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Non au "pass nazitaire", non à l'injection d'immuno-toxiques aux enfants !

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Administrateurs / Enorme afflux de robots survei...
Dernier message par Ouebmestre - 28 Avril, 2024, 23:43:45
Enorme afflux de robots surveilleurs, en moyenne une quarantaine. Septante-quatre à l'instant.
Cela signifie que l'empire du mensonge prépare un assaut, guette chaque mot qui pourrait exciter l'appareil judiciaire, le mettre au service du crime de masse.

 
#12
Comparaisons internationales / Le témoignage d’un des meilleu...
Dernier message par Ouebmestre - 17 Avril, 2024, 17:59:17
Le témoignage d'un des meilleurs cardiologues britanniques, au début partisan de la vaccination covid, il a pris conscience du désastre



par Patrice Gibertie

En Europe, ça bouge, nous avons évoqué la Suisse, l'Allemagne, maintenant la Finlande.

Le témoignage du Dr Aseem Malhotra a été prononcé devant le tribunal du district d'Helsinski le 12 avril 2024
https://www.aussie17.com/p/dr-aseem-malhotras-explosive-court

Voici la première heure du témoignage.

«Je m'appelle le docteur Aseem Malhotra. Je suis cardiologue consultant. Je suis médecin diplômé depuis 2001. J'ai occupé diverses fonctions tant dans le domaine de la politique de santé universitaire. En Angleterre, au Royaume-Uni, et des différents rôles, je ne vous ennuierai pas avec tous les détails. Je pense que trois des plus pertinents et des plus marquants sont le fait que j'ai été ambassadeur de l'Academy of Medical Royal Colleges pendant six ans, qui représentait tous les médecins du Royaume-Uni. J'ai servi un mandat complet de six ans en tant qu'administrateur du fonds du roi. J'étais le plus jeune membre à être nommé à cet organisme qui conseille le gouvernement sur la politique de santé.

J'ai été membre fondateur d'Action on Sugar et premier directeur scientifique. Et grâce à ce rôle, je suis considéré comme le principal militant en faveur d'une taxe sur les boissons sucrées au Royaume-Uni. Et enfin, j'ai été pendant cinq ans professeur invité de médecine factuelle à l'École de médecine Bahiana à Salvador, au Brésil. Début 2020, au début de la pandémie, j'étais le médecin le plus bruyant du grand public, faisant très tôt le lien entre le COVID et ceux qui sont vulnérables aux complications graves du COVID.

En fait, en mars 2020, on m'a demandé d'aller sur Sky News pour expliquer les résultats de mes premières recherches sur le lien entre l'obésité et le COVID, mais aussi pour donner aux gens une opportunité et pour suggérer au gouvernement que c'était le moment idéal pour mettre en œuvre une politique de santé publique visant à aider les gens à améliorer ou à optimiser leur système immunitaire, ce qui pourrait se produire quelques semaines seulement après un changement de régime alimentaire et une optimisation de la vitamine D.

Cela a également été confirmé par des publications dans des revues médicales quelques mois plus tard. Et j'ai été le premier à mentionner au verso d'un article que j'ai publié dans le journal Daily Telegraph, qui est devenu un commentaire en première page et a été repris par BBC News et Good Morning Britain, dans lequel j'avais dit que c'était probablement notre Premier ministre, Boris Johnson, a été hospitalisé en raison de son poids.

En conséquence, le secrétaire à la Santé de l'époque, Matt Hancock, et cela a été annoncé dans les médias, m'a demandé de le conseiller sur le lien entre le COVID et l'obésité. (...) avant d'expliquer mon parcours et, à bien des égards, de faire demi-tour sur ma compréhension en termes d'avantages et d'inconvénients du vaccin COVID, mon expérience dans ce domaine au cours des deux dernières années m'a fait réaliser plus que jamais que même pour cela, les plus grands obstacles à la vérité ne sont pas les barrières factuelles ou intellectuelles, mais psychologiques.

Je pense que nous tous, en tant qu'êtres humains, sommes vulnérables à ces barrières psychologiques et que nous devrions avoir de la compassion envers nous-mêmes. Et je vais juste résumer très brièvement ces trois barrières psychologiques avant d'entrer dans mon récit détaillé de ce dans quoi j'ai été impliqué en ce qui concerne le vaccin COVID. La première barrière psychologique est celle de la peur. Et beaucoup d'entre nous, naturellement, et je m'en souviens encore au début de la pandémie, nous avions tous peur. Nous ne savions pas à quoi nous avions affaire. Le problème avec la peur est que lorsque les gens et les populations sont dans un état de peur, nous sommes moins susceptibles de nous engager dans une réflexion critique et nous sommes plus susceptibles de nous conformer.

Bien que le COVID ait été particulièrement dévastateur pour les groupes vulnérables de personnes âgées et que j'aie même eu à gérer et gère encore des personnes atteintes d'un long COVID, la peur était largement exagérée. Et un exemple de cela est que lorsque nous avions de bonnes informations sur le taux de mortalité du COVID aux États-Unis, une enquête réalisée en 2020 a révélé que 50% des Américains pensaient que s'ils attrapaient le COVID, le risque d'être hospitalisé était de 50%, alors que le chiffre réel, certainement une moyenne pour les personnes d'âge moyen, était inférieur à 1%.

Le deuxième obstacle à la vérité, qui, à mon avis, est très pertinent dans la situation dans laquelle nous nous trouvons actuellement, est celui qu'on appelle l'aveuglement volontaire. C'est à ce moment-là que les êtres humains, nous tous, sommes vulnérables à cela, fermons les yeux sur la vérité pour se sentir en sécurité, éviter les conflits, réduire l'anxiété et protéger notre prestige et nos egos fragiles. Quelques exemples de ceci incluent, sur le plan personnel, un aveuglement volontaire qui peut survenir lorsqu'un conjoint ferme les yeux sur la liaison de son partenaire.

Au niveau institutionnel, quelques bons exemples d'aveuglement volontaire incluent Hollywood et Harvey Weinstein, l'Église catholique et la pédophilie. Je crois que la situation actuelle dans laquelle nous nous trouvons, avec une grande partie du discours dominant, de l'establishment médical et des décideurs politiques qui ne reconnaissent pas les dommages assez horribles, graves et courants causés par ce vaccin, est un autre exemple d'aveuglement volontaire.

Et je dis cela aussi avec toute l'empathie, parce que j'ai fait partie de ces personnes qui ont été pendant très longtemps volontairement aveugles aux méfaits du vaccin COVID.

En janvier 2021, j'ai été l'une des premières personnes à prendre deux doses du vaccin à ARNm contre la COVID, car j'étais bénévole dans un centre de vaccination. Je continue de croire que les vaccins traditionnels sont parmi les plus sûrs parmi toutes les interventions pharmacologiques en médecine et je ne peux concevoir aucune possibilité que ce vaccin puisse causer des dommages. En tant que personnalité publique et médecin respecté au Royaume-Uni, j'ai noué des relations à tous les niveaux avec de nombreuses autres personnalités publiques, notamment des célébrités et des hommes politiques, qui viennent souvent me consulter pour obtenir des conseils médicaux.

L'une de ces personnes était la réalisatrice Gurinder Chadha, dont vous connaissez peut-être certains de ses travaux, notamment le film «Bend It like Beckham», qui m'avait demandé si elle devait ou non se faire vacciner et m'avait envoyé des blogs que je rejeté et considéré comme un non-sens anti-vax. On m'a alors demandé de partir bonjour, Grande-Bretagne, car Gurinder Chadha, la réalisatrice elle-même, a tweeté que je l'avais convaincue de se faire vacciner.

La principale raison de cette apparition télévisée était de contribuer à lutter contre l'hésitation à la vaccination, très répandue parmi les personnes issues de groupes ethniques minoritaires au Royaume-Uni. J'ai fait valoir dans ce programme que je comprenais d'où venait l'hésitation à la vaccination en raison de l'histoire dans laquelle j'ai participé pendant de nombreuses années à mettre en évidence les lacunes de l'influence de l'industrie pharmaceutique sur la médecine.

Et j'ai même souligné, si je me souviens bien, qu'ils ont été reconnus coupables de fraude à de nombreuses reprises, que la troisième cause de décès, prépandémique après les maladies cardiaques et le cancer, était la prescription de médicaments. J'ai cependant rassuré le public en lui disant que malgré ces chiffres, de tout ce que nous faisons en médecine, les vaccinations traditionnelles sont parmi les plus sûres. Je crois toujours que c'est le cas.

Quelques mois plus tard, en avril 2021, j'ai rencontré un de mes collègues et amis que je considère comme l'un des cardiologues les plus brillants du Royaume-Uni. J'ai été surpris lorsqu'il m'a dit qu'il n'avait pas pris le vaccin contre la COVID. Il m'a expliqué qu'il était inquiet parce qu'il avait vu dans l'annexe supplémentaire de l'essai initial de Pfizer qu'il y avait eu quatre arrêts cardiaques dans le groupe vacciné et un seul dans le groupe placebo.

Ces chiffres étaient faibles et n'atteignaient pas une signification statistique. Cela pourrait donc être un hasard, ou son inquiétude était que cela pourrait représenter un signe de problèmes à l'avenir. Et si tel était le cas, nous aurions un énorme problème. Il a dit qu'il préférait attendre de voir ce qui se passerait avant de se faire vacciner.

Le 26 juillet 2021, mon père, âgé de 73 ans, qui était un médecin très éminent et bien connu au Royaume-Uni, notamment vice-président honoraire de la British Medical Association et qui avait reçu les honneurs de la reine d'Angleterre avec un OBE, a subi un arrêt cardiaque soudain et inattendu.

J'ai été particulièrement dévasté par cet événement et j'avais également du mal à comprendre pourquoi mon père, qui était un homme en bonne santé, je connaissais ses antécédents cardiaques et son état cardiaque, subirait un arrêt cardiaque. Mais mon enquête initiale consistait également à essayer de comprendre pourquoi l'ambulance avait attendu 30 minutes pour arriver à son appartement.

Deux semaines plus tard, l'infirmière en chef adjointe du NHS England, un organisme gouvernemental de santé, m'a appelé. Elle était très bouleversée, elle connaissait très bien mon père et elle pleurait et elle m'a dit : «Aseem, il y a quelque chose que je dois te dire». Elle m'a en effet dit que dans tout le pays, au cours des deux derniers mois précédant l'arrêt cardiaque de mon père, dans la plupart des régions du Royaume-Uni, les ambulances n'arrivaient pas à temps aux patients en cas de crise cardiaque ou d'arrêt cardiaque.

Et il y a eu une tentative délibérée, et j'utiliserai ces mots parce que je l'ai mentionné, je l'ai déjà mentionné, d'une dissimulation impliquant le gouvernement et le ministère de la Santé pour cacher cette information aux médecins et au public. J'ai travaillé avec un journaliste d'investigation du journal I au Royaume-Uni pour écrire un article et un reportage qui ont fait la une de la BBC quelques mois plus tard, dévoilant ce phénomène. Juste avant d'exposer cela, j'ai envoyé un message à un professeur de cardiologie en qui j'ai confiance au Royaume-Uni. Il a un rôle de leader pour lui expliquer ce qui s'est passé et ce que j'allais faire. J'en ai la preuve par SMS. Il m'a dit de ne pas faire ça parce que cela me ferait des ennemis. Je lui ai expliqué que j'avais un devoir envers les patients et le public.

Je souligne cela comme un exemple et je vais vous donner d'autres exemples d'un problème culturel au sein de la médecine. La partie suivante de cette histoire concerne les découvertes post mortem de mon père. Ils n'avaient aucun sens pour moi. Je suis considéré comme un expert de premier plan, peut-être au monde, en matière de développement et de progression de la maladie coronarienne. Mon père avait deux graves blocages des artères coronaires. Il n'y avait aucune preuve réelle d'une crise cardiaque et il y avait probablement un trouble du rythme dû à une diminution de l'apport sanguin qui a conduit à son arrêt cardiaque.

Puis, en l'espace de quelques semaines, vers les 3 octobre et 3 novembre, différentes sources d'informations ont été portées à mon attention et m'ont fait réaliser qu'il y avait probablement un problème important avec le vaccin à ARNm contre la COVID. La première en octobre 2021. Je me souviens que je donnais des conférences à Stockholm. J'ai été contacté par un journaliste du Times qui m'a dit : Dr Malhotra, nous avons des rapports faisant état d'une augmentation inexpliquée de 25% des crises cardiaques dans les hôpitaux en Écosse et m'a demandé ce que je pensais qu'il se passait. Je lui ai expliqué qu'à ce moment-là, avec les preuves que je connaissais de ma propre expérience, j'avais dit que deux facteurs contributifs probables étaient le stress du confinement. Nous savons que lorsque les populations subissent un stress intense après la guerre, par exemple, on assiste à une augmentation des crises cardiaques et des accidents vasculaires cérébraux qui peuvent durer de nombreuses années.

Elle m'a demandé si je pensais qu'il y avait une contribution. J'ai été surpris lorsqu'elle m'a demandé si je pensais que le vaccin contre la COVID pouvait contribuer à ces crises cardiaques. Je lui ai dit qu'un bon scientifique ne devrait jamais exclure aucune possibilité. Mais je pensais à l'époque qu'il était peu probable que cela soit lié au vaccin contre la COVID. Mais nous devrions surveiller cet espace et garder les yeux ouverts. Quelques semaines plus tard, une publication parue dans le Journal Circulation, considéré comme la revue de cardiologie ayant le plus grand impact aux États-Unis, révélait un lien potentiellement très fort entre les vaccins à ARNm contre la COVID et l'accélération du risque de crise cardiaque. Plus précisément, chez plusieurs centaines de personnes d'âge moyen, il existait un mécanisme plausible, par l'utilisation de marqueurs inflammatoires dans le sang, qui augmentait le risque de base de ces personnes ayant une crise cardiaque en cinq ans, de 11% à 25%, soit seulement dans les deux mois suivant la vaccination à ARNm contre la COVID.

Bien sûr, il ne s'agit que d'une donnée, mais même si elle est partiellement vraie, cela représente une énorme augmentation du risque en très peu de temps. Et pour moi, cela m'a fait réfléchir et revenir sur la raison pour laquelle mon père a pu subir un arrêt cardiaque six mois après avoir reçu deux doses de vaccin. Je me souviens avoir pensé et parlé à un collègue que si cela était vrai, nous allions alors assister à une augmentation des arrêts cardiaques, des crises cardiaques et des décès excessifs dans les pays fortement vaccinés au cours des prochaines années.

Puis, quelques semaines plus tard, j'ai été interpellé par un lanceur d'alerte d'une institution britannique très prestigieuse. Je nommerai cette institution, ce que je n'ai jamais fait publiquement auparavant, comme l'Université d'Oxford. Ce cardiologue m'a expliqué qu'un groupe de chercheurs de son département avait accidentellement découvert, grâce à l'utilisation d'une imagerie très spécialisée du cœur, qu'il y avait un signal d'inflammation accrue des artères cardiaques, qui était présent chez les vaccinés, mais pas là chez les non vaccinés.

Le chercheur principal de ce groupe s'est assis, les juniors, et a déclaré que nous n'allions pas approfondir ces découvertes car cela pourrait affecter notre financement auprès de l'industrie pharmaceutique. À ce moment-là, avec ces trois éléments d'information, j'ai alors senti qu'il était de mon devoir éthique de m'exprimer. Et je suis allé sur GBNews pour parler de ce que j'avais découvert, de ce que j'avais entendu et j'avais demandé au Comité des vaccins du Royaume-Uni à la télévision d'enquêter sur cela, pour voir s'il y avait un réel problème avec le vaccin par rapport à problèmes cardiaques.

À peu près au même moment, ce que j'ai trouvé très étrange, c'est que le secrétaire d'État à la Santé à l'époque, qui n'était pas Matt Hancock, mais Sajid Javid, avait annoncé au Parlement que nous allions introduire une législation pour garantir que tous les travailleurs de la santé soient mandatés à prendre le vaccin contre la COVID. Pour moi, à ce stade, cela n'avait aucune justification éthique ou scientifique, car après l'été 2021, il était devenu très évident que le vaccin à ARNm contre la COVID n'arrêtait pas l'infection et qu'il n'arrêtait certainement pas la transmission.

Il était entendu qu'environ 80 000 travailleurs du NHS avaient refusé à ce stade de se faire vacciner contre la COVID. Et maintenant, ils étaient menacés de perdre leur emploi s'ils n'étaient pas complètement vaccinés en avril de l'année suivante. Beaucoup de ces personnes étaient très inquiètes et m'ont contacté à cette époque. Je menais également de nombreuses interviews, à la fois par la BBC, Sky News et GBNews, sur ce qui s'était passé avec le retard de l'ambulance de mon père. Et j'ai profité de cette opportunité dans les grands médias pour appeler Sajid Javid, le secrétaire à la Santé, à faire volte-face sur l'introduction d'un mandat pour les travailleurs de la santé, sur la base du fait que je pensais que ce n'était pas scientifique et contraire à l'éthique.

J'ai également reçu ma propre réaction personnelle à la suite de ces commentaires. J'ai été contacté par le Collège royal des médecins avec lequel j'étais affilié, et ils m'ont demandé de répondre aux plaintes anonymes de médecins selon lesquelles je diffusais, entre guillemets, de la désinformation antivax.

J'ai senti, grâce à ma propre connaissance et expérience du système de santé, qu'il s'agissait d'une réponse directe probablement alimentée par une combinaison d'aveuglement volontaire et de corruption institutionnelle. Pour aller plus loin, lorsque je parle de corruption institutionnelle, je veux dire que, selon moi, les plaintes étaient probablement alimentées par des universitaires ayant des liens financiers avec l'industrie pharmaceutique. Je me sentais très préoccupé par l'introduction potentielle du vaccin, enfin, par le mandat du vaccin. Et c'est pourquoi j'ai décidé de faire deux choses. La première a été que j'ai téléphoné au président de la British Medical Association en décembre 2021.

J'avais de bonnes relations avec lui et il a respecté mon opinion. Et j'ai passé 2 heures au téléphone à lui expliquer tout ce que je savais jusque-là sur mes inquiétudes concernant le vaccin COVID à ARNm. Il m'a dit, «Il semble que personne ne semble évaluer de manière critique les preuves sur le vaccin à ARNm contre le COVID aussi bien que vous l'avez fait lors de notre conversation, a-t-il déclaré. La plupart de mes collègues obtiennent leurs informations sur les avantages et les inconvénients du vaccin auprès de la BBC».

L'ancienne présidente du CDC aux États-Unis, Rochelle Walensky, a repris cette idée en déclarant que son optimisme initial quant aux avantages du vaccin provenait d'un reportage de CNN News. Je dis cela simplement pour souligner que nous devrions tous accepter nos vulnérabilités quant à l'endroit où nous recevons des informations sur la santé. Même les médecins, les décideurs politiques, les juges et les avocats sont tous massivement influencés par les grands médias sur le public. Le président de la BMA était également d'accord avec moi. Il n'y avait aucune justification éthique ou scientifique pour rendre obligatoire le vaccin contre le COVID. Il a déclaré que la BMA ne le soutenait pas non plus. Et il a dit qu'à cause de ma conversation avec lui, il parlerait directement au secrétaire à la santé, Sajid Javid.

Un mois plus tard, fin janvier 2022, l'obligation de vacciner le personnel soignant contre la COVID-19 a été annulée. À ce stade, compte tenu du fait qu'il y avait eu des réactions négatives à mon égard, j'ai réalisé que parce qu'il s'agissait d'un problème et d'un domaine très importants, et non de mon domaine d'expertise initial, je devais mener ma propre analyse critique des vaccins à ARNm contre le COVID. J'ai passé six à neuf mois à évaluer les données de manière critique, notamment en m'adressant à deux lanceurs d'alerte de Pfizer, à trois journalistes médicaux d'investigation et à d'éminents scientifiques de l'Université d'Oxford, de Stanford et de Harvard.

L'élément le plus critique, la recherche la plus critique qui a été publiée sur cette question, et que je pense que l'ensemble du tribunal devrait reconnaître en août 2022, a été publié dans la revue Vaccine. Cette recherche a été menée par certains des plus grands universitaires indépendants et influents de l'industrie pharmaceutique au monde. Grâce à cette recherche, nous avons pu réanalyser les essais contrôlés randomisés originaux menés par Pfizer et Moderna. Ils ont pu le faire parce que de nouvelles informations ont été rendues disponibles sur le site Web de la FDA et sur celui de Santé Canada. Les conclusions de cet article étaient vraiment très inquiétantes.

Les essais initiaux qui ont conduit à l'approbation réglementaire de ces vaccins ont révélé que vous étiez plus susceptible de subir des dommages graves dus à la prise du vaccin, en particulier une hospitalisation, un événement qui change la vie ou un handicap, que d'être hospitalisé avec le COVID.

Juste pour vous donner une idée, historiquement, nous avons suspendu d'autres vaccins pour beaucoup moins. En 1976, le vaccin contre la grippe porcine a été retiré parce qu'il provoquait un syndrome neurologique appelé syndrome de Guillain-Barré chez une personne sur 100 000. En 1999, le vaccin contre le rotavirus a été suspendu car il provoquait une forme d'occlusion intestinale chez les enfants, touchant 1 personne sur 10 000.

C'était 1 sur 800. À mon avis, il était très clair que, compte tenu de ces informations, publiées dans la revue sur les vaccins la plus importante au monde, examinées par des pairs et n'ayant fait l'objet d'aucune réfutation significative, que ce vaccin, à mon avis, n'aurait jamais dû être approuvé pour utilisation chez un seul être humain en premier lieu. À mon avis, cette affaire judiciaire très importante, d'une certaine manière, détourne en fait l'attention d'un problème bien plus vaste, à savoir qu'il devrait y avoir des procès partout dans le monde avec une enquête approfondie sur l'industrie pharmaceutique et une enquête sur la manière dont nous avons obtenu ce résultat.

Bien sûr, on pourrait affirmer qu'il ne s'agit là que d'une simple recherche, mais en réalité, malheureusement, il existe de très nombreux courants de recherche différents qui montrent le signe d'un préjudice grave, considérable et commun, causé par ces vaccins. À partir des données de pharmacovigilance qui rapportent ce que nous appelons les rapports de carton jaune du public. Nous avons un mécanisme biologique plausible de préjudice.

Nous avons d'autres recherches appelées données d'observation. Nous disposons également de données d'autopsie confirmant que la majorité des personnes décédées peu de temps après avoir reçu le vaccin ont été définitivement causées par le vaccin. C'est vraiment une situation très, très, très horrible dans laquelle nous nous trouvons. On pourrait espérer et s'attendre à ce que les régulateurs évaluent de manière indépendante tous les médicaments.

Mais bien sûr, les faits révèlent que c'est loin d'être vrai. Une enquête du BMJ, également publiée à l'été 2022, a révélé que la plupart des principaux régulateurs du monde prenaient l'essentiel de leur argent à l'industrie pharmaceutique. Par exemple, la MHRA au Royaume-Uni reçoit 86% de son financement de l'industrie pharmaceutique, et la FDA aux États-Unis reçoit 65% de son financement de l'industrie pharmaceutique, un fait que la plupart des médecins ne connaissent pas.

Et par conséquent, je ne m'attendrais pas non plus à ce que les membres de la Cour sachent que les recherches financées par l'industrie pharmaceutique sont très, très rarement évaluées de manière indépendante. Les données des essais cliniques peuvent souvent impliquer des milliers de pages d'informations sur des patients individuels. Les sociétés pharmaceutiques conservent ces données brutes. Ils remettent ensuite les résultats sommaires au régulateur, qui paie alors, qui est incité à approuver les médicaments, et les médicaments sont ensuite approuvés.

J'ai fait valoir ces points dans mon article évalué par des pairs et publié dans le Journal of Insulin Resistance en septembre 2022, dans lequel j'ai conclu que nous devrions faire une pause et enquêter sur la question des vaccins à ARNm contre la COVID. Depuis lors, je fais campagne et plaide pour un retour à une pratique médicale éthique et fondée sur des preuves dans le monde entier. Certaines des solutions claires à venir consisteraient à modifier la loi, nécessaire pour que les patients, les médecins et les membres du public puissent avoir une plus grande confiance dans les informations qu'ils reçoivent pour prendre des décisions concernant leur santé.

Deux solutions très claires et simples, à la fois éthiques, scientifiques et démocratiques, seraient que l'industrie pharmaceutique soit autorisée à développer des médicaments, mais qu'elle ne soit pas autorisée à les tester elle-même. Et ils ne devraient certainement pas être autorisés à concevoir leurs propres recherches et à conserver les données brutes. Leurs informations doivent être évaluées de manière indépendante. Une autre solution claire serait également que les régulateurs médicaux, là encore, ne devraient pas prendre d'argent à l'industrie, car il s'agit d'un grave conflit d'intérêts. Je tiens également à souligner que les gens comprennent la situation dans son ensemble. Avant la pandémie, j'avais réalisé qu'il y avait un gros problème avec la fiabilité de la recherche clinique, où invariablement les résultats des essais cliniques sur tous les médicaments parrainés par l'industrie pharmaceutique exagèrent grossièrement leur sécurité et leurs avantages.

J'ai porté cette information au Parlement européen, où j'ai pris la parole en 2019, et j'ai parlé à de très hauts responsables politiques du gouvernement britannique. Mais même s'ils étaient sympathiques, ils estimaient que le problème les dépassait bien en tant qu'individus et qu'il fallait donc également l'attention des médias pour sensibiliser le public à l'importance d'une telle enquête. Avant de passer à d'autres questions, comme je parle depuis assez longtemps, je vais juste terminer avec deux références juste pour que le tribunal et les juges comprennent à quel point ce problème est grave. Avant la pandémie, l'homme que j'appelle le Stephen Hawking de la médecine est le professeur John Ioannidis de l'Université de Stanford. La raison pour laquelle je l'appelle le Stephen Hawking de la médecine est qu'il est le chercheur médical le plus cité au monde et qu'il est un génie mathématique. En 2006, il a publié un article intitulé «Pourquoi la plupart des résultats de recherche publiés sont faux». Dans cet article, il souligne que plus les intérêts financiers dans un domaine donné sont importants, moins les résultats de la recherche ont de chances d'être vrais.

Je dis cela dans le contexte du vaccin à ARNm Pfizer qui a rapporté 100 milliards de dollars à l'entreprise. L'autre point qu'il soulève dans un autre article de 2017 est, encore une fois, la raison pour laquelle le système continue ainsi, car la plupart des médecins ignorent que les informations qu'ils reçoivent lorsqu'ils prennent des décisions cliniques ont été corrompues par l'influence commerciale. L'autre nom crédible que je mentionnerai est celui du rédacteur en chef du Lancet, Richard Horton, que je connais personnellement. En 2015, il a écrit un article dans le Lancet concernant une réunion secrète qui avait eu lieu avec lui-même et certains des plus grands universitaires en médecine du monde. Dans ce document, il écrit que la moitié de la littérature médicale publiée pourrait être tout simplement fausse. Et il a dit que la science s'est tournée vers l'obscurité. Mais qui va faire le premier pas pour nettoyer le système ? Je crois que dans cette affaire et devant ce tribunal aujourd'hui, cela va être un moment potentiel très crucial dans l'histoire pour cette première étape.

Tweet complet : https://twitter.com/_aussie17/status/1779536297197219845

@_aussie17
Ex-Big Pharma Exec exposing Big Pharma here http://aussie17.com christianity: http://solomonsporch.net, telegram http://t.me/aussieseventeen
@LMucchielli

La parole se libère de + en + en Allemagne. Les pompiers berlinois signalent de fortes hausses de problèmes cardiaques et d'AVC suite aux vaccinations Covid ARNm
https://t.co/vYnuTHxyIU

source : Patrice Gibertie
#13
Comparaisons internationales / Le lanceur d’alerte sorti de p...
Dernier message par Ouebmestre - 14 Avril, 2024, 09:29:46
Le lanceur d'alerte sorti de prison confirme ses déclarations



par Patricia Harrity

Barry Young était administrateur de données pour le ministère de la Santé de Nouvelle-Zélande (NZ) et avait accès aux données de vaccination de nombreuses personnes. Il est devenu lanceur d'alerte le 30 novembre, en raison de son inquiétude quant à ce que montraient les statistiques. Samedi, sa révélation alarmante est devenue virale dans le monde entier et dimanche, son domicile a été encerclé par la police, son domicile a été perquisitionné et finalement il a été arrêté. Le gouvernement néo-zélandais se serait «démené» pour dissimuler cet événement en limitant la couverture médiatique en Nouvelle-Zélande et en affirmant même qu'il avait des injonctions pour empêcher tous les fournisseurs d'accès Internet de partager cette publication de données.

M. Young a comparu devant le tribunal le lundi 4 décembre, où il a reçu des applaudissements «enthousiastes» de la part de nombreux partisans qui ont rempli la tribune du tribunal. Il n'a cependant pas été libéré sous caution, mais a été détenu dans une prison néo-zélandaise pendant une deuxième nuit et n'a été libéré que mardi.

Le gouvernement néo-zélandais accuse Barry Young d'avoir «accédé à un système informatique à des fins malhonnêtes», mais il affirme n'avoir rien fait de malhonnête. Et selon CounterSpinMedia, «ces données ont été soigneusement analysées, anonymisées et décalées dans le temps pour empêcher que les informations personnelles ne soient divulguées dans le domaine public. Les données ont déjà été transmises à une multitude d'organismes de recherche et constituent apparemment la meilleure mine de données officielles du gouvernement sur le scandale COVID publiées jusqu'à présent».

«Le peuple néo-zélandais et le monde entier remercient le lanceur d'alerte, Barry Young (anciennement connu sous le nom de Winston Smith), pour son courage en divulguant ces données au grand public pour un examen approfondi», selon CounterSpinMedia, qui ajoute : «Bien sûr, la princesse féerique de la poussière de lutin de Nouvelle-Zélande, Jacinda Ardern, est au centre de cette parodie, et alors qu'elle s'est éloignée de la politique néo-zélandaise pour mener une attaque mondiale contre la liberté d'expression et la vérité dans le monde. Dans les médias, elle fera campagne pour des restrictions encore plus strictes en matière de «désinformation» afin de couvrir ses propres démarches gluantes».

Liz Gunn, avocate et journaliste d'investigation qui a aidé Barry Young à révéler que les données de vaccination contre le COVID provoquaient des morts massives, séjourne dans une maison sûre en Nouvelle-Zélande. Elle fait le point dans l'Alex Jones Show.

L'avocat/journaliste d'investigation qui a dénoncé les injections de COVID provoquant des morts massives en Nouvelle-Zélande fait une mise à jour majeure

Le lanceur d'alerte néo-zélandais sur les injections mortelles du COVID donne sa première interview et lâche d'énormes bombes de vérité !

Barry Young est interviewé par Alex Jones où il s'entretient également avec l'expert en statistiques Steve Kirsch.

Source

Le courageux Barry Young dit vouloir encourager d'autres lanceurs d'alerte à se manifester et continue heureusement de présenter ses découvertes choquantes au monde.
Pour écouter les vidéos c'est ici.

• https://madmaxworld.tv/watch?id=656fb30006
source : Marie-Claire Tellier via Profession Gendarme

#14
Psychologie sociale / Confinement : Analyse d’une «e...
Dernier message par Ouebmestre - 13 Avril, 2024, 14:37:58
Confinement : Analyse d'une «expérience d'obéissance de masse» par deux sociologues



par Alexandra Joutel

Auteurs d'un livre enquête, les sociologues Nicolas Mariot et Théo Boulakia reviennent sur l'expérience d'obéissance de masse que fut le grand confinement du printemps 2020. En abordant le sujet sous l'angle non pas sanitaire, mais réglementaire, ils montrent que la France a été particulièrement inégalitaire et coercitive durant cette période, et les Français dociles dans leur ensemble.

Une «gestion punitive des populations»

Dans un ouvrage paru en septembre 2023, «L'Attestation» (Éditions Anamosa), Nicolas Mariot et Théo Boulakia, tous deux sociologues, ont interrogé ce qu'il s'est passé lors du confinement du printemps 2020, n'hésitant pas à qualifier cet épisode d'«expérience d'obéissance de masse» conduisant à une privation importante des libertés.

En analysant le confinement sous l'angle réglementaire, les deux auteurs concluent même que le désir de contrôle social l'a emporté sur l'aspect sanitaire. «À l'occasion de cette pandémie, on a vu ressurgir de vieilles habitudes de gestion punitive des populations», affirme Nicolas Mariot dans une interview accordée au Journal du CNRS et publiée en ligne ce mercredi 10 avril.

Tous les pays n'ont pas confiné

Ce fut du moins le cas en France et dans quelques autres pays, mais pas partout, contrairement à ce que le gouvernement français et de nombreux médias ont voulu nous faire croire à l'époque. «Pour s'en tenir à l'Europe, cinq pays du Sud – la France, l'Italie, l'Espagne, la Grèce et Chypre – ont adopté les mesures parmi les plus strictes, avec attestation, soumettant toute circulation de leur population à des règles sévères, contrôlées par les forces de l'ordre.

Dans le même temps, les pays nordiques comme la Suède, la Finlande, le Danemark, la Norvège, les Pays-Bas, mais aussi la Suisse ou la Bulgarie, ont adopté comme partout des mesures sanitaires (port du masque, interdiction des rassemblements, recommandation de lavage des mains, etc.), mais ont laissé les sorties totalement libres», rapporte le sociologue dans l'interview.

Aucun effet sanitaire positif évident

Selon lui, «les pays qui ont adopté les règles les plus strictes n'étaient pas plus à risque, du point de vue sanitaire, que les autres. La différence de réaction est clairement liée aux habitudes coercitives des gouvernements : (...) plus les États européens comptent de policiers par habitant, ou plus ils ont l'habitude de s'affranchir des libertés publiques, plus ils ont enfermé leur population».

Une coercition qui n'a eu, de plus, aucun effet sanitaire positif évident. Toujours selon Nicolas Mariot, certains pays comme le Japon, Taïwan ou le Danemark n'ont pas confiné et ont enregistré un déficit de mortalité sur la période, tandis que d'autres qui ont énormément confiné ont connu une forte surmortalité (40% en Espagne, par exemple).

Une inégalité territoriale des mesures

Si les mesures prises face à une même menace ont été différentes d'un pays à l'autre, elles l'ont aussi été en France d'une région à l'autre, d'un département à l'autre, voire d'une ville à l'autre. «Par un décret du 23 mars, rappelle Nicolas Mariot, les préfets et les maires ont été encouragés à «utiliser la totalité de leurs pouvoirs de police» et à «adopter des mesures plus restrictives – que celles prises au niveau national – lorsque les circonstances légales l'exigent». Et ils n'ont pas hésité à user de ce pouvoir !»

Ainsi, les couvre-feux n'ont pas été instaurés partout de la même manière ni aux mêmes heures. L'accès aux lieux de loisirs et de détente était également variable selon les endroits, allant parfois jusqu'à «l'interdiction de s'asseoir sur les bancs publics» !

«Ces différentes mesures complémentaires ont souvent conduit à rompre avec l'un des principes fondamentaux de légitimation du confinement : l'égalité de tous face aux interdits», souligne Nicolas Mariot, assurant que «tout le monde n'a pas vécu le même confinement», y compris concernant la fréquence des contrôles et la fréquence des verbalisations, plus ou moins importantes selon les départements.

La peur du gendarme plus que celle du virus

Pour ce qui est de l'obéissance de masse, les Français ont accepté d'aller assez loin dans «l'expérience», notamment à travers la fameuse auto-attestation de sortie, qui a eu pour effet de «transformer chacun en gendarme de soi-même», comme le note le sociologue. La France est l'un des rares pays à avoir utilisé ce «dispositif de responsabilisation» et les Français s'y sont soumis avec une certaine facilité, tout comme ils se sont pliés, dans leur grande majorité, aux contraintes drastiques imposées. Pourquoi ?

«Nous avions deux hypothèses», explique le sociologue : «La peur du virus et la peur du gendarme». Or, l'enquête VicoLa vie en confinement», enquête sociologique par questionnaire en ligne menée du 15 avril au 11 mai 2020 auprès de la population française) a montré que «durant cette période, il n'y a jamais eu plus de 50% des gens qui respectaient les recommandations sanitaires (...). Donc la crainte du virus ne suffit pas, à elle seule, à expliquer l'obéissance massive aux règles».

Surveillance et délation

Si la peur du gendarme semble donc avoir été la plus déterminante, Nicolas Mariot n'écarte pas non plus «une dimension plus horizontale de l'obéissance, celle qui a trait à la comparaison avec autrui». Donner l'exemple, être le bon élève ou faire comme les autres, en allant parfois jusqu'à dénoncer son voisin «déviant» auprès des autorités locales (maire, police ou même médias). Une preuve, selon le sociologue, que «les règles ne sont pas mises en cause dès lors que leur application semble ne pas laisser place à l'arbitraire».

«Beaucoup de leçons à tirer de cette expérience»

Pour Nicolas Mariot, «il y a beaucoup de leçons à tirer de cette expérience, car nous ne sommes pas à l'abri d'une nouvelle pandémie». Le sociologue, également historien et spécialiste de la Première Guerre mondiale, ce qui lui avait déjà donné l'occasion d'étudier «une telle expérience d'obéissance à grande échelle», dit par ailleurs avoir été «surpris qu'une nouvelle forme d'union sacrée justifiant suspension des libertés et gouvernement sans contrôle ait pu se répéter presque un siècle après à l'identique». Un étonnement que l'on ne peut que partager.

source : Nexus

https://reseauinternational.net/confinement-analyse-dune-experience-dobeissance-de-masse-par-deux-sociologues/
#15
Fraudes scientifiques / Cardiologues et cancérologues ...
Dernier message par Ouebmestre - 09 Avril, 2024, 11:18:30
Cardiologues et cancérologues reconnaissent en privé que depuis les «vaccins», c'est une hécatombe



Aux États-Unis les données sont publiques : 66% de décès cardiaques en plus

@EthicalSkeptic

Mort subite d'origine cardiaque chez les personnes plus jeunes, en hausse de 66% (21 sigma), la mortalité liée à l'abus de drogues étant supprimée des données. C'est austère, mes amis. Les anecdotes ne sont pas fausses. Si vous êtes un consommateur de drogue occasionnel et que vous avez reçu le vaccin à ARNm, consultez immédiatement votre médecin.

Pour ceux qui ne savent pas lire les graphiques, la création de ces données commence le 26 décembre 2020, 12 jours après le déploiement du vaccin auprès des professionnels de la santé et des personnes à risque. Il ne s'agissait pas uniquement de personnes âgées.

À la semaine 39 2023, la mort cardiaque subite chez les jeunes s'élevait à 930 décès par semaine. Il s'agit de 131 000 jeunes morts, dont une partie étaient des consommateurs de drogues occasionnels qui n'avaient aucune idée que leur cœur avait été endommagé/affaibli par le vaccin à ARNm.

Cela n'inclut pas les décès d'usagers d'héroïne, de fentanyl et de méthamphétamine. Le 131K inclut les décès survenus en fumant un J, en buvant une bière ou en étant décédés mais «ayant déjà pris de la drogue» – mais pas au moment de leur décès.



Félicitations à @ChrisCuomo pour avoir montré notre analyse des tendances américaines en matière de décès par néoplasmes selon les codes CIM : C00-D48, 15-44 ans dans sa discussion.





Dr JF Lesgards Marseille
@marseille_jeff

Cardiologues & cancérologues reconnaissent en privé que depuis les «vaccins», c'est une hécatombe. Mais ils savent que s'ils parlent, ils sont finis. Même si cette tyrannie est organisée en très haut lieu, ne pas alerter les Français, fait que nous avons cessé d'être une société.

source : Patrice Gibertie

https://reseauinternational.net/cardiologues-et-cancerologues-reconnaissent-en-prive-que-depuis-les-vaccins-cest-une-hecatombe/
#16
Comparaisons internationales / 27% des Saoudiens ayant partic...
Dernier message par Ouebmestre - 09 Avril, 2024, 11:10:10
27% des Saoudiens ayant participé à l'étude «Bombshell» ont souffert de problèmes cardiaques après des injections de mRNA COVID





par John-Michael Dumais

Une étude menée en Arabie saoudite et rapportée par TrialSite News a révélé que 27,11% des participants ont souffert de complications cardiaques à la suite de la vaccination par l'ARNm Covid-19, l'apparition de ces complications allant d'un mois à plus d'un an plus tard.

Plus d'un quart des participants à une étude menée en Arabie saoudite ont fait état de complications cardiaques après avoir reçu des vaccins à ARNm Covid-19, et nombre d'entre eux ont dû être hospitalisés ou recevoir des soins intensifs.

L'étude, dirigée par le microbiologiste et immunologiste Muazzam M. Sheriff et ses collègues de l'Ibn Sina National College for Medical Studies et du King Faisal General Hospital, a révélé que 27,11% des personnes interrogées ont souffert de problèmes cardiaques après la vaccination par le Covid-19.

L'apparition des complications cardiaques a varié d'un participant à l'autre, 14,55% d'entre eux ayant présenté des symptômes dans le mois suivant la vaccination, tandis que d'autres ont fait état de problèmes survenus 12 mois ou plus tard.

TrialSite News a publié mercredi une étude saoudienne qui a fait l'effet d'une bombe. Le fondateur de l'étude, Daniel O'Connor, a déclaré au Defender que, bien que l'étude ait des limites et qu'elle ait été conçue pour rechercher des complications cardiaques, «le taux de cas hospitalisés était certainement notable, en particulier compte tenu du signal cardiaque existant de (myocardite et péricardite associé aux vaccins».

Le Dr Peter A. McCullough, cardiologue et épidémiologiste, a déclaré qu'en plus du grand nombre de symptômes cardiovasculaires justifiant une hospitalisation, 15,8% ont dû être amenés dans une unité de soins intensifs (USI).

«Plus de la moitié des sujets ont indiqué avoir été influencés par un professionnel de la santé ou une agence gouvernementale pour se faire vacciner», a déclaré M. McCullough au Defender. «Jamais, à une époque récente, un vaccin aussi cardiotoxique n'a été mis à la disposition du public

Soulignant les préoccupations croissantes concernant les effets potentiels à long terme des vaccins Covid-19 sur la santé cardiovasculaire, M. O'Connor a déclaré : «La multiplication des incidents cardiaques dans les médias depuis un an ou deux n'est pas non plus rassurante».

9,45% ont eu besoin de soins médicaux pendant plus de 12 mois

L'étude saoudienne, publiée dans la revue médicale Cureus, a utilisé un modèle transversal et recruté 804 participants (379 hommes, 425 femmes, âgés de 18 ans et plus) qui avaient reçu au moins une dose d'un vaccin Covid-19 à ARNm (Pfizer-BioNTech, Moderna ou les deux – 58 ont pris une marque différente).

Près de 40% d'entre eux n'ont reçu qu'une seule injection.

Les participants ont rempli un questionnaire adapté à leur culture, portant sur les données démographiques, les antécédents de vaccination, l'état de santé et les perceptions liées aux vaccins.

L'apparition des complications cardiaques chez les 27,11% de participants concernés a varié, 14,55% d'entre elles s'étant manifestées dans le mois suivant la vaccination, 6,97% entre un et trois mois, et d'autres ayant connu des problèmes jusqu'à 12 mois ou plus après avoir reçu le vaccin.

Pour les 15,8% admis dans les unités de soins intensifs et les 11,44% dans les services d'hospitalisation générale, le traitement hospitalier a duré de moins d'un jour à plusieurs semaines, 8,33% d'entre eux ayant passé entre quatre et sept jours à l'hôpital.

Le traitement des complications cardiaques était en cours pour de nombreux participants, 9,45% d'entre eux ayant reçu des soins médicaux pendant plus de 12 mois et 7,11% étant sous traitement continu au moment de l'enquête.

Soixante-cinq pour cent des sujets ont déclaré être «neutres», «plutôt pas confiants» ou «pas confiants du tout» que les vaccins ARNm soient sécuritaires, tandis qu'environ 20% seulement ont déclaré croire que leurs symptômes cardiaques étaient «fortement liés» ou «plutôt liés» aux vaccins.

L'étude a également révélé des taux élevés de problèmes de santé préexistants parmi les participants, notamment le diabète (48,26%), l'hypertension (56,72%), l'obésité (39,15%) et la sédentarité (22,14%).

Selon les auteurs de l'étude, ces comorbidités peuvent avoir contribué à l'augmentation du risque de complications cardiaques après la vaccination par l'ARNm.

Un taux qui semble terriblement élevé

«Malgré le biais de la stratégie de recrutement visant à trouver des patients présentant des effets secondaires cardiovasculaires de l'ARNm, il s'agit de pourcentages importants nécessitant des soins à l'hôpital ou en soins intensifs», a déclaré le Dr McCullough.

«Davantage de données sont nécessaires sur ces cas, y compris le diagnostic, le traitement et les résultats tels que l'hospitalisation récurrente et le décès», a-t-il ajouté.

Les auteurs de l'étude ont souligné la nécessité de poursuivre les recherches sur les facteurs de risque spécifiques et les mécanismes biologiques qui peuvent contribuer à l'apparition de complications cardiaques après la vaccination.

TrialSite News a qualifié cette étude de «solide sur le plan de la méthodologie, de la pertinence et des considérations éthiques», notant que les auteurs semblaient «minimiser l'ampleur de la réponse», malgré ce qui «semble être un taux terriblement élevé» de complications cardiaques.

source : The Defender via Mondialisation

https://reseauinternational.net/27-des-saoudiens-ayant-participe-a-letude-bombshell-ont-souffert-de-problemes-cardiaques-apres-des-injections-de-mrna-covid/
#17
Psychologie sociale / Vers une Europe totalitaire (?...
Dernier message par Ouebmestre - 09 Mars, 2024, 18:08:40
Vers une Europe totalitaire (?)



par CovidHub


La nouvelle loi sur les réquisitions et l'imposition de l'uniforme à l'école s'intègre dans un projet de construction d'une UE toute-puissante et totalitaire, selon l'avocate Virginie de Araujo-Recchia et la psychologue Ariane Bilheran.

Elles y voient une continuité de l'idéologie nazie, où les populations vivront dans une terreur permanente.

Bien que leur analyse puisse sembler exagérée, elles étayent leur propos d'indices concordants et de parallèles avec le passé plutôt inquiétants.

Pour elles, seules une prise de conscience générale et une résistance pacifique, telles qu'elles ont pu être observées lors des sittings contre la guerre du Vietnam, pourront nous sortir de cette dynamique.

*

Transcription résumée et adaptée d'un entretien d'Ariane Bilheran et Me Virginie de Araujo-Recchia par le média Tocsin

Me Virginie de Araujo-Recchia, avocate au barreau de Paris et Ariane Bilheran, philosophe, psychologue clinicienne, docteure en psychopathologie, ont été reçues le 28 février dernier par la journaliste Clémence Houdiakova dans son émission La Matinale de Tocsin Média. Elles y décryptent les tenants et aboutissants de la nouvelle loi de programmation militaire, passée relativement inaperçue en France et qui, selon les invitées, serait particulièrement importante pour comprendre ce qui se passe aujourd'hui. Des propos va-t-en guerre de nombreuses personnalités, de la création d'une menace, d'une paranoïa, en passant par l'éducation sexuelle dès 2 ans, tout est lié pour créer une société totalitaire, selon les intervenantes.

Le général Macron

En introduction, la journaliste rappelle que cette loi est à mettre en perspective avec les prises de parole récentes d'Emmanuel Macron annonçant qu'il pourrait envoyer des hommes sur le front ukrainien :

«Sur la première question, tout a été évoqué ce soir de manière très libre et directe. Il n'y a pas de consensus aujourd'hui pour envoyer de manière officielle, assumée et endossée des troupes au sol. Mais en dynamique, rien ne doit être exclu. Nous ferons tout ce qu'il faut pour que la Russie ne puisse pas gagner cette guerre.

Je le dis ici avec à la fois détermination, mais aussi avec l'humilité collective que nous devons avoir quand on regarde les deux années qui viennent de s'écouler. Beaucoup de gens qui disent jamais aujourd'hui étaient les mêmes qui disaient jamais des tanks, jamais des avions, jamais des missiles à longue portée, jamais ceci».1

Les marques du totalitarisme

Pour Ariane Bilheran, ce discours d'Emmanuel Macron revêt un «caractère inédit sur le plan juridique dans l'histoire».

Selon elle, on y retrouve également des caractéristiques du problème totalitaire classique, dont une novlangue, notamment avec l'emploi du mot résilience en lien avec la guerre.

Clémence Houdiakova rappelle que «Bernard Kouchner a expliqué qu'il était favorable à l'envoi de troupes françaises sur le sol ukrainien. En précisant que ce n'est pas facile à dire et que ça va coûter des sacrifices». Pour elle, il s'agit également d'un signe de la volonté de faire entrer la population dans la résilience, avec un vocabulaire précis.

Selon Ariane Bilheran, le texte de cette loi militaire prévoit une sorte de situation de guerre totale et permanente sur «simple caprice du prince».

À la moindre perception de «menace potentielle», le chef d'État pourrait déclencher n'importe quel type d'opération, dont lever une armée et déclencher une guerre. Or le terme «menace» n'est pas défini.

On sait que les systèmes totalitaires fonctionnent à l'état d'exception ou à l'état d'urgence. Le régime nazi fut un état d'exception qui a duré dix ans.

Dans ce discours, il y a un terme qu'il faut absolument entendre dans la novlangue totalitaire : le terme «dynamique». Ce terme «dynamique» vient du grec et signifie le mouvement. Donc la guerre dynamique, c'est la guerre permanente, sous état de menace permanente, avec de fortes implications au niveau juridique.

La journaliste conclut ainsi cette première intervention d'Ariane Bilheran :

«Cet état de menace permanent reste flou, avec une menace qui n'arrive jamais. Comme dans le roman «Le Désert des Tartares». Une attente qui peut créer des «hallucinations»».

Un nouveau mécanisme de réquisition à l'initiative du président

Me Virginie de Araujo-Recchia explique ensuite que l'article 47 de la loi du 1er août 2023 sur la loi de programmation militaire est un remaniement du régime juridique des réquisitions.

Il décrit les mécanismes dont dispose l'État pour obtenir, à défaut de tout autre moyen à sa disposition, la fourniture d'un bien ou l'exécution d'une prestation de service par une personne physique ou morale, lorsque celles-ci ne peuvent être obtenues au moyen d'une négociation amiable ni par voie contractuelle.

Historiquement, le régime juridique de réquisition existe depuis 1877. Il a été étendu à la réquisition de personnes à partir de 1959.

Or, l'avis du Conseil d'État rendu en mars 2023 sur la base du projet de loi est bien clair : un nouveau mécanisme a été ajouté. Il s'agit des réquisitions à l'initiative du président de la République.

Ce nouveau cas concerne les «menaces» de nature à justifier la mise en œuvre des engagements internationaux de l'État en matière de défense. Ce qui est problématique selon l'avocate, c'est que cette menace n'a pas besoin d'être immédiate et réelle, il suffit qu'elle soit seulement «prévisible», selon la lecture de la situation faite par le chef d'État.

Lors de la crise sanitaire, le principe de proportionnalité n'a pas été respecté, ni les critères pour mettre en place l'état d'urgence. Le Conseil d'État a avoué dans un rapport en 2021 sur l'état d'urgence, sur la crise, qu'il est très difficile pour eux de jouer leur rôle de contrôle et d'avoir une influence dans un cadre politique, lorsqu'on est dans le cadre de déclarations faites par le président de la République.

Prison et amendes salées en cas de refus d'obtempérer

De lourdes sanctions ont été introduites par le gouvernement de Mme Borne en lien avec ces nouveaux mécanismes de réquisition, alors qu'en général, le code de la défense n'est pas modifié.

Le simple fait de refuser de déférer à une demande de recensement des personnes, des biens et des services ou qu'on refuse de répondre à une convocation pour des essais ou des exercices, c'est potentiellement un an de prison et 15 000 € d'amende.

Et si on refuse d'être réquisitionné, si on refuse d'aller au front, c'est cinq ans de prison et 500 000 € d'amende. C'est loin d'être anodin selon l'avocate.

Le patrimoine des Français, leur vie et aussi les entreprises sont donc à la merci de réquisitions en cas de menace actuelle ou prévisible à la seule initiative du président de la République, sans véritable garde-fous puisque que cette loi est largement passée au parlement.

«La pire loi de la cinquième République»

Pour Virginie de Araujo-Recchia, il s'agit de la «pire loi qui existe sous la cinquième République», parce qu'elle concrétise «l'emprise du régime totalitaire sur les corps et sur les biens».

La question du réarmement et de «régénération» de la France est également un sujet récurrent dans les propos d'Emmanuel Macron et de Gabriel Attal.

L'avocate évoque aussi la généralisation de l'uniforme à l'école en 2026, qui entre selon elle dans ce projet de résilience à une menace militaire permanente. L'uniforme est pour elle assurément «un début d'embrigadement des enfants».

Plusieurs rapports parlementaires parlent du fait que «les Français sont trop confortables et qu'il faudrait prendre l'exemple sur les Ukrainiens». On parle également de mettre à disposition des casernes pour les civils pour qu'ils puissent s'entraîner.

De 14 à 74 ans, hommes et femmes, en France et à l'étranger

Ces mesures de réquisition concernent les 14 à 74 ans et n'excluent pas les femmes enceintes ni les personnes handicapées, explique Virginie de Araujo-Recchia :

«Les femmes sont invitées fortement à rejoindre l'armée. Ce qui est inédit, c'est que la quasi intégralité de la population peut être envoyée au front sur la base de ses capacités physiques ou psychologiques. C'est également indiqué dans les rapports, ce qui est extrêmement grave».

Les personnes de nationalité française qui résident à l'étranger sont aussi concernées et peuvent être privées de 500 000 € de leur patrimoine en France.

L'UE engloutit-elle la souveraineté de ses États-membres ?

Ceci s'inscrit selon l'avocate dans un projet de faire de l'Europe un seul État, comme l'a souhaité publiquement M. Draghi ou encore Mme Borne avec son affirmation «la patrie, c'est l'Europe».

En parallèle, et la loi en question l'évoque, des accords internationaux sont mis en place entre l'OTAN et l'Union européenne ou comme cet accord de coopération en matière de sécurité entre la France et l'Ukraine signé par Macron. À chacun de ces accords, le risque d'être entraîné dans la guerre augmente. Et on comprend bien que les frontières à protéger ne sont plus celles de la France mais bien les frontières de l'Europe.

De plus, les traités de l'Union européenne sont actuellement dans un processus de réforme où il est question de transférer à la Commission européenne la gestion de la politique étrangère, de la défense, la santé et de l'éducation, y compris l'éducation sexuelle.

Heureusement, certains États de l'Union européenne s'y opposent mais le Parlement français lui a accepté ce transfert de compétences et donc de souveraineté.

C'est extrêmement dangereux selon Virginie de Araujo-Recchia car des décisions très importantes seraient prises par des gens qui ne sont pas élus. De plus, les décisions ne seraient plus prises à l'unanimité au sein du Conseil de l'Union européenne, mais à la majorité.

Le spectre des réquisitions n'est pas clair

L'avocate ajoute que dans les rapports, on peut lire que la «défense» n'est pas uniquement militaire mais englobe entre autres l'écologie, la cybernétique et la désinformation :

«Jusqu'où irons nous dans les réquisitions si on nous dit que pour pouvoir reloger ceux qui ont souffert de catastrophes écologiques, eh bien il faudra que vous concédiez une partie de votre domicile ? On ne sait pas».

Vers un totalitarisme total ?

Avant de redonner la parole à Ariane Bilheran, Clémence Houdiakova précise que les deux intervenants invités la veille pour analyser les déclarations de Macron sur l'Ukraine expliquaient que «c'était peut-être aussi une façon de faire diversion sur ses difficultés en France et donc dans cette diversion aussi, animer un ennemi qu'on connaît» :

On connaît bien la méthode. Un ennemi extérieur permettrait aussi d'éliminer les ennemis intérieurs.

Pour Ariane Bilheran, «c'est simplement une question chronologique» :

«Les opposants vont être éliminés pour pouvoir ensuite avoir les mains libres pour des projets guerriers».

La Docteur en psychopathologie abonde dans le sens de Me de Araujo-Recchia concernant cette loi : pour elle aussi, il s'agit bien d'un document fourre-tout, «qui mélange des questions de démographie, de santé, de climat et de tout un tas de choses qui, à priori, ne menacent pas directement la sécurité nationale».

Le but serait de transformer le dicton traditionnel «si tu veux la paix, prépare la guerre» en «si tu veux la paix, fais la guerre permanente».

Cet état d'esprit est tout-à-fait en lien avec le système totalitaire, ajoute-t-elle, se targuant d'avoir prédit ce qui se passe en 2020 déjà :

«En 2020, je vous ai expliqué que toute cette affaire nous mènera à la guerre. Tous les systèmes totalitaires finissent en guerre parce lorsqu'une psychose paranoïaque est déclenchée, elle entraîne vers une destruction totale, qui sert notamment à couvrir les crimes des gouvernants».

Elle fait directement référence aux questions de la crise Covid et aux graves questions en suspens. Pour Ariane Bilheran, il s'agit d'une fuite en avant par la domination totale pour éviter de devoir répondre à la population.

«Le citoyen est devenu un ennemi de cet état et il est devenu un ennemi de ce système. Et comme tout système totalitaire, il est requis qu'il se sacrifie complètement à une idéologie qui est une idéologie de destruction et de domination totale». (Ariane Bilheran)

De plus, rappelle-t-elle, l'ambition totalitaire inclut une expansion géographique :

«Le projet européen aujourd'hui est de cette nature, c'est-à-dire qu'on va faire la guerre un peu partout pour pouvoir promouvoir une idéologie, avec l'ambition de la déployer au niveau mondial».

La standardisation sexuelle des enfants aussi est de nature totalitaire

Ariane Bilheran revient ensuite sur ses recherches depuis 2017 sur la standardisation sexuelle des enfants par l'OMS :

«Seuls deux autres régimes politiques dans l'Histoire ont mis en place une éducation sexuelle de cet ordre : le régime nazi, à partir de 1935 – un ouvrage de Hans Peter Bleuel qui s'intitule «Sex and Society in Native Germany» évoque cette affaire – et puis aussi la Sparte antique, partant de la nécessité de traumatiser sexuellement les enfants pour créer des guerriers».

Pour la psychologue, on fait donc face à un endoctrinement barbare, de nature traumatique, qui se retrouve dans les témoignages absolument effroyables d'enfants ayant assisté à ces séances.2

«Le totalitarisme prolifère sur notre paresse à ne pas lire ces textes où tout est absolument écrit».

En France, l'éducation sexuelle commence à l'âge de deux ans en maternelle, avec un dialogue avec l'enfant. «Mais quel enfant de deux ans est capable de parler de sexualité ?» se demande la psychologue.

«Puis à l'école primaire, un nombre épouvantable de sanctions sont prévues si votre enfant ne participe pas», poursuit-elle.

Clémence Houdiakova cite un témoignage d'une grand-mère qui a constaté en venant le récupérer à l'école maternelle que son petit-fils était très perturbé :
«Son petit-fils lui a dit qu'à l'école, il avait fait un moulage en classe d'un zizi de fille avec le «clito truc»».

Me de Araujo-Recchia constate que l'enfant est une cible du régime, spécialement depuis le second mandat d'Emmanuel Macron.

«Les réformes à l'OMS font partie de ce même projet»

Pour l'avocate parisienne, le traité pandémique et le concept d'UNE Santé (ONE Health) de l'OMS relèvent aussi du «délire mondialiste totalitariste».

Le but recherché est de centraliser les prises de décisions en matière de santé au niveau de l'OMS et au niveau de l'Union européenne, brisant ce qui était alors de la compétence uniquement des États jusqu'à aujourd'hui, impliquant donc une absorption de souveraineté au niveau régional et des États par le biais de ces traités.

Semer la peur pour faire oublier le contrôle social

D'autres pays conditionnent leur population à cet état de peur permanente, poursuit l'avocate :

«On a vu un général au Royaume-Uni indiquer à la population qu'il fallait qu'elle se prépare ou en Allemagne de la même façon, en Suède ils en sont déjà à prévoir les tentes et les lampes torches et ils sont en panique.

Ces éléments alimenteraient une peur afin de faire oublier le contrôle social qui est en train d'être mis en place par l'identité numérique et la monnaie numérique».

De plus, relève la femme de loi, les fonds publics sont «siphonnés» pour être envoyés en Ukraine où ils sont gérés par BlackRock.3

Macron aurait bafoué la Constitution

L'avocate cite le sénateur Alain Houpert qui s'est demandé au Conseil d'État sur quelles bases Emmanuel Macron a-t-il pu signer seul un accord de coopération sécuritaire avec l'Ukraine pour 3 milliards d'euros, alors que la Constitution française prévoit dans son article 53 que dans un tel cas de figure, les représentants du peuple soient appelés à se prononcer ?

L'élu a soulevé un autre point très intéressant : l'article 20 du Pacte international des droits civils et politiques impose une «interdiction de toute propagande en faveur de la guerre», poursuit-elle.

Ils sont dans l'illégalité à tous les points de vue, que ce soit au niveau national par rapport à toutes les lois de protection de la dignité humaine, du droit à la vie, en matière de liberté d'expression ou liberté d'opinion. Me de Araujo-Recchia

Vers un communisme bolchévique teinté de nazisme ?

Dans un entretien de campagne donné au Parisien en 2017, il avait affirmé être «maoïste». Me de Araujo-Recchia rappelle que le régime sous Mao, c'était près de 100 millions de morts.

Elle estime qu'on n'a pas affaire à une forme de fascisme, «mais bien à du nazisme et du communisme bolchévique, où il n'y a aucun problème à sacrifier des gens».

Un psychiatre avait analysé la personnalité de notre président et avait conclu qu'il n'y a pas de morale chez lui et donc qu'il pourra envoyer les gens au sacrifice sans problème. Me de Araujo-Recchia

«Il faut considérer les intérêts des puissants»

Pour Ariane Bilheran, «il faut considérer le gouvernement français comme un PDG ou un DRH d'une entreprise, mais dont les actionnaires sont derrière et décident».

Elle pense à une grande partie de «cette dite élite mondiale, donc on a effectivement des figures connues comme Bill Gates qui s'occupe de la santé ou encore la figure de Rockefeller qui injecte des fonds un peu partout».

Du point de vue décisionnaire, poursuit-elle, ils appliquent un programme similaire à celui des autres gouvernements depuis 2020, avec en filigrane des cabinets de conseil comme McKinsey.

Ce programme établit une feuille de route globale qui met en place l'idéologie des tous-puissants, considérant qu'il y a trop de monde sur la planète et qu'il faut mettre en place un gouvernement mondial.

Dépopulation et contrôle : vers la guerre

La psychologue rappelle que «la guerre, outre la dépopulation, entraîne une possibilité de contrôler les masses qui est extraordinaire parce qu'on met des individus dans un état de souffrance extrême, dans une désorganisation, dans un chaos qui est savamment mis en place et de façon très intentionnelle».

Elle explique aussi que la perversion est un «adjuvant de la paranoïa du totalitarisme» :

«Il y a des gens dont l'intérêt est très clair : ils s'enrichissent au travers des guerres, du trafic d'armes, d'enfants, d'organes. Grâce à la désorganisation et au chaos qui est créé. Il y a des industriels et des capitalistes sans état d'âme».

Les eugénistes aux commandes ?

Me de Araujo-Recchia confirme que dans les financements d'organisations comme l'OMS, on retrouve des flux de personnes qui ont une histoire ou des parents eugénistes :

«C'est le cas de Bill Gates, son père est eugéniste. Les lobbies comme le planning familial international, c'est Margaret Sanger, eugéniste liée au Ku Klux Klan, au mouvement nazi. À chaque fois qu'on va creuser, on a Warren Buffet, Bill Gates, Rockefeller, Rothschild, on a toujours tous les mêmes en fait, qui reviennent à chaque fois que vous allez faire remonter les financements».

Selon l'avocate, même ce que l'on appelle l'État profond – soit des parties de l'administration américaine, de la CIA ou du FBI, hors de tout contrôle démocratique – «est lui-même relié à Rockefeller de toute façon».

Ariane Bilheran retrace ces liens dans son ouvrage intitulé «L'internationale nazie».

Me de Araujo-Recchia cite l'opération Paperclip, qui a permis de récupérer 1500 scientifiques nazis (chiffre officiel), dont certains médecins impliqués dans des expérimentations sur des humains dans des camps de concentration, dont des enfants qui venaient de naître.

L'avocate n'est pas surprise que des programmes tels que le tristement célèbre MK Ultra, sur la manipulation mentale et la torture, aient pu exister suite à ce genre de recrutements.

La libération sexuelle orchestrée par des abuseurs

Ou encore qu'un Alfred Kinsey ait pu dans la foulée, financé par les Rockefeller, mener ses recherches très controversées sur la sexualité des enfants, qui servent encore aujourd'hui de référence aux experts de l'OMS en charge de l'éducation sexuelle, pour affirmer que dès sa naissance, un bébé a une vie sexuelle qui doit être accompagnée à la crèche puis à l'école.

Kinsey a, entre autres pervers, admiré et encouragé un nazi blanchi, Fritz von Balluseck, à documenter les abus qu'il a fait subir à des centaines d'enfants, de 1936 à 1956, pour les inclure dans ses «rapports» scientifiques.

Commandant dans un petit village occupé polonais de 1942 à 1944, Balluseck était réputé pour faire choisir les enfants entre «lui et le four à gaz», pouvait-on lire dans l'édition du 19 mai 1957 du journal allemand Der Morgenpost, reprise dans un documentaire de 1998 sur Kinsey de Yorkshire Television.

Ariane Bilheran affirme que c'est Rockefeller qui aurait fait se rencontrer Balluseck et Kinsey, dont les travaux sur la sexualité ont ensuite contribué à la libération sexuelle du siècle passé.

L'idéologie de la race supérieure a persisté

La philosophe poursuit en citant le documentaire «Plus jamais ça, c'est maintenant et mondial» de Vera Sharav, rescapée d'un camp de la mort : la même idéologie opère aujourd'hui, «qui veut qu'il y ait des surhommes, des sous-hommes, des citoyens qui ont des droits et ceux qui n'en ont pas, avec une obligation sur les corps, des expérimentations à travers la médecine» :

«Le seul intérêt de dire ça, c'est de démontrer que nous sommes dans une filiation historique et que cette continuité a permis d'asseoir des moyens beaucoup plus importants et colossaux de déploiement de cette idéologie qui a cette ambition de domination planétaire.

Et c'est ce que nous avait dit Hannah Arendt en 1945, ne croyez pas que le nazisme est mort. Il a une ambition de domination planétaire, il a simplement sacrifié l'Allemagne et nous avons été prévenus. Et je crois que c'est important de le souligner».

Ariane Bilheran explique que derrière l'idéologie de la séparation entre les utiles et les inutiles, les inutiles a minima servent de doux esclaves à un capitalisme sauvage et a maxima, ils sont trop inutiles et on les élimine. Et c'est là où nous sommes selon moi.

Le retour de l'euthanasie

Pour Me de Araujo-Recchia, la loi sur la fin de vie remet sur la table la question de l'euthanasie, qui été aussi présente sous régime nazi.

Des discussions sont en cours au Canada jusqu'en 2027 pour que des personnes – adultes ou mineurs de 14 à 17 ans – dont le seul problème médical invoqué est une maladie mentale, puissent avoir recours à l'aide médicale pour mourir, peut-on lire sur le site du gouvernement.

Selon l'avocate, «au bout d'un moment, il y a vraiment des questions à se poser puisque rien n'est fait pour la vie et tout est fait pour y mettre fin».

Comment faire pour reprendre nos droits ?

Pour Ariane Bilheran, c'est comme «si nous avions à la tête de l'État un enfant en bas âge qui n'a aucune limite et qui est dans une forme de tyrannie» :

«L'absence de limite est caractéristique de la psychose maniaque. C'est pour ça que d'ailleurs, il y a une sorte de corps à corps qui est recherché dans l'affrontement, dans la guerre, dans la violence, et il est impératif que des limites soient rencontrées».

Or, poursuit-elle, «la tyrannie ne prolifère que sur le territoire qu'on lui laisse» et il est essentiel de maintenir une opposition et de la faire croître.

Dans l'éventualité où cette opposition disparaîtrait, «c'est là que nous allons découvrir le vrai visage de ce système totalitaire que pour l'instant nous n'avons pas vu», assure la psychologue.

Elle plaide pour une prise de conscience de l'entièreté de la population, en évitant la violence car selon elle, «tous les passages à l'acte violent vont être évidemment utilisés contre le peuple».

Elle mentionne en exemple «tous ces immenses sittings qu'il y avait eu aux États-Unis pour l'arrêt de la guerre du Vietnam», de l'ordre d'une désobéissance civile pacifique à large échelle.

Pour Virginie de Araujo-Recchia, «la population devrait s'emparer des affaires politiques de la cité une bonne fois pour toutes et qu'elle nourrisse, et c'est vraiment fondamental, son libre arbitre pour rendre les fins propres, pour les choix à venir et surtout ne pas laisser de terrain car on en a trop laissé et on ne le récupère pas».

Elle appelle les gens à ne pas aller plus loin dans le laxisme et la passivité, «parce que de toute façon, on sera utilisé d'une autre manière», pour que la population puisse se réapproprier l'agora.


source : CovidHub

  • Le soufflé est vite retombé pour le président français avec une rejet de cette éventualité par l'ensemble de ses partenaires occidentaux).
  • voir nos derniers articles sur le sujet, «Éducation précoce à la sexualité» et «Experts OMS constestés»
  • Le deuxième plus grand investisseur mondial, après Vanguard, tous deux basés aux États-Unis


https://reseauinternational.net/vers-une-europe-totalitaire/
#18
Fraudes d'ordre sanitaire / Accélération du vieillissement...
Dernier message par Ouebmestre - 01 Mars, 2024, 11:48:32
Accélération du vieillissement visible chez les vaccinés Covid



Les «coups de vieux» constatés par un statisticien néo-zélandais sont confirmés au niveau international par le Dr Hervé Seligmann

par CovidHub

Selon le biologiste israélo-luxembourgeois Hervé Seligmann, les données fournies en Nouvelle-Zélande par le lanceur d'alerte Barry Young confirment une détérioration de la santé des vaccinés anti-covid assimilable à un vieillissement précoce. Il a depuis reçu plusieurs témoignages de ces «coups de vieux» post-vaccinaux.

L'affaire Barry Young

«Si c'est arrivé ici, c'est certainement arrivé partout. Il faut plus de gens comme moi pour se lever contre cela. N'ayez pas peur. Allez-y ! Faites-le, un point c'est tout. Moi, je ne peux plus porter ce secret».



Barry Young

Statisticien au ministère de la Santé néo-zélandais, Barry Young jouissait d'un accès privilégié aux bases de données gouvernementales, ce qui lui a permis d'analyser les données, les recouper pour en faire une analyse révélatrice.

Choqué par la découverte de taux de mortalité atteignant les 20% pour certains lots de vaccins Covid-19, il a estimé qu'il était dans l'intérêt public de divulguer ces statistiques. Ceci lui a valu une arrestation et une inculpation, que nous évoquions dans un article en décembre 2023.

Données reprises par le Dr Hervé Seligmann




Le Dr Hervé Seligmann est biologiste statisticien, spécialiste de la biologie moléculaire de
l'ARN et de la biologie évolutive. Avec son collègue Haim Yativ, il fut le premier à
alerter le public sur l'augmentation de la mortalité liée aux injections Covid en
analysant les données des autorités de santé, dès les premières semaines de la
campagne de vaccination Pfizer en Israël. Il a ensuite poursuivi ses analyses
sur la base des statistiques communiquées à l'échelle mondiale, afin de déterminer
l'impact des injections Covid sur la mortalité globale, en observant par exemple les
pics liés aux campagnes de rappel et aux différentes doses injectées.

Grâce à ces données, le Dr Hervé Seligmann est aujourd'hui en mesure non seulement de confirmer ces résultats, mais aussi d'affiner ces recherches.

Dès le début de la vaccination, il avait lui aussi observé le fait que de nombreuses personnes mouraient dans la semaine suivant l'injection. Et à mesure que la vaccination progressait, il semblait bien se dégager une corrélation entre des pics de mortalité et les campagnes de vaccination successives de la population néo-zélandaise.

Il explique dans un entretien accordé au média Dépêches Citoyennes que l'on observe chez les vaccinés Covid-19 une accélération précoce de la mortalité, comparaison faite avec les non-vaccinés, ce qui correspond à une diminution de l'espérance de vie.

La protéine de pointe : un «médicament vieillissant»

Mis en parallèle avec d'autres données, dont le nombre d'effets secondaires très élevés de ces produits – les vaccins Covid-19 cumulent à eux seuls en 3 ans plus d'annonces d'effets indésirables que tous les autres médicaments et vaccins réunis pendant les trente dernières années – on constate que les injectés ont un risque accru de voir leur santé se détériorer.

Au niveau cellulaire, le chercheur Walter M. Chesnut de WMC Research expliquait en février 2023 que les protéines de pointe vaccinales, au vu de leur toxicité et du fait qu'elles pouvaient atteindre tous les organes du corps, déclenchaient ce qu'il a appelé «maladie endothéliale de la protéine de pointe» qu'il décrivait comme la première étape d'une maladie qu'il baptise du nom de syndrome de la protéine de pointe et de la progéria (SPPS).

L'endothélium est la couche de cellules qui tapisse l'intérieur des parois du cœur et des vaisseaux. Le SPPS, explique Chesnut, est une réaction à l'invasion de protéines de pointe dans tous les principaux organes du corps :

«Considérez cela comme le choc d'être submergé dans de l'eau glacée ou d'être ravagé par le feu. Il y a des dommages instantanés : inflammation, coagulation et tout ce qui accompagne une atteinte à l'endothélium».

Selon William Chesnut, les protéines de pointe des vaccins Covid fonctionnent «comme un médicament vieillissant, accélérant le processus de mort».

Un témoignage concordant passe chez Hanouna

L'émission «Touche Pas à Mon Poste» a justement donné la parole le 13 février dernier à une jeune femme, Marie-Charlotte, dont la vie est devenue un enfer après l'injection :
«Deux spécialistes très sérieux m'ont expliqué que mes organes se lèsent de plus en plus, que mon espérance de vie est réduite».

Elle a perdu 22 kilos, n'a plus de système immunitaire, une maladie neurologique incurable et tout son corps se dégrade, multipliant les pathologies, alors qu'elle dit avoir été en bonne santé avant le vaccin Covid-19 :

Video

Un phénomène observable dès 2021

En d'autres termes, la population vaccinée vieillit plus vite que celle qui a refusé les injections, poursuit le Dr Seligmann, et cette accélération du vieillissement est observable dès le début des campagnes massives d'injections lancées début 2021 :

«Actuellement, les chiffres montrent que, selon leur âge, les personnes vaccinées vieilliront respectivement 3, 4 et 8 fois plus vite que les non-vaccinées. En l'occurrence, en un an, une personne vaccinée de 40 ans «vieillira autant» qu'une personne du même âge non-vaccinée le fera en 3 ans.  Et le phénomène s'accélère avec l'âge. Pour les vaccinés de 50 ans, une année en vaudra 4 et pour les plus de 60 ans, elle en vaudra 8. On ne sait pas si, dans les années à venir, les taux de vieillissement des vaccinés reviendront aux taux d'avant l'injection, resteront aux niveaux actuels ou augmenteront».

Le Dr Seligmann confie avoir observé autour de lui que des vaccinés ont de soudains «coups de vieux». Il affirme avoir reçu de nombreux témoignages allant dans ce sens. Pour lui, il est indéniable que ce phénomène est lié aux injections Covid-19.

Entretien complet du Dr Seligmann par Dépêches Citoyennes

Video : https://crowdbunker.com/v/Vo8c5EDG2x

Aller plus loin

Les travaux du Dr Hervé Seligmann sur ResearchGate
La synergie Covid-19-vaccination augmenterait-elle la mortalité ? Hervé Seligmann et Haim Yativ, FranceSoir, mars 2021 (sur forum nakim.org)
Les protéines de l'épi Covid sont «livrées» à TOUS les organes du corps, ce qui entraîne un vieillissement accéléré, NaturalNews, février 2023, en anglais


source : CovidHub

#19
Fraudes scientifiques / Les vaccins à ARNm sont extrêm...
Dernier message par Ouebmestre - 11 Février, 2024, 11:51:33
Les vaccins à ARNm sont extrêmement toxiques, préviennent désormais les scientifiques de Moderna




Une nouvelle recherche publiée dans la revue Nature Reviews Drug Discovery révèle que les «vaccins» à ARNm (ARNmod) sont tout sauf sûrs – et cela vient de scientifiques qui travaillent chez Moderna, l'un des principaux fabricants mondiaux d'injections d'ARNm.

La technologie ribonucléique messagère modifiée produite par Moderna et Pfizer pour les injections d'ARNm respectives des sociétés est administrée au corps humain à l'aide d'une technologie relativement nouvelle de nanoparticules lipidiques (LNP). La technologie LNP présente encore de nombreux défauts, pour le dire à la légère, qui doivent être résolus si les produits vaccinaux associés doivent un jour être considérés comme sûrs, même à distance.

«Un défi majeur consiste désormais à réduire efficacement les risques de toxicité potentiels associés à la technologie de l'ARNm», ont écrit les scientifiques, ajoutant que les risques de toxicité incluent «les composants structurels des nanoparticules lipidiques, les méthodes de production, la voie d'administration et les protéines produites à partir d'ARNm complexés».

Les auteurs Eric Jacquinet, Dimitrios Bitounis et Maximillian Rogers travaillent tous chez Moderna, ils voient donc directement le profil de toxicité de l'ARNm.

Certains des effets secondaires connus des injections d'ARNm déjà déclenchées dans le cadre de l'opération Warp Speed pour le coronavirus de Wuhan (COVID-19) comprennent un choc allergique grave et une inflammation cardiaque. Certains cas de ces blessures peuvent impliquer une hypersensibilité, mais la réalité est que la plupart d'entre elles proviennent de la toxicité inhérente de la technologie des ARNm et des LNP.

L'étude explique que «n'importe quel composant LNP-ARNm» pourrait être responsable de blessures associées, mais que la plupart des cas de blessures, selon les auteurs, sont probablement déclenchés par des nanoparticules lipidiques PEGylées, qu'ils décrivent comme «le composant le plus potentiellement réactogène» de Coups d'ARNm.

Comme nous l'avons signalé en 2021, le PEG, également connu sous le nom de polyéthylène glycol, est hautement allergène. Au début de la «pandémie», les réactions aux injections de COVID étaient imputées au PEG, tout comme elles le sont dans une large mesure dans cette nouvelle étude, bien que nous ayons également partagé des preuves suggérant que la technologie de l'ARNm pourrait être capable de reprogrammer génétiquement le corps humain, potentiellement le rendant transhumain.

Quoi qu'il en soit, l'ARNm est toxique, tout comme son composant PEG . Malgré cela, la communauté scientifique reste divisée sur les véritables causes de la toxicité de l'ARNm, probablement parce que la technologie est encore si nouvelle que peu d'entre eux l'ont étudiée suffisamment en profondeur pour parvenir à des conclusions solidement définitives.

Les chercheurs de Moderna qui ont rédigé la nouvelle étude ont tiré leurs propres conclusions du consortium de données précédemment publiées sur le sujet, ainsi que de leur propre expérience de travail chez un fabricant d'ARNm. Pour être clair, les scientifiques n'ont mené aucune de leurs propres nouvelles expériences lors de la compilation de leur étude.

(Connexe : avez-vous entendu le rapport secret de Pfizer montrant que le fabricant d'ARNm savait depuis au moins février 2021 que ses vaccins contre le COVID tuaient des gens, mais qu'il continuait quand même à les vendre et à les distribuer ?)

L'écran de fumée de sécurité de l'ARNm de Moderna

Une chose que la nouvelle étude souligne et dont nous avons également rendu compte est le fait que les protéines de pointe et d'autres composants d'ARNm persistent dans les tissus et organes humains pendant des mois, voire plus, malgré les affirmations du fabricant selon lesquelles le contenu de l'injection quitte le corps dans les jours qui suivent l'injection. Se pourrait-il que cette longue persistance soit un autre facteur de l'extrême toxicité de l'ARNm ?

Étonnamment, les scientifiques de Moderna à l'origine du nouvel article affirment toujours que l'injection d'ARNm de leur entreprise est «sûre et efficace» – parce qu'ils seraient probablement licenciés s'ils avaient dit la vérité. Ceci en dépit du fait que l'intégralité de leur article révèle l'extrême toxicité de l'ARNm, qu'ils qualifient de «compliquée».

Pour rendre l'ARNm plus sûr, les scientifiques appellent à une approche à plusieurs volets qui comprend la réalisation de tests de laboratoire plus avancés, la réalisation de certains ajustements des essais précliniques et la réalisation de davantage d'essais sur les animaux qui tiennent mieux compte des «différences de physiologie humaine et animale».

Le Dr Robert Malone, l'un des inventeurs de l'ARNm, a critiqué la nouvelle étude car elle minimise les risques de la technologie. Il est également sceptique quant à la véritable intention de l'étude, suggérant qu'elle pourrait faire partie de ce que l'on appelle un hangout limité, une technique de propagande qui dit une certaine vérité tout en l'enveloppant de désinformation destinée à empêcher la découverte d'autres informations plus importantes. information.

«Mon interprétation la plus généreuse de l'intention générale de l'article est que cet article résume et représente les informations concernant les risques et les toxicités de cette technologie de plateforme que Moderna souhaite divulguer d'une manière qui met l'entreprise, ses activités et la technologie de plateforme sous-jacente dans la meilleure lumière possible», a déclaré le Dr Malone.

«Une interprétation moins généreuse de l'intention est que cet article représente une forme subtile de stratégie de propagande communément appelée un lieu de rencontre limité.»

Malgré les possibilités limitées de Hangout, la nouvelle étude en dit long sur les dangers et l'inefficacité des injections d'ARNm, même si ses auteurs ont tenté de la minimiser en affirmant toujours qu'elles sont «sûres et efficaces».

«Dites simplement non à tous les 'vaccins'», a écrit un commentateur à ce sujet. «Mieux vaut perdre son emploi que sa vie

«Je me demande combien de scientifiques et de PDG qui ont développé ces vaccins dangereux l'ont pris eux-mêmes», a déclaré un autre, sceptique quant au soutien total du PDG de Moderna, Stéphane Bancel, aux injections d'ARNm de son entreprise.

«SADS, myocardite, fib A, maladies autonomes, maladies à prions, accidents vasculaires cérébraux, crises cardiaques, paralysie de Bell – wow», a déclaré quelqu'un d'autre à propos des nombreux autres effets indésirables connus des injections d'ARNm. «Si j'avais été vacciné, je serais en train de me gratter la peau pour essayer de l'enlever !»

Ce n'est jamais une bonne idée de s'injecter des produits chimiques vaccinaux mortels, en particulier ceux à ARNm. Apprenez-en davantage sur ChemicalViolence.com .

Les sources de cet article incluent :

Nature.com
TheEpochTimes.com
NaturalNews.com
NaturalNews.com
via Information 645
#20
Fraudes scientifiques / La catastrophe des opioïdes pe...
Dernier message par Ouebmestre - 09 Février, 2024, 13:47:24
La catastrophe des opioïdes persiste




La catastrophe des opioïdes aux USA, prescription sous influence de McKinsey
*
par Gérard Delépine

La crise des opioïdes représente une catastrophe médicamenteuse trop peu connue en France.

Une catastrophe hors norme

Par son ampleur, la crise dépasse de très loin les catastrophes médicamenteuses précédentes.

Depuis 20 ans, aux USA le nombre de décès par surdose ne fait qu'augmenter. En 2002 on recensait 2 surdoses mortelles pour 100 000 habitants. En 2012, ce chiffre avait quadruplé (8/100000) et en 2021 il atteint 31/100000. Quinze fois plus qu'il y a 20 ans !
Depuis 2017, les opioïdes font chaque année plus de victimes que les accidents de la route.

Fin 2017, le président Trump a déclaré l'état d'urgence sanitaire et alloué un budget de six milliards de dollars pour améliorer l'éducation des patients et des professionnels et favoriser l'accès aux traitements sans que cela ait stoppé la croissance de la mortalité.
Selon les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies1, près d'un demi-million d'Américains sont morts de surdoses entre 1999 et 2018



Morts par surdose impliquant des opioïdes aux États-Unis (2000-2016).
Morts par 100 000 habitants.

Lors de la pandémie de COVID-19, une nouvelle augmentation importante du nombre de décès consécutifs à une surdose d'opioïdes de synthèse a été observée2 avec pour la seule année 2021 plus de 107 000 morts (33/100000 soit autant que le diabète et la maladie d'Alzheimer réunis) et presque le double du nombre de soldats américains tombés durant les 20 ans de guerre du Vietnam !

Les salles d'urgence et les ressources de nombreux états sont mises à rude épreuve pour tenter de répondre à l'épidémie. Le Massachusetts, le Vermont et d'autres États ont décrété un «état d'urgence» ou créé des groupes de travail spéciaux pour faire face à la crisequi leur coûte chaque année des milliards de dollars, sans, non plus, d'amélioration visible.

Une catastrophe qui affecte même l'espérance de vie des Américains !

Le nombre de morts par surdose d'opioïdes est tel qu'il diminue l'espérance de vie des Américains. L'espérance moyenne de vie des Américains progressait depuis plus de 50 ans et atteignait 78,9 ans en 2012. Depuis, elle stagne ou diminue : 77 ans en 2020 et 76,6 ans en 2021.



Espérance de vie à la naissance en années (1980-2020).


La catastrophe des opioïdes ne touche pas seulement les États-Unis

Avec moins de 5% de la population mondiale, les États-Unis représentent 80% de la consommation mondiale d'opioïdes et concentrent la grande majorité des morts par surdose.

Toutefois, l'usage abusif des opioïdes se répand dans d'autres pays notamment en Grande-Bretagne, phénomène favorisé par la hausse des prescriptions médicales laxistes et à un trafic croissant de drogues illicites.



Selon l'OCDE, hors États-Unis, les pays les plus touchés par les morts par surdoses d'opioïdes étaient le Canada (85 morts par million d'habitants, en 2015), l'Estonie (81), la Suède (55), la Norvège (49), l'Irlande (44) et le Royaume-Uni (41).

À l'origine de la catastrophe, un scandale médical

Il s'agit d'un problème de société qui a été initié par un scandale sanitaire : l'utilisation abusive d'opiacés de synthèse dans la prise en charge des douleurs chroniques non cancéreuses.

Ces prescriptions qui ont créé la dépendance de toute une partie de la population sont la conséquence d'une mise sur le marché trop laxiste (non accompagnée de mises en garde adéquates) puis mal surveillée par la FDA, de recommandations discutables de sociétés médicales et de campagnes de promotion intenses et mensongères des laboratoires pharmaceutiques.

La FDA a approuvé le fentanyl en 1968, puis les fentanyls à libération immédiate transmucosale (TIRF) conçus pour pénétrer dans la circulation sanguine en quelques secondes. Ils sont plus dangereux que la plupart des opioïdes en raison de leur très grande puissance et de leur délai d'action rapide.

Ils n'ont été approuvés par la FDA que pour les patients cancéreux adultes «qui reçoivent déjà et qui tolèrent un traitement aux opioïdes pour leur douleur cancéreuse persistante».

L'origine de la crise actuelle date du début des années 1990, quand des campagnes d'information organisées par des sociétés savantes et des associations de patients (parfois sponsorisées par l'industrie pharmaceutique) ont sensibilisé l'opinion et le corps médical sur la prise en compte parfois insuffisante du traitement de la douleur.

Des sociétés savantes trop proches de Big Pharma ont émis des recommandations incitant les médecins à prescrire des opiacés pour des douleurs chroniques «même non-cancéreuses».

Des campagnes de marketing agressives ont été répétées par les industriels, dont Purdue Pharma, suivant les conseils de cabinet spécialisés, dont McKinsey. Elles ont instrumentalisé des études mensongères du début des années 1980 prétendant que ces nouveaux opioïdes ne produisaient pas de risque d'addiction.

Ces manipulations des médecins ont été efficaces. Les prescriptions d'opioïdes ont augmenté de 350% entre 1999 et 2015. Pendant vingt ans, laboratoires et distributeurs ont ainsi bénéficié d'un marché de 8 milliards de dollars par an.

Mais rapidement de nombreux malades traités par ces opioïdes ont développé une forte addiction aux opiacés les poussant à rechercher leurs drogues auprès des trafiquants lorsque les prescriptions médicales ne leur suffisaient plus. Les hospitalisations et les morts liées aux surdoses d'opioïdes ont alors fortement augmenté.

La FDA, agence captive, n'a pas rempli sa fonction de protection de la population

Lorsque le problème est devenu évident, la FDA n'a pas imposé de mesures strictes pour empêcher une utilisation inappropriée de TIRF. Elle n'a réalisé aucune enquête indépendante, mais s'est contentée des rapports lénifiants que lui adressait l'industrie du médicament.
Cette incapacité de la FDA de protéger la population de l'utilisation de médicaments dangereux n'est pas accidentelle, mais témoigne de sa «capture» par les laboratoires pharmaceutiques qu'elle est censée réguler.

La capture réglementaire (ou captation de la réglementation) est une corruption de l'autorité qui se produit lorsqu'un organisme de réglementation privilégie les intérêts commerciaux d'une industrie, ou d'une profession au lieu de défendre l'intérêt général pour lequel elle a été créée.

Cette capture réglementaire est une conséquence de la défaillance de l'État qui, depuis plusieurs décennies, n'assure plus un financement suffisant pour garantir l'indépendance de l'agence et lui demande de compléter son financement par les entreprises qu'elle doit réguler. Ainsi aux USA près de la moitié du budget de la FDA est assurée par les entreprises du médicament qui en ont ainsi effectivement pris le contrôle. Depuis lors, les décisions de la FDA privilégient presque toujours l'intérêt de l'industrie sur celui de la sécurité médicamenteuse.3

L'industrie s'était plainte de la lenteur des procédures de mise sur le marché qui l'empêchait de bénéficier pleinement de la période d'exclusivité octroyée par ses brevets. La FDA a considérablement réduit les procédures classiques et inventé différents motifs d'examens très allégés au détriment de la sécurité des malades, dont les injections anti-covid constituent un exemple démonstratif.

Mais cet allègement des procédures s'est fait au détriment de la sécurité médicamenteuse.

En témoigne la multiplication des scandales médicamenteux depuis plus de 20 ans.

Rappelons celui des antidépresseurs tels que le Prozac (susceptible de favoriser le passage à l'acte et en particulier suicide et tuerie de masse), resté sur le marché alors que Lilly savait depuis les années 1980 que la fluoxétine – principe actif du Prozac – pouvait altérer le comportement des malades, et l'a soigneusement caché ou minimisé.4

Pfizer a également été obligé de faire savoir que son médicament vedette, le Celebrex, pouvait entraîner des infarctus.

Et depuis trois ans, Bayer a dû cesser de vendre son Baycol à cause des graves troubles musculaires qu'il peut occasionner, pouvant conduire au décès des patients.

En 2004, devant une commission sénatoriale enquêtant sur le scandale du Vioxx5 (responsable d'au moins 100 000 victimes, dont 40 000 morts aux USA sans que la FDA intervienne), David Graham, un des cadres supérieurs de la FDA, a déclaré devant la commission d'enquête du sénat6 :

«d'autres scandales sont à venir, et le pays est pratiquement sans défense contre les médicaments à risque, qui entrent si facilement dans les foyers américains. La FDA est aujourd'hui incapable d'empêcher cela».

Dès 2005, le Journal of American Medical Association (JAMA) constatait : «la FDA est dépassée et ne remplit plus du tout son rôle. Et nous ne sommes certainement pas les seuls à le penser».

Le Wall Street Journal précise :

«sur les 327 millions de dollars que l'agence dépense pour les médicaments, seulement 27 sont consacrés à la recherche d'effets secondaires de ceux présents sur le marché».
Cette incapacité de la FDA à s'opposer aux intérêts des firmes pharmaceutiques a permis à la corruption et aux campagnes mensongères de propagande médicamenteuse organisées par des cabinets de conseil de prospérer.

Les menées de McKinsey contre la Santé publique

Ce cabinet de conseil a fortement contribué à la crise des opioïdes en vendant pendant une décennie des schémas marketing et des services de conseil aux fabricants d'opioïdes, notamment Purdue Pharma, Endo Pharmaceuticals, Johnson & Johnson ou Mallinckrodt Pharmaceuticals.

Durant la même période, McKinsey a omis de divulguer ses conflits d'intérêts graves et de longue date à la FDA, violant potentiellement les exigences contractuelles et la loi fédérale.

Lors d'un communiqué du 13 avril 2022, Maloney Carolyn B présidente de la commission d'enquête sénatoriale a déclaré7 :

«l'enquête du Comité de surveillance met en lumière le monde non réglementé et secret des cabinets de conseil privés comme McKinsey qui créent des conflits d'intérêts en travaillant à la fois pour le gouvernement fédéral et les industries réglementées».
Le rapport d'aujourd'hui montre qu'en même temps que la FDA s'appuyait sur les conseils de McKinsey pour garantir la sécurité des médicaments et protéger les vies américaines, la société était également payée par les entreprises mêmes qui alimentent l'épidémie mortelle d'opioïdes pour les aider à éviter une réglementation plus stricte de ces médicaments dangereux.

«McKinsey a employé au moins 22 consultants à la fois à la FDA et chez les fabricants d'opioïdes sur des sujets connexes, y compris en même temps. Dans les coulisses, les consultants de McKinsey ont tiré parti de leurs relations fédérales pour obtenir encore plus d'affaires dans le secteur privé et ont tenté d'influencer les principaux responsables de la santé publique au nom de clients comme Purdue Pharma. Les consultants de McKinsey ont discuté de la suppression de documents liés à leur travail pour Purdue : les documents obtenus par le Comité révèlent que dès mai 2017, les partenaires de McKinsey ont discuté des moyens d'empêcher que les documents de McKinsey ne soient découverts dans les poursuites en cours de Purdue».

Une cinquantaine de procureurs généraux, dont Maura Healey, la procureure générale du Massachusetts, tête de pont dans ce dossier, ont mis en accusation McKinsey.8,9

«Notre travail nous a permis de mettre en lumière des schémas marketing qui allaient bien au-delà des premières entreprises que nous avions ciblées dans notre enquête. Au terme de notre travail, il est devenu très clair où nombre de ces schémas marketing trouvaient leur origine : de consultants de McKinsey (...) Pendant ce temps-là, des millions d'Américains sont devenus accrocs, ont fait des overdoses et sont décédés», a-t-elle déclaré.

Il est reproché à McKinsey d'avoir contribué à la crise des opioïdes aux États-Unis en vendant pendant une décennie des schémas marketing et des services de conseil aux fabricants d'opioïdes, notamment Purdue Pharma, Endo Pharmaceuticals, Johnson & Johnson ou Mallinckrodt Pharmaceuticals, d'avoir poussé à l'augmentation du nombre de visites de représentants commerciaux auprès des plus importants prescripteurs d'opioïdes, d'avoir ciblé des médecins avec des messages spécifiques pour les convaincre de prescrire plus d'OxyContin (le médicament produit par Purdue Pharma), d'avoir encouragé plusieurs producteurs d'opioïdes à s'unir pour résister aux régulations de la FDA qui cherchait à limiter les prescriptions et d'avoir tenté d'influencer des représentants du gouvernement, y compris le secrétaire de l'administration Trump à la santé et aux services sociaux (HHS) Alex Azar, pour faire avancer les intérêts de ses clients du secteur privé. .

Le 4 février 2022, pour éviter un procès public qui aurait possiblement révélé d'autres violations de la loi, McKinsey a proposé de payer 573,9 millions de dollars10 (5% de son chiffre d'affaires) en réparation aux états. McKinsey paiera environ 80% de l'argent immédiatement pour renforcer les programmes de traitement et renforcer les budgets de la police mis à rude épreuve par l'abus accru des opioïdes.

Un scandale médicamenteux aggravé par la corruption du corps médical

Les laboratoires offrent volontiers des cadeaux aux médecins qui prescrivent leurs produits vedettes en prétextant souvent qu'il s'agit de faciliter l'enseignement ou la recherche. Pfizer a ainsi déclaré avoir versé ces quatre dernières années 631 millions de dollars (465 millions d'euros) à environ 300 000 professionnels, dont 173 millions pour 2012 (pour un chiffre d'affaires américain de 23 milliards de dollars).

Fabricant et distributeurs d'opioïdes condamnés

Purdue, basée à Stanford, dans le Connecticut premier fabricant d'opioïdes, a demandé la protection contre la faillite en 2019 après avoir été engloutie dans un tsunami de poursuites (plus de 3000) déposées par les gouvernements des États et locaux.11

Il a accepté de régler 8,3 milliards de dollars après avoir plaidé coupable de trois crimes pour sa commercialisation d'OxyContin.

C'était la deuxième fois en 13 ans que la société plaidait coupable à des accusations criminelles pour ses tactiques de vente d'opioïdes.

En juillet 2021, Johnson & Johnson accepte de payer 5 milliards sur neuf ans et les distributeurs McKesson, Cardinal Health et AmerisourceBergen – fournisseurs de quelque 90% des médicaments américains 21 milliards sur 18 ans. Ces sociétés espèrent ainsi mettre fin à près de 4 000 actions intentées au civil par des dizaines d'États américains et collectivités locales, dans le cadre d'une proposition d'accord à l'amiable «historique».

Danger des opioïdes en France

D'après les données de l'assurance maladie, environ 10 millions de Français ont consommé des opioïdes en 2015. En une dizaine d'années, la consommation de ces médicaments a fortement augmenté. Entre 2006 et 2017 la prescription d'opioïdes forts, dominée par l'Oxycodone, a cru de près de 150%, et leurs mésusages ont plus que doublé entre. Le nombre d'hospitalisations liées à la consommation d'antalgiques opioïdes obtenus sur prescription médicale a augmenté de 15 à 40 hospitalisations pour un million d'habitants. Entre 2000 et 2015, le nombre de décès liés à la consommation d'opioïdes a augmenté de 1,3 à 3,2 par million d'habitants, avec au moins 4 décès par semaine.

Le Tramadol serait le premier médicament responsable de ces mésusages, et le premier responsable des décès observés suivi de la morphine, l'Oxycodone puis le fentanyl transdermique à action rapide.

Les modalités de prise en charge et de surveillance par les prescripteurs, ainsi que l'accès restreint à ces médicaments, ont pour l'instant permis d'éviter le pire. Rappelons les recommandations de la ANSM :

«UNE PRESCRIPTION D'ANTALGIQUE OPIOÏDE DOIT SYSTÉMATIQUEMENT S'ACCOMPAGNER D'UNE INFORMATION AU PATIENT SUR LE TRAITEMENT ET SUR SON ARRÊT, ET D'UNE SURVEILLANCE DE CES RISQUES MÊME LORSQU'IL EST INITIALEMENT PRESCRIT DANS LE RESPECT DES CONDITIONS DE L'AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHÉ».

«Entre 1999 et 2018, scandale de l'OxyContin aux US. 500000 américains sont morts des suites d'un usage abusif. McKinsey conseillait les labos. Il faut exfiltrer le DG Dominique Barton. J. Trudeau lui donne un passeport diplomatique en le nommant ambassadeur du Canada en Chine.

La fondation B. Gates, il faut s'imaginer une armée de consultants en costume cravate, lobbyistes dans les lieux de pouvoir. Entre 2006 et 2017 la fondation a dépensé 184 M de $ de consultants McKinsey. Bill sera même témoin de moralité lors du procès de Rajat Gupta ex DG». (Phillipe Duval)

source : Docteur Nicole Delépine



  • CDC offices gouvernementaux
  • CDC Emergency Preparedness and Response : Increase in Fatal Drug Overdoses Across the United States Driven by Synthetic Opioids Before and During the COVID-19 Pandemic, 17 décembre 2020 – https://emergency.cdc.gov/han/2020/han00438.asp
  • Lire à ce sujet le livre de R.F. Kennedy : « Dès mon entrée à reculons dans le débat sur les vaccins en 2005, je fus stupéfait de constater que le réseau tentaculaire des profonds enchevêtrements financiers entre l'industrie pharmaceutique et les agences gouvernementales de santé avait permis une capture réglementaire musclée. Par exemple, les CDC possèdent 57 brevets de vaccins et consacrent 4,9% de leur budget annuel de 12 milliards de dollars (en 2019) à l'achat et à la distribution de vaccins. Les NIH sont propriétaires de centaines de brevets de vaccins et tirent souvent profit de la vente des produits qu'ils sont censés réglementer. Des fonctionnaires haut placés, dont le Dr Fauci, reçoivent des émoluments annuels allant jusqu'à 150 000 $ en redevances sur des produits qu'ils contribuent à développer puis à faire homologuer. La FDA reçoit 45% de son budget de l'industrie pharmaceutique, par le biais de ce qu'on appelle, par euphémisme, les «frais d'utilisation»»
    KENNEDY-Fauci-Gates-BigPharma-640 pages 27 26/01/22 09:01 28 ANTHONY FAUCI, BILL GATES ET BIG PHARMA
  • https://www.courrierinternational.com/revue-de-presse/2005/01/04/la-pilule-ne-passe-plus-aux-etats-unis
  • Voir la Face cachée du médicament, N. Delépine, éditions Michalon, 2011
  • https://www.finance.senate.gov/imo/media/doc/111804dgtest.pdf
  • United States. Congress. The Firm and the FDA : McKinsey & Company's conflicts of interest at the heart of the opioid epidemic : interim majority staff report / Committee on Oversight and Reform, U.S. House of Representatives.
    https://permanent.fdlp.gov/2022/04/13/McKinsey-Opioid-Conflicts-Majority-Staff-Report.pdf
  • https://gunandsurvival.com/2022/04/28/maura-healey-blasts-mckinseys-opioid-schemes-in-house-hearing
  • En France le scandale McKinsey a pour l'instant été étouffé à l'approche des élections. Néanmoins il ne saurait disparaître définitivement. «Quelles missions McKinsey a-t-il effectuées pour l'État ?»
    «Sous le mandat d'Emmanuel Macron, le cabinet McKinsey a été chargé de plusieurs missions. Il a notamment, pendant deux ans et avec le cabinet Accenture, été chargé d'évaluer la stratégie nationale de santé (coût : 1,2 million d'euros). C'est lui qui a également été missionné pour contrôler la viabilité des solutions informatiques de la CAF dans le cadre de la réforme des APL (3,88 millions d'euros). Surtout, de novembre 2020 à février 2022, McKinsey a été chargé de la campagne vaccinale avec l'organisation logistique, la mise en place d'indicateurs et d'outils de suivi ou encore l'établissement d'un plan d'action pour la campagne de rappel pour la 3e dose de vaccin anti-Covid».
    McKinsey : où en est l'enquête ? Le résumé de l'affaire (linternaute.com)
  • Dyer O. McKinsey agrees to pay $574m to US states to settle opioid claims BMJ 2021 ; 372 : n360 doi:10.1136/bmj.n360
  • «The Family That Built an Empire of Pain», The New Yorker

https://reseauinternational.net/la-catastrophe-des-opioides-persiste/