Pourquoi les effets secondaires des vaccins n’ont-ils pas été étudiés sur les an

Démarré par Ouebmestre, 10 Octobre, 2021, 12:37:24

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Ouebmestre

Pourquoi les effets secondaires des vaccins n'ont-ils pas été étudiés sur les animaux ?

par Patrice Gibertie.
Source : https://reseauinternational.net/pourquoi-les-effets-secondaires-des-vaccins-nont-ils-pas-ete-etudies-sur-les-animaux/

Peut-on concevoir une vaccination, de fait obligatoire, si toutes les précautions n'ont pas été prises avant l'autorisation. En 2020 Shibo Jiang (professeur de virologie à la School of Basic Medical Sciences, Fudan University, Shanghai, Chine, et au New York Blood Center, New York, États-Unis.) avertissait : « Mon inquiétude est que cela puisse signifier qu'un vaccin est administré avant que son efficacité et son innocuité n'aient été entièrement évaluées dans des modèles animaux ou des essais cliniques ».
Les travaux avec le virus du SRAS montrent que des réponses immunitaires inquiétantes ont été observées chez les furets et les singes, mais pas chez les souris. Pourquoi les expériences n'ont-elles pas été menées sur plusieurs espèces pour le Pfizer et les autres ? 42 malheureux macaques ont bien été utilisés mais en aucun cas pour vérifier les effets secondaires des vaccins. Il s'agissait simplement de vérifier l'efficacité du vaccin contre le virus.
Aucune étude sur les effets de la protéine spike après l'injection, aucune réponse à la question posée par l'innocuité de la protéine active spike. Il faut rappeler qu'il ne s'agit pas d'un virus inactivé mais d'un principe actif qui devait rapidement disparaitre du corps après l'injection et l'apparition des anticorps.
Et si elle avait le temps de faire des dégâts ? Si elle se diffusait bien plus longtemps que prévu ? Si elle déclenchait une forme du Covid ?
ON COMPRENDS MIEUX POURQUOI LE PLUS DOSÉ DES VACCINS, LE MODERNA SOIT INTERDIT POUR LES JEUNES DANS LES PAYS SCANDINAVES.
Des expériences récentes sur les souris peuvent inquiéter LES DERNIÈRES ÉTUDES EN APPORTENT LA PREUVE que le principe de précaution a été oublié.
Une série d'études très récentes démontrent que la fameuse protéine S Spike seule, produit des dégâts considérables. Il faut rappeler que les vaccins inoculent l'ARN de la dite protéine S pour qu'elle puisse se multiplier dans notre organisme et provoquer la création d' anticorps. Les concepteurs se sont trompés :

       
  • La protéine S se répand et demeure plus longtemps que prévu dans l'organisme.
  • Elle est dangereuse et provoque une forme de covid.
  • Les effets n'ont pas été étudiés car réalisés sur des souris sauvages qui sous-estiment l'ACE2 de l'homme, ils n'étaient pas visibles.
  • Les effets récents réalisés sur des souris transgéniques capables de reproduire ce qui se passe chez l'homme mettent en évidence les effets désastreux.
À ce jour pas la moindre étude sur les risques de la dite protéine injectée pour les femmes en âge de procréer, pour ceux qui ont eu la covid, pour les vaccinés contre la grippe, pour les jeunes...
Votre médecin ne s'inquiète pas de la vaccination sans études préalables, demandez lui de lire ces études très techniques, il comprendra...
Nos données suggèrent que les médiateurs pro-inflammatoires libérés par les macrophages activés par des pointes amplifient l'activation des cellules endothéliales, contribuant probablement à l'altération de l'intégrité vasculaire et au développement d'un endothélium pro-coagulant.
pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34572407
Nous concluons que la protéine de pointe seule sans le reste des composants viraux est suffisante pour déclencher la signalisation cellulaire dans HPAEC, et que le traitement avec HbA n'a pas réussi à inverser la grande majorité de ces changements induits par la protéine de pointe.
pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34445747
Le rôle régulateur de la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 dans les cellules infectées et tenté d'élucider le mécanisme moléculaire de l'inflammation induite par le SRAS-CoV-2.
pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34461258
La sous-unité S1 de la protéine de pointe SARS-CoV-2 induit une lésion pulmonaire aiguë de type COVID-19 chez les souris transgéniques Κ18-hACE2 et un dysfonctionnement de la barrière dans les cellules endothéliales humaines.
t.co/CAeiQC0CFh?amp=1
Ici, nous démontrons que l'instillation intratrachéale d'un seul élément du SRAS-CoV-2, S1SP, chez des souris transgéniques K18-hACE2 induit des réponses inflammatoires locales (pulmonaires) et systémiques de type COVID-19.
ncbi.nlm.nih.gov/labs/pmc/articles/PMC8384477
pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34406358
On a enfin des résultats sur les conséquences du Pfizer sur les souris et on comprend mieux pourquoi ils refusent les autopsies post injections pour les humains décédés
ENFIN LES PREMIÈRES ÉTUDES SUR LES EFFETS DE LA PROTÉINE SPIKE VACCINALE Peu d'autopsies après décès post vaccinal

Première image histopathologique d'une myocardite post-vaccinale chez un homme de 65 ans décédé 11 heures après sa deuxième dose d'ARNm de Pfizer. Infiltration massive de lymphocytes périvasculaires et entre les cardiomyocytes Pourquoi les lymphocytes s'excitent-ils donc à cet endroit ? L'effet de la spike vaccinale ? En injectant le principe actif de la maladie on provoque une sorte de covid.
pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34591186
Les rapports d'effets de la protéine spike proviennent surtout des dermatologues

Réponse des lymphocytes T avec des caractéristiques de dermatite d'interface et d'inflammation granulomateuse interstitielle.
sciencedirect.com/S0738081X21001516
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Le terrible avertissement du Docteur Siang validé par les premières images post-autopsies Partout dans le monde, je constate des efforts pour soutenir des programmes de « solution rapide » visant à développer des vaccins et des thérapies contre le COVID-19. Des groupes aux États-Unis et en Chine prévoient déjà de tester des vaccins sur des volontaires humains en bonne santé. Ne vous y trompez pas, il est essentiel que nous travaillions aussi dur et aussi vite que possible pour développer des médicaments et des vaccins largement disponibles dans le monde. Mais il est important de ne pas rogner sur les raccourcis.
Les vaccins contre la rougeole, les oreillons, la rubéole, la polio, la variole et la grippe ont une longue histoire d'utilisation sûre et ont été développés conformément aux exigences des organismes de réglementation.
Je travaille au développement de vaccins et de traitements contre les coronavirus depuis 2003, lorsque l'épidémie de syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) s'est produite. À mon avis, les protocoles standard sont essentiels pour protéger la santé. Avant d'autoriser l'utilisation d'un vaccin COVID-19 chez l'homme, les régulateurs doivent évaluer la sécurité avec une gamme de souches virales et dans plus d'un modèle animal. Ils devraient également exiger des preuves précliniques solides que les vaccins expérimentaux préviennent l'infection, même si cela impliquera probablement d'attendre des semaines, voire des mois, pour que les modèles soient disponibles.
C'est du temps bien dépensé. Les travaux avec le virus du SRAS montrent que des réponses immunitaires inquiétantes ont été observées chez les furets et les singes, mais pas chez les souris. De plus, certains fragments de protéines virales peuvent provoquer des réponses immunitaires plus puissantes ou moins risquées que d'autres, et il est logique d'apprendre cela dans des études animales avant de les essayer chez l'homme.
Il y a des décennies, des vaccins développés contre un autre coronavirus, le virus de la péritonite infectieuse féline, augmentaient le risque pour les chats de développer la maladie causée par le virus (T. Takano et al. J. Vet. Med. Sci. 81 , 911-915; 2019). Des phénomènes similaires ont été observés dans des études animales pour d'autres virus, y compris le coronavirus qui cause le SRAS (YW Kam et al. Vaccine 25 , 729-740 ; 2007).
Les régulateurs doivent continuer à exiger que les développeurs de vaccins vérifient les réponses potentiellement dangereuses dans les études sur les animaux. Ils doivent également veiller à évaluer les volontaires humains en bonne santé pour les anticorps contre les coronavirus avant de les inscrire à des essais de sécurité. Les bailleurs de fonds doivent se méfier du battage médiatique et débloquer davantage de subventions pour des tests appropriés pour le développement de médicaments et de vaccins contre les coronavirus.
Mon inquiétude est que cela puisse signifier qu'un vaccin est administré avant que son efficacité et son innocuité n'aient été entièrement évaluées dans des modèles animaux ou des essais cliniques.
Un autre facteur doit également être pris en compte : le potentiel des coronavirus émergents et ré-émergents à provoquer de futures épidémies. Le virus derrière COVID-19 pourrait bien muter d'une manière qui rendrait inutiles les vaccins et les antiviraux auparavant efficaces. Par conséquent, tout organisme de réglementation envisageant des moyens d'accélérer les traitements dans les tests devrait également évaluer la probabilité que ces médicaments fonctionnent au-delà de ce coronavirus particulier.
Tester des vaccins et des médicaments sans prendre le temps de bien comprendre les risques pour la sécurité pourrait entraîner des revers injustifiés pendant la pandémie actuelle et à l'avenir. La volonté du public de soutenir les quarantaines et autres mesures de santé publique pour ralentir la propagation a tendance à être corrélée à la confiance des gens dans les conseils de santé du gouvernement. Une ruée vers des vaccins et des thérapies potentiellement risquées trahira cette confiance et découragera les travaux visant à développer de meilleures évaluations. Malgré le réel besoin d'urgence, le vieil adage tient : mesurez deux fois, coupez une fois.
Nature 579, 321 (2020)
Partout dans le monde, je constate des efforts pour soutenir des programmes de « solution rapide » visant à développer des vaccins et des thérapies contre le COVID-19. Des groupes aux États-Unis et en Chine prévoient déjà de tester des vaccins sur des volontaires humains en bonne santé. Ne vous y trompez pas, il est essentiel que nous travaillions aussi dur et aussi vite que possible pour développer des médicaments et des vaccins largement disponibles dans le monde. Mais il est important de ne pas rogner sur les raccourcis. doi : https://doi.org/10.1038/d41586-020-00751-9
Les vaccins contre la rougeole, les oreillons, la rubéole, la polio, la variole et la grippe ont une longue histoire d'utilisation sûre et ont été développés conformément aux exigences des organismes de réglementation.
Shibo Jiang
Shibo Jiang est professeur de virologie à la School of Basic Medical Sciences, Fudan University, Shanghai, Chine, et au New York Blood Center, New York, États-Unis.
sciencedirect.com/S0738081X21001516
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• « La France a ouvertement violé le principe de précaution pour les jeunes femmes »
• « La haute autorité de santé lance la vaccination grippe covid mais il n'existe pas encore d'études sur la question »



source : https://pgibertie.com
https://reseauinternational.net/pourquoi-les-effets-secondaires-des-vaccins-nont-ils-pas-ete-etudies-sur-les-animaux/
Donne un cheval à celui qui dit la vérité : il en aura besoin pour s'enfuir.

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Risques de fausses couches pour les femmes vaccinées précocement – Les inquiétudes ne sont pas levées



image_pdfimage_printpar Patrice Gibertie.
Sur 127 femmes enceintes vaccinées ARNm avant le dernier trimestre de grossesse 104 victimes de fausses couches
Les femmes enceintes avaient été écartées de la phase 3 des essais Pfizer mais un article rassurant du mois de mai indiquait que les avortements spontanés n'étaient pas plus fréquents que ce que l'on observe habituellement. Pensez donc sur 827 grosses terminées on ne comptait 12,5%¨d'avortement spontanés, alors que l'on peut s'attendre à 20% .
Les avortements spontanés interviennent pratiquement tous au cours des 13 premières semaines. DES ÉLÉMENTS PAS TRÈS RASSURANTS APPARAISSENT AU LECTEUR ATTENTIF :

700 DES 827 FEMMES ONT ÉTÉ VACCINÉES AU COURS DU DERNIER TRIMESTRE DE GROSSESSE c'est-à-dire à un moment ou il n'y a plus de risque de fausse couche.
On y ajoute 127 autres femmes qui ont terminé leur grossesse avant terme.
SEULEMENT 127 FEMMES ONT ÉTÉ VACCINÉES avant le dernier trimestre DE LA GROSSESSE et on observe chez elles 104 fausses couches soit 82% !
Mais 82% de celles qui ont terminé leur grossesse, ce qui n'est pas le cas de toutes les femmes vaccinées précocement ... Il faudra attendre
De quoi s'interroger ...
Bien entendu d'autres femmes ont été vaccinées au début de leur grossesse et ont conservé le bébé, mais combien sont elles ?
Il sera intéressant de refaire les calculs quand toutes auront terminé leur grossesse.
À défaut de le savoir les 12,5% n'indiquent rien, calculer une moyenne à partir de deux groupes qui n'ont strictement rien à voir n'indique rien
Cette étude indique seulement qu'il n'y a pas de problème après le troisième trimestre mais elle ne démontre pas l'innocuité de la vaccination pendant les premières semaines au contraire


* Laura Foster, journaliste santé à la BBC, répond à la question : les vaccins contre le Covid-19 sont-ils dangereux pour les femmes enceintes ? Doit-on se faire vacciner contre le Covid-19 si l'on est enceinte ou allaitante ? Laura Foster, journaliste santé à la BBC, précise que des études similaires conduites cette fois au Royaume-Uni sont parvenues à la même conclusion. Jo Mountfield, gynécologue-obstétricienne au Royal College, précise que les risques accrus de fausses couches sont écartés.
« D'après toutes les données dont nous disposons à ce jour, il n'y a pas d'augmentation du risque de fausse couche et, d'ailleurs, il n'y a pas de mécanisme biologique qui pourrait les favoriser. Car nous ne pensons pas que le vaccin traverse le placenta et affecte le bébé ».
Les médecins dans leur majorité déconseillent la vaccination avant le dernier trimestre de grossesse. Même l'OMS préfère réserver la vaccination aux femmes à risques.
En France, on estime à 20 000 environ le nombre de fausses couches chaque année, soit 10 à 15% des grossesse. Les fausses couches tardives, survenant entre 14 et 22 semaines d'aménorrhée, sont rares (moins de 1% des grossesses).
Sur les 127 femmes vaccinées précocement il était possible d'avoir entre 15 et 25 fausses couches mais pas 104.... Expliquez moi
Le site Eudravigilance rapporte 300 fausses couches de femmes vaccinées au début mai.
Les auteurs de l'étude sont donc plus prudents que les journalistes :
« Nous n'avons pas été en mesure d'évaluer les effets indésirables pouvant survenir en association avec des expositions plus tôt dans la grossesse, telles que les anomalies congénitales, car aucune personne enceinte qui a été vaccinée au début de la grossesse n'a eu de naissances vivantes enregistrées dans le registre des grossesses v-safe à ce jour ; le suivi est en cours. De plus, la proportion de femmes enceintes qui ont signalé un avortement spontané peut ne pas refléter les proportions réelles après la vaccination, car les participantes pourraient avoir été vaccinées après la période de risque le plus élevé au cours du premier trimestre, et les pertes de grossesse très précoces pourraient ne pas être reconnues. Alors que certaines grossesses avec vaccination au premier et au début du deuxième trimestre sont terminées, la majorité sont en cours, et une comparaison directe des résultats sur la base du moment de la vaccination est nécessaire pour définir la proportion d'avortements spontanés dans cette cohorte. En raison des contraintes liées à la taille de l'échantillon, les issues de grossesse et néonatales ont été calculées sous forme de proportion plutôt que de taux.
Notre analyse préliminaire utilise des données déclarées par les participants et dispose d'informations limitées sur d'autres facteurs de risque potentiels de grossesse et d'issues néonatales indésirables. Le VAERS est soumis aux limitations de la surveillance passive. Malgré les exigences de déclaration obligatoire de l'EUA et les directives du CDC sur la déclaration du VAERS, il existe probablement une sous-déclaration substantielle des événements indésirables spécifiques à la grossesse et au nouveau-né. Nous ne connaissons pas non plus le nombre total de doses de vaccin Covid-19 administrées aux personnes enceintes, ce qui limite davantage notre capacité à estimer les taux d'événements indésirables signalés à partir des données du VAERS. Parmi les affections spécifiques à la grossesse signalées au VAERS après la vaccination contre le Covid-19, les fausses couches étaient les plus fréquentes. Ceci est similaire à ce qui a été observé lors de la pandémie de grippe A (H1N1) en 2009 après l'introduction du vaccin inactivé contre la grippe H1N1 2009, où la fausse couche était l'événement indésirable le plus souvent signalé par les femmes enceintes qui ont reçu ce vaccin ».



source : https://pgibertie.com

https://reseauinternational.net/risques-de-fausses-couches-pour-les-femmes-vaccinees-precocement-les-inquietudes-ne-sont-pas-levees/
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Étude du Lancet sur la fertilité des femmes vaccinées : Pas de problème mais dix fois moins de naissances qu'en temps normal



par Patrice Gibertie.
Nouveau Lancet gate, les résultats sur la fertilité des femmes vaccinées sont incohérents.
Et si une fois de plus quelques connaissance en démographie faisaient exploser les plus gros mensonges  du Lancet ? La revue entend démontrer que la vaccination n'a pas d'effet sur la fertilité des femmes enceintes. Problème les résultats  donnent 10 fois moins de naissances que dans la vie réelle...
61 naissances pour près de 10 000 femmes suivies pendant 9  mois... C'est comme si chaque année en France nous n'avions que 100 000 naissances et non 700 000 pour 17 millions en âge de procréer... Les études ont été réalisées en partie au Brésil et en Afrique... De quoi se poser des questions...
thelancet.com/showPdf?pii=S0140-6736%2821%2902282-0
Je cite :
« Les craintes d'effets indésirables de la vaccination COVID-19 sur la fertilité ont affecté la vaccination dans certaines communautés. Malgré l'absence de preuves à l'appui d'un tel risque, une faible plausibilité biologique et des données préliminaires soutenant l'innocuité des vaccins à ARNm pendant la grossesse, cette affirmation s'est généralisée et a été contestée par l'OMS.
L'hésitation à la vaccination pendant la grossesse, ou chez les femmes en âge de procréer, pourrait avoir des conséquences importantes sur la santé publique, car l'infection par le SRAS-CoV-2 pendant la grossesse est un facteur de risque de maladie maternelle grave et de complications.
Nous avons analysé les grossesses survenues dans quatre essais cliniques de phase 1, phase 2 et phase 3 en cours sur ChAdOx1 nCoV-19 (AZD1222)
dans trois pays (NCT04324606 et NCT04400838 au Royaume-Uni ; NCT04536051 au Brésil ; et NCT04444674 en Afrique du Sud). Les participantes en âge de procréer (définies comme 49 ans ou moins) ont été randomisées pour recevoir ChAdOx1 nCoV-19 ou le vaccin témoin. La grossesse était un critère d'exclusion dans les quatre essais, et toutes les femmes volontaires ont été testées négatives pour la -hCG urinaire avant la vaccination. Toutes les grossesses survenues après la vaccination ont été enregistrées et suivies jusqu'à 3 mois après la naissance. Les résultats de la grossesse ont été examinés par le comité indépendant de surveillance des données et de la sécurité ».
Sachant que les études ont été en partie réalisées  dans des pays à forte fécondité, elles butent sur des impossibilités statistiques. Il y a dix fois moins de grossesses que dans la vie réelle... Pourquoi ?

       
  • Statistiques fantaisistes
  • Le vaccin aurait il un effet contraceptif ?
  • Un impact sur la fertilité ?
The Lancet a-t-il fait appel à sa call girl favorite , Mme Anderson ?
Plus simplement cette étude est farfelue, les femmes ont du être intégrées après une vaccination en fin de grossesse . Je renvoie à un article précédent sur la question :
pgibertie.com/2021/09/23/consequences-des-vaccins-pour-les-femmes-enceintes-et-sur-le-cycle-menstruel-il-ne-suffit-pas-de-rabacher-cest-sans-danger-de-nombreuses-etudes-lont-prouve/
Nous écarterons d'emblée l'étude de l'Ajog pour un biais majeur.
ajogmfm.org/S2589-9333(21)00162-2
L'âge gestationnel médian à la première vaccination était de 32 semaines ! Vous avez bien lu la moitié des vaccinées ont eu la première injection après la 32ème semaine de grossesse Aucune première injection n'est de plus intervenue lors du premier trimestre.
Les auteurs le reconnaissent :
« La cohorte était biaisée en faveur de la vaccination en fin de grossesse et, par conséquent, les résultats peuvent ne pas être généralisable à la vaccination en début de grossesse ».
L'étude pubmed ne répond pas plus à la question des risques liés à la vaccination précoce des femmes enceintes. Car la vaccination est intervenu en fin de grossesse. Il n'empêche que  6% des vaccinées sont passées par les soins intensifs contre 3% des non vaccinées, il y a également deux fois plus de fièvre pendant l'accouchement.
« Des données étaient disponibles pour 1328 femmes enceintes dont 141 ont reçu au moins une dose de vaccin avant l'accouchement et 1187 femmes qui n'en ont pas reçu ; 85,8% des personnes vaccinées ont reçu leur vaccin au troisième trimestre et 14,2% au deuxième trimestre ».
pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34389291
Une autre étude est souvent citée mais elle est seulement observationnelle, baisée par le système de rapport volontaire et la disparition de participantes.
researchsquare.com/rs-798175/v1
« Les personnes inscrites à v-safe, un système de surveillance volontaire basé sur un smartphone, qui ont reçu un vaccin contre la COVID-19 avant la conception ou pendant la grossesse ont été contactées par téléphone pour s'inscrire au registre de grossesse v-safe. Les participantes au registre de grossesse V-safe qui ont reçu au moins une dose d'un vaccin contre l'ARNm COVID-19 avant la conception ou avant 20 semaines de gestation et qui n'ont pas signalé de fausse couche avant 6 semaines de gestation complètes ont été incluses dans cette analyse pour évaluer le cumul risque de SAB en utilisant les méthodes de table de survie.
Parmi les 2456 femmes enceintes qui ont reçu un vaccin contre la COVID-19 à ARNm avant la conception ou avant 20 semaines de gestation, le risque cumulé de SAB entre 6 et 19 semaines de gestation était de 14,1%. Ajoutons que plus de 10% des participantes ont disparu dans la nature, pratiquement toutes au début de la grossesse, elles n'ont rien rapporté. Pourquoi ? fausse couche ?
En utilisant la standardisation directe selon l'âge pour la population de référence sélectionnée, le risque cumulé standardisé selon l'âge de SAB était de 12,8% ».
La différence entre le nombre de fausse couche des vaccinées, 14,1%  et le nombre de fausse couche normal (12,8%) n'est pas énorme mais il le devient si l'on rajoute les 10% de « disparues ».
Avec ce biais l'étude perd de sa pertinence.
L'étude la plus pertinente a été publié dans le prestigieux New England journal of medecine. Elle sert de référence.
nejm.org/doi/full/10.1056/nejme2107070
Publiée e 17 juin elle a fait l'objet d'une rectification le 8 septembre. En effet des biais avaient été relevées
J'écrivais alors :
« Pensez donc sur 827 grosses terminées on ne comptait 12,5% d'avortement spontanés. 700 DES 827 FEMMES en question ONT ÉTÉ VACCINÉS AU COURS DU DERNIER TRIMESTRE DE GROSSESSE c'est-à-dire à un moment où il n'y a plus de risque de fausse couche. Quelles sont les femmes concernées par les 104 fausses couches ».
Les auteurs en ont convenu, je les cite :
« Étant donné qu'il y avait un nombre relativement faible de grossesses terminées et que les naissances vivantes étaient généralement après la vaccination au troisième trimestre, Shimabukuro et al. reconnaissent les limites de leur capacité à tirer des conclusions sur les avortements spontanés, les anomalies congénitales et d'autres issues néonatales.
Cette situation souligne le besoin urgent non seulement d'inclure les femmes enceintes dans les essais cliniques, mais aussi d'investir dans des systèmes de surveillance de la santé publique de la grossesse, impliquant un nombre beaucoup plus important de femmes. Pour se préparer à la prochaine pandémie et améliorer les résultats de santé des femmes enceintes en général, il est plus que temps d'investir dans la surveillance et la recherche en matière de santé maternelle ».
Nous partagerons cette conclusion sans appel
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Avortements spontanés et politiques sur COVID-19 Utilisation du vaccin à ARNm pendant la grossesse
Résumé
L'utilisation de vaccins à ARNm pendant la grossesse est maintenant généralement considérée comme sûre pour la protection contre le COVID-19 dans des pays comme la Nouvelle-Zélande, les États-Unis et l'Australie. Cependant, l'article influent parrainé par le CDC par Shimabukuro et al. (2021) utilisé pour étayer cette idée, à y regarder de plus près, fournit peu d'assurance, en particulier pour les personnes exposées en début de grossesse.
L'étude faussement rassurante présente  des statistiques relatives au risque d'avortement spontané en début de grossesse, puisque la majorité des femmes en gestation ont été exposées au produit d'ARNm après que la période de résultat a été définie (le calcul sur 20 semaines).
Dans cet article, nous attirons l'attention sur ces erreurs et recalculons le risque de ce résultat en fonction de la cohorte qui a été exposée au vaccin avant 20 semaines de gestation. Notre nouvelle analyse indique une incidence cumulée des avortements spontanés 7 à 8 fois supérieure aux résultats des auteurs originaux (p < 0,001) et la moyenne typique des fausses couches au cours de cette période.
À la lumière de ces constatations, des décisions politiques clés ont été prises à l'aide de données peu fiables et douteuses. Nous concluons que les allégations faites à l'aide de ces données sur la sécurité de l'exposition des femmes en début de grossesse aux vaccins ARNm pour prévenir le COVID-19 ne sont pas justifiés et recommandent que ces décisions politiques soient revues.

Article discuté en pdf :
https://cr19i2s.fr/ressources/adf864_2bd97450072f4364a65e5cf1d7384dd4-1.pdf

source : https://pgibertie.com



https://reseauinternational.net/etude-du-lancet-sur-la-fertilite-des-femmes-vaccinees-pas-de-probleme-mais-dix-fois-moins-de-naissances-quen-temps-normal/
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