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Demi-victoire de la nouvelle Loi de sécurité sanitaire

Démarré par Ouebmestre, 30 Juillet, 2022, 23:31:37

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Ouebmestre

Demi-victoire de la nouvelle Loi de sécurité sanitaire



par Nicole et Gérard Delépine.
La demi-victoire de la nouvelle Loi de sécurité sanitaire votée le 26 juillet 20221. Restons en alerte
L'information et le combat sont efficaces. Poursuivons
Encourageons les citoyens à poursuivre le combat par l'information large de tous sur la mascarade Covid-19 que nous vivons encore. Un grand pas a été franchi par la fin de la loi d'exception grâce à la nouvelle assemblée dans laquelle E. M. n'a plus la majorité absolue. Les élections législatives, les multiples vidéos, les articles sur des centaines de supports variés et les manifestations ont réussi à éveiller un certain nombre de concitoyens et de parlementaires. Le combat paie. Il faut poursuivre avec ténacité et assiduité.
En effet, la volonté des puissants de maintenir la population dans la peur du Covid ou de son prochain variant ou autre cousin ou la variole du singe est manifeste, car les mondialistes veulent continuer à nous terroriser pour que nous ne défendions plus nos libertés et nous forcer à nous faire injecter. Les publicités mensongères à répétition du ministère de la Santé poussant à l'injection sur les écrans de télévision en témoignent. La prise de parole du directeur de l'OMS qui veut reproduire le scénario Covid avec la variole du singe en témoigne. Nous ne le laisserons pas faire et y reviendrons.
Première grande victoire depuis le début du scénario Covid
La loi sanitaire2 qui vient d'être votée le 26 juillet est une victoire importante, car elle officialise la fin de la loi d'urgence sanitaire qui instaurait la dictature sanitaire d'E. Macron de ces deux dernières années.
Le Parlement a définitivement adopté le 26 juillet le projet de loi mettant fin aux régimes d'exception créés pour lutter contre l'épidémie de Covid-19.
Ainsi, à compter du 1er août 2022, le pass sanitaire prend fin en France. Il ne pourra plus être exigé dans les lieux où il était encore en vigueur (les services et établissements de santé et médico-sociaux)3.
Mais comme tous les compromis, c'est une demi-victoire, car elle autorise le gouvernement à décider par décret l'exigence d'un certificat aux frontières. En lieu et place de l'article 2 rejeté par les députés, les sénateurs ont voté « la possibilité de demander, en cas de nouveau variant, un test négatif aux personnes d'au moins 12 ans se déplaçant à destination du territoire national depuis l'étranger, mais aussi en provenance ou à destination des territoires ultramarins en cas de risque de saturation du système de santé de ces territoires ». Cette modification a été acceptée par les députés en deuxième lecture4. Le projet de loi distingue deux cas de figure, pour lesquels le gouvernement pourra, jusqu'au 31 mars 2023, exiger des personnes de plus de 12 ans la présentation d'un test Covid négatif. Ce sera le seul justificatif accepté : ni certificat de vaccination ni justificatif de rétablissement ne seront valables.
Le texte maintient les systèmes d'information de crise (SI-DEP et Contact Covid) jusqu'au 30 juin 20235.
Malheureusement le parlement n'a pas voulu trancher sur l'avenir des soignants suspendus et a botté en touche.
Ce sera à la Haute Autorité de Santé de décider de l'avenir des soignants vaccino prudents dont on a tellement besoin en ce moment.
Saluons l'abrogation des régimes d'exception qui ont permis l'instauration de restrictions des libertés (confinement, couvre-feu, pass sanitaire et vaccinal...)
Presque toutes ces prétendues mesures sanitaires inutiles qui nous ont été imposées ne pourront plus l'être sans l'accord du parlement ! Il est temps puisque même le Pr Delfraissy, président du conseil scientifique (ad hoc et secret), a avoué que confinement et « vaccin » (ce n'est pas un vaccin mais un vacmédicament a-t-il avoué, puis tout récemment « Ce n'est pas le bon vaccin ! Il ne protège pas contre l'infection et la contagion) n'avaient pas été efficaces.
« En cas de réapparition de crise sanitaire, le gouvernement devra négocier une par une avec le Parlement les mesures sanitaires qu'il voudrait imposer », a affirmé le rapporteur LR Philippe Bas.
Maintenant que le bilan catastrophique de toutes ces mesures liberticides ubuesques commence à être connu, il est improbable que le parlement se laisse tromper à nouveau par les enfermistes et leurs prophéties catastrophes destinées à entretenir la peur. Espérons-le et faisons connaître à nos représentants nos choix par mail, rendez-vous, téléphone, etc. en restant en contact proche et répété avec eux pour ne pas compromettre l'avenir.
Les confinements qui nous ont été imposés pendant 128 jours (du 17 mars au 11 mai 2020, du 30 octobre au 15 décembre 2020, puis du 3 avril au 3 mai 2021) n'ont jamais ralenti l'épidémie contrairement aux nombreuses publications de propagande diffusées par les gouvernements et les organismes responsables de leur instauration. Ils n'ont sauvé aucune vie6,7,8.
Les confinements ont été responsables d'innombrables victimes collatérales par défaut de soins, d'un tsunami psychiatrique9, d'un désastre des apprentissages et de l'enseignement, d'un appauvrissement dramatique des plus précaires, d'une perte de près de 10% de notre PIB, et le « quoi qu'il en coûte » a augmenté de 500 milliards notre dette nationale.
Pass sanitaire et vaccinal ont été instaurés pour forcer la population à se « vacciner » en créant une discrimination inadmissible entre Français dans la vie courante : « On va mettre en place un confinement de fait pour les personnes qui ne se sont pas fait vacciner en limitant l'accès à tout un tas d'endroits... Ça va être primauté aux vaccinés et vie de merde pour les non-vaccinés »10 rappelant la pensée de Macron : « les non-vaccinés, j'ai très envie de les emmerder. Et donc on va continuer de le faire, jusqu'au bout11. C'est ça, la stratégie. ». La CNIL a souligné le manque de données communiquées par le gouvernement pour en évaluer l'efficacité. Mais les données de l'OMS concernant l'évolution des contaminations montrent qu'ils n'ont jamais été efficaces contre la diffusion de la maladie, car partout où ils ont été imposés, ils ont été suivis d'une recrudescence forte des cas.

Cet échec sanitaire massif des pass, dû à l'incapacité des pseudo vaccins12 à prévenir les contaminations, a motivé leur abandon dans tous les pays qui les ont imposés.
Le débat parlementaire a exposé l'ignorance des certains élus sur la réalité Covid-19
En particulier sur l'inefficacité réelle des pseudo vaccins pour protéger les populations : le centriste Philippe Bonnecarrère qui a déploré que le texte ne comporte « plus aucune référence à la vaccination, ce qui est une manière d'adresser une forme de contre-message à nos concitoyens ».
Ou pire encore Véronique Guillotin (RDSE). « Le débat laisse le champ libre aux antivax » qui, comme un ayatollah paraît ignorer que les injections anticovid sont des médicaments expérimentaux et non pas des vaccins, traite les vaccino prudents d'antivax et estime qu'il faut interdire tout débat sur la pseudo vaccination.
Nous lui adresserons les données de l'OMS montrant que les campagnes d'injection ont été suivies d'une forte augmentation des contagions partout dans le monde et sommes à sa disposition comme à celles de tous les élus pour compléter son information.

Et de la mortalité :

Espérons que la connaissance de ces faits avérés dans le monde réel les rende moins dogmatiques à l'avenir !
Mais le désir de compromis avec le pouvoir a fait accepter de fait la prolongation de la suspension des soignants vaccino prudents
Selon les termes de son rapporteur, le Sénat a voulu « créer un chemin vers la réintégration des personnels suspendus ».
Mais certains pro macron, comme la socialiste Marie-Pierre de La Gontrie, ont osé prétendre que « cette réintégration serait totalement choquante ».
Pour montrer son esprit de compromis, le Sénat a accepté de soumettre la décision à l'avis de la HAS en oubliant que cette dernière n'est que la marionnette du gouvernement Macron13,14 qui en a nommé la directrice et lui a attribué un salaire exorbitant (>200 000 euros annuels !). Les autres membres du collège de la HAS sont également nommés par le pouvoir. Il n'y a donc aucune indépendance de cette agence. Ses antécédents ne plaident pas en son intégrité comme les affaires vioxx, médiator, dépakine l'ont malheureusement démontré15.
On se rappelle que la HAS a justifié toutes les décisions du gouvernement même les plus contraires à la science comme l'utilisation du Remdesevir contre le covid en prétendant « le service médical rendu par VEKLURY (remdesivir) est faible alors qu'elle aurait dû le qualifier de « dangereux » comme l'OMS en déconseillait l'usage16 pour son inefficacité et sa toxicité.
C'est aussi l'HAS qui continue à prétendre contre l'évidence des chiffres de l'OMS que des pseudo vaccins covid seraient « sûrs et efficaces » et permettraient « la limitation de la diffusion de l'épidémie » confirmant qu'il n'y a pas pire aveugle que celui qui refuse de voir17,18. Les plaintes contre les injections en pénal leur feront-elles se poser des questions sur les faits avérés et leur propre responsabilité ?
Sans aucune justification scientifique, les soignants vaccino prudents restent donc ostracisés dans des conditions inhumaines au moment où leur absence entraîne la fermeture de nombreuses urgences (plus de 120)19, et de maternité, la diminution d'au moins 20% des interventions chirurgicales programmées et aggrave le nombre de déserts médicaux.
Pendant le même temps, des soignants malades Covid-19 sont autorisés et même incités à poursuivre les soins auprès des patients. Cette décision est politique pour « punir » (selon l'aveu de Patrick Pelloux l'urgentiste ami du président Hollande) les résistants à l'ukase, et probablement aussi éviter qu'ils soient en contact avec les collègues dans le doute et les patients infantilisés. Bref qu'ils ne puissent pas parler.
Il faut espérer qu'un prochain débat parlementaire mette fin à cette discrimination scandaleuse qui n'existe que dans une infime minorité de pays comme la France et l'Italie. Cette mesure a été récemment condamnée en justice en France20,21 et en Italie (par le tribunal de Milan le 16 septembre 2021 et plus récemment en Sicile).
Réintégrer les soignants vaccino prudents est urgent, car la persistance de leur discrimination risque de les convaincre de renoncer définitivement à toute activité de soins, éloigne d'autres soignants encore en poste et les incite à démissionner, ou à se mettre en disponibilité, voire abandonne les métiers du soin, et dissuade de nombreux étudiants à se diriger vers cette carrière jadis enthousiasmante.
Battons-nous par tous les moyens légaux pour qu'il leur soit enfin rendu justice.
« Les non-vaccinés sont les héros des deux dernières années, car ils nous ont tous permis d'avoir un groupe témoin dans la grande expérience et de mettre en évidence la carence des vaccins covid. Les non-vaccinés portent de nombreuses cicatrices et blessures de combat, car ce sont les personnes que l'on a essayé de briser mentalement. La guerre contre les non-vaccinés a été perdue et nous devrions tous leur en être très reconnaissants »22.
Et informons nos élus de la réalité du terrain, de l'inefficacité démontrée des injections expérimentales, des effets secondaires lourds qui s'accumulent dans le monde injecté, contrastant avec le bon état des populations africaines ayant échappé à la folie de la piqûre et adopté les traitements précoces pour les vrais malades (et non les « cas »)23.
ATTENTION À LA PROPAGANDE EN FAVEUR DES INJECTIONS SUR LES ONDES.
Sensibilisons au risque d'injecter les enfants à la rentrée
Il importe que les parlementaires soient véritablement informés pour éviter que nous retombions dans une folie vaccinale pour un pseudo covid, une bienvenue variole du singe, monkeypox ou plutôt moneypox, ou tout autre virus utilisable pour faire grossir encore les bénéfices de Big Pharma et les possibilités de contrôle des populations par le pouvoir.
Le certificat européen24 voté au parlement de l'UE et qui pourrait être adopté dans nos assemblées à la rentrée doit nous rendre vigilants. Nous devons rester en alerte.
Il faut absolument épargner nos enfants de ces injections expérimentales à ARNm qui mettent en jeu leur fertilité, leur immunité naturelle et les menacent de nombreuses maladies, cancers, maladies dégénératives, neurologiques, etc25.
L'absence totale de recul sur ces injections expérimentales -dont les essais ne finiront qu'en 2023 y compris les nouveaux « vaxxins » qu'on fait miroiter pas encore sur le marché – doit faire interdire TOUTE INJECTION CHEZ LES JEUNES .
RAPPELONS QUE LES ENFANTS NE RISQUENT RIEN DU COVID, ET NE LE TRANSMETTENT PAS. AUCUNE RAISON OBJECTIVE DE LES INJECTER
Informons, l'avenir de nos enfants et petits-enfants dépend de nous tous.

source : Nouveau Monde

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