partage le travail de Dr Marc Girard, pionnier de la pharmacovigilance. Il expose le danger réel d'effets secondaires graves pour des vaccins comme le Gardasil (HPV). Si un casque peut vous étrangler alors son usage devient aberrant. »
En 2020 il croyait qu'on pouvait discuter ensemble des vaccins, etc...13 il avait beaucoup d'illusions comme la suite du scénario covid l'a démontré14
Plongez-vous dans son site, vous ne perdrez pas votre temps, car Marc Girard a été précurseur de la réflexion sur la conduite à tenir sur les sujets qui nous agitent depuis 2020. Par exemple
« Principe de précaution
Le quatrième chapitre est peut-être celui qui m'a le plus coûté compte tenu du débraillé terminologique qui règne à ce sujet, tout autant chez les « experts », chez les présumés sachants (tels que les avocats), chez les victimes, chez les intarissables blaireaux de la Toile : « prudence », « prévention », « précaution »...
Ma réticence initiale à traiter du sujet venait du fait que le concept de précaution est né d'une réflexion sur la protection de l'environnement : il s'imposait d'autant moins en médecine que les médecins ont un concept bien plus ancien et bien plus fort, celui de prudence. D'où mon constat tiré d'une expérience assez intensive et dont la pertinence s'est démesurément confirmée depuis les quelque vingt ans où j'ai commencé de griffonner sur le sujet : quand, en médecine, on vous parle de « précaution », commencez par rechercher le cadavre de la prudence — et retrouvez les assassins. »



Et même si Marc a parfois la dent dure, c'est un honnête homme, un tendre qui aime profondément les autres humains et refuse toute concession au politiquement correct et au langage diplomatique.
« Nous en arrivons à la conclusion de ce livre publié en septembre 2009
« La triste réalité, c'est qu'il n'est simplement pas possible d'être un professionnel du médicament sans devenir farouchement anti-européen au constat des éléments suivants dont les effets se font sentir à chaque instant : l'effarante efficacité des lobbies, l'impuissance rare des politiques, leur ignoble complaisance et leur déprimante incompétence(...) »
Alors chers concitoyens, si vous ne voulez pas collaborer à l'enterrement définitif de la médecine française, et la disparition de ses représentants authentiques les plus courageux, défendez bec et ongles les soignants, médecins, personnels administratifs, pompiers, enseignants15, etc. suspendus contre TOUTE LOGIQUE SANITAIRE. Ne laissez pas notre belle France devenir un état totalitaire où seules des injections « préventives » seraient proposées contre toutes les maladies.


La brutalisation du corps féminin dans la médecine moderne

source : Nouveau Monde

  • « Vaccin contre l'hépatite B : l'urgence d'une ré-évaluation », Le site du Dr Marc Girard (rolandsimion.org) ; https://www.rolandsimion.org/2004/09/vaccin-hepatite-B-URGENCE.pdf
  • « Gardasil et questions de tolérance », Le site du Dr Marc Girard (rolandsimion.org)
  • « Un exemple de dictature médicale », Le site du Dr Marc Girard (rolandsimion.org)
  • L'exemple récent du dr amine umlil : Les experts de santé ont-ils droit à la liberté d'expression ? Le pharmacien Amine Umlil que nous avons eu l'occasion de recevoir dans les débriefings voit son poste menacé au Centre hospitalier de Cholet, dans le Maine-et-Loire. Son président, Pierre Vollot le dénonce au CNG (Centre national de gestion) le menaçant de « sanctions disciplinaires » ainsi que de « poursuites pénales ». « Le Dr Amine Umlil, pharmacologue et juriste, intimidé par sa direction », FranceSoir
    « Dr Amine Umlil au Sénat : « Le seul critère juridique pour imposer le vaccin, c'est que le vaccin empêche la transmission virale » », (lemediaen442.fr) 24 mai 22 « depuis décembre 2020, date du lancement de la campagne de vaccination, la preuve n'a pas été donnée de l'efficacité du vaccin sur les formes graves et la transmission virale. Le rapport, étant donné qu'il s'agit de personnes en bonne santé, est forcément défavorable. On a oublié d'informer les gens que l'essai clinique était toujours en cours et qu'il s'agissait d'un produit expérimental.
  • « Fin septembre 2009, en pleine panique « pandémique » (dûment attisée, entre autres, par des « experts » dont certains sévissent encore au Conseil scientifique COVID-19 réuni autour du président Macron), un éditeur, intrigué par le contenu antagoniste de mon blog, vint me demander d'écrire un livre sur la grippe H1N1. Je tins scrupuleusement le délai de 8 jours qu'il m'avait laissé pour lui remettre le manuscrit, et le livre parut le 8 octobre 2009, sous le titre « Alertes grippales. Comprendre et choisir ».
    Dès l'Introduction, je posais que les gens avaient parfaitement senti que les autorités cherchaient à leur faire peur, mais que le scepticisme populaire autour de la menace H1N1 attendait qu'un professionnel (un vrai...) leur fournisse les mots « pour organiser un contre-discours rigoureux » : le présent livre, disais-je, est destiné à soutenir les « citoyens qui ne veulent pas se laisser faire ». D'où la question centrale, éminemment démocratique et que mes fidèles reconnaîtront sans peine :
    « Lorsqu'on est profane, est-il possible d'auditer le discours des experts ? » – « Alertes grippales — comprendre et choisir », Le site du Dr Marc Girard (rolandsimion.org)
  • A. houpert et M. Wonner
  • vidéo à écouter et partager !
  • Le site de Rolandsimion est le site du DR Marc Girard en hommage à son oncle résistant :
    « Roland Simion était un jeune ouvrier de la France d'en bas, qui refusa de partir pour le STO institué par l'occupant durant la seconde guerre mondiale. Il resta durant des années dans le maquis aux alentours d'Evreux. Il fut capturé et immédiatement assassiné par les soldats allemands juste le jour précédant la libération de sa ville. Il était âgé de 20 ans.
    Pour un spécialiste du médicament (cf. 29), il est moins héroïque de rester indépendant tout en s'astreignant à rester compétent — ce qui requiert forcément de travailler avec les fabricants : mais, dans un monde où « l'industrie pharmaceutique a fait main basse sur les autorités sanitaires » (Brit Med J, 16 Nov 2002), c'est aussi une forme de résistance.
    Ce site est dédié à la mémoire de Roland, qui fut — et qui reste mon oncle. Il sera le lieu d'une réflexion sur la médicalisation, et sur tout ce que dissimule cette aliénation : la vie, la sexualité, la mort... »
  • https://rolandsimion.org/radiation-definitive-du-dr-marc-girard/ 5:28 PM · 1er déc. 2022
  • « L'Ordre des Médecins va juger le Docteur Loridan parce qu'il a entièrement raison sur les masques », AIMSIB :
    « Après la sanction révoltante infligée par la Chambre disciplinaire de l'Ordre des Médecins du Grand Est contre l'ancienne Députée et médecin psychiatre Martine Wonner, c'est au tour du Dr Éric Loridan de se confronter à ses pairs vendredi 2 décembre. Son crime ? Il a eu le malheur de démontrer de manière parfaitement scientifique que le simple port d'un masque facial en polypropylène ne représentait absolument aucune protection contre la pénétration-expulsion respiratoire des virus. Qu'en plus, ce dispositif pouvait facilement menacer la sécurité de ses porteurs. Ce qui va se jouer à Lille sera capital : est-il dit dorénavant qu'en France, un médecin doit penser faux parce que son Ordre le lui commande ? Bonne lecture.
    Quid de la liberté de parole dans une société qui, trop souvent, se contente d'un prêt-à-penser bien commode et arrangeant ? »
  • Il y a quelques semaines le dr Gayet médecin hospitalier toujours mesuré dans ses interventions fut aussi radié contre toute évidence. « Dr Stéphane Gayet Médecin infectiologue et hygiéniste.
    «J'ai été radié de l'Ordre des médecins pour des prescriptions faites qui n'ont causé aucun accident médicamenteux, ont amélioré la santé des patients, étaient peu onéreuses et ne m'ont rien rapporté» – https://odysee.com/Cielvoile
  • « Pour être précis, comme expert judiciaire, je n'ai pas été viré (ce qui m'aurait ouvert la porte d'un appel), mais non réinscrit (l'inscription sur les listes n'étant pas un droit, il n'y avait aucun appel possible) »
  • https://www.lelibrepenseur.org/les-experts-sont-les-hommes-de-paille-des-lobbys-financiers-par-le-dr-marc-girard
  • https://www.facebook.com/watch
  • Et pourtant des autopsies ont prouvé que les microfibres entraînent de graves formations de nodules dans les poumons, etc...

LE GEℕERAL Officiel©💎
@Le__General_0ff
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Enseignants suspendus:
- Pascal Corradini Prof à l'IUT Curien à Epinal (15 jours d'interdiction d'enseigner)
- Andreas Pfeiffer prof d'allemand au lycée Gellée Épinal (3 mois d'exclusion temporaire dont 2 avc sursis).
Car ils ont refusé d'imposer le port de masque à leurs élèves.
https://twitter.com/i/status/1596568235570126848
7:15 PM · Nov 26, 2022
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#76
Fraudes d'ordre sanitaire / La vérité sur l’ivermectine
Dernier message par Ouebmestre - 06 Décembre, 2022, 18:27:49
La vérité sur l'ivermectine




par Géopolitique Profonde
De plus en plus de recherches montrent que l'ivermectine est un traitement essentiel pour le COVID-19.
L'ivermectine a été saluée comme un « médicament miracle » et, selon le rapport mondial sur la science de l'UNESCO, comme un élément essentiel de « l'une des campagnes de santé publique les plus triomphantes jamais menées dans le monde en développement ».
Cependant, depuis le début de la pandémie de COVID-19, les National Institutes of Health (NIH) et les autorités sanitaires affiliées ont vivement recommandé de ne pas utiliser l'ivermectine comme traitement potentiel du virus.
Bien que la Food and Drug Administration (FDA) ait approuvé l'utilisation de l'ivermectine chez l'homme pour le traitement des maladies causées par des parasites, elle a également insisté sur le fait que l'ivermectine « n'a pas été démontrée comme étant sûre ou efficace » pour le traitement du COVID-19.
Dans un message sur les médias sociaux qui est devenu viral, la FDA l'a étiqueté comme un médicament pour les chevaux et non adapté à la consommation humaine : « Tu n'es pas un cheval. Tu n'es pas une vache. Sérieusement, vous tous. Arrêtez ça. » !



Ce message a fait les gros titres et a été l'une des campagnes de médias sociaux les plus réussies de la FDA. Pourtant, les résultats des recherches semblent contredire les recommandations de l'organisme de santé publique.
De plus en plus de recherches montrent que l'ivermectine est un traitement essentiel pour le COVID-19.
De nombreux médecins ont fait l'éloge de ce médicament pour ses propriétés antiparasitaires, antivirales, antibactériennes, anti-inflammatoires, anticancéreuses et autophagiques à la fois larges et efficaces.
Début de l'histoire de l'antiparasitaire
L'ivermectine s'est fait connaître par ses avantages significatifs dans le traitement des infections parasitaires.
En 1973, Satoshi Omura et William C. Campbell, travaillant à l'Institut Kitasato de Tokyo, ont découvert un type inhabituel de bactéries Streptomyces dans le sol japonais près d'un terrain de golf.
Lors d'études en laboratoire, Omura et Campbell ont découvert que cette bactérie Streptomyces pouvait guérir des souris infectées par le ver rond Heligmosomoides polygyrus.
• Campbell a isolé les composés actifs de la bactérie, les nommant avermectines, et la bactérie a donc été appelée S. avermitilis.
Malgré des décennies de recherche dans le monde entier, les chercheurs n'ont pas encore trouvé d'autre micro-organisme capable de produire de l'avermectine.
C'est en changeant l'une des liaisons de l'avermectine par un processus chimique que l'on a produit l'ivermectine, qui s'est avérée efficace dans le traitement de l'onchocercose et de la filariose lymphatique, deux maladies débilitantes courantes dans le monde en développement.


Un portrait de William Campbell et une illustration décrivant ses travaux affichés sur un écran lors de la conférence de presse du prix Nobel de médecine 2015. William Campbell et Satoshi Omura ont remporté le prix Nobel de médecine pour leurs découvertes de traitements contre les parasites – l'avermectine, qui a été modifiée en Ivermectin. (JONATHAN NACKSTRAND/AFP via Getty Images)

Bien que ses vastes fonctions antiparasitaires ne soient pas bien comprises, on sait que l'ivermectine pénètre dans le système nerveux des parasites, interrompant l'action de leurs neurones, les désactivant et les tuant éventuellement.
Dans le cadre d'une campagne de dons lancée en 1988 par Merck & Co, Inc, le fabricant de l'ivermectine, le médicament a été utilisé en Afrique pour traiter la cécité des rivières. Également appelée onchocercose, la cécité des rivières est une maladie tropicale causée par le ver Onchocerca volvulus.
C'est la deuxième cause la plus fréquente de cécité infectieuse dans le monde.
Les vers d'Onchocerca se développent dans la peau d'un individu infecté (« l'hôte »). Après l'accouplement, les vers femelles peuvent libérer dans la peau de l'hôte jusqu'à 1000 microfilaires par jour ; les vers femelles vivent de 10 à 14 ans. La présence de ces vers peut entraîner des cicatrices dans les tissus et, lorsque les microfilaires envahissent l'œil, elle peut provoquer une déficience visuelle ou une perte totale de la vision.
L'Organisation mondiale de la santé estime que 18 millions de personnes sont infectées dans le monde et que 270 000 ont été rendues aveugles par l'onchocercose.
Lorsque Merck a distribué de l'ivermectine dans les zones les plus durement touchées par la maladie, le traitement a été bénéfique pour la santé générale des habitants et a entraîné une reprise économique.
L'ivermectine a remplacé les médicaments précédents qui avaient des effets secondaires dévastateurs.
« L'ivermectine s'est avérée être pratiquement conçue pour combattre l'onchocercose », a écrit Omura dans une étude qu'il a coécrite en 2011.
L'ivermectine s'est également avérée efficace contre la filariose lymphatique, connue sous le nom d'éléphantiasis.
Les vers parasites transmis par la piqûre d'un moustique infecté peuvent croître et se développer dans les vaisseaux lymphatiques, qui régulent l'équilibre hydrique du corps.
Lorsque certains vaisseaux sont bloqués, les zones concernées – généralement les jambes et les organes génitaux – peuvent gonfler, les jambes devenant des moignons semblables à des éléphants.
Dans le monde, plus de 120 millions de personnes sont infectées, dont 40 millions sont gravement handicapées ou défigurées.
L'Organisation mondiale de la santé a classé l'ivermectine parmi les médicaments essentiels et a conseillé à de nombreux pays de mener des campagnes annuelles pour débarrasser la population de ces parasites. De telles recommandations sont un témoignage solide de la sécurité de l'ivermectine.
Pour leurs travaux, notamment la découverte de l'avermectine, en 2015, Omura et Campbell faisaient partie des trois lauréats du prix Nobel de physiologie ou de médecine.
C'est un médicament indispensable pour le monde sous-développé, avec environ 3,7 milliards de doses administrées dans le cadre de campagnes mondiales au cours des 30 dernières années.
À ce jour, l'ivermectine reste un médicament de base dans les zones tropicales et un médicament essentiel dans le traitement de l'onchocercose, de la filariose lymphatique, de la strongyloïdose et de la gale.
Ivermectine et COVID-19
L'Analyses des études sur l'ivermectine ont constaté son efficacité en tant que prévention, traitement de la COVID-19 aiguë et dans les stades avancés de l'infection par le virus.
1. L'ivermectine en prophylaxie
La prophylaxie intervient dans les premières phases de l'infection par le COVID-19, qui est principalement asymptomatique, lorsque le virus se réplique pour augmenter sa charge virale et que les symptômes apparaissent après le pic de la charge virale.
• L'ivermectine peut être efficace dans les premiers stades de l'infection.
À l'extérieur des cellules, l'ivermectine peut se fixer à certaines parties du virus, l'immobiliser et l'empêcher de pénétrer dans les cellules humaines et de les infecter.
L'ivermectine peut également pénétrer dans la cellule pour empêcher le virus de se répliquer. Le SRAS-CoV-2 a besoin du mécanisme de réplication cellulaire pour produire davantage de virus ; l'ivermectine se fixe et bloque une protéine essentielle à ce processus, empêchant ainsi la production virale.
En outre, l'ivermectine peut être absorbée par la peau et stockée dans les cellules adipeuses pendant une longue période.
« Parce qu'il est liposoluble, il est stocké et libéré lentement, [donc] une fois que vous avez pris une dose prophylactique, et je pense que c'est comme la dose cumulative d'environ 400 mg, que votre risque de contracter le COVID est proche de zéro et que vous pouvez réellement l'arrêter pendant un certain temps », a déclaré le Dr Paul Marik, un spécialiste des soins intensifs ayant publié 500 articles évalués par des pairs, dans une interview accordée à The Epoch Times.


Le Dr Paul Marik à Kissimmee, en Floride, le 14 octobre 2022. (The Epoch Times)

Marik a cofondé la Front Line COVID-19 Critical Care Alliance (FLCCC), un groupe de médecins formé dans les premiers jours de la pandémie et dédié au traitement du COVID-19. Selon les interviews, de nombreux médecins du groupe ont traité avec succès le COVID-19 avec de l'ivermectine.
L'autre cofondateur de l'organisation, le Dr Pierre Kory, a écrit un livre sur l'utilisation et la controverse de l'ivermectine pendant la pandémie.
Le Dr Sabine Hazan, gastro-entérologue ayant 22 ans d'expérience en recherche clinique, a déclaré à The Epoch Times qu'elle conseillerait de n'utiliser l'ivermectine que pendant une courte période chez les patients critiques plutôt que d'en recommander l'utilisation à titre prophylactique.
L'utilisation continue de l'ivermectine, comme de tous les médicaments, peut rendre le corps dépendant du médicament au lieu de travailler pour se soigner.
2. L'ivermectine pour le COVID précoce et aigu
De nombreuses études évaluées par des pairs ont montré que l'ivermectine, utilisée seule ou en association avec d'autres traitements chez les patients symptomatiques, réduit la durée de ventilation, le temps de récupération et le risque d'évolution vers une maladie grave. (pdf 1, pdf 2, pdf 3)
Cela est probablement dû au rôle anti-inflammatoire de l'ivermectine dans de multiples voies, ce résultat est obtenu en éliminant les particules virales en les immobilisant, en réduisant l'inflammation et en améliorant l'action des mitochondries.
Supposons que la réplication virale précoce ne soit pas contrôlée et éliminée suffisamment tôt par le système immunitaire de l'organisme. Dans ce cas, l'infection peut devenir grave, voire hyperinflammatoire, ce qui peut entraîner des défaillances systémiques des organes.
L'ivermectine peut également interagir directement avec les voies immunitaires, supprimer l'inflammation et réduire les risques de développer un orage de cytokines.
Une tempête de cytokines se produit lorsque le système immunitaire est hyperactif et hyperinflammatoire. Bien que l'ivermectine puisse aider à éliminer le virus et ses particules, l'état inflammatoire des tissus et des organes peut souvent causer plus de dommages que le virus lui-même.
L'ivermectine améliore probablement aussi la santé intestinale, qui joue un rôle essentiel dans l'immunité en empêchant les bactéries et les virus d'infecter les personnes par l'intestin.
Dans une étude publiée, Mme Hazan a émis l'hypothèse que l'ivermectine aide les patients atteints de COVID-19 en augmentant les niveaux de bifidobactéries – une bactérie bénéfique – dans l'intestin.
En tant que PDG et fondatrice de son propre laboratoire de recherche en séquençage génétique, ProgenaBiome, Mme Hazan a remarqué que le taux de bifidobactéries dans ses selles augmentait après avoir pris de l'ivermectine. Les patients critiques du COVID n'avaient « aucune bifidobactérie », ce qui peut souvent être un signe de mauvaise santé.
Dans son étude évaluée par les pairs sur les patients hypoxiques, elle a observé que les patients du COVID dont le taux d'oxygène était faible en raison des tempêtes de cytokines dans leurs poumons s'amélioraient dans les heures suivant l'administration d'ivermectine.
« Quand les gens meurent du COVID, ils meurent à cause des cytokines – ils ne pouvaient plus respirer. C'est presque comme une réaction anaphylactique. Donc, lorsque vous leur donnez de l'ivermectine au moment où ils sont sur le point de s'effondrer, vous stimulez les bifidobactéries [et augmentez leur oxygène] », a déclaré Hazan.
Elle a expliqué que l'ivermectine est un produit fermenté de la bactérie Streptomyces. Les Streptomyces font partie du même groupe que les Bifidobactéries, ce qui peut expliquer pourquoi l'ivermectine stimule temporairement les Bifidobactéries.
L'ivermectine contribue également à la fonction mitochondriale. Lors d'un COVID-19 sévère, les patients présentent souvent des dysfonctionnements pulmonaires dus à l'inflammation des poumons, réduisant le flux d'oxygène. Cela peut provoquer un stress au niveau des mitochondries, entraînant une fatigue et, lorsqu'elle est grave, peut entraîner la mort des cellules et des tissus.
Il a été démontré que l'ivermectine augmente la production d'énergie, ce qui indique qu'elle est bénéfique pour les mitochondries.
En outre, l'ivermectine peut se lier à la protéine spike, une caractéristique structurelle distinctive du virus COVID qui joue un rôle crucial dans sa pathogenèse. En cas de maladie systémique, la protéine spike peut pénétrer dans la circulation sanguine et se lier aux globules rouges pour former des caillots sanguins. L'ivermectine peut empêcher la formation de caillots sanguins dans l'organisme.
3. L'ivermectine pour les COVID et les symptômes post-vaccinaux de longue durée
Le nombre d'études étayant l'utilisation de l'ivermectine pour traiter les symptômes du COVID et du vaccin post-COVID-19 est limité. Cependant, les médecins traitant ces affections ont observé des résultats positifs avec l'ivermectine.
Une étude argentine publiée en mars 2021 est la seule étude évaluée par des pairs évaluant l'ivermectine pour le COVID long.
Les chercheurs ont constaté que chez les patients qui présentaient de longs symptômes de COVID – dont la toux, le brouillard cérébral, les maux de tête et la fatigue – l'ivermectine soulageait leurs symptômes.
D'un point de vue mécanique, l'ivermectine peut améliorer l'autophagie. Ce processus est généralement désactivé pendant les infections par le COVID-19. En réactivant l'autophagie, l'ivermectine peut aider les cellules à éliminer les protéines virales résiduelles et à rétablir la stabilité de la cellule.
Comme le COVID-19 aigu et sévère, la protéine d'épi chronique déclenche une inflammation, et l'ivermectine peut réduire ces réponses en supprimant les voies inflammatoires et en diminuant les dommages aux tissus et aux vaisseaux sanguins.



L'évolution du message de santé publique sur l'ivermectine
La position du NIH sur l'ivermectine a changé plusieurs fois.
Au début de la pandémie, il y avait peu d'informations sur l'ivermectine comme traitement potentiel du virus.
La première étude mentionnant l'ivermectine comme traitement potentiel du COVID-19 provient d'Australie en avril 2020. Les chercheurs ont administré de l'ivermectine à des cellules rénales de singes infectés par le SRAS-CoV-2 en laboratoire et ont constaté que le médicament était bénéfique à très haute dose.
Cependant, les chercheurs ont conclu que des études supplémentaires étaient nécessaires. De nombreuses agences sanitaires, dont les NIH, les CDC et d'autres organismes mondiaux de réglementation sanitaire, ont conclu que l'ivermectine ne pouvait tuer le virus qu'à des niveaux toxiques.
Aujourd'hui encore, la déclaration du NIH sur l'ivermectine pour le COVID-19 se lit comme suit :
« Il a été démontré que l'ivermectine inhibe la réplication du SRAS-CoV-2 dans les cultures cellulaires. Cependant, les études pharmacocinétiques et pharmacodynamiques suggèrent que l'obtention des concentrations plasmatiques nécessaires à l'efficacité antivirale détectée in vitro nécessiterait l'administration de doses jusqu'à 100 fois supérieures à celles approuvées pour l'utilisation chez l'homme. »
En octobre 2020, la première étude clinique montrant les avantages de l'ivermectine a été publiée par la revue CHEST.
L'étude a révélé que l'ivermectine réduisait les taux de mortalité chez les patients atteints du COVID-19 et a suscité une attention immédiate.
L'auteur principal de l'étude, le Dr Jean-Jacques Rajter, est un médecin spécialisé en soins intensifs et en médecine pulmonaire.
Rajter a donné un témoignage (pdf) de ses conclusions à la commission sénatoriale de la sécurité intérieure et des affaires gouvernementales en décembre 2020.
Le lendemain du jour où il a pris connaissance de l'étude australienne, l'état de l'un de ses patients COVID s'est dramatiquement détérioré, passant d'une respiration normale à des niveaux d'oxygène ambiants à une intubation nécessaire.
Le fils du patient a supplié le Dr Rajter de sauver sa mère en utilisant toutes les options disponibles. Le Dr Rajter a reconnu que l'hydroxychloroquine serait inefficace dans les stades avancés du COVID. Après mûre réflexion, il a essayé l'ivermectine.
« Le patient s'est détérioré comme prévu pendant environ 12 heures supplémentaires, mais il s'est stabilisé au bout de 24 heures et s'est amélioré au bout de 48 heures. Après cela, deux autres patients ont eu des problèmes similaires et ont été traités avec le protocole à base d'ivermectine. D'après l'expérience, ces patients auraient dû avoir de mauvais résultats, mais ils ont tous survécu », peut-on lire dans le témoignage.
D'autres études cliniques ont été publiées, montrant les avantages de l'ivermectine en tant que traitement prophylactique. (pdf 1, pdf 2).
Ces résultats ont encouragé l'utilisation de l'ivermectine chez les médecins qui cherchaient désespérément à trouver un remède. Pendant ce temps, en octobre 2020, la recherche sur les vaccins COVID-19 et l'utilisation du remdesivir pour traiter le virus battait déjà son plein.
Selon la FDA, des critères spécifiques doivent être remplis pour que l'EUA (Emergency Use Authorization) soit accordée pour les vaccins et les médicaments, notamment qu'il n'existe « aucune alternative adéquate, approuvée et disponible. »
Certains médecins affirment que si l'utilisation de l'ivermectine pour le COVID avait été approuvée, cela aurait rendu les EUA pour les vaccins et le remdesivir caducs.
À la suite de l'étude australienne, la FDA publia une étude, « FAQ : COVID-19 et l'ivermectine destinée aux animaux », qui souligne l'utilisation de l'ivermectine chez les animaux et déconseille l'utilisation de l'ivermectine pour le COVID-19.
Le NIH a également découragé l'utilisation de l'ivermectine, bien que brièvement. Le 14 janvier 2021, le NIH a modifié sa déclaration, écrivant qu'il n'y avait pas de preuves pour recommander ou désapprouver l'utilisation de l'ivermectine. Cependant, en avril 2022, la déclaration a été modifiée pour désapprouver fortement l'utilisation de l'ivermectine.
« Nous [Marik, Kory et le Dr Andrew Hill, un virologue et consultant de l'OMS] avons eu une conférence avec le NIH en janvier 2021. Nous avons présenté nos données, et Andrew Hill a présenté les données qu'il avait faites... il y avait un certain nombre d'études à ce moment-là qui étaient très positives », a déclaré Marik.
Les autorités sanitaires sont allées trop loin !
Malgré la déclaration neutre du NIH sur l'ivermectine pendant la majeure partie de l'année 2021, la FDA a mené une campagne active contre l'utilisation de l'ivermectine chez les patients du COVID-19.
Le 26 août 2021, le CDC a envoyé un avertissement d'urgence contre l'utilisation de l'ivermectine ; quelques semaines plus tard, l'Association médicale américaine et les associations affiliées ont demandé l'arrêt de l'utilisation de l'ivermectine.
De nombreux médecins ont donc été découragés d'utiliser l'ivermectine, et les pharmacies ont refusé de la prescrire. 
Les agences de Santé Publique ont mis en garde contre l'utilisation de l'ivermectine, et les commissions médicales ont retiré les licences médicales des médecins qui prescrivaient de l'ivermectine, en invoquant la désinformation.
Pourtant, utiliser la déclaration de la FDA contre l'ivermectine pour interdire son utilisation dans les cas de COVID-19 serait considéré comme un excès.
Depuis que la FDA a approuvé l'ivermectin en 1996, ce qui a rendu le médicament acceptable pour une utilisation non autorisée.
« Le fait qu'il ne soit pas approuvé par la FDA pour le COVID n'est pas pertinent, car la FDA approuve l'utilisation de médicaments hors indication à la discrétion du clinicien », a déclaré Marik.
Un effet secondaire ironique des messages sur l'ivermectine est que les gens se sont soudainement retrouvés dans l'impossibilité d'accéder à l'ivermectine, et certains se sont tournés vers l'ivermectine de qualité vétérinaire.
Bien que l'ivermectine vétérinaire soit le même produit que l'ivermectine médicinale, les normes de fabrication ne sont pas les mêmes que pour les produits pharmaceutiques de qualité humaine.
Recherches et campagnes contradictoires
Bien que la recherche initiale en 2020 ait montré des résultats prometteurs pour l'ivermectine, les études publiées ont rapporté des résultats contradictoires l'année suivante. Le NIH a financé de nombreuses études sur l'efficacité de l'ivermectine, les plus récentes étant les suivantes ACTIV-6.
Les personnes peuvent participer à l'étude une fois qu'elles ont développé le COVID en choisissant l'ivermectine parmi quatre autres médicaments. Le médicament leur est envoyé par courrier.
Cette méthode signifie que certaines personnes participant à l'étude peuvent être guéries au moment où elles reçoivent l'ivermectine.
Il y a quelques controverses concernant cette étude.
La première est que les auteurs ont modifié les paramètres primaires au cours de l'étude, ce qui est fortement désapprouvé car cela peut affecter la validité et la fiabilité des résultats.
Initialement, le critère d'évaluation principal était le nombre de décès, d'hospitalisations et de symptômes signalés au jour 14.
Ce critère a été modifié pour devenir le nombre de décès, d'hospitalisations et de symptômes au 28ème jour. Dans l'étude publiée, un autre changement est intervenu, le critère d'évaluation étant la durée des symptômes du COVID-19.
Un examen rapide publié par le Massachusetts Institute of Technology (MIT) implique que les paramètres ont été modifiés parce que, au moment où l'étude a commencé, il y avait beaucoup moins de décès et d'hospitalisations ; par conséquent, il n'y aurait pas assez de données pour une comparaison fiable.
En effet, les données présentées lors du livestream ACTIV-6 ont montré que le groupe ivermectine n'a signalé qu'un seul décès ; ce décès ne serait pas considéré comme pertinent pour la recherche car le patient a été hospitalisé et est décédé avant de prendre de l'ivermectine.
D'autres mises en œuvre de l'étude ont également pu avoir un impact sur l'efficacité observée du médicament.
En moyenne, les participants à cette étude ont reçu un traitement six jours après avoir déclaré leurs premiers symptômes. Les patients devaient déclarer les symptômes admissibles et être testés positifs au COVID-19 avant de recevoir les médicaments. En raison de ce délai supplémentaire, environ sept pour cent des participants n'avaient aucun symptôme au moment de l'arrivée de l'ivermectine.
Malgré ces résultats négatifs pour l'ivermectine, il existe encore des preuves qui peuvent démontrer que l'ivermectine peut être utile dans le traitement du COVID-19.
Dans le résumé, les auteurs ont conclu que la prise d'ivermectine avait « une probabilité postérieure de bénéfice de 0,91 », ce qui est une autre façon d'écrire que l'ivermectine avait une probabilité de 91% d'être plus bénéfique que le placebo.
Le pourcentage de probabilité est inférieur à 95%, ce qui rend le bénéfice de l'ivermectine insignifiant.


Diapositives de la présentation de l'ACTIV-6 sur les résultats d'un critère secondaire statistiquement significatif.

Un autre critère secondaire a montré qu'au 14ème jour, l'ivermectine présentait déjà un bénéfice statistiquement significatif de 27% avec une probabilité d'efficacité de 98%.
La FDA et les NIH n'ont pas répondu à nos commentaires.
source : Géopolitique Profonde
#77
Fraudes d'ordre sanitaire / Rien ne justifie l’injection d...
Dernier message par Ouebmestre - 06 Décembre, 2022, 18:13:21
Rien ne justifie l'injection dangereuse des femmes enceintes ni des bébés



Refuser la marche forcée pour injecter petits et femmes enceintes par un médicament génique expérimental

par le Dr Nicole Delépine
En Californie, l'échec du gouvernement et des associations provax à faire vacciner les enfants malgré toutes leurs pressions et leur propagande nous réjouit. Le mythe covid commence à ne plus fonctionner, même dans les pires États comme la Californie ou New York qui réintègre et indemnise les suspendus, soignants et autres.
« Contrairement aux prévisions de Rochelle Walensky, directrice du centre de prévention et de lutte contre les maladies (CDC), il semblerait que la vaccination des enfants suscite peu d'engouement. À ce jour, près de 70% des enfants américains âgés de 5 à 11 ans ne sont toujours pas vaccinés. En Californie, l'Association médicale de Californie, l'Académie américaine de pédiatrie, l'Académie californienne des médecins de famille et la Coalition californienne pour l'immunisation ont demandé à tous les prestataires de services pédiatriques de recommander la vaccination contre le Covid-19 et la grippe pour protéger les enfants. Pourtant jusqu'à ce jour, aucun variant agressif pour les enfants n'est apparu. Aussi est-on en droit de s'interroger sur les raisons réelles de cette propagande pour la vaccination, qui soulève de nombreuses questions »1.
Des chiffres d'origine incertaine sans mise en perspective pour effrayer les parents : « Selon l'Association médicale de Californie et ses partenaires, même si les cas de Covid-19 grave sont rares chez les enfants, la maladie a causé 122 000 hospitalisations et 1500 décès aux États-Unis ». On aimerait connaître la source de ces données, car parmi les 0-17 ans, malgré de fortes incertitudes2 au 1/12/2022, le CDC recensait moins de 1000 décès attribués au covid3.



Pour illustrer le faible risque vital que courent les enfants avec le covid19, le Dr Daniel Rauch, chef du service pédiatrique au Tufts Children's Hospital de Boston prend en exemple la coupe du monde :
« Pensez-y en termes de stades de football : sur 100 000 enfants, l'un d'eux ne s'en sortira pas avec COVID. Tous les autres qui sont entrés vont sortir. »
De plus, on aimerait aussi vérifier les dossiers médicaux pour voir si ces petits sont morts malades du covid ou le plus souvent morts d'une autre cause avec seulement avec un test PCR positif comme la Société française de pédiatrie a pu le démontrer en France :
« Pour 21 décès avec une investigation qui a pu être menée à son terme, il a été retrouvé pour 17 enfants des comorbidités très sévères »... « dans certains cas, l'infection était de découverte fortuite et le décès était en lien avec un accident ou une autre pathologie ».
Enfin, ce chiffre étonnamment élevé de 50 morts d'enfants par mois brandi par l'association médicale de Californie doit être comparé aux autres causes de décès d'enfants aux USA : par arme à feu : 358 par mois4, par accident de la route : 325 par mois. La troisième cause de décès est la mort par surdose et empoisonnement et en 2021, le National Cancer Institute estime que 15 590 enfants et adolescents âgés de 0 à 19 ans ont souffert de cancer et que 1800 en sont morts5, permettant de chiffrer à 150 le nombre mensuel moyen de décès d'enfants par cancer.
Chacun avertit, mais il y a encore trop de sourds et aveugles au danger encouru par l'Humanité.
• IMPARDONNABLE – 125 enfants morts, 1000 handicapés et 50 000 lésés à cause de la vaccination Covid-19 aux USA au 3 juin 2022
« Les derniers chiffres publiés par les Centres américains de contrôle des maladies révèlent que 50 000 enfants ont été affectés par la vaccination contre le Covid-19 aux États-Unis. Malheureusement, 1112 de ces enfants ont souffert d'une complication mettant leur vie en danger ou d'un handicap permanent, tandis que 125 autres enfants ont malheureusement perdu la vie »6.
Les parents ouvrent les yeux7 et les mensonges accumulés sur l'injection Covid jettent le trouble sur les autres vaccins
16/11/2022
Dr McCullough8 explique à Robert Kennedy Jr9 que les parents sont beaucoup plus réticents à faire des vaccins depuis le « désastre de l'injection Covid19 » :
« On a ouvert la boîte de Pandore et les gens examinent tous les vaccins avec attention. Et nous comprenons le sens d'essais de contrôle appropriés. Nous voyons maintenant des vaccins administrés pour des maladies facilement traitables comme la coqueluche ou la diphtérie et nous assistons maintenant à une attaque incroyable ! Nous voyons maintenant des enfants recevoir plus de 17 injections. Quand j'étais petit, il n'y en avait que 3 ! Et il y a probablement eu une attribution inappropriée du succès de ces vaccins.
Ainsi, même certains des premiers succès jamais revendiqués par les vaccins sont probablement davantage attribuables à l'assainissement ou à d'autres formes de soins médicaux.
Donc, ce qui se passe maintenant, c'est qu'ils avaient l'habitude de recenser un taux de réticence à la vaccination ce qu'on appelle : « l'hésitation aux vaccins » aux États-Unis. Ce taux était d'environ 2,5% de la population avant. Actuellement, du fait des mensonges permanents constatés par la population, la confiance en la parole de l'état a fortement chuté et l'hésitation aux vaccins dépasse les 25%.
J'ai fait une excellente interview avec le Dr Sherri Tenpenny (https://www.tenpennyimc.com/sherri-tenpenny-bio) récemment.
Moi je suis un médecin entièrement vacciné et elle est un médecin entièrement non vacciné, elle n'a jamais pris un seul vaccin de sa vie !
Nous avions donc deux perspectives différentes, mais ce sur quoi nous nous sommes mis d'accord, c'est que les vaccins, comme toute thérapie médicale, méritent une réévaluation dans le temps.
Rien n'a de permanence, rien n'a de talisman, rien n'a une existence basée sur la foi. Tout a un état dans le temps. Les médicaments que nous utilisons maintenant ne sont pas les mêmes que ceux que nous utilisions l'année dernière. Et si les médicaments sont retirés, les vaccins devraient être retirés. Tout doit faire l'objet d'une évaluation critique.
Et la catastrophe du vaccin Covid-19 a ouvert la boîte de Pandore et maintenant, selon des estimations récentes, environ 30% des parents sont maintenant très préoccupés par l'ensemble du calendrier vaccinal. »10.



Voici un graphique intéressant sur les mortinaissances australiennes. Pourquoi y aurait-il un bond aussi astronomique des mortinaissances à partir de 2021-2022 ?
Aux USA, fausses couches et mortalité périnatale importantes
Même si VAERS est connu pour avoir supprimé de grandes quantités de données rapportées, celle-ci affiche encore suffisamment de chiffres pour susciter de sérieuses inquiétudes11.
VAERS COVID Vaccine Reproductive Health Related Reports



La duperie commence à être révélée : scoop !
Les remarques du Dr Bourla sur le vaccin des enfants étaient « honteusement trompeuses » et « de nature extrêmement promotionnelle »12.
Et la surmortalité globale augmente



Nos enfants meurent du vaccin covid
Les données recueillies dans 24 pays montrent le dépassement de surmortalité.
Dépassement du pic hebdomadaire des enfants de 0 à 14 ans :215 morts en 2020
Autorisation vaccinale des enfants de 12 à 5 ans de l'EMA.481 morts
2022 : Vaccinations et rappels des enfants+ de 807 mortsC'est un record absolu.
ET POURTANT pour les enfants de 0 à 14 ans, la probabilité de mourir du covid est très proche de zéro13.
Eudravigilance pour UE



EudraVigilance data updates
Data status 19/11/2022
EMA data update (Cf. z. data status 11/14/2022) :
→ 2,120,667 cases (+13,852)
→ 26,870 deaths (+32)
→ 610,753 serious adverse events (+3,248).
Affected children :
→ 40,567 cases (+242)
→ 243 deaths (+0)
→ 14,501 serious adverse events (+56)



Et si vous souhaitez écouter une vidéo sur les problèmes des fœtus :

Et globalement en UE effets toxiques des pseudovax anticovid comparés à ceux des effets des vaccins administrés en UE de 2010 à 2022 NOV :





Au niveau mondial, les données de mortalité de l'OMS montrent que l'épidémie est en voie d'extinction :



NE VACCINEZ NI LES ENFANTS,
NI LES FEMMES ENCEINTES,
NI TOUTE PERSONNE JEUNE OU VIEILLE QUE VOUS AIMEZ !
source : Docteur Nicole Delépine


#78
Fraudes d'ordre sanitaire / La corruption détruit la médec...
Dernier message par Ouebmestre - 06 Décembre, 2022, 17:55:58
La corruption détruit la médecine et la science



par le Dr Gérard Delépine
La corruption détruit la science, la médecine, le journalisme, la politique et menace la démocratie
« Un conflit d'intérêts naît d'une situation dans laquelle une personne employée par un organisme public ou privé possède, à titre privé, des intérêts qui pourraient influer ou paraître influer sur la manière dont elle s'acquitte de ses fonctions et des responsabilités qui lui ont été confiées par cet organisme ». (Service central de prévention de la corruption, Rapport 2004)
Depuis trente ans la mondialisation a permis l'émergence de très grandes entreprises mondiales qui utilisent leur puissance financière considérable pour créer des liens financiers et extra financiers avec les scientifiques, les fonctionnaires et les politiques pour favoriser leurs intérêts. Cette corruption croissante atteint un tel degré, et dans tant de domaines qu'elle menace la science, la médecine, l'information et la possibilité de s'exprimer et ainsi la démocratie.
Dans cette tribune, nous décrirons quelques dégâts de la corruption sur la science et la médecine, car la liste en est longue...
La corruption de la science menace les progrès de la connaissance
Les liens d'intérêts financiers entre les chercheurs, médecins et industrie sont extrêmement fréquents dans la recherche biomédicale. Les essais cliniques sont majoritairement initiés et financés par l'industrie et consistent principalement en des études pilotes privilégiant l'innovation plutôt que les études comparatives des médicaments nouveaux aux médicaments anciens qui ont prouvé leur efficacité1.
Il existe une hiérarchie des rétributions selon l'utilité des intervenants : quelques centaines d'euros pour un médecin, quelques milliers pour un investigateur qui inclue des malades dans un essai thérapeutique, quelques dizaines ou centaines de milliers pour le promoteur d'un essai important ou un leader d'opinion.
En France, un médecin peut être à la fois : chef de service hospitalier, professeur des universités et donc enseignant, consultant rémunéré par l'industrie pharmaceutique, membre d'une agence gouvernementale régulant le marché du médicament, interviewé par les médias sur les avantages et inconvénients d'un médicament en oubliant de préciser ses liens avec la firme qui le commercialise (acte contraire à la loi transparence-santé de 2011, mais que le conseil de l'ordre des médecins, qui en est légalement, chargé ne poursuit que très exceptionnellement)2.
Ce cumul des fonctions, caricature des conflits d'intérêts est extrêmement rentable. Des sommes de 10 000 euros par mois ne sont pas exceptionnelles et l'Inspection Générale des Affaires sociales a révélé qu'un leader d'opinion peut toucher plus de 600 000 euros pour un seul contrat de consultant, bien plus que son traitement annuel d'hospitalo-universitaire pendant 5 ans !
Selon les recherches effectuées par l'AFP sur Euros for Docs, près de 195 000 euros ont été déclarés par des industriels à la Pr Karine Lacombe, ce qu'elle a généralement omis de mentionner lors de ses prises de parole concernant les médicaments sur les plateaux TV alors que la loi transparence santé l'exige.
France Soir a établi un top 13 des « revenus récents versés par l'industrie pharmaceutique » à des médecins3 en vue :
Pr François Raffi4 de Nantes aurait touché 541 729 €, dont 52 812 € de Gilead.
Le Pr Jacques Reynes de Montpellier. 291 741 €, dont 48 006 € de Gilead et 64 493 € d'Abbvie.
Le Pr Jean Michel Molina co-auteur d'un article publié dans Médecine et Maladies Infectieuses, journal officiel de la SPILF, sur quelques cas, pour dire que l'hydroxychloroquine ne marche pas. 184 034 €, dont 26 950 € de Gilead et 22 864 € d'Abbvie.
Le Pr Gilbert Deray, néphrologue très présent sur les plateaux télé 160.649 €.
Le Pr Jean-Paul Stahl, de Grenoble. 100 358 €, dont 4552 € d'Abbvie. À noter que cette somme n'a pas été déclarée sur sa DPI et que Jean-Paul Stahl, rédacteur en chef du journal Médecine et Maladies Infectieuses a comparé le Plaquénil au papier toilette.
Le Pr Christian Chidiac, président de la Commission Maladies transmissibles du Haut Conseil de la Santé Publique qui a rendu le fameux avis interdisant l'hydroxychloroquine aurait touché 90 741 €, dont 16 563 € de Gilead.
Le Pr Bruno Hoen, de l'Institut Pasteur : 82 610 €, dont 52 012 € de Gilead. Qui a attaqué l'équipe de Marseille dans un courriel du 18 mars 2020, partagé avec tous les infectiologues.
Le Pr Pierre Tattevin, de Rennes, président de la SPILF : 79 956 €, dont 15 028 € de Gilead. Le Pr Vincent Le Moing de Montpellier. 68 435 €, dont 4776 € de Gilead et 9642 € d'Abbvie. Le Dr Alain Makinson de Montpellier. 63 873 €, dont 15 054 € de Gilead.
Pour la seule année 2018, Transparence CHU a montré5 que la base Transparence Santé liste plus de 2,5 millions de déclarations des entreprises représentant près de 1,36 milliard d'euros qui irriguent le système de santé français.
Aux USA, les sommes sont plus importantes et la psychiatrie est l'une des spécialités les plus corrompues. Ainsi entre 2000 et 2007, le Dr Biederman, psychiatre, a reçu au moins 1,6 million de dollars pour promouvoir l'utilisation de médicaments antipsychotiques pour les enfants, pour lesquels ils n'avaient pas été approuvés.
Deux de ses collègues ont reçu des montants similaires. Le Dr Alan F. Schatzberg, président du département de psychiatrie de Stanford et président de l'American Psychiatric Association contrôlait plus de 6 millions de dollars d'actions dans Corcept Therapeutics, une société qu'il a cofondée et qui teste la mifépristone comme traitement de la dépression psychotique, tout en étant le chercheur principal bénéficiaire d'une subvention de l'Institut national de la santé mentale qui comprenait des recherches sur la mifépristone pour cette utilisation et co-auteur de trois articles sur le sujet vantant les mérites de médicament abortif (RU-486).
Marianne a révélé6 que lors de la crise covid :
« Entre les déjeuners, les dîners, les hébergements à l'hôtel, les frais de transport et les honoraires, les industriels ont payé pour 449 389 euros d'avantages à neuf experts du conseil scientifique placé auprès d'Emmanuel Macron ainsi que du Comité analyse et expertise (Care) chargé de l'éclairer sur les questions purement scientifiques liées au Covid-19. »
De tous les membres du Conseil scientifique, c'est Yazdan Yazdanpanah, qui a touché 134 684 euros, suivi de Denis Malvy et Bruno Lina7.
Pour le médecin très lié aux labos les avantages ne s'arrêtent pas à l'argent, aux flatteries et aux beaux voyages et hôtels payés. Il bénéficie aussi habituellement d'une amplification de sa renommée par le réseau de communication rodé des labos, d'une aide à sa carrière académique, et d'une capacité accrue à obtenir des fonds de recherche. Les firmes assurent aux « leaders d'opinion » qu'elles choisissent, la reconnaissance professionnelle grâce à leur puissante logistique événementielle (congrès, symposiums, colloques, agences de presse), l'appartenance à un groupe « reconnu », l'acceptation des communications en congrès et des articles dans les grandes revues...
Ces conflits d'intérêts non financiers, plus difficilement mesurables, sont tout aussi responsables que les conflits financiers, en termes de dommages systémiques qu'ils causent à la science et ne paraissent pas correctement pris en compte en tant que risques dans le cadre de la recherche universitaire.
« Les chercheurs ayant des liens d'intérêts avec l'entreprise qui fabrique le produit étudié sont plus susceptibles d'arriver à des conclusions positives, que ce soit par le financement préférentiel des projets susceptibles de réussir, par la conceptionbiaisée de l'étude, par la minoration ou la suppression de résultats négatifs, ou d'une interprétation tendancieuse des résultats. La signature initiale d'un contrat limitant la liberté de publier du contractant en est le moyen le plus caché et le plus efficace du contrôle de la firme sur le consultant. »
Toutes les études comparant les résultats présentés par des auteurs liés aux firmes et ceux publiés par des auteurs indépendants démontrent que les premiers favorisent les produits ou appareils que produisent leurs sponsors. Le phénomène bien connu pour le tabac8, affecte tous les domaines de la médecine : traitement des cancers9, du glaucome10, le bronzage11, du diabète12, de l'hypertension, de l'hypercholestérolémie, des coronaropathies..., tous ceux où un candidat traitement pourrait ouvrir un marché prometteur.
Ces liens d'intérêts expliquent pourquoi la majorité des résultats de recherche publiés sont faux13 exagèrent l'utilité des nouveaux médicaments et dissimulent leurs toxicités.
Des auteurs du réseau Cochrane14 ont analysé des essais cliniques inclus dans des méta-analyses et prouvé que les essais cliniques financés par les firmes sont cinq fois plus favorables aux médicaments testés que ceux financés par des organismes indépendants des firmes.
Voir aussi le livre du Professeur Goetsche, un des fondateurs du réseau Cochrane :

Remèdes mortels et crime organisé

Et celui du PR Even :


Corruptions et crédulité en médecine : Stop aux statines et autres dangers



et le diaporama sur les molécules innovantes et le poids financier des firmes pharmaceutiques présenté à Gorcy en octobre 2019 molécules innovantes le poids de la finance oct 2019
Les sociétés savantes corrompues par l'industrie lui servent de porte-parole, voire de bras armé.
Aujourd'hui, beaucoup de sociétés autrefois savantes ne vivent plus des cotisations de leurs membres, mais essentiellement de la générosité des entreprises de leur spécialité. Les sommes allouées peuvent être considérables.
Aux États-Unis, la transparence plus grande permet de mieux les connaître15,16. Ainsi l'American Society of Clinical Oncology a bénéficié de 54 millions de dollars et l'American College of Cardiology, 21 millions de dollars. Des paiements importants, regroupant des frais de conseil, des rémunérations pour prise de parole, des redevances d'hospitalité ont également été versés aux dirigeants de la North American Spine Society pour 9,5 millions de dollars et de l'Orthopedic Trauma Association pour 4,7 millions.
En France le site transparence santé gouv, de consultation très difficile, ne permet pas d'obtenir le montant précis des sommes allouées aux sociétés savantes, car leur montant est le plus souvent affublé de la mention « non renseigné ».
L'exemple de la Société de pathologie infectieuse de langue française (Spilf), qui a porté plainte contre le professeur Raoult est démonstratif.
D'après son site cette société regrouperait 500 membres actifs dont le montant de la cotisation s'élève à 100 euros soit 50 000 euros annuels de ressources indépendantes des firmes. Elle en reçoit plus de 20 fois plus de l'industrie (Dont 800 000 euros de Gilead d'après M Wonner17 et plus 100 000 annuels de Pfizer).
L'application du proverbe « Dis-moi qui te paie, je te dirai qui tu es » permet de supposer que cette société aurait agi contre Didier Raoult comme le bras armé de ses sponsors et en l'occurrence de Gilead fabricant du Remdesivir. Car Gilead voulait empêcher l'utilisation de tout traitement ancien et bon marché tel que la chloroquine pour imposer son poulain Remdesivir qui lui a rapporté près de 2 milliards de dollars lors du seul 3ème trimestre 2021, alors qu'il est fortement déconseillé par l'OMS et que son l'utilisation sans consentement éclairé fait actuellement l'objet de plusieurs plaintes pénales aux USA18.



La plupart des autres sociétés savantes françaises dont nous avons analysé le financement se sont révélées extrêmement dépendantes de l'industrie qui représente leur principale source de financement. Lorsqu'elles traitent d'un produit rentable pour leurs partenaires industriels, les recommandations thérapeutiques qu'elles émettent reproduisent trop souvent la propagande des services de communication de ceux-ci sans grand égard pour les données scientifiques réelles.
La corruption des revues scientifiques et des médias les transforme en outils de propagande
Depuis l'arrivée d'Internet, les revues médicales jadis prestigieuses ont perdu un grand nombre d'abonnés et sont également devenues extrêmement dépendantes de l'industrie pharmaceutique qui les maintient en vie par les publicités de médicaments et des numéros spéciaux qu'elle leur commande pour vanter leurs produits.
Marcia Angell, l'ancienne rédactrice en chef du New England Journal of Medicine, a fait publiquement part de son écœurement19 :
« Il n'est tout simplement plus possible de croire une grande partie des publications de la recherche clinique, ni de compter sur le jugement des médecins expérimentés ou les directives médicales faisant autorité. Je ne prends aucun plaisir à formuler cette conclusion, à laquelle je suis parvenu lentement et à contrecœur lors de mes deux décennies passées au poste de rédacteur en chef du New England Journal of Medicine. »

La vérité sur les compagnies pharmaceutiques

Le Dr Richard Horton, rédacteur en chef du Lancet, a déclaré :
« Un nombre scandaleux de publications d'études sont au mieux, peu fiables, quand elles ne sont pas complètement mensongères, en plus de frauduleuses. »
Dr John Ioannidis avait précédemment regretté20 :
« Quelque chose est pourri dans l'état de la recherche biomédicale. Tous ceux qui travaillent dans ce domaine le savent à un certain niveau. Nous applaudissons les présentations de nos collègues lors de conférences, en espérant qu'ils nous feront preuve de la même courtoisie, mais nous savons dans notre cœur que la majorité, voire la grande majorité de nos affirmations en matière de recherche sont fausses. »
En Allemagne, la corruption des revues financées par l'industrie a été démontrée par Annette Becker, de l'université de Marburg en Allemagne, et ses collaborateurs après analyse des recommandations de prescription faites par onze revues allemandes dédiées à la Formation Médicale Continue. Les auteurs concluent que les recommandations visant à l'utilisation ou non d'un médicament dépendent de la source de financement des revues.
En France, en 2004 les firmes dépensaient en promotion 25 000 euros par an et par médecin d'après le rapport de l'IGAS. Elles consacraient plus d'un milliard d'euros par an aux visites médicales et 120 millions aux congrès.
Une étude du LEM21 estime qu'un euro supplémentaire investi dans la promotion des ventes auprès de l'ensemble des médecins libéraux d'une région pourrait rapporter un peu plus de 5,15 euros de ventes. L'effet est plus marqué pour les généralistes (1 euro supplémentaire rapportant 6,41 euros).
En outre, les laboratoires qui accordent les paiements les plus élevés (supérieurs au troisième quartile des paiements dans une région), augmentent significativement les montants de leurs ventes : +8% des ventes grâce à la promotion auprès des salariés, +22% grâce à celle auprès des spécialistes libéraux, par rapport à des laboratoires qui effectueraient une promotion de faible ampleur.
Pierre Frouard co-auteur d'une étude de l'Université Rennes 1 sur les prescriptions des médecins et leurs liens avec l'industrie rappelle que :
« Si ça n'était pas efficace, les firmes ne mettraient pas autant d'argent dans le lobbying ».
La formation continue des médecins, rendue obligatoire par la loi, est presque uniquement prise en charge par l'industrie pharmaceutique. Les médecins qui participent à ces sessions n'ont pas la possibilité d'entendre tous les points de vue, lors d'une formation supposée être libre de l'influence de l'industrie22. Ces formations réalisées, ou au moins sponsorisées par un laboratoire donnent droit à des points pour valider la formation continue obligatoire. Se faire acheter est devenu une obligation légale !
La corruption des agences sanitaires et des ministères menace la sécurité sanitaire de la population
L'ancien directeur de directeur de l'Agence de réglementation des médicaments et des produits alimentaires en Chine, Zheng Xiaoyu, qui avait rang de ministre, a été exécuté le 10 juillet 2007 pour corruption. Il avait été reconnu coupable d'avoir touché 6,4 millions de yuans (620 000 euros) de pots-de-vin d'entreprises pharmaceutiques.
En 1991, Le président de SmithKline Beecham, fabricant du vaccin anti-hépatite B, a avoué avoir donné à Francesco de Lorenzo, ministre italien de la Santé, 600 millions de lires quelques mois avant que ce dernier rende la vaccination obligatoire dans son pays. Francesco de Lorenzo a été condamné à plusieurs années de prison ferme. Paolo Cirino Pomicino, ancien ministre du Budget, et le Pr Duilio Poggiolini, membre influent des instances européennes du Médicament, ont été également condamnés dans des affaires similaires.
En 2011 un rapport de l'IGAS concluait :
« L'Afssaps, agence de sécurité sanitaire, se trouve à l'heure actuelle structurellement et culturellement dans une situation de conflit d'intérêt. »
Malgré quelques minimes efforts récents des agences pour améliorer leur transparence ou lutter contre les conflits d'intérêts, ceux-ci règnent toujours en maîtres.
Les procédures d'AMM23 facilitent les manipulations. Dans les pays démocratiques, les débats en justice sont publics et contradictoires. « À charge et à décharge ».
À l'inverse, les jugements actuels d'AMM sont secrets (ni le dossier d'AMM ni les débats ne sont publiés) et instruits uniquement par une partie (le laboratoire) dont personne ne remet les dires en doute. Dans tous les pays démocratiques, les juges sont payés par l'état et ne doivent en aucun cas avoir de lien quelconque avec l'une de parties qui se présentent devant eux « on ne peut pas être juge et partie ».
Dans la commission d'AMM, presque aucun expert n'est indépendant des laboratoires. Beaucoup en vivent et parfois très largement. Comment s'étonner alors de la facilité avec laquelle les médicaments soumis à la commission d'AMM sont déclarés « novateurs », « avec une balance efficacité/risque très positive » dont récemment les pseudo vaccins anti-covid pourtant manifestement incapables de prévenir d'attraper et de transmettre la maladie ni d'éviter les formes graves, comme le montre l'évolution de la mortalité covid publiée par l'OMS.



L'indépendance est également exceptionnelle dans la commission de fixation des prix et dans celle fixant le taux de remboursement.
Il en est de même pour la plupart de membres chargés de la pharmacovigilance dont la société scientifique est largement sponsorisée par l'industrie. Ces conflits d'intérêts expliquent en très grande partie les « incompréhensibles » défaillances du système de pharmacovigilance relevées par l'IGAS dans le scandale du Médiator.
L'AFSSAPS, agence chargée de délivrer les autorisations de mise sur le marché (AMM) aux médicaments et l'agence européenne (l'EMA) sont financées dans leur quasi-totalité par les firmes pharmaceutiques. Ceci est dénoncé par la commission d'enquête du Sénat sur le médicament, comme par la Cour des Comptes, qui use de la litote : « le mode de financement retenu n'est pas de nature à assurer l'indépendance de l'agence ».
Bernard Bégaud constate :
« C'est compliqué de considérer de façon très neutre une molécule alors que fondamentalement le choix aura une incidence (...) pas neutre sur quelqu'un qui, quelque part est un ami. »
et conclut :
« il ne devrait pas du tout être possible, quand on a travaillé dans un labo, d'aller dans une administration publique tout particulièrement dans une agence d'évaluation. »
Quand la science, certains médecins, les revues médicales, les agences sanitaires et l'OMS sont corrompus, c'est la santé de l'humanité toute entière qui est menacée.

source : Docteur Nicole Delépine


#79
Comparaisons internationales / L’Australie enregistre une bai...
Dernier message par Ouebmestre - 21 Novembre, 2022, 11:24:00
L'Australie enregistre une baisse de 63% des naissances après l'introduction des « vaccins » contre le coronavirus



Quelle sera l'excuse du gouvernement ?

par Olivier Demeulenaere
De nouvelles données publiées par le Bureau australien des statistiques (ABS) montrent que depuis le lancement des « vaccins » contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19), le taux de natalité en Australie a chuté de 63%.
D'octobre à novembre 2021, le nombre de naissances a diminué de 21% par rapport à la moyenne sur une période de 10 ans. De novembre à décembre 2021, soit un mois plus tard seulement, le nombre de naissances a diminué de 63%.
« Décembre était environ neuf mois après le lancement des vaccins COVID », note David James de LifeSiteNews, à propos de la période difficile entre la conception et la naissance. (Voir aussi : Taiwan a connu une chute similaire de 23% des naissances après le lancement de l'opération Warp Speed).
« Il est possible que certains de ces chiffres soient révisés, mais si la tendance se poursuit, l'Australie finira par avoir des maternités vides. Même les propagandistes qui dirigent les départements médiatiques du gouvernement, et les soi-disant journalistes qui imitent tout ce qu'ils disent, auront du mal à cacher ce problème. »
L'administration des produits thérapeutiques (la FDA australienne) a commis un meurtre de masse contre les citoyens
Il y a vraiment de fortes chances que personne dans la politique australienne, à l'exception peut-être de quelques individus « marginaux », ne dise un mot de ces données accablantes. C'est parce qu'elles exposent les vaccins contre la grippe de Fauci comme un outil de dépeuplement.
Si quelque chose est dit, il sera probablement tourné en utilisant le trope commun que « la corrélation n'est pas égale à la causalité », ce qui signifie que personne ne sait avec certitude si les vaccins sont responsables. Mais qu'est-ce que ça pourrait être d'autre ?
La seule chose qui a changé au début de l'année 2021, c'est que Donald Trump a pleinement lancé l'opération Warp Speed, libérant des milliards d'injections chimiques mystérieuses sur le monde. Et environ neuf mois plus tard, les taux de natalité dans le monde entier ont plongé.
Il y a au moins une personne anciennement au pouvoir, l'ancien sénateur fédéral George Christensen, qui s'est interrogée : « Est-ce que c'est la faute de la jab ? » Il a même écrit un article à ce sujet qui le mettra presque certainement dans la ligne de mire de la diffamation et de l'assassinat de personnage.
Naomi Wolf et une équipe d'enquêteurs ont identifié une longue liste de résultats négatifs associés aux vaccins, qui vont bien au-delà du simple échec de la reproduction. Ils comprennent :
  • Des problèmes de fertilité masculine affectant le sperme, la fonction de la prostate et donc la fertilité (la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a été informée à ce sujet le 1er avril 2021, ce qui n'a absolument rien donné).
  • Des problèmes de fertilité féminine, qui ont également été ignorés par les régulateurs fédéraux.
  • Des échographies montrant une inflammation et une calcification anormales chez les fœtus environ huit semaines après l'injection.
  • Des lésions péniennes dont Pfizer reconnaît l'existence dans ses propres documents internes
    Des fausses couches à un taux de 87,5%.
La Therapeutic Goods Administration (TGA), la version australienne de la FDA, a-t-elle pris la peine d'examiner tout cela lorsqu'elle a autorisé, approuvé, puis rendu obligatoires les vaccins contre la grippe de Fauci pour ses citoyens ? Si elle l'a fait, comment la TGA est-elle parvenue à la conclusion que ces vaccins sont sans danger pour tout le monde, et encore moins pour les femmes enceintes ?
Le Dr Luke McLindon, spécialiste de la fertilité, affirme avoir observé une augmentation massive des fausses couches chez ses propres patients après le lancement des vaccins. Avant l'opération Warp Speed, le taux de fausses couches chez les patients de McLindon était de 12 à 15%. Aujourd'hui, parmi ses patientes « vaccinées », il a atteint 74%.
« Ce dont nous avons besoin à ce stade, ce ne sont pas des réponses complètes, mais les bonnes questions », dit James. « Des questions que les médias ont honteusement omis de poser, puis, de manière encore plus scandaleuse, ont attaqué les autres pour les avoir posées. »
« Il faudra du temps pour répondre aux premières interrogations, mais elles doivent être posées : « Pourquoi la baisse du taux de fécondité se produit-elle ? Pourquoi le taux de mortalité en Australie a-t-il bondi ? Pourquoi l'âge moyen de décès par Covid est-il identique à l'espérance de vie en Australie ? » »

Vous voulez en savoir plus sur les dangers et l'inefficacité des injections de Covid ?
Vous pouvez le faire sur le site VaccineDamage.news.

Image twitter



source : Olivier Demeulenaere
#80
Fraudes scientifiques / Autisme et vaccination : la fi...
Dernier message par Ouebmestre - 14 Novembre, 2022, 00:48:56
Autisme et vaccination : la fin de quel mythe au juste ?

par Hypatie (son site)
lundi 7 novembre 2022

Et s'il suffisait de lire les études scientifiques de ces 15 dernières années pour comprendre les causes de l'autisme ? Les troubles autistiques engendrent souvent de la souffrance, de la pauvreté et des inégalités, et ce dans une partie grandissante de la population. Les enfants lourdement handicapés par ce fléau sont les moins visibles mais existent bel et bien. Aux USA la flambée des coûts de l'autisme deviendra dès 2025 la première dépense du budget (devant l'armée) avec 1000 milliards de dollars. [1] Et pourtant, malgré ces implications gigantesques à court mais surtout à long terme, l'évolution des connaissances scientifiques dans le domaine ne semble intéresser personne...



Les chercheurs savent ce qui provoque l'autisme... pas vous ?

Les sites dédiés à l'autisme laissent perplexe : officiellement, on ne sait toujours pas clairement ce qui cause l'autisme. Si tout le monde s'accorde pour considérer qu'il s'agit d'un trouble précoce du neurodéveloppement, probablement multifactoriel, personne ne semble lire la littérature scientifique sur le sujet.

Un exemple, le dernier communiqué de presse de l'INSERM dédié à l'autisme et titré « où en est la recherche » [1b] ne dit pas un mot des découvertes fondamentales de ces 15 dernières années sur les causes de l'autisme.

L'institution affirme (sans preuve) que l'origine des troubles serait « largement génétique  » et qu'il « n'existe à l'heure actuelle aucun traitement » [1c]. C'est quand même bizarre. Il y a des troubles, comme ça, qui impactent des millions d'enfants de façon dramatique [2] – la prévalence mondiale se situe officiellement entre 1 et 2% pour l'autisme seul – et pourtant, on serait incapable d'en déterminer clairement la cause...

Sauf si on a l'idée saugrenue de lire la littérature scientifique. Car la recherche avance, malgré tout. Elle a même fait d'énormes découvertes ces quinze dernières années. L'équipe du Dr Crépeaux nous offre aujourd'hui une revue [3] complète de cette littérature scientifique, afin de nous permettre d'avoir une vue globale des avancées dans le domaine des causes de l'autisme.

On peut affirmer qu'on sait quels sont les mécanismes en jeu dans l'apparition des troubles du neurodéveloppement. Et pourtant, l'information ne parvient pas au grand public.

Mais est-ce si étonnant quand on comprend les implications cataclysmiques de ces découvertes ?

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Prévalence de l'autisme aux USA [2]

En France, on estime à 5 % les troubles du neurodéveloppement, et 1 % pour l'autisme [2b]

La clé de l'énigme : le système immunitaire
1 – Un système encore très mal connu

À en croire les articles grand public sur le sujet, le système immunitaire ne serait qu'un ensemble de « gentils policiers » chargés de poursuivre « les vilains pathogènes ». Il n'est question que de contrôle, de défense, d'attaque et d'entraînement.

Une « machine de guerre » dont chaque rouage n'aurait plus aucun secret à dévoiler... Il n'en est rien. Le système immunitaire est une galaxie inexplorée dont on aperçoit à peine quelques étoiles [4].
C'est ainsi, par exemple, qu'on a découvert que le système immunitaire joue un rôle crucial dans le développement et le bon fonctionnement du système nerveux ou du système cardiaque [5]. Et donc, du système immunitaire dépend le meilleur... comme le pire, pour le développement de l'organisme [6].
Quelle importance, me direz-vous ? Eh bien, ça change tout ! Absolument tout, et on va voir ça en détail concernant le système immunitaire du cerveau.

2 – Il est temps de parler de système Neuro-Immun

Le système immunitaire est présent dans tout l'organisme, dans un état de vigilance non active. Lors d'un stimulus immunitaire (blessure, choc, infection, agression chimique, dysfonctionnement de cellules, vaccination...) ce système va réagir : on parle d'activation immunitaire. Cette activation se traduit notamment par la libération de cytokines, des molécules produites par les cellules du système immunitaire qui communiquent, amplifient ou inhibent la réponse immunitaire. Jusqu'ici, on est d'accord.
Mais il y a un hic.

Ce que le grand public ne sait pas, probablement par manque de diffusion de la connaissance, c'est que ces cytokines jouent également un rôle fondamental dans le développement du cerveau [7]. Elles sont nécessaires à chaque étape de sa maturation.

En clair, les mêmes molécules conditionnent le système immunitaire et le système nerveux [8].
Le dogme actuel considère que le système nerveux (dont le cerveau) et le système immunitaire sont complètement séparés. Cette croyance est aujourd'hui obsolète, nous savons qu'ils sont interconnectés. Les spécialistes parlent de système neuro-immun [9]. Activer le système immunitaire n'est donc pas si anodin, surtout à certains stades sensibles du développement. Cela peut avoir des répercussions bien plus importantes qu'on ne le croit.

Voyons ce qu'il en est pour le cerveau en développement.

Activations immunitaires cérébrales précoces

On sait depuis longtemps que le développement du cerveau peut être perturbé par une activation immunitaire précoce [10] et plus précisément par les cytokines générées en cas d'inflammation, qui semblent jouer un rôle clé dans l'apparition des troubles autistiques [11]. Ce mécanisme a fait l'objet de nombreuses études depuis plus de quinze ans, à la fois chez la souris, le singe et l'humain [12].
Les cytokines sont les messagers entre les cellules du corps : même produites à distance du cerveau [13], elles peuvent traverser la barrière hémato-encéphalique qui protège le cerveau. Cette barrière est immature chez le nourrisson, plus poreuse que celle de l'adulte. Les cytokines peuvent y activer le système immunitaire cérébral qu'on appelle la microglie (les macrophages du système nerveux central). On parle alors d'inflammation cérébrale.

Or, ces cellules microgliales jouent un rôle fondamental dans la construction du cerveau [14] : la concentration en cytokines est critique pour un développement optimal. Une perturbation à ce niveau et c'est la microglie qui s'emballe, causant des troubles dans le développement du cerveau [15].

Plus l'activation immunitaire dure longtemps, plus elle est forte, plus elle est répétée dans le temps... plus le risque de troubles neurodéveloppementaux, dont l'autisme, est grand [16].

Le timing de l'inflammation cérébrale, en fonction du stade de développement, joue un rôle fondamental [17].

1 - Activation Immunitaire Maternelle (MIA)

Un modèle animal a été mis en place depuis 2006 pour étudier l'apparition des troubles du neurodéveloppement. L'idée est d'activer le système immunitaire de la femelle gestante par des injections de produits réactifs non-infectieux [18]. On peut citer les travaux essentiels de l'équipe du Pr Patterson de la prestigieuse Caltech aux USA, qui a mis en évidence ce mécanisme et qui a étudié les répercussions neurologiques de ces injections sur la progéniture [19]. Les résultats étaient si impressionnants que, dès 2006, le Pr Patterson tirait le signal d'alarme au sujet de la vaccination des femmes enceintes :

Citation« Et que fait un vaccin ? Il active le système immunitaire. C'est le BUT de la vaccination. (...) Je pense que la vaccination universelle des femmes enceintes pourrait nous causer toute une série de problèmes » [20].

Leurs recherches, confirmées par d'autres équipes depuis, ont démontré un lien de causalité entre les cytokines pro-inflammatoires IL-6 et IL-17 et l'apparition de troubles autistiques chez la souris, mais aussi chez le singe [21], ainsi que de nombreux troubles associés à l'autisme (dysbiose intestinale, dysfonctionnement des mitochondries, inflammation cérébrale chronique, auto-immunité...) [22]. Chez l'homme, on retrouve des taux élevés de ces cytokines inflammatoires dans le liquide céphalo-rachidien de patients autistes, ainsi qu'une inflammation cérébrale chronique [23] (activation immunitaire permanente du cerveau).

2- Le « Multiple Hit »

Si une simple activation immunitaire, comme une grippe en cours de grossesse, suffisait à rendre un nourrisson autiste, il est évident que l'histoire de l'humanité aurait été bien différente... Des études récentes ont permis d'approfondir la compréhension du mécanisme en jeu : on observe que l'activation de la microglie, par les cytokines, se fait de façon progressive.

La microglie peut en quelque sorte encaisser un certain nombre de stimuli immunitaires, jusqu'à un certain point [24]. Elle s'amorce progressivement avant de s'activer pleinement : on parle d'un modèle de « multiple hit » (« coups successifs ») [25].

Une exposition à des toxiques environnementaux, une inflammation chronique ou une vaccination pendant la grossesse peuvent servir de « premier hit », capable d'amorcer la microglie, la plaçant dans un état de vigilance accrue : on parle d'amorçage. [26] Notons qu'il existe évidemment des susceptibilités génétiques, le fait que l'enfant soit un garçon étant la plus évidente – car les femelles seraient « moins inflammatoires » que les mâles [27].

Avec un deuxième voire troisième stimulus immunitaire, la microglie va s'activer pleinement. Une fois activée, elle va à son tour sécréter des cytokines pro-inflammatoires dont IL-17 et IL-6 [28] considérée comme nécessaire et suffisante pour causer l'autisme [29]. C'est un cercle vicieux : l'activation immunitaire devient chronique et délétère pour le système nerveux central (comme dans les maladies auto-immunes...) [30].

Une étude de 2015 [31] souligne :

Citation« ... tous les facteurs qui modifient le nombre ou l'état d'activation de la microglie, soit in utero ou pendant la période post-natale précoce, peuvent affecter profondément le développement neuronal, entraînant ainsi des troubles neurodéveloppementaux dont l'autisme. »

Concrètement, un nourrisson mâle dont la maman aurait un trouble chronique, ou serait vaccinée ou en contact avec des polluants persistants, peut avoir une microglie amorcée in utero, donc prête à s'activer au prochain stimulus immunitaire y compris après la naissance...

3- Activation Immunitaire Post-natale

Mais le plus intéressant, si je puis dire, c'est que les recherches récentes mettent en évidence que cet « amorçage », qui peut se faire in utero via « l'Activation Immunitaire Maternelle », peut également se produire après la naissance. Une étude de la Harvard Medical School [32] a testé toutes ces possibilités par des injections pro-inflammatoires non-infectieuses pré et post-natales. Voici sa conclusion :

Citation« Dans la plupart des cas, les effets les plus dramatiques ont été obtenus avec le « double hit » (activation immunitaire de la mère et activation immunitaire post-natale) »
et
Citation« L'activation immunitaire post-natale semble être suffisante pour produire les trois caractéristiques principales de l'autisme ».

Déjà en 2018, l'équipe tentait de tirer le signal d'alarme [33], soulignant dans le résumé d'introduction :

Citation« L'activation du système immunitaire pendant le développement pré-natal et post-natal précoce peut contribuer au développement de l'autisme ».

Notez bien, car c'est d'une importance cruciale : toutes ces études ont été réalisées par injection de substances réactives en l'absence d'infection, autrement dit, la présence d'un virus ou d'une bactérie n'est pas nécessaire pour activer le système immunitaire. L'activation immunitaire est bien plus durable (plusieurs mois) en présence de pro-inflammatoires persistants, comme un adjuvant vaccinal, qui s'élimine très lentement du corps et dont le rôle est précisément d'activer le système immunitaire durablement [33b].

Le rôle de la vaccination dans les troubles du neurodéveloppement

Les vaccinations ont lieu pendant les années cruciales du développement cérébral. La formation des neurones, des cellules gliales, des synapses ou des gaines de myéline commence pendant la grossesse et se poursuit pendant des années après la naissance. Toutes ces étapes peuvent être impactées par une surproduction de la cytokine IL-6 [34] (en particulier la formation des synapses, zones de contact fonctionnel entre les neurones).

Il est donc théoriquement possible qu'un vaccin puisse impacter le développement cérébral. Voyons en pratique.

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Les vaccinations ont lieu pendant des phases cruciales du développement cérébral [35] (calendrier vaccinal états-unien, proche du français)

1. L'histoire emblématique du vaccin DTCoq

La suspicion du lien entre vaccination et inflammation du cerveau (et donc perturbation de son développement) ne date pas d'hier. Le premier signal d'alarme sur le sujet remonte aux années 70, exactement au moment où les vaccins à l'aluminium ont remplacé leurs versions non-adjuvées [36].

Le fameux DTCoq (pour Diphtérie, Tétanos, Coqueluche contenant de l'aluminium, dénommé DTP en anglais) devient alors en quelques années le vaccin du scandale, accusé de provoquer des dommages cérébraux [37] et la mort subite de nourrissons [38].

Or, la formule du DTCoq a été modifiée au début des années 70, pour permettre une production à plus grande échelle : l'ajout de l'adjuvant aluminique a permis de produire beaucoup plus de vaccins à partir de la même quantité d'antigènes. Comme souvent, le choix des industriels s'impose au grand public sans consentement et sans précaution. Mais devant le grand nombre de plaintes déposées, les grands laboratoires voient fondre leurs bénéfices : la situation n'est pas tenable.

Les industriels prennent le problème en main :

– Ils envoient ces vaccins « impopulaires », mais très rentables, en Afrique (où ils font encore des ravages [39]).
– Ils modifient la formule du DTCoq (qu'ils recombinent dans les penta puis les hexavalents) et affirment que maintenant tout va beaucoup mieux...
– Ils testent la sécurité de ces vaccins à l'aluminium contre des groupes contrôles qui reçoivent également de l'aluminium et non un placebo inerte, pourtant pierre angulaire de la « médecine basée sur les faits ». Cela empêche la détection des effets indésirables. [39b]

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Extrait du film « Des vaccins et des hommes », diffusé sur Arte le 18 octobre 2022

– Ils obtiennent l'immunité légale via l'obligation vaccinale et le "Vaccine Injury Act" de 1986 [40], afin de ne plus être inquiétés par les réclamations intempestives du public : c'est la collectivité qui paiera les « très très rares » accidents vaccinaux désormais...

Il en découle que les systèmes de pharmacovigilance publics sont placés dans une situation impossible : leur mission est à la fois de promouvoir la vaccination, donc de rassurer le public... et de surveiller les signaux d'alarme, donc d'alerter le public. Toute suspicion d'effet indésirable grave contredirait frontalement leur mission de promotion de la vaccination et leur croyance inconditionnelle en leur bénéfice. Ce paradoxe crée une dissonance cognitive qui inhibe toute réflexion critique (de facto impensable) et maintient ces systèmes dans des protocoles passifs, complexes et obsolètes, dans l'incapacité factuelle de détecter quoi que ce soit de gênant [41].

2. Les preuves en faveur de l'absence de lien entre autisme et vaccinations
Aujourd'hui, si nous allons sur le site de la plus grande agence sanitaire américaine, celui du Centers for Disease Control [41b] qui sert de référence à toutes les agences du monde, il existe une page entière consacrée à la question. Le titre de la page est on ne peut plus clair.



Traduction : Les vaccins ne causent pas l'autisme. Certaines personnes craignent que les Troubles du Spectre Autistique (TSA) soient liés aux vaccins que reçoivent les enfants, mais des études ont montré qu'il n'y a aucun lien entre le fait de recevoir des vaccins et le développement de TSA. L'Académie Nationale de Médecine, anciennement connue sous le nom d'Institute of Medicine, a examiné la sécurité de 8 vaccins administrés à des enfants et à des adultes. L'examen a révélé qu'à de rares exceptions près, ces vaccins sont très sûrs.

Cliquons sur le lien qui permet aux CDC d'affirmer que les vaccins ne causent pas l'autisme. Il s'agit d'une revue de la littérature scientifique, réalisée par l'Académie Nationale de Médecine américaine en 2012, concernant la causalité des vaccins dans l'apparition de nombreux effets indésirables. Cette revue est classée vaccin par vaccin. L'autisme a été étudié en rapport avec les vaccins DTCoq et ROR uniquement. Pour les vaccins Diphtérie Tétanos Coqueluche (vaccin à l'aluminium), on peut lire p. 546 :



Conclusion 10.6 : Les preuves sont insuffisantes pour accepter ou rejeter une relation de cause à effet entre le vaccin contenant l'anatoxine diphtérique, l'anatoxine tétanique ou la coqueluche acellulaire et l'autisme.

Notons que cette conclusion est la même pour les 135 effets indésirables étudiés, pour tous les vaccins : sclérose en plaques, névrite optique, mort subite du nourrisson mais aussi pour les encéphalites et encéphalopathies, autrement dit, les inflammations du cerveau, dont on sait aujourd'hui qu'elles peuvent conduire à des troubles du neurodéveloppement.

En clair, l'Académie conclut en 2012 qu'elle ne peut pas conclure...

Sauf concernant le lien entre l'autisme et le vaccin Rougeole-Oreillon-Rubéole, le seul vaccin pédiatrique à avoir bénéficié d'études épidémiologiques, mais surtout le seul à ne pas contenir d'aluminium. Les études sont donc systématiquement biaisées, puisqu'elles comparent des groupes d'enfants vaccinés à l'aluminium et au ROR... à des enfants vaccinés à l'aluminium sans ROR. Donc sans groupe contrôle d'enfants non vaccinés, ni même d'enfants vaccinés sans aluminium.

Il est fallacieux, dans ces conditions, de conclure que « les vaccins » ne causent pas l'autisme, puisqu'un seul d'entre eux a bénéficié de quelques recherches.

Mais peut-être que la sécurité des adjuvants aluminiques a été établie séparément ? Il n'en est rien malheureusement, bien au contraire. Pour ceux qui souhaitent aller plus loin, je vous renvoie aux travaux sur ce point précis. [41c]

3. Les études épidémiologiques en faveur du lien entre autisme et vaccinations

Il existe des études indépendantes de l'industrie qui se sont penchées sur la question du lien entre autisme et vaccins au pluriel. Malheureusement, leurs résultats sont si inquiétants qu'elles étaient jusqu'à maintenant très difficiles à accepter psychologiquement en l'absence de plausibilité biologique. La plupart de ces études ont été vivement attaquées, voire censurées [42].

Parmi toutes ces études, un exemple très concret : le Dr Paul Thomas, pédiatre vaccinateur pratiquant le consentement éclairé des parents, a fait analyser les données de sa patientèle (3 344 enfants) par un cabinet de statistique indépendant. Il a découvert que dans son cabinet, dans le groupe non vacciné, 1 enfant sur 715 était autiste. Dans le groupe partiellement vacciné (selon le choix des parents), 1 enfant sur 440 était autiste. Dans le même temps, le CDC donne officiellement une prévalence nationale d'autisme d'1 enfant sur 36. Le simple fait de retarder la vaccination et de ne pas respecter toutes les recommandations fait baisser la prévalence de 1200 % !

Au vu des connaissances actuelles sur le système neuro-immun et le développement cérébral, ces résultats ne devraient plus nous étonner. Même si l'on refuse de considérer ces études comme des signaux d'alarme, il est absolument certain que le lien entre les vaccins et les troubles du neurodéveloppement doit être étudié à grande échelle, sans tabou. Et avec de vrais groupes placebo.
Il n'en est rien et aujourd'hui, on ne peut que constater l'explosion des troubles du neurodéveloppement dans la population. Parallèlement à la multiplication du nombre d'injections, on note également la dégradation de notre environnement, progressivement envahi par la chimie synthétique [42b] et les métaux toxiques.

4. Environnement toxique et vaccins : un cocktail explosif

Il est certain que les systèmes immunitaires des femmes enceintes sont aujourd'hui sollicités en permanence pour gérer la pollution, un stress ou une maladie chronique. Il y a fort à parier qu'une majorité d'enfants naissent avec une microglie au moins en partie amorcée.
Dans ce contexte délétère, augmenter le nombre de stimulations immunitaires (le nombre de vaccinations obligatoires ou recommandées), aux vues de nos connaissances actuelles sur le développement cérébral, peut logiquement conduire à une explosion des troubles du neurodéveloppement.
Alors qu'il y a encore quelques années, le corps de la femme enceinte était considéré à juste titre comme intouchable, les autorités sanitaires recommandent désormais aux femmes enceintes de plus en plus de vaccins (certains contenant de l'aluminium, dont on sait qu'il peut traverser le placenta [43]).

Aucune étude portant sur la vaccination de la femme enceinte ne s'intéresse à l'impact de la vaccination sur le développement neurologique de l'enfant.

Ce n'est pourtant pas faute d'avoir vingt années de recherche disponibles sur un neurotoxique avéré...

5. Adjuvants aluminiques : une catastrophe neurologique

On le sait aujourd'hui, les particules d'aluminium injectées dans le muscle sont phagocytées par les macrophages du système immunitaire et peuvent migrer dans tout l'organisme (y compris le cerveau) [44]. Ces particules peuvent nuire au développement neurologique de plusieurs façons différentes.

Neurotoxique et très persistant

L'aluminium est un neurotoxique avéré, il existe des doses hebdomadaires officielles de sécurité à respecter, doses malheureusement dépassées pour les nourrissons la première année de vie [44b]. Quand il est injecté dans le muscle sous forme de particules, l'adjuvant aluminique est particulièrement biopersistant (il n'est pas éliminé facilement de l'organisme) dans le but de provoquer une stimulation immunitaire de longue durée... ce qui est un danger pour le développement du système nerveux central du nourrisson [45].

Pro-inflammatoire même à distance

On sait qu'une vaccination adjuvée à l'aluminium peut provoquer la sécrétion de la cytokine IL-6 dans le cerveau de rats nouveau-nés [46]. Et on l'a vu, IL-6 est « nécessaire et suffisante » pour causer des troubles du neurodéveloppement [47].

Une étude de UC Davis [48] a observé qu'une simple injection d'adjuvant aluminique (seul ou dans un vaccin) chez le jeune rat causait une augmentation d'IL-6 dans le cerveau.

En clair, l'aluminium n'a même pas besoin d'entrer dans le cerveau : en déclenchant une inflammation dans le muscle, au site d'injection périphérique, il peut activer durablement la microglie cérébrale, via la sécrétion de cytokines (en particulier IL-6) [49].

Mais ce n'est pas tout...

Cette toxicité à court terme est renforcée par une toxicité retardée, due à la pénétration cérébrale des adjuvants aluminiques, qui peuvent traverser la barrière hémato-encéphalique en cas d'inflammation ou chez le nourrisson dont la barrière est immature.

Certains produits contenus dans les vaccins pédiatriques, comme le polysorbate 80, sont utilisés en médecine pour améliorer la porosité de la barrière hémato-encéphalique afin de faciliter l'accès au cerveau d'un médicament par exemple [50]. La présence de cet additif ne peut que renforcer la pénétration cérébrale de l'aluminium, observée chez l'animal et dans les cerveaux humains. [50b]

Le fait que la vaccination puisse provoquer une inflammation cérébrale, donc une augmentation du niveau de cytokines pro-inflammatoires, est aujourd'hui bien documenté, une revue sur ce sujet précis existe. [51]

Un autre facteur représentant un danger pour le développement neurologique est finalement la fréquence des injections : plus le système immunitaire est stimulé en intensité, en durée, mais aussi de façon répétée, plus la microglie a de chance de s'activer pleinement.

En clair, dans le contexte actuel, la microglie des nourrissons est mise à rude épreuve de façon systématique. Rien n'est fait pour lui permettre de fonctionner sainement : un environnement pollué, des activations immunitaires précoces et fréquentes, des croyances médicales obsolètes, des connaissances scientifiques ignorées... quand elles ne sont pas censurées [52].

Il paraît très réaliste que cet « effet cocktail » détonnant provoque ce nombre impressionnant de troubles du neurodéveloppement chez les plus vulnérables (1 à 2 % de la population mondiale est autiste, et ces chiffres continuent d'augmenter).

Car, si je devais résumer de façon provocante, je dirais qu'au vu des connaissances scientifiques actuelles, on voudrait causer ces troubles, on ne s'y prendrait pas autrement.

Vaccination de la femme enceinte

Pour finir, faisons un petit point sur la vaccination chez la femme enceinte. Je passe sur le « vaccin » anti-covid qui a déjà fait couler beaucoup d'encre [53].

Depuis avril 2022, la HAS recommande la vaccination des femmes enceintes contre la coqueluche à chaque grossesse (même si la femme a été vaccinée peu de temps avant la grossesse) afin de protéger les nouveau-nés et les nourrissons de moins de six mois [54]. Les vaccins recommandés sont généralement des tétravalents (Diphtérie Tétanos Coqueluche Polio) à l'aluminium.

Que sait-on de la sécurité de cette vaccination ? Sans grande surprise, pas grand-chose. Les études financées par les grands labos [55] sont rassurantes puisque tous les effets indésirables sont considérés comme non relatifs à la vaccination. Les bébés, eux, n'ont été observés que pendant un mois... et bien sûr, la question de leur développement neurologique n'a effleuré personne... Rappelons que l'âge moyen du diagnostic d'autisme est de 50 mois. [56]

Mais alors, que sait-on de l'efficacité de ce procédé : vacciner la mère pour protéger l'enfant ? C'est là que ça se complique. Les labos nous disent qu'un transfert des anticorps anticoquelucheux maternels s'opère chez le nouveau-né. Peut-on réellement en conclure que l'enfant est mieux protégé contre la maladie ? Rien n'est moins sûr : de façon générale, la vaccination contre la coqueluche a été décriée dans la communauté scientifique ces dernières années, accusée d'être trop peu efficace [57]. Une étude de 2017 [58] conclut même que les enfants vaccinés seront plus sensibles à la coqueluche, tout au long de leur vie.

Mais le plus perturbant, c'est que les chercheurs (en lien avec l'industrie) semblent avoir décelé une potentielle interférence entre les anticorps de la mère et ceux de l'enfant vacciné, comme en témoigne cet échange entre la Pr Helen Petousis-Harris, vaccinologue membre du GAVSC de l'OMS, et Stanley Plotkin, surnommé le « parrain des vaccins », probablement l'une des plus grandes sommités dans le domaine.



Dans ce mail datant du 17 juillet 2019, Mme Petousis-Harris explique que, dans deux études de cohorte qu'ils viennent de réaliser, les enfants nés de mères vaccinées pendant la grossesse sont plus sensibles à la coqueluche, une fois vaccinés à six semaines.

On dirait bien un exemple de « facilitation de l'infection par les vaccins », comme on l'a vu entre autres pour le vaccin contre la dengue [59]. La vaccination des mères semble donc nuire à l'enfant, y compris en termes de protection contre la coqueluche : une forte concentration d'anticorps ne signifie pas que l'enfant est protégé. Peut-être même le contraire.

Mais ce qui est très étrange, c'est que le jour même, Mme Petousis-Harris envoyait pour publication cette étude de cohorte [60] dont elle parle... et qui ne mentionne absolument rien concernant ce « petit » problème de facilitation de l'infection...

Le grand public n'a de toute évidence pas besoin de savoir.

Avant de conclure...

Je ne peux pas m'empêcher d'y penser... Si un vaccin peut causer une activation microgliale et que celle-ci devient hors de contrôle... cette inflammation cérébrale ne pourrait-elle pas conduire aux signes cliniques observés chez les enfants victimes du « syndrome du bébé secoué » sans qu'il y ait le moindre choc [61] ? Que penser alors de tous ces cas d'assistantes maternelles [62], bien évidemment formées au danger de secouer un bébé, et autres parents accusés d'avoir maltraité leurs enfants... et si une vaccination pouvait être responsable de ces lésions cérébrales ? [63]

Conclusion

Cet article tente de synthétiser et de vulgariser l'état des lieux des connaissances scientifiques actuelles concernant les activations immunitaires précoces et leurs effets sur le développement cérébral, cause la plus propable de troubles du neurodéveloppement. La revue du Dr Crépeaux sur ce sujet est accessible, traduite en français : elle réunit toutes les études publiées à ce jour dans de grandes revues scientifiques à comités de lecture, par des équipes d'universités de renommées internationales.

Les observations et les expériences réalisées ont été reproduites et confirmées à plusieurs reprises, ces 15 dernières années. Les pièces de ce puzzle s'assemblent de façon cohérente et offrent une explication concrète aux observations du réel (notamment aux témoignages des parents). Il est maintenant grand temps de diffuser ces connaissances fondamentales qui remettent en question ce que l'on croit savoir du développement neurologique et du système immunitaire.

Les chercheurs avancent à tâtons dans le noir, avec lenteur, pour faire la lumière dans ce domaine. Ces découvertes qui nous éclairent sur le système neuro-immun et les causes des troubles du neurodéveloppement, la grande majorité des médecins les ignorent, et cela a des répercussions dramatiques pour des millions de familles et pour l'humanité dans son ensemble.

Malheureusement, les agences sanitaires sont tenues de remplir leur fonction de promotion des vaccins et ne peuvent donc tenir compte que de la science allant dans l'intérêt de la vaccination, science fournie par les industriels [64]. C'est ce que l'on nomme la « science réglementaire ».

Cette science-là est vivement critiquée par les agnotologues, les chercheurs qui étudient « la fabrique de l'ignorance » [65] et décortiquent les stratégies des grands industriels (des cigarettiers, faisant appel aux médecins pour attester de l'innocuité de la cigarette, jusqu'à l'absence de vrais placebos dans les essais cliniques). C'est pourquoi ces informations de première importance mettent plus longtemps à parvenir au grand public.

Vous qui avez désormais accès à ces connaissances, ne les laissez pas s'éteindre dans l'obscurantisme actuel. Tout le monde a le droit de savoir quel risque il prend pour son enfant mais aussi pour la collectivité qui devra supporter le coût d'un handicap ou d'un trouble chronique, en cas d'effet indésirable. La lumière sur ces faits ne peut qu'avancer, et chacun à un rôle à jouer dans cette transmission. Cela prendra un an ou des siècles, la vérité éclate toujours. Mais à quel prix ? La nocivité de la cigarette a mis plus d'un siècle à être reconnue, doit-on atteindre aussi longtemps ? Peut-on surtout se le permettre ?

En écrivant cet article, j'ai tenté de rendre accessibles ces informations complexes. C'est à chacun d'entre nous de jouer, maintenant. C'est à nous d'écrire notre histoire.

À retenir :

– Le système immunitaire est bien plus complexe et méconnu que ce que le grand public croit.
– Les systèmes immunitaires et nerveux (entre autres) sont interconnectés : les mêmes molécules conditionnent les deux systèmes.
– Une très solide littérature démontre qu'activer de façon précoce le système immunitaire peut troubler le développement cérébral et nerveux du nourrisson.
– L'intensité, la durée et la fréquence des activations immunitaires sont des facteurs de risque, le tout en fonction du stade de développement du nourrisson.
– La vaccination a pour but d'activer le système immunitaire : pratiquée pendant la grossesse ou au début de la vie, elle peut impacter le développement neurologique du nourrisson (en particulier chez les garçons).
– Les adjuvants aluminiques sont conçus pour booster les vaccins et activent de manière répétée, plus fortement et plus durablement le système immunitaire. Ils sont donc un facteur supplémentaire de trouble, de façon immédiate ou retardée.



[1] Autism Tsunami : the Impact of Rising Prevalence on the Societal Cost of Autism in the United States
https://link.springer.com/article/10.1007/s10803-021-05120-7
[1b] https://presse.inserm.fr/en/troubles-du-spectre-de-lautisme-ou-en-est-la-recherche/45446/
[1c] L'autisme peut se soigner, j'en ai personnellement été témoin : mon filleul a régressé à l'âge de deux ans. Diagnostiqué autiste sévère (perte du contact visuel, du langage, troubles gastriques...) à l'âge de 4 ans, il a été soigné par des traitements naturels pendant plusieurs années. Il est aujourd'hui diagnostiqué "seulement" Asperger et mène une vie d'adolescent normal. Il est considéré comme guéri.
[2] L'augmentation des cas d'autisme est exponentielle aux USA (le pays qui tient les comptes les plus précis) : aucun changement de critères de diagnostics ni aucune origine génétique ne peuvent expliquer une telle explosion des cas en si peu de temps. Pour en savoir plus :
https://tobyrogers.substack.com/p/the-political-economy-of-autism
https://michel.delorgeril.info/autisme/une-tragedie-neurologique-chez-les-enfants-aux-usa-les-troubles-autistiques/
[2b] https://handicap.gouv.fr/la-strategie-nationale-autisme-et-troubles-du-neuro-developpement
[3] Angrand 2022 Inflammation and Autophagy : A Convergent Point between Autism Spectrum Disorder (ASD)-Related Genetic and Environmental Factors : Focus on Aluminum Adjuvants – PubMed (nih.gov)

- Version Française : https://www.vaccinssansaluminium.org/wp-content/uploads/2022/09/2022.08-Angrand-et-al-in-Toxics-Inflammation-autophagie-TSA-et-Al.pdf
[4] Sattler 2017 The Role of the Immune System Beyond the Fight Against Infection – PubMed (nih.gov)
[5] Shamim Rahman 2017 https://link.springer.com/chapter/10.1007/978-3-319-57613-8₇
Swirski 2018 https://www.nature.com/articles/s41577-018-0065-8
[6] Steffens 2022 Immune cells in cardiac homeostasis and disease : emerging insights from novel technologies – PubMed (nih.gov)
[7] Deverman et Patterson 2009 Cytokines and CNS development – PubMed (nih.gov)
Mousa 2013 Role of cytokine signaling during nervous system development – PubMed (nih.gov)
[8] Bilbo 2018 Beyond infection – Maternal immune activation by environmental factors, microglial development, and relevance for autism spectrum disorders – PubMed (nih.gov)
[9] Lukens 2022 An introduction to neuroimmunology – PubMed (nih.gov)
[10] Ciaranello et al., 1995 https://www.annualreviews.org/doi/10.1146/annurev.ne.18.030195.000533
[11] Meyer 2009 https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/19442688/
Deverman et Patterson 2009 Cytokines and CNS development – PubMed (nih.gov)
Estes et McAllister, 2016 Maternal immune activation : Implications for neuropsychiatric disorders – PubMed (nih.gov)
Knuesel 2014, Maternal immune activation and abnormal brain development across CNS disorders – PubMed (nih.gov)
Careaga 2017 Maternal Immune Activation and Autism Spectrum Disorder : From Rodents to Nonhuman and Human Primates – PubMed (nih.gov)
Meyer 2014 Prenatal poly(i:C) exposure and other developmental immune activation models in rodent systems – PubMed (nih.gov)
[12] Estes et McAllister, 2016 Maternal immune activation : Implications for neuropsychiatric disorders – PubMed (nih.gov)
Knuesel 2014, Maternal immune activation and abnormal brain development across CNS disorders – PubMed (nih.gov)
Weir 2015 Preliminary evidence of neuropathology in nonhuman primates prenatally exposed to maternal immune activation – PubMed (nih.gov)
Estes 2015 Immune mediators in the brain and peripheral tissues in autism spectrum disorder – PubMed (nih.gov)
Goines et al, 2012 Cytokine dysregulation in autism spectrum disorders (ASD) : possible role of the environment – PubMed (nih.gov)
Gottfried 2015 Frontiers | The Impact of Neuroimmune Alterations in Autism Spectrum Disorder (frontiersin.org)
Magdalon 2020 Complement System in Brain Architecture and Neurodevelopmental Disorders – PubMed (nih.gov)
Westacott 2022 Complement Dependent Synaptic Reorganisation During Critical Periods of Brain Development and Risk for Psychiatric Disorder – PubMed (nih.gov)
[13] Wendeln 2018 Innate immune memory in the brain shapes neurological disease hallmarks | Nature
Li 2015 Neonatal vaccination with bacillus Calmette-Guérin and hepatitis B vaccines modulates hippocampal synaptic plasticity in rats – PubMed (nih.gov)
On sait depuis quelques années qu'il suffit d'une activation immunitaire n'importe où dans l'organisme pour activer la microglie du cerveau de façon durable (au moins 6 mois... c'est beaucoup pour une souris ! avec un impact. Pour en savoir plus : Hep-B and BCG Vaccines Affect Brain Development By Immune Activation vaccinepapers.org
[14] Thion 2020 Microglial ontogeny, diversity and neurodevelopmental functions – PubMed (nih.gov) /
[15] Bilbo 2018 Beyond infection – Maternal immune activation by environmental factors, microglial development, and relevance for autism spectrum disorders – PubMed (nih.gov)
Perry 2002 Atypical inflammation in the central nervous system in prion... : Current Opinion in Neurology (lww.com)
Komada 2022 Epigenetics and Neuroinflammation Associated With Neurodevelopmental Disorders : A Microglial Perspective – PubMed (nih.gov)
[16] Jones 2017 Autism with intellectual disability is associated with increased levels of maternal cytokines and chemokines during gestation – PubMed (nih.gov)
Zerbo 2014 Neonatal cytokines and chemokines and risk of Autism Spectrum Disorder : the Early Markers for Autism (EMA) study : a case-control study – PubMed (nih.gov)
[17] Meyer 2006 The time of prenatal immune challenge determines the specificity of inflammation-mediated brain and behavioral pathology – PubMed (nih.gov)
[18] Poly-IC et LPS (lipopolysaccharide), activateurs non-infectieux du système immunitaire, utilisés en recherche pour « activer » le système immunitaire. Les papiers Wendeln 2018, Li 2015 ou Bruce 2019 utilisent de vrais vaccins, avec les mêmes résultats (activation immunitaire cérébrale).
[19] Malkova 2012 Maternal immune activation yields offspring displaying mouse versions of the three core symptoms of autism – PubMed (nih.gov) Et bien d'autres...
[20] http://vaccinepapers.org/wp-content/uploads/Pregnancy-Immunity-Schizophrenia-and-Autism-Patterson.pdf
[21] Voir note XI
[22] Labouesse 2015, Long-term pathological consequences of prenatal infection : beyond brain disorders – PubMed (nih.gov)
Zager 2015 Maternal immune activation in late gestation increases neuroinflammation and aggravates experimental autoimmune encephalomyelitis in the offspring – PubMed (nih.gov)
Shi, Patterson et al, 2009, Activation of the maternal immune system alters cerebellar development in the offspring – PubMed (nih.gov)
Giulivi et al, 2013, Gestational exposure to a viral mimetic poly(i:C) results in long-lasting changes in mitochondrial function by leucocytes in the adult offspring – PubMed (nih.gov)
Garay et al, 2012 Maternal immune activation causes age- and region-specific changes in brain cytokines in offspring throughout development – PubMed (nih.gov)
Hsaio et al, 2013, Microbiota modulate behavioral and physiological abnormalities associated with neurodevelopmental disorders – PubMed (nih.gov)
[23] Etude clé : Vargas 2005, (citée 711 fois sur pubmed... c'est énorme) Neuroglial activation and neuroinflammation in the brain of patients with autism – PubMed (nih.gov)
[24] Carlezon 2019 Maternal and early postnatal immune activation produce sex-specific effects on autism-like behaviors and neuroimmune function in mice – PubMed (nih.gov)
[25] Grova 2019 Epigenetic and Neurological Impairments Associated with Early Life Exposure to Persistent Organic Pollutants – PubMed (nih.gov)
Daskalakis 2013 The three-hit concept of vulnerability and resilience : toward understanding adaptation to early-life adversity outcome – PubMed (nih.gov)
[26] Bilbo 2018 Beyond infection – Maternal immune activation by environmental factors, microglial development, and relevance for autism spectrum disorders – PubMed (nih.gov)
[27] « Nos découvertes suggèrent que l'activation du système immunitaire durant des périodes critiques du développement est suffisante pour produire des altérations permanentes dans le comportement et la biologie du cerveau – même en l'absence de vulnérabilité génétique ou de lésion – et que les femelles peuvent mettre en place des réponses anti-inflammatoires qui peuvent expliquer la sévérité réduite de ce phénotype chez les souris de ce sexe »
Carlezon 2019 Maternal and early postnatal immune activation produce sex-specific effects on autism-like behaviors and neuroimmune function in mice – PubMed (nih.gov)
Est-ce que cette différente gestion de l'inflammation expliquerait la différence de longévité entre les hommes et les femmes ?
[28] Wei 2013 Brain IL-6 and autism – PubMed (nih.gov)
Takano 2015 Role of Microglia in Autism : Recent Advances – PubMed (nih.gov)
Akintunde 2015 Increased production of IL-17 in children with autism spectrum disorders and co-morbid asthma – PubMed (nih.gov)
Al-Ayadhi 2012 Elevated serum levels of interleukin-17A in children with autism – PubMed (nih.gov)
Suzuki 2011 Plasma cytokine profiles in subjects with high-functioning autism spectrum disorders – PubMed (nih.gov)
Pour en savoir plus : New Kid On The Block : IL-17a vaccinepapers.org
[29] Pineda 2013 Maternal immune activation promotes hippocampal kindling epileptogenesis in mice. – Abstract – Europe PMC – voir figure 6
Smith 2007 Maternal immune activation alters fetal brain development through interleukin-6 – PubMed (nih.gov) : en bloquant IL-6, la MIA ne provoque pas de troubles chez le nourrisson.
[30] Voir références 53-60 de Angrand 2022 Inflammation and Autophagy : A Convergent Point between Autism Spectrum Disorder (ASD)-Related Genetic and Environmental Factors : Focus on Aluminum Adjuvants – PubMed (nih.gov)
[31] Takano 2015 Role of Microglia in Autism : Recent Advances – PubMed (nih.gov)
[32] Carlezon 2019 Maternal and early postnatal immune activation produce sex-specific effects on autism-like behaviors and neuroimmune function in mice – PubMed (nih.gov)
[33] Li 2018 Maternal and Early Postnatal Immune Activation Produce Dissociable Effects on Neurotransmission in mPFC-Amygdala Circuits – PubMed (nih.gov)
[33b] Masson 2022 Clearance, biodistribution, and neuromodulatory effects of aluminum-based adjuvants. Systematic review and meta-analysis : what do we learn from animal studies ? - PubMed (nih.gov)
[34] Wei 2011 IL-6 is increased in the cerebellum of autistic brain and alters neural cell adhesion, migration and synaptic formation – PubMed (nih.gov)
[35]Semple 2013 Brain development in rodents and humans : Identifying benchmarks of maturation and vulnerability to injury across species – PubMed (nih.gov)
[36] Pour en savoir plus : https://alutotal.org/2020/02/21/pourquoi-de-laluminium-dans-les-vaccins/
[37] Stewart 1977 Vaccination against whooping-cough. Efficacy versus risks – PubMed (nih.gov)
[38] Hoffman 1987 Diphtheria-tetanus-pertussis immunization and sudden infant death : results of the National Institute of Child Health and Human Development Cooperative Epidemiological Study of Sudden Infant Death Syndrome risk factors – PubMed (nih.gov)
[39] Travaux du Pr Peter Aaby : Evidence of Increase in Mortality After the Introduction of Diphtheria-Tetanus-Pertussis Vaccine to Children Aged 6-35 Months in Guinea-Bissau : A Time for Reflection ? – PubMed (nih.gov)
qu'il expose en vidéo : https://www.scientificfreedom.dk/lectures/
[39b] Pour en savoir plus sur le scandale de l'absence de placebo dans les études cliniques :
https://www.xavier-bazin.fr/si-vous-croyez-en-la-science-des-vaccins-lisez-ceci-vous-verrez-que-ledifice-vaccinal-est-construit-sur-du-sable
et
https://www.agoravox.fr/actualites/sante/article/dangers-des-adjuvants-aluminiques-216943 note 14. La vidéo a été censurée en février 2022, elle est visible sur le site : alutotal.org. L'utilisation de « placebos » à l'aluminium est dénoncée depuis des années par Chris Exley ou Peter Götszche (de l'association Cochrane) et a fait l'objet de plusieurs publications comme celle-ci : https://ebm.bmj.com/content/25/6/213
[40] https://en.wikipedia.org/wiki/National_Childhood_Vaccine_Injury_Act
[41] https://www.aimsib.org/2021/10/30/vaccination-de-masse-et-logique-sacrificielle/
[41b] https://www.cdc.gov/vaccinesafety/concerns/autism.html
[41c] analyse critique des études de références : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/29307441/
Vulgarisé ici : https://alutotal.org/2020/01/30/alu/ et dans une vidéo complète sur le sujet : L'Alu Total : https://crowdbunker.com/v/tZPxGEzRe7
[42] Gallagher 2007 https://www.tandfonline.com/doi/abs/10.1080/02772240701806501?journalCode=gtec20
Gallagher 2010 https://www.tandfonline.com/doi/abs/10.1080/15287394.2010.519317
Tomljenovic 2011 https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/22099159/
Mawson 2017a :https://www.oatext.com/Pilot-comparative-study-on-the-health-of-vaccinated-and-unvaccinated-6-to-12-year-old-U-S-children.php
Mawson 2017b : https://www.oatext.com/Preterm-birth-vaccination-and-neurodevelopmental-disorders-a-cross-sectional-study-of-6-to-12-year-old-vaccinated-and-unvaccinated-children.php
Hooker et Miller : https://journals.sagepub.com/doi/10.1177/2050312120925344
Thomas et Lyons-Weiler (rétractée au motif que les conclusions de l'étude ne sont pas étayées par des données scientifiques solides...) : https://www.mdpi.com/1660-4601/17/22/8674/htm
Pour une Revue sur le sujet : Boretti 2021 Reviewing the association between aluminum adjuvants in the vaccines and autism spectrum disorder - PubMed (nih.gov)
[42b] Un exemple parmi d'autres : impact de la fluorisation de l'eau sur le développement neurologique https://jamanetwork.com/journals/jamapediatrics/fullarticle/2748634
[43] Références 236 à 239 de Angrand 2022
[44] Revue complète par l'équipe du Dr Crépeaux : Masson 2022 Clearance, biodistribution, and neuromodulatory effects of aluminum-based adjuvants. Systematic review and meta-analysis : what do we learn from animal studies ? – PubMed (nih.gov)
[44b] Pour en savoir plus : https://alutotal.org/2020/01/30/alu/
Etude du spécialiste mondial de l'aluminium sur le sujet : Exley 2020, An Aluminium Adjuvant in a vaccine is an acute exposure to aluminium
[45] Références 123, 145 à 147 de Angrand 2022
[46] Li 2015 Neonatal vaccination with bacillus Calmette-Guérin and hepatitis B vaccines modulates hippocampal synaptic plasticity in rats – PubMed (nih.gov)
[47] IL-6 affecte la migration et l'adhésion des neurones, ainsi que la synaptogénèse (Wei 2011 https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/21595886/ ). Elle produit plus de synapses excitatrices, et moins de synapses inhibitrices (Wei 2012a https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/22326556/ ) ce qui explique l'extrême sensibilité sensorielle de certains autistes.
[48] Bruce 2019 Acute peripheral immune activation alters cytokine expression and glial activation in the early postnatal rat brain – PubMed (nih.gov)
Et Li 2015 (injection de l'hépatite B qui contient de l'aluminium) Neonatal vaccination with bacillus Calmette-Guérin and hepatitis B vaccines modulates hippocampal synaptic plasticity in rats – PubMed (nih.gov)
[49] Même l'aluminium soluble peut déclencher IL-6 dans des organes distants, voir références 189, 192 à 198 de Angrand 2022
[50] Le Polysorbate 80 aide les médicaments à traverser la BHE : Pardridge 2022, A Historical Review of Brain Drug Delivery : https://www.mdpi.com/1999-4923/14/6/1283/htm https://www.theses.fr/2015AIXM5076.pdf
[50b] Des taux d'aluminium très élevés ont été retrouvés dans des cerveaux de personnes autistes : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/29413113/
Les études animales observent également la pénétration de l'aluminium dans le cerveau :
Flarend 1997 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/9302736/
Khan 2013 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/23557144/
Crépeaux 2017 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/27908630/
Weisser 2019 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/31522239/
[51] https://childrenshealthdefense.org/wp-content/uploads/Giannotta-2018-Vaccines-and-neuroinflammation-.pdf
Notons que même le site du laboratoire Merck (MSD) le signale, cela fait partie des effets indésirables classiques : https://www.msdmanuals.com/fr/accueil/troubles-du-cerveau,-de-la-moelle-épinière-et-des-nerfs/infections-cérébrales/encéphalite
[52] https://www.aimsib.org/2021/03/07/autopsie-assassinat-scientifique/
[53] https://www.aimsib.org/2022/05/08/vacciner-les-femmes-enceintes-est-une-folie-absolue/
[54] https://solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/qr_professionnels_coqueluche_28062022.pdf
[55] Perret 2020 Immunogenicity, transplacental transfer of pertussis antibodies and safety following pertussis immunization during pregnancy : Evidence from a randomized, placebo-controlled trial – PubMed (nih.gov)
[56] Analysis of the 2000 to 2018 autism and developmental disabilities monitoring network surveillance reports : Implications for primary care clinicians – PubMed (nih.gov)
[57] The 112-Year Odyssey of Pertussis and Pertussis Vaccines-Mistakes Made and Implications for the Future – PubMed (nih.gov)
[58] https://www.bu.edu/sph/news/articles/2017/resurgence-of-whooping-cough-may-owe-to-vaccines-inability-to-prevent-infections
[59] Antibody-Dependent Enhancement : A Challenge for Developing a Safe Dengue Vaccine
https://www.aimsib.org/2022/10/02/explications-biologiques-du-mecanisme-des-effets-indesirables-des-vaccins-anti-covid-19/
[60] Petousis-Harris 2019 A Retrospective Cohort Study of Safety Outcomes in New Zealand Infants Exposed to Tdap Vaccine in Utero – PubMed (nih.gov)
[61] Edlmann 2017 Pathophysiology of chronic subdural haematoma : inflammation, angiogenesis and implications for pharmacotherapy – PubMed (nih.gov)
[62] https://www.ouest-france.fr/normandie/val-au-perche-61260/val-au-perche-syndrome-du-bebe-secoue-la-nounou-devant-la-justice-a1feebd6-34e2-11ed-919d-c96701fa2e2f
https://www.ledauphine.com/faits-divers-justice/2022/09/22/proces-de-la-nounou-le-syndrome-du-bebe-secoue-conteste-par-la-defense
https://www.leprogres.fr/faits-divers-justice/2022/09/14/bebe-secoue-une-assistante-maternelle-condamnee-a-six-ans-de-prison
et bien d'autres... voir l'association Adikia
[63] http://ddata.over-blog.com/xxxyyy/3/27/09/71/2012-2013/Bebe-secoue—vaccins-_Sylvie-Simon_.pdf
[64] Pour en savoir plus, je vous conseille la lecture de Lobbytomie de Stéphanie Horel, Les Gardiens de la raison de Stéphane Foucart, Stéphane Horel, Sylvain Laurens, Notre poison quotidien de Marie-Monique Robin...
[65] La fabrique de l'ignorance, documentaire d'Arte : https://www.youtube.com/watch?v=NEdeRB1OnEE

https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/autisme-et-vaccination-la-fin-d-un-244814