Vaccination obligatoire contre le Covid-19 : le texte rejeté en commission au Sé

Démarré par Ouebmestre, 07 Octobre, 2021, 12:19:02

« précédent - suivant »

Ouebmestre

Vaccination obligatoire contre le Covid-19 : le texte rejeté en commission au Sénat
par Guillaume Jacquot.
Après les soignants, faut-il étendre la vaccination obligatoire contre le Covid-19 à l'ensemble de la population ? Dans sa grande majorité, la commission des affaires sociales du Sénat a considéré que ce n'était pas nécessaire. Réunie ce mercredi 6 octobre dans la matinée, elle n'a pas adopté la proposition de loi déposée par le groupe socialiste le 31 août. Une majorité de sénateurs a considéré qu'il fallait continuer à convaincre les dernières personnes, plutôt que d'imposer une obligation.
Aucun texte n'étant sorti de la commission, c'est donc la proposition de loi initiale qui sera débattue dans l'hémicycle, le 13 octobre. Logiquement, les mêmes rapports de force devraient se reproduire, les groupes LR et Union centriste ayant voté contre le texte dans leur majeure partie.
« Il faut continuer à augmenter la couverture vaccinale, sans aller à cette obligation », explique à l'issue de la réunion la présidente de la commission, Catherine Deroche (LR), qui préfère continuer à « convaincre ». La mise en œuvre concrète de la loi fait aussi partie des réserves qui ont été exprimées. « L'obligation doit s'assortir d'un contrôle. Si on oblige sans contrôle, on ne voit pas comment cela peut fonctionner », insiste Catherine Deroche. Le seul amendement en discussion, qui prévoyait de mettre en place des sanctions en cas de non-respect de l'obligation vaccinale, n'a pas été adopté non plus.
René-Paul Savary (LR), fait partie des membres de la commission qui ont choisi de s'abstenir. Il estime que la question mérite « beaucoup d'humilité ». « Il y a eu autant d'arguments convaincants pour l'obligation que d'arguments convaincants pour ne pas la rendre obligatoire ».
La vaccination, « seul moyen d'atteindre une protection collective suffisante », selon le rapporteur Bernard Jomier La vaccination, « seul moyen d'atteindre une protection collective suffisante » et de « transformer l'épidémie en un phénomène à bas bruit avec d'éventuelles résurgences saisonnières, tout en conciliant l'impératif de protection de la santé publique et un traitement égalitaire de nos concitoyens ». C'est la principale conclusion du rapport de Bernard Jomier, présenté à ses collègues ce matin. Le sénateur rappelle que le variant Delta, avec son plus haut degré de transmissibilité, a changé la donne et nécessite désormais un taux d'immunité de la population (vaccinale ou acquise après infection) compris entre 90% et 95%.
Si le rapport reconnaît que l'instauration du passe sanitaire a permis d'accélérer la campagne vaccinale en France, il s'inquiète surtout de la chute du nombre de premières injections depuis le 31 juillet. « Rapportée à la population éligible, c'est-à-dire âgée de plus de 12 ans, la couverture vaccinale atteint, le 1er octobre 2021, 84,1% de schémas vaccinaux complets », détaille le rapporteur.
Bernard Jomier épingle également les « difficultés pratiques » du passe sanitaire, « notamment s'agissant des modalités de son contrôle à l'entrée de certains lieux collectifs, comme les établissements de santé, les Ehpad et les restaurants ». « L'impact du passe sanitaire sur la circulation du virus reste ainsi discutable », ajoute-t-il. Le rapport évoque la possibilité que des personnes non vaccinées et non testées puissent « être tentées de se reporter en plus grand nombre sur des lieux collectifs non soumis au passe sanitaire ».
9 millions de personnes non vaccinées Le sénateur relève « la permanence d'inégalités préoccupantes dans la diffusion de la vaccination ». Au 29 septembre 2021, le nombre de personnes éligibles non encore vaccinées est estimé à 9,2 millions, selon son rapport. Parmi les autres gros réservoirs de classes d'âges à atteindre : les 12-17 ans (environ 1,8 million de personnes restent à vacciner), ou encore les 30-39 ans (environ 1,75 million de personnes).
Bernard Jomier met notamment en avant la situation de personnes isolées, « éloignées » de la vaccination. 84% des personnes de plus de 80 ans, seulement, sont vaccinées. Un niveau bien inférieur à celui observé chez nos voisins européens. Le médecin alerte aussi sur la couverture vaccinale des personnes atteintes de maladies chroniques (obésité, cancer, diabète ou hypertension) : 14,4% d'entre elles n'ont pas encore de schéma vaccinal complet. Le décret du 14 juillet 2021, qui a ouvert la possibilité pour les médecins de recevoir la liste de leurs patients non vaccinés, et les efforts de l'Assurance maladie pour sensibiliser et aller vers les publics éloignés, n'ont pas empêché la campagne vaccinale de plafonner.
Le rapport liste plusieurs éléments qui plaident en faveur de l'obligation vaccinale. Le premier précédent est celui de l'obligation vaccinale des personnels soignants, entrée en vigueur le 8 août. Au 21 septembre, selon Santé publique France, 90% des agents des établissements de santé ont reçu au moins une dose. La part monte à 95,5% chez les professionnels libéraux. Le rapporteur met en avant l'exemple de la Nouvelle-Calédonie, où elle a été votée le 3 septembre. « La courbe des vaccinations en Nouvelle Calédonie s'est fortement accélérée au début du mois de septembre », note-t-il. Il tire aussi l'expérience de l'extension des obligations de vaccins chez les enfants en 2018. Il y a un an, Santé publique France soulignait que pour les enfants soumis à l'obligation vaccinale nés après le 1er janvier 2018, l'objectif de 95% pour la première dose du vaccin contre la rougeole, les oreillons et la rubéole était presque atteint. La vaccination obligatoire est « un outil qui produit aussi des résultats », conclut Bernard Jomier. La vaccination obligatoire est « un outil qui produit aussi des résultats », selon Bernard Jomier (00:45).
Le rapporteur s'est aussi appuyé sur les positions exprimées ces dernières semaines après plusieurs instances. Le 8 septembre, l'Académie nationale de Médecine a appelé à « remplacer au plus tôt le passe sanitaire par un passe vaccinal » pour atteindre l'immunité collective. Déjà le 19 juillet, en pleine flambée des contaminations au variant delta, l'Académie recommandait de « ne rendre obligatoire qu'une seule mesure : la vaccination contre la Covid-19 de tous les Français âgés de 12 ans et plus ». Quant à la Haute Autorité de Santé, le 9 juillet, elle a indiqué, qu'au-delà de la vaccination obligatoire des professionnels de santé, il est « nécessaire d'entamer dès à présent la réflexion sur une extension plus importante de cette obligation vaccinale en population générale ».
Théoriquement, les auteurs de la proposition de loi ne sont pas isolés au Sénat. Le 1er juillet, la mission d'information sénatoriale (transpartisane) sur les effets du confinement recommandait la vaccination obligatoire pour les 24-59 ans. Fin juillet, au moment des débats sur le projet de loi instaurant l'obligation vaccinale pour les soignants et le passe sanitaire, quelques orateurs avaient reconnu que l'idée d'une vaccination générale défendue par les socialistes allait probablement s'imposer à l'avenir. Le rapport de Bernard Jomier rappelle enfin que le président du Sénat lui-même n'a pas exclu cette hypothèse. « Si nous voyons que c'est nécessaire, alors il faudra y aller », indiquait Gérard Larcher le 15 juillet sur RTL. Il précisait que ce sujet devrait être réexaminé au dernier trimestre 2021.
« Mise en place d'un passeport vaccinal » Bernard Jomier souhaite une amende forfaitaire de 135 euros en cas de non-respect de l'obligation vaccinale contre le covid-19 (à partir du 1er janvier 2022). Celle-ci pourrait être majorée à 1 500 euros en cas de récidive. Le rapporteur évoque également la possibilité de la « mise en place d'un passeport vaccinal pour accéder à certains lieux ». Ces deux dispositifs pourraient « constituer les solutions les plus opérationnelles en mettant l'ensemble de nos concitoyens sur un pied d'égalité », selon lui.
Plusieurs modalités de la vaccination obligatoire ne figurent pas dans la proposition de loi. C'est notamment le cas de l'âge à partir duquel la vaccination serait obligatoire. Celui-ci sera fixé dans un décret pris en Conseil d'État, après avis de la Haute Autorité de Santé. Exactement comme le prévoit déjà la législation actuelle avec les onze obligations vaccinales déjà en place pour les enfants nés à partir de 2018.
Un autre aspect devra être réglé par la voie réglementaire : la définition du schéma vaccinal. À l'heure actuelle, il faut justifier d'une dose de vaccin Janssen ou de deux doses pour les autres vaccins homologués pour le passe sanitaire.
Le Code de la santé publique prévoit par ailleurs que les obligations vaccinales peuvent être suspendues par simple décret du gouvernement, pour tout ou partie de la population, afin de tenir compte de l'évolution de la situation épidémiologique et des connaissances médicales et scientifiques.



source : https://www.publicsenat.fr
via https://nicolasbonnal.wordpress.com
Donne un cheval à celui qui dit la vérité : il en aura besoin pour s'enfuir.

Ouebmestre

Je relaie ici un article que Doctorix a posté pour Agoravox, où il ne passera hélas pas.

« Primum non nocere », ou encore : « errare humanum est, perseverare diabolicum ».

Je relaie avec émotion cette lettre ouverte à nos parlementaires d'un confrère chirurgien qui fait partie des rares à ne pas avoir perdu la tête au cours de cette hystérie propagandiste qui a touché la majorité des Français, résultat de techniques très élaborées de la psychologie comportementale et du mind control.
Le peuple de France, et les médecins entre autres, sont entrés à fond dans un délire issu d'une peur irraisonnée qu'on leur a enfoncée dans le cerveau, mais qui ne reposait sur rien.
Cette lettre s'adresse aux parlementaires, à leur sens des responsabilités en regard de l'Histoire, mais aussi par rapport à eux-mêmes : il est temps qu'ils cessent d'être les godillots, les suiveurs d'un pouvoir sans âme et sans conscience, qui ne fait qu'obéir à des instances supranationales, et met en oeuvre un plan qui les dépasse.
Il est temps pour la France de retomber sur ses pieds, de retrouver son ben sens perdu. Il est temps de regarder en face les dégâts engendrés, incommensurables, les bénéfices obtenus, quasi nuls, et d'arrêter les frais. Un crime est en cours, c'est faire acte de complicité de le laisser continuer. Les coupables paieront un jour, mais ce n'est pas l'urgence, l'urgence est d'arrêter la machine en folie.
Merci à ce confrère qui, lui, n'a pas oublié son serment d'Hippocrate. 
Texte
‌Le Professeur Balique, Membre de l'Académie Nationale de Chirurgie, a écrit le 2 octobre une lettre ouverte aux parlementaires concernant l'obligation vaccinale. La voici :


Au moment où vous allez discuter de l'obligation vaccinale, il est de mon devoir en tant que médecin, père et grand-père, de vous alerter sur la catastrophe sanitaire qui se déroule sous nos yeux, à l'ombre des autorités de tutelle. Je précise d'emblée que je ne suis ni complotiste ni anti-vaccins (je me fais régulièrement vacciner contre la grippe et je n'ai pas des a priori envers les vaccins « classiques » rendus obligatoires dans notre pays).

Le vaccin contre la Covid 19, en novembre 2020, devait nous sauver et nous ramener à une vie normale. Maintenant que nous avons du recul, il devient plus « facile » de faire le bilan du bénéfice-risque de la stratégie vaccinale.

La première constatation qui s'impose est que le « vaccin » ne protège pas et n'empêche pas de contaminer (cf. déclaration du Ministre de la Santé Olivier Véran devant le Conseil d'État au mois d'avril 2021). L'exemple d'Israël que nos autorités ont pris comme modèle montre que les hospitalisations et les réanimations sont débordées de personnes vaccinées ! On ne cite plus Israël actuellement ! Une étude parue dans European Journal of Epidemiology le 30 septembre 2021 confirme que les pays où le pourcentage de population vaccinée est le plus élevé, ont un nombre de cas de Covid-19 pour 1 million d'habitants plus élevé (exemple Israël, Portugal, Islande...). Nous n'avons jamais vu en médecine imposer un traitement ou une vaccination qui ne marche pas (sauf pour les personnes à risque où la balance bénéfice/risque est différente).

Ceci ne serait pas dramatique si cette stratégie n'était pas à l'origine de complications graves, mortelles, inadmissibles et éthiquement insupportables pour tout médecin qui, tous les jours, se bat, pour soulager et soigner des patients. Les médecins « du terrain » croient encore au serment d'Hippocrate qui a été leur guide depuis des siècles et que les politiques les obligent à bafouer. Les principes fondamentaux du serment dont « primum non nocere » (avant tout ne pas nuire), le secret médical, le consentement libre et éclairé... ont été rejetés d'un revers de main.

Comme vous le savez, ce vaccin est en cours de phase d'expérimentation, phase 3 de mise au point d'un médicament. Maintenant que cette phase, déclenchée au niveau mondial, a du recul, les médecins du terrain voient apparaître de nombreuses complications. Au 2 octobre 2021, l'agence européenne du médicament, l'EMA, recensait 26523 décès liés formellement au vaccin et 2 millions de complications dont 1 million graves. Ces chiffres ne représentent qu'une partie des cas observés. En France, l'Agence nationale du médicament (ANSM) dans son rapport du 16 septembre 2021 rapporte 22559 cas graves parmi lesquels des décès. De nombreux cas ne sont pas rapportés pour différentes raisons.

En France, l'expérience du terrain rapportée par les médecins de ville et hospitaliers montre clairement l'accroissement des complications survenant dans les semaines suivant la vaccination : de nombreux cas de paralysie faciale, de myocardite et péricardite dans les suites précoces de la vaccination, des complications cardio-vasculaires (Infarctus, AVC) chez des sujets relativement jeunes et pas forcément à risque cardio-vasculaire, de nombreux cas de thrombose veineuse et d'embolie pulmonaire. Les médecins signalent une élévation fréquente des marqueurs de thrombose (D-Dimères) parfois à des taux anormalement élevés, une fatigue et altération de l'état général accélérée chez les patients âgées, des cancers jusque là contrôlés, explosent après vaccination, des maladies auto-immunes comme des polyarthrites, des thyroïdites se dérèglent dans les semaines qui suivent la vaccination.

L'ANSM indique comme « signaux confirmés » la myocardite et la péricardite de survenue précoce après la vaccination avec les vaccins Comirnaty (Pfizer/BioNTech) et Moderna sans donner le nombre exacts de malades et en minimisant la pathologie alors que les complications et les séquelles à long terme peuvent être graves.

Depuis le début de la vaccination des 12-18 ans, 206 cas d'effets indésirables graves (dont des décès) ont été rapportés avec le vaccin Comirnaty et 18 cas graves avec Moderna alors que nous sommes à peine à 3 mois et demi de vaccination dans ce groupe d'âge. Il s'agit de jeunes qui n'étaient pas à risque de forme grave ni de décès du Covid mais qui vont garder probablement à vie des séquelles de la vaccination. Ces derniers jours, deux adolescentes sans facteurs de risques viennent de décéder et un jeune a été amputé d'une jambe, 15 jours après le vaccin. N'est-ce pas un sacrifice que la société fait et quel est le prix à payer ? À partir de combien de décès d'adolescents diriez-vous STOP à la vaccination des jeunes qui n'ont rien à gagner car ils sont à faible risque de forme grave et de décès du Covid ?

Chez les femmes, des troubles des règles, des fausses couches ou des morts du fœtus in utero au cours des grossesses sont observés. Comment se fait-il que la Direction Générale de la Santé autorise la vaccination dès le premier trimestre de la grossesse alors que les données sur la sécurité du vaccin chez les femmes enceintes sont limitées et incomplètes ? Où est le principe de précaution ?

Toutes ces complications surviennent précocement après la vaccination chez des personnes sans antécédent ayant une vie normale. Elles surviennent aussi chez des sportifs qui ont dû arrêter leur activité après avoir été vaccinés, hypothéquant leur carrière : Jérémy Chardy, Christophe Lemaitre en sont les exemples les plus célèbres... Parallèlement dans la même population de personnes sans co-morbidité, non vaccinées il n'y a aucun décès du Covid, seules sont exposées les personnes à risque, c'est pour cette population là que le « vaccin » peut avoir une certaine protection.

Malheureusement ces complications sont passées sous silence, elles ne remontent pas aux tutelles ou celles-ci ne veulent pas les voir. Ce drame humain sanitaire ne va faire qu'empirer avec la persistance de cette vaccination et la multiplication probable des doses. La mise au point d'un essai de vaccin anti H1N1 a été arrêté pour beaucoup moins de complications. Aucun des vaccins obligatoires n'a entrainé de telles complications. Actuellement les médecins voient plus de patients en consultations pour des complications du vaccin que du COVID lui-même. La balance bénéfice/risque n'est pas en faveur du « vaccin » dans cette population.

Pourquoi voulez-vous encore rendre obligatoire un « remède » plus dangereux que la maladie chez les personnes sans risques !

Il est urgent d'en tirer les conséquences, au moment où l'immunité naturelle se développe, où le variant Delta s'avère beaucoup moins agressif et que l'épidémie décroît. Ne recommencez pas le syndrome de Tchernobyl où l'on nous a affirmé que le nuage nucléaire radio-actif s'était arrêté à la frontière. N'oubliez pas le scandale du Sang contaminé. À ce sujet, savez-vous que l'Etablissement français du sang exige un délai de 28 jours après vaccination avec vaccin atténué (Rougeole, Rubéole, Oreillons, Fièvre jaune...) mais ne prend aucune précaution quant aux donneurs de sang récemment vaccinés avec ces nouveaux vaccins dont on connaît incomplètement la biodistribution dans le corps. N'est-ce pas encore une fois une ignorance du principe de précaution et un potentiel scandale à venir ?

Même si vous n'êtes pas médecin, regardez autour de vous ce qui se passe, recherchez l'information. Vous avez le droit de vous informer car vous êtes nos représentants.

La vérité commence à éclater. Déjà le vaccin Astra Zeneca a été interdit chez les moins de 55 ans à la suite de thromboses (c'est dire l'innocuité de ces vaccins !) puis récemment le Janssen et progressivement on voit des États remettre en cause la vaccination généralisée :

Au Royaume Uni, la vaccination est interdite aux moins de 15 ans et ils viennent de renoncer à la vaccination obligatoire. Au Texas la vaccination des jeunes est interdite.

Au Danemark, seules sont vaccinées les personnes à risques et il y a une liberté totale retrouvée sans pass sanitaire.

En Afrique, on observe une mortalité 10 fois inférieure à la nôtre alors qu'il n'y a que 2 % de vaccinés (on annonçait une catastrophe sanitaire !)

Tous ces soignants, médecins, infirmières, aides-soignants mais aussi pompiers qui sont montrés du doigt ne sont pas des antivaccins mais redoutent les effets d'un « vaccin » encore en expérimentation dont ils voient dans leur pratique directement les effets néfastes.

Ces soignants « du terrain » voient des vrais malades, les médecins des plateaux télé extrapolent à partir de chiffres des probabilités dont la grande majorité se sont avérées erronées.

Dans cette crise il ne doit pas y avoir de couleur politique mais un consensus pour défendre la santé des français qui vous ont élus.

Au nom de toutes les victimes, au nom de tous ces soignants muselés qui ne peuvent pas s'exprimer sous peine de sanctions, du jamais vu dans un pays soit disant de liberté, je vous demande de regarder au-delà des chiffres officiels totalement manipulés et de refuser la vaccination obligatoire, à plus forte raison pour les enfants dont on met en danger l'avenir.

Faites au minimum un moratoire, au cours duquel vous pourrez entendre l'avis de nombreux médecins, scientifiques et autres qui essayent de se faire entendre mais qui sont systématiquement boycottés quand leur avis va à l'encontre de la politique sanitaire gouvernementale. Il faut aussi ré-évaluer la fiabilité des tests utilisés, discuter des traitements actuellement proposés.
Supprimer le passe sanitaire et faite arrêter la propagande honteuse et mensongère sur la vaccination : « tous vaccinés = tous protégés » slogan complètement faux, on le sait maintenant !

Lever les sanctions de tous les soignants non vaccinés interdits d'exercer alors qu'ils sont passionnés par leur vocation et qui ne sont pas devenus plus dangereux le 15 septembre que le 15 juin. Certains hôpitaux malgré l'interdit continuent à juste titre d'employer des personnels non vaccinés pour pouvoir maintenir leur activité sans aucune conséquence sanitaire mais en créant une inégalité criante par rapport à ceux qui ne peuvent pas travailler. Rappelez-vous que vous les avez encensés lors de la première vague et qu'un certain nombre d'entre eux sont morts pendant cette vague faute de masques et de moyens de protection.

La stratégie imposée est déconnectée de la réalité : c'est une pandémie qui s'accompagne d'une mortalité de 0.05 %, représentée par les personnes à risque, la moyenne d'âge des décès est de 83 ans, un peu moins actuellement car les personnes les plus fragiles sont décédées lors de la première vague. Que l'on propose une vaccination est logique à condition d'avoir un vrai vaccin ce qui n'est pas encore le cas et en respectant la volonté de chacun (il ne s'agit pas d' Ebola, d'une méningite ou de la variole...). En attendant, en cas de maladie, il est possible de proposer, à un stade précoce, des traitements. De nombreux médecins les ont prescrits avec succès. Ils peuvent même être proposés à titre préventif chez les personnes à risque. Ces personnes sont connues et peuvent donc être protégées isolément (notamment par ce « vaccin » dont c'est la seule indication) sans pénaliser le reste de la population.

Sachez que vous aurez été informé et que le moment venu, lorsque la vérité éclatera, car elle éclatera tôt ou tard compte tenu de l'accumulation des données scientifiques et des données du terrain sur les complications, votre responsabilité risque d'être engagée.

En espérant être entendu au nom des victimes du vaccin et des soignants qui refusent cette expérimentation et en restant à votre disposition, je vous prie de croire, Messieurs et Mesdames les élus (es), en mes respectueuses salutations.

Addendum pour ceux qui voudraient en savoir plus sur les techniques de mind control dont toute l'humanité a été la victime : pour se sortir du piège, il faut bien connaître les armes de ses ennemis.
https://blogs.mediapart.fr/nana75105hotmailcom/blog/150721/la-semantique-esclavagiste-du-mind-control
Donne un cheval à celui qui dit la vérité : il en aura besoin pour s'enfuir.