SARS-CoV-2, «vaccins» à ARN messager : Une affaire «pliée» ? Pas vraiment

Démarré par Ouebmestre, 10 Janvier, 2024, 21:44:13

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SARS-CoV-2, «vaccins» à ARN messager : Une affaire «pliée» ? Pas vraiment



par Jacques Henry

Premier point. Un cardiologue de premier plan : tous ceux qui ont encouragé la vaccination sont «complices de crimes contre l'humanité».

Article paru le 30 décembre 2023 sous la plume Franck Bergman sur le site Slay, traduit par votre serviteur. Les ajouts entre crochets et en caractère italiques facilitent la compréhension ou sont la manifestation de mon opinion personnelle.

L'un des plus grands cardiologues du monde s'est prononcé pour avertir les personnes ayant encouragé la vaccination du public avec des injections d'ARNm qu'elles sont «complices d'un crime contre l'humanité». Le Dr. Peter McCullough, l'un des cardiologues les plus publiés au monde tire la sonnette d'alarme depuis un certain temps au sujet de l'impact des injections sur la santé publique. L'expert de haut niveau a demandé que les injections soient interdites, craignant que les injections d'ARNm Covid soient responsables de pics récents de caillots sanguins, d'accidents vasculaires cérébraux, d'insuffisance cardiaque et de décès soudains.

Maintenant, McCullough a envoyé un message direct aux personnes impliquées dans le déploiement public des injections. Ce crime est un homicide massif par négligence.


Les commentaires de McCullough viennent après qu'il ait continuellement averti les gouvernements mondiaux des effets secondaires des injections.

En novembre, McCullough a averti le public et les représentants du gouvernement, en termes non équivoques, que les vaccins contre le COVID-19 sont dangereux et «dangereux pour l'usage humain». M. McCullough a témoigné devant le Parlement européen lors d'une audition organisée par cinq membres du Parlement européen (MPE), comme l'a rapporté Slay News. L'audience visait à répondre aux préoccupations concernant la prise de pouvoir de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS), organisation mondialiste.


YouTube video

McCullough a donné la preuve de l'énorme vague de dommages causés par les injections d'ARNm Covid. Le célèbre expert en cardiologie a déclaré aux responsables de l'Union européenne que le récit suggérant que le Covid est à blâmer pour les pics d'arrêts cardiaques, d'accidents vasculaires cérébraux et de morts subites, est faux. Il a déclaré aux législateurs que la flambée des problèmes de santé et les décès connexes sont vrais. Cependant, McCullough a témoigné devant l'audience que les injections d'ARNm Covid sont à l'origine de la montée en flèche des taux de maladie et de mortalité, et non le virus lui-même. «La voie à suivre est, de toute évidence, que personne ne fasse une autre injection, personne», a déclaré McCullough.

«Les vaccins contre le COVID-19 et tous leurs successeurs [utilisant la même technologie] et leurs stimulants [nano particules lipidiques] ne sont pas sûrs pour l'usage humain». «L'OMS soutient ces vaccins», a-t-il ajouté.

«Je crois que l'Union européenne, les États-Unis et tous les principaux intervenants devraient se retirer complètement de l'OMS».

«Au début de la pandémie, l'OMS a mené une enquête sur les origines du virus SARS-CoV-2, et c'est à ce moment que le camouflage a commencé» a expliqué McCullough aux députés. «Nous savions à l'époque... Anthony Fauci, Francis Collins, Jeremy Farrar qui était à la Wellcome Trust [et] qui est maintenant le scientifique en chef à l'OMS, Kristian Andersen à Scripps [Recherche], Eddie Holmes à Sydney, Peter Daszak à EcoHealth Alliance – ils ont tous conspiré en janvier 2020 pour dissimuler ce qu'ils savaient.

Que le virus a été conçu dans le cadre d'une collaboration américano-chinoise au laboratoire de Wuhan, en Chine [il s'agit de la thèse officielle soutenu par le gouvernement américain] Et ils ont trompé le monde avec 12 articles frauduleux subséquents dans la littérature évaluée par des pairs».

Les vaccins ont ravagé les populations du monde entier.

Dans le monde, les deux tiers des personnes ont pris un vaccin... [le vaccin ARN messager] qui est le code de la protéine potentiellement mortelle du virus.

C'était la pire idée jamais vue d'installer le code génétique par injection et de permettre la production débridée d'une protéine potentiellement mortelle dans le corps humain pendant une durée incontrôlée. «Tout ce que nous avons appris sur le vaccin depuis sa sortie est horrible, dans 3400 manuscrits évalués par des pairs, il a été prouvé que la protéine de pointe [protéine de la spicule du virus ou spike] est à l'origine de quatre grands domaines de maladie.

L'un d'eux est la maladie cardiovasculaire, l'inflammation cardiaque ou myocardite... Le domaine cardiovasculaire des dommages causés au corps humain par le vaccin est plus important que tout ce que nous avons vu avec le cholestérol, l'hypertension artérielle ou le diabète... Nous avons vu des arrêts cardiaques deux ans après ces injections».

«Le deuxième domaine majeur est celui des maladies neurologiques», a-t-il noté. Accidents vasculaires cérébraux, à la fois ischémiques et hémorragiques, syndrome de Guillain-Barré, paralysie ascendante qui peut entraîner la mort [et] qui a entraîné la mort avec des vaccins à ARN messager, une neuropathie des petites fibres, un engourdissement et des picotements, des bourdonnements dans les oreilles [et] des maux de tête.

«Ils sont communs», a-t-il affirmé. «Le troisième domaine majeur est celui des caillots de sang – des caillots de sang comme jamais auparavant. La protéine Spike est la protéine la plus thrombogène que nous ayons jamais vue en médecine humaine... la protéine Spike provoque des caillots sanguins.

Le quatrième et dernier domaine [est] les anomalies immunologiques.

La thrombocytopénie thrombotique induite par la vaccination [VITT] et le trouble inflammatoire du système musculaire sont des syndromes aigus précoces. 73,9% des décès après la vaccination sont dus au vaccin... lorsqu'il s'agit d'une myocardite présumée... c'est 100% et c'est dû au vaccin.

«Pas la maladie respiratoire provoquée par le coronavirus – le vaccin», a-t-il souligné. Le premier faux récit était «le virus est inattaquable, nous devons rester en confinement et avoir peur». Le deuxième faux récit est «prenez un vaccin, c'est sûr et efficace». Le troisième faux récit maintenant est «ce n'est pas le vaccin qui cause ces problèmes, c'est le coronavirus, c'est le SARS-CoV-2 que nous avons vue en 2020 qui cause tous ces problèmes en 2023». «Ne tombez pas dans le piège du faux récit... Les vaccins causent cette énorme vague de maladies».

Le Dr McCullough a expliqué qu'il semble qu'environ 30% des personnes qui ont reçu une injection n'ont aucun effet indésirable, pas même un bras douloureux. Un peu moins de 70% semblent avoir «certains effets secondaires modérés, certains problèmes, mais ils ne semblent pas vraiment y avoir d'événements graves». Et puis environ 4,2% – «ça brise le plafond des statistiques : myocardite, arrêt cardiaque, caillots de sang, accident vasculaire cérébral hémorragique, incapacités, mort subite à la maison au lit». C'est la même chose aux États-Unis, a dit M. McCullough. 4,2% des Européens sont actuellement en difficulté parce qu'ils ont eu la malchance d'obtenir un lot à haut risque. La voie à suivre est, de toute évidence, que personne ne fasse une autre injection – personne... les vaccins contre le coronavirus et tous leurs descendants et leurs futurs rappels ne sont pas sûrs pour l'usage humain ...

Je vous implore... d'exercer toutes les pressions et l'urgence de retirer du marché les vaccins contre le coronavirus. «L'OMS soutient ces vaccins. Ils sont beaucoup plus un problème qu'une aide... Et je crois que l'Union européenne, les États-Unis et tous les principaux intervenants devraient se retirer complètement de l'OMS».

Deuxième point. Le 17 décembre dernier j'avais relaté que l'ARN messager utilisé pour produire le «vaccin» anti-SARS-CoV-2 codant pour la protéine spike était mal traduit par les ribosomes car l'introduction de pseudo-uridine censée améliorer la stabilité de cette longue molécule conduisait à des erreurs de lecture1. Or cette information date de 2014 ! En effet dans certaines conditions la cellule est capable de procéder à une «pseudo-uridination» de l'ARN comme par exemple les petits ARNs régulateurs mais non codant pour une protéine, certains ARNs de transfert (ceux qui sont reconnus par le ribosome lors de la traduction de l'ARN messager codant pour une protéine lors du processus complexe de la synthèse de la protéine et enfin les ARNs 5S et 16S dits ribosomaux constitutifs du ribosome lui-même. Or l'article cité en référence ci-dessous datant donc de 2014 précise bien que des codons contenant une pseudo-uridine sont mal lus ou pas lus du tout [codon stop] par le ribosome (doi:10.1038/nature13802 disponible en utilisant le site du NIH ou de GoogleScholar). Ce phénomène de pseudo-uridination par la cellule ne concerne donc jamais les ARNs messagers qu'il s'agisse des levures ou des cellules humaines ou animales en culture dans des conditions de culture activant la synthèse de pseudo-uridine car de telles modifications peuvent être fatales pour la cellule. Les fabricants de «vaccin» anti-SARS-CoV-2 étaient certainement informés mais ils ont néanmoins choisi de risquer la vie de centaines de millions de personnes dans le monde en produisant massivement l'ARN messager contenant un important nombre d'uridine modifiée dans sa séquence partant du principe «qu'ils ne savaient pas». Il s'agit donc d'une escroquerie que je m'efforce sur ce blog de dénoncer.

En conclusion de cet article il paraît opportun de poursuivre devant les tribunaux ces imposteurs que sont les laboratoires pharmaceutiques tels que Pfizer, BioNtech, Moderna et d'autres qui comme l'indique le cardiologue Peter McCullough sont des criminels. L'affaire du coronavirus et des «vaccins» n'est donc par terminée...
source : Jacques Henry

https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/12/17/sars-cov-2-les-revelations-terrifiantes-dune-equipe-de-biologistes-britanniques-au-sujet-du-vaccin-a-arn-messager/

https://reseauinternational.net/sars-cov-2-vaccins-a-arn-messager-une-affaire-pliee-pas-vraiment/
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SARS-CoV-2 : Les révélations terrifiantes d'une équipe de biologistes britanniques au sujet du «vaccin» à ARN messager



par Jacques Henry

Lorsque le Docteur Alexandra Henrion-Caude exposa il y a quelques jours que la présence de pseudo-uridine introduite dans la séquence de l'ARN messager qui a été injecté à des milliards de personnes dans le monde dans le but (non prouvé) de les protéger contre le SARS-CoV-21 j'ai retrouvé l'article dont elle parlait avec effarement et effroi (lien en fin d'article en accès libre). En effet Alexandra est une généticienne de renommée internationale spécialiste des Acides Ribo-Nucléiques. Elle a été censurée et c'est la raison pour laquelle elle n'a pu exposer son émotion que sur une chaine télévisuelle alternative. C'est donc pour éclairer les lecteurs de ce blog que j'ai écrit cet article un peu technique mais compréhensible.

L'ARN messager est produit dans le noyau cellulaire à partir de l'ADN et son but est de servir d'information à la machinerie cellule située hors du noyau pour fabriquer des protéines. Cet équipement complexe s'appelle le ribosome et se trouve dans un ensemble complexe entourant le noyau cellulaire appelé le réticulum endoplasmique. Les protéines synthétisées se répartissent ensuite dans la cellule selon leur fonction. L'information désignant au niveau du ribosome la nature de l'acide aminé à ajouter à la chaine peptidique est un codon, c'est-à-dire un triplet de bases puriques ou pyrimidiques qui dans l'ARN sont l'adénine, l'uridine, la guanine et la cytidine. De nombreuses tentatives antérieures au coronavirus pour mettre au point des techniques thérapeutiques nouvelles utilisant le même principe d'utilisation de l'ARN messager avaient échoué car la molécule d'ARN est très susceptible à une activité enzymatique appelée RNase qui fait le nettoyage dans la cellule et le liquide interstitiel de l'organisme, toute molécule d'ARN pouvant constituer un danger pour l'organisme.

Les sociétés Moderna et Pfizer-BioNtech ont donc appliqué un stratagème pour améliorer la stabilité de l'ARN messager en remplaçant les uridines par une base artificielle appelée pseudo-uridine, et en complexant cet ARN modifié avec des acides gras synthétiques le «paquet-cadeau mortel» fut proposé aux autorités sanitaires mondiales et nationales pour protéger les populations contre le SARS-CoV-2. Quand j'écris le paquet-cadeau mortel c'est pour insister sur le fait que ces fabricants n'avaient pas prouvé que cette mixture artificielle ne protégeait pas contre le virus ni ne protégeait contre la transmission mais il apparaît qu'ils ignoraient aussi quels pouvaient être les effets de l'introduction de pseudo-uridine dans cette séquence d'ARN messager. En théorie la protection devait être obtenue en injectant aux individus cet ARN messager codant pour une partie de la protéine de la spicule du coronavirus, la sous-unité 1, afin que l'organisme produise cette protéine puis réagisse contre sa présence indésirable et ainsi s'immunise contre le virus. L'épidémie devrait alors rapidement s'éteindre si les populations étaient contraintes par le pouvoir politique de subir ces injections.

Sur le papier c'était tellement séduisant que personne n'ignore la suite de cette opération mensongère à commencer par les effets secondaires de cette vaccination d'un nouveau type.

Mais il y a bien pire, une zone d'ombre que viennent d'exposer une équipe de biologistes britanniques dirigée par le Docteur Anne E. Willis de l'Université de Cambridge. Il s'agit d'un dysfonctionnement des ribosomes quand ils «lisent» l'ARN messager synthétique. La pseudo-uridine est mal reconnue et ignorée par le ribosome et celui-ci reconnaît alors le triplet suivant, ce qui conduit à la synthèse de protéines aberrantes qui n'ont rien à voir avec la séquence de la protéine de la spicule du coronavirus. Personne ne connait les effets de ces protéines néo-synthétisées par les cellules d'une personne ayant subi sous la contrainte l'injection d'un tel ARN messager modifié avec des pseudo-uridines ! Outre le fait que l'efficacité de cette approche vaccinale n'a jamais été prouvée par les fabricants de cette mixture artificielle, elle induit potentiellement une multitude d'effets potentiellement délétères pour l'organisme.

Cet article publié le 6 décembre 2023 constitue un argument suffisant afin de poursuivre les laboratoires pharmaceutiques sus-nommés pour tromperie voire escroquerie délibérée. Il est nécessaire que les autorités de sécurité sanitaire sensées protéger la population exigent un abandon immédiat de la technique vaccinale utilisant l'ARN messager compte tenu de ce résultat ignoré par les dits laboratoires pharmaceutiques. Pourquoi faut-il des années pour mettre au point un vaccin ? Tout simplement parce que tous les risques potentiels doivent être systématiquement explorés : personne ne peut se permettre de commercialiser un vaccin qui présente le moindre risque pour la santé, or ce n'est pas le cas des vaccins ChAdOx1 et BNT162b2 qui ont été injectés à des milliards de personnes dans le monde sur recommandation de l'OMS.

Juste pour illustrer graphiquement l'objet de cette étude afin de ne pas compliquer la compréhension de ce présent article, voici schématiquement ce qui se passe de manière totalement hors de contrôle dans la cellule d'un individu soumis à cette pseudo-vaccination, «+1 frameshift» signifiant un glissement du cadre de lecture des triplets (ou codons) de une base pseudo-uridine (capture d'une partie de la fig.2 de l'article) :



Le Docteur Henrion-Caude s'était émue de la vitesse avec laquelle la technique «ARN messager» avait été avalisée par l'OMS et les autorités sanitaires nationales et elle avait raison. Elle a été ostracisée, attaquée par les médias à la solde des grands groupes financiers. Qu'on me traite de complotiste, je m'en moque mais les évidences scientifiques sont là, elle sont irréfutables : cette technique est toxique et doit être abandonnée pour revenir à la mise au point de vaccins plus traditionnels comme des virus entiers désactivés compte tenu du fait que les techniques de production de tels vaccins sont rodées et parfaitement connues malgré le fait que les virus pathogènes ayant un ARN comme patrimoine génétique ont la fâcheuse tendance à muter très rapidement et que la mise au point d'un vaccin n'est valable que sur une courte période. Le Docteur Robert Malone, le précurseur dans le domaine de l'utilisation des ARN-messager à des fins thérapeutiques spéciales dans le cas de maladies incurables pour lesquelles toutes les approches curatives avaient échoué. Or dans le cas du coronavirus, les biologistes chinois avaient clairement identifié l'efficacité de l'hydroxychloroquine pour faire baisser la charge virale en tout début de maladie lors de l'épidémie de SRAS il y a vingt ans. L'argument mis en avant par l'OMS d'absence de traitement précoce était donc un autre mensonge afin de mettre en place cette vaccination de masse.

Avec les effets persistants de cette thérapie avec ARN messager sur l'espérance de vie les preuves s'accumulent en défaveur de ce qui est appelé abusivement un vaccin. Le cas du Japon constitue incontestablement un exemple du caractère létal de cette approche thérapeutique délibérément bâclée en raison d'une urgence qui n'existait pas. Les Japonais sont obéissants et donc aveuglément dociles. Ils appliquent scrupuleusement les directives gouvernementales et dans le cas de la vaccination avec ARN messager ils se sont pliés à de multiples injections qualifiées de rappels, «boosters», comme vous voudrez. Les effets se font toujours sentir sur le nombre de morts inexpliquées comme l'indique la figure suivante :



La mortalité a brusquement augmenté à l'issue de l'épidémie de coronavirus au cours des années 2022 et 2023, respectivement de 10 et 8,6%, alors que durant les années précédentes cette mortalité était monotone croissante en raison du vieillissement de la population. Patrice Gibertie en a conclu, sur la base de données officielles, que la seule explication de ce phénomène alarmant était la campagne de vaccination délirante à laquelle les Japonais ont consenti en se soumettant parfois à plus de 5 injections de «rappel»2. Tous les laboratoires pharmaceutiques qui ont commercialisé à la hâte ce vaccin mal étudié sont donc coupables, appelons un chat un chat, de crime délibéré contre l'humanité ! Ces laboratoires ne seront jamais poursuivis pénalement car ils disposent de tous les arguments pour affirmer que ce n'était pas eux les coupables mais l'OMS et les autorités nationales et internationales de sureté des médicaments.

les ... Dans quel monde étrange vivrons-nous ?Ainsi des juristes et des avocats chevronnés sont confrontés à une mission complexe : déterminer la part de responsabilité des fonctionnaires qui composent ces organismes, la FDA aux États-Unis, l'Agence européenne de la sureté du médicament, les organismes publics nationaux équivalents. Ils découvriront alors que tous ces organismes sont totalement corrompus par les puissances financières qui contrôlent ces laboratoires pharmaceutiques. Ce sera donc une mission impossible et tout rentrera dans l'ordre avec de nouvelles épidémies provoquées par des virus manipulés en laboratoire et à nouveau les peuples serviront d'animaux de laboratoire, mourront pour participer au sauvetage du climat, ne pourront plus avoir d'enfants et ceux qui souffriront de séquelles des thérapies imposées par les décideurs politiques seront euthanasiés comme les «vieux» devenus inutiles ... Dans quel monde étrange vivrons-nous ?

source : Jacques Henry

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