Les médecins sont « déconcertés » par un nouveau « syndrome de mort subite » mys

Démarré par Ouebmestre, 21 Août, 2022, 23:39:10

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Les médecins sont « déconcertés » par un nouveau « syndrome de mort subite » mystérieux qui tue des jeunes en bonne santé

Publié par Augustin Hamilton le 15/06/2022 14:46


Par Celeste McGovern — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : 9nong/Adobe Stock
14 juin 2022 (LifeSiteNews) — Ils l'appellent le syndrome de mort subite de l'adulte, ou SADS en abrégé. Tout comme le SIDS — syndrome de mort subite du nourrisson — lorsque des bébés en bonne santé meurent soudainement (et le plus souvent le jour même d'une visite de routine chez le pédiatre). Sauf qu'il se produit chez les adultes. Et aussi chez les enfants et les adolescents, bien que le nom ne le reflète pas. Pourtant...
Des jeunes gens en bonne santé meurent soudainement dans le monde entier, a rapporté le Daily Mail la semaine dernière, affirmant que la recrudescence de ce « syndrome mystérieux » déconcerte les médecins.
L'article décrit le cas de Catherine Keane, une femme de 31 ans de Dublin qui faisait 10 000 pas par jour et était une habituée de la salle de sport, et qui ne s'est tout simplement pas réveillée lors d'un séjour chez des amis.
« Ils travaillaient tous à la maison, donc personne n'a vraiment fait attention quand Catherine n'est pas descendue pour le petit-déjeuner », a raconté Margherita, la mère de Catherine, au Irish Times. « Ils lui ont envoyé un SMS à 11 h 20 et comme elle n'a pas répondu, ils ont vérifié sa chambre et ont découvert qu'elle était décédée ».
« Son amie a entendu un bruit dans sa chambre à 3 h 56 du matin et pense maintenant que c'est à ce moment-là qu'elle est morte. »

La « pointe de l'iceberg »
En Australie, les médecins ont lancé un registre pour recenser ces cas. Ils sont l'un des rares pays au monde qui va suivre les données des ambulances pour les décès que les médecins ne voient habituellement pas.
« La majorité de ces événements SADS, 90 %, se produisent en dehors de l'hôpital — la personne n'y arrive pas vivante — donc c'est en fait le personnel ambulancier et les médecins légistes qui s'occupent de la majeure partie de ces patients », a déclaré la cardiologue Elizabeth Paratz de l'Institut du cœur et du diabète Baker.
« Je pense que même les médecins le sous-estiment. Nous ne voyons que les 10 % qui arrivent vivants à l'hôpital. Nous ne voyons nous-mêmes que la partie émergée de l'iceberg ».
Ce qui manquait manifestement dans l'article, qui aurait dû intéresser tout journaliste médical de l'ère covid et certainement tout médecin, c'était la mention du statut vaccinal covid — vaccin expérimental — de ces personnes qui, comme Catherine, sont tombées raides mortes en nombre supérieur à la moyenne.
Ne veulent-ils pas savoir s'il y a un lien ? Ou ne veulent-ils pas que nous le sachions ?
C'est comme si un vaccin développé à la vitesse de l'éclair, jamais utilisé sur des humains, une puissante injection immunitaire et génique qui détourne la machinerie cellulaire pour produire des protéines de pointe (maintenant reconnue comme la partie la plus mortelle du coronavirus COVID-19), toujours en cours d'essais cliniques, et lié à des maladies cardiaques inflammatoires mortelles comme la myocardite et les troubles de la coagulation sanguine, ne pouvait avoir aucun rapport avec des décès inexpliqués.
L'article continue ci-dessous...

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Mortalité en hausse de 20 %
Ainsi, en Australie, qui se trouve être l'un des pays les plus vaccinés de la planète, où plus de 95 % des plus de 16 ans sont considérés comme « totalement vaccinés », les médecins exhortent désormais les personnes de moins de 40 ans à faire contrôler leur cœur en raison du risque de décès soudain sans avertissement. Et ils n'ont pas la moindre idée du « pourquoi ».
Dans leur pays, la mortalité toutes causes confondues a augmenté de plus de 20 % l'année dernière. « En 2022, il y a eu 29 685 décès survenus avant le 28 février... soit 5 052 (20,5 %) de plus que la moyenne historique », selon le dernier rapport du gouvernement. Les décès dus au COVID n'expliquent pas cette hausse, mais personne n'a de réponse. En fait, personne ne semble même se demander pourquoi.
Pour les médecins soucieux de leur statut public, il est impensable d'envisager qu'une injection expérimentale mise au point par un géant pharmaceutique criminel récidiviste comme Pfizer, qui a l'habitude de cacher des données accablantes, puisse jouer un rôle dans certains de ces décès mystérieux. [Ce serait] comme si un grand prêtre remettait en question le dogme du Saint Graal de la nouvelle religion de la science. On ne remet pas en question les gourous du culte ou leur message fondamental.
L'article semble suggérer que ces décès mystérieux de personnes jeunes et en bonne santé ont toujours eu lieu, et que nous ne l'avions simplement pas remarqué. Nous ne l'avons pas remarqué avant lorsque des enfants comme cette jeune Canadienne de 12 ans ou ce jeune homme de 18 ans sont morts dans leur sommeil, comme ce fut le cas récemment. Il est normal que des enfants de 13 ans meurent en colonie de vacances, que des adolescents s'effondrent en athlétisme, que de jeunes agriculteurs meurent en labourant leur champ, que de jeunes marines meurent en permission, que de jeunes mères d'enfants ne se réveillent pas et que de jeunes athlètes périssent d'une inflammation cardiaque silencieuse sans avertissement.

Des athlètes qui s'effondrent
Sans parler des décès étonnants qui surviennent dans les sports professionnels de nos jours. En avril, le One News Network a indiqué qu'entre mars 2021 et mars 2022, 769 athlètes s'étaient effondrés sur le terrain pendant une compétition, certains mourant, d'autres étant transportés à l'hôpital.
C'est une honte. Mais rien de nouveau. C'est normal, nous dit-on.
Sauf que ce n'est pas normal. L'an dernier, les décès d'origine cardiovasculaire répertoriés par la FIFA, la fédération sportive internationale du football, ont à eux seuls quadruplé par rapport à la moyenne enregistrée depuis 2009, comme le montre le graphique de The Exposé ci-dessous.
Ce n'est qu'une coïncidence, nous dit-on, cela s'est produit juste après que les injections expérimentales d'ARNm liées à l'inflammation cardiaque aient été mises en place et rendues obligatoires dans la plupart des pays pour la pratique du sport.
Tous les joueurs de football professionnels fument de l'herbe. Ça doit être ça.
Est-il normal qu'un joueur de tennis de haut niveau, qui a déclaré aux journalistes qu'il avait suivi le conseil des médecins de recevoir les injections COVID, ressente une douleur à la poitrine qui ressemble à « une aiguille [qui se trouverait] tout le temps à l'intérieur », ce qui l'a fait abandonner au sommet de son art ?
CitationEh bien, eh bien...
« Quand j'essaie de respirer, c'est douloureux, et c'est très inconfortable. C'est comme une aiguille tout le temps à l'intérieur. Je suis un peu étourdi parce que c'est douloureux. C'est un type de douleur qui me limite beaucoup », a déclaré Nadal.
Je me demande ce que dirait Djokovic
— Craig Kelly, 21 mars 2022
Il est peut-être normal qu'un joueur de water-polo roumain de 23 ans sorte de la piscine en plein match et meure. Et la liste continue. Encore et encore.

Myocardite
Ce n'est un secret pour personne que les nouvelles injections d'ARNm modificateurs de gènes contre le COVID sont liées à la myocardite et à la péricardite — inflammation du muscle cardiaque et du sac protecteur contenant le cœur, respectivement. Et que les jeunes hommes sont particulièrement vulnérables, bien que la maladie puisse frapper n'importe qui.
Malgré la soudaine minimisation de la gravité de ces affections douloureuses par les responsables de la santé publique, l'inflammation cardiaque est mortellement grave. Elle affaiblit le muscle cardiaque et étrangle la circulation sanguine dans le reste du corps. Elle peut entraîner des accidents vasculaires cérébraux dus à la coagulation, des crises cardiaques et des morts subites d'origine cardiaque. Elle provoque une cicatrisation du tissu cardiaque qui ne peut être régénéré.
Une série de cas de l'hôpital pour enfants de Seattle publiée en avril a examiné 16 cas d'enfants âgés de 12 à 17 ans, trois à huit mois après qu'ils aient développé une myocardite à la suite de la vaccination par l'ARNm COVID-19. Dans tous les cas, bien que l'état des enfants se soit amélioré sur le plan clinique, ils ont continué à présenter des anomalies cardiaques sur les images IRM et leurs marqueurs d'inflammation cardiaque sont restés élevés. Les chercheurs ne sont pas sûrs de ce que cela signifie pour leur santé cardiaque à long terme. Ils ne le savent tout simplement pas. Mais ce n'est pas un bon signe.

Données israéliennes
Une étude récente, provenant d'un autre des pays les plus vaccinés au monde, a examiné les données des services médicaux d'urgence d'Israël de 2019 à 2021, et plus précisément les appels aux services d'urgence pour arrêt cardiaque et syndrome coronarien aigu chez les 16 à 39 ans. Il a détecté un pic de 25 % des appels entre janvier et mai 2021, par rapport aux années 2019 à 2020.
Les appels d'urgence pour des problèmes cardiaques chez les jeunes étaient significativement associés aux taux de première et deuxième doses de vaccin administrées à ce groupe d'âge, mais n'étaient pas associés aux taux d'infection par le COVID-19, ont constaté les chercheurs. Leurs résultats « soulèvent des inquiétudes quant aux effets secondaires cardiovasculaires graves non détectés induits par les vaccins et soulignent la relation causale déjà établie entre les vaccins et la myocardite, une cause fréquente d'arrêt cardiaque inattendu chez les jeunes », ont-ils conclu.
Mais personne n'ose interrompre la campagne de vaccination pour sauver des vies pendant qu'ils enquêtent.
Au moins, les brillants médecins australiens comptent les corps et avertissent les jeunes gens en bonne santé qu'ils peuvent mourir à tout moment, même s'ils n'ont pas la moindre idée pourquoi.
Des meurtriers ignorants
Le COVID a mis en lumière le grand angle mort des médecins et des responsables de la santé publique face aux informations qui ne correspondent pas à leurs croyances ancrées — croyances en eux-mêmes et en leurs organismes professionnels.
Ce n'est pas la première fois dans l'histoire que l'établissement médical est incapable de (ou ne veut pas ?) se regarder honnêtement dans le miroir.
L'histoire d'Ignaz Semmelweis, le médecin hongrois à qui l'on attribue la découverte que c'étaient les mains sales des médecins, contaminées par les autopsies, qui tuaient près d'une femme sur cinq dans les maternités dans les années 1840, illustre mieux que toute autre l'orgueil hideux de la corporation médicale. Semmelweis a institué la première politique de lavage des mains pour les médecins accoucheurs et a réduit la mortalité maternelle à un niveau proche de zéro. Mais il n'a pas été loué à l'époque. Pour avoir pointé du doigt sa propre profession, Semmelweis a d'abord été ridiculisé, puis vicieusement attaqué.
Il a traité ses collègues de « meurtriers ignorants » (ils l'étaient, car des dizaines de milliers de femmes sont mortes douloureusement de septicémie alors que la plupart s'obstinaient à ignorer le conseil de Semmelweis de se laver les mains). Pour cela, ils l'ont incité à visiter un asile d'aliénés, en prétendant qu'il était en visite avec eux, mais ils l'ont ensuite enfermé là, où il est mort, ironiquement, comme mouraient les femmes dont il a sauvé la vie, d'une infection gangreneuse provoquée par les blessures qu'il a reçues en résistant à son arrestation.
Si c'est ainsi que la corporation médicale réagit aux défis qu'elle n'a pas appréciés dans le passé, alors qu'est-ce que le syndrome de mort subite des adultes, en réalité ? Combien de temps faudra-t-il attendre avant qu'elle ait le courage de chercher ?
Qu'est-ce que le SIDS ?
Et qu'en est-il du prédécesseur du SADS, le syndrome de mort subite du nourrisson (SIDS) ? Se produit-il de la même manière ? Quelle est la véritable raison pour laquelle des bébés en bonne santé ont commencé à mourir soudainement et mystérieusement, ce qui a « déconcerté » les médecins et les chercheurs pendant des décennies ?
Une étude des Centers for Disease Control and Prevention de 2019 a examiné les rapports du Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) entre 1997 et 2013 et a constaté que parmi les 1 469 rapports de décès d'enfants de moins de 17 ans, 1 166 (79,4 %) avaient reçu plus d'un vaccin le jour du décès ; parmi les 1 165 bébés de moins d'un an décédés, 1 004 (86,2 %) avaient reçu plus d'un vaccin le jour de leur décès.
Cette constatation est stupéfiante, mais la conclusion des « experts » du CDC est encore plus choquante : « Nous n'avons pas détecté de tendances inquiétantes qui pourraient suggérer des relations de cause à effet entre la vaccination et les décès ».
Bien sûr qu'ils ne l'ont pas fait. Ils sont volontairement aveugles. Ils appellent cela le SIDS, mettent en cause les berceaux et accusent les nourrissons eux-mêmes de dormir sur le ventre. Ils ont lancé des programmes gouvernementaux pour que les bébés dorment sur le dos et ont ignoré que davantage de bébés mouraient tandis que leur campagne échouait et que le nombre de vaccins administrés aux nourrissons montait en flèche.
L'étude du VAERS réalisée par Neil Miller en 2021 a confirmé la grande proximité [temporelle] entre les décès inexpliqués « déroutants » de bébés et les injections puissamment immunomodulatrices qui leur ont été administrées.
La Food and Drug Administration est pourtant remplie d'aveugles de l'industrie médico-pharmaceutique. Et ils sont sur le point d'approuver leurs injections COVID pour les bébés de six mois maintenant. Il est temps pour les médecins déconcertés de perdre leurs œillères.

Source : https://www.cqv.qc.ca/les_medecins_sont_deconcertes_par_un_nouveau_syndrome_de_mort_subite_mysterieux_qui_tue_des_jeunes_en_bonne_sante
Donne un cheval à celui qui dit la vérité : il en aura besoin pour s'enfuir.

Ouebmestre

Le vaccin contre la Covid-19 provoque t'il davantage de mort subite de l'adulte ?



Fondation Hippocrate
Primum non nocere

Chers lecteurs,

Le terme mort subite de l'adulte n'envahit pas les articles de presse francophones. Pourtant ce phénomène a augmenté et se trouve désormais souvent commenté dans la presse anglophone au point que certains y voient une manière de cacher un des effets secondaires potentiel des grandes campagnes de vaccination à ARN1.
En soi, le syndrome mort subite de l'adulte n'est pas nouveau même s'il est moins connu que celui qui touche le nourrisson. Il désigne une mort naturelle qui ne pouvait pas être prévue la journée précédente. Ce syndrome peut être lié une rupture d'anévrysme, un infarctus ou un AVC. Il peut être également lié à une myocardite non diagnostiquée ou un à un problème électrique au niveau du cœur. Cette déficience peut être provoquée par une inflammation2.
Une myocardite est une inflammation du myocarde, le tissu musculaire du cœur. Elle est provoquée par une infection virale, une réaction toxique à un médicament ou à une drogue3.
Le syndrome de la mort subite chez l'adulte est étudié depuis les années 70. Jusqu'en 2021, c'était un phénomène rare, qui malgré tout, représentait 10 à 20% des décès chez les jeunes adultes. Depuis 2021, ce syndrome a sensiblement augmenté. Pour de nombreux scientifiques indépendants, ce phénomène pourrait être lié à la vaccination de masse4.
Il existe différents indices allant dans ce sens. Mais ils sont encore très débattus par les scientifiques. Le sujet est délicat et très politique. Il faut donc être prudent. En revanche, il ne serait pas honnête de ne pas parler des doutes qui existent sur le terrain.

Israël, des données qui interrogent

Dans la course à la vaccination, le peloton de tête était constitué d'Israël, des Maldives et des Seychelles. Ces pays ont, avant les autres, fait vacciner la grande majorité de leurs populations adulte, adolescente et infantile. En Israël, la campagne de vaccination pour la 3ème dose est déjà achevée, celle pour la 4ème dose est en cours.
Pourtant, ce pays est aussi celui où le nombre de personnes qui décèdent de la Covid-19 chaque jour est le plus élevé. En juillet 2022, ce pays a compté 80 décès par jour, ce qui ramené à la population française ferait 600 décès par jour. Ces chiffres confirment les limites de la stratégie 100% vaccinale, ce dont beaucoup d'experts se doutaient déjà5.
Toutefois, ce n'est pas le plus grave. Si ces vaccins ARN étaient inoffensifs, on pourrait simplement considérer que la stratégie du tout vaccinal face à un virus qui mute régulièrement n'est juste pas la plus adaptée. Mais, plusieurs études sont venues semer le doute sur l'innocuité des injections ARN.
Dans une publication du 22 avril 2022, les scientifiques passent en revue des données concernant la population entre 16 et 40 ans. Ils se sont appuyés sur les appels téléphoniques d'urgence enregistrés par le système de santé. Ils ont comparé les chiffres de 2019, 2020 et 2021. Ils ont spécifiquement étudié les appels liés aux arrêts cardiaques et ceux liés au syndrome coronarien aigu, aussi appelé angine de poitrine6.
Les auteurs de l'étude n'ont pas constaté de changement entre 2019 et 2020. Pourtant, 2020 est l'année du pic de la Covid-19. L'évolution des chiffres est intervenue début 2021. Les chercheurs notent qu'entre janvier et mai 2021, il y a eu une augmentation drastique des appels liés aux arrêts cardiaques et aux syndromes coronariens aigus.
Entre janvier et mai 2021, chez les personnes de 16 à 40 ans :
– les appels liés aux arrêt cardiaques ont augmenté de 25% chez les hommes et de 31% chez les femmes ;
– les appels liés aux syndrome coronariens aigus ont quant à eux augmenté de 21% chez les hommes et de 40% chez les femmes.
L'étude rappelle que ces deux pathologies sont responsables de plus de 10% des morts subites chez les jeunes adultes mais n'avance pas de chiffre précis sur la mortalité potentielle liée aux vaccins ARN chez les moins de 40 ans.
Les conclusions de cette étude s'ajoutent à celles tout à fait officielles du ministère de la Santé israélien qui, dans une autre étude, estime qu'il existe un lien entre la 2e dose des injections ARN et un risque accru de myocardite chez les personnes entre 16 et 30 ans7.
Toujours en Israël, une enquête du ministère de la Santé réalisée auprès de 2000 Israéliens vaccinés, pris au hasard, constate que 51% des femmes et 35% des hommes ayant eu des effets secondaires ont du mal à mener leurs activités quotidiennes. En outre, 4,5% des personnes vaccinées auraient subi des effets secondaires neurologiques.
Les données s'accumulent en Israël. Elles montrent que la vaccination a causé de nombreux effets secondaires graves au sein de la population, notamment chez les plus jeunes. Mais pour l'instant personne ne revient sur la stratégie du tout vaccinal. Comment admettre une telle erreur, quand les décisions ont été poussées aussi loin ?

Inquiétude chez les sportifs

La polémique autour du joueur de tennis serbe, Novak Djokovic, ayant refusé la vaccination ARN contre la Covid a fait couler beaucoup d'encre notamment en Australie où il n'a pas obtenu de visa pour jouer l'un des tournois du Grand Chelem les plus prestigieux de l'année. Ce joueur était alors numéro 1 mondial, favori pour remporter l'Open d'Australie ce qui aurait permis de battre le record de Grand Chelem détenu par un joueur de tennis à ce moment-là. En effet, il en avait gagné 20, Rafael Nadal, 20 également et Roger Federer 20 aussi. Mais Novak Djokovic a refusé le vaccin ARN, donc il n'a pas concouru et Rafael Nadal a gagné, passant devant lui. La place de meilleur joueur de tous les temps au tennis s'est jouée sur le choix de faire ou non un vaccin. Ce choix le prive également de la possibilité de jouer à l'US Open, un autres des quatre grands tournois de l'année et peut-être la dernière occasion pour lui d'essayer de rattraper son concurrent. Novak Djokovic a refusé la gloire éternelle au nom de ses convictions et surtout de sa santé8.
Au regard des chiffres publiés sur le syndrome de mort soudaine de l'adulte chez les sportifs, les inquiétudes du sportif par rapport au vaccin ne semblent pas avoir été exagérées. Ainsi, le Comité international olympique lui-même a constaté une augmentation conséquente des morts subites chez les athlètes en 2021. Historiquement, la mort subite chez les athlètes était de 1 sur 40 000 à 1 sur 80 000, ce qui est déjà assez élevé, et s'explique par le fait qu'ils mettent leur corps à rude épreuve.
Selon le comité, entre 1966 et 2004, il y a eu 1101 décès chez les sportifs de moins de 35 ans, soit une moyenne annuelle de 29 décès. Mais entre mars 2021 et mars 2022, on compte déjà 769 athlètes ayant eu un problème cardiaque grave ou mortel. Il y aurait eu 1090 arrêts cardiaques en tout pour 715 décès chez les athlètes olympiques[8]. De même, l'UEFA a noté le décès de 21 joueurs de football professionnels en 2021 par mort subite contre 5 habituellement, soit une augmentation de 420% du nombre de morts[1],9,10.
Ces chiffres ont suscité des polémiques médiatiques importantes. Reuters et l'AFP ont critiqué la journaliste israélienne ayant révélé cette information dans le journal Real Times News11,12. Toutefois, il est également possible que Reuters et l'AFP ait été missionnés par le gouvernement américain pour soutenir la campagne de vaccination ARN, ce qui rend leur prises de positions moins crédibles13.

Le témoignage des compagnies d'assurance-vie américaine

Pierre Korry, pneumologue américain reconnu, rapporte sur son blog les propos du patron de One America, une compagnie d'assurance-vie au chiffre d'affaires de 100 milliards d'euros. Ce dernier a affirmé que les taux de mortalité lors des premiers mois de 2021 chez les 18-64 ans étaient jusqu'à 40% plus élevés que ce qu'ils étaient avant la pandémie. Il a estimé qu'on n'avait jamais vu une telle augmentation de la mortalité dans ce groupe d'âge qui, par ailleurs, constitue les forces vives du pays, ceux qui travaillent et qui permettent à la société de tenir[10].
Pierre Korry cite également Edward Dowd, un analyste financier de haut vol, ancien directeur général chez Blackrock qui constate également une hausse sans précédent de la mortalité aux États-Unis, du point de vue du secteur des assurances-vie. Ainsi, la mortalité a augmenté de 57% pour Lincoln National, 41% pour Prudential, 32% pour Hartford, 24% pour MetLife et 21% pour RGA[10].
Pour ces entreprises, cette augmentation du nombre de décès et donc de personnes à indemniser constitue un enjeu important. Leurs cadres et dirigeants demeurent consternés par l'ampleur du phénomène et le coût que cela représente pour le secteur.

Les militaires américains ne sont pas sereins

Toujours aux États-Unis, une polémique a éclaté lorsque différents sites Internet ont publié des chiffres inquiétants sur les effets secondaires subis par les soldats à l'issue de la campagne de vaccination contre la Covid-19. La plupart de ces articles et de ces discussions ont disparu d'Internet. Étaient mentionnés des problèmes de santé tels que l'infertilité chez les femmes, des problèmes neurologiques, des cancers en augmentation et des morts subites de l'adulte14,15.
L'un des médecins qui soutenaient les témoignages de militaires et la parution sur Internet des chiffres controversés s'appelle le Dr Robert Malone. Il a été directement impliqué dans la fabrication des vaccins.
Mais constatant des signaux inquiétants sur le terrain, il est allé consulter la base de données des militaires. Il a constaté une augmentation des morts subites qui correspondaient aux informations sur le terrain. Et il en a alors informé l'opinion publique.
Dans un premier temps l'armée a confirmé l'existence de ces bases de données. Elle n'a pas non plus remis en cause les chiffres actuels. En revanche, elle a procédé à une réévaluation de ses données entre 2016 et 2020. Elle a considéré que les estimations du passé étaient fausses et qu'il fallait les oublier. Elle a publié de nouvelles données montrant qu'il n'y a pas d'évolution inquiétante du nombre de morts subites dans l'armée américaine. Depuis cette polémique, le Dr Robert Malone est présenté comme un complotiste irresponsable qui diffuse régulièrement de fausses informations sur la pandémie. Il a été expulsé de Twitter16.
La plupart des articles et des données concernant l'armée américaine ne sont plus accessibles sur Internet. L'armée américaine a publié une réponse officielle avec des données réévaluées. L'institution y explique qu'elle travaille de manière étroite avec le CDC, le centre américain des maladies infectieuses. Sur ce sujet, le débat aux États-Unis est clos17.

Et en Europe ?

La notion de mort subite de l'adulte est très peu reprise par les médias européens. Cette réalité semble inexistante. En revanche, le lien entre l'augmentation des myocardites et la vaccination contre la Covid-19 est officiellement établi. En France, une étude financée par l'ANSM et l'assurance maladie le dit en ces termes18 :
« Le risque de myocardite et de péricardite est augmenté au cours de la première semaine suivant l'administration des deux vaccins chez les hommes et les femmes. Le risque de myocardite est le plus marqué après la deuxième dose de mRNA-1273, (...) parmi les hommes et les femmes âgés de 18 à 24 ans. »
Le risque serait plus élevé chez les hommes que chez les femmes. Il aurait été de 5 pour 100 000 pour la deuxième dose. Toutes les myocardites n'ont pas mené à la mort des patients. En revanche, on sait que les myocardites diagnostiquées ou non sont une des causes principales des morts subites chez les adultes.
La population de moins de 50 ans massivement vaccinée a donc probablement été fragilisée par ces injections à ARN expérimentales. S'il est aujourd'hui difficile d'établir un lien direct entre la vaccination et les morts subites des adultes, le doute persiste.
On peut se demander si le vaccin ARN n'a pas eu une incidence sur les faits divers suivants :
– La nageuse professionnelle de 24 ans manque de mourir après avoir eu un malaise dans la piscine où elle venait de plonger19.
– Le chauffeur de car qui meurt subitement, laissant son véhicule s'encastrer dans un bâtiment au milieu de Paris20.
– Le conducteur lyonnais de 51 ans qui a eu un accident, juste après un arrêt cardiaque ele 30 juin dernier21.
On ne connaît pas leur statut vaccinal. C'était peut-être simplement le hasard.
Néanmoins, vu les chiffres et les études sur les effets secondaires des vaccins ARN, je me pose désormais la question lorsque ce type de fait divers survient : cette personne était-elle vaccinée ? Est-ce que cela a joué dans son état de santé ?
Il est temps de changer de stratégie contre la Covid-19 et ses très nombreux variants.
Affaire à suivre...

Jérôme



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